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Nuigurumi

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65 commentaires

Le 05/05/2017 à 17h 09

Pour moi cette mesure sert à satisfaire Steam et les éditeurs qui considèrent que le marché gris leur fait gagner moins d’argent (et non en perdre) et tout cela au détriment du consommateur.

Le 05/05/2017 à 16h 55

Tout à fait d’accord. Si le libre-échange autorise une entreprise à aller produire où c’est moins cher, alors la contrepartie et que le consommateur peut acheter où c’est moins cher.

Interdire cette possibilité uniquement à l’une des parties (en l’occurrence, le consommateur) et c’est faire du protectionnisme, soit l’opposé.

Le 11/04/2017 à 16h 13







Limp a écrit :



Je me pose quand même de grosses questions pour les entreprises… Deux ou trois releases par année à gérer même avec des admins SCCM etc c’est pas évident.





Les entreprises peuvent utiliser la version Long Term Servicing Branch (LTSB) qui est l’équivalent des LTS chez Ubuntu.

Par contre, cela ne concerne que les versions Enterprise de Windows, pas les Pro.



Pour les HS sur les news réservés aux abonnés, cela a été expliqué par Next Impact : nextinpact.com Next INpact


Le 03/02/2017 à 20h 04







DahoodG4 a écrit :



Bha, solution simple, les restrictions par langue.

Tu veux ton jeu en Francais, il coute 70 point barre.

Tu le veux en Roumain, il coute 10.



T’es capable de lire le roumain, t’a tout gagné.





Il faudrait qu les jeux soient traduis dans les langues de chaque pays, ce qui n’est pas le cas. Et je pense que dans les pays de l’est, la langue des jeux est plutôt l’anglais.

Donc si le jeu en anglais est à 10 euros, ça peut être sympa pour beaucoup d’européens.



Mais du coup, cela veut dire que c’est légal d’acheter sur amazon.de un produit moins cher que sur amazon.fr !


Le 14/09/2016 à 20h 16







sr17 a écrit :



En fait, les capitalistes aiment le libéralisme, mais uniquement les jours ou ça les arrange. <img data-src=" />





Cela me rappelle la crise de 20072008, là où les grosses entreprises libérales se sont tournées vers les gouvernements car elles ne pouvaient pas assumer leurs erreurs, alors que la logique du libéralisme aurait voulu que ceux-ci n’interviennent pas… mais bon, les conséquences sociales aurait été très importantes.

Comme on dit : “privatisons les profits et socialisons les pertes”.


Le 14/09/2016 à 19h 10







tmtisfree a écrit :



Elles vont surtout augmenter la productivité (éviter les pertes de temps, des coûts de déplacement moindre, etc) : le résultat attendu est moins de capital inutilement perdu, donc plus de richesses.





Question essentielle : plus de richesses pour qui ?



Si c’est uniquement pour les actionnaires, comme dans l’entreprise en LBO où je travaille actuellement, au détriment des employés et de l’entreprise elle même, je ne suis pas très rassuré.



Si au contraire cela permet de fournir un niveau de vie décent à chacun avec de meilleure condition de travail, je suis bien évidement pour. Mais au dernières nouvelles, c’est plutôt l’inverse qui se produit ces 30 dernières années.


Le 22/04/2016 à 17h 14

Ah ! Merci pour ce commentaire qui montre bien le problème. A croire que les commentaires sont envahis par des pro-google <img data-src=" />



La CE vise Google pour son utilisation d’Android (qui est dominant sur le marché des smartphones) afin de pousser ses autres produits avec des accords contraignant avec les constructeurs. Pour plus d’information, chercher Mobile Application Distribution Agreement (MADA).



Oui je peux installer ce que je veux sur Android, oui je peux utiliser un fork - qui n’est pas simple à installer - (mais ce n’est plus Android et je n’ai pas le droit d’y installer les services Google -fr.wikipedia.org WikipediaMais l’obligation que Google impose aux constructeurs que ses services soient installés et utilisés par défaut, c’est un abus. Comme lorsque l’on reprochait à Microsoft d’installer et utiliser IE et Windows Media Player par défaut.

&nbsp;Donc si les arguments de la CE sont faux, alors ils auraient dû l’être pour Microsoft.



Pour moi, comme d’habitude, la CE se réveille tard. Cela fait des années que la main mise de Google sur l’écosystème Android est pointé du doigt :arstechnica.com Ars Technica

et je pense, comme d’autres, que ça se terminera par un gros chèque sans réel changement sur l’abus en question (le mal est déjà fait de toute façon).

&nbsp;

Le 03/12/2015 à 17h 55

Marrant. Là où je travaille, on doit pas être un bon client pour Orange car ils sont systématiquement plus cher, et de loin, que leurs concurrents (enfin, là où il y en a…).

Le 11/09/2015 à 16h 09

C’est vraiment la misère les mises à jour d’Android. Mon S4 mini du boulot attend toujours son correctif. Il faut vraiment que les constructeurs et google s’améliore.

&nbsp;Un OS MS est maintenu 10 ans minimum et chez apple si la dernière version d’ios peut s’installer, c’est bon.

&nbsp;

Le 03/04/2015 à 19h 08

Personnellement, j’y vois un nouveau moyen pour Google ou Apple d’en connaître plus sur moi.

Le 24/03/2015 à 18h 11

Tout à fait. Depuis que les sites utilisent de plus en plus https, pour pouvoir filtrer les accès (ou sorties) d’un réseau d’entreprise, les proxy ssl sont devenus courant dans les équipements de sécurité.

Par contre, c’est la deuxième fois que Google se fâche sur le sujet. La première fois étant des certificats provenant de l’administration française il me semble.

Le 30/01/2015 à 17h 55

Et sinon, à quand un Libre Office en mode web ? Car avec Google Docs,&nbsp; iWorks et Office Live gratuit, la vraie bataille n’est plus dans les clients lourds. Et une suite de bureautique libre et tout ce qui manque à mon serveur perso pour me libérer des tentacules du cloud.

Le 05/11/2014 à 18h 53

Ce serais bien si ça passait vu que les USA l’imposent aux produits européens. J’ai juste un doute sur la capacité de l’Allemagne à tenir seule ce genre de loi face aux américains (d’où la réaction de SAP qui pense sûrement à son business aux US).



Par contre, c’est du protectionnisme et il me semblait que ça ne passait pas au niveau de l’UE ce genre de loi…

Le 29/07/2014 à 18h 55







blob741 a écrit :



Sans considérations “philosophiques”.



Pour ceux qui en achètent pour leurs entreprises, les licences en volume pour 10 000 postes, ça revient vraiment à 180€ ou ils gonflent le chiffre pour montrer leur côté vertueux ?







Dans la boite où je suis, nous avons une Software Assurance qui contient les licences pour 1000 postes de travail : Windows Enterprise + Office Pro + CALs (Windows, Office et Exchange) = environ 40€ par an et par poste de travail.

Je ne précise pas la version de Windows et Office puisque dans le cadre de la Software Assurance nous avons accès à toutes les versions y compris celles qui sortiront tant que nous avons la Software Assurance. Soit Windows 1.0 à 8.1 U1 si ça vous amuse.

Avec 10000 postes, la ristourne de MS peut être encore meilleure normalement.


Le 29/08/2013 à 17h 33

C’est quand même marrant comment tout le monde s’emballe quand Microsoft fait quelque chose de “normal” pour une entreprise privée. Les éditeurs supportant sur plusieurs années une ancienne version de leur produit ne sont pas si nombreux. Même chez Redhat ou Ubuntu, le support est de maximum 5 ans.



De plus, admettons que MS étende le support. XP n’est qu’un des composants d’un PC. Aujourd’hui, on ne trouve déjà plus de pilotes pour les dernières générations de matériels et le support des éditeurs sur les logiciels fonctionnant sous XP s’arrête également. A quoi ça servirait à une entreprise privée d’investir de l’argent dans le support d’un produit que plus personne ne paye et qui n’est plus supportés par les autres éditeurs/constructeurs ?



Dans un monde idéal, tant que l’on découvrirait des failles l’éditeur les corrigeraient. Mais voilà, dans un monde capitaliste, il faut payer les dév pour faire les patchs… monde de merde <img data-src=" />

D’ailleurs, la preuve que c’est une histoire de pognon vu que si vous aligné les sous, vous pouvez prendre du Custom Support (je vois d’ici la remarque que ce n’est que pour les grands comptes, mais c’est un moyen de limiter le ticket d’entrée à minimum 200 000€ /an).