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marsokod

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143 commentaires

Le 01/10/2024 à 00h 38

Starlink : moins de 50 millions par lancement pour 40 satellites : en vrai, ils doivent être à moins de 1M/satellite (fusée réutilisée et en interne donc lancement à prix coutant)

Ton géostationnaire, c’est entre 50 et 100 millions pour UN satellite (tarif Arianne, ULA, etc)

Après, combien ça rapporte par an et par satellite : personne ne le sait vraiment (à part les opérateurs eux même)

Mais en gros, si on estime qu’il faut lancer en moyenne 3000 nouveaux starlink par an pour garder la constellation opérationnelle , ça fait 3 milliard de frais de lancement : chiffre d’affaire à 6,6 milliard et ça continue d’augmenter.

D’où l’on estime que ça va être la vache à lait de spaceX (plus que ce que va rapporter les lancements commerciaux chaque année)

Le calcul d'ordre de grandeur est assez simple. Leur constellation fait aux alentours de 6000 satellites, pour une durée de vie de 5 ans. Avec 40 sat/lanceur, ça fait 30 lancements par an.

En utilisant un coût de lancement de 40M$ et un coût de satellite de $500k, ça fait du coût pour le segment spatial de l'ordre de 2Mrds/an.

Avec un revenu moyen par abonné de $50/mois, ils sont à 2.4Mds/an de revenu.

Après il faut prendre en compte le coût des opérations (stations sols, opérateurs, connections internet locale, modems), mais aussi le fait que certains clients payent beaucoup plus que $40/mois (bateaux, avions, l'armée, les sociétés, les gens en vadrouille...). Donc l'annonce qu'ils étaient maintenant cash positive ne m'étonne pas trop.

Le 27/08/2019 à 21h 06

Pour info, on peut aussi synchroniser les calendriers et les contacts avec Windows, mais c’est un peu plus débrouille.



Windows gère totalement CalDav et CardDav, mais le réserve à des partenaires officiels. Il faut donc dire à Windows qu’on veut synchroniser un compte iCloud, puis modifier manuellement l’adresse du serveur dans les paramètres avancés. Un peu lourd, mais ça fonctionne avec n’importe quel serveur Dav.

Le 08/03/2018 à 12h 58

Qu’est ce qui empêche Canal et les autres opérateurs de diffuser le flux TNT directement sur leurs offres, sans rien demander à TF1?



Si ils ont l’obligation légale de le diffuser, il devraient pouvoir le faire gratuitement ou alors il devrait y avoir une réglementation définissant le coût, non ? Ça serait constitutionnel que le coût d’un service public soit dépendant de façon potentiellement arbitraire d’une tierce partie, qui plus est privée ?

Le 13/02/2018 à 22h 20

Cela se fait déjà, avec TDRSS. Je me demande s’il existe aussi un projet d’exploiter le pendant européen, EDRS.



Pour les communications avec une station sol, c’est de l’ordre d’une dizaine de minutes pour une station. Je ne peux pas me prononcer sur ce cas particuliers, mais sur les nouveaux systèmes, la liaison utilise une modulation et des codes de corrections variables selon la qualité du lien : le débit est faible lorsque la station est à l’horizon, puis augmente quand la station monte dans le ciel (moins d’atmosphère et distance plus courte donc signal de meilleur qualité). Auparavant, les caractéristiques de la transmission étaient fixes et construites sur le pire cas (typiquement, le satellite visible à 5deg au dessus de l’horizon).

Le 11/05/2017 à 21h 18







TheRealBix a écrit :



 

C’est grave ce que tu dis, j’espère que tu t’en rends compte… L’armée existe pour quoi à ton avis ? Ces “mômes” s’ils avaient reçu les ordres adéquats auraient pu réduire significativement le nombre de victimes (une centaine de morts et bien plus de blessés) ne serait-ce qu’en déportant l’attention des tireurs sur eux.



Une prise d’otage.. Quand tu entends des centaines de gens crier et des tirs de kalash tu crois vraiment que la première chose qui te vient à l’exprit est une prise d’otage ?



Bref, je vais pas discuter plus ça me donne envie de vomir.





C’est pas une question d’ordre adéquats, c’est une question d’entraînement. On va déjà supposer que ces sentinelles ne sont pas des réservistes et qu’ils ont fait des séances de tir il n’y a pas trop longtemps, ce qui est loin d’être gagné avec leur charge actuelle.



On se retrouve alors avec 23 gars ayant leur famas devant un bâtiment qu’ils ne connaissent pas (mais qu’ils savent être plus complexe qu’un bête immeuble) où un nombre indéterminé d’ennemis visiblement lourdement armé est en train de massacrer des civils. Rien dans leur formation ne couvre un tel cas de figure. Par contre ils savent qu’aller dedans c’est aller au casse-pipe. C’est bien gentil les romans militaires plein d’actions héroïques mais en général quand un petit groupe s’amuse à prendre des initiatives à la va-vite sans réfléchir ça se termine de façon beaucoup moins glorieuse. La hiérarchie militaire et la chaîne de commandement n’existe pas pour rien.



Et quand bien même ces sentinelles rentrent dans le bâtiment et neutralisent les terroristes sans se faire tuer contre toute attente. Soient ils feront des dommages collatéraux parmis les civils, soit des civils seront tués par les terroristes se défendant. D’un point de vue opérationnel c’est un succès, par contre je te garantie que la couverture médiatique ne sera pas la même. “Pourquoi sont-ils intervenus alors que le GIGN arrivait ?”, “Combien de morts en moins si l’armée n’était pas intervenu”, etc. C’est peut-être être cynique comme point de vue mais c’est malheureusement la réalité et cela joue dans les décisions.


Le 28/04/2017 à 22h 29







TheMyst a écrit :



la correction du bruit (au moins) ?





Le photo stacking permet justement de corriger le bruit en le moyennant. Donc non, rien de bien nouveau si ce n’est qu’une application Android le fait maintenant.


Le 27/03/2017 à 21h 16

Et si jamais ils arrivent à bloquer le serveur, les gars pourront toujours utiliser les emails.



Le chiffrement est une idée, pas une implémentation. La seule chose éventuellement bloquable c’est la communication en elle même. Mais il faudrait qu’ils comprennent un jour que vouloir bloquer les communications sur un réseau qui a été spécifiquement conçu pour résister à une guerre mondiale nucléaire, c’est totalement irréaliste.

 

Le seul moyen d’empêcher les terroristes de communiquer par internet, ce serait d’interdire complètement internet. Mais cela n’empêchera pas les terroristes de communiquer. Même la Corée du Nord n’arrive pas à contrôler totalement les communications.

Le 02/03/2017 à 23h 19

Sauf que ce n’est pas ce que dit le lien en question. L’article dit en effet que le candidat n’a pas la limite des 7500 et 4600 euros, mais précise plus loin qu’il y a un plafonnement dans les dépenses:



         

 Les candidats qui obtiennent au moins 5 % des suffrages exprimés au premier tour de la présidentielle 2017 se verront rembourser 47 % de leurs frais de campagne, dans la limite du plafond de dépenses, fixé à 16,851 millions d’euros.





 Donc les candidats sont légalement limités à un niveau financement de 16,851 millions.

Le 26/02/2017 à 17h 59

C’est quand même extrêmement proche d’un Nokia 222 sorti en 2015 et qui se trouve à 40 euros. Juste une nouvelle coque en couleur.

Quelqu’un sait si ces feature phone peuvent synchroniser les contacts/appels/sms avec un smartphone via bluetooth ? Cela pourrait être utile d’embarquer ce téléphone dès qu’on va à un endroit un peu risqué pour l’électronique.

Le 07/02/2017 à 15h 02

Quelqu’un a des infos sur ce qu’ils cherchaient à faire exactement ?

Normalement la technologie des câbles pour lutter contre les débris ne sert pas à “attirer” les débris à proximité. Le but, c’est d’être générer du courant en traversant le champ magnétique terrestre à grande vitesse (courants de Foucault) et de dissiper cette énergie en chaleur. Cela permet de transférer l’énergie cinétique vers de l’énergie thermique (et un fine radiative) et permet donc au satellite de descendre plus vite, et donc paradoxalement d’accélérer, mais on va pas faire un cours de mécanique spatiale. Le débris, avec cette technologie, serait le module HTV.

Là je suis un peu étonné par le fait de vouloir attirer d’autres objets : les distances et les masses en jeu rendent ça très peu pratique.

Le 18/01/2017 à 20h 28







fred42 a écrit :



Je maintiens mon propos.

J’aimerais bien savoir comment ils ont qualifié ces horloges atomiques.



Comme je te disais, même dans des produits grand public, un taux de défaut de près de 20 %, on passe en situation de crise “epidemic failure” et on arrête tout tant qu’on n’a pas compris ce qui se passait.



Mais dans un domaine où tu envoies ça dans l’espace et que tu ne peux donc pas changer les pièces défectueuses, ça ne doit pas arriver. La redondance est là pour assurer des pannes sur la durée, pas pour un cas comme cela où les pannes arrivent rapidement.



Attendons plus d’infos, mais ce que je peux t’affirmer, il y en a qui ne vont pas beaucoup/bien dormir pendant un certain temps.





Le niveau de qualification a été accepté par le client et il y a toujours un trade-off entre la quantité et le coût. Sur ce genre de problème (un soucis sur une série), il semblerait que ce problème potentiel n’ait jamais été identifié car non couvert par un test. C’est d’autant plus difficile avec les problèmes arrivant dans la durée, comme un léger stress d’un composant : ces tests sont long et nécessite de griller un modèle (à quelques centaines de milliers d’euros) donc chers et souvent non compatibles avec le planning : ce test n’a un sens qu’avec le modèle de vol, ce qui veut dire que le satellite est déjà en train d’être assemblé et de bouffer du cash. Les défauts sont alors couverts par les assurances, si le bon contrat a été signé.


Le 18/01/2017 à 15h 01

La notion de retour géographique est propre à l’ESA. Galileo est un projet financé par la Commission Européenne (et géré par l’ESA, la CE s’étant rapidement aperçue qu’elle n’avait pas les compétences en interne) donc le retour géographique n’était pas aussi important que sur d’autres projets. Cela n’empêche pas qu’il y avait un aspect politique dans les contrats.

Un point important qui explique les retards sur ce programme est le sous-financement du projet. Le budget initial de Galileo était de 2Mds, et atteint désormais 4/5Mds. Le GPS première génération, c’est l’équivalent de 15Mds d’euros (en euros 2010). Quand y’a pas de sous et plein d’acteurs, les projets patinent et sont lents.

Le 19/10/2016 à 11h 10

Les coûts logistiques d’une solution chez les particuliers sont énormes en comparaison d’un datacenter. Une meilleure solution consisterait à multiplier les mini-datacenter auprès de gros clients potentiels pour du chauffage : hôpitaux, maisons de retraites, piscines. Les coûts logistiques seront certes plus importants qu’un opérateur comme OVH ou Amazon - et OVH chauffe déjà le quartier autour de chez eux - mais à partir d’une certaine taille critique, cela sera rentable. Et en plus il n’y aura pas à gérer l’intermittence. Cela dit, de tels projets existent déjà dans de nombreux endroits.

Le tout distribué n’est pas forcément la panacée.

Le 12/10/2016 à 15h 05

Dans ce cas tu peux aussi regarder du côté de Kontalk… si tu as des contacts qui l’utilise. Mais bon c’est du XMPP derrière.

Quelqu’un a des retours sur Wire? C’est cool car ça comprends aussi l’audio et la vidéo mais je ne sais pas à quel point c’est ouvert.

Le 02/10/2016 à 08h 19

Pour l’instant on n’a pas vraiment assez de données à ce niveau. La seule information qu’on a c’est ce qui a été fait avec Curiosity et qui montre qu’une mission aller-retour sur Mars provoque une augmentation du risque de 5% de cancer pour les astronautes. Mais cette expérience est assez limitée en ce qui concerne une mission habitée :





  • Ces mesures ont été faites pendant un maximum d’activité solaire, donc c’est surtout des radiations venant du soleil qu’on a mesuré. Donc on ne sait pas vraiment ce qui se passe pour les rayonnements cosmiques

  • Il n’y avait pas de précautions actives pendant le trajet. Sur certaines architectures, les astronautes ont la possibilité de se mettre dans une “chambre forte” au cœur du vaisseau, entourés des réserves d’eau ce qui fournit une certaine protection.

  • Les mesures ont été faites à la surface de Mars. Or si tu veux faire du logement en masse sur Mars sans tout importer, il va falloir faire de la construction avec des briques, souterraines. Cela permet de construire sous contraintes malgré la pression intérieure du logement. Et cela permet aussi de protéger des radiations en dehors des EVA.



    Tout ce qu’on peut dire c’est que ce ne sera pas mortel à court terme mais qu’ils peuvent s’attendre à une augmentation du nombre de cancers.Une autre conséquence des radiation peut aussi être le risque cardio-vasculaire : les astronautes ayant été sur la Lune ont connu une augmentation des problèmes cardio-vasculaire lorsqu’on les compare à ceux ayant aussi participé au programme spatial Américain de l’époque (donc même conditions de vie) mais n’ayant jamais quitté l’orbite terrestre. Ça reste des statistiques sur un faible échantillon donc rien de définitif à ce sujet.

Le 01/10/2016 à 21h 19

Ils vont déjà avoir l’expérience des Red Dragon pour tester les technos sur place avant (et faire rentrer du cash tout en permettant aux scientifiques d’être contents).

 

Après l’idée d’une base prototype sur la Lune peut être sympa mais je ne vois pas forcément en quoi cela est plus pertinent que d’établir cette base prototype sur Mars. Je me doute bien qu’il y aura des premières missions full automatiques voir avec du personnel réduit qui peut toujours rentrer sur Terre en cas de soucis. Une bonne partie des tests de durée de vie et d’ergonomie peut être fait en Antarctique, et une mission de test en automatique peut permettre de vérifier le fonctionnement en conditions réelles.

Le 01/10/2016 à 21h 06







CleMb0 a écrit :



Hmmm, j’espère que les scientifiques qui bossent sur le projet font la différence entre surface et masse (cf. premier tableau, “land mass” en km²…)&nbsp;<img data-src=" />



La traduction littérale, c’est mal&nbsp;<img data-src=" /> : http://www.thefreedictionary.com/land+mass


Le 30/08/2016 à 22h 43

Exact.



&nbsp;Et en l’occurrence, Apple a fait énormément de bénéfice auprès des pays de l’UE.

&nbsp;

Sauf qu’Apple déclare officiellement ces bénéfices auprès de l’Irlande (le droit communautaire l’autorise, c’est le principe même du marché commun) mais a passé un accord avec le gouvernement irlandais pour ne payer des impôts que sur un faible pourcentage de ces bénéfices, qui correspondrait aux bénéfices réalisés par Apple en Irlande. Le but de la manœuvre est d’avoir un système équivalent à la territorialité de la fiscalité irlandaise sans pour autant dire officiellement que les bénéfices non taxés sont engrangés dans d’autres pays. Ces bénéfices se retrouvent alors non taxés.

&nbsp;

C’est bien l’accord qui est mis en cause par Bruxelles. Soit Apple doit payer ses impôts sur l’intégralité des bénéfices en Irlande, soit ce qui reste doit être taxé dans les pays où ces bénéfices ont été réalisés (ce qui est l’esprit de la territorialité de la fiscalité irlandaise). Ils ont le droit de faire de l’optimisation fiscale, mais pas de dépasser les limites du droit communautaire.



Cela dit je me demande à quel point Apple pourrait se retourner contre leurs juristes. Tout le monde savait que ces accords n’étaient pas conformes, c’est juste que la CE ne faisait rien pour les contrer.

Le 30/08/2016 à 21h 27

Effectivement, ça serait la solution. Par contre il faudrait sérieusement simplifier les impôts sur les bénéfices de façon à avoir un système commun à toute l’Europe, même si cela implique des taux différents.

&nbsp;Et cela implique aussi une vraie collaboration entre les administrations fiscales pour simplifier les démarches : autant c’est jouable pour une grosse multinationale, autant ça va être une galère sans nom pour le petit commerçant vendant dans toute l’Europe mais en petite quantité. Il faudrait dans ce cas là que l’administration fiscale locale collecte tout l’impôt sur le bénéfice et redistribue ensuite aux pays concernés.

Le 30/08/2016 à 20h 52

Le soucis de la domiciliation c’est qu’Apple paie correctement ses impôts dans les autres pays. C’est juste qu’ils font très peu de bénéfices car ils paient une licence à la société Irlandaise qui va combler le bénéfice. A combien valorise-t-on le fait pour une société française d’être le représentant officiel des produits Apple en France ?

On est exactement comme pour une franchise, sauf qu’il y a un seul franchisé par administration fiscale et qu’il est donc difficile de démontrer que la dépense liée à l’utilisation de la marque ne repose sur aucune valeur marketing.

Le 30/08/2016 à 20h 36

Pas nécessairement. Apple a le choix entre plusieurs options. Soit considérer que tout le bénéfice provient de sa filiale irlandaise et c’est donc les 13Mds d’euros à payer, pour un taux de 12,5%. Soit ils considèrent que la partie des bénéfices non taxé dans l’accord avec le fisc irlandais correspond à du bénéfice dans les pays européens (ce qui est le cas implicitement) : dans ce cas Apple va devoir détailler ses comptes pays par pays et ensuite payer ses impôts dans chacun de ces pays. A priori, le taux étant généralement plus élevé, cela leur coûterait plus cher. Dernière option, que le fisc américain demande à ce qu’ils payent des impôts sur une partie de ses bénéfices car le montant de la participation à la R&D est totalement fictif, calculé de façon à minimiser l’impôt global en ne compensant qu’a minima les pertes dues à la R&D. Dans ce dernier cas Apple devra payer des impôts sur le bénéfice supplémentaire auprès de l’Irlande et des US (je ne sais plus quel État).

Le 18/07/2016 à 14h 02

Pour les parts de marché, je me suis peut être mal exprimé. On va dire grignoter plutôt que bouffer. Je suis d’accord avec toi sur le fait que SpaceX ne va pas gagner un monopole sur le lancement de satellites, loin de là.

Mais depuis quelques années les opérateurs de satellites télécom mettent une grosse pression sur Arianespace et Airbus car il y a maintenant une alternative viable économiquement. Cela devrait changer peu de choses pour les opérateurs européens comme Eutelsat/Inmarsat mais les opérateurs américains vont peut être à nouveau regarder du côté de leur pays pour les lancements, ça sera moins d’ennuis de droits de douane et de logistique.

Pour un lancement, il n’y a pas que le coût de lancement pur. Il y a aussi les assurances, la logistique, les coûts du personnel à envoyer sur place (Baïkonour ça revient plus cher avec les primes pays à risque), les retombées financière pour avoir commandé chez le copain, etc…

Le 18/07/2016 à 12h 07







seb2411 a écrit :



Tu es sur de ça ? A ma connaissance ils ne remboursent rien. Ils achètent le lanceur mais a Airbus pas a l’ESA. Les membres de l’ESA ne recuperent rien directement. Juste les retours industriels et financiers de l’activité (taxes, emplois, etc.)



Avec Ariane 6 pour la première fois l’industrie met la main a la poche de l’ordre de 10 a 20% de la somme total. Et la subvention de 100 millions d’euros devrait s’arrêter.







Et c’est sans compter les coûts du Centre Spatial Guyanais prit en charge par l’ESA et le CNES à plus grand pourcentage que la NASA le fait pour Cap Canaveral, les projets de R&D financés par l’UE et les gouvernements européens participant au développement d’Ariane par Airbus DS. Toutes ces boites sont subventionnées et ce à plusieurs niveaux donc difficile de savoir le taux de subvention réel pour chaque lanceur. Par exemple, est-ce qu’on compte l’investissement dans le nucléaire militaire Français, qui a quelques retombées économiques pour Airbus ?



SpaceX a les moyens de faire moins cher qu’Airbus/Arianespace pour deux raisons : ils sont partis d’une page blanche et sont intégrés. Un gros problème du projet Ariane c’est la bureaucratie nécessaire à faire tourner plusieurs sites dans toute l’Europe, chacun fabricant son module pour des raisons politiques/historiques. Il est plus simple d’avoir tout le monde sur le même site. Un autre problème c’est l’héritage des développements dans une boite. Historiquement Safran s’est concentré sur les gros moteurs, qui sont moins pratiques pour faire du réutilisable. Donc si tu veux partir sur du réutilisable, il faut convaincre des centaines/milliers d’ingénieur(e)s de repartir à zéro, alors qu’ils ont un produit qu’ils maitrisent et qui est l’un des meilleurs au monde dans sa catégorie. Perte de temps et d’argent pour se lancer sur le réutilisable qui n’est pas sûr d’être plus avantageux.



Si les industriels européens réagissent actuellement, c’est parce qu’ils ont bien compris que SpaceX avait la possibilité future de leur bouffer des parts de marché à la régulière : ils sont capables de faire des fusées (ça c’était pas sûr) et ils ont un schéma industriel plus efficient. Donc deux possibilités de réaction : on demande plus de subventions ou on améliore le schéma industriel. L’option des subventions n’était pas réaliste, on voit la joint-venture se créer pour Ariane 6.


Le 28/06/2016 à 20h 24

Sur bandes magnétiques, cela coûtera moins cher d’envoyer les données par ondes électromagnétiques, particulièrement via laser : difficilement brouillable/interceptable, rapide, économique à partir d’une certaine quantité.

Le 27/06/2016 à 22h 30

Jette un oeil aux DTN (Delay Tolerant Networks), le gros problème étant que les connections TCP ne fonctionnent plus bien au delà d’un certain ping. Je ne sais plus combien sais mais pour la lune c’est typiquement minium 3sec de ping, plus tout les éléments de ton réseau terrestre/lunaire donc aux alentours de 4 secondes.



Et la Terre a aussi l’avantage d’avoir une protection contre les rayons cosmiques et solaires. La face cachée de la Lune protège bien du vent solaire, mais il n’y a rien contre les rayons cosmiques, faudra sans doute enterrer le machin.



@Jarodd, c’est qui ton fournisseur ? Ça semble intéressant ! Pour l’instant que j’envisage d’utiliser hubic pour faire un gros duplicity dessus, mais ça fait un peu solution du pauvre.

Le 15/06/2016 à 23h 37







DTS1138 a écrit :



Bonsoir/bonjour à tous,



Comme plusieurs ici, je trouve que 64Go de mémoire interne suffise largement pour ne pas nécessiter une carte MicroSD (surtout lorsque celle-ci vous lâche du jour au lendemain en vous faisant perdre toutes les photos et vidéos qu’il y avaint dessus !!!)



Quant au 3’000mAh de la batterie, cele ne me parait pas ridicule, sachant qu’un Nexus 5 possèdent seulement 2’300mAh et pourtant cela ne m’empêche pas de tenir 2 jours avec (selon mon utilisations on est bien d’accord !)



D’ailleurs j’en profite pour vous poser à vous Communauté de NextINpact vos avis sur le sujet suivant :

J’ai un Nexus 5 depuis 3ans et je commence à réfléchir pour changer de téléphone.

Les Nexus 5X et 6P son trop chère (de mon point de vue) et j’hésite avec ce OnePlus 3.



Trois doutes subsistent pour que je me décide à faire le pas :

1- Que vaut l’écran S-Amoled par rapport à celui du Nexus 5? Couleurs? Puissance du rétro-éclairage?

2- Vais-je disposer rapidement et sur la même durée du suivi des MàJ?

3- La partie photo du OnePlus 3 sera-t-elle vraiment meilleur/supérieure à celle d’un Nexus 5?



Si quelqu’un peut répondre à mes interrogations j’en serai ravi !

Merci d’avance !





Pour des tests d’écran j’ai tendance à faire confiance à lesnumeriques.com qui vient de sortir ce qu’ils pensent de cet “Optic Amoled”. En gros les couleurs font n’importe quoi et pour le reste c’est un peu en retrait des flagships du moment mais toujours de bonne qualité. Les couleurs, c’est au niveau logiciel que ça se joue et comme on retrouve ce problème sur pas mal de test, ça ne m’étonnerait pas que cela soit corrigé dans le futur.



&nbsp;Pour les mises à jour, ce sera plus lent que la série Nexus, beaucoup plus lent. Jusque là OnePlus a tout de même fait du suivi dans la durée mais AMHA ils sont trop jeunes pour leur faire confiance. C’est plus simple de faire du suivi de mise à jour quand le boulot est à faire sur l’unique smartphone de l’an passé que de gérer l’ensemble des smartphones des 5 dernières années.



Je n’ai pas d’infos sur la partie photo, je sais juste que les Nexus font plutôt le service minimum.


Le 30/05/2016 à 10h 24







Jarodd a écrit :



Pourquoi OVH ne communique pas plus à grande échelle ? Déjà un twet ça peut passer inaperçu, mais là une réponse à un autre twet, c’est le meilleur moyen que l’info ne soit pas vue. Ils ont peur de parler de ce sujet ?





AMHA ils attendent d’avoir fini la migration pour vraiment en parler. Sinon ils vont devoir se taper la gestion des mails des milliers de clients qui lisent à moitié les newsletter et vont se plaindre que ça ne marche pas chez eux alors qu’ils n’ont pas encore été migré.


Le 24/05/2016 à 20h 02







ForceRouge a écrit :



Il suffit de taxer à mort les importations…





Le problème de faire ça est double




  1. on a des accords commerciaux avec les autres pays, donc il faut s’attendre à ce que nos exportations soient aussi fortement taxées et donc moins intéressantes.

  2. les importations sont nécessaire pour les entreprises apportant de la valeur ajoutée à de la matière brute, qui représentent une grande partie de l’activité industrielle française. Donc cela pénaliserait fortement la production française.


Le 20/05/2016 à 23h 39

Je ne suis pas sûr pas qu’il faille y voir une origine aussi importante dans la lutte des classes. Notre système démocratique est tel que pour avoir le pouvoir il faut donner envie aux votants. Et il est plus facile de donner envie en promettant monts et merveilles pour du bonheur maintenant qu’en proposant du sang et des larmes pour le bien être futur.

Ce n’est que lorsqu’un est face à un mur que le coup du sang et des larmes fonctionne, et là c’est beaucoup plus sournois qu’un bête mur.

Le 13/05/2016 à 15h 18







Commentaire_supprime a écrit :



436 chevaux pour un seul véhicule capable d’emporter des passagers à 1200 km/h ?



Hem… Un autobus de 55 places roulant à 100 km/h a déjà besoin de cette puissance pour rouler sur autoroute, je doute fort qu’une capsule d’Hyperloop n’ai pas besoin de plus de puissance, même avec un vide partiel pour réduire les frottements…



À titre d’exemple, pour 30 passagers à 550 km/h, c’est déjà 3600 chevaux qu’il faut sortir.





La turbine n’est pas là pour accélérer le pod (c’est le rôle du rail magnétique) mais uniquement pour faire passer l’air de l’avant de la capsule à l’arrière et en faire passer une partie dessous pour assurer le coussin d’air. C’est pour ça qu’il n’a pas besoin d’être énorme.

Par contre, je ne sais pas si 450ch c’est suffisant pour ça, c’est le chiffre qu’ils annoncent. Cela va fortement dépendre de l’aérodynamisme du véhicule. Soit ton moteur assure une propulsion et il créé la sustentation par effet de sol avec ton aérodynamique, soit il fait de la compression pour le coussin d’air, à la manière d’un aéroglisseur. J’ai l’impression que les premières études ont fait changer d’avis sur la balance entre ces deux fonctions pour des raisons de stabilité.

Quelqu’un connait les puissances des aéroglisseurs ? Ce sera une bronze inférieure de la puissance nécessaire.


Le 13/05/2016 à 15h 07







OlivierJ a écrit :



Il ne manque pas des zéros pour l’Hyperloop, au moins un ?

Les 80 dB pour la formule E c’est comme un aspirateur puissant en gros, ou bien la circulation du périphérique.

Sinon, quand un train passe, on entend surtout le bruit de roulement, pas trop le bruit des MW électriques du moteur :-) .







Je suis d’accord, ce sera beaucoup moins bruyant qu’un train, pas de doute la dessus. De là à dire que ce sera silencieux comme l’annoncent certains, il y a un pas qu’il ne faut pas franchir. Le pifomètre au doigt mouillé me fait penser que ce sera plutôt de l’ordre de la départementale avec un convoi de Tesla passant de façon régulière. C’est extrêmement silencieux mais pas au point que les riverains vont dire oui sans broncher.

Et cela n’enlève pas les autres soucis. Ce projet est risqué mais réaliste dun point de vue ingénierie, mais les implications financières et politiques sont largement sous estimées.


Le 13/05/2016 à 13h 11

D’après Wikipedia les Formule E produisent 80dB avec un moteur de 270ch. C’est tout compris, je n’ai pas vu les données concernant le moteur.

Hyperloop, c’est 436ch d’après les premiers calculs.



Concernant les souffleries, ça dépend desquelles pour le ventilo, il y en a ou il est suffisamment éloigné. Les bruits vient à la fois des pièces fixes et de la maquette (les deux sont mobiles par rapport à l’air).

Le 13/05/2016 à 11h 14

Un avion même moteur éteint fait du bruit, surtout quand tu t’approche du mur du son. Tout le phénomène de compression/décompression qui permet de la sustentation est bruyant, et les mouvements d’air sont bruyants aussi. Il suffit d’aller dans une soufflerie de test pour le voir. C’est certes pas au niveau d’un moteur d’A380 mais c’est largement suffisant pour augmenter le NIMBY.

De plus, le pod aura un moteur pour la propulsion. Il est certes électrique mais avec la puissance demandée, il va faire du bruit. Un moteur de Formule E est bruyant et est petit en comparaison de ce qui sera demandé ici.

Le 12/05/2016 à 21h 14

marsokod a écrit :

Tu n’a





Rah les moignons qui font n’importe quoi sur le clavier. <img data-src=" />

&nbsp;

Petit rappel, l’hyperloop n’est PAS dans le vide et n’est pas sustenté par des aimants. La propulsion utilisée ici c’est exactement celle qui est utilisée sur les portes avions pour faire décoller tout le petit monde, c’est comme un canon magnétique. Ce sera utilisé uniquement pour les basses vitesses (accéleration et démarrage). Le train de l’hyperloop sera porté par compression de l’air au sol, à la manière d’un ekranoplan ou d’un aéroglisseur, mais dans un milieu confiné et à basse pression, ce qui à l’avantage de réduire les frottements.

La conséquence c’est que les tubes devront toujours supporter sans broncher une machine de plusieurs tonnes passant à 1200km/h, et ce n’est pas rien. Et ils devront le faire pendant de nombreuses années, ce qui est loin d’être gagné.

Sans compter qu’ils va falloir les aligner correctement pour éviter les problèmes de jerk (la dérivé de l’accéleration, ce qui donne le mal des transports). C’est un gros problème sur les TGV, c’en sera un ici aussi.

Et cela va quand même faire du bruit pour les riverains, un avion même moteur éteint et à l’altitude de croisière, c’est bruyant.



De plus, au delà des problèmes techniques, qui sont surmontables, il y a le problème économique du projet. En rajoutant aux estimations du projet Alpha (qui sont je n’en doute pas très optimistes) les coûts qu’ils n’ont pas pris en compte (gestion financière, on ne trouve plus autant de milliards à taux zéro, frais d’exploitation et de maintenance, TVA et taxes), on retombe sur des tarifs équivalents à ceux de l’avion. Et encore, c’est en supposant qu’ils arrivent à capter un trafic équivalent au trafic aérien sur la ligne LA/San Francisco. Les compagnies aériennes peuvent réduire la voilure pour réduire leurs coûts en cas de baisse de traffic, par contre la grand majorité des frais de l’hyperloop sera dans des frais fixes. En rajoutant que le gain en temps n’est pas si énorme pour du trajet porte à porte, il risquent d’avoir du mal à appater les clients et risquent de se retrouver en faillite très vite (ce qui augmente encore plus leurs coût d’accès au capital).



Bonne chance à eux, j’adorerais qu’ils réussissent, mais si j’avais des sous je les mettrais plutôt dans SpaceX que dans Hyperloop.

Le 12/05/2016 à 20h 49







KissFC a écrit :



1 : Vue de l’esprit, la contrainte tu tube par rapport au train sera de l’ordre de la force d’accélération. Soit a cause d’un virage, soit a cause de la gravité. Mais pas a cause de sa vitesse relative dans le tube : vide d’air.

2 : yep, mais le train sera en sustentation, et dans un vide d’air. pas posé dans les rails sur le tube.

3 : Bof, la pression dans le train sera égale a la pression a l’air libre, mais pas dans le tube, moins de contraintes d’usure sur le tube qui sont dues a des frottements.

4 : pas plus contraignante que quand un TGV roule sur une partie non adaptée, a prendre en compte que le train sera très certainement bi-mode : tube et hors tube, mais beaucoup de trolls l’oublient.

5 : du feu … dans un vide d’air … mais ouai, bien-sur, vue la vitesse du bousin, dans un vide d’air, je doute que l’option “feu” soit envisageable, au pire, un trou dans la coque du train a cause d’un feu dans le train ? Pas de soucis, le vide l’éteindra, tu colmate, tu regonfle vite fait avant que les passagers crachent leurs poumons.





Tu n’a


Le 03/05/2016 à 17h 36

Cela fait plus de 4 ans déjà qu’ils travaillent dessus. Donc 7 ans pour un projet de cette envergure, c’est fort mais pas totalement déconnant : ils ont de bons ingénieurs et n’ont pas a gérer tout l’héritage et les manœuvres politiques qui vont avec.

Le 01/04/2016 à 18h 42

En l’occurrence j’ai plus compris la news comme “un réseau de neurones a trouvé un théorème mathématique permettant de trouver le couple p et q”. On part par contre dans une toute autre complexité des réseaux de neurones, qui auraient alors atteint un niveau d’intelligence bien supérieur à ce qu’on sait leur donner à l’heure actuelle. Cette IA nous donnerait le résultat à la manière d’un être humain, faisant parfois des erreurs de calculs mais étant globalement correcte.

Ça donne même à réfléchir car si la news était vraie, cela veut dire qu’on aurait une IA ayant trouvé un théorème que l’on ne connaît pas et elle n’est pas capable de nous le donner facilement, faisant ça de façon instinctive.

Le 23/03/2016 à 13h 06







Paladin_Fr a écrit :



Y’a des villes qui le font et tout le monde y gagne.

http://www.vitrecommunaute.org/transports.html



&nbsp;Plus utiliser les transports en commun c’est utiliser moins sa voiture et donc polluer moins.

&nbsp;



&nbsp;





A la limite je verrais plutôt une carte de transport gratuite pour les habitants (ou ceux qui se font passer pour) et payante pour les touristes.

Ceci dit, les tarifs en France sont extrêmement bas en comparaison de ce que j’ai au Royaume-Uni. Le billet de train mensuel me coûte aussi cher que la voiture tout seul, essence, frais de fonctionnement et amortissement de l’investissement inclus ! Sur Londres c’est plutôt entre 200 et 300 euros par mois.


Le 22/03/2016 à 17h 18







picatrix a écrit :



et si j’en ai un moi-même&nbsp; :&nbsp; dois-je me livrer à la police ?





Non tu files chercher une planque dans un autre pays et tu commandes des pizzas.


Le 22/03/2016 à 12h 25







Charly32 a écrit :



Je prépare le Pop Corn pour l’annonce par le FBI que finalement, l’iPhone ne contenait que des photos de chats.

:popcorn:



D’autant plus que les terroristes sont plus adepte des “téléphones jetables” que du chiffrement (c’était le cas pour les attentats du 13 Novembre).







A ce sujet d’ailleurs, j’avais lu sur reflets.info que cet iPhone n’était que le téléphone pro d’un des deux terroristes… qui avaient pris le temps de détruire leurs téléphones perso avant les attentats. Si cette information est exacte (et j’ai tendance à faire confiance à reflets pour de l’info brute), on risque surtout de retrouver des textos de Jean-Mimi qui crache sur son supérieur et l’autre collègue qui envoie des photos de ses parties à toute la boite.


Le 25/02/2016 à 00h 28







Out of Atomic a écrit :



Sinon y a Signal (Edward Snowden Approuval ;) )

Je ne comprends l’engouement de Telegram par rapport à Signal… Ah si Telegram est plus sexy…

Comme dit plus haut : on s’en fou personne ne l’utilise, Vive Whatsapp&nbsp;<img data-src=" />





Ce qui manque à Signal c’est la synchronisation entre appareils et une lenteur voulue dans le développement. C’est un plaisir de pouvoir lire ses messages sur son téléphone, sa tablette et son ordinateur.

Signal a par contre l’avantage d’un chiffrement plus éprouvé


Le 24/02/2016 à 12h 47

La raison pour laquelle WA n’est utilisable que depuis un seul appareil est qu’ils ne stockent pas l’historique des messages sur leurs serveurs.



Donc si synchronisation il y a, elle devra se faire en P2P avec les autres appareils connectés, comme le faisait Skype à ses débuts. Et le résultat est assez moyen expérience utilisateur car il y aura sans arrêt une asynchronie des appareils. Soit WA ne se connecte qu’aux appareils avec le même compte, ce qui réduit les temps de synchro possible, soit WA utilise les comptes des amis pour récupérer les conversations mais il faut pouvoir faire confiance en ces appareils. Il suffit qu’un de ses amis ait un compte piraté/piratable, et c’est la porte ouverte aux malwares.



Et c’est sans compter sur le fait que sur mobile, la data est comptée. L’historique peut prendre de la place chez certaines personnes et il faudra ensuite expliquer aux gens qu’ils ont explosé leur forfait parce qu’ils se sont connecté sur des ordinateurs en vacances…

Bref, beaucoup de problèmes d’expérience utilisateurs. L’idéal serait d’avoir un cache sauvegardé sur des serveurs de WA, mais là ça implique de gérer le stockage et le chiffrage.



Cela dit, si on fait le rapprochement avec Telegram, qui a choisit de stocker les données, le coût n’est pas énorme non plus : Telegram a un coût d’opération de 10 centimes par an par utilisateur.

Le 21/01/2016 à 19h 10

D’abord les enfants doivent payer des impôts à l’Etat lors de l’héritage, et cela relève de la même logique que la limite aux droits patrimoniaux : réduire les phénomènes de rentes et permettre une plus grande mobilité sociale. Mais là n’est pas le sujet.



L’objectif principal du droit d’auteur est de fournir un cadre juridique

aux artistes leur garantissant qu’ils aient la possibilité d’effectuer

un retour sur investissement de leur travail. Considérant que le

résultat de ce travail est très facilement copiable (coûts marginaux négligeables par rapport aux coûts fixes), il faut

s’assurer que des gens ne puissent se spécialiser dans la copie pure

et simple, ce qui découragera les gens d’effectuer le travail au

préalable. Définir une limite au droit patrimonial (mais pas au droit moral) ne vient que dans un second temps dans une pure gestion sociétale.

&nbsp;

La transposition dont tu parles n’est pas correcte :

L’ensemble d’actifs physiques de l’entreprise avec ses shareholders est la transposition des auteurs avec leur matériel (instrument de musique/d’écriture/chapiteau de cirque… tous étant pris en compte dans les calcul des impôts). Et le système de brevet, qui expire lui aussi, est la transposition du droit d’auteur.

&nbsp;

Et dans tous les cas rien ne retourne à l’Etat. La jouissance du droit patrimonial disparaît mais le droit moral reste, y compris après la mort de l’auteur en France.

Le 20/01/2016 à 18h 37







numerid a écrit :



Donc je passe un an de ma vie à écrire un livre, une BD, que sais-je, il serait donc ridicule que je perçoive une rémunération pour ce travail comme n’importe quel autre travailleur ?



&nbsp;Ben voyons.



Que le dispositif de la propriété intellectuelle soit à revoir, c’est un fait évident. Que cela amène des parasites de ton genre à nier le travail de ceux qui font œuvre de création, c’est insupportable. Et ce d’autant plus que bien peu d’auteurs sont payés à la hauteur de leur travail (voire de leur talent). C’est valable pour tous les auteurs, artistes et créateurs.

&nbsp;

Un musicien, un écrivain, un acteur, un peintre, un dessinateur de bande dessiné a des loyers et des charges à payer comme n’importe quel quidam. Je sais c’est difficile à comprendre, mais c’est un fait.





Tu répondes à DahoodG4 là ? J’ai plutôt compris qu’il voulait limiter la perception des droits

d’auteurs à 30 ans après la création de l’œuvre. L’artiste reçoit toujours une rémunération sur son travail mais cela éviterait la création d’un phénomène de rente qui est à ma connaissance l’un des plus avantageux (même les brevets pharmaceutiques sont moins généreux). Cela ralentit au final la création en rendant plus compliqué l’entrée de nouveaux dans le marché.

On peut discuter de la durée de 30 ans mais cela me parait bien en comparaison des 70 ans après la mort de l’artiste actuels. 30ans cela couvre une bonne partie de la carrière, couvre les enfants en cas de décès prématuré (privilège que n’ont pas la grande majorité des travailleurs).

Et si on veut développer la culture, pas besoin d’inventer des systèmes de gestion des droits d’auteurs à longue durée, cela ne fait que rémunérer des acteurs financiers et légaux du domaine. Il suffit d’investir de l’argent chez les artistes, leur proposer des salles de concert moins chère, leur commander des œuvres, etc…


Le 20/01/2016 à 01h 51

J’avais pensé mettre l’argument du coût en avant mais en fouillant j’ai trouve que le coût du Mi26 était somme toute raisonnable : $11000 / heure. Après il faut équilibrer entre un système de contrôle sur l’étage pour savoir où il est et avoir plusieurs helicos.

Le 18/01/2016 à 22h 52

L’avantage des Soyouz c’est qu’ils sont plus légers (3 tonnes). Ils vont aussi jusqu’au bout et ont des rétrofusées pour amortir l’impact. Et finalement ils ne sont pas réutilisés (même si je me demande si ce n’est pas techniquement faisable en changeant la protection thermique).

Pour tes nouvelles, à la rigueur augmente la pression atmosphérique et/ou diminue la gravité, ça deviendra plus jouable. Nos conditions terrestres sont à la limite de la faisabilité des fusées réutilisables.

Le 18/01/2016 à 22h 00







Commentaire_supprime a écrit :



Quoi qu’on fasse, c’est un problème complexe, et il n’y a pas, pour le moment, de solution simple et évidente.



-solution Space X :



Avantages : récupération simplifiée, l’engin se charge lui-même de faire le boulot et de se poser sur une barge.



Inconvénients : pénalité de masse au décollage : il faut du carburant pour freiner le premier étage, et c’est autant de moins à mettre sur orbite + engin lui-même complexe, techniquement parlant (moteur pouvant se rallumer en vol, système de guidage, système d’atterrissage) et plus c’est complexe, plus ça peut foirer. Sans parler de la grande inconnue, le coût du refurb lui-même. S’il faut l’équivalent d’une révision D de l’aviation civile avant de refaire voler le machin, ça va coûter bonbon.



-la solution que j’avance :



Avantages : KISS pour la conception, moins c’est compliqué, moins ça merde (en théorie), avec l’emploi de technologies éprouvées. En théorie aussi, pénalité de masse moindre pour la charge utile que la solution de Space X



Inconvénients : la complexité est reportée sur la récupération : freinage par parachute, puis charge utile à suivre par radar et récupérer par aérocapture. De plus, on ne récupère que des pièces détachées, et le coût de l’intégration à un “bidon idiot” (réservoirs et plomberie sans moteurs ni électronique) pour refaire voler l’engin n’est pas obligatoirement plus économique que de récupérer le premier étage d’un bloc. Ainsi que la pénalité de masse, qui peut approcher celle de la solution de Space X sans en avoir les avantages.



Après, seule la pratique nous dira ce qui fonctionne vraiment, tant d’un point de vue technique qu’économique. Deux approches différentes, Space X a estimé que la sienne était préférable. On verra à l’usage, je n’ai pas de préjugés. J’ai développé mon scénario pour des nouvelles de fiction, cela dit en passant… <img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" /><img data-src=" />





Dans ta solution tu oublies un certain nombre de points :





  • Tu ne veux pas (et peux pas d’ailleurs pour des questions de poids) récupérer les réservoir donc il te faut prévoir un système de séparation fiable entre la partie moteur et la partie réservoir. =&gt; poids et complexité en plus. Connecter des tuyaux, surtout avec un si gros débit, c’est dur. Autant avoir un seul tuyan que deux tuyaux et un joint séparable à distance.

  • Les 9 moteurs Merlin et leur nacelle, c’est 7,7 tonnes auxquelles il faut ajouter le poids du système de séparation et du déploiement des parachutes. L’hélicoptère le plus puissant du monde (Russe) c’est 20 tonnes de charge utile, j’ai un gros doute sur la faisabilité sécurisée d’une aérocapture avec une si petite marge.

  • Les réservoirs sont très peu isolés, donc il faut rajouter une couche d’isolant =&gt; poids en plus.

  • Il faut un ciel dégagé et être en plein jour pour faire une aérocapture, ce n’est pas nécessaire pour un lancement.

  • les réservoirs sont très loin d’être des bidons idiots, donc les perdre a un coût

  • SpaceX a étudié l’utilisation de parachutes, et ils ont abandonné l’idée (lien, chercher Falcon 9 Flight 2 - Primary Structures). Quelque chose me dit qu’ils ont fait un trade-off et trouvé meilleure option.

  • Ne pas oublier le moto de SpaceX: simplicité, simplicité, rusticité (ok, je viens de l’inventer <img data-src=" />). Moins ils ont d’opérations manuelles à faire, plus c’est scalable.




Le 18/01/2016 à 22h 07

Maintenant oui

Le 18/01/2016 à 22h 06







Bylon a écrit :



Il n’y a que moi qui trouve mesquin de faire payer 0,99 par an ?



Sinon est-ce que quelqu’un connaîtrait une appli de messagerie/audio/vidéo qui ne demande pas le numéro de téléphone ?

J’ai eu beau cherché, pas encore trouvé… toutes ces bricoles ont tendance à vous piquer votre numéro de tél et vos contacts pour arriver à faire des jolies bases croisées de qui connaît qui !..





Ben franchement, une boite qui base son business plan là dessus, je vote pour. Faire tourner 34 serveurs ça a un coût, il faut bien que quelqu’un paie pour ça donc je trouve pas ça déconnant, c’est un moyen de faire comprendre aux gens qu’ils sont clients, et non des produits. C’est ce qui m’ennuie avec les solutions comme Signal (ma préféré) et Telegram : c’est gratuit donc je sais pas trop comment ils comptent survivre.

Après WA a été racheté par Facebook et ils ont mal tournés.


Le 18/01/2016 à 21h 03







renaud07 a écrit :



Pour les conversations groupées on peut aussi passer par XMPP/jabber. C’est aussi universel que WA (nombreux cilents dispo sur win, linux, mac, android, iOS) envoie de photos/vidéos/audio supportés, possibilité d’appel audio/vidéo (plus délicat sur smartphone, j’ai pas trouvé de client qui fonctionne correctement, pour le texte par contre aucun soucis).



Le plus par rapport à WA et cie : on peut avoir son propre serveur pour être un peu moins espionné, c’est vrai que sur ce point les SMS c’est pas top <img data-src=" />





WA n’offre rien de nouveau, c’est surtout l’aspect simplifié : des fonctionnalités plus évoluées que le SMS/MMS, pas besoin de créer de compte avec mot de passe, tout passe en 3G/Wifi ce qui était beaucoup moins cher à l’époque où aux Etats-Unis tu payais pour recevoir un SMS.

Aujourd’hui c’est comme pour Facebook, beaucoup de personnes l’utilisent parce que les amis sont dessus. J’ai une centaine des mes contacts qui ont WA, 13 qui ont Telegram, 4 sur Threema…