#Le brief du 23 novembre 2021

L’impossible hausse de la taxe sur les services numériques des grandes plateformes

L’impossible hausse de la taxe sur les services numériques des grandes plateformes

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Les sénateurs du groupe Socialiste, Écologiste et Républicain ont proposé, dans le cadre du projet de loi de finances pour 2022, de faire passer le taux de la taxe sur les services numériques de 3 à 5 %. 

« L'attitude non coopérative des États-Unis et la concurrence déloyale exercée par ces acteurs économiques nouveaux sur le commerce français, a fortiori dans ces temps particuliers de confinement et de ralentissement du commerce physique, rend légitime cette taxation, ne serait-ce qu'à titre transitoire » ont soutenu en séance les partisans de cette augmentation :

« Au surplus, eu égard aux bénéfices en forte hausse qu'ont connus ces acteurs, porter à 5 % le taux de la taxe sur certains services fournis par les grandes entreprises du secteur numérique n'apparaît pas exagéré ».

Des sénateurs RDSE plaidaient pour leur part en faveur d’une hausse un peu plus modérée de cette TSN sur les grandes entreprises du secteur numérique, avec un taux effectif de 4 %. 

Jean-François Husson, rapporteur général de la commission des finances, a rappelé que dans un accord trouvé à l’OCDE le mois dernier, « la France s'est engagée à retirer la taxe sur certains services fournis par les grandes entreprises du secteur numérique ». 

Surtout, « entre-temps, les entreprises assujetties à cette taxe pourront demander la restitution de l'éventuel écart entre le montant de la taxe acquitté et le montant qui aurait résulté de l'application des nouvelles règles ». 

Conclusion : « en adoptant ces amendements, nous nous exposerions à rembourser davantage d'entreprises du numérique. Je ne crois pas que ce soit votre objectif... »

Le Sénat a finalement rejeté ces amendements. 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

L’impossible hausse de la taxe sur les services numériques des grandes plateformes

Cinq produits stockage Samsung certifié « Reducing CO2 » par Carbon Trust

Cinq produits stockage Samsung certifié « Reducing CO2 » par Carbon Trust

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Le fabricant explique que ses puces HBM2E (8 Go), GDDR6 (8 Gb), UFS 3.1 (512 Go), son SSD portable T7 (1 To) et sa carte microSD EVO Select (128 Go) ont obtenu les labels « Reducing CO2 » de Carbon Trust, après avoir reçu la certification « CO2 Measured » l’année dernière.

Carbon Trust dispose de sept certifications différentes. On y trouve notamment « CO2 Measured » qui indique « que l'empreinte carbone de ce produit a été mesurée et certifiée », ainsi que « Reducing CO2 » qui « montre que l'empreinte carbone du produit diminue année après année et que l'entreprise s'est engagée à continuer à réduire l'empreinte ». Il y a également « Carbon Neutral », « 100% Renewable Electricity », « Lower CO2 » et des labels pour les emballages. 

Selon Samsung, « le volume des émissions de carbone des cinq produits, après leur sortie et jusqu'en juillet 2021, a diminué d’environ 680 000 tonnes de CO₂ ce qui équivaut à 11,3 millions d'arbres urbains cultivés pendant dix ans ou le gaz à effet de serre émis de 149 000 voitures conduites pendant un an ». 

20 produits supplémentaires ont été certifiés « CO2 Measured » et sont donc en piste pour obtenir le label « Reducing CO2 » explique le fabricant. 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Cinq produits stockage Samsung certifié « Reducing CO2 » par Carbon Trust

Netflix se paie Scanline VFX, un studio d’effets parmi « les plus créatifs et les plus innovants au monde »

Netflix se paie Scanline VFX, un studio d’effets parmi « les plus créatifs et les plus innovants au monde »

Le 23 novembre 2021 à 09h41

La plateforme de streaming explique que Scanline VFX « a été fondée en 1989 et est aujourd'hui dirigée par Stephan Trojansky, un superviseur VFX novateur dont le système de rendu Flowline a remporté un Oscar scientifique et technique en 2008 ».

Ce studio travaille déjà avec Netflix sur des projets comme Cowboy Bebop, Ciel Rouge Sang et Stranger Things, mais aussi sur des titres à venir : Don’t Look Up: Déni cosmique, The Gray Man, Slumberland, The Adam Project et Stranger Things 4

À l’avenir, « Scanline continuera d'opérer de manière indépendante et de travailler avec ses multiples clients ». Bien évidemment, cette acquisition est soumise à l’approbation des autorités compétentes. La finalisation de cette transaction (dont le montant n’est pas précisé) est attendue pour le premier trimestre 2022. 

Il y a deux semaines, Weta Digital – un autre studio d’effets spéciaux, créé par Peter Jackson – a été récupéré par Unity pour 1,625 milliards de dollars. Là encore, le studio doit continuer à fonctionner de manière indépendante. 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Netflix se paie Scanline VFX, un studio d’effets parmi « les plus créatifs et les plus innovants au monde »

WSLg : Microsoft ajoute le support de l’accélération vidéo Direct3D12 à Mesa

WSLg : Microsoft ajoute le support de l'accélération vidéo Direct3D12 à Mesa

Le 23 novembre 2021 à 09h41

L'éditeur travaille à l'utilisation d'applications disponibles sous Linux avec une interface graphique directement sous Windows. Il propose pour cela une implémentation spécifique de son API, via libd3d12.so « compilée depuis le même code source que d3d12.dll ».

Intégrée à Mesa 21.0, elle évolue pour s'adapter aux différents besoins de WSLg. Dernier en date, comme repéré par Phoronix, l'ajout de l'accélération vidéo pour qu'elle soit directement exploitable par une application Linux, depuis Windows.

L'idée est en effet que les couches d'accès à l'accélération matérielle telles que VA API ou VDPAU puissent être utilisées à travers le pilote Direct3D12. Pour le moment, le travail vient seulement de commencer indique l'équipe dans un échange sur les mailings-lists de MESA.

Aucune date n'a été donnée quant à la finalisation de ce projet.

Le 23 novembre 2021 à 09h41

WSLg : Microsoft ajoute le support de l’accélération vidéo Direct3D12 à Mesa

Windows 11 met à jour ses emojis

Windows 11 met à jour ses emojis

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Microsoft vient d'annoncer qu'ils utilisaient désormais le style Fluent et étaient disponibles de manière globale pour son nouveau système.

Pour en profiter, il suffit de passer par Windows Update. Une mise à jour de novembre facultative vous sera proposée (KB5007262), elle intègre cette nouveauté. Elle avait pour rappel été annoncée il y a quelques jours.

Une fois mise en place, tapez sur les touches « Windows + ; » pour accéder à l'emoji picker qui vous proposera ces petites bouilles « renouvelées ». 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Windows 11 met à jour ses emojis

Synology tiendra son événement annuel le 2 décembre prochain

Synology tiendra son événement annuel le 2 décembre prochain

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Comme nous l'avions évoqué dans notre newsletter Chip News, il avait été calé pour le début du mois prochain ; la date vient d'être fixée. On retrouve la dénomination initiée l'année dernière : « 2022 and beyond ». Le constructeur promet de parler de ses prochaines grandes évolutions pour sa gestion du stockage, du réseau et de la surveillance.

Ainsi, il sera question de mises à jour de DSM, SRM et Surveillance Station. On s'attend également à des nouvelles du routeur Wi-Fi 6 évoqué depuis quelques mois. Et pourquoi pas enfin des NAS gérant de nombreux SSD PCIe (NVMe) autrement que comme cache ?

Synology précise que ses thèmes principaux seront les performances, la fiabilité et la sécurité. On devrait ainsi entendre parler des services dans le cloud C2 pour la protection et le partage des données, et peut-être enfin de réseau à 2,5 Gb/s ?

Nous couvrirons bien entendu l'événement en détail. Pour rappel, le constructeur dévoilait il y a quelques jours de premiers NAS issus de sa série 2022.

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Synology tiendra son événement annuel le 2 décembre prochain

Cozy Cloud disparaît et revient sur le Play Store : « Bienvenue dans le « merveilleux monde des GAFA » »

Cozy Cloud disparaît et revient sur le Play Store : « Bienvenue dans le

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Lundi matin, le compte Twitter de l’application expliquait : « Nos applications ont été brutalement supprimées par Google de son store dans la nuit de vendredi à samedi sous un prétexte "fallacieux". Le support de Google ne répond pas ».

Dans un autre fil de discussion, le service en remet une couche, affirmant que l’argument utilisé est « faux (on ne vous aurait pas donné accès à un compte de test, ce qui est faux) ? ». « Ce blocage unilatéral n'est pas non plus expliqué par un risque ou entorse majeure […] Censure autoritaire ou incompétence organisée ? », se demande Cozy Cloud.

Toujours est-il que ce matin les applications sont de nouveau disponibles.

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Cozy Cloud disparaît et revient sur le Play Store : « Bienvenue dans le « merveilleux monde des GAFA » »

Qualcomm fait de Snapdragon une « marque de produit autonome »

Qualcomm fait de Snapdragon une « marque de produit autonome »

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Snapdragon est le nom utilisé par le fabricant pour nommer ses SoC et autres puces. Il revendique « plus de 2 milliards d’utilisateurs d’appareils Snapdragon à travers le monde ».

Dans un billet de blog, la société annonce un changement : « Nous avons séparé les marques Qualcomm et Snapdragon ». Des modifications ont aussi été apportées sur les éléments graphiques. La couleur or est par exemple utilisée pour le haut de gamme.

« Une nouvelle structure de dénomination simplifiée et cohérente pour nos plateformes permet à nos clients de découvrir et de choisir plus facilement des produits avec Snapdragon. Cela signifie que nos plateformes mobiles passeront à une série et une génération à un chiffre, en s’alignant sur d’autres catégories de produits – à commencer par notre nouvelle plateforme haut de gamme Snapdragon série 8 ». 

Le constructeur explique aussi que, « à l’avenir, avec les plateformes connectées Snapdragon, la 5G sera une évidence » et ne devrait donc plus être précisé à chaque fois. La partie automobile passe à 100 % sous la marque Snapdragon, avec Snapdragon Ride Platform et Snapdragon Digital Chassis.

Qualcomm donne rendez-vous les 30 novembre et 1er décembre pour son Tech Summit où il sera évidemment question de la « nouvelle » marque Snapdragon. 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Qualcomm fait de Snapdragon une « marque de produit autonome »

Suppression de postes chez SFR : le plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) est homologué

Suppression de postes chez SFR : le plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) est homologué

Le 23 novembre 2021 à 09h41

La Direction régionale et interdépartementale de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (Drieets) d’Île-de-France « a décidé d’homologuer le plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) engagé en mars dernier par le propriétaire Altice », explique Le Monde Informatique. La Drieets juge que la procédure est « régulière » et que « l'employeur satisfait à ses obligations ». 

Une demande d’homologation avait été déposée le 14 septembre dernier auprès de la Drieets, mais finalement retirée le 1er octobre quelques heures avant la réponse de la Direction. Quelques jours auparavant, la direction de l’opérateur s’était pris un camouflet judiciaire. Le Tribunal judiciaire de Paris condamnait « la déloyauté de la direction » et mettait en avant « l’absence de justification économique du plan de départs volontaires qui menace près de 2 000 emplois ».

Quoi qu’il en soit, un délai de « deux semaines supplémentaires de négociation avec les représentants du personnel » était ainsi annoncé, rappelle la CFDT. Les syndicats étaient à « la fois satisfaits de ce recul de la direction mais pas complètement rassurés quant à l’issue du match. Car depuis l’annonce du plan social, le 3 mars 2021, la bataille est âpre, y compris sur le terrain judiciaire, pour faire reculer la direction et faire annuler le PSE ». 

Toujours selon nos confrères, « les syndicats réfléchissent aux différents moyens d'action qui sont à leur portée », tandis que la direction du groupe n’a pas souhaité s’exprimer sur le sujet. 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Suppression de postes chez SFR : le plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) est homologué

Microsoft annonce Teams Phone with Calling Plan

Microsoft annonce Teams Phone with Calling Plan

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Ce nouveau service « tout en un » remplacera Business Voice (qui tirera sa révérence le 30 juin 2022) et vise principalement les PME. Il regroupe à la fois l’application (Teams) et un forfait pour passer des appels. 

Teams Phone with Calling Plan ne sera pour le moment proposé qu’aux abonnés Microsoft 365 et Office 365. L’abonnement sera disponible début janvier aux États-Unis, au Royaume-Uni et au Canada pour commencer, avant de s’étendre au reste du monde. 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Microsoft annonce Teams Phone with Calling Plan

Comment Facebook et Google financent la désinformation

Comment Facebook et Google financent la désinformation

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Une enquête de la MIT Technology Review, basée sur des entretiens avec des experts, des analyses de données et des documents qui n'étaient pas inclus dans les « Facebook papers », révèle que Facebook et Google paient des millions de dollars publicitaires pour financer les acteurs du clickbait (pièges à clics, en VF), alimentant la détérioration des écosystèmes d'information.

Facebook a en effet lancé son programme d'articles instantanés en 2015 avec une poignée d'éditeurs américains et européens. La société présentait alors le programme comme un moyen d'améliorer les temps de chargement des articles et de créer une expérience utilisateur plus fluide.

Mais elle permettait également de capter les publicités de Google. Avant les « Instant Articles », les lecteurs étaient redirigés vers un navigateur. Le fournisseur d'annonces, généralement Google, encaissait alors les vues ou les clics d'annonces. Avec le nouveau schéma, explique la MIT Review, les articles s'ouvrent directement dans l'application Facebook, et s'exposent donc à son propre réseau publicitaire, Audience Network. 

Les articles instantanés sont rapidement tombés en disgrâce auprès des éditeurs grand public : pour eux, les paiements n'étaient pas assez élevés par rapport aux autres formes de monétisation disponibles. Mais ce n'était pas vrai pour les éditeurs des pays du Sud, que Facebook a commencé à accepter dans le programme en 2016.

En 2018, la société avait déclaré avoir versé 1,5 milliard de dollars aux éditeurs et aux développeurs d'applications. En 2019, ce chiffre avait atteint plusieurs milliards... Or, publier le même article sur plusieurs pages pourrait jusqu'à doubler le nombre de lecteurs. Les fermes de pièges à clics du monde entier ont saisi cette faille comme stratégie, qu'elles utilisent encore aujourd'hui.

Un document interne de l'entreprise, rapporté pour la première fois par MIT Technology Review en octobre, montre que Facebook était au courant du problème dès 2019. L'auteur, l'ancien data scientist de Facebook Jeff Allen, avait découvert que ces tactiques avaient permis à des fermes de pièges à clics en Macédoine et au Kosovo d’atteindre près d'un demi-million d'Américains par an avant les élections de 2020. 

Jusqu'à 60% des domaines inscrits dans les articles instantanés utilisaient les tactiques d'écriture de spam employées par les fermes de pièges à clics, selon le rapport. Allen relève cela dit que Facebook a depuis fait des efforts majeurs pour corriger le problème.

Google est également coupable, souligne par ailleurs la MIT Review. Son programme AdSense a en effet alimenté les fermes basées en Macédoine et au Kosovo qui ciblaient le public américain à l'approche de l'élection présidentielle de 2016. Et c'est aussi AdSense qui incite les nouveaux acteurs de pièges à clics sur YouTube à publier du contenu clivant et de la désinformation virale.

Reste qu'aujourd'hui, de nombreuses fermes d'appâts à clic reposent encore à la fois sur la monétisation des articles instantanés et d’AdSense, recevant des paiements des deux sociétés, déplore la MIT Review. 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Comment Facebook et Google financent la désinformation

Meta (Facebook) : le chiffrement end-to-end finalement repoussé à 2023

Meta (Facebook) : le chiffrement end-to-end finalement repoussé à 2023

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Si WhatsApp propose du chiffrement E2E depuis plusieurs années, ce n’est pas le cas par défaut des autres services du géant du Net (à commencer par Messenger). Suite au scandale Cambridge Analytica, Mark Zuckerberg avait annoncé que l’ensemble des services passerait au chiffrement de bout en bout. 

Alors que la bascule était attendue pour 2022, elle n’arrivera finalement pas avant 2023 (sans plus de détail) afin de « bien faire les choses » indique Antigone Davis, la responsable de la sécurité de Meta, au Telegraph.

TechChrunch ajoute que ce « retard est le résultat du fait que le géant des médias sociaux veut prendre son temps pour s’assurer qu’il peut mettre en œuvre la technologie en toute sécurité – dans le sens d’être en mesure de conserver la capacité de transmettre des informations aux forces de l’ordre pour aider dans les enquêtes sur la sécurité des enfants ».

Facebook est pris entre deux feux. D’un côté les utilisateurs qui ont de moins en moins confiance face aux nombreux scandales et révélations, de l’autre les États. Au Royaume-Uni par exemple, la ministre de l’Intérieur Priti Patel avait prévenu que le passage au chiffrement E2E de Meta ne devait « pas entraver la protection de l’enfance ». 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Meta (Facebook) : le chiffrement end-to-end finalement repoussé à 2023

Accord de 5 ans entre la Scam et le Groupe TF1

Accord de 5 ans entre la Scam et le Groupe TF1

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Un nouvel accord est signé entre la Scam (Société civile des auteurs multimédia) et le Groupe TF1. « Cet accord pérennise l’exploitation des œuvres du répertoire de la Scam sur les services linéaires et non linéaires du Groupe TF1, pour une durée initiale de 5 ans à compter du 1er janvier 2021 ». 

Il prévoit les conditions d’utilisation du répertoire de l’organisme de gestion collective des documentaristes, journalistes, vidéastes, traducteurs ou encore des photographes, sur toutes les chaînes du groupe. 

« La Scam et le Groupe TF1 s’associent dans une logique partenariale qui vise à mieux intégrer dans leurs modèles respectifs l’évolution des usages et les nouveaux modes de monétisation (digital, TV segmentée…) » 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Accord de 5 ans entre la Scam et le Groupe TF1

Les attaques par force brute ciblent les mots de passe courts, sans chiffres ni espace

Les attaques par force brute ciblent les mots de passe courts, sans chiffres ni espace

Le 23 novembre 2021 à 09h41

L'analyse de plus de 25 millions d'attaques par force brute sur les serveurs « pots de miel » de Microsoft révèlent que « 77 % des tentatives ont utilisé un mot de passe entre 1 et 7 caractères. Un mot de passe de plus de 10 caractères n'a été vu que dans 6% des cas », souligne The Record.

Ross Bevington, chercheur en sécurité chez Microsoft, précise que seulement 39 % des tentatives incluaient au moins un numéro, 7 % un caractère spécial, et aucune des espaces blancs.

Les résultats du chercheur suggèrent que les phrases de passe d'une dizaine de caractères incluant des caractères spéciaux sont très probablement à l'abri de la grande majorité des attaques par force brute, tant qu'ils n'ont pas été divulgués en ligne et qu'ils ne font donc pas partie des dictionnaires des attaquants.

La base des données de plus de 14 milliards d'attaques par force brute tentées contre le réseau de serveurs de pots de miel de Microsoft indiquent par ailleurs une augmentation de 110 % des attaques visant les systèmes Docker et Kubernetes par rapport à l'an passé, de 178 % pour les services d'impression réseau, et de 325 % pour ce qui est des serveurs RDP.

« Les statistiques sur SSH et VNC sont tout aussi mauvaises - elles n'ont tout simplement pas beaucoup changé depuis l'année dernière », précise Bevington.

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Les attaques par force brute ciblent les mots de passe courts, sans chiffres ni espace

Twitter annonce son « Live Shopping »

Twitter annonce son « Live Shopping »

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Comme son nom l’indique, cette fonctionnalité permet de réaliser des achats tout en regardant un direct sur le réseau social. Il est notamment question d’un navigateur intégré pour continuer à regarder la vidéo (via de l’incrustation) en vous rendant sur une boutique en ligne.

Le premier test Live Shopping sera lancé le 28 novembre avec Walmart, sur iOS et l’application pour les ordinateurs. Rien n’est précisé concernant Android. 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Twitter annonce son « Live Shopping »

Et voici le label « Numérique en commun[s] »

Et voici le label « Numérique en commun[s] »

Le 23 novembre 2021 à 09h41

C’est via un arrêté du 9 novembre 2021 (paru au JO le 19) qu’il a été créé. Son but est « d'identifier, de reconnaître et de promouvoir les dispositifs œuvrant au développement de la diffusion de la culture et des outils numériques, et de leur appropriation par toute la population ».

Il est délivré par l'Agence nationale de la cohésion des territoires (ANCT) et « informe sur les propriétés et qualités objectives d'un dispositif numérique concourant à des objectifs d'inclusion numérique ».

Les dispositifs numériques, physiques, méthodologiques et pédagogiques sont éligibles. Ils doivent respecter plusieurs critères : 

  • Accessibilité : avoir mis en œuvre des mesures particulières pour assurer une réelle accessibilité du dispositif au bénéfice des personnes handicapées.
  • Appropriabilité : disposer d'une documentation publique complète permettant son appropriation par les utilisateurs.
  • Sécurité : avoir mis en œuvre des mesures particulières pour assurer une réelle prise en compte des enjeux de sécurité dans la conception et le déploiement du dispositif.
  • Ouverture : avoir mis à disposition les éléments numériques du dispositif (logiciels, bases de données, plans, matériaux de conception, etc.) par principe dans un format ouvert et sous une licence Open Data.

L’éco-conception « visant à réduire l'empreinte écologique du numérique » est pour sa part dans la liste des critères… facultatifs, tout comme le co-design mettant en œuvre des « mesures particulières pour associer les usagers à la conception du dispositif ».

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Et voici le label « Numérique en commun[s] »

Clap de départ pour le CNEC, le Conseil national de l’économie circulaire

Clap de départ pour le CNEC, le Conseil national de l’économie circulaire

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Institué par la loi climat et résilience, il aura pour mission d’« accompagner le développement de l’économie circulaire en France ». Il est présidé par Véronique Riotton, députée de Haute-Savoie et membre de la commission du développement durable.

Pour le ministère de la Transition écologique, « il est aujourd’hui impératif de sortir du modèle fabriquer-consommer-jeter, ce qui implique la transformation des modes de production, de distribution et de consommation ». 

Les missions du CNEC ? « Il peut être saisi par les ministres chargés de l’environnement et de l’économie sur toutes les questions relatives à l’économie circulaire, de l’extraction des matières à la gestion des déchets (à l’exception des déchets radioactifs) ». 

En son sein, 47 sièges et 6 collèges. On y trouve notamment des associations comme Hop (Halte à l’obsolescence programmée), mais aussi des entreprises du secteur du réemploi.

Il pourra être consulté sur les projets de textes ou encore assurera « la mise en œuvre des orientations de la politique en matière d’économie circulaire, en particulier telles qu’elles sont définies par les directives européennes et par les lois afférentes ».

« Le Gouvernement a fait de l’économie circulaire l’une de ses priorités », affirme le ministère. Et ce moins d’une semaine après la publication de la loi consacrant l’extension de la redevance copie privée aux supports d’occasion ou reconditionnés vendus en B2C. 

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Clap de départ pour le CNEC, le Conseil national de l’économie circulaire

Débits 5G : pour Free Mobile, le problème c’est le protocole de mesure de l’Arcep

Débits 5G : pour Free Mobile, le problème c'est le protocole de mesure de l'Arcep

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Critiqué pour ses résultats en baisse par rapport à la 4G et à ses concurrents, l'opérateur a livré sa vision des choses via son compte Twitter « Free 1337 ».

Ce dernier répondait hier que « ces disparités résultent du protocole de mesure [qui] utilise une seule connexion (monothread) TCP Cubic ». Il mesure donc « le temps de download d’un fichier et en déduit le débit [et] le débit auquel l'algorithme de contrôle de congestion Cubic autorégule sa vitesse sur une seule connexion ». 

Pour Free Mobile, ce n'est pas le meilleur choix, ce protocole datant de 2008. Il « est fondé sur les pertes de paquets mais peut ajouter des délais et dégrader les performances. Le TCP BBR, de 2016, qui devient majoritaire, utilise des estimations de bande passante et de temps d'aller-retour (RTT) et s’approche de l'optimum théorique » vante l'opérateur. 

Il ajoute que son réseau « a été optimisé pour un usage à plusieurs connexions (multithread), cas d’usage des abonnés mobiles » et cite « les services comme Wetransfer, iCloud, Netflix ou Youtube et quasiment tous les sites web dont celui de http://arcep.fr utilisent entre 2 et 200 connexions TCP associées à 1 à 10 connexions UDP QUIC pour le contenu vidéo ».  

Il met en avant ses propres mesures, effectuées par un prestataire de l'Arcep sur 50 points à Paris qui montreraient des débits améliorés en 5G, sans préciser si cela se fait sur des antennes à 700 MHz ou 3 500 MHz. Un point d'importance, puisque contrairement à ses concurrents, le 700 MHz est la bande principale de son déploiement 5G et l'une des raisons de ses débits faibles.

L'opérateur termine en indiquant que « le protocole de mesure de l'ARCEP ne reflète pas les usages réels des abonnés mobile et les débits des abonnés Free Mobile. Les prochaines campagnes de test devront évoluer pour être plus proches des réalités terrain ». Espérons également que l'entreprise prendra le temps d'indiquer sur ses cartes de couverture quels sont les débits auxquels ses clients peuvent prétendre, zone par zone. 

Pour Vivien, administrateur du forum LaFibre.info travaillant à l'Arcep, « Ceux qui demandent que tous les tests de l'Arcep soient réalisés avec le protocole de congestion BBR, car les débits de Free sont multiplié par 10 quand on prend BBR se trompent : sur internet c'est Cubic qui est majoritaire. Un bon réseau a un débit proche en Cubic / BBR et mono / multi-thread ».

Pour l'expert, « même si BBR n’est pas très représentatif sur internet, avoir la différence de débit entre Cubic et BBR permet de tirer des conclusions sur la santé d’un réseau au-delà du débit offert. C’est aussi un moyen de donner des pistes pour comprendre les mauvais débits et inciter les opérateurs à faire le nécessaire, car oui, en traquant les pertes de paquets on peut chercher à les éliminer (et donc à avoir un débit proche entre Cubic et BBR) ». 

 Interrogée pour un commentaire officiel, l'Arcep ne nous avait pas encore répondu ce matin.

Le 23 novembre 2021 à 09h41

Débits 5G : pour Free Mobile, le problème c’est le protocole de mesure de l’Arcep

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