L’entreprise devient simplement Proton, pour mieux refléter le nombre croissant de services proposés : ProtonMail, ProtonCalendar, ProtonDrive et ProtonVPN.
Une nouvelle charte graphique est proposée. Nouvelles couleurs, nouvelles icônes, nouvelle police, nouveau logo : tout est modernisé. Le changement est immédiat et se reflète dans le site officiel, ainsi que dans les pages des services.
Proton.me est la nouvelle destination centrale pour accéder à l’ensemble de l’offre. Les utilisateurs n’ont rien à faire, car les anciennes pages renvoient automatiquement vers ce domaine. Si vous utilisez un gestionnaire de mots de passe, il faudra modifier le domaine pour proton.me, car l’ancien ne fonctionne plus.
Les offres sont également remaniées, même si la formule gratuite n’évolue presque pas : une adresse en @proton.me (les actuels possesseurs d’une adresse en @protonmail.com peuvent demander la bascule pendant un temps limité), 150 messages par jour, 25 Mo de pièces jointes, etc. En revanche, l’espace de 500 Mo pour ProtonDrive (toujours en bêta) passe à 1 Go. Le VPN est utilisable, mais avec des fonctions tronquées.
Mail Plus, à 3,99 euros par mois, fait passer le stockage à 15 Go, supporte 10 adresses, les domaines personnalisés, fait sauter la limite d’envoi, permet un nombre illimité de dossiers, labels et filtres, et supporte IMAP. On peut ajouter jusqu’à 20 calendriers et les partager. Côté VPN, pas de changement.
Quant à la formule Unlimited à 9,99 euros par mois, elle fournit 500 Go de stockage, 15 adresses trois domaines personnalisés et débloque surtout le VPN complet, avec ses 10 connexions, le support de Tor, l’accès aux 1 700 serveurs répartis dans 60 pays et la possibilité d’accéder aux offres de streaming.
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