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Le CNRS se demande si le droit international peut « sauver les océans »

Le CNRS se demande si le droit international peut « sauver les océans »

Le 13 mars 2023 à 06h16

Cette question n'arrive pas par hasard : « Après près de vingt ans de discussions, dont quatre années de négociations formelles, les États membres de l’ONU se sont enfin mis d’accord, le 4 mars dernier à New York, sur un traité international visant à renforcer la protection des océans ».

Le CNRS en profite pour publier une interview maison de Pascale Ricard, spécialiste du droit international de l’environnement et de la mer. Elle revient sur « les réglementations en vigueur et sur la difficulté, à travers le cas de la pollution plastique, de les mettre en œuvre ».

Le 13 mars 2023 à 06h16

Commentaires (6)

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Merci !

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Et c’est quoi sa réponse ?

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Et pendant ce temps, qui qui donc s’oppose à l’interdiction du chalutage en eaux profonde dans les zones protégés …. ? tadaaaaaa



https://reporterre.net/Le-gouvernement-veut-continuer-a-autoriser-le-chalutage-de-fond-dans-les-aires-marines

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Je n’aimerais pas être à la place des dirigeants : devoir promettre que ça ira mieux alors qu’ils savent (ou devraient savoir) qu’on ne peut que décroitre par manque de ressources naturelles.

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Thorgalix_21 a dit:


Je n’aimerais pas être à la place des dirigeants : devoir promettre que ça ira mieux alors qu’ils savent (ou devraient savoir) qu’on ne peut que décroitre par manque de ressources naturelles.


La seule difficulté de nos jours pour être dirigeant, c’est juste de faire la paix avec sa conscience et de pantoufler jusqu’à avoir un bel emploi comme directeur dans une entreprise qu’on a bien aidé en dépit de l’urgence climatique/biodiversité/sociale…

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Le temps que le cadre légal et les actions qui en découlent soient mises en oeuvre, l’humanité aura probablement disparu.



En plus du chalutage autorisé dans les AMP (Aires Marines Protégées) comme l’a souligné @OB, le massacre des requins continue à La Réunion : https://www.longitude181.org/2023/02/28/requin-reunion-prefecture-abandonne-pas/



Si déjà les lois actuelles et décisions de justice étaient respectées, ça laisserait peut-être une chance au vivant non-humain.

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