Les tremblements de Terre sont relativement inhabituels en France, mais le 11 novembre, « une partie de la région Rhône-Alpes a été secouée par un séisme qui a donné lieu à des évacuations et endommagé des bâtiments », explique l'agence spatiale européenne.
D'une magnitude 5, il a été suivi par la mission Sentinel 1 du programme Copernicus. But de l'opération : « mieux comprendre la nature de la faille sismique et cartographier son emplacement ».
« Lorsque l’on combine les images acquises avant et après un tremblement de terre, les changements au sol qui se sont produits entre les deux acquisitions forment des franges aux couleurs de l’arc-en-ciel dans l’image combinée, que l’on appelle un "interférogramme" ; celui-ci permet aux scientifiques de quantifier les déformations du sol », ajoute l'ESA.
« L’interférogramme présenté ici montre une série de franges dans une zone à l’ouest de Le Teil, et a permis aux scientifiques d’identifier la faille à l’origine du séisme. Le satellite d’observation a également mesuré une déformation au sol qui correspond à un soulèvement allant jusqu’à 8 cm dans la partie la plus au sud de la faille ».
Commentaires (22)
#1
“Les tremblements de Terre sont relativement inhabituels en France”
Correction : Les tremblements de Terre sont hyper courant en France, c’est juste que la très grande majorité n’est pas ressentie par la population.
Si j’en crois les différents chiffres trouvés ici et là, il y a en moyenne plus de 4 000 séismes en France métropolitaine chaque année dont environ 1 500 de magnitude 2 ou plus. En dessus de la magnitude 3 il y a peu de chance qu’il soit perçu d’où une impression de rareté mais ce n’est pas un phénomène rare en France bien au contraire. C’est en moyenne une dizaine de séismes quotidien en France.
#2
Alors là, non, je m’inscris en faux : les tremblements de terre sont ultra rares en France, vu que d’après des sources très bien informées il n’y a qu’une seule centrale nucléaire qui serait construite en zone sismique, et il s’agirait de Fessenheim.
On peut en déduire que la vallée du Rhône, les Alpes ou le Massif Central sont parfaitement stables, il n’y aurait que la vallée du Rhin qui pourrait être à risque.
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(précision : second degré)
#3
Je ne savais pas que c’était possible de voir ça via satellite !
#4
xD
Blague à part 6 centrales sont considérées comme présentant un risque sismique modéré (Alsace et vallée du rhone en gros) elles sont dimensionnées en conséquence et ont des plans de préventions adaptés en conséquence.
Exemple au Cruas fonction de l’intensité atteinte par les sismomètres du site les règles de contrôle des équipements ne sont pas les même. La preuve après une mise au ralenti et une première analyse la règle impose un arret de la centrale pour des vérifications plus poussée et comme chez EDF on aime les économies ils en profitent pour avancer des maintenances et les faire pendant l’arret ^^
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#6
compte tout récent, nid à troll… voire pire, vu le pseudo choisi.
#7
en même temps, quand tu vois les contraintes (pas forcément idiotes au passage) pour arrêter, puis redémarrer un réacteur on comprend qu’EDF essaie de mutualiser au maximum " />
On est en tout cas bien loin du discours des deux rigolos que j’avais mis en lien dans mon premier troll…
#8
ayant lu les articles donnés en lien, ça ne semble pas improbable. Mais le commentaire initial a oublié les pincette géantes données par le Point : on a pour l’instant des présomptions, il en faut beaucoup plus pour faire une certitude scientifique.
Reste à voir ce qui sera fait de cette certitude, s’il est possible de l’établir un jour.
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Les réactions de certains sont décidément bien curieuses.
Je ne fais que citer un article d’un media généraliste où une thèse est envisagée, appuyée par des avis d’experts. Dans cette thèse, aucune certitude n’est affirmée.
Mais envisager la possibilité que l’avis généralement admis ne serait pas le plus proche de la réalité gène visiblement ces personnes.
Le premier homo-sapiens qui est descendu de l’arbre et s’est mis debout a dû s’en prendre plein la gueule.
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A une autre époque, on aurait crié “hérésie !” et s’en serait suivi une soumission à la question avant un procès. Heureusement qu’on est en 2019, et que nous sommes entre gens civilisés, instruits, éduqués, à l’esprit ouvert et que la liberté d’expression est de rigueur.
Au cas où ça t’aurait échappé, je n’ai émis aucun avis d’aucune sorte concernant la thèse relatée par Le Point.
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Merci de ne pas confondre le troll de RN avec mon post.
D’autre part, encore un truc qui t’a échappé, je ne suis pas l’auteur de l’article du Point.
Tu ne juges pas utile de répondre, mais tu l’as fait plusieurs fois : " />
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