Le fabricant explique avoir travaillé pendant un an avec UNYQ et Area Academy pour les mettre au point. « Il est vrai que nous n'avions pas vu tout le potentiel de ce groupe [les gamers, ndlr] auparavant », reconnaît Ikea qui est bien décidé à s'y intéresser.
Il n'est pour le moment question que d'un bracelet repose poignet, d'un accessoire pour maintenir le câble de la souris et de touches de clavier. Tous les détails et des photos sont disponibles par ici.
Les produits Uppkoppla devraient être commercialisés à partir de 2020.
Commentaires (14)
#1
Le fabricant “chinois” ?!
#2
Je n’ai pas était trop convaincu par la qualité d’impression des imprimantes 3D pour ce genre de truc : il y a toujours une “aspérité”. Du coup ça fait que les produit sont bizarres:
* Le bracelet repose poignet : je n’en ai jamais vu, mais il peut y avoir une idée, mais il faut mettre ça sur des patins teflons (ou céramique) et mettre un “coussin”. Et personnellement, je partirais plus sur un gants/attelle.
* Le truc pour tenir le câble de souris. Oui, ça n’a pas de soucis. Personnellement, j’ai acheté une souris sans fils car je trouve que les câbles se bloque partout (entre le classique “je me glisse entre le bureau et le mur”, “j’ai trouvé plein d’autre câble avec qui faire des nœud” et “je me cogne dans le pied de l’écran”
* Les touches : heu…. le clavier n’en a pas déjà ? Surtout que bon, qualité impression 3D, je passe mon tour. Entre une texture dégelasse et imprécise au possible, ça risque de péter lorsque l’on pratique la technique “j’appuie plus fort pour aller plus vite” et autre machage de bouton (bonjour bunny hopping, adieu barre espace) et le truc qui risque en plus de frotter avec le reste du mécanisme.
#3
“impression 3D”, c’est indiqué pour faire moderne et à la mode, mais ça ne permet pas forcément de juger la qualité d’une pièce. Je peux te faire une pièce imprimé 3D avec un finish au poil (selon le procédé et les paramètres d’impression employés et les différents produits de finition appliqués) et une pièce usinée classiquement dégueulasse.
Bref il faudra voir la pièce en pratique pour véritablement se faire une idée.
#4
J’ai les collègues qui ont une imprimante 3D (pas une custom, mais bien un truc qu’ils ont acheté toute faites, avec même un double extrudeur, donc vraiment pas un truc premier prix) qui impriment des pièces. Ca reste bof, on vois parfaitement les strates, ce n’est pas du tout lisse et les pièces ont une tendance à casser au bout d’un certain temps (et d’usage). Et parmis les détails à la con : si il faut imprimer une surface plate qui sera “visible”, il font en sorte que lors de l’impression cette surface soit sur le plateau pour avoir une finition “correct”. De plus les “supports” (ces bout de plastique imprimé car le volume nécessite du support lors de l’impression) font que certaine partie sont vraiment dégueux.
#5
Mon propos n’a pas du être assez clair : se référer aux imprimantes accessibles aux particuliers pour juger de la qualité d’une impression 3D est trompeur : il n’y a pas que le fil en plastique extrudé comme procédé d’impression 3D.
Par exemple, les systèmes à base de poudres sont bien meilleurs pour ce qui est de la finition et de l’aspect.
Et les produits de finition applicables transforment radicalement l’aspect d’une pièce, voici une vidéo pour l’exemple.
#6
J’étais partie sur l’idée qu’il fournissait les modèles 3D (derrière, ça permet de vendre des accessoires à rajouter dessus, comme les patin teflon et le coussin pour le repose poignée). Mais y a-t’il un véritable intérêt à faire une impression 3D d’un truc qui va être produit en série ? On parle d’Ikea ici, ils ont les fournisseurs (je ne sais pas s’il ont des usines par contre) et ils ont le réseau de distribution.
#7
Par exemple, les imprimantes 3D à poudre métallique. La qualité de finition y est exemplaire ! Bon en même temps, on parle de machines à plusieurs centaines de milliers d’euros
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#8
Pour la grande série, c’est généralement plus économique de faire un moule (qui coute très cher, par exemple un moule pour une pièce lego c’est de l’ordre de la centaine de milliers d’euros).
Ici, c’est plutôt la personnalisation qui est mis en avant (et donc l’impression 3D apporte la souplesse) :
Exploring the technique by UNYQ, built upon an initial body
scan to add a personal fit to the following 3D-printed products, it is
possible to customise products after different physical needs and taste.
#9
Je pense que la mention d’impression 3D est plus pour dire qu’il peuvent faire des formes que les méthodes traditionnelles (i.e. les moules) ne sont pas capable de faire.
Ça m’étonnerait fortement que IKEA propose les fichiers pour qu’on les imprime nous-même. Aussi, la qualité de finition d’une imprimante 3D pour particuliers (de 100\( à 1500\) et qui fait 50 cm³) n’est pas du tout la même que celle d’une imprimante pro (de 10 000\( à 100 000\) et qui fait 3 m³).
Edit: y a beaucoup de pièces dans l’aviation qui sont imprimées car plus légères, plus solides et permettant des formes plus précises.
#10
La combo design nordique puritain plasticoglacial et bon goût electrolol led 2500 gamers, j’attendais ça avec tellement d’impatience pour m’assurer de ne plus jamais pouvoir espérer draguer en ramenant une femme à la maison. Vivement qu’ils fassent des bureaux et des sièges Uppkoppla
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#11
#12
En augmentant le prix de ton imprimante, tu améliores aussi la finesse d’impression et ça te permet d’utiliser d’autres matériaux.
Clairement, mon imprimante 3D à 200$ n’a aucun intérêt pour la NASA ou Airbus: le plastique (ABS ou PLA) c’est pas assez solide, et le rendu est pas assez précis.
#13
Parce que l’actu aurait du le préciser pour avoir une idée du travail d’UNYQ : il s’agit d’un fabriquant de vêtements prothétiques personnalisables exploitant une technologie d’impression 3D.
http://unyq.com/unyq-launches-3d-printed-product-line-for-gamers-with-ikea/
https://www.youtube.com/watch?v=3KARtQa0ULI
#14