Dans un billet de blog, la société explique que onze d’entre elles se situent sur le continent américain (Atlanta, Phoenix, San Diego, San Antonio, Bogotá, Buenos Aires, Montevideo, Lima, Puerto Vallarta, Rio de Janeiro et São Paulo), tandis que la dernière est Linz, en Autriche.
Selon Axios, la société, spécialisée dans la location de vélos et de trottinettes, se sépare également de 14 % de ses effectifs, soit une centaine de personnes, toujours dans le but de trouver le chemin vers la rentabilité.
Pour le président de Lime, ces changements devraient donner leurs fruits dès cette année : « Nous sommes convaincus qu’en 2020, Lime sera la première entreprise de mobilité de nouvelle génération à être rentable », comme le rapporte nos confrères.
Commentaires (21)
#1
Ah zut j’espérais que l’île de France fasse partie du lot.
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#2
Ce genre d’engin / service résume vraiment tous les problèmes de notre société actuelle… Proposer un engin peu cher au pekin moyen via une arnaque du code de la route. Obligation d’employés des mecs qui vont maurauder la nuit pour aller recharger les engins. Engins qui bien souvent ont une durée de vie de moins de 3 mois. Engins qui finiront par ne plus être utilisé quand le code de la route sera mis à jours. Service qui même en free floating + géo localisation ne garantit pas 100% de satisfaction.
#3
Si en plus on regarde le côté écologique du bordel c’est absolument magnifique… (Batterie, durée de vie, etc)
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Tous à vos marqueurs !
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À moins d’avoir masse de location par trottinette ou d’augmenter les prix, je ne vois pas comment ils pensent arriver à la rentabilité cette année.
Ou alors ils vont faire comme nous, déployer des stations. C’est la seule solution pour baisser les coûts d’opérationnel qui sont beaucoup trop élevé en free-floating. La station ayant l’avantage de limiter fortement le vol, les dégradations et de charger les trottinettes pour un coût marginal (on ne paie que l’électricité, qui est complètement négligeable par rapport à payer des gens pour charger les trottinettes).
#11
Si seulement c’était la solution adoptée à Paris pour les trottinettes, vélo et scooters électriques. Mais là, on les voit plus ou moins n’importe où et en plus ou moins sale état.
#12
Je pense qu’à terme le marché des trottinettes électriques va s’orienter vers des stations.
Le principal problème c’est que c’est plus long à mettre en place, comme il faut des autorisations pour installer ça sur l’espace public (ou alors faut se débrouiller avec des acteurs privés). Et s’il faut en plus relier les stations aux réseaux électriques, le délais est encore plus élevé (et vu le nombre de panneaux solaires qu’il faut pour charger les trottinettes, vaut mieux relier les stations aux réseaux électriques ou alors il faut faire du swap de batterie …).
#13
C’est pas facile de répondre car il y à beaucoup de variable mais d’après mon expérience dès que tu sort de l’intramuros de quelques KM ( ce qui n’est rien pour un bus / tram / voiture ) les transport en commun c’est totalement merdique. A moins bien sur d’habiter sur une ligne principale de bus qui va dans le centre ou alors pas loin d’une gare type “rer”.
Après c’est une question de sécurité, perso je me déplace qu’en vélo et j’essaye au maximum d’éviter les horaire de bureau car les automobilistes font n’importe quoi. Alors sur une trottinette qui va deux fois plus vite, c’est mort !
ps : Le fameux bus que tu attend 10 minutes et qui est blindé de monde c’est ça qui motive les gens à prendre leur voiture et qui les empèches d’autre de prendre des trottinettes. Pour le vélo tu peut rajouter l’absence de douche. Si t’a 20% des automobilistes qui ddécident le lendemain de prendre le bus t’en aura facilement 50% qui ne pourra pas rentrer dans le premier car trop de monde.
#14
D’expérience, il faut habité en métropole et dans la zone “intramuros” ou proche d’une grande ligne pour profiter de transports en commun corrects. Ailleurs, dans une ville moyenne par exemple, la voiture est un plus qu’un confort. En effet, on arrive très vite à des trajet qui demandent plus d’une 1h en bus alors que ça prend même pas 10minute en voiture.
Je vais t’avouer qu’à un moment donnée, je mettais 30-40min en transport en commun pour aller au boulot, là où ça me prenais 15min à 1h (si il y avait des bouchons sur la rocade) en voiture. De base, je supporte très mal la foule, j’ai qu’une envie, c’est prendre une hache et donner des coups en face de moi. Alors supporté ça quand j’ai la gueule à moitié dans le coaltar le matin et le soir quand je suis claqué, je craquais plus d’une fois par semaine.
La dernière loi sur les trottinette électrique a quand même remis des hola sur certain abus. En effet, il était possible d’acheter des trottinette adapté pour le périurbain qui pouvait dépassé les 80km/h et ce sans aucune législation sur la sécurité (pas de casque, aucune homologation…). Aujourd’hui elle sont limitée à 25km/h. Mais là encore, je trouve ça mal branlé, car les vélo à assistance électrique sont aussi limité à 25km/h mais tu es obligé de pédaler (en plus de devoir respecter le code de la route relatif au vélo).
#15
Les tracteurs sans suspension et les fenwicks sont limités à 25km/h aussi.
Choisis ton char camarade!
#16
#17
Un maire ne fait pas partis des pouvoirs publique ?
#18
la société explique que onze d’entre elles se situent sur le continent américain (Atlanta, Phoenix, San Diego, San Antonio, Bogotá, Buenos Aires, Montevideo, Lima, Puerto Vallarta, Rio de Janeiro et São Paulo)
LES continents américains.
#19
Comme indiqué par d’autres, ces trottinettes ne s’adressent pas à ceux ayant des voitures.
#20
#21
Exactement!