#Le brief du 13 janvier 2021

Disney ressuscite Lucasfilm Games, du moins son nom

Disney ressuscite Lucasfilm Games, du moins son nom

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Les moins de 20 ans le connaissent sans doute moins, mais Lucasfilm Games est associé à plusieurs grands noms du jeu vidéo. Il est certes accolé à la franchise Star Wars, mais on lui doit Maniac Mansion, Loom, The Secret of Monkey Island, Day of the Tentacle ou encore Grim Fandango.

Puis le rachat par Disney est passé par là. Au-delà de 2013, plus aucun titre n’est sorti en nom propre. L’entité Lucasfilm existe cependant toujours, et les jeux ont continué à sortir, les développements étant assurés par d’autres studios. Le même modèle que pour Marvel, autre entité de Disney, dont les jeux ont été développés par Insomniac et Square Enix.

Lucasfilm Games, en tant que studio, ne revient pas. Mais le nom ayant une certaine importance, c’est à ce titre que seront distribuées les licences aux studios qui s’occuperont des prochains titres Star Wars.

Lucasfilm Games est donc « désormais l’entité officielle pour tous les titres de jeux de Lucasfilm, un nom qui comprend le riche catalogue de jeux vidéo de l’entreprise et ceux à venir ».

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Disney ressuscite Lucasfilm Games, du moins son nom

Identification des IP : le ministère de la Justice incapable de jauger les engagements de Facebook

Identification des IP : le ministère de la Justice incapable de jauger les engagements de Facebook

Le 13 janvier 2021 à 09h21

« Jusqu'à récemment, le réseau social Facebook ne communiquait à la justice française les adresses IP des internautes que pour les cas liés à l'apologie du terrorisme ou à des contenus à caractère pédo-pornographique » rappelle le député LREM Éric Bothorel.

Or, depuis juin 2019, « l'entreprise s'est engagée à fournir ces adresses également lorsqu'elles sont utilisées pour diffuser des contenus haineux, comme l'homophobie, le racisme et l'antisémitisme ».

Le député LREM Éric Bothorel a réclamé du ministère de la Justice un bilan, accompagné du nombre des demandes formulées par l'autorité judiciaire à Facebook « chaque mois, en les classifiant par types de contenus et selon qu'elles ont été satisfaites ou non ».

Question légitime…mais qui s’est heurtée au mur de l’ignorance : « la Chancellerie ne dispose pas du nombre de réquisitions adressées par les services d'enquête ni du taux de réponse du réseau social et n'envisage pas pour l'heure de procéder à une telle étude, faute de pouvoir extraire ces données de l'activité des juridictions ».

Le ministère de la Justice admet toutefois travailler « actuellement à la recherche de solutions techniques permettant d'améliorer le ciblage et l'identification des auteurs, de mettre en place une stratégie d'enquête plus efficace ou de concevoir des orientations de politiques pénales permettant de lutter plus efficacement contre ce phénomène ».

Enfin, il indique souhaiter « que les auteurs des contenus haineux en ligne puissent désormais être poursuivis en comparution immédiate ». Les journalistes en seront toutefois exclus, lesquels resteront donc sur le régime de la loi de 1881. 

« Cette disposition sera portée lors de l'examen du PJL confortant le respect des principes de la République ».

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Identification des IP : le ministère de la Justice incapable de jauger les engagements de Facebook

Le ministère des Armées commande 300 drones Anafi de Parrot

Le ministère des Armées commande 300 drones Anafi de Parrot

Le 13 janvier 2021 à 09h21

« Ces micro-drones équiperont les trois armées et seront destinés à des missions de  reconnaissance et de renseignement », explique la Direction générale de l’armement dans un communiqué.

Pour le ministère des Armées, ce drone Anafi, « spécialement adapté pour répondre aux besoins militaires, est un quadricoptère de moins de 500 grammes. Il dispose de capacités d’observation de jour comme de nuit, et d’une autonomie d’une trentaine de minutes de vol. En mesure de détecter des cibles de taille humaine avec une grande précision jusqu’à deux kilomètres de distance, particulièrement discret et même inaudible à plus de 130 mètres ».

Les premières livraisons sont attendues pour le mois de juin. « Le contrat, d’une durée de cinq ans, prévoit la livraison de plusieurs centaines de systèmes de drones et d’équipements complémentaires, la formation de pilotes référents, ainsi que la possibilité de développements adaptatifs ».

À terme, la répartition visée est « a priori » celle-ci : 60 % pour l’armée de Terre, 28 % pour la Marine nationale et 12 % pour l’armée de l’Air et de l’Espace. De quoi redonner des couleurs au drone de Parrot, dont les débuts étaient difficiles.

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Le ministère des Armées commande 300 drones Anafi de Parrot

La délicate fiscalité des œuvres d’art numériques

La délicate fiscalité des œuvres d’art numériques

Le 13 janvier 2021 à 09h21

« Une création, aussi originale soit elle, si elle est réalisée sur informatique, même sous contrôle de l'artiste, certifiée par lui, imprimée en série limitée sur papier, aluminium ou autre support n'est pas considérée comme une œuvre d'art par l'administration fiscale par le simple fait qu'elle a été reproduite par un "procédé photomécanique" ». 

Ce rappel de la députée du Doubs Annie Genevard entraîne une conséquence douloureuse : « il n'est possible de prétendre à aucune déduction fiscale pour l'acquéreur ». 

Mais difficile pour le ministère de la Culture de reconnaître l'art numérique : le Code général des impôts dresse la liste des réalisations « considérées fiscalement comme des œuvres d'art en précisant que ces dernières doivent être entièrement exécutées à la main par l'artiste, ce qui exclut tout procédé mécanique ou photomécanique ». 

Or, cette définition fiscale est figée. Elle « ne prend ainsi pas en compte toutes les pratiques artistiques, notamment numériques, qui tendent à se diffuser dans les lieux de création, d'exposition ». Si le ministère souhaite une évolution, « elle ne peut néanmoins que s'envisager dans un cadre européen puisque la liste des œuvres d'art » est issue d’une directive de 2006. « Il en résulte qu'en l'état actuel de la législation, il n'est pas possible de faire évoluer cette liste sans modification préalable de la directive ».

Le 13 janvier 2021 à 09h21

La délicate fiscalité des œuvres d’art numériques

TousAntiCovid : entre 80 et 120 000 euros chaque mois, pour un total de 30 000 alertes

TousAntiCovid : entre 80 et 120 000 euros chaque mois, pour un total de 30 000 alertes

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Questionné sur le bilan de StopCovid, devenue TousAntiCovid, le secrétariat d’État au numérique indique que « du 2 juin au 22 décembre 2020, l'application a compté plus de 11,7 millions d'enregistrements nets ».

64 000 personnes s’y sont déclarées positives « et plus de 30 000 notifications d'alerte ont été envoyées ». « Sa mobilisation dans la lutte contre l'épidémie n'est donc plus à démontrer » insiste Bercy, qui admet néanmoins que jamais elle n'a eu vocation « à devenir le seul outil de lutte contre l'épidémie ».

« En France, l'INSERM a estimé, dans une étude d'octobre 2020 sur la base de données françaises, qu'une adoption de TousAntiCovid par 20 % de la population française permettrait à chaque malade qui se déclare dans l'application de ne pas transmettre le virus à un quart de ses contacts et ainsi d'avoir un effet significatif sur la propagation de l'épidémie ».

« La promotion de l'application est intégrée à la politique plus globale du gouvernement d'information sur l'épidémie et les gestes barrières et a été complétée d'actions à titre gracieux (sur l'application de la SNCF notamment). L'information sur l'application fait partie des actions demandées dans le cadre des protocoles sanitaires de réouverture de certains lieux comme les commerces ».

S’agissant du coût, dans une autre réponse parlementaire, le secrétariat d’État rappelle que le ministère de la Santé « a passé un accord-cadre avec l'INRIA, et un accord de consortium a été passé entre l'INRIA et des acteurs privés ». 

Ainsi, « dans ce cadre Lunabee Studio poursuit le développement de l'application mobile et l'hébergement du serveur de l'application est assuré par la société Outscale, filiale de Dassault Systèmes », à ce jour, « seul prestataire d'hébergement qualifié SecNumCloud par l'ANSSI ».

« Pour la maintenance de l'application, une mise en concurrence est en cours pour prendre la suite du mécénat de compétences assuré par Capgemini jusqu'à la fin de la procédure, soit au plus tard jusqu'à fin octobre ».

Alors que le développement initial fut d’abord pro bono, le coût mensuel d'exploitation de l'application a été estimé entre 80 000 et 120 000 euro. 

« En comparaison, l'application allemande Corona Warn App a coûté 20 millions d'euros pour son développement, à quoi s'ajoutent 2,5 millions à 3,5 millions d'euros par mois pour son exploitation. L'application allemande pourrait ainsi coûter au total 69 millions d'euros d'ici fin 2021 ». Outre-Manche, le développement a coûté cette fois « plus de 13,3 millions d'euros avant que le projet soit finalement abandonné ».

Le 13 janvier 2021 à 09h21

TousAntiCovid : entre 80 et 120 000 euros chaque mois, pour un total de 30 000 alertes

Patch Tuesday : les correctifs de janvier pour Windows sont disponibles

Patch Tuesday : les correctifs de janvier pour Windows sont disponibles

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Hier soir, deuxième mardi du mois oblige, Windows Update s’est réveillé. Il propose le pack mensuel de mises à jour de sécurité pour l’ensemble des versions supportées de Windows.

Comme d’habitude, les correctifs concernent de nombreux composants et scénarios, notamment lors du branchement de périphériques. Entre autres failles colmatées, Microsoft règle un problème avec les serveurs intranet basés sur HTTPS. Après installation, ces derniers ne pourront plus utiliser un proxy d’utilisateur pour détecter les mises à jour.

Windows 7 SP1 et 8.1 reçoivent eux aussi des correctifs. Dans le cas de Windows 7 toutefois, ils ne seront accessibles qu’aux entreprises payant pour l’extension du support, le système n’en ayant plus depuis un an.

Comme toujours avec ces correctifs, il faudra redémarrer l’ordinateur pour finaliser l’installation.

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Patch Tuesday : les correctifs de janvier pour Windows sont disponibles

L’incendie d’un site TNT en Haute-Vienne revendiqué par des militants anti-5G

L’incendie d’un site TNT en Haute-Vienne revendiqué par des militants anti-5G

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Comme l’explique France 3 Nouvelle-Aquitaine, cet acte dans la commune Les Cars (Haute-Vienne) a des conséquences importantes : « Plus d'un million de téléspectateurs sont privés de la réception des programmes de France 3 Limousin sur la TNT ».

Lundi soir, « le feu a pris au-dessus de la première plateforme du pylône de 230 mètres de haut, ajoutent nos confrères. Le sinistre a été maîtrisé vers 22 h. Un second pylône, voisin du premier, supportant des installations de l'opérateur téléphonique Orange, a, lui aussi, été incendié ». Une enquête est en cours.

Le Populaire du Centre a de son côté reçu une lettre de revendication émanant du « Comité pour l’Abolition de la 5G et Son Monde (CLA5GSM) », « inconnu jusque-là » précisent nos confrères. Le Comité a baptisé cette destruction : « opération "voix du vent et chants d’oiseaux" ».

Le CTA de Poitiers (Comité Territorial de l’Audiovisuel) explique sur Twitter que ce site « diffuse essentiellement la TNT, la radio mais il ne s’agit pas d’un site dédié directement à la 5G ». Le message se termine par un emoji songeur…

Cette histoire n’est pas sans en rappeler une autre décrite par Patrick Chaize (sénateur de l’Ain et président de l’AVICCA) : « un pylône installé qui a été détruit […] Ce n’était pas un pylône 5G, c’était un pylône 4G de couverture ciblée que tout le monde attendait dans un secteur vraiment dépourvu de réseau. Les gens qui ont « revendiqué » l’acte, ils l’ont fait dans une démarche anti-5G ».

Le 13 janvier 2021 à 09h21

L’incendie d’un site TNT en Haute-Vienne revendiqué par des militants anti-5G

Ubiquiti recommande de changer son mot de passe après une brèche de sécurité

Ubiquiti recommande de changer son mot de passe après une brèche de sécurité

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Le constructeur, spécialisé dans les produits réseau haut de gamme pour le grand public, informe actuellement ses utilisateurs qu’il a subi une brèche dans ses protections.

Rien n’aurait été volé. Mais parce que le risque existe que certaines informations aient pu être accédées, l’entreprise demande aux clients de changer leur mot de passe, et d’activer l’authentification à deux facteurs quand ce n’est pas déjà fait. Le danger est plus grand s’il s’agit d’un mot de passe déjà utilisé ailleurs (on ne répétera jamais assez à quel point c’est une mauvaise idée).

La brèche a été rendue possible par l’utilisation d’un fournisseur tiers de solutions cloud, sans plus de détails.

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Ubiquiti recommande de changer son mot de passe après une brèche de sécurité

Facebook revoit son outil « Accédez à vos informations », plus détaillé

Facebook revoit son outil « Accédez à vos informations », plus détaillé

Le 13 janvier 2021 à 09h21

En plein fiasco de communication sur WhatsApp, Facebook publie une nouvelle version de son outil destiné à expliquer pourquoi et comment sont utilisées les données.

Au sein d’une interface rafraichie, les utilisateurs pourront notamment voir les données désormais divisées en huit catégories, au lieu de seulement deux : Votre activité, Amis et abonnés, Préférences, Informations personnelles, Informations de connexion, Publicités, Applications et sites utilisant Facebook, et enfin Sécurité et connexion.

Avec cette meilleure granularité viennent des informations supplémentaires pour chacune sur le circuit qu’empruntent ces informations. Chaque catégorie peut être divisée en plusieurs sous-catégories selon les cas.

Le cœur de l’outil reste toutefois le même : permettre une gestion « macro » du compte, en permettant de trouver plus rapidement des informations et, si besoin, pour les effacer. L’exercice peut donc être salutaire pour repérer des renseignements qu’on ne souhaite plus voir dans son profil ou sa timeline.

La nouvelle version tombe au bon moment, comme la première version l’avait fait en 2018 : elle était sortie peu de temps après le scandale Cambridge/Analytica, quand Facebook tirait tous azimuts pour prouver qu’il était un éditeur de confiance.

Le nouvel outil est pour l’instant disponible depuis les applications Facebook pour Android et iOS. Il sera étendu prochainement à la version web pour ordinateurs de bureau.

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Facebook revoit son outil « Accédez à vos informations », plus détaillé

Espace : Emmanuel Macron annonce 500 millions du plan relance sur deux ans

Espace : Emmanuel Macron annonce 500 millions du plan relance sur deux ans

Le 13 janvier 2021 à 09h21

« La France croit au spatial comme une filière d’excellence d’aujourd’hui et de demain », affirme le président lors d’un déplacement à Vernon, sur le site d’Arianespace.

Il annonce ainsi que « 500 millions d'euros [sur les deux années qui viennent, ndlr] du plan France Relance seront consacrés à l'accélération du développement de propulsions à hydrogène et projets spatiaux ».

Sur cette manne, 30 millions d’euros iront à Vernon, un « site d’excellence en matière de propulsion à hydrogène ». 15 millions d’euros sont alloués au nouveau moteur Prometheus et autant pour la propulsion à l’hydrogène.

C’est « une bonne nouvelle » pour Jean-Yves Le Gall (président du Centre national d'études spatiales) : «  Le CNES va être l'opérateur du volet spatial du plan de relance. Donc, nous avons déjà commencé à travailler avec les différents industriels concernés », explique-t-il à France Info.

Prometheus : le moteur réutilisable et « low cost » pour les lanceurs européens

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Espace : Emmanuel Macron annonce 500 millions du plan relance sur deux ans

L’exploitation d’un téléphone portable peut se faire sans la présence de l’avocat

L’exploitation d’un téléphone portable peut se faire sans la présence de l’avocat

Le 13 janvier 2021 à 09h21

« Aucune disposition légale ne prévoit la présence de l’avocat lors de l’exploitation d’un téléphone portable, assimilable à une perquisition ». 

Comme relevé par l’officier de gendarmerie Matthieu Audibert, la Cour de cassation a été amenée à se pencher à nouveau sur le code de déverrouillage d’un téléphone, mais cette fois sur son volet procédural.

La question concernait cette fois la présence obligatoire ou non d’un avocat lors de la demande du code d’accès au téléphone. Les faits concernaient une femme placée en garde à vue pour une infraction à la législation sur les stupéfiants.

Pour la haute juridiction, la communication du code à un officier de police judiciaire, à sa demande, n’est pas une audition. La gardée à vue, en effet, « ne fait pas de déclaration, aucune question sur les faits ne lui est posée », commente @GendAudibert.

Par ailleurs, « il n’est pas rapporté la preuve d’une atteinte au droit de ne pas contribuer à sa propre incrimination, dès lors que ce droit ne s’étend pas à l’usage de données que l’on peut obtenir de la personne en recourant à des pouvoirs coercitifs, mais qui existent indépendamment de la volonté du suspect », confirme la Cour de cassation. 

Par deux arrêts rendus en octobre 2020 (le premier, le second), la même juridiction a estimé que le refus de fournir ce code pouvait constituer une infraction, lorsque ce code a un lien avec le chiffrement des données. 

Le 13 janvier 2021 à 09h21

L’exploitation d’un téléphone portable peut se faire sans la présence de l’avocat

Production d’hydrogène décarboné : la Commission européenne approuve la création de Genvia

Production d’hydrogène décarboné : la Commission européenne approuve la création de Genvia

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Cette société résulte d’un partenariat public-privé qui « alliera les savoir-faire et expertises de Schlumberger et du CEA à ceux de VINCI Construction, de Vicat et de l’Agence Régionale Energie Climat (AREC) Occitanie, société d’investissement de la Région Occitanie ».

Genvia « se concentrera sur le développement et le déploiement industriel d’une technologie de rupture de production d’hydrogène décarboné par électrolyse ». Elle devra aboutir au «  premier déploiement industriel de la technologie réversible d’électrolyseur haute température à oxyde solide du CEA ».

« L’hydrogène décarboné constitue un élément-clé de la transition énergétique pour de nombreux pays qui visent la neutralité carbone à horizon 2050 », explique le CEA. La fabrication des électrolyseurs se fera dans la Gigafactory, à Béziers (Occitanie). Aucun calendrier n’est précisé pour le moment.

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Production d’hydrogène décarboné : la Commission européenne approuve la création de Genvia

OVHcloud est désormais certifié SecNumCloud par l’ANSSI

OVHcloud est désormais certifié SecNumCloud par l’ANSSI

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Comme l’avait très fortement laissé entendre Guillaume Poupard (patron de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information), OVHCloud est désormais certifié SecNumCloud par l’ANSSI. 

Sont concernés les services Hosted Private Cloud « opérés au sein de deux nouveaux datacenters localisés au sein du parc français d’OVHcloud à Roubaix et Strasbourg ». L’hébergeur rejoint Oodrive et Outscale.

Le 13 janvier 2021 à 09h21

OVHcloud est désormais certifié SecNumCloud par l’ANSSI

Molotov se lance à l’international

Molotov se lance à l'international

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Le service de « TV réinventée » indique proposer l'offre de 180 éditeurs et disposer désormais de 13,2 millions d'utilisateurs en France. Sans préciser combien sont régulièrement actifs et la part ayant souscrit à un abonnement payant. 

Après plusieurs évolutions dans son modèle économique et son offre, la société se sent prête pour conquérir sept nouveaux pays, annonce-t-elle dans un communiqué, principalement en Afrique :

« La Côte d’Ivoire a été lancée il y a 3 semaines, générant déjà plusieurs dizaines de milliers d’abonnés payants. Suivront le Sénégal courant janvier, le Cameroun en février, le Burkina Faso en mars, la Tunisie en avril, puis la Guinée et la République Démocratique du Congo, avant un déploiement global dans le reste de l’Afrique francophone dans le courant du semestre.»  

Pour cela, des applications spécifiques ont été développées, « pour tenir compte des contraintes régionales (bas débits, connexions instables, terminaux à faible performance) » avec un dispositif de monétisation de Digital Virgo, permettant notamment un paiement à la journée, sans carte bancaire.

Des discussions sont en cours pour des ouvertures en Amérique du Sud, en Asie et en Europe précise l'équipe, qui dit vouloir « déployer rapidement la plateforme et la marque à travers l'Europe, en priorité dans la zone EMEA ».

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Molotov se lance à l’international

Mozilla VPN désormais disponible pour Linux et macOS

Mozilla VPN désormais disponible pour Linux et macOS

Le 13 janvier 2021 à 09h21

C'est un internaute qui a repéré cette évolution, qui n'a pas encore été officialisée par la fondation. Jusqu'à maintenant, ces clients étaient uniquement proposés sous forme de programmes bêta.

De quoi permettre à ce service de gagner en utilisateurs, bien qu'il ne soit pour le moment proposé que dans quelques pays seulement et pas encore en France. Mozilla n'a pas précisé quand ce serait le cas.

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Mozilla VPN désormais disponible pour Linux et macOS

DarkMarket « éteint », son responsable présumé arrêté

DarkMarket « éteint », son responsable présumé arrêté

Le 13 janvier 2021 à 09h21

Considéré comme le plus grand marché illégal au monde sur le « dark web », il a été mis hors ligne annonce Europol. Une opération internationale impliquant l'Allemagne, l'Australie, le Danemark, la Moldavie, l'Ukraine, le Royaume-Uni (National Crime Agency) et les États-Unis (DEA, FBI et IRS).

Darkmarket dénombrait près de 500 000 utilisateurs et plus de 2 400 vendeurs (sans qu'Europol précise combien étaient actifs), totalisait plus de 320 000 transactions, plus de 4 650 bitcoins et 12 800 monero transférés, soit plus de 140 millions d'euros. 

Les vendeurs y proposaient toutes sortes de médicaments, de la fausse monnaie, des détails de cartes de crédit volées ou contrefaits, des cartes SIM anonymes et des logiciels malveillants.

Un citoyen australien, exploitant présumé de DarkMarket, a été arrêté près de la frontière germano-danoise ce week-end. Plus de 20 serveurs ont été éteints en Moldavie et en Ukraine.

Le 13 janvier 2021 à 09h21

DarkMarket « éteint », son responsable présumé arrêté

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