(reply:1877316:js2082) Non.
Aucune organisation religieuse n’ a rien à craindre du fait que l’ homme serait ou non à l’ image de Dieu à part les religions matérialistes.
A ce jour, l’ homme n’ est qu’ un pack dans lequel coexistent trois identités.
L’ identité matérielle qui se moque de ce que tu crois, tu penses ou tu aimes et qui lorsqu’ elle nécessite d’ excréter du solide ou du liquide, de boire ou manger se moque de ton avis à 10 comme à 100 ou comme en quarante.
Oui parce que tu peux avoir l’ avis que tu veux, quand ton corps te dit que c’ est l’ heure de chier il faut que tu arrêtes de jouer au malin et que tu lui obéisses et ce même si ton intelligence, ton esprit et même ton coeur ne sont pas d’ accord sauf à vouloir être d’ accord avec le fait que tu vas schlinguer du ben, mourrir de soif, faire perdre toute existence à ton estomac(c’ est arivé à mon père ….) avant de mourrir sous 88 jours record du monde actuel sans nourriture.
Les deux autres identités qui sont incluses dans ta personne font de même c’ est à dire ce qu’ elles font ce qu’ elles veulent que ce soient l’ esprit pour le rationnel(en fonction des connaissances) ou le coeur pour l’ émotionnel (si t’ es pas un psychopathe) et chacune de ces puissances dans ta personne prend le pouvoir dans ta vie tout au cours de ta journée et même de ta vie en fonction de ton âge (à 7 ans l’ age de raison, à l’ adolescnce l’ âge con)sans que tu puisses y faire grand chose.
Donc en ce qui concerne l’ idée de l’ homme fait à l’ image de Dieu de la façon dont tu le conçois, il peut s’ agir en l’ occurence de n’ importe laquelle de ces trois identités successives imbriquées et deviner laquelle serait la bonne est un challenge.
A ce jour, nous en sommes à peine au début de la neuroscience afin de comprendre les interactions non verbales entre individus d’ un groupe grégaire comme le rôle exact en entier des ondes électriques qui parcourent notre cerveau.
Mais il a toutefois été rapporté à maintes reprises des comportements que ce soient du fait d’ animaux comme chats ou chiens domestiques et dans les groupes d’ animaux grégaires qui posent des questions auxquelles nous n’ avons pas les réponses mais qui suggèrent une forme de communication commune.
Combien de personnes n’ ont elles pas ressenti le sentiment de la perte d’ un être cher lors même qu’ elles n’ étaient pas en leur présence ?
Nous avons tous des témoignages de ceux là très faciles à corroborer.
Les “indiens” d’ Amérique du Nord l’ appelleraient Le Grand Esprit et d’ autres autrement, chacun selon sa tradition ou son niveau de compréhension.
Des comportements de départ et fuite de certains animaux en masse d’ une zone plus d’ une heure avant l’ arrivée d’ un feu de forêt alors qu’ aucun signe perceptible à notre niveau ne le laisse penser.
Le cas d’ un chat dans une maison de retraite rapporté dans nos journaux qui s’ installe en permanence sur le lit d’ une personne dont le décès se produit 3 ou 4 jours plus tard.
Expliquer le baillement communautaire synchrones de plusieurs personnes par hypothèses ou le fait que toute femme plongée dans un groupe de femmes sur une longue durée finit par avoir un cycle identique aux autres et justifier par là le mot qu’ on lui donne sans le comprendre vraiment avabt cela : règles parce que cycle réglé sur une règle invisible mais commune à toutes.
A partir du moment où il est possible de constater une forme ou une uniformité de comportement, de pensée ou de fonctionnement dans certains groupes, il est possible de penser l’ existence d’ un esprit commun qui relie les individus entre eux sans même qu’ ils en aient conscience.
De là à parler de Dieu, c’ est à chacun de voir quel pourrait être le chemin qui lui convient comme par exemple celui du shaman dans la forêt qui se connecte à son environnement sans effort pour délivrer ses ordonnaces médicales en provenance de la Nature qui l’ entoure cotoie ou celui qui pense y parvenir par la pratique de rituels codifiés.
La RELIgion n’ est qu’ un chemin proposé à parcourir pour se RELIER.
Il revient à chacun d’ être intéressé ou non de choisir celle qui correspond le meiux à sa façon très personnelle de broncher face aux évènements.