#Le brief du 15 juillet 2024

Le contrôle parental désormais obligatoire sur les appareils connectés, l’ANFR veillera au grain

Le contrôle parental désormais obligatoire sur les appareils connectés, l’ANFR veillera au grainFlock

Le 15 juillet 2024 à 14h54

L’année dernière, les décrets d'application de la loi sur le contrôle parental étaient publiés, en mode service minimum. Il n’y a, par exemple, aucune possibilité d’activer des listes blanches ou noires. Dans la foulée, la CNIL mettait en ligne ses avis, pour le moins mitigés.

Quoi qu’il en soit, depuis le 13 juillet 2024, « l’ensemble des nouveaux appareils connectés à internet [smartphones, tablettes, ordinateurs, consoles, montres, liseuses…, ndlr] mis sur le marché à partir de cette date devront désormais intégrer un dispositif de contrôle parental, gratuit, facile d’accès et dont l’activation sera proposée dès la première utilisation », explique l’ANFR.

L’Agence nationale des fréquences rappelle que ces dispositifs « permettent de bloquer des applications (préinstallées ou à télécharger) donnant accès à des contenus interdits aux mineurs afin de les protéger des jeux d’argents, des paris, de contenus violents et pornographiques ». Ils doivent aussi protéger les données personnelles des enfants.

L’ANFR dispose « de pouvoirs de police administrative et de sanction lorsque des non-conformités sont constatées ». Elle ajoute qu’elle veillera au respect des dispositions légales, « qui comprennent des exigences administratives et techniques ». Pour cela, l’Agence « procèdera à des prélèvements de manière inopinée d’équipements dans les lieux de vente ».

Le 15 juillet 2024 à 14h54

Le contrôle parental désormais obligatoire sur les appareils connectés, l’ANFR veillera au grain

Elon Musk soutient officiellement Donald Trump pour la présidentielle aux États-Unis

Le 15 juillet 2024 à 11h00

Elon Musk, magnat de la tech et homme le plus riche du monde, a publiquement déclaré son soutien à Donald Trump le 14 juillet.

Il a publié un message en ce sens sur X, dont il est propriétaire depuis fin 2022, accompagné d’un extrait vidéo du candidat républicain levant le poing. La veille, ce dernier avait été visé par une tentative d’assassinat qui l’a blessé à l’oreille.

Si le patron de Tesla et (co-)fondateur de Space X et Neuralink ne s’était jusque-là pas officiellement prononcé, il avait déjà financé un groupe politique visant à faire élire Trump, selon Bloomberg. 
Outre sa fortune, son audience de 189,5 millions de personnes sur son réseau X devrait aussi servir le candidat.

La déclaration acte une mutation politique de long terme de l’entrepreneur sud-africain – d’après Reuters, il a déclaré avoir voté pour Hillary Clinton et Joe Biden. 


En 2016, cela dit, il a été un temps conseiller auprès de Donald Trump. Dans les années récentes, surtout, il a publiquement soutenu des idées de la droite la plus dure, diverses théories du complot, et leur a donné de l’audience via X.

Le 15 juillet 2024 à 11h00

Elon Musk soutient officiellement Donald Trump pour la présidentielle aux États-Unis

Apple autorise un premier émulateur PC sur son App Store

Le 15 juillet 2024 à 10h00

La situation des émulateurs s’est brusquement détendue ces derniers mois. Non seulement Apple les autorise pour l’App Store (iOS et iPadOS), mais elle accepte presque tous les projets. Fin mai, nous faisions le tour de la question, notant que les applications étaient de plus en plus nombreuses, même RetroArch. En outre, Apple autorise le chargement de ROM depuis n’importe quelle source.

Nouvelle surprise : UTM SE est à son tour disponible. Cet émulateur PC, basé sur QEMU, permet de faire fonctionner Windows, Linux et l’ensemble des systèmes d’exploitation prévus pour une architecture x86 ou x64. Comme les autres émulateurs jusqu’à présent, il est gratuit. UEM SE est même compatible avec VisionOS, pour les rares personnes qui ont un casque Vision Pro.

Cependant, comme l’explique OMGUbuntu qui a testé l’application, il ne faut pas s’attendre à une émulation rapide. Comme nous l’avions signalé, l’impossibilité de recourir à la compilation JIt (« Just in-time », à la volée) grève largement les performances. En outre, s’agissant d’une émulation et non d’une virtualisation, l’opération est déjà complexe.

Selon nos confrères, ce n’est pas trop un problème pour les vieux systèmes. Mais si vous voulez tester la dernière Ubuntu, il en ira tout autrement. Même avec un très récent iPad Pro muni d’une puce M4, tout est lent. Et c’est sans parler de la mémoire vive, forcément limitée.

Reste que l’arrivée d’UTM SE est une double surprise. D’abord, parce qu’Apple avait refusé de laisser passer l’émulateur sur son App Store. La raison donnée était simple : l’exception donnée dans les règles de l’App Store n’est valable que pour les jeux, donc les consoles. Un émulateur PC n’appartient pas à cette catégorie. Les développeurs pointaient, eux, que leur application était orientée vers les vieux jeux pour DOS et Windows.

Ensuite, parce que les mêmes développeurs avaient ajouté qu’il ne s’agissait pas d’un projet si important. Plus précisément, l’expérience était jugée « insuffisante » et l’application ne valait « pas la peine que l’on se batte pour elle ». Un aveu étonnant, qui rend encore plus surprenante l’arrivée sur l’App Store. Les développeurs ont indiqué samedi que l'équipe d'AltStore avait joué un rôle dans le changement d'avis d'Apple.

Le 15 juillet 2024 à 10h00

Apple autorise un premier émulateur PC sur son App Store

OpenAI accusée devant la SEC d’accords de confidentialités illégaux

Le 15 juillet 2024 à 09h42

Selon le Washington Post, OpenAI est accusée devant la Securities and Exchange Commission (SEC), l'organisme américain de contrôle des marchés financiers, d'obliger ses salariés à signer des accords de confidentialités illégaux. Le journal américain a obtenu une lettre (.PDF) envoyée par des avocats de lanceurs d'alertes au contrôleur.

Selon cette lettre, ces accords interdiraient aux employés et investisseurs de communiquer avec la SEC elle-même à propos de problèmes de sécurité. Ils forceraient les employés à renoncer à leur droit d'alerte et à d'éventuelles compensations et les obligeraient à informer l'entreprise de toute communication avec les régulateurs.

La lettre a été envoyée en copie au Congrès américain et le journal l'a obtenue par les équipes du sénateur de l'Iowa, Chuck Grassley.

Celui-ci a déclaré que « les politiques et pratiques d'OpenAI semblent avoir un effet dissuasif sur le droit des lanceurs d'alerte à s'exprimer et à recevoir une compensation appropriée pour leurs divulgations protégées. Pour que le gouvernement fédéral garde une longueur d'avance sur l'intelligence artificielle, les accords de non-divulgation d'OpenAI doivent être modifiés ».

En mai dernier, OpenAI était déjà critiquée pour ces accords de confidentialité concernant les employés voulant quitter l'entreprise. Sam Altman s'était déclaré gêné par l'existence d'une clause qui interdisait la critique de l'entreprise à vie par ses anciens salariés.

Le 15 juillet 2024 à 09h42

OpenAI accusée devant la SEC d’accords de confidentialités illégaux

Meta supprime les derniers « garde-fous » contre Donald Trump sur Facebook et Instagram

Le 15 juillet 2024 à 08h59

Le 15 juillet 2024 à 08h59

Meta supprime les derniers « garde-fous » contre Donald Trump sur Facebook et Instagram

Cybersécurité : Google serait prêt à payer 23 milliards de dollars pour la start-up Wiz

Le 15 juillet 2024 à 08h21

C’est en tout cas ce qu’indiquent des sources généralement bien informées du Wall Street Journal. Les deux entreprises seraient en « pourparlers avancés » et un accord pourrait « bientôt être conclu, à condition que les négociations n’échouent pas », évidemment.

« Wiz propose une approche tout-en-un de la sécurité du cloud, en ingérant des données provenant d’Amazon Web Services, de Microsoft Azure, de Google Cloud et d’autres plateformes cloud, puis en les analysant toutes pour détecter les facteurs de risque de sécurité », explique TechCrunch.

La société, créée il y a quatre ans par d’anciens de chez Microsoft, a récemment levé 1 milliard de dollars pour une valorisation de 12 milliards de dollars. L’entreprise expliquait alors avoir des revenus annuels de 350 millions de dollars.

Le 15 juillet 2024 à 08h21

Cybersécurité : Google serait prêt à payer 23 milliards de dollars pour la start-up Wiz

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