Claranet nous explique le rachat d’Oxalide, hébergeur prisé des médias français

Au revoir Oxalide ?

Claranet nous explique le rachat d'Oxalide, hébergeur prisé des médias français

Le 09 juin 2017 à 12h47

Commentaires (8)

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ahh claranet je ne savais pas que ca existait encore.

on avait acheté un serveur chez un client à eux et ceux ci n’ont pas payé leurs factures

et ben devinez quoi clara a mis sous séquestre les serveurs (à l’arrache) et bim je n’ai jamais revu ce serveur

(certes histoire de + presque 20 ans mais ca m’a saoulé quand même)

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“avoir plus de mal à recruter et former des salariés qu’à trouver des clients.”



Quand je lis ça, je me demande combien ils proposent en salaire. Un bon gars, ça se paye.

Si tu payes pas cher tes salariés, tu peux te permettre d’être le moins cher et du coup de trouver pleins de clients :)

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Un ami et ex-collègue de travail vient de partir chez eux, ils paient bien :)

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Vu que j’y bosse (Claranet Webapps), salaire dans le haut du panier, après dans le travail tout n’est pas rose, comme partout il y a de (très) bon côté et des moins bon.



Si vous souhaitez postuler, il y a des cooptations n’hésitez pas à me contacter.



Après ne vous attendez pas à du DevOps, on ne fait pas de gros développement (en gros du dev pour de l’interne Puppet, Ansible, automatisation de l’infra …), après on bosse avec des TMA ou en direct avec le client, du coup il y a un contrat entre le DEV et l’OPS, c’est tout de suite plus difficile de donner des bonnes pratiques (ça dépend fortement des clients, du hyper positif aux personnes coincées dans les années 80) avec une bonne couche d’ITIL par dessus et une grosse charge de travail récurrente.



Bref, je doute qu’Oxalide soit plus DevOps que le Claranet historique, mais le marketing c’est tout beau (on l’a vu sur tous nos rachats où on nous promettait du lourd et au final c’est pas mieux quand ce n’est pas pire ailleurs)

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Ha! Claranet… Mon premier fournisseur d’accès à Internet… Faux mon premier était France Télécom avec un modem 14400 le deuxième avec un accès 128k… Ça marchait très bien



Pour se connecter aux stations de travail solaris de la fac…

Les années 90… Ma life off

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Ok, le soucis de trouver du monde n’est donc pas là merci :)

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Merci pour ton commentaire assez complet.

Une idée de pourquoi le recrutement est compliqué du coup?



Autrement, merci mais pour le moment je suis bien dans ma boîte, peut-être dans quelques années :)

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On préférera parler du métier de SRE (Site Reliability Engineer). Le Devops étant une culture.

Le raccourci est fait pour simplifier la lecture par le marché qui connait (mais souvent galvaude) ce terme.



La difficulté réside à trouver des profils qui sont extrêmement sollicités (l’offre et la demande).

L’explosion du Cloud (IaaS et PaaS) nécessite de changer d’état d’esprit sur la manière dont on design, construit et opère ces nouvelles plateformes.



Le développement est également de plus en plus présent et nécessite par conséquent des nouvelles compétences.



Nous cherchons à accompagner nos clients plus en amont notamment sur l’architecture technique mais aussi sur le release engineering (on parle d’intégration, de livraison et de déploiement continus).



L’enjeu est donc de pouvoir former les nouvelles générations à ces usages en pleines mutations.

Comme expliqué par Olivier, demain nous serons amenés à utiliser de plus en plus de plateforme de type Serverless. Notre métier se transforme et il faut donc s’adapter rapidement.



Enfin je confirme que les salaires sont soient au même niveau, soient au dessus de ce que propose le marché.

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