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Uber : des revenus doublés en un an, mais des pertes toujours colossales

Comment mettre d'Uber dans les épinards ?

Uber : des revenus doublés en un an, mais des pertes toujours colossales

Le 24 août 2017 à 13h15

En pleine tourmente après la démission de son PDG et plusieurs scandales touchant à divers aspects de sa « culture d'entreprise », Uber a présenté à ses investisseurs des résultats assez intéressants. D'un côté, les revenus progressent nettement. De l'autre, les pertes s'accumulent dangereusement.

Les derniers mois ont été plutôt mouvementés pour Uber. Depuis le début de 2017, l'entreprise doit faire face à une liste grandissante d'obstacles : 

C'est donc dans un contexte particulièrement tendu qu'Uber a dû présenter ses résultats trimestriels à ses investisseurs. L'entreprise n'étant pas cotée en bourse, ces informations ne sont normalement pas disponibles publiquement, mais Axios, généralement bien renseigné sur la société, est parvenu à mettre la main sur ces chiffres. 

La croissance, toujours

Plusieurs indicateurs sont à regarder de près pour jauger le niveau de croissance d'Uber, et donc sa forme. La première est celle du montant des courses commandées par les clients de la plateforme. Sur le deuxième trimestre 2017, il s'élève à 8,7 milliards de dollars, un chiffre en hausse de 17 % en trois mois et doublé en un an.

Le prix moyen des courses semble quant à lui avoir reculé, puisque le nombre de trajets effectués par les chauffeurs a bondi de 150 % sur un an, avec une croissance d'environ 90 % sur les marchés « développés » et de 250 % sur ceux « en développement ». Il est à noter que la comparaison ne tient pas compte du marché chinois, abandonné par l'entreprise à l'été 2016, mais inclut le marché russe.

Sur ces courses, Uber prélève des commissions, qui forment une large partie de ses revenus. Le total des revenus de l'entreprise atteint 1,75 milliard de dollars, contre 1,5 milliard au premier trimestre et environ 800 millions de dollars il y a un an.  

Concernant la mise en place de pourboires optionnels pour les chauffeurs, versés à la discrétion du client, de premiers chiffres font surface. Entre le 20 juin et le 20 août, les chauffeurs ont récupéré ainsi environ 50 millions de dollars.

Des pertes qui restent colossales

Si la croissance est au rendez-vous, les bénéfices eux, tardent toujours à venir, même si Uber assure que son activité principale est rentable. L'entreprise dépense en effet de fortes sommes dans d'autres domaines, notamment dans le développement de véhicules autonomes, dernière marotte de la Silicon Valley ou dans la livraison de repas avec UberEATS. 

Les pertes nettes d'Uber atteignent ainsi sur les trois derniers mois 645 millions de dollars. Une somme conséquente, mais malgré tout en baisse de 9 % sur trois mois et de 14 % sur un an. L'EBITDA est lui aussi négatif, à hauteur de 534 millions de dollars, contre 598 millions de pertes au premier trimestre. Les pertes sur six mois dépassent tout de même assez nettement le milliard, et rien ne laisse entrevoir que les deux milliards ne seront pas atteints d'ici fin décembre. 

Fatalement, les réserves de liquidités d'Uber s'amenuisent au fil des mois. De 7,2 milliards de dollars fin mars, il est désormais question de 6,6 milliards à fin juin. À ce rythme-là, Uber va devoir très certainement devoir se lancer dans de nouvelles levées de fonds pour rester sur les rails. 

La question de la valorisation

Seulement, cette fois, lever des fonds devrait être une tâche un peu plus difficile que par le passé pour Uber. Jusqu'ici, l'entreprise était friande de tours de tables. Entre décembre 2014 et juin 2016, nous en avons dénombré dix, pour un montant total de 12,4 milliards de dollars. La dernière en date avait permis au fonds d'investissement public de l'Arabie Saoudite (PIFSA) d'injecter 3,5 milliards de dollars dans l'entreprise, avec une valorisation comprise entre 62,5 et 66 milliards de dollars.

En avril, alors que la moitié des éléments perturbateurs cités en début d'articles n'avaient pas encore pris place, The Information révélait que les actions d'Uber s'échangeaient sur le marché secondaire avec des prix faisant osciller la valorisation de l'entreprise autour de 50 milliards de dollars. 

Il sera donc intéressant de voir si dans les prochains mois les dirigeants d'Uber se résoudront à procéder à un down round, une levée de fonds avec une valorisation en baisse, une pratique qui a souvent tendance à refroidir les investisseurs.

Commentaires (36)

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Ce sous-titre!

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ce sous titre…



ca force le respect (voir l’abonnement…)

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Bref, toujours déficitaire au bout de 8 ans. Ça tient jusqu’à ce que les investisseurs lâchent.

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Perso, le niveau de service amazon me convient bien. C’est proche de ce qui se fait de mieux en ecommerce.

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Si je comprend bien, l’évolution trimestrielle c’est:





  • revenus = 1,75 milliard de dollars (+118% sur un an)

  • pertes = 645 millions de dollars (-14% sur un an)







    Donc même avec 950 millions de revenu supplémentaire, Uber n’a épongé que 90 millions de perte.

    Faut y croire pour investir à long terme !





    Comment mettre d’Uber dans les épinards ?





    d’Uber St hubert ?

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C’est quand même assez symptomatique. On a une entreprise qui n’est pas rentable, fraude et optimise au mieux, promet monts et merveilles pour ses vrais-faux salariés, et saborde complètement le ciment social (impôts, cotisations sociales).

Et on a des gens qui veulent en faire notre modèle de société pour fluidifier et débloquer les supposés freins à notre vieux modèle.

Que techniquement, Uber (comme d’autres entreprises) ait innové et en ce sens amélioré le service pour les utilisateurs, ok, mais à un moment il va falloir se réveiller et cesser de se comporter n’importe comment aussi en temps que client en favorisant ce genre de modèle qui est loin d’être neutre.

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Ne pas aller trop vite en conclusions, d’après l’article leur activité principale est rentable (à vérifier bien sur) du coup ce serait plutôt la gestion des fond et des investissement de l’entreprise qui serait à recadrer.

Du coup la partie d’Uber transport VTC est pas forcément un mauvais exemple, c’est ce qu’il se passe autour qui l’est selon moi.

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mwoué, si c’est rentable uniquement grâce à l’optimisation fiscale, ça rejoins Hipparchia : on a encore un modèle qui sous excuse de “caser” le vieux système détruit en fait tout notre modèle de société (je l’accorde c’est clairement pas le seul et c’est légal …)



Le truc qui est con avec Uber c’est qu’il suffirait que les centrales de taxis mettent en place une appli du même genre, et généralise la CB (voir CB avec sans contact) pour qu’Uber disparaisse



Après tout les gens ne sont pas aussi cons qu’on veut bien le croire : pour un même niveau de service, entre une entreprise qui respecte le fonctionnement de notre société et une autre qui truande (même légalement), leur choix sera vite fait.



Le problème c’est ‘avoir un même niveau de service’ (raisonnement qui pourrait d’ailleurs s’appliquer à amazon)


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On est donc tout à fait d’accord.

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Le truc qui est con avec Uber c’est qu’il suffirait que les centrales de taxis mettent en place une appli du même genre, et généralise la CB (voir CB avec sans contact) pour qu’Uber disparaisse





Et oui, mais c’est comme pour le business du tv/ciné… les partisans de l’ancien système espèrent bien que le nouveau système sera supprimé/régulé, et qu’il pourront ainsi continuer à profiter des juteux privilèges qu’ils ont mis en place depuis des années.


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C’est typique des start-ups !

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Uber est en train de casser le modèle sociale français. Il paraîtrait qu’Uber permet à des milliers de personnes d’avoir un travail en France. Certes, mais il faut voir les conditions de travail et le contrat de travail… ah oui, mais il n’y a pas de contrat de travail chez Uber…



Uber et l’ubérisation de la société française… ou comment proposer du travail précaire sous-payé et pénible…



Pourtant, il me semble bien qu’Uber a été applaudi lorsqu’il a posé ses pieds en France… Les Français ont la mémoire courte.

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Tout a fait. Il vaut mieux être un chômeur stable qu’un travailleur précaire.



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AltreX a écrit :



Du coup la partie d’Uber transport VTC est pas forcément un mauvais exemple, c’est ce qu’il se passe autour qui l’est selon moi.





Bah si, faire du salariat déguisé en détournant le statut d’auto-entrepreneur, c’est un mauvais exemple. J’imagine que toi tu es en CDI pour trouver que Uber est un bon modèle ? (pour les autres)

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Mon ex beau-frère en est revenu de son aventure chez Uber… Il a revendu sa liste de clients pour retourner travailler en tant qu’ambulancier quand ils ont augmenté leurs prélèvements sur les commissions. Quant au crédit contracté pour son Insigna, c’est un autre souci…

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C’est pire que ça ! Les gens qui travaillent pour les Uber et autres Deliveroo travaillent comme des dingues pour ne presque pas avoir de quoi vivre et ils sont entièrement dépendants du fait du prince. Raison pour laquelle, leur statut d’indépendants devrait être requalifié en contrat de travail.



Soit dit en passant,&nbsp; c’est pas mieux ailleurs : l’herbe y est tout aussi pourri.

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Exactement, et puis le chomeur stable est un électeur de choix facile à acheter avec des aides payés par ceux qui ont l’audace la folie de travailler.

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Derived a écrit :



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Ce sous-titre!







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teddyalbina a écrit :



Exactement, et puis le chomeur stable est un électeur de choix facile à acheter avec des aides payés par ceux qui ont l’audace la folie de travailler.







https://www.developpez.com/actu/155416/Avoir-un-mauvais-emploi-pourrait-etre-pir… <img data-src=" />


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numerid a écrit :



C’est pire que ça ! Les gens qui travaillent pour les Uber et autres Deliveroo travaillent comme des dingues pour ne presque pas avoir de quoi vivre et ils sont entièrement dépendants du fait du prince. Raison pour laquelle, leur statut d’indépendants devrait être requalifié en contrat de travail.







C’est pas parce qu’un indépendant choisit de travailler avec un seul client (ici une seule plateforme) que ca doit être assimilé à du salaria.



Tout est dans l’existence d’un lien de subordination. A partir du moment où le chauffeur est libre d’accepter ou de refuser une course (=l’offre de travail) proposée par Uber, alors il n’y a pas subordination.


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127.0.0.1 a écrit :



C’est pas parce qu’un indépendant choisit de travailler avec un seul client (ici une seule plateforme) que ca doit être assimilé à du salaria.



Tout est dans l’existence d’un lien de subordination. A partir du moment où le chauffeur est libre d’accepter ou de refuser une course (=l’offre de travail) proposée par Uber, alors il n’y a pas subordination.





Et bien le lien de subordination existe : l’indépendant ne choisit pas de travailler avec un seul client, c’est le client qui demande l’exclusivité (que ce soit Uber ou Deliveroo).

Et le chauffeur n’est pas libre de refuser une course, sauf s’il a envie de se faire désactiver (c’est comme ça qu’on dit, c’est plus convenable que “licencier”).

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Il a été applaudi car il mettait un bon gros coup de pieds dans les tronches des taxi parisien ( jamais eu de problème avec les taxis hors région parisienne) qui le méritaient amplement.

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C’est très curieux de voir cette tentation de traiter un vrai problème ( le cas des taxis) avec une fausse solution ( Uber ).

En réalité, le nouveau monde remet au goût du jour des anciennes pratiques comme au 18e siècle.

Confusion entre nouveauté, progrès et modernité.

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Le terminal CB est obligatoire dans les taxis français… mais ils n’ont pas l’obligation de l’“utiliser”, enfin de permettre aux clients de payer avec. Le célèbre “le terminal est en panne” est donc toujours courant en région parisienne <img data-src=" />

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L’exclusivité ca peut effectivement être assimilé a de la subordination.



L’autre cas non… Uber (ou n’importe quel société/individu) peut tout a fait refuser de travailler avec un indépendant (ou n’importe quel société/artisan) qui n’a pas/mal fait le boulot dans le passé.

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Z-os a écrit :



Le terminal CB est obligatoire dans les taxis français… mais ils n’ont pas l’obligation de l’“utiliser”, enfin de permettre aux clients de payer avec. Le célèbre “le terminal est en panne” est donc toujours courant en région parisienne <img data-src=" />



Terminal qui refonctionne toujours par miracle quand tu dis que tu ne peux plus retirer et que tu n’as pas de liquide sur toi…


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Oui je suis en CDI et ? je ne vois pas le rapport ? certes le détournement de l’autoentrepreneuriat n’est pas acceptable, je te remercierais de ne pas détourner mes propos pour me faire dire n’importe quoi, ce que je défend dans Uber c’est le service qui est proposer, pas la façon dont il exploitent les failles du système.

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J’utilisehttp://www.alphataxis.fr/# (une coopérative) pour le boulot quand j’ai besoin.

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Ton deuxième cas alimente le premier.

&nbsp;Par ailleurs, on en connait des “coursiers” Uber ou autre qui ont le loisir de bosser avec une autre enseigne à côté?

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AltreX a écrit :



Oui je suis en CDI et ? je ne vois pas le rapport ? certes le détournement de l’autoentrepreneuriat n’est pas acceptable, je te remercierais de ne pas détourner mes propos pour me faire dire n’importe quoi, ce que je défend dans Uber c’est le service qui est proposer, pas la façon dont il exploitent les failles du système.





Les deux vont ensemble : ce qui fait la “qualité” d’Uber face aux taxis traditionnels (prix, disponibilité, chauffeur qui te fait des courbettes et te lèche les pompes, etc.), ça ne marche que parce que les employés (ou plutôt : prestataires auto-entrepreneurs) sont précaires sur un siège éjectable. Avec des employés normaux, payés au juste prix, en CDI, ce serait plus cher, et encore plus cher pour trouver une voiture aux horaires à la con, et jamais le chauffeur ne transpirerait à grosse goutte à l’idée qu’un client puisse lui mettre seulement 4 étoiles parce qu’il n’a plus de stock de petits bonbons s’il n’y avait pas ce management par la terreur.


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odoc a écrit :



Le truc qui est con avec Uber c’est qu’il suffirait que les centrales de taxis mettent en place une appli du même genre, et généralise la CB (voir CB avec sans contact) pour qu’Uber disparaisse&nbsp;





&nbsp;Je trouve l’appli de G7 tout à fait au niveau, on retrouve les mêmes fonctionnalités que Uber il me semble (je n’utilise pas ce dernier donc à voir dans le détail) : localisation des taxis, que tu peux visualiser en direct sur la carte, tu peux entrer ta CB dessus et être débité automatiquement, etc. Sur G7 il y a déjà aussi des services de taxi partagé ca marche bien notamment pour les lieux type gares ou aeroport. J’en suis content et franchement à service égal tu payes moins cher qu’un VTC.&nbsp;

S’il est vrai qu’Uber a bougé les lignes et contraint les services de taxi à s’adapter, aujourd’hui les atouts en faveur des VTC, c’est souvent dans la tête des gens (au moins dans les villes, je ne suis pas sûr dans le cas de la province).&nbsp;


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+1

Mais les Uber à service égal sont souvent plus chers que les taxis, du moins dans les (grandes?) villes.

Et la mode des VTC cause d’autres torts, y a qu’à débarquer ds un aéroport parisien, Orly ou Roissy : quand tu vas prendre un taxi 15 mecs te tombent dessus avant que t’atteignes la file officielle des taxis pour t’embarquer en te disant que ce sera moins cher avec eux… alors que ça ira taper le double. Le pire est que je ne caricature même pas… après s’être battu les premiers temps les chauffeurs de taxi sont aujourd’hui en sous-nombre par rapport aux VTC qui racolent et font la loi là-bas.&nbsp;

Ca donne vraiment une super image aux touristes qui débarquent j’imagine…

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alex.d. a écrit :



Les deux vont ensemble : ce qui fait la “qualité” d’Uber face aux taxis traditionnels (prix, disponibilité, chauffeur qui te fait des courbettes et te lèche les pompes, etc.), ça ne marche que parce que les employés (ou plutôt : prestataires auto-entrepreneurs) sont précaires sur un siège éjectable. Avec des employés normaux, payés au juste prix, en CDI, ce serait plus cher, et encore plus cher pour trouver une voiture aux horaires à la con, et jamais le chauffeur ne transpirerait à grosse goutte à l’idée qu’un client puisse lui mettre seulement 4 étoiles parce qu’il n’a plus de stock de petits bonbons s’il n’y avait pas ce management par la terreur.







Oui effectivement, quand je parlais du service je pensais plus à l’application mobile qu’a la prestation du chauffeur (qui pour être honnête m’a toujours paru équivalente a celle des taxis traditionnel)





Coeur2canard a écrit :



Je trouve l’appli de G7 tout à fait au niveau, on retrouve les mêmes fonctionnalités que Uber il me semble (je n’utilise pas ce dernier donc à voir dans le détail) : localisation des taxis, que tu peux visualiser en direct sur la carte, tu peux entrer ta CB dessus et être débité automatiquement, etc. Sur G7 il y a déjà aussi des services de taxi partagé ca marche bien notamment pour les lieux type gares ou aeroport. J’en suis content et franchement à service égal tu payes moins cher qu’un VTC. 

S’il est vrai qu’Uber a bougé les lignes et contraint les services de taxi à s’adapter, aujourd’hui les atouts en faveur des VTC, c’est souvent dans la tête des gens (au moins dans les villes, je ne suis pas sûr dans le cas de la province).







Mais du coup si certaines boîtes de taxi traditionnel se sont mise à la page c’est qu’elles ont tiré les bonnes leçon de tous ça, je mis intéresserais de plus prêt du coup (je n’étais pas au courant).


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AltreX a écrit :



Mais du coup si certaines boîtes de taxi traditionnel se sont mise à la page c’est qu’elles ont tiré les bonnes leçon de tous ça, je mis intéresserais de plus prêt du coup (je n’étais pas au courant).





Je ne parle que de G7, pas sûr que ca concerne l’ensemble (ou même la majorité) des taxis. Je suis bcp sur les routes avec le boulot et certaines situations en province me donnent parfois furieusement envie d’aller voir ailleurs (c’est quand même loin d’être tjs le cas)


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je connaissais pas, merci :)

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Le problème c’est pas tant qu’il soit “en panne” mais que bien souvent le prix de la course est inférieur au minimum possible pour payer par la carte … (alors que le système sans contact réglerait le problème …)

Uber : des revenus doublés en un an, mais des pertes toujours colossales

  • La croissance, toujours

  • Des pertes qui restent colossales

  • La question de la valorisation

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