Nouvel espace réservé de Windows 10 : comment ça marche ?
Pour une poignée de Go
Le 13 février 2019 à 13h00
11 min
Logiciel
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La future mise à jour April 2019 de Windows 10 réservera 7 Go supplémentaire pour ses besoins quotidiens en maintenance. En voici les objectifs et le fonctionnement en détail, même si les machines concernées seront dans un premier temps peu nombreuses.
L’espace occupé par un système d’exploitation, particulièrement Windows, n’est pas une mesure fiable. Les éléments à inclure sont nombreux et évoluent avec le temps. Doit-on parler de la base technique ? Des applications fournies avec ? Des pilotes ? Et que dire dans ce cas de l’ensemble des opérations créant sans cesse des copies de sauvegarde, des caches et autres dossiers temporaires ?
D’un ordinateur à un autre, Windows 10 prend plus ou moins ses aises en fonction des habitudes de l’utilisateur. Par exemple, plus les installations de logiciels et pilotes se multiplient, plus le nombre de fichiers périphériques augmente, au-delà des seules applications. Windows garde souvent en réserve les installeurs qui permettent la modification, la réparation ou la suppression.
Conséquence, l’espace disponible fluctue d’une manière telle que ni l’utilisateur ni le système ne peuvent prévoir. Le premier peut se faire une raison, se lancer dans une chasse aux détritus numériques, ou basculer sur un support de stockage externe pour être certain de n’y stocker que des données personnelles. Le second doit en revanche jongler avec un paramètre très aléatoire, qui peut lui poser de vraies difficultés avec le temps.
Le cas le plus typique est celui d’une installation d’application ou, plus important, d’une mise à jour. Dans un monde idéal, Windows vérifie l’espace disponible avant de procéder aux grands travaux. L’exemple le plus significatif est celui des mises à jour semestrielles majeures. Si le système signale assez de place, l’installation continue. Dans le cas contraire, le processus affiche une erreur.
Mais cette méthode n’est pas assez fiable. Il est arrivé que l’installation se bloque et provoque le retour à l’état précédent à cause d’informations erronées. Pour remédier à ce problème, la prochaine version majeure de Windows 10, dont le nom sera probablement April 2019 Update (1903), mettra en place un espace réservé.
Le fonctionnement de l’espace réservé
Cette fonctionnalité a débarqué dans la préversion (build) 18298. Les actuels testeurs du programme Windows Insiders l’ont donc déjà depuis plusieurs semaines dans le canal rapide, le lent n’ayant pas encore reçu la moindre nouvelle version depuis l’October 2018 Update (à environ un mois de la finalisation, ce n’est jamais arrivé, mais on imagine que c’est imminent).
L’espace réservé n’est cependant pas actif par défaut. Si votre compte Microsoft est bien affilié Insiders, il suffira de compléter cette « quête ». Après acceptation, il vous faudra modifier une clé de registre. Nul besoin de redémarrer ou d’attendre – comme indiqué dans le hub de commentaires – l’installation de la préversion suivante. Le changement est immédiat si vous avez au moins la build 18298.
Globalement, Windows 10 réserve pour le moment 7 Go d’espace de stockage pour des besoins divers : installations de mises à jour, données de certaines applications, caches, fichiers temporaires et autres. Dans le détail, cet espace sera ponctionné directement dans le système de fichiers. NTFS va renvoyer à l’utilisateur une drôle d’information : l’espace consommé aura tout simplement augmenté de 7 Go sur une configuration par défaut.
Microsoft dit avoir exploré plusieurs pistes, comme les quotas NTFS et même les disques virtuels VHDX. Toutes avaient cependant des désavantages. Par exemple, les VHDX avaient un comportement fiable mais grevaient les performances à cause d’opérations inutiles de copies et de traductions des noms (deux espaces de nommage différents).
L’espace réservé se fait finalement sur la base d’un « amendement » à NTFS. Le système de fichier possède désormais un mécanisme dédié à la « Servicing Stack » (pile de maintenance) de Windows 10, qui s’occupe justement des mises à jour, rôles de la machine et fonctionnalités supplémentaires (via la couche CBS pour ces deux derniers).
Traduction : toute fonction ayant besoin de cette Stack sera automatiquement réorientée par NTFS vers cet espace réservé. Une solution décrite par Microsoft comme « élégante » sur un plan technique puisque ayant permis la création d’un nouveau service au sein-même du système de fichiers. Ensuite, parce que l’espace consommé ne variera pas : que les mises à jour et applications aient besoin de 2 ou 6 Go, l’utilisateur verra toujours la même. À moins que les besoins n’excèdent 7 Go.
Si le fonctionnement vous semble familier, c’est qu’il ressemble de près aux mécanismes des images disques créées par les clients de virtualisation (d’où l’idée de considérer VHDX en premier lieu). Tous utilisent à peu près la même méthode : créer un espace de stockage fixe défini de 20, 40 ou 60 Go par défaut, qui sera ensuite plus ou moins rempli. Si le client détecte des besoins supplémentaires, la taille de la « partition » sera revue à la volée.
L’évolution de l’espace réservé dans le temps
L’espace consommé par le système (au sens large) devrait donc moins fluctuer avec le temps. Toutes les opérations courantes de Windows et des applications utiliseront en effet cet espace en priorité. Microsoft prévient cependant d’emblée : selon l’usage fait de la machine, ces fameux 7 Go pourront augmenter (jamais diminuer, en dépit des informations qui apparaissent dans Paramètres).
Microsoft donne tout de même deux facteurs pouvant influencer cette taille : les fonctionnalités optionnelles et les packs de langage. Le premier sera le plus courant, la grande majorité des utilisateurs n’ayant qu’une ou deux langues installées. La liste des fonctions se gère depuis Paramètres > Applications et fonctionnalités (à droite)> Activer ou désactiver des fonctionnalités Windows.
C’est ici que l’on trouve les anciens frameworks .NET, Active Directory, Hyper-V, IIS, Internet Explorer 11, les vieux protocoles SMB, le sous-système Windows pour Linux (WSL), le client Telnet, PowerShell et ainsi de suite. La liste dépend de l’édition de Windows 10 utilisée, Hyper-V et WSL n’étant par exemple disponibles que dans les éditions Professionnelle et Enterprise.
La configuration par défaut mentionnée par Microsoft est celle d’un Windows 10 fraichement installé. Si l’utilisateur active des fonctions supplémentaires, l’espace réservé va augmenter via une opération simple : taille du téléchargement + taille de l’installation. Si 70 Mo sont nécessaires pour télécharger un composant et 200 Mo pour son installation, l’espace réservé augmentera de 270 Mo et passera donc à 7,27 Go.
On peut également utiliser une commande PowerShell (avec droits administrateur) pour obtenir le degré de remplissage du stockage réservé :
fsutil storagereserve query C:
Sur l’ensemble de nos tests, nous n’avons jamais réussi à saturer ce stockage réservé, un Windows 10 neuf déclarant 2,5 Go consommés sur les 7 Go prévus. L’installation de plusieurs applications, dont Office 365, n’a guère fait évoluer ce chiffre (de 2,5 à 2,62 Go). Celle de plusieurs composants supplémentaires (notamment Hyper-V et WSL) a à peine fait bouger le résultat (2,69 Go). Ajouter Ubuntu 18.04 pour compléter le sous-système Linux n’a rien changé.
Une plus longue période de surveillance est donc nécessaire pour observer le fonctionnement, les préversions concernées n'étant disponibles que depuis quelques semaines. Les variations seront certainement plus faciles à observer avec le passage des mises à jour mensuelles et semestrielles.
Voici pour comparaison deux captures issues de la dernière révision stable de Windows 10. Ces informations, que n’importe quel utilisateur peut retrouver dans Paramètres > Système > Stockage, mentionnent dans la liste générale un « espace réservé » qui n’apparaît pas dans le détail. En dépit d’un même nom, il s’agit bien d’un fonctionnement différent : Windows 10 ne réserve de l’espace que quand il en a besoin.
La fiabilité au détriment de l’espace disponible
L’idée de Microsoft est évidente dans l’absolu : augmenter le niveau de fiabilité des processus internes du système pour les opérations de maintenance. Après tout, l’éditeur a suffisamment eu de problèmes en 2018 avec les mises à jour d’avril et octobre, qui ont cumulé un tel nombre de difficultés qu’une partie des utilisateurs a désormais peur de Windows Update. Une situation à risque pour l’entreprise, chat échaudé craignant l’eau froide.
Cela étant, Microsoft va devoir faire tout un travail d’éducation. Tous les utilisateurs n’apprécieront pas forcément de voir leur espace libre amputé de 7 Go sans la moindre explication. Le système ne dit rien pour l’instant et la fonction s’active par une modification du registre. On se demande d’ailleurs comment Microsoft compte procéder : ne rien dire au risque de faire froncer des sourcils, ou expliquer au risque de donner des informations trop techniques pour des néophytes ?
D’autant que cette captation de 7 Go ne remet pas en cause d’autres processus comme la mémoire virtuelle et la restauration système. Après installation d’une mise à jour majeure, on trouve ainsi un dossier windows.old
dans le lecteur C:. Il contient l’ancienne version du système, la taille du répertoire pouvant aller jusqu’à plus de 20 Go.
De quoi faire prendre peur à un utilisateur qui se demandera par quelle sorcellerie son espace libre a été amputé d’autant de gigaoctets. Bien sûr, le « problème » se corrigera de lui-même puisque l’ancien système n’est gardé qu’un mois, afin que l’utilisateur puisse faire machine arrière si besoin.
Sinon, il peut de lui-même faire un clic droit sur son lecteur C: dans l’Explorateur, ouvrir les Propriétés puis cliquer sur Nettoyage de disque. Il faudra ensuite se rendre dans Nettoyer les fichiers système et chercher la ligne « Précédentes installations de Windows ». Pratique pour récupérer rapidement entre 15 et 20 Go, mais pas pour restaurer. Un avertissement est d’ailleurs affiché.
D’après les explications données par Microsoft, l’espace réservé sera en partie utilisé pour stocker windows.old
. À la suppression de celui-ci, la place libérée sera en priorité récupérée par l’espace réservé, puis le reste dans le stockage disponible du SSD ou disque dur.
Par défaut sur les machines neuves... et les réinstallations de Windows
Pour ne pas affronter ces problèmes, Microsoft a une solution : l’espace réservé ne sera activé par défaut que sur les machines neuves vendues avec une version April 2019 de Windows 10 ou ultérieure.
L’éditeur s’assure ainsi que les ordinateurs concernés devraient tous avoir assez de stockage. En théorie, aucun utilisateur mettant à jour son PC vers la future April 2019 Update ne devrait avoir d’espace réservé, à moins qu’il se rende manuellement dans la base de registre pour modifier la clé liée (si la manipulation est encore possible).
Mais comme un développeur l'indique dans les réponses données aux commentaires, la réinstallation complète de Windows sera concernée. Une opération qui peut survenir pour différents besoins, comme nous l’expliquions récemment dans un article dédié. Si cette réinstallation se fait depuis une image ISO à jour après déploiement de l’April 2019 Update, le stockage réservé sera activé par défaut. Comme pour l’activation sur une machine en étant dépourvue, il faudra alors vérifier si la fonction peut être manuellement coupée dans l’éditeur de registre.
Les possesseurs d'ordinateurs portables qui auraient à réinstaller Windows 10 devront donc faire attention. De nombreux modèles ont été vendus avec de petits SSD de 32 ou 64 Go. Le fonctionnement du stockage réservé va probablement encore être affiné, mais il serait sans doute judicieux que Windows s'en passe quand une petite partition est détectée. Le système lui-même consommant environ 15 Go, l'ajout de ces 7 Go verrouillés serait en effet douloureux.
Quelles que soient finalement les qualités de cette nouveauté, l’impact sur la fiabilité ne pourra être réellement mesuré que plus tard dans l’année, particulièrement à l’automne prochain avec l’October 2019 Update. À Microsoft de communiquer ensuite d’éventuelles statistiques montrant les bienfaits de sa solution.
Le 13 février 2019 à 13h00
Nouvel espace réservé de Windows 10 : comment ça marche ?
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Le fonctionnement de l’espace réservé
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L’évolution de l’espace réservé dans le temps
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La fiabilité au détriment de l’espace disponible
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Par défaut sur les machines neuves... et les réinstallations de Windows
Commentaires (36)
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Abonnez-vousLe 13/02/2019 à 13h35
#1
C’est quand même mal conçu au départ ce truc “Windows garde souvent en réserve les installeurs qui permettent la modification, la réparation ou la suppression.”
" />
Merci de l’info détaillée, encore un argument pour ne plus jamais changer de Windows " />
Le 13/02/2019 à 13h38
#2
Whaa c’est beau Windows tout blanc !
(ok c’est hors sujet " /> )
Le 13/02/2019 à 13h40
#3
Le 13/02/2019 à 13h59
#4
si l’install s’est faite à partir d’un .msi, tu as parfois besoin de ce même .msi pour virer ou mettre à jour le programme en question (j’avais le cas avec flashplayer dans le temps) " />
Le 13/02/2019 à 14h09
#5
C’est tout de même curieux comme situation, d’autres systèmes d’exploitation sont mis à jour sans recourir à l’amputation d’une part non symbolique du disque.
Je subi ce fameux windows 10 depuis quelques semaines sur mon portable perso et j’ai déjà pu expérimenter;
. windows S et galéré pour le virer car l’option pour en sortir est contreintuitive (le store patinant largement avant d’enfin télécharger),
. l’obligation d’aller sur le store pour avoir la calculatrice (store qui a bien patiné avant de la télécharger),
. l’occupation de l’espace par d’anciennes maj (que j’ai viré) de façon incompréhensible alors que la possibilité de revenir en arrière me semble relever des points de restauration et donc de la sauvegarde,
. un sentiment pénible d’être dissuadé d’utiliser autre chose que edge et envahi par corona (avant de le virer),
. l’installation d’un pilote intel plus ancien que celui présent de base après une maj windows, me faisant planter mon émulateur préféré (mettant un certain temps à identifier le problème).
Si on ajoute à ce très mauvais début d’expérience utilisateur, que les prochains vont avoir (à minima) 7g réservés (ce qui est par rien sur les petites config SSD), ils font tout pour que les avis soient pas franchement nuancés concernant windows 10.
(Je passe sur le fait que je ne fais strictement rien de plus que je ne faisais pas déjà sous win7).
Le 13/02/2019 à 14h09
#6
c’est bien de ça dont je parle.. se trainer tous les msi en stock “au cas où”, que tu pourrais quand même virer mais en fait non parce qu’après tu peux plus en désinstaller, c’est un truc mal branlé " />
l’OS peut pas lister ce que tel exécutable a apporté avec lui, et les flinguer à la suppression ?
Le 13/02/2019 à 14h09
#7
Quand tu installe un logiciel et tu vois à la fin, un message disant “installation est en train d’optiomiser les performances….”, il est en fait en train de copier l’installation complete sur ta partition windows.
Le plus connu est acrobat reader. Il y a Microsoft office qui copie tout l’installation dans une dossier caché également même si tu fait une installation complete. Le but étant que tu veut ajouter une nouvelle fonction, tu a pas besoin de remettre le DVD dans le lecteur mais bon, quand tu fait une installation complète, c’est pourtant pas necessaire.
Le 13/02/2019 à 14h13
#8
oui le MSOCache moisi, encore du disque parasité pour rien " />
Le 13/02/2019 à 14h50
#9
généralement le “l’installation est en train d’optimiser les performances….” c’est plutôt le ngen qu’autre chose.
Le 13/02/2019 à 14h57
#10
Pour éviter ça, il faut installer Office depuis le Store. En effet, les applications installées depuis le Store sont entièrement gérées par lui et la désinstallation en est simplifiée.
En ce qui concerne l’espace réservé, ça fonctionne bien. Enfin, chez moi, quand je l’ai activé sur ma Surface Pro 4, ça a rendu le système instable. J’avais une alerte BitLocker à chaque démarrage, les mises à jours suivantes en échec, etc.
Après une réinitialisation, tout fonctionne et l’espace réservé est bien activé comme avec une installation neuve. La mise à jour suivante s’est très bien passée même si elle a pris des heures !
Le 13/02/2019 à 15h32
#11
De ce que j’ai pu voir, la plupart des .msi sont dans le répertoire d’installation de l’application, pas dans le répertoire Windows.
Le 13/02/2019 à 16h33
#12
Jette un œil dans %windir%\installer alors ;)
Le 13/02/2019 à 16h57
#13
Le 13/02/2019 à 17h03
#14
Bizarre, en général il empèche de lancer l’ugrade s’il a pas assez de place.
Par contre, ma pauvre tablette avec 32Go elle va encore plus en chier niveau espace libre si j’ai bien compris ? :/
Le 13/02/2019 à 17h40
#15
Effectivement, c’est installé en double ?
Le 13/02/2019 à 17h41
#16
Le 13/02/2019 à 19h01
#17
Windows ne m’a jamais fait le coup, c’était sous CentOS (4 ou 5, j’sais plus) et plus récemment openSUSE à cause du BtrFS et ses snapshots
Le 13/02/2019 à 19h27
#18
Pour venir du monde Linux et avoir développé un logiciel Windows, j’ai pété Ussi un câble sur ça.
sous Linux, les gestionnaires de paquet stockent juste une liste de fichiers et le script (custom par le mainteneur de paquets) de désinstallation.
c’est stupide que Windows stocke LE Contenu des fichiers À SUPPRIMER…
Le 13/02/2019 à 19h47
#19
Effectivement sous linux tu peut te retrouver dans des situations amusantes si ton gestionnaire de paquet n’as plus assez d’espace, mais c’est un peu le soucis de toute façon quand on atteint les limites de d’une partition, tout se coince facilement. J’ai déjà eu des cas comme ça mais j’ai jamais réussi à casser pour autant le système, il y avati toujours un truc quelque-part à vider sur le système pour retrouver la lumière.
J’ai remarquer que ça arrivais relativement sous linux à cause de deux raisons :
Dans un genre similaire de truc rigolo que j’ai eu sous linux, c’est le système sans swap. Ça marche très bien, jusqu’à que tu tombe sur un truc un peu consommateur qui compte sur l’existence de celle-ci.
Le 13/02/2019 à 22h47
#20
Quelle m… ce répertorie installer, il ocupe 30go sur mon pc pro et interdiction d’y faire le ménage. Entre ça et winsxs Microsoft s’y entend pour rendre obsolète un pc.
Le 13/02/2019 à 23h15
#21
Le 14/02/2019 à 00h07
#22
Le 14/02/2019 à 00h43
#23
Le 14/02/2019 à 07h23
#24
J’avais oublié le /boot, il y a quelques années certaines distribs (de mémoire au moins Red Hat / CentOS) faisaient une partition de 100MB, ce qui pouvait devenir insuffisant après quelques mises à jour de kernel ou si tu réinstallais la version majeure suivante comme un bourrin sans repartitionner et lui donner au moins 500MB " />
Le 14/02/2019 à 09h43
#25
Oui, c’est ça. Maintenant que tu le le dit, le gars qui m’en avait parlé il y a quelques années m’avait dit cette histoire de partition trop petite. Il n’y avait pas une histoire de fichier log dedans ? Il me semble que ça bloquait totalement le démarrage et on était obligé de passer par un liveCD/USB pour régler le problème.
Le 14/02/2019 à 09h55
#26
Le 14/02/2019 à 10h08
#27
D’après Microsoft, seuls 32 Go sont nécessaire pour installer Windows 10.
Le 14/02/2019 à 10h34
#28
Le 14/02/2019 à 10h44
#29
Si tu as un produit Apple, il est automatiquement sauvegarder sur ta partition principale, j’ai gagné quelques Go en redirigeant le répertoire de sauvegarde Itunes
Le 14/02/2019 à 11h28
#30
Le 14/02/2019 à 11h35
#31
Le 14/02/2019 à 15h02
#32
Le 14/02/2019 à 18h10
#33
La future mise à jour April 2019 de Windows 10 réservera 7 Go supplémentaire pour ses besoins quotidiens en maintenance.
" /> C’est déjà assez large pour contenir la partition racine d’un mint avec pas mal d’applications tout en gérant très bien l’ajout/suppression de programme. " />
Le 15/02/2019 à 07h03
#34
Le 16/02/2019 à 08h18
#35
Le 18/02/2019 à 20h51
#36
À une époque, ça s’appelait temp (un simple dossier). Je ne comprends pas en quoi un désinstallateur devrait occuper plus d’ 1Ko. L’idée de réserver de l’espace pour les mises à jour en revanche, ça me paraît logique. Le disque dur d’un utilisateur moyen est difficilement occupé à plus de 10%, alors ça ne mange pas de pain.