Microsoft Inspire 2020 : Teams et Azure mènent la danse
Pas vraiment de quoi calmer Slack
Le 24 juillet 2020 à 09h01
13 min
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La conférence Inspire vient de se terminer. Ses sessions et nouveautés présentées ont presque toutes tourné autour d'une seule thématique : la transformation numérique de l'entreprise. En pleine crise sanitaire, et face à une nécessité de faire bouger les lignes, Microsoft vante une vision cohérente.
Comme son nom l’indique, cette conférence sert à « inspirer » les partenaires et plus globalement les entreprises, en leur montrant la voie à suivre. C’est un état des lieux et une réflexion sur les usages des technologies maison, appliquées à des situations ou scénarios particuliers. Elle donne en quelque sorte le « la ».
L’édition 2020 avait une saveur particulière. Crise sanitaire oblige, elle était virtuelle, comme l’ensemble des évènements de ce type depuis plusieurs mois (quand ils ne sont pas annulés). Ensuite, de nombreuses présentations étaient en lien direct avec la situation actuelle. Gavriella Schuster, à la tête de la division One Commercial Partner, a largement insisté sur la place du numérique dans l’adaptation des entreprises, particulièrement pour les employés de première ligne.
Les constats sont, selon elle, manifestes. Les partenaires proposent notamment des offres aujourd’hui qui n’existaient pas au début de l’année. Judson Althoff, vice-président de Microsoft, abonde : « Nous avons vu plus de transformations numériques survenir au cours des deux derniers mois que durant les deux dernières années ».
Il note en particulier un important changement dans la manière dont le numérique est considéré, non plus comme un complément, mais comme une finalité en soi. La crise liée à Covid-19 a mené de nombreuses structures à repenser leur activité pour s’adapter, autant que possible, à des conditions de travail qui pourraient perdurer un bon moment. Un renouvellement des méthodes poussé par la nécessité, mais pas seulement.
Pour joindre la pratique à la théorie, Microsoft a fait de nombreuses annonces, surtout autour de Teams et d’Azure. On note également une réflexion sur un renouvellement en cours de l'expérience utilisateur de Microsoft 365. L'éditeur y a consacré un vaste billet, dans lequel il décrit en long et en large sa vision.
Teams le concentrateur
Les présentations de Microsoft sont très claires désormais : Teams ne doit plus être considéré comme un concurrent de Slack, dont le nom n’est jamais prononcé. Il faut dire que la startup vient de déposer une plainte devant la Commission européenne contre son concurrent pour pratiques anti-concurrentielles.
Où Slack se positionne avant tout comme une messagerie capable de s’interfacer avec d’autres services, Teams est donc présenté comme un outil venant chapoter l’ensemble des produits de Microsoft. Il propose une intégration profonde aux entreprises déjà clientes de l’éditeur et se présente donc comme une plateforme. Du moins… jusqu’à très récemment.
La plupart des annonces faites à la conférence Inspire vont dans ce sens. Teams va ainsi récupérer prochainement plusieurs fonctions provenant de la Power Platform : Dataflex, Power Apps, Power Automate et les Power Virtuals Agents seront bientôt proposés à une partie des comptes Office 365 et Microsoft 365, avant une diffusion plus large. Ces ajouts seront gratuits. Même chose pour Power BI, dont la nouvelle application devrait simplifier l’accès aux données.
Les appareils prévus pour les Teams Rooms peuvent être désormais directement gérés depuis le centre d’administration du service. Les Rooms ont en outre accès à une offre Premium, qui confie à Microsoft la gestion des salons ainsi créés. Pour l’éditeur, c’est un moyen de libérer le département IT d’une entreprise, tout en profitant de certains outils spécifiques, comme des rapports d’analyse, des logiciels « intelligents » et l’accès à des experts. L’offre Premium est proposée pour 15 dollars par appareil et par mois.
Microsoft Lists, annoncé en mai, est désormais disponible, du moins à travers son interface web. Le mois prochain, il sera intégré dans Teams. Pour rappel, les données de l’entreprise, routines, contacts, inventaires, problèmes et autres peuvent y être manipulés, selon les droits d’accès. Huit modèles sont fournis. Quand l’intégration sera prête, trois autres seront ajoutés. En outre, une application iOS doit sortir avant la fin de l’année. Rien n’a été dit pour le pendant Android.
Des ajouts spécifiques pour la première ligne
Plusieurs apports ont également été présentés à destination des employés de première ligne, en lien avec le service Firstline Worker. Plus tard dans l’année, Microsoft ajoutera Shift dans Teams, pour simplifier la tenue des grilles d’emplois du temps. Une fonctionnalité qui faisait jusqu’ici cruellement défaut à la messagerie.
Le service signalera notamment les conflits dans l’organisation prévue. En revanche, Time Clock est disponible immédiatement pour pointer (à l’arrivée ou au départ) depuis leur appareil, associé au géorepérage.
Les applications Teams pour Android et iOS viennent de recevoir une intégration avec Yammer Communities. Elle concerne également les employés de première ligne, afin qu’ils puissent accéder aux informations importantes de l’entreprise, notamment les alertes de sécurité, messages critiques et évènements depuis un même endroit.
Toujours pour les mêmes utilisateurs, Teams reçoit deux apports en préversions : Walkie Talkie et Teams on RealWear. Le premier permet d’échanger rapidement des messages vocaux en laissant le doigt appuyé sur un bouton. La fonction est prévue pour s’accommoder d’un terminal personnel comme d’un appareil fourni par l’entreprise.
Plusieurs partenaires matériels, dont BlueParrott et Klein Electronics, annoncent des casques sans fil prévus pour cet usage. Le second est spécifique au matériel de RealWear, autorisant la manipulation de Teams sans les mains pour les appels, les discussions et la collaboration à distance. Les modèles HMT-1 et HMT-1Z1 sont pour l’instant pris en charge.
Du neuf pour la sécurité
Plusieurs apports importants ont été annoncés pour la sécurité, dont la disponibilité en préversion du nouveau service Endpoint Data Loss Prevention. Il étend la prévention des pertes de données (DLP) aux appareils utilisés par les employés. Toujours basé sur Information Protection, il propose les mêmes capacités de Microsoft 365. Puisque les appareils en profitent, il devient possible de définir des règles à respecter pour qu’un terminal puisse rejoindre un groupe.
Microsoft annonce également un renforcement conséquent de la « qualité des signaux » utilisés par Risk Management et Communication Compliance. Ces services servent aux administrateurs à examiner l’état de la sécurité dans l’entreprise, pour surveiller d’éventuelles intrusions et comportements suspects, en passant par le respect de la conformité.
Enfin, pour les gros besoins, Azure Sentinel se dote de nouveaux connecteurs tiers. Le service permet de connecter des sources de données pour rendre plus précises les prévisions et analyses de sécurité. Microsoft ayant conscience de ne pas être le seul éditeur en entreprise, connecter Sentinel à un plus grand nombre de produits a donc du sens.
Un peu de Slack quand même
En dépit cependant de cette concentration croissante, Microsoft n’a pas pu résister aux possibilités : Teams va s’ouvrir aux services tiers, et donc venir marcher un peu sur les platebandes de Slack.
Cette ouverture se fera en douceur. Plus tard dans l’année, plusieurs partenaires triés sur le volet – dont Polly, Open Agora, Miro, iCIMS et HireVue – publieront des modules pour Teams. L’idée est la même que pour Slack : créer une liaison entre Teams et les autres services, afin que ces derniers puissent y déverser données et fonctions.
Microsoft cite l’exemple d’une application de type agenda, qui pourra ajouter un onglet dans la fenêtre de pré-évènement, un bouton pour consulter l’emploi du temps depuis la barre de contrôle ou encore un fichier contenant le résumé des modifications après une conférence. L'éditeur doit encore définir les conditions d’accès au programme.
Mais si la création de modules est simple et permet à n’importe quel éditeur de développer un complément pour Teams, il se pourrait bien que Slack ait des raisons supplémentaires d’être mécontent.
Universal Print en préversion publique
Universal Print permet de gérer et planifier les impressions sur des périphériques distants. Il était en test jusqu’à présent chez 2 500 clients et est maintenant disponible en préversion publique pour les entreprises intéressées.
Le service propose en fait trois bénéfices. Le principal est de centraliser et simplifier la gestion des imprimantes. Plus besoin en théorie d’installer chacune séparément ni de recourir à des pilotes. Les signaux émis par les imprimantes (niveau bas d’encre, bourrage d’encre…) sont eux aussi récupérés et rassemblés.
Ensuite, il doit permettre aux imprimantes de fonctionner dans les environnements où la confiance numérique est faible. Enfin, les utilisateurs pourront lancer de manière transparente des travaux d’impression sur n’importe quelle imprimante ainsi connectée, en fonction des droits définis par les utilisateurs.
Le nouveau Yammer disponible
La conférence Inspire a été l’occasion d’annoncer la disponibilité générale du nouveau Yammer, une version profondément remaniée du réseau social. Deux des plus gros apports sont les conversations épinglées et le support des invités externes à l’entreprise au sein des communautés, autorisant notamment n’importe qui à héberger une conférence.
À ces fonctions s’ajoute une longue liste de nouveautés, dont un nouveau système de flux, une découverte simplifiée des communautés et de leur épinglage, la personnalisation des profils, une nouvelle interface de publication sur les versions mobiles (Android et iOS), l’épinglage des conversations ou encore un outil révisé de création des évènements.
La transition vers le nouveau Yammer n’est pas automatique. Les administrateurs doivent l’activer pour l’instant depuis l’interface de gestion, avec plusieurs possibilités. Ils peuvent le mettre à disposition sans l’activer pour laisser l’employé choisir d’y passer s’il souhaite, le basculer en défaut avec possibilité pour l’employé de revenir à l’ancienne version, ou l’activer en supprimant le choix, forçant tout le monde à se servir exclusivement de la nouvelle version.
Azure : hyperconvergence, architecture et sécurité
Microsoft a également fait une série d’annonces sur Azure, comme la tradition l’exige de presque toutes les conférences de l’éditeur. On commence avec Azure Stack HCI (pour HyperConverged Infrastructure). Rappelons que les infrastructures hyperconvergées vont plus loin que les convergées classiques en rassemblant sous une même égide tous les éléments d’une infrastructure pour les mettre à disposition d’un pool de ressources, que les administrateurs peuvent ensuite partager selon les besoins. L’ensemble des opérateurs est alors géré par une seule couche logicielle, ici Azure Stack HCI.
Dans le cadre de la solution proposée par Microsoft, Stack HCI devient en plus une ressource du cloud, pour marier le meilleur des deux mondes, selon l’éditeur : le rapport coût/performances des infrastructures HCI et les capacités inhérentes au cloud. La solution de Microsoft n’est pas neuve. La nouvelle mouture, en préparation, est désormais disponible en préversion. Elle contient des améliorations de sécurité, performances et hybrides, pour les infrastructures mêlant ressources sur site et distantes.
À travers le portail Azure, les administrateurs gèrent donc côte à côte les déploiements HCI et les ressources. La même interface peut par exemple servir à gérer des clusters multiples et des machines virtuelles, le tout en servant d’Azure Arc pour le déploiement (qui gère en plus Kubernetes depuis peu en préversion). En outre, Stack HCI fait le lien avec les autres services Azure, comme Sauvegarde, Security Center et Monitor.
Azure Stack HCI sera fourni via des offres partenaires, dont Lenovo. Point potentiellement intéressant pour certaines entreprises, « Azure Stack HCI inclut gratuitement les Extended Security Updates (ESU) pour les machines Windows Server 2008 hébergées ».
Azure Lighthouse est lui aussi renforcé. Ce service, lancé lors de la conférence Inspire 2019, propose aux fournisseurs de services un plan de contrôle unique pour voir et gérer Azure sur l'esemble de leurs clients. À la demande des partenaires toutefois, plusieurs améliorations liées à la sécurité ont été ajoutées.
Le RBAC (Role-based access control) peut maintenant être permanent ou sur critères d’éligibilité, via quelques paramètres à ajouter au modèle ARM utilisé par les clients dans Lighthouse. Les partenaires peuvent élever temporairement les privilèges d’un accès, par exemple pour une opération de support auprès d’un client réclamant un rôle spécifique, dont les droits seraient alors délégués. À noter également le renforcement de l’authentification à facteurs multiples.
Du neuf aussi pour Migrate, qui rassemble pour rappel tout ce qui touche aux outils et services de migration au sein d’Azure. Les clients peuvent désormais mener des évaluations plus précises des centres de données. On y trouve la possibilité d’importer et créer des évaluations basées sur des données Configuration Management Database importées, avec une compatibilité Azure VMware Solutions en préversion.
La distribution supportée d’Apache Hadoop est de son côté pleinement disponible et open source. Elle est présentée comme totalement compatible avec la dernière révision d’Hadoop. Elle permet de provisionner un nouveau cluster HDInsight « basé sur le code Apache, construit et entièrement supporté par Microsoft ». Les actuels clients d’Hadoop au sein d’Azure seront migrés automatiquement quand la nouvelle distribution supportée sera disponible.
À noter l’arrivée en préversion d’un complément pour Azure Blob Storage, qui est pour rappel un service de stockage de grandes quantités de données non structurées (texte, binaires…). Last Access lui adjoint d’autres capacités de visibilité des données, notamment la fréquence de leur accès. Une nouvelle métadonnée fait d’ailleurs son apparition : last access time, disponible aux autres éditeurs. Enfin, Blob Storage supporte maintenant NFS 3.0, en préversion pour l’instant. Cette compatibilité se destine surtout aux clients ayant d’importants besoins en lecture de données.
Enfin, Microsoft propose un Well-Architected Framework, conçu pour guider les entreprises vers les bonnes pratiques de création des charges de travail. Il s'articule autour de cinq piliers : gestion des coûts, excellence opérationnelle, rendement, fiabilité et sécurité. La documentation est ouverte à tous. Notez que l’éditeur rattrape un certain retard dans ce domaine, car Amazon Web Services fournit ce genre d’informations depuis un moment déjà... et sous le même nom.
Microsoft Inspire 2020 : Teams et Azure mènent la danse
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Teams le concentrateur
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Des ajouts spécifiques pour la première ligne
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Du neuf pour la sécurité
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Un peu de Slack quand même
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Universal Print en préversion publique
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Le nouveau Yammer disponible
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Azure : hyperconvergence, architecture et sécurité
Commentaires (22)
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Abonnez-vousLe 24/07/2020 à 15h37
Le problème ne vient pas de nous (uniquement Teams chez nous), mais des client/partenaire qui ont encore en partie sur Skype (Genre solution Hybride). L’appel passe par défaut sur Skype de leur côté et bloque le partage d’écran. Et quand eux nous appelle via Teams, on reçoit pas tout le temps les appels. Obligé de créer un meeting pour pouvoir partager l’écran. J’ai toujours pas trouvé de solution à ce problème, et c’est très très chiant.
L’autre problème, c’est quand tu est dans un meeting, si tu ouvre un fichier dans un teams (donc il s’ouvre directement dans Teams, pas dans une fenêtre à part), tu as plus l’écran de la réunion. Et vice-versa… J’ai trouvé cette après-midi une solution avec une option “Activer l’expérience de réunion …” qui vient d’apparaitre.
Le 24/07/2020 à 17h17
Je ne suis pas le seul à avoir ces freeze sur teams. (Que ce soit dans ma boite ou dans les forums MS).
Et sinon oui je suis bien dans l’it, donc je te rassure j’ai déjà checké que le souci ne viens ni de moi ni de mon PC …
Le 24/07/2020 à 17h19
Si ça n’a pas changé depuis, l’appli discord c’est “juste” un contener de la version web.
Du coup du ça fonctionne bien et que ça me convient, je ne vois pas pourquoi j’irais installer un truc en plus.
Le 24/07/2020 à 18h31
Le 24/07/2020 à 21h15
Teams freeze quand je rebranche mon écran de bureau. Et à cause de windows10 : j’ai mis tout à 125% dans mes pref d’affichage. Teams n’aime pas du tout.
Le 25/07/2020 à 06h56
J’ai jamais eu de problèmes de freeze avec Teams par contre c’est très régulier d’avoir des problèmes d’audio même quand c’est de l’audio only, ça donne l’impression que certains interlocuteurs ont encore des modems 14.4K (bouillie de son compressé) ou qu’ils sont à l’autre bout de la terre (délai monstrueux de plusieurs secondes).
Sur ce point, c’est pas rare que ça vienne simplement d’une combinaison de plusieurs facteurs comme la connexion Internet en carton, des transferts de fichiers en arrière plan qui bouffent la bande passante, l’utilisation du wifi à la maison en même temps que l’époux/épouse qui travaille aussi et les 3 gosses avec tous leurs appareils connectés, l’utilisation de VPN notamment quand tout le trafic repasse par l’entreprise, etc.
On a aussi régulièrement des situations de partage d’écran où ça prend des plombes à afficher ce que la personne partage… ouais, 1 à 2 minutes peuvent sembler interminables quand on attend " />
Ça ne rend pas le système inutilisable, mais c’est plein de petits trucs frustrants qu’on a pas forcément avec la concurrence en conf/visio-conf comme Webex ou Zoom.
Le 25/07/2020 à 10h28
D’après Larousse:
“derechef = De nouveau : sa première tentative a échoué, il tente le record derechef. recommandation :Ne pas employer derechef dans le sens de « aussitôt, sur-le- champ ».”
Le 25/07/2020 à 11h33
C’est marrant j’ai Teams sur 3 PC et je n’ai aucuns de tes problèmes … Comme quoi !
Le 25/07/2020 à 17h05
Le 25/07/2020 à 18h21
C’est pas dans Teams où on peut pas drop-down un fichier dans une conversation ?
Le 27/07/2020 à 14h58
Tout à fait …
Le 29/07/2020 à 11h32
La fonctionnalité de popup chat date de quelques mois et est en effet lacunaire. Par contre MS a déployé ce mois-ci une nouvelle option dans les paramètres : une fois activée, toutes les réunions s’ouvrent dans une nouvelle fenêtre.
Le 24/07/2020 à 09h24
Enfin, Microsoft propose un Well-Architected Framework, conçu pour guider les entreprises vers les bonnes pratiques de création des charges de travail. Il s’articule autour de cinq piliers : gestion des coûts, excellence opérationnelle, rendement, fiabilité et sécurité.
Make sure that your data remains in the correct geopolitical zone when using Azure’s highly available. Azure’s geo-replicated storage uses the concept of a paired region in the same geopolitical region.
Même doctrine que la NSA on dirait. Pas mal pas mal… " />
Le 24/07/2020 à 09h37
Ah merci de l’info, je vais regarder derechef* les nouveautés de Power BI
*(je ne sais pas ce que ça veut dire, mais ça sonne bien)
Le 24/07/2020 à 10h43
Canon va être content de voir une solution concurente à SecurePrint/Uniflow :)
Le 24/07/2020 à 11h52
“Reimiganing our world together but without Firefox” aurait été un titre plus explicite.
Le 24/07/2020 à 11h55
Parfait, plein de services en plus … mais toujours rien sur l’ergonomie …
De notre côté on se sert principalement de Teams pour les conversations, meeting et un peu les groupe de discussions … mais quasiment aucun outils ou il se connecte donc ça ne m’apporte rien ce qui arrive
Par contre, on galère tous les jours quand on appelle des client/partenaire qui ont skype/teams en solution hybride et que les appels passent par défaut sur Skype et empêche le partage d’écran …
Et on galère tous les jours parce que Teams est en une fenêtre unique et donc quand tu ouvre un excel et que tu accepte un appel, tu dois réouvrir le fichier, et ainsi de suite. Tous ces trucs du quotidiens qui sont très très pénible.
Tous mes collègues se plaignent - et moi aussi - et je peux que leur apporter comme réponse “T’as qu’à en parler à billou” (bon même si billou il y peut plus rien).
Le 24/07/2020 à 13h42
Le 24/07/2020 à 14h36
Teams … " />
Obligé de passer par l’appli de mon téléphone perso pour suivre une conversation tellement les versions web et windows 10 sont à la ramasse, des freezes de plusieurs minutes pendant lesquelles on ne peut plus rien faire.
et à coté de ça, slack et discord qui tournent comme sur des roulettes sur les onglets voisins.
Le 24/07/2020 à 15h06
Au lieu de se dire “j’ai un souci” tu préfères chier sur une app qui fonctionne parfaitement partout ailleurs. J’espère que t’es pas dans l’IT pour penser ainsi.
Le 24/07/2020 à 15h33
Le 24/07/2020 à 15h36
Chez moi zéro soucis, très stable et rapide.
Et … quelle idée de faire tourner discord dans des onglets web quand il y a l’appli pour ?! o_O