Comme chaque samedi à 13h37, Flock pose son regard acide sur l'actualité dans le domaine numérique. Il publie ainsi une chronique regroupant cinq à six dessins en rebond sur nos articles.
Cette semaine, des députés ont fait part de doutes sur la conformité constitutionnelle des retraits en 1h des contenus terroristes, mais Flock a toujours un coup d’avance et pense à l’après. Il dépeint également un monde où les algorithmes ne sont pas les meilleurs pour identifier l’art et nous propose sa vision de l’espace et de la souveraineté dans les instances européennes et internationales.
On enchaine sans transition avec une définition maison du produit reconditionné et du rêve américain. Il termine enfin par la vision de la pénurie des employés en se plaçant du côté des dirigeants qui doivent rendre des comptes aux actionnaires.
Cette chronique est financée grâce au soutien de nos abonnés. Vous pourrez la retrouver en accès libre dès la semaine prochaine, comme toutes les précédentes publications de Flock dans nos colonnes.
Commentaires (26)
Excellent.

je l’ai pas le produit reconditionné, un indice ?
On dirait Valls.
Ah oui Valls : Les rides collent https://static.s-sfr.fr/media/000_1d94xl.jpg
Il a une descente qu’on aimerait pas remonter.
Du reste comment dire, c’est assez impitoyable cette semaine.
Pour le reconditionné, c’est vValls ou Bolloré ?
Je confirme!
Je pensais que le doute n’était pas permis.
Bon, c’est pas bien grave, c’était un petit truc en bonus…
Bon weekend à vous!
Tu as élargi les coté, non ?
Ça donne l’impression d’un visage bouffi que n’a pas Valls.
J’ai cherché sur sauce.nao, et apparemment il a une tête de cheval
.
Le rêve américain, ça n’est pas de vivre aux US, c’est que n’importe qui peut devenir riche s’il travaille dur…
Oui j’ai élargi les côtés effectivement. à la base je voulais faire même bien pire… Mais justement pour des raisons d’identification j’avais minimisé. Force est d’admettre que c’était encore de trop.
Sinon, une double tête de cheval, ça fait bien une grosse tête
J’ai immédiatement reconnu Valls et j’ai explosé de rire, même si je n’aurais pas choisis le terme “reconditionné” 😅
Je ne l’avais pas non plus (le Valls). Apparemment, j’avais besoin du manuel pour comprendre
Valls, c’est le marché gris du reconditionné du coup
J’ai cru que c’était le fils Lagardère qui vient de vendre l’entreprise à papa pour quelques brousoufs à Vivendi/Bolloré…
“Le rêve américain”…
Je trouve le titre amusant.
Y’a encore des gens que l’Amérique fait rêver ?

Et d’une façon générale, y’a t’il encore un pays qui peut faire rêver qui que ce soit ?
Personnellement, je trouve ce triste monde plus générateur de cauchemars que de rêves avec tout un tas de psychopathes dangereux aux commandes mais qui sont néanmoins adulés par tout un tas de guignols qui ignorent (volontairement ou pas) l’histoire et semblent prêts à recommencer les mêmes conneries…
Ton lien Wikipedia commence pourtant bien par ça :
“Le rêve américain (American Dream en anglais) est l’idée selon laquelle n’importe quelle personne vivant aux États-Unis, par son travail, son courage et sa détermination, peut devenir prospère1.”
Mais peu importe, que ce soit là-bas ou ici, il y a plein de gens qui travaillent dur et qui ne sont pas riches du tout et c’est bien pire encore dans pas mal de parties du monde.
Les très riches ne pourraient pas exister sans les très pauvres, c’est une évidence…
C’est avant tout une expression… chacun trouve midi à sa porte.
Ah tiens, en effet.
Je pensais que ça pouvais s’appliquer à n’importe qui n’importe où…
Je pense que tu n’as complètement pas tort, c’est sûrement comme ça que c’est vu par plein de monde…
Car le produit en croix ?
Que de charité dans la descente… !
Merci, la 6 est une bonne image de notre société !
Enfin je suppute parce que c’est pas très clair là…

Et ne viens pas me dire qu’il n’y a pas de “sot métier”…
C’est pas faux (je sais ce que midi à sa porte veut dire)…
Il ne faut pas non plus chercher le zizi à quatorze heures !
Je rappellais seulement que pauvres ou riches prennent effectivement le monde pour un caniveau. La descente de la croix est donc “charitable” alors que le “crucifié” est le fait des fidèles (in)croyant(s) !
C’est une simple façon de rappeller qu’une règle de trois implique qu’on a déjà décidé par avance de son résultat… “en” croix ou en croix ne change strictement rien à quatroze heures.
Effectivement, dit comme ça c’est beaucoup plus clair !!
