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ZeniMax tente le tout pour le tout et poursuit Oculus VR en justice

Le méchant n'est pas toujours celui que l'on imagine

ZeniMax tente le tout pour le tout et poursuit Oculus VR en justice

Le 22 mai 2014 à 16h20

Le feuilleton entre Oculus VR et ZeniMax concernant la paternité d'une partie du code utilisé dans l'Oculus Rift vient de prendre un tournant des plus sérieux. ZeniMax, la maison mère d'idSoftware, vient de déposer plainte contre Oculus VR et son fondateur Palmer Luckey, pour sept chefs d'accusation, notamment pour la violation de ses propriétés intellectuelles et concurrence déloyale.

John Carmack Oculus VR Rift

 

L'affaire ZeniMax contre Oculus VR est loin d'avoir fini de faire parler d'elle. En effet, l'éditeur américain vient de prendre le taureau par les cornes et a porté plainte contre la firme de Palmer Luckey pour violation de ses propriétés intellectuelles. L'ancien employeur de John Carmack affirme, preuves à l'appui, avoir fourni une quantité non négligeable d'améliorations sur le plan logiciel et matériel sur les prototypes de l'Oculus Rift, et entend bien à ce titre, récupérer « des dommages et intérêts qui compenseront pleinement et justement » les violations perpétrées par Oculus VR sur les travaux de ZeniMax. 

ZeniMax assure avoir débuté ses recherches dans le domaine dès 2011

Aux yeux de ZeniMax, maison mère d'idSoftware, et ancien employeur de John Carmack, parti en août 2013 de chez id pour rejoindre Oculus VR, le début du contentieux entre les deux entreprises remonte à 2012. John Carmack, alors directeur technique d'idSoftware menait des recherches avec d'autres employés sur le principe de réalité virtuelle depuis 2011. Recherches dans lesquelles son employeur aurait « investi des dizaines de millions de dollars », selon une copie de la plainte récupérée par nos confrères de Polygon.

 

Palmer Luckey serait entré en contact en avril 2012 avec John Carmack pour lui présenter l'un des premiers prototypes du Rift. Dans la plainte, ZeniMax décrit le produit comme un « casque de réalité virtuelle primitif » et un « prototype grossier dénué de support, de logiciel spécifique à la réalité virtuelle, de capteurs de mouvements intégrés et d'autres caractéristiques critiques pour en faire un produit viable ». Palmer Luckey est quant à lui décrit comme « un amateur de jeux vidéo en âge d'aller à l'université ».

 

L'équipe de John Carmack y aurait alors ajouté certains de ces composants essentiels et ainsi « littéralement transformé le Rift en y ajoutant des composants matériels et développé des logiciels nécessaires à son fonctionnement ». En plus de cela, il est également fait mention d'une adaptation de Doom 3 BFG Edition afin de permettre son fonctionnement  sur l'appareil de Luckey. 

ZeniMax a dévoilé ses travaux à Oculus VR sous couvert d'un NDA strict

Toutes ces modifications, Carmack, et donc ZeniMax, les auraient montrées aux équipes d'Oculus VR, sous le couvert d'un accord de non divulgation (ou NDA) et lors de l'E3 2012, Carmack a effectué quelques démonstrations en privé devant les médias et d'autres développeurs, à partir d'un prototype très largement modifié du Rift. Ce NDA dont quelques extraits accompagnent la plainte, stipule clairement que Luckey n'avait pas l'autorisation de faire usage des technologies et des secrets commerciaux de l'éditeur.

 

Un point qu'Oculus VR réfutait complètement en affirmant début mai que « ZeniMax a mal interprété la raison d'être du NDA signé par Palmer Luckey. ». 

 

NDA Zenimax Oculus

 

Après avoir publiquement remercié l'éditeur pour l'intérêt que la firme a su générer pour la réalité virtuelle avec ses démonstrations, Palmer Luckey a fondé Oculus LLC quelques jours après l'E3, une entreprise devant lui permettre de commercialiser le Rift.

 

Les mois suivants, Palmer Luckey est resté en contact régulier avec John Carmack ainsi que son employeur, afin d'obtenir de l'aide sur le développement de son produit. Luckey aurait alors même utilisé un kit de développement logiciel (ou SDK) crée par ZeniMax, que l'éditeur appelle dans le cadre de cette plainte le « Rift SDK ».

Les correspondances régulières de Carmack et Luckey

Par la suite, Carmack et Palmer Luckey ont continué à correspondre, le premier mettant même à disposition du second un serveur FTP sur lequel il diffusait régulièrement ses avancées, avec notamment divers firmwares pour le Rift. 

 

Carmack Oculus VR Zenimax FTP

 

« Tout au long du mois de juin 2012, Luckey a contacté ZeniMax de manière répétée afin d'obtenir l'accès à des informations dont ZeniMax était propriétaire, ses secrets commerciaux et son savoir-faire », poursuivent les avocats de l'entreprise dans leur plainte. En juillet, Luckey demandera notamment à Carmack comment flasher les capteurs maison qu'il lui a envoyés, ainsi que le code source qu'il a développé pour ces capteurs. Toujours sous le couvert du NDA signé quelques mois auparavant, l'éditeur a tout fourni à la start-up, via le FTP mis en place un mois plus tôt.

Quand Luckey fait la sourde oreille, mais reconnait en public les apports de ZeniMax

En juin 2012, à la veille du lancement de la campagne de financement du Rift sur Kickstarter, Palmer Luckey explique à John Carmack qu'il « serait fantastique de vous avoir à nos côtés dans le rôle qu'il vous conviendra de jouer (support, conseiller, investisseur, etc,) ». ZeniMax suggèrera alors la rédaction d'un accord formalisant tout cela. Une requête qu'ignorera Luckey.

 

Peu après, les relations ont commencé à se tendre entre les deux entreprises. Dans un premier temps, Palmer Luckey demandera à ses partenaires s'il pouvait utiliser des images de Doom 3 BFG Edition pour agrémenter une vidéo concernant le projet sur Kickstarter. Il ajoutera ensuite que « votre réputation (NDLR : celle de ZeniMax) a vraiment aidé à rendre notre projet crédible ». ZeniMax refusera et sommera l'homme de n'utiliser que des informations publiquement disponibles pour faire la promotion de son produit. Le 1er août, jour du lancement de la campagne sur Kickstarter, la page arborera une vidéo avec de multiples scènes où Doom 3 BFG Edition est affiché sur le casque. De plus, la page fait état de la livraison dudit jeu avec l'appareil (à partir du palier à 275 dollars). Une exposition qui n'était pas du tout du goût de l'éditeur.

 

Un autre point attirera l'attention de ZeniMax dans cette vidéo. Luckey y affirme que « l'un des plus gros problèmes avec la réalité virtuelle est la latence. La valeur ajoutée du Rift tient au fait qu'il a été conçu pour disposer d'une latence très faible ». Selon la firme, cela ferait directement allusion aux technologies qu'elle a fournies, sous couvert du NDA.

 

Le 5 août, lors de la QuakeCon, sur scène, Luckey reconnait publiquement les contributions essentielles de ZeniMax concernant le développement du Rift. L'homme affirmera sur scène être « incapable de développer le moindre logiciel », un point sur lequel l'éditeur insiste pour montrer que les technologies utilisées dans le Rift ne peuvent être issues de Luckey.

ZeniMax a insisté pour établir un accord concernant ses technologies, en vain

Quelques jours après le lancement de la campagne sur Kickstarter, et qu'Oculus ait récolté assez de fonds pour mener son projet à bien, la jeune pousse est entrée en contact avec l'éditeur pour discuter des termes d'un partenariat afin de « travailler de façon plus rapprochée » avec Bethesda Softworks, une des filiales de ZeniMax. Après discussion, l'éditeur a suggéré à Oculus qu'une participation dans la start-up serait une bonne compensation concernant le fait qu'elle utilise des technologies lui appartenant. Les équipes d'Oculus répondront qu'il en sera discuté avec la direction.

 

Trois semaines plus tard, ZeniMax réitèrera cette demande lors de la Gamescom, puis insistera régulièrement jusqu'au 10 septembre, date à laquelle Oculus enverra une première proposition à ZeniMax. 

 

En échange de 2 % des parts d'Oculus, ZeniMax devrait fournir une licence mondiale exclusive pour le code fourni par l'éditeur dans le cadre du NDA signé quelques mois plus tôt, à l'exception des codes source des jeux et des moteurs de jeux. ZeniMax s'engagerait également à créer une licence exclusive pour le Rift, tout en continuant de fournir des améliorations au SDK du Rift ainsi qu'à son matériel. De plus, ZeniMax fournirait également 10 000 copies gratuites de Doom 3 BFG Edition à distribuer aux personnes ayant participé à la campagne de financement. Enfin, il est offert à ZeniMax la possibilité d'acquérir 3 % supplémentaires, contre 1,2 million de dollars.

 

Oculus equity ZeniMax

 

Le 19 octobre, ZeniMax fera une contre-proposition suggérant une part plus importante du capital d'Oculus VR, plus représentative de la quantité de travail fournie par l'éditeur. Seules les clauses concernant le développement d'une nouvelle franchise et la mise à disposition des 10 000 copies de Doom 3 ont été mises de côté. Le 13 novembre, Oculus répondra que cette offre est « complètement hors de propos, si bien que nous nous demandons s'il y a le moindre espoir de conclure ».

Malgré l'absence d'accords, Oculus a continué de demander de l'aide chez ZeniMax

Du 22 au 27 novembre, les employés d'Oculus continuèrent de solliciter John Carmack afin de les aiguiller dans certains cas, demandant parfois ouvertement au développeur de détailler sa méthode. Des extraits des e-mails en question sont apportés au dossier par l'éditeur. Les questions sont d'ordre technique et concernent des points très précis comme un système de « correction de la gravité » ou encore une modélisation des mouvements de la nuque du joueur.

 

Le 11 décembre 2012, Oculus met une nouvelle proposition sur la table. ZeniMax peut obtenir une quantité plus importante de parts d'Oculus VR, mais cela uniquement contre une compensation financière de plusieurs millions de dollars, en plus des contributions précédemment demandées. De plus, Oculus a fourni une documentation réservée à ses investisseurs dans laquelle apparaissent clairement des éléments sous NDA, comme les dates de lancement de divers titres. Cerise sur le gâteau, l'entreprise laisse entendre avoir tout le soutien de ZeniMax, tout en omettant de signifier sa contribution au projet.

 

En janvier, Oculus fera le même type de proposition à ZeniMax, tout en continuant de demander de nouvelles informations à l'éditeur. Au vu de la teneur de la dernière offre de la jeune pousse, le géant ordonne à Carmack de cesser toute communication avec Oculus tant qu'aucun accord satisfaisant n'aura été trouvé entre les deux entreprises. Une déclaration qu'il est possible de corroborer avec celle d'Oculus début mai lorsque l'affaire a éclaté : « L'une des raisons principales pour lesquelles John Carmack a quitté ZeniMax en août 2013 tient au fait que l'éditeur l'empêchait de travailler sur la réalité virtuelle en plus d'avoir arrêté d'investir sur les jeux exploitant cette technologie. » Le point de vue semble toutefois très différent entre les deux parties.

 

En juin 2013, le contrat liant Carmack à idSoftware a pris fin, et le développeur a signifié à son employeur qu'il ne souhaitait pas le renouveler. Selon des termes convenus dans le contrat de Carmack, il poursuivra son activité chez idSoftware à mi-temps pendant trois mois avant de s'en aller.

John « Gaston Lagaffe » Carmack

En août dernier, Oculus VR a annoncé l'arrivée de John Carmack dans ses équipes au poste de directeur technique de l'entreprise, une nouvelle que l'éditeur n'a que très moyennement apprécié. D'autant plus que le 17 février 2014, cinq employés expérimentés de ZeniMax, tous ayant longuement travaillé avec John Carmack chez idSoftware ont déposé leur démission simultanément.

 

Aux dires de l'éditeur, tous ces employés ont eu un large accès aux secrets de l'entreprise et sont sujets à une clause de confidentialité à cet égard. Seul problème, au moins l'un des cinq employés a refusé de certifier à son ancien patron avoir rendu toutes les informations confidentielles en sa possession. Cela pourrait être anecdotique, sauf que ces cinq employés sont tous partis rejoindre les rangs d'Oculus VR.

 

Trois jours plus tard, Carmack se voit rappeler par ZeniMax qui lui est interdit de par les clauses de son ancien contrat de recruter d'anciens employés de la firme. Il lui est également redit à cette occasion que l'ensemble des inventions qu'il a conçues alors qu'il était sous contrat avec l'éditeur ne lui appartient pas. Le même genre de courrier a également été envoyé simultanément au directoire d'Oculus VR et malgré cela, la jeune pousse aurait continué de piocher dans les effectifs de son ancien partenaire.

 

John Carmack tweet Zenimax

Voilà qui n'est pas très malin John

 

Enfin, cerise sur le gâteau et argument final de ZeniMax, John Carmack en personne aurait tout simplement avoué sur Twitter avoir réutilisé du code déjà développé chez idSoftware pour l'implémenter dans le Rift, ce qui admettons-le est tout sauf une bonne idée. Surtout quand cela intervient un mois seulement après un rachat aussi médiatique que celui d'Oculus VR par Facebook.

 

Deux semaines plus tard, la start-up déclarera publiquement : « Il n'y a aucune ligne du code de ZeniMax ni aucune de ses technologies dans aucun des produits d'Oculus ». Pourtant, ces 20 dernières années, John Carmack n'a travaillé qu'au sein d'idSoftware, pour le compte de ZeniMax, il est donc difficile de voir dans quelles autres circonstances Carmack aurait pu reprendre du code écrit dans « un ancien travail ».

ZeniMax retient sept chefs d'accusation contre Oculus VR

L'affaire sera portée devant la cour fédérale du district Nord du Texas. Selon les documents présentés au tribunal, diffusés par nos confrères de Polygon, et visibles ci-dessous, l'éditeur souhaiterait que sept chefs d'accusation soient retenus contre Oculus VR : appropriation illicite de secrets commerciaux, violation de copyright, rupture de contrat, concurrence déloyale, enrichissement sans cause, violation de marque déposée, et tromperie sur l'origine d'un produit.

Au vu des éléments apportés par ZeniMax, il y a fort à parier que l'éditeur sera tenté d'aller jusqu'au bout de la procédure. Pour l'heure, Oculus VR n'a pas fait le moindre commentaire concernant cette affaire. De notre côté, au vu des pratiques de recrutement décrites par ZeniMax, nous nous demandons si d'autres éditeurs, dont Valve, ne pourraient pas eux aussi être tentés de suivre le mouvement et de demander des comptes à Oculus VR.

 

ZeniMax Media and id Software v. Oculus VR and Palmer Luckey by Polygondotcom

Commentaires (57)

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Et ben….



Y a des choses proprement hallucinante dans ces révélations…. Ce qui me choque le plus c’est le refus de la contre-offre de ZeniMax : ils obtenaient tout sauf la nouvelle licence (et le s10k copies de doom3, ce que je trouve anecdotique), et c’est très compréhensible que ZeniMax ait refusé de s’engager à développer une nouvelle licence pour un produit qui n’était à l’époque même pas au stade de prototype…



En tous cas ça apporte aussi un éclairage nouveau sur la vente d’Occulus à FB…

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Fuinril a écrit :



Et ben….

Y a des choses proprement hallucinante dans ces révélations…. Ce qui me choque le plus c’est le refus de la contre-offre de ZeniMax : ils obtenaient tout sauf la nouvelle licence (et le s10k copies de doom3, ce que je trouve anecdotique), et c’est très compréhensible que ZeniMax ait refusé de s’engager à développer une nouvelle licence pour un produit qui n’était à l’époque même pas au stade de prototype…





Dans la contre-offre, ZeniMax demandait surtout une part plus importante d’Oculus VR plutôt que les 2 % initialement proposés.



Ils ne précisent pas quelle part ils ont demandé à ce moment là mais il serait raisonnable de penser qu’ils ont réclamé une quote-part à deux chiffres <img data-src=" />


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C’est dommage car si tout le monde y avaient du siens, on ne serais pas dans ce bourbié.

Si ZeniMax n’avait pas été aussi tétu sur les profits et son intention de stopper le développement d’une solution VR, Carmmak et ses copains n’auraient sans doute pas quitté le navire de IDsoftware.



Enfin bref, l’histoire est ce qu’elle est et à la lecture de l’article ZeniMax semble être dans son droit.

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J’ai l’impression qu’Occulus a demandé beaucoup de chose en échange de 2% d’une start-up financée par la communauté (et qui ne dispose encore à l’heure actuelle d’aucun produit commercial). Je ne suis pas au fait de ce genre de pratiques, mais ça me semblait relativement déséquilibré.





Allez, petit jeu : tente de retrouver un commentaire se rapportant aux résumés suivants <img data-src=" />




  • Pop-corn

  • Y’en a marre de la photo de John Carmack

  • Zenimax = connards

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Juste énorme… :-p

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Voilà qui n’est pas très malin John





En même temps, il a raison.



Du coup, vu la réaction de Zenimax pour 3 bouts de code, je suppose qu’on pourra se brosser pour voir l’idTech 5 passer sous licence GNU/GPL <img data-src=" />

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John Shaft a écrit :



En même temps, il a raison.



Du coup, vu la réaction de Zenimax pour 3 bouts de code, je suppose qu’on pourra se brosser pour voir l’idTech 5 passer sous licence GNU/GPL <img data-src=" />





Il a probablement raison de le faire, par contre aller le balancer sur Twitter comme ça, surtout avec ce qui se passait entre ZeniMax et Oculus VR au moment de son écriture… ça c’est pas malin.


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Ellierys a écrit :



Dans la contre-offre, ZeniMax demandait surtout une part plus importante d’Oculus VR plutôt que les 2 % initialement proposés.



Ils ne précisent pas quelle part ils ont demandé à ce moment là mais il serait raisonnable de penser qu’ils ont réclamé une quote-part à deux chiffres <img data-src=" />







Effectivement, j’avais lu un peu vite <img data-src=" />



Merci de la précision <img data-src=" />


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Ellierys a écrit :



Il a probablement raison de le faire, par contre aller le balancer sur Twitter comme ça, surtout avec ce qui se passait entre ZeniMax et Oculus VR au moment de son écriture… ça c’est pas malin.







J’avais pas vu la date <img data-src=" />



3 possibilités :




  • Comme tout génie, l’ami Carmack est un peu autiste et ne sait pas trop communiquer publiquement - ce dont je doute fortement.

  • Soit c’est voulu pour rentrer dans le lard de Zenimax et là je dis pop corn

  • Kamoulox



    <img data-src=" />


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John Shaft a écrit :



En même temps, il a raison.



Du coup, vu la réaction de Zenimax pour 3 bouts de code, je suppose qu’on pourra se brosser pour voir l’idTech 5 passer sous licence GNU/GPL <img data-src=" />









A voir…. Ce n’est pas vraiment une question de philosophie là…. Ils pensent qu’ils se la font mettre à l’envers, du coup ils se défendent avec tous les arguments qu’ils possèdent et le tribunal tranchera.



Et aujourd’hui ce n’est plus une grosse société attaquant une startup mais 2 multinationales qui s’affrontent. Du grand classique quoi.


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dump a écrit :



Si ZeniMax n’avait pas été aussi tétu sur les profits et son intention de stopper le développement d’une solution VR, Carmmak et ses copains n’auraient sans doute pas quitté le navire de IDsoftware.



Le problème est que Zenimax a participé majoritairement au produit : SDK, jeux pour une présentation commerciale, aide technologique, etc …



Bref, sans leur savoir, Oculus Rift existerait peut-être même pas/plus.


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L’affaire ZeniMax contre Oculus VR



J’ai manqué le début de l’affaire.





Le feuilleton



Je veux dire les épisodes précédents.

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Ellierys a écrit :



Ils ne précisent pas quelle part ils ont demandé à ce moment là mais il serait raisonnable de penser qu’ils ont réclamé une quote-part à deux chiffres <img data-src=" />







Ce qui serait plus que normal, si leur version des faits n’est pas trop éloignée de la réalité.


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tnetennba a écrit :



Ce qui serait plus que normal, si leur version des faits n’est pas trop éloignée de la réalité.







Oui si leur version des faits est la bonne, ça resterait une demande raisonnable.


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Arcy a écrit :



Le problème est que Zenimax John Carmmak a participé majoritairement au produit : SDK, jeux pour une présentation commerciale, aide technologique, etc …



Bref, sans leur savoir, Oculus Rift existerait peut-être même pas/plus.







+1 mais je comprend mieux les choses.

Ce n’est pas vraiment Zenimax qui a majoritairement participé au produit mais plutot John Carmmak mais bon puis qu’il etait sous contrat avec Zenimax, il est donc logique que tout ce qu’il developpe appartient a Zenimax.



On comprend donc mieux pourquoi il a quitté IDsoftware pour Oculus car a la vue de l’article l’Oculus Rift etait devenue son BB depuis bien longtemps (on sens la passion pour le projet VR)

On voit bien qu’il a fait des erreurs et ce qui prouve qu’il est passionné par son nouveau projet (l’amour et la raison ne font pas bon ménage).


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Cette présentation du dossier contre Oculus VR est vraiment énorme.



Jusqu’à maintenant, j’avais l’impression que la majorité des articles, c’était genre “Zenimax, ils sont vilains, maintenant que facebook à racheter Oculus VR, ils regrettent d’avoir loupé l’affaire et veulent une part du gâteau”



Sauf que quand on voit le dossier, c’est quand même énorme. Ce qui fait très sale, ce sont les 5 dev RV qui ont démissionné en même temps pour partir chez O VR. Ils avaient pas une clause de non concurrence dans leur contrat ?

Et pour JC, quitter la boite qu’il a vendu à Zenimax avec les devs pour rejoindre une autre boite quasi en même temps, c’est pas dans le genre du foutage de gueule ?



Bref, plus y’a de choses dévoilées, et plus Oculus VR ne semble pas si innocent que ça, bien au contraire.

Heureusement pour Zenimax, c’est une boite Américaine, donc ils ne seront pas pénalisés devant la justice US comme l’aurait été d’autres boites étrangères…

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dump a écrit :



+1 mais je comprend mieux les choses.

Ce n’est pas vraiment Zenimax qui a majoritairement participé au produit mais plutot John Carmmak mais bon puis qu’il etait sous contrat avec Zenimax, il est donc logique que tout ce qu’il developpe appartient a Zenimax.



On comprend donc mieux pourquoi il a quitté IDsoftware pour Oculus car a la vue de l’article l’Oculus Rift etait devenue son BB depuis bien longtemps (on sens la passion pour le projet VR)

On voit bien qu’il a fait des erreurs et ce qui prouve qu’il est passionné par son nouveau projet (l’amour et la raison ne font pas bon ménage).







C’est son BB comme mes programmes sont les miens. Saufs qu’ils appartiennent à mon patron parce qu’il me verse un salaire en échange de mes oeuvres<img data-src=" />. Idem pour Carmak.

Evidemment, entre les 2 codes il est difficile de faire la différence, surtout quand c’est le même dév qui les a fait tous les deux. Ce qu’on a fait une fois, on peut le faire une seconde. J’aime bien l’analogie des BB, ça fonctionne bien dans ce cas <img data-src=" /> Les dévs sont des mères porteuses…


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Charly32 a écrit :



J’ai l’impression qu’Occulus a demandé beaucoup de chose en échange de 2% d’une start-up financée par la communauté (et qui ne dispose encore à l’heure actuelle d’aucun produit commercial). Je ne suis pas au fait de ce genre de pratiques, mais ça me semblait relativement déséquilibré.





Allez, petit jeu : tente de retrouver un commentaire se rapportant aux résumés suivants <img data-src=" />




  • Pop-corn

  • Y’en a marre de la photo de John Carmack

  • Zenimax = connards







    ça dépend a combien se valorise la boite au moment de l’offre.

    Le fait que ça soit financer par la communauté ne change rien, au contraire : ça prouve un potentielle clientele.


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Tatsu-Kan a écrit :



Cette présentation du dossier contre Oculus VR est vraiment énorme.



Jusqu’à maintenant, j’avais l’impression que la majorité des articles, c’était genre “Zenimax, ils sont vilains, maintenant que facebook à racheter Oculus VR, ils regrettent d’avoir loupé l’affaire et veulent une part du gâteau”



Sauf que quand on voit le dossier, c’est quand même énorme. Ce qui fait très sale, ce sont les 5 dev RV qui ont démissionné en même temps pour partir chez O VR. Ils avaient pas une clause de non concurrence dans leur contrat ?

Et pour JC, quitter la boite qu’il a vendu à Zenimax avec les devs pour rejoindre une autre boite quasi en même temps, c’est pas dans le genre du foutage de gueule ?



Bref, plus y’a de choses dévoilées, et plus Oculus VR ne semble pas si innocent que ça, bien au contraire.

Heureusement pour Zenimax, c’est une boite Américaine, donc ils ne seront pas pénalisés devant la justice US comme l’aurait été d’autres boites étrangères…







Faut voir la législation.

En france, certaines clauses sont considérés comme abusives. Par exemple, l’entreprise ne peux pas t’imposer un rayon d’action dans lequel tu ne peux pas postuler pour le même type de job.

(je le sais, un pote coiffeur est parti de l’entreprise, il avais pas de droit de bosser sur un rayon de 20km. C’est passé aux prud-homme, la clause à sauté.)


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Tout ça montre que les NDA ne sont pas une protection infaillible, et que les inventions “hors mission” sont vraiment un sacré bordel à gérer.

Jonh Carmack ou pas.

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John Shaft a écrit :



J’avais pas vu la date <img data-src=" />



3 possibilités :




  • Comme tout génie, l’ami Carmack est un peu autiste et ne sait pas trop communiquer publiquement - ce dont je doute fortement.

  • Soit c’est voulu pour rentrer dans le lard de Zenimax et là je dis pop corn

  • Kamoulox



    <img data-src=" />





    Première réponse.

    Un geek/nolife/nerd est un autiste, et donc ne sait pas communiquer publiquement (par contre, face à un clavier, un écran, une IHM, ils sont prolixes) ^^;



    Mais bon, je vais sortir les M&M’s, vu que le popcorn, ça ne nourrit pas son homme, car trop de vent ^^; (comme pour le riz soufflé*, ça grossit beaucoup, pour l’effet “sensation”, mais ça reste fade et creux).



    * J’ai pris l’exemple du riz soufflé pour rester correct ^^; Mais je pense que les Inpactiennes auront compris, sans avoir besoin de lire ce texte ^^;


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Jiyuu_Hashi a écrit :



Première réponse.

Un geek/nolife/nerd est un autiste, et donc ne sait pas communiquer publiquement (par contre, face à un clavier, un écran, une IHM, ils sont prolixes) ^^;



Mais bon, je vais sortir les M&M’s, vu que le popcorn, ça ne nourrit pas son homme, car trop de vent ^^; (comme pour le riz soufflé*, ça grossit beaucoup, pour l’effet “sensation”, mais ça reste fade et creux).



* J’ai pris l’exemple du riz soufflé pour rester correct ^^; Mais je pense que les Inpactiennes auront compris, sans avoir besoin de lire ce texte ^^;





<img data-src=" /> En même temps, le riz c’est un peu la base de la nourriture là tu habites !


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linkin623 a écrit :



<img data-src=" /> En même temps, le riz c’est un peu la base de la nourriture là tu habites !





Là où j’habite, ce serait plutôt les artichauts, le porc, les crêpes/galettes, le Kouign-amann, etc. <img data-src=" />

Ce n’est pas parce que j’ai un pseudo japonais (mon nom et mon prénom) et un avatar (l’image) du château de Matsumoto, que je le suis, ou que j’y habite ^^;



Mais c’est la première fois qu’on me fait la remarque sur ce point ^^;



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Jiyuu_Hashi a écrit :



Première réponse.

Un geek/nolife/nerd est un autiste



contrairement au nolife et au nerd, le geek a une vie sociale (sinon, c’est un nerd). du coup lui peut savoir comment communiquer correctement, contrairement aux 2 autres catégories.


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Patch a écrit :



contrairement au nolife et au nerd, le geek a une vie sociale (sinon, c’est un nerd). du coup lui peut savoir comment communiquer correctement, contrairement aux 2 autres catégories.





Je vais envoyer ta réponse à une foutue chasseuse de têtes d’une de mes relations.

Ca va franchement me faire plaisir (par contre, pas bander, vu sa tronche ^^;)

Pour elle, un geek, c’est déjà “uniquement” sur l’informatique &gt;&lt;



Par contre, je ne pensais pas que quelqu’un aurait marché dans mon troll (^_^)/


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A supprimer (erreur d’édition)

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Jiyuu_Hashi a écrit :



Là où j’habite, ce serait plutôt les artichauts, le porc, les crêpes/galettes, le Kouign-amann, etc. <img data-src=" />

Ce n’est pas parce que j’ai un pseudo japonais (mon nom et mon prénom) et un avatar (l’image) du château de Matsumoto, que je le suis, ou que j’y habite ^^;



Mais c’est la première fois qu’on me fait la remarque sur ce point ^^;





<img data-src=" /> Oups ! Mais tu en parles souvent du Japon…



Sinon +1 pour le Kouign-amann, je m’y suis converti depuis 1 an <img data-src=" />


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linkin623 a écrit :



<img data-src=" /> Oups ! Mais tu en parles souvent du Japon…







Un fan ?<img data-src=" />



En tout cas, pour revenir à l’article, j’ai l’impression que JC à faire n’importe quoi pensant avoir sous les droits, et maintenant le retour de bâton semble assez violent.


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Jiyuu_Hashi a écrit :



Je vais envoyer ta réponse à une foutue chasseuse de têtes d’une de mes relations.

Ca va franchement me faire plaisir (par contre, pas bander, vu sa tronche ^^;)

Pour elle, un geek, c’est déjà “uniquement” sur l’informatique &gt;&lt;



Par contre, je ne pensais pas que quelqu’un aurait marché dans mon troll (^_^)/



on parle surtout d’informatique, mais geek ca peut être pour n’importe quel domaine, le sens littéral de geek est “passionné” (il existe des geeks de la musique, des livres, des voitures, etc) <img data-src=" />


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Patch a écrit :



on parle surtout d’informatique, mais geek ca peut être pour n’importe quel domaine, le sens littéral de geek est “passionné” (il existe des geeks de la musique, des livres, des voitures, etc) <img data-src=" />





Ça ressemble à otaku : otaku des trains, otaku des trois royaumes, otaku des méduses, etc. (un otaku reconnaîtra certainement ma référence <img data-src=" />)


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zefling a écrit :



Ça ressemble à otaku : otaku des trains, otaku des trois royaumes, otaku des méduses, etc. (un otaku reconnaîtra certainement ma référence <img data-src=" />)



l’otaku va plus loin que le geek, il a tendance à se rapprocher du nerd <img data-src=" />


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mmm, je ne traduis pas le twit de Carmack sur la capture de la même manière :

“Quand tu es pressé et que tu sais que tu as écrit le bout de code nécessaire (et bien !) dans un travail précédent, la réimplémentation ça saoule”



Moi je le comprends comme voulant dire qu’il fait justement l’effort de rien reprendre niveau code et de réimplémenter et que ça le fait ch*

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A-snowboard a écrit :



Faut voir la législation.

En france, certaines clauses sont considérés comme abusives. Par exemple, l’entreprise ne peux pas t’imposer un rayon d’action dans lequel tu ne peux pas postuler pour le même type de job.

(je le sais, un pote coiffeur est parti de l’entreprise, il avais pas de droit de bosser sur un rayon de 20km. C’est passé aux prud-homme, la clause à sauté.)







Tout dépend. Généralement pour imposer des clause de ce type dans un contrat de travail, l’entreprise doit proposer un dédommagement et elle doit être limité dans le temps et l’espace. Dans le cadre de la convention SYNTEC (présent dans les SS2I), cela correspond à un salaire versé pendant X mois. Généralement les entreprises n’utilise pas ce levier sauf dans le cas où la personne a eu accès à des secret de l’entreprise.





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ike a écrit :



Tout dépend. Généralement pour imposer des clause de ce type dans un contrat de travail, l’entreprise doit proposer un dédommagement et elle doit être limité dans le temps et l’espace. Dans le cadre de la convention SYNTEC (présent dans les SS2I), cela correspond à un salaire versé pendant X mois. Généralement les entreprises n’utilise pas ce levier sauf dans le cas où la personne a eu accès à des secret de l’entreprise.







C’est du droit du travail français ça … pas certain que ça soit transposable au droit US


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Meallia a écrit :



C’est du droit du travail français ça … pas certain que ça soit transposable au droit US







Dans le cas des US où certains groupe n’hésite pas à ce volé certains ingénieur ou chercheur, je pense que je genre de clause existe également. Reste à voir les modalité de celle-ci. Il ne faut pas oublier que Apple, Google et d’autre ont signé des accords entre eux pour éviter de pillé les ressources d’autrui.



Dans le droit français, il me semble que la clause de non-concurrence concerne uniquement le travail à temps plein. Tu peux donc travailler chez un autre à temps partiel pendant la durée de la clause (à confirmer, je dit peut-être une connerie).


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Sur le subreddit oculus le problème est présenté différemment.



Dans la news :



Pourtant, ces 20 dernières années, John Carmack n’a travaillé qu’au sein d’idSoftware, pour le compte de ZeniMax, il est donc difficile de voir dans quelles autres circonstances Carmack aurait pu reprendre du code écrit dans « un ancien travail ».





Carmack est un bidouilleur sur son temps libre, et sur une vidéo (celle de l’E3 2012 de Kotaku ?) il disait avoir réutilisé (pour minimiser la latence du prototype) du code qu’il avait écrit pour Armadillo Aerospace (fondé par Carmack lui-même !) : il parlait peut-être d’un cas similaire dans son tweet, que Zenimax n’a en tous cas pas mis dans son contexte (réponses, tweets précédents/suivants, …).



Beaucoup de “preuves” du dossier sont à mourir de rire, notamment une photo où l’on voit Carmack et Palmer à l’E3 2012 et qui est utilisée pour “prouver” qu’Oculus ne serait rien sans Zenimax.



Ceux qui ont suivi l’historique du développement du Rift (avec toutes les itérations des prototypes de Palmer qu’il présentait sur le forum MTBS avant qu’il ne lance le Kickstarter) ont vu rouge quand ils ont lu la description de Zenimax, très éloignée de la réalité : Palmer était même avant le Kickstarter un expert de la réalité virtuelle, et possède la plus grande collection privée de casques VR au monde et travaillait pour l’armée sur des problématiques de “mixed reality” avant de fonder Oculus.

Il a un profil plutôt hardware que software, et c’est là que Carmack est intervenu (c’est lui qui a proposé de l’aide à Palmer, pas l’inverse).

Donc oui, le John est le parrain du projet depuis très longtemps, sans lui Oculus n’existerait probablement pas (en tant que société) mais ça ne signifie pas que ses contributions au projet en tant que personne privée (et pas en tant qu’employé) appartiennent à Zenimax.

Beaucoup de ses contributions étaient internes à Zenimax (comme le support pour D3) et à moins d’une preuve du contraire il n’a pas quitté l’entreprise avec.



Concernant les apports de Carmack, là aussi c’est dans une vidéo d’un E3, il expliquait que ses contributions pouvaient être du genre “appeler le fabricant de tel capteur pour lui demander un firmware modifié”.

Pour la pré-compensation de la distorsion, c’est un concept qui existait déjà avant, comme beaucoup d’éléments de la réalité virtuelle : c’est juste que maintenant, la technologie est suffisamment avancée pour permettre de les utiliser rapidement.

Et puis le code de transformation en question est tellement générique (Carmack l’a implémenté en une nuit sur Doom 3 BFG, donc sur son temps libre d’autant plus que le code est sous GPL) qu’il ne peut pas être considéré comme un secret de fabrication, sans compter que ledit code a été modifié au moins une fois depuis que Carmack a quitté iD, le plus récemment pour le SDK 0.3.1 (“modelling the distortion function using spline curves rather than polynomials”).



Aussi, tout le code d’Oculus est disponible dans le SDK et Zenimax n’a jamais indiqué quel fichier ou quelles lignes de code seraient “volées” : Carmack a déjà râlé sur le fait qu’il devait recoder tout ce qu’il avait fait pour la VR au sein d’iD.



Il y a 9 mois, une “source proche du dossier” avait posté plusieurs messages intéressants par rapport au départ de Carmack, nié par la direction d’iD :

http://www.reddit.com/user/carmack-info-throw



Puis plus récemment, quelqu’un de chez iD qui critique ouvertement Zenimax !

http://www.reddit.com/user/throwaway_zeni



Ce dernier cite comme exemple un employé qui avait fait sur son temps libre (hors de la société) un chapeau pour TF2 qui lui avait rapporté pas mal d’argent, et Zenimax aurait voulu l’attaquer en justice car aurait considéré que l’argent aurait dû lui revenir : quand on sait ça, ça donne un éclairage différent à toute cette histoire.



EDIT :

L’article de Wired donne un bon historique du projet et de l’implication de Carmack.

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Bordel la limitation d’édition est vraiment la pire plaie de ce site surtout quand on fait plus de deux paragraphes, en plus j’ai l’impression que le délai a été raccourci et c’est pas ça qui va m’inciter à poster.

Heureusement que les journalistes peuvent éditer leurs articles pendant plus longtemps que nous, sinon ils seraient VRAIMENT FRUSTRÉS, hein ?





Je voulais donc rajouter :



On notera aussi à la toute fin de l’article :



“I’ve written 2 million lines of code over the past 20 years, and now I’m starting from a blank page,” Carmack says.

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Tatsu-Kan a écrit :



Cette présentation du dossier contre Oculus VR est vraiment énorme.



Jusqu’à maintenant, j’avais l’impression que la majorité des articles, c’était genre “Zenimax, ils sont vilains, maintenant que facebook à racheter Oculus VR, ils regrettent d’avoir loupé l’affaire et veulent une part du gâteau”



Sauf que quand on voit le dossier, c’est quand même énorme. Ce qui fait très sale, ce sont les 5 dev RV qui ont démissionné en même temps pour partir chez O VR. Ils avaient pas une clause de non concurrence dans leur contrat ?

Et pour JC, quitter la boite qu’il a vendu à Zenimax avec les devs pour rejoindre une autre boite quasi en même temps, c’est pas dans le genre du foutage de gueule ?



Bref, plus y’a de choses dévoilées, et plus Oculus VR ne semble pas si innocent que ça, bien au contraire.

Heureusement pour Zenimax, c’est une boite Américaine, donc ils ne seront pas pénalisés devant la justice US comme l’aurait été d’autres boites étrangères…





En même temps il y a tout de même du vrai hein…

Effectivement le dossier à charge de Zenimax contre Oculus est bien lourd, bien dense et bien construit. Et la maladresse (pour être gentil) de Carmack n’arrange rien à l’affaire.

Cela étant, on parle ici de faits qui datent de plusieurs mois. Or, Zenimax intente l’action en justice quelques semaines après le rachat par Facebook.

Autrement dit, quelques semaines après l’acquisition par Oculus d’une réserve d’argent plus que confortable. Sachant qu’il faut un minimum de temps pour préparer l’action…

À mon sens, Zenimax fourbissait ses armes depuis plusieurs mois en attendant une bonne occasion, et ils ont vu la poule aux oeufs d’or avec le rachat.



Exactement, soit dit en passant, comme les ayants droits et Youtube, qui avaient fait le dos rond pendant les premiers mois d’existence et sortirent l’artillerie lourde dès que Google racheta la plate-forme…<img data-src=" />

Ce qui n’enlève rien à la légimité de l’action de Zenimax nous sommes d’accord vu que, selon toute apparence ils se sont fait gravement spoiler.





Ruzgfpegk a écrit :



Bordel la limitation d’édition est vraiment la pire plaie de ce site surtout quand on fait plus de deux paragraphes, en plus j’ai l’impression que le délai a été raccourci et c’est pas ça qui va m’inciter à poster.





Je suis rassuré de voir que je ne suis pas le seul à galérer parfois. <img data-src=" /> J’avais déjà soumis l’idée en com’ et post de forum de monter la limite d’édition de quelques minutes (10 serait idéal, au moins 7). <img data-src=" /> Après c’est comme tout on s’adapte pour pas se faire avoir trop souvent. <img data-src=" />


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Citan666 a écrit :



En même temps il y a tout de même du vrai hein…

Effectivement le dossier à charge de Zenimax contre Oculus est bien lourd, bien dense et bien construit. Et la maladresse (pour être gentil) de Carmack n’arrange rien à l’affaire.

Cela étant, on parle ici de faits qui datent de plusieurs mois. Or, Zenimax intente l’action en justice quelques semaines après le rachat par Facebook.

Autrement dit, quelques semaines après l’acquisition par Oculus d’une réserve d’argent plus que confortable. Sachant qu’il faut un minimum de temps pour préparer l’action…

À mon sens, Zenimax fourbissait ses armes depuis plusieurs mois en attendant une bonne occasion, et ils ont vu la poule aux oeufs d’or avec le rachat.



Exactement, soit dit en passant, comme les ayants droits et Youtube, qui avaient fait le dos rond pendant les premiers mois d’existence et sortirent l’artillerie lourde dès que Google racheta la plate-forme…<img data-src=" />

Ce qui n’enlève rien à la légimité de l’action de Zenimax nous sommes d’accord vu que, selon toute apparence ils se sont fait gravement spoiler.







L’autre possibilité, c’est qu’avec le rachat par Facebook, il n’y a plus de possibilité d’obtenir des parts par un accord à l’amiable, et maintenant, ils n’ont plus que cette possibilité.


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@Tatsu-Kan Très possible aussi. <img data-src=" />

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dump a écrit :



Si ZeniMax n’avait pas été aussi tétu sur les profits et son intention de stopper le développement d’une solution VR, Carmmak et ses copains n’auraient sans doute pas quitté le navire de IDsoftware.









Arcy a écrit :



Le problème est que Zenimax a participé majoritairement au produit : SDK, jeux pour une présentation commerciale, aide technologique, etc …



Bref, sans leur savoir, Oculus Rift existerait peut-être même pas/plus.





C’est clair, c’est plutôt : si Palmer Luckey n’avait pas été aussi têtu… <img data-src=" />









Fuinril a écrit :



Et aujourd’hui ce n’est plus une grosse société attaquant une startup mais 2 multinationales qui s’affrontent. Du grand classique quoi.





Ah ah… Oculus VR, une multinationale… tu m’as bien fait rire !!! <img data-src=" />


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maxxyme a écrit :



Ah ah… Oculus VR, une multinationale… tu m’as bien fait rire !!! <img data-src=" />







Je vois pas ce qu’il y a de drôle <img data-src=" />


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Fuinril a écrit :



Je vois pas ce qu’il y a de drôle <img data-src=" />





Je t’invite à relire la définition de “Multinationale” <img data-src=" />

fr.wikipedia.org Wikipedia


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maxxyme a écrit :



Je t’invite à relire la définition de “Multinationale” <img data-src=" />

fr.wikipedia.org WikipediaPuisque tu sembles aimer les liens wikipedia en voilà deux :fr.wikipedia.org Wikipedia,fr.wikipedia.org Wikipedia


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Fuinril a écrit :



Puisque tu sembles aimer les liens wikipedia en voilà deux :fr.wikipedia.org Wikipedia,fr.wikipedia.org Wikipedia<img data-src=" /> j’ai lu nulle part que Facebook était attaquée…


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maxxyme a écrit :



<img data-src=" /> j’ai lu nulle part que Facebook était attaquée…







Tu étais en hibernation ? <img data-src=" />



nextinpact.com Next INpact


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maxxyme a écrit :



<img data-src=" /> j’ai lu nulle part que Facebook était attaquée…







Eh oui <img data-src=" />

S’attaquer a oculus c’est s’en prendre à facebook <img data-src=" />


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dump a écrit :



Eh oui <img data-src=" />

S’attaquer a oculus c’est s’en prendre à facebook <img data-src=" />





Si on veut, je trouve surtout que là, c’est un peu pour récupérer leur matos/code/etc.


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Ellierys a écrit :



Il a probablement raison de le faire, par contre aller le balancer sur Twitter comme ça, surtout avec ce qui se passait entre ZeniMax et Oculus VR au moment de son écriture… ça c’est pas malin.





J’ai pas l’habitude de voir le verbe “to grate” utilisé, mais tel que je comprends le tweet de Carmack, il indique juste que ça le fait chier de passer du temps à réécrire du code qu’il sait avoir déjà écrit auparavant. C’est pas exactement le même sens que de dire explicitement qu’il a réutilisé du code de Zenimax, ce qui pourrait tout à fait ne pas être le cas.



Bon après, clairement les dirigeants d’Oculus VR ont l’air d’avoir déconné, et si tout ce qui est énoncé ici est vrai (il ne s’agit que du point de vue de Zenimax, après tout) ils mériteront de se ramasser une bonne fessée.


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Charly32 a écrit :





  • Y’en a marre de la photo de John Carmack





    Peut être, ceci dit, dans mon taf, elle est devenue culte. On dirait le portrait craché d’un de nos ingénieurs <img data-src=" />


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Jaskier a écrit :



Peut être, ceci dit, dans mon taf, elle est devenue culte. On dirait le portrait craché d’un de nos ingénieurs <img data-src=" />







Si tu bosses chez Occulus, ça compte pas <img data-src=" />


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ike a écrit :



Tout dépend. Généralement pour imposer des clause de ce type dans un contrat de travail, l’entreprise doit proposer un dédommagement et elle doit être limité dans le temps et l’espace. Dans le cadre de la convention SYNTEC (présent dans les SS2I), cela correspond à un salaire versé pendant X mois. Généralement les entreprises n’utilise pas ce levier sauf dans le cas où la personne a eu accès à des secret de l’entreprise.







Merci pour l’information. :jap:


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A-snowboard a écrit :



Par exemple, l’entreprise ne peux pas t’imposer un rayon d’action dans lequel tu ne peux pas postuler pour le même type de job.

(je le sais, un pote coiffeur est parti de l’entreprise, il avais pas de droit de bosser sur un rayon de 20km. C’est passé aux prud-homme, la clause à sauté.)





T’es sur? <img data-src=" />

Mon cour d’éco-droit me dis que les clause de non concurence doivent être limité dans le temps, l’espace, le domaine d’activité et donner lieu à une contrepartie financière. Le tout ne devant pas être abusif.



Exemple: Ne pas ouvrir de boulangerie dans les 10km à la ronde, pendant 2 ans, contrepartie de 5000€ ok, Ne pas rejoindre une SS2I ESN concurente dans l’UE pendant 5ans pour 0€, abusif.


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Charly32 a écrit :



Si tu bosses chez Occulus, ça compte pas <img data-src=" />





Ca tombe bien, je travaille dans le secteur hospitalier <img data-src=" />


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Nyn a écrit :



T’es sur? <img data-src=" />

Mon cour d’éco-droit me dis que les clause de non concurence doivent être limité dans le temps, l’espace, le domaine d’activité et donner lieu à une contrepartie financière. Le tout ne devant pas être abusif.



Exemple: Ne pas ouvrir de boulangerie dans les 10km à la ronde, pendant 2 ans, contrepartie de 5000€ ok, Ne pas rejoindre une SS2I ESN concurente dans l’UE pendant 5ans pour 0€, abusif.







C’est ce qu’il s’est passé avec mon pote.

Je n’ai pas le contrat sous la main non plus. ;)



Après peut être qu’il n’y avais justement pas de compensation ou pas limitation dans le temps. C’est peut être ça qui a posé souci.


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A-snowboard a écrit :



Faut voir la législation.

En france, certaines clauses sont considérés comme abusives. Par exemple, l’entreprise ne peux pas t’imposer un rayon d’action dans lequel tu ne peux pas postuler pour le même type de job.

(je le sais, un pote coiffeur est parti de l’entreprise, il avais pas de droit de bosser sur un rayon de 20km. C’est passé aux prud-homme, la clause à sauté.)









ike a écrit :



Tout dépend. Généralement pour imposer des clause de ce type dans un contrat de travail, l’entreprise doit proposer un dédommagement et elle doit être limité dans le temps et l’espace. Dans le cadre de la convention SYNTEC (présent dans les SS2I), cela correspond à un salaire versé pendant X mois. Généralement les entreprises n’utilise pas ce levier sauf dans le cas où la personne a eu accès à des secret de l’entreprise.









Nyn a écrit :



T’es sur? <img data-src=" />

Mon cour d’éco-droit me dis que les clause de non concurence doivent être limité dans le temps, l’espace, le domaine d’activité et donner lieu à une contrepartie financière. Le tout ne devant pas être abusif.



Exemple: Ne pas ouvrir de boulangerie dans les 10km à la ronde, pendant 2 ans, contrepartie de 5000€ ok, Ne pas rejoindre une SS2I ESN concurente dans l’UE pendant 5ans pour 0€, abusif.





Ce n’est pas incompatible avec les deux commentaires précédents.

En gros, la limite ultime à la clause de non-concurrence, c’est qu’elle ne doit pas te priver de toute possibilité de trouver un poste correspondant à ton profil (compétences, localisation, situation de famille). Limite qui est donc éminemment dépendante des faits et laissée à la discrétion des juges.

Peut-être dans le cas du pote d’A-Snowboard, le rayon de 20km a-t-il été considéré comme abusif parce que la région est peu desservie en transports, ou que les offres d’emploi pour ses compétences étaient essentiellement concentrées dans la zone, ou autre raison. Faudrait voir le jugement (ça m’intéresse d’ailleurs à titre perso).



Bref, comme le dit Ike, généralement les entreprises te délivrent de la clause parce que ça leur coûte des sous, sauf si tu es en position de les emmerder (accès au savoir-faire ou secrets industriels, compétence assez élevée pour venir concurrencer directement etc).



EDIT : @Ike ça m’étonne fortement ce que tu dis. La dernière fois que j’ai lu la Syntec il n’y avait nulle part référence à une clause “a minima” de non-concurrence, encore moins de montant conventionnel qui serait égal au salaire…

À ma connaissance, le montant moyen fixé par les entreprises pour passer le cap du “montant non dérisoire” fixé par jurisprudence oscille entre 14 et 15 du salaire mensuel par mois d’obligation.


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Citan666 a écrit :



EDIT : @Ike ça m’étonne fortement ce que tu dis. La dernière fois que j’ai lu la Syntec il n’y avait nulle part référence à une clause “a minima” de non-concurrence, encore moins de montant conventionnel qui serait égal au salaire…

À ma connaissance, le montant moyen fixé par les entreprises pour passer le cap du “montant non dérisoire” fixé par jurisprudence oscille entre 14 et 15 du salaire mensuel par mois d’obligation.







En effet, je n’ai pas retrouvé de référence au sein de la convention syntec numérique. Le fait de le voir dans tout les contrats m’as poussé à faire un lien. Quant au montant des indemnités (c’était d’avantage pour l’exemple). En revanche, je sais qu’il est souvent renégocier lorsqu’il est utilisé.


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