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Le « livret scolaire numérique » bientôt déployé pour tous les lycéens

Le livret la tortue

Le « livret scolaire numérique » bientôt déployé pour tous les lycéens

Le 23 février 2016 à 14h00

Après une période d’expérimentation, l’Éducation nationale s’apprête à généraliser le « livret scolaire numérique » des lycéens au cours des prochaines années. Les élèves et leurs parents pourront accéder via Internet aux notes et appréciations laissées par les professeurs, de même que les agents chargés des statistiques au sein des académies.

Objet de préoccupation pour certains, récompense du travail accompli pour d’autres, le livret scolaire poursuit l’élève jusqu’au bac, où il est passé en revue par le jury. En fonction de son contenu, ce document vient parfois donner un coup de pouce pour l’obtention d’une mention. Délivré jusqu’ici au format papier, le livret scolaire a toutefois engagé sa marche vers la dématérialisation en 2013, une soixantaine de lycées ayant été autorisés à expérimenter (pour certaines filières uniquement) un nouveau téléservice dédié.

Au travers d’un arrêté paru ce matin au Journal officiel, le ministère de l’Éducation nationale a officialisé la généralisation progressive du « livret scolaire numérique ». Toutes les filières seront dorénavant concernées, quelle que soit l’académie : baccalauréats généraux, technologiques et professionnels – à l'exception toutefois de la filière « sciences et technologies de l'agronomie et du vivant », qui dépend du ministère de l'Agriculture, et de la filière « technique de la musique et de la danse », pour laquelle il n’y a pas de livret scolaire.

Un téléservice appelé à s'étendre jusqu'en 2020, tout en restant facultatif

Concrètement, les enseignants et personnels des lycées rempliront au fil de la scolarité ce livret par voie informatique, en y inscrivant notamment les moyennes trimestrielles et annuelles de chaque élève, par matière, à partir de la classe de première, les appréciations, les éventuelles remarques relatives au comportement (voire les sanctions disciplinaires), la mention de la délivrance du brevet informatique et Internet « lycée », etc. Lors du bac, les membres du jury auront accès à ces informations – sauf aux nom, prénom et établissement d'origine du candidat, afin d'éviter au maximum les discriminations.

L’élève et ses parents pourront quant à eux consulter le livret scolaire sur Internet à la clôture des délibérations du jury, pour éventuellement le télécharger et l'imprimer afin d'en conserver une copie. La CNIL, qui a échangé avec le ministère de l’Éducation avant de rendre son avis afférent à l’arrêté de ce matin, explique à cet égard :

« Les données seront conservées, en base active, pendant deux mois après la proclamation des résultats du baccalauréat. À l'issue de cette durée de conservation, les données seront versées dans une base d'archives intermédiaire, hébergée par chaque académie, et conservées pendant six mois supplémentaires, à des fins probatoires dans le cadre d'éventuels contentieux. À l'expiration de cette période de six mois, les données seront supprimées de manière sécurisée ou archivées à titre définitif, dans des conditions définies en conformité avec les dispositions du code du patrimoine relatives aux obligations d'archivage des informations du secteur public. »

Aux yeux de l’Éducation nationale, ce projet présente des avantages indéniables : réduction « importante » des coûts liés à l'achat, au stockage et au transport des livrets, travail de saisie facilité, avec de possibles échanges interapplicatifs, etc. Pour autant, ce livret numérique ne sera pas déployé de manière systématique. La CNIL insiste ainsi sur le fait que « les élèves qui ne souhaiteraient pas utiliser le téléservice facultatif, ou dont l'établissement ne le mettrait pas à disposition de ses usagers, devront recevoir une version papier de leur livret définitif, au moment de la proclamation des résultats ».

L'Éducation nationale à l'heure du big data

Dernière chose. Les agents habilités des services statistiques académiques pourront eux aussi accéder aux informations (non nominatives) contenues dans les livrets numériques. La gardienne des données personnelles explique en effet qu’il est question de mettre en place « un outil de pilotage pédagogique permettant d'étudier les corrélations entre les performances des élèves, les notes obtenues pendant le cycle terminal et les orientations proposées au candidat dans l'enseignement supérieur ».

Voici le calendrier de déploiement envisagé par le ministère de l’Éducation nationale (sachant que l’arrêté prévoit une mise en œuvre à compter de la session 2020 du baccalauréat pour les séries professionnelles) :

calendrier livret LSL
Crédits : Eduscol

Commentaires (33)

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picatrix a écrit :



il faut bien, autrement on ne peut pas négocier le tarif avec les dames qui arpentent le trottoir.





Acheter une arme est tout aussi efficace, et beaucoup plus rapide que d’apprendre toutes les langues africaines, d’Europe de l’est et d’Asie.


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il est dos au tableau c’est le prof, soit dis en passant il est ou son tableau numérique ? :p

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A quoi sert encore un livret scolaire quand à la fin on offre le bac à tout le monde?

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ActionFighter a écrit :



Acheter une arme est tout aussi efficace, et beaucoup plus rapide que d’apprendre toutes les langues africaines, d’Europe de l’est et d’Asie.



Et une fois bâillonnées (ou autre…), connaitre leur dialecte n’est plus très utile.


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Mais à quoi ça sert puisque de toutes façons on leur donnera finalement le bac à tous ?

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<img data-src=" />l’authent se fera avec facebook ?&nbsp;

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mais heu je te jure maman mon bulletin m’a été volé par un fufu elfe de la nuit

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Sous titre : non

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Livret numérique, oui mais… avec kel ortograf dedent ?

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auclairdelalune a écrit :



Livret numérique, oui mais… avec kel ortograf dedent ?





la nouvelle manifestement (avec l’ancienne, ils auraient dit le livret digital <img data-src=" /> )


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il est pas un peu vieux et souriant le Monsieur de la photo pour être lycéen <img data-src=" />

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En gros c’est juste l’adaptation pour le lycée&nbsp;de ce qui existe depuis plusieurs années au collège… Sont pas pressé à l’Education Nationale <img data-src=" />.

Par contre pour faire apprendre la LV2 en 5eme alors que les élèves ne maitrisent pas l’anglais (je ne parlerais pas du français), là il sont réactifs. Je suis bien content de ne plus en faire partie.

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Il habitue les parents à ce qu’ils trouveront le plus souvent en allant sur le site du livret scolaire numérique: une page blanche car l’EduNat se sera encore fait poutré son site (true story pour ceux existants).

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je vois déjà les js payants ou gratuits qui modifie l’affichage ….&nbsp;

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On va mettre 4 ans a déployé un truc qui aurait du être fait il y a 10 ans partout…

En 2020 en lycées professionnels … mais ils sont sérieux… ?



La compétence n°1 de l’éducation nationale: l’incompétence.

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Ils ne devraient rien faire alors? parce que c’est l’impression que tu donnes dans ton commentaire.

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Pictou a écrit :



Ils ne devraient rien faire alors? parce que c’est l’impression que tu donnes dans ton commentaire.





Qu’est ce que tu veux, il est passé par l’éducation nationale, M6 et Metronews.


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edrin17 a écrit :



On va mettre 4 ans a déployé un truc qui aurait du être fait il y a 10 ans partout



ça a été fait, ya 15 ans, mais pas partout.

Je le sais, je l’ai fait. Si ça n’a pas été déployé partout, c’est une autre histoire.


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Il existe déjà virtuellement depuis des années. Dans Pronote par exemple, il se remplit automatiquement : une simple bascule, et il serait dispo pour les jurys de bac ; d’ailleurs, certains lycées l’impriment pour le coller dans le livret scolaire classique !

L’EN est entièrement informatisée depuis longtemps, mais certains systèmes classiques sont parfois conservés pour garder un certain côté humain envers les parents et/ou les élèves !

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Je suis de ceux qui ont appris LV2 en 6eme, je ne comprend pas trop le soucis, et surtout le rapport entre l’anglais et la LV2.

Je ne compte meme pas techno, biologie SVT, physique/chimie appliquée, c’est juste trop simple le college aujourd’hui.



Par contre le francais effectivement, c’est a la primaire que ca doit etre operationnel, pas après.



Quid des parents “incapables” d’aller sur le net ?

A quand le spoofing du carnet, combien de parents vérifient l’URL ?C’est encore plus simple qu’avec le papier… .

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Ils devraient arrêter de faire n’importe quoi, juste pour faire mousser leurs ambitions politiques numériques.

On développe des outils en consultant qui ? Un collège d’Inspecteurs Généraux , de Directeur Académique du Numérique, de chefs d’établissements. C’est gens là sont incompétents! Elle est où la logique Bottom -&gt; Up ???!!!

&nbsp;

J’aimerais bien les voir les profs qu’on a consultés…



Et puis avant de faire des annonces bidons en grandes pompes, qu’on commence par faire marcher l’existant (parc informatique, chauffage, lumière dans les salles, vidéo projecteurs…)



C’est du vent. L’administration cache la misère quotidienne et la réalité de l’E.N avec le SUPER livret de suivi numérique…

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serpolet a écrit :



Il existe déjà virtuellement depuis des années. Dans Pronote par exemple, il se remplit automatiquement : une simple bascule, et il serait dispo pour les jurys de bac ; d’ailleurs, certains lycées l’impriment pour le coller dans le livret scolaire classique !



L'EN est entièrement informatisée depuis longtemps, mais certains systèmes classiques sont parfois conservés pour garder un certain côté humain envers les parents et/ou les élèves !









Je sais que l’E.N est entièrement informatisée depuis longtemps…les écrans CRT de notre salle des profs en témoignent. Cette blague !

Mon Directeur Académique du Numérique m’envoie des jolis courriels au format “.docx” pour me dire que le numérique c’est bien.

Et puis on a des ENT plus ou moins ouvert dans chaque académie de France, à plusieurs millions l’ENT …Whaaoooo ! C’est numérique et donc c’est bien.

Là où je suis, nos crédits pédagogiques on été réduit de 50 % en 4 ans…

Alors les licences Pronote qui coûtent un bras, les tablettes et le livret numérique, je m’en tape.

&nbsp;

Par contre, je suis pas contre des moyens (des sous pour des choses utiles hein) pour que les élèves sachent lire, écrire et maîtrisent les 4 opérations quand ils arrivent au lycée… avec ou sans livret numérique.


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edrin17 a écrit :



Je sais que l’E.N est entièrement informatisée depuis longtemps…les écrans CRT de notre salle des profs en témoignent. Cette blague !

Mon Directeur Académique du Numérique m’envoie des jolis courriels au format “.docx” pour me dire que le numérique c’est bien.

Et puis on a des ENT plus ou moins ouvert dans chaque académie de France, à plusieurs millions l’ENT …Whaaoooo ! C’est numérique et donc c’est bien.

Là où je suis, nos crédits pédagogiques on été réduit de 50 % en 4 ans…

Alors les licences Pronote qui coûtent un bras, les tablettes et le livret numérique, je m’en tape.

&nbsp;

Par contre, je suis pas contre des moyens (des sous pour des choses utiles hein) pour que les élèves sachent lire, écrire et maîtrisent les 4 opérations quand ils arrivent au lycée… avec ou sans livret numérique.





Rien à redire, je suis d’accord ! Avec les collègues profs de maths, on

déplore une confusion généralisée et en augmentation, de la 2de à la Terminale, même S,

entre addition et multiplication, et donc soustraction et division,

moitié et racine, double et carré, etc. C’est dramatique… E t on développe les ENT, les INC…


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Et bien justement tu as toi même trouvé le problème, il fonctionne en top bottom, le top étant complètement déconnecté de la réalité. Je ne peux qu’être d’accord avec toi, mais tu m’accorderas que ta réponse n’a rien à avoir avec ton premier propos.



Pour moi le numérique et la façon actuelle dont on apprend à l’école sont deux choses différentes et on peut s’occuper des deux, seulement, comme tu l’as dit, le top est payé pour dire “oui” aux gouvernement successifs on dirait.

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DahoodG4 a écrit :



Je suis de ceux qui ont appris LV2 en 6eme, je ne comprend pas trop le soucis, et surtout le rapport entre l’anglais et la LV2.

Je ne compte meme pas techno, biologie SVT, physique/chimie appliquée, c’est juste trop simple le college aujourd’hui.



Par contre le francais effectivement, c’est a la primaire que ca doit etre operationnel, pas après.



Quid des parents “incapables” d’aller sur le net ?

A quand le spoofing du carnet, combien de parents vérifient l’URL ?C’est encore plus simple qu’avec le papier… .





Le rapport c’est qu’avant de vouloir enseigner une deuxième langue il vaudrait mieux se concentrer sur l’anglais qui est quand même plus essentiel que l’allemand et l’espagnol. A la place de mettre 2H de LV2 en 5eme, ça aurait été mieux d’ajouter 2 heures d’anglais… Mais cet avis n’engage que moi.


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Pictou a écrit :



Pour moi le numérique et la façon actuelle dont on apprend à l’école sont deux choses différentes et on peut s’occuper des deux, seulement&nbsp;



S’occuper des deux … encore il est vrai que beaucoups trolls à tort “ Ils n’ont que ça a foutre au gouvernement ? ils n’ont que ça a foutre les députés sur ces lois ? ”

On répond souvent qu’il y a plusieurs ministres des commissions etc, qu’ils ne sont pas focalisé sur une chose.

Ou bien plusieurs députés chacun apportant son point de vue.



Mais dans ce cas là , on parle non seulement d’un fonctionnement , d’une politique ( amélioration des moyens de l’éducation vs école du numérique ) pour 1 budget unique.

&nbsp; Alors certes les collèges ( anciennement départ ) et lycées ( anciennement régions ) sont censés dépendre des régions ( ou départements tout les 2 je sais plus si y a eu des changements ) , pour leurs budgets et la gestion&nbsp; mais les directives viennent de l’EN qui se doit de donner une priorité dans les projets.



&nbsp;Et vu le désastre , au fil des ans .. est ce que livret numérique est si prioritaire ? est cela qui va révolutionner l’EN ? L’argent utilisé massivement pour mettre en place un tel système n’aurait il pas une meilleure utilité direct ?


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mizuti a écrit :



Le rapport c’est qu’avant de vouloir enseigner une deuxième langue il vaudrait mieux se concentrer sur l’anglais qui est quand même plus essentiel que l’allemand et l’espagnol.





ça dépend … par exemple en faisant un tour dans nos banlieues, j’ai entendu parler espagnol, italien, arabe, portugais, roumain, turc, verlan … mais pas un seul mot d’anglais.

Donc en conclusion :




  • le français c’est pour ceux qui vivent dans les beaux quartiers du centre ville.

  • l’anglais c’est pour ceux qui voyagent à l’étranger (et encore …).

    Donc tout dépend de ce qu’on veut former : des citadins voyageurs de commerce ou des gens intégrés dans leur cadre de vie ?

    On devrait plutôt leur apprendre le verlan et l’orthographe SMS, et comme sport je suggère le krav-maga.

    Avec ce bagage, nos gamins sauront se faire comprendre et respecter dans nos cités : bref de parfaits bons citoyens.


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Cool le hack de base de données sera très lucratif

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picatrix a écrit :



ça dépend … par exemple en faisant un tour dans nos banlieues, j’ai entendu parler espagnol, italien, arabe, portugais, roumain, turc, verlan … mais pas un seul mot d’anglais.

Donc en conclusion :




  • le français c’est pour ceux qui vivent dans les beaux quartiers du centre ville.

  • l’anglais c’est pour ceux qui voyagent à l’étranger (et encore …).

    Donc tout dépend de ce qu’on veut former : des citadins voyageurs de commerce ou des gens intégrés dans leur cadre de vie ?

    On devrait plutôt leur apprendre le verlan et l’orthographe SMS, et comme sport je suggère le krav-maga.

    Avec ce bagage, nos gamins sauront se faire comprendre et respecter dans nos cités : bref de parfaits bons citoyens.



    &nbsp;

    On est pas vendredi <img data-src=" />.


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Justement, plutôt que de m’attaquer aux symptomes, je m’attaquerai plutôt à la cause = le long terme.

Comme plusieurs personnes l’ont dit, les décisions sont prises par des gens incompétents ou par des gens complètement dans le fantasme. En donnant le pouvoir de changer aux premières personnes concernés (les personnes de terrain/élèves), les moyens mis en oeuvre seront beaucoup plus efficaces, surtout, il y aura moins de gâchis. Car ce n’est pas le fait que le budget soit unique qui pose problème, c’est surtout qu’on&nbsp;ne s’occupe jamais des causes alors&nbsp;l’EN se retrouve sous perfusion.



Pour qu’il y ait révolution de l’EN comme&nbsp;tu le demandes,&nbsp;cela passe forcément par un travail sur le long terme.&nbsp;Et non, le livret numérique ne&nbsp;révolutionnera pas l’EN, ce n’est pas&nbsp;sa prétention.



Enfin,&nbsp;nous avons tous les deux raisons, mais nous ne parlons (demandons) pas la même chose. Je rebondissais seulement sur le fait que les deux ne sont pas liés et que faire l’un n’empêche pas de travailler&nbsp;sur l’autre. Quand au budget… quand j’entends qu’ils veulent distribuer des tablettes… je ne pense pas qu’un chiffre&nbsp;les arrêterait.

&nbsp;

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picatrix a écrit :



ça dépend … par exemple en faisant un tour dans nos banlieues, j’ai entendu parler espagnol, italien, arabe, portugais, roumain, turc



Vache, tu connais toutes ces langues?


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MuadJC a écrit :



Vache, tu connais toutes ces langues?





il faut bien, autrement on ne peut pas négocier le tarif avec les dames qui arpentent le trottoir.


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serpolet a écrit :



Dans Pronote par exemple, il se remplit automatiquement : une simple bascule, et il serait dispo pour les jurys de bac ; d’ailleurs, certains lycées l’impriment pour le coller dans le livret scolaire classique !





Le problème est que l’État ne veut pas entendre parler de Pronote qui est un logiciel privé. L’État se concentre sur les applications académiques ou nationales pour la saisie des notes par exemple, donc va tout faire pour que ce soit utilisé à grande échelle. Mais une chose est sûre : ces applications (Web, je précise) ne sont pas au point, et utilisent des bases de données non mutualisées (plusieurs bases de données différentes pour des informations communes). C’est une horreur en gestion administrative.


Le « livret scolaire numérique » bientôt déployé pour tous les lycéens

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