Le Creative Cloud d’Adobe gagne encore du terrain
Et ce n'est pas fini
Le 22 juin 2016 à 12h00
3 min
Économie
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Adobe a publié ses derniers résultats financiers. La stratégie de l'éditeur consistant à miser sur les offres d'abonnement continue de payer et ses chifres s'améliorent trimestre après trimestre.
Vendre des abonnements, cela rapporte très gros à Adobe. En octobre 2015, l'éditeur expliquait à qui voulait bien l'entendre qu'il visait une croissance annuelle de 20 % de son chiffre d'affaires au moins jusqu'en 2018, pendant que son bénéfice progresserait de 30 % par an. Pour 2016, ses prévisions faisaient état d'un chiffre d'affaires de 5,8 milliards de dollars avec un bénéfice net gravitant autour des 900 millions de dollars. Des objectifs bien partis pour être réalisés.
La croissance est bien là
Sur le seul deuxième trimestre, Adobe a accumulé 1,38 milliard de dollars de revenus, contre 1,162 milliard l'an passé à la même période. Soit une progression de 20,4 % sur un an. Bien évidemment, cette hausse se fait surtout grâce au succès rencontré par les offres d'abonnement de l'éditeur (Creative Cloud), dont les ventes sont passées de 774 millions de dollars l'an dernier à 1,083 milliard cette année.
Pendant ce temps, les ventes de licences ont brutalement chuté, passant de 274,5 millions de dollars à seulement 196,5 millions. Les revenus tirés des services et du support sont quant à eux stables, autour de 118 millions de dollars
Sur ces ventes, Adobe est parvenue à dégager un bénéfice net de 244 millions de dollars, légèrement inférieur à celui enregistré trois mois plus tôt. Cela étant, l'entreprise est toujours sur la bonne trajectoire pour remplir ses objectifs, puisque son chiffre d'affaires sur le premier semestre atteint 2,78 milliards de dollars et son bénéfice net cumulé est de 498 millions de dollars.
Un nombre d'abonnés gardé secret
Adobe n'a pas donné de nouveaux chiffres concernant le nombre d'abonnés à son offre Creative Cloud. En octobre dernier, la société expliquait vouloir capter une base de plus de 29 millions d'utilisateurs d'ici 2018, ce en partant seulement avec 8,6 millions d'abonnés à bord à l'époque.
L'éditeur misait pour cela sur la conversion de ses acheteurs de licences (8,3 millions) au modèle par abonnement et sur divers autres leviers comme la pénétration du marché scolaire, un accroissement du nombre d'emplois dans la création et surtout sur une conversion des pirates en utilisateurs payants. Seule certitude, Adobe dégage bien plus de revenus qu'auparavant grâce à cette méthode.
Des prévisions optimistes
L'éditeur compte profiter du même élan au prochain trimestre que lors des trois derniers mois. Il vise un chiffre d'affaires compris entre 1,42 et 1,48 milliard de dollars, avec un bénéfice qui gravite toujours autour des 250 millions de dollars. Ses objectifs sur l'ensemble de l'exercice sont quant à eux maintenus.
En bourse, les investisseurs semblaient s'attendre à un peu mieux et font reculer le cours de l'action Adobe de 2,5 % au moment où nous rédigeons cette actualité. La valorisation du groupe reste néanmoins légèrement supérieure à 50 milliards de dollars.
Le Creative Cloud d’Adobe gagne encore du terrain
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La croissance est bien là
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Un nombre d'abonnés gardé secret
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Des prévisions optimistes
Commentaires (35)
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Abonnez-vousLe 22/06/2016 à 12h23
Rah, j’ai mon dernier job à rendre pour septembre et après Bye Bye Adobe ! Il m’auront bien fait cracher. Je me suis déjà séparé de Office 365. Il est temps pour moi de voguer vers des océans plus légers.
Alors certes, je me suis payé un Mac (pas troooop cher), mais la suite bureautique gratuite m’est suffisante et peut cracher du format Word au cas où. Et je vais retrouver mon vieil ami Pixelmator qui me suffira pour la retouche d’images. Je suis sûr que j’amortirai la différence de prix entre un Mac et un PC de cette manière.
J’ai largué mon abo WoW aussi 11 ans, ça suffit. Sérieux, quand j’ai fait la liste de tous les abos que j’avais et ce que ça me coûtait par an, j’ai presque pleuré.
Place au minimalisme et les abos indispensables (qui a dit NXI ?).
Le 22/06/2016 à 12h31
Ce débat quotidien de l’équilibre entre le logiciel qui te respecte, potentiellement gratuit, et l’efficacité… A aucun moment je ne me vois me séparer de la suite Adobe, de logiciels qui me permettent d’être efficace au travail, troquer Première/FCPX etc contre Kino, (ou Photoshop contre Gimp haha) j’ai donné perso, c’est no way !
Les abonnements ont du bon, rendent la facture moins indolore et… Permettent de s’arrêter quand on veut :)
Well done Adobe!
Le 22/06/2016 à 12h35
Le 22/06/2016 à 12h46
Tu a bien raison, c’est tout le contraire.
Le 22/06/2016 à 12h47
Je confirme, c’est le contraire.
En général dans les grosses boites on achète pas les produits à chaque montée de version, disons tous les 3⁄4 ans pour rester à la page.
Alors c’est vrai l’abonnement retire le problème des versions mais les coûts sont facilement augmentés par 3 voire plus …
Le 22/06/2016 à 12h53
Le 22/06/2016 à 12h59
Le 22/06/2016 à 13h15
Il me semble que l’abonnement n’est pas spécifique à un poste. Ca permet pour des boîtes de mutualiser 1 ou 2 abonnements pour un peu tout le monde.
Du coup, si tout le monde à un peu besoin de Photoshop de manière ponctuelle (malheureusement, niveau tuto de tout niveau, cette outils surclasse tout le monde, the Gimp est totalement à la ramasse là dessus, photoshop est donc souvent l’outil par défaut pour faire des retouches, même basique) N’avoir qu’une licence est trop contraignante, un abonnement étant alors plus pratique.
PS : j’ai appris à utiliser The Gimp vers la version 2.2 je crois, les tutos était peu nombreux et déjà trop souvent obsolète, et la version 2.4 avec la réorganisation des menus n’a vraiment pas arranger les choses. Depuis, j’ai l’impression qu’il n’y a plus aucun site de tutos pour ce logiciel (et tous passe par des satanées vidéos). Il y tout au plus le manuel officiel, mais ce n’est pas un tuto. La communauté française est en arrêt cérébral depuis 2005 a priori.
Le 22/06/2016 à 13h19
Oui, la suite Adobe par abonnement n’est utile qu’aux personnes qui utilisent beaucoup de leurs logiciels, ce qui n’était pas mon cas. Mais comme dit précédemment, je ne voulais pas non plus rester sur de vieilles versions qui font chier tout le monde dans la chaîne.
Après, je parle donc de mon cas précis où je fais plus de code que de graphisme (mais fallait que je me tape InDesign par exemple pour le flux de travail). 60 euros par mois pour un indépendant, c’est pas rien par les temps qui courent. Donc dans mon cas, ça m’a vraiment fait chier et coûté cher.
Maintenant je change de job (où je n’ai besoin que de mes mains ^^) tout en gardant quelques clients de l’ancien (et où un Pixelmator - qui est mille fois mieux que Gimp au passage - fera le job sans problème).
C’était donc plus un cri de soulagement qu’autre chose.
Après, j’admire les jeunes (et les moins jeunes) qui sont à fond dedans et utilisent à mort la suite dans ses moindres détails. Moi j’ai donné 15 ans de ma vie à ça, je suis cassé. Voilà tout :)
Edit : typo
Le 22/06/2016 à 13h32
De ce que j’en avais vu, le chiffre d’affaire d’Adobe a stagné ou peu augmenté pratiquement jusqu’à la fin de l’année dernière (depuis 2012 je crois). Donc, la suite Créative Cloud ne semble pas du tout être un succès.
D’ailleurs, le fait de garder le nombre d’abonnés secret va dans ce sens.
Le 22/06/2016 à 14h18
Parler plus d’Affinity qui honnêtement met une p’tite claque sur les fesses d’adobe niveau performance et à exactement les memes fonctionnalités voir plus! (apercu et comparaison des effets en live ). Pour le moment il n’y a qur le concurrent de toshop et illustrator mais celui d’indesign arriverait en fin d’année. Une vraie concurrence enfin pour hégémonie adobienne!
Le 22/06/2016 à 14h57
Techniquement, pour les 2000e qu’ils demandaient uniquement pour Photoshop il y a quelques temps, j’ai quelques mois d’abonnement CC … Et en cumulant tous les mois d’abonnement, je suis loin d’atteindre le prix d’un seul logiciel de la suite :)
Le 22/06/2016 à 15h00
Le 22/06/2016 à 16h04
Le 22/06/2016 à 18h22
Il n’y a pas que Gimp. En équivalent à Lightroom, t’as darktable qui est très bon. Pour du dessin bitmap, t’as Krita et pour du vectoriel, Inkscape. Pour de la 3D (modeling, animation…), t’as l’excellent Blender. Et pour finir sur la vidéo, Kdenlive pour le montage et Natron pour le compositing.
Je me permet également de citer l’incroyable greffon G’MIC (développé par des français), qui offre un nombre incroyable de nouvelles possibilités aux différents logiciels libres qui l’utilisent (Gimp, Krita…). Son développeur principal poste également des articles particulièrement complets sur LinuxFR, qui illustrent les différentes nouveautés de chaque nouvelle version.
Sinon, le souci, comme d’habitude, c’est le financement. S’il y avait plus de gens pour donner à des projets libres qu’à de grosses multinationales comme Adobe, ça avancerait incroyablement plus vite, tout en bénéficiant, de façon perpétuelle, et non pas tant qu’on a les moyens de payer, à l’ensemble de l’humanité.
Le 22/06/2016 à 22h08
Bien entendu qu’il n’y a pas que Gimp, heureusement… Merci pour cette liste de logiciels qui ont tous l’air plus qu’intéressants " />
Mais par rapport à ton commentaire au sujet du financement, j’ai toujours un peu de mal à comprendre pourquoi on revient toujours à la démarche de remettre en question le prix d’un logiciel, quel qu’il soit, qu’il respecte ou non notre vie privée etc.
Dans le cas d’Adobe, évidemment l’histoire de l’abonnement est contestable dans son format même, mais avant même qu’ils en arrive à cette formule, ils étaient déjà décrié et le libre était de mise. Et en mettant de côté les pbmatiques de vie privée, j’ai un peu de mal à comprendre le rejet permanent de logiciels propriétaires performants, que certes 80% des utilisateurs pourraient remplacer par des solutions libres et gratuites mais… pourquoi ? (Et ce n’est pas du troll velu hein " /> )
On peut appliquer le questionnement aux jeux vidéo : allons-nous trouver une alternative aux jeux payants, sous prétexte qu’ils le sont, et qu’en plus de ça, ils ne respectent pas la vie privée ?
Le 22/06/2016 à 23h33
Je ne vais pas te réciter tous les avantages que peut procurer le libre, mais si on regarde l’histoire d’Adobe, je peux déjà en citer 2-3 qui auraient pu changer bien des choses.
En 2005, ils ont racheté Macromedia. Suite à ce rachat, Adobe a préféré abandonner un certain nombre d’applications qui faisaient concurrence à ses propres solutions (FreeHand, Authorware…), qui ne leur rapportaient plus assez d’argent, ou peu importe. Si ça avait été libre, d’autres auraient pu reprendre le flambeau.
Le choix des plateformes supportées. Même si j’étais prêt à payer, Adobe n’a pas jugé bon de prendre en charge Linux. L’utilisateur est donc obligé d’adhérer aux solutions imposées, à la fois par Adobe et par Apple ou Microsoft, en utilisant un système relativement récent de l’un de ces deux éditeurs.
Les traductions. Bon, en tant que francophones, on a de la chance de parler une langue, à la fois populaire de par le monde, et qui se trouve également être la langue principale de certains gros marchés. Mais quand c’est libre, la question ne se pose même pas. Il suffit juste qu’il y ait quelques personnes motivées pour que des applications soient traduites dans plusieurs dizaines de langues, y compris des langues régionales comme le corse ou le breton.
Le prix. On est d’accord, pour une activité professionnelle, le prix de la suite Adobe peut paraître dérisoire. Maintenant, un jeune, qui n’est pas forcément encore étudiant dans la bonne filière (ça peut être un simple collégien) et qui n’a pas droit aux licences étudiantes proposées par certains éditeurs, pourra se sentir exclu. Quand j’étais minot, je n’aurais pas osé demander à ma mère de me payer des abonnements ou des licences à plusieurs centaines, voir milliers d’euros annuels, pour pouvoir m’essayer à telle ou telle discipline.
Avec le logiciel libre, peut importe le système utilisé, notre âge, notre langue, nos moyens… on est tous égaux. Et je trouve ça nettement mieux ;)
C’est donc dommage que la plupart des gens n’aient qu’une vision court-termiste (aussi bien les particuliers que les entreprises ou les administrations), en se disant qu’à cet instant, la meilleure solution est propriétaire, et qu’il faut donc tout miser sur cette solution, plutôt que d’aider à faire décoller une solution libre alternative qui aurait pu mieux répondre aux besoins du plus grand nombre.
Et pour conclure sur le parallèle avec les jeux vidéos, je pense qu’il s’agit de deux choses bien différentes. Dans le cas d’applications utilitaires, tu pourras avoir le même type de fonctionnalités sur deux applications libre et propriétaires, qui répondront aux mêmes besoins. Par contre, dans le cas de créations artistiques, que ce soit un jeu vidéo, un film, un roman ou un album, elles seront toutes uniques. Même en faisant un remake à l’identique d’un film déjà existant, ça sera au final deux ouvres bien différentes, chacune étant unique.
Même si je ne peux pas m’empêcher de penser que s’ils étaient libres, les jeux vidéos pourraient être plus facilement traduits. Quand j’étais minot, tous les jeux de rôle japonais n’étaient disponibles… qu’en japonais, et plus rarement en anglais. À l’époque, le marché français n’intéressait absolument pas les éditeurs. Ou tout simplement disponibles sous Linux, qui est encore bien trouvé souvent oublié.
Le 23/06/2016 à 02h46
Écoutez, y’a pas vraiment besoin de défendre les logiciels libres.
S’ils existent, c’est qu’ils sont non seulement assez nécessaires pour que des gens les utilisent, mais également pour que des types se soient cassé le cul à les développer.
Des graphistes pro, j’en croise tous les jours au taf: AUCUN n’accepterait de bosser sur The GIMP, alors que c’est largement suffisant pour ce qu’ils font. Ils n’en voient simplement pas l’intérêt: Adobe CC, ce n’est pénible que pour les DSI, ceux qui payent et qui déploient (une galère sans nom).
Le 23/06/2016 à 07h45
Le 23/06/2016 à 08h05
Le 23/06/2016 à 08h11
Le 23/06/2016 à 08h30
Donc, à te lire, t’es égoïste, rien à foutre des autres, et tu prônes un comportement illégal. Génial.
Et non, Adobe n’est pas non plus intouchable. Surtout quand on voit le succès remporté par Affinity Photo, développé par une petite équipe de développeurs. Ou le fait que Krita commence de plus en plus à faire ses preuves, alors qu’ils ne sont que deux développeurs à plein temps.
Et puisque tu parles de flyer, ça me fait penser que dans le domaine de la publication, j’ai oublié de citer Scribus, qui semble lui aussi avoir son petit succès.
Maintenant, mon propos n’a jamais été de dire qu’Adobe ne faisait pas de bons logiciels, ou que le libre pouvait parfaitement répondre à tous les besoins. Mais même s’ils sont moins nombreux (avec de plus en plus d’universités qui se mettent à enseigner sur du logiciel libre, ça finira peut être par changer), un certain nombre de professionnels utilisent des solutions libres au quotidien et en sont pleinement satisfaits. Et encore une fois, tout pourrait aller bien plus vite s’il y avait plus de sponsors et de dons.
Le 23/06/2016 à 08h33
Le 23/06/2016 à 08h59
Le 23/06/2016 à 09h09
Pour être tout a fait complet, il y a un écueil énorme a surmonter : Pour la plupart d’entre nous, nous bossons avec ces outils depuis plus de 10 ans … nous formons des élèves à bosser sur les outil que nous connaissons …
… changer d’outils demande une vraie volonté, il faut qu’il y ai un intérêt.
Economiser 50€/mois quand tu es un professionnel c’est très loin d’être une vraie motivation, mon cabinet comptable m’en coute plus du triple, on parle de frais particulièrement faibles dans la gestion de nos boites … Changer d’outils aurait un impact de productivité largement plus lourd que 50€ … Bref, le côté gratuit ne nous poussera jamais à changer d’outils, il faudrait de vrais avantages en terme de productivité ou de confort.
Un peu comme de passer de Windows ou d’OSX à Linux … Si les problématique de licence nous en touchent une sans faire bouger l’autre, il faut se lever tôt pour trouver de vrais avantages quotidiens.
Le 23/06/2016 à 10h38
En proprio, y’a Nuke et Da Vinci Resolve qui concurrencent Adobe ;)
Le 23/06/2016 à 12h04
Le 23/06/2016 à 12h14
Bon. Adobe pour quelques années encore :)
Le 23/06/2016 à 12h31
Pas nécessairement, ça dépend des tâches à accomplir … En étalo par exemple, Resolve est bien meilleur que ce que proposent les outils Adobe.
Mais la force d’Adobe est de proposer une solution intégrée complète : Je maquette mon habillage dans Illustrator, After Effects recupère les tracés que je peux animer, j’importe l’ensemble dans un montage Premiere et au passage j’étalonne … Media Coder s’occupe d’encoder mon fichier final en étant capable de lire chacune des sources. Sans parler du fait que j’importe mes maquettes Illustrator dans un dossier monté dans InDesign pour faire ma prez au client … Cette intégration et cette synergie n’existent qu’avec la suite Adobe.
Pour 50 balles par mois c’est clairement cadeau.
Le 23/06/2016 à 13h34
Moi qui utilise Illustrator / toshop / lightroom / indesign / encoder / acrobat pro / after effect / première et qui attend Experience design (XD) avec impatience.
Bah 50 € par mois payé par ma boite et qui me sert aussi chez moi, c’est vraiment pas grand chose !
L’unification des softs est quelque chose que pour l’instant aucune autre boite ne pourra gérer comme Adobe.
Comme cela a été bien expliqué au dessus, c’est des outils pro pour bosser. Perso ça fait 20 ans que je suis sur toshop et même avec une version libre quasi équivalente je changerai pas.
Le 23/06/2016 à 13h43
Justement avant que d’autres arrivent à une telle cohérence, il va falloir du temps.
J’utilise un plugin pour l’étalonnage
Le 23/06/2016 à 19h10
Le 24/06/2016 à 12h38
Le 24/06/2016 à 12h51
Ha et accessoirement avant d’être payé pour dépanner les graphistes de mon taf pour les aider à ouvrir un putain de .JPG titré en unicode ou forcer l’indice de qualité d’un .PCD j’étais infographiste et formé sur XPress donc j’ai une assez bonne idée de leur boulot, mais là encore je pense que tu voulais en fait citer quelqu’un d’autre.
Le 27/06/2016 à 07h31