votre avatar Abonné

dam1605

est avec nous depuis le 14 janvier 2009 ❤️

574 commentaires

Le 01/10/2012 à 06h 49







Commentaire_supprime a écrit :



Et dans six mois, il claque la porte en disant qu’on ne l’y reprendra plus et qu’il a eu tort de ne pas écouter les autres…







Au moins il y aura été, c’est pas comme l’UFC et la quadrature…







Jarodd a écrit :



Alors pourquoi se font-ils représenter dans ces réunions ?







Quelle mauvaise fois….

Pourquoi tu élis un député ou un représentant (dans n’importe quel contexte) ?



Le 27/09/2012 à 06h 16

le CNC c’est pas le truc qui ne sait pas quoi faire de ses montagnes d’euros ?

Le 24/09/2012 à 11h 20







Gericoz a écrit :



Cela rend d’autant plus con leur projet de loi. Dans l’éventualité où tu voudrais tenter de copier quelque chose sous entendu qu’il ne soit pas protégé on te fait payer une taxe.







À partir du moment ou tu peux le lire, tu peux le copier…

Rien n’empêche d’enregistrer la sortie son et la sortie écran.

D’ailleurs généralement, le problème n’est pas de faire la copie mais de lire la copie.


Le 24/09/2012 à 10h 58







JCLB a écrit :



Une taxe sur un truc interdit, je ne comprendrais jamais…



Analogie bidon:

Instauration d’une taxe de 10% sur les péages d’autoroutes frontalières pour financer le manque à gagner de la contrebande d’alcool et cigarette. <img data-src=" />







Faut arrêter de faire semblant de pas comprendre aussi….

La taxe c’est pour compenser le préjudice de l’autorisation de copie privée.

Même si c’est discutable, la copie privée est permise et n’a rien à voir avec la contrefaçon (= le partage, si c’est de ça dont vous parlez).

La copie privée c’est juste le fait de copier pour soit-même une oeuvre dont on a acheté un exemplaire.



Ce qui me sidère le plus dans cette histoire, c’est que le montant d’une taxe soit décidé non pas par l’état mais par un groupement de représentants d’intérêts privés…


Le 20/09/2012 à 17h 08







Ordo a écrit :



Ca n’a rien à voir. Et quand bien même, c’est l’inverse qui se produirait et qui se produit même actuellement : les gros producteurs de contenus sont boudés par les FAI car ils engendrent des investissements dans les infrastructures pour pouvoir offrir (vendre) à l’utilisateur un service décent.





Les infrastructures des FAIs sont bonnes (dans la grande partie des cas), le problème c’est les liens de peering (échange transversal entre deux réseaux).









Ordo a écrit :



Chacun des avis se défend, mais la position de Free est difficilement tenable à la vue de la manière dont les usages d’Internet ont évolués, ainsi que la façon dont les utilisateurs considèrent les FAI aujoutd’hui (le client ne veut pas un simple accès à “internet”, il veut un accès au contenu de celui-ci. Et un accès de qualité, privilégiant les contenus riches). On peut difficilement demander à tous les producteurs de contenu de devoir s’adapter et de mettre la main au porte-feuille pour compenser les choix marketing des FAI.



La meilleure solution serait probablement des accord ou ceux qui produisent le contenu et ceux qui en offrent l’accès investissent en commun… mais ça ce n’est qu’une utopie, c’est la loi du business et des profits qui règne avant tout.







La raison pour laquelle un accès à internet n’est pas cher, c’est justement parce que le ratio émission/réception d’un utilisateur est faible.

Si les FAIs acceptent de payer pour augmenter le débit d’un réseau vers leur réseau, ça veut tout de même dire qu’on peut dire adieu à un internet neutre et bonjour à des offres du genre :30€: Internet, +5€ suplément youtube, +5€ suplément dailymotion, etc.





Le 20/09/2012 à 16h 54







nabalzbhf a écrit :



Quand c’est des gros opérateurs, ils s’interconnectent directement.

Google a une politique de peering ouverte peering.google.com GoogleLa politique de peering de Free n’est plus publique. Mais lorsqu’elle l’était, ils reclamaient un paiement selon le ratio de trafic:web.archive.org Archive.org://www.as12322.net/as12322_policy.html







Bah je sais bien qu”ils utilisent des liens de peering pour éviter de passer par les opérateurs de transit habituels.

Mais là le lien de peering entre les deux. Il est visiblement saturé (au moins dans le sens Youtube -&gt; FAI) et ils n’arrivent à se mettre d’accord pour le grossir.

Un FAI utilisera néanmoins toujours un opérateur de transit pour pouvoir communiquer avec le reste d’Internet (ceux avec qui il n’a pas de peering).

Donc je me demandais si ça coutait quelque chose à un FAI le fait que les données Youtube -&gt; FAI puisse transiter par autre chose que le lien de peering quand celui-ci est saturé.


Le 20/09/2012 à 11h 42



exactement: Fournisseur d’Accès à Internet pas Fournisseur de Débit vers Youtube.











Obelixator a écrit :



Tu considères donc que “Youtube.com” ne fait pas partie d’Internet ? <img data-src=" />







T’as tout à fait compris ce que je voulais dire.

L’accès a youtube existe et marche, c’est la qos qui est pourrie.



Le problème est d’ailleurs du côté Google car il n’y a aucun problème FAI -&gt; Youtube, la saturation c’est dans le sens Youtube -&gt; FAI.

Après je ne connais pas trop les détails du système de transit.

Est ce que ça coûte à un FAI d’être visible à travers un opérateur de transit (ie: pour que les données fassent Youtube -&gt; Transit -&gt; FAI ?


Le 20/09/2012 à 07h 24







Obelixator a écrit :



Un FAI est un “Fournisseur d’Accès à Internet” … si il est pas foutu de faire ce pourquoi on lui paye un abonnement, qu’il change de métier <img data-src=" />







exactement: Fournisseur d’Accès à Internet pas Fournisseur de Débit vers Youtube.







Obelixator a écrit :



T’es certain qu’il existe un “Cache Européen”, même partiel, pour les vidéos Youtube ? <img data-src=" />

Parce-que si c’est bien le cas, les lenteurs constatées sont encore plus inadmissibles <img data-src=" />







Bien sûr que google a un data center en Europe.

Ca change rien, les liens dédiés entre les FAIs français et Youtube sont saturés.



Le principe d’Internet à toujours été: c’est celui qui paye qui envoie. Autrement dit, c’est en gros le serveur auquel on se connecte qui paye la communication. Si on force (via décision de justice) les FAIs a payer très cher pour augmenter les débits vers tel ou tel site, faudrait pas s’étonner que l’abonnement augmente….


Le 19/09/2012 à 08h 33







eb303 a écrit :



Il y aurait plein de choses à répondre à ça, en particulier que ça n’est pas tout à fait vrai, puisque justement, l’auteur “ne peut interdire les copies à usage privé” (c’est plus ou moins le texte exact de la loi). Ces copies privées donnent effectivement lieu à une compensation par la RCP, mais cette compensation est censée être due à un préjudice. Donc la question de Guinnness se pose bien: il est où le préjudice quand on a acheté un CD et qu’on le copie pour soi-même? La loi de 1985 instaurant la RCP ne concernait d’ailleurs pas du tout ce cas-là. Elle était faite pour assurer un minimum de revenus aux auteurs pour toutes les copies sur cassette faites à partir de la radio et de la télé. Et là, il y avait effectivement préjudice. Mais dans le cas où on a acheté quelque-chose, pas de préjudice, désolé…







Bah tout dépend de quoi on part.

Initialement, on ne pouvait pas reproduire du tout.

En échange du droit à la copie privée (= l’interdiction à un auteur d’interdire les copies privées), la taxe sur les supports vierges à été mises en place pour compenser le préjudice forcé.

Le préjudice c’est que, sans le droit à la copie privée, tu ne peux pas faire une copie privée et que tu dois (pour avoir par exemple, une copie dans sa voiture (mp3, cd,…)) acheter une autre copie de l’oeuvre.



C’est le principe de la loi, je dis pas que je suis pour…


Le 19/09/2012 à 07h 20







Guinnness a écrit :



Perso j’ai toujours pas compris où se situe le préjudice engendré par la copie privée : quand j’achète un cd et que j’en fait une copie pour la mettre, par exemple, dans la voiture (jamais d’originaux dans la voiture) je n’écoute jamais les 2 en même temps, là même chose est applicable quand je le compresse pour le coller dans mon lecteur mp3 (ce qui en l’occurrence n’est pas une copie au sens strict et ne devrait donc pas être assujettis à la copie privée)



Pourtant je paye une taxe copie privée sur sur mon lecteur mp3 et sur mes cd vierge (et peut être aussi sur mon autoradio) donc je paye 3 fois pour le même préjudice que personnellement je considère comme imaginaire. (c’est comme si en allant faire mes courses je devais payer les produits directement dans les rayons, puis les repayer à la caisse et enfin les repayer encore une fois en sortant du parking du magasin <img data-src=" />)





D’autre part la très grande majorité des médias actuels(cd et dvd) étant affublés de drm visant à empêcher la réalisation de copies (privées ou pas) et qu’en en vertu des DADVSI et autres joyeusetés du même acabit imposées par les ayants droits il est illégal de faire sauter ces dites “protections” je suis donc de toutes évidences dans l’illégalité lorsque je réalise ces copies et ne devrait donc logiquement pas avoir à m’acquitter de cette taxe copie privée lorsque je réalise une copie d’un média “protégé” puisque la compensation des usages illégaux en a été explicitement exclus par le législateur.







C’est le principe des droits d’auteurs. On n’a en particulier pas le droit de reproduire une oeuvre sans l’accord de l’auteur. Qu’on on achète un cd, on obtient une unique reproduction de celle-ci. Le format de destination n’a aucune importance.

Pour les DRMs, c’est simple: un droit n’est pas un devoir pour autrui. Par ailleurs, on peut toujours copier un truc DRMisé (en enregistrant la sortie son par exemple), et c’est légal il me semble.



Le 17/09/2012 à 13h 20







charon.G a écrit :



Ca ne vient pas de java mais de IE dont le comportement a changé Je n’ai pas encore regardé en détail mais il semble que le useragent n’indique pas le 64 bits pour la version bureau de IE10 64. par contre IE métro est bien en 64 bits.







C’est quoi le dilemme avec 3264 bits ? Je comprends pas qu’il puisse y avoir un impact sur du web: les langages web sont complètement indépendant de ça, non ?


Le 17/09/2012 à 07h 51

A part faire partir de France les gros acteurs du net, ça vas pas servir à grand chose…



Bercy ferait mieux de dire aux journaux de se faire leur propre agrégateur/indexeur de news et de se répartir les revenus dégagés de la pub sur ce site.

C’est quand même pas si compliqué que ça…

Et puis un peu de concurrence à Gnews ne ferait pas de mal.

Le 17/09/2012 à 06h 37



Cette première condamnation est un succès puisque la personne a reconnu les faits et parce que le juge a su apprécier le fait que l’homme n’avait pas lui-même téléchargé, infligeant une sanction modérée





C’est quand même fort de qualifier de “succès” une condamnation quelle qu’elle soit….



Moi qui pensait que le juge ne jugeait que le niveau de la négligence.

Le 14/09/2012 à 11h 36



1° d’envoyer et de recevoir le contenu de leur choix, d’utiliser les services ou de faire fonctionner les applications de leur choix, de connecter le matériel et d’utiliser les programmes de leur choix, dès lors qu’ils ne nuisent pas au réseau





Internet n’étant qu’un moyen de communication, je ne comprends pas pourquoi on liste des cas d’utilisations précis alors que justement le but est d’assurer qu’il n’y ait pas de discrimination…



Par ailleurs le côté “dès lors qu’ils ne nuisent pas au réseau”, est quand même assez flou. Qu’un FAI ne supporte pas le broadcast c’est normal mais si un FAI considère que le p2p nuit à son réseau ??




Le 12/09/2012 à 06h 43

C’est quand même fou cette histoire.



En vertu du droit d’auteur, les journaux de presse en ligne n’ont tout simplement pas le droit d’empêcher/contraindre en quoi que ce soit l’utilisation d’extraits (par qui que ce soit).

On devrait s’en tenir là.



Google leur permet de choisir de ne plus apparaître dans Gnews, théoriquement Google n’est même pas obligé de le faire.



S’ils veulent toucher les soussous de la pub il y’a en plus une solution ultra simple: ils n’ont qu’à se regrouper entre eux pour faire un “Gnews” bis à eux et se désindéxer de Gnews.

Si tous les grands journaux sont uniquement sur leur index, les gens iront là-bas.



Le opt-in/out est un débat, mais à partir du moment où quelque chose est sur le net en accès libre, c’est public/publié donc utilisable.

Le 08/09/2012 à 11h 31







Eagle1 a écrit :



m’en fous je joue à minecraft.







C’est quoi la différence ? Il faut se loguer aussi pour jouer à Minecraft et ça cause les même problèmes (cf les nombreux crash des serveurs de login).



C’est par parce c’est un jeu indépendant, que les DRMs sont mieux….


Le 04/09/2012 à 06h 35







tuxman a écrit :



il est sur et certains que si les centres d’appels étaient réel installer en france cela permettrais de dépanner les personnes qui appel plus rapidement sérieusement qu’actuellement.



anecdote : il y a quelques années j’ai eu un pb de connexion avec ma box, plutôt de configuration du routeur qui ce trouve derrière , en appelant la hotline du fai je suis tombé sur un tech qui avait le même routeur que moi , en 5 minute l’affaire était régler.

je ne pense pas qu’avec une personne répondant du fin fond du monde j’aurais eu le même résultat ausii rapidement



le FAI c’est Free….. <img data-src=" />

maintenant je ne pourrais dire si cela fonctionnerais aussi bien.







L’exemple que tu donnes est le fond du problème au final je trouve.

Je ne sais pas pourquoi on considère que ces hot-lines doivent être gratuites (ce qui pousse les opérateurs à réduire les coûts au maximum et donc à délocaliser)

Elles sont utilisées par beaucoup comme centre de dépannage informatique (pas forcément de manière volontaire) et les problèmes résolus n’ont bien souvent rien à voir avec le matos du FAI.

Pour moi il faudrait séparer le service client et le service technique.


Le 03/09/2012 à 09h 36







incroyal a écrit :



Toute la défense de Samsung se base sur ce genre de choses aujourd’hui, mais c’est encore plus ridicule. Si les brevets de Samsung font partie du standard LTE (ou 3G dans les procès en cours) tel que ceux-ci ont été définis, c’est parce que lors de l’élaboration de ces standards ces technos ont été choisies car les détenteurs de brevets acceptaient de les mettre sans condition à disposition pour le standard, dans un pool de brevets bien défini. Ceux qui paient les royalties c’est ceux qui développent ensuite les puces, par exemple Samsung, ou Intel, ou Marvell, ou Broadcom, et qui les facturent ensuite à leurs clients comme Apple, ou Nokia, ou HTC, ou tout autre fabriquant de téléphones!



Et d’ailleurs Samsung a déjà été débouté dans 5-6 tribunaux différents et se prennent une investigation de l’Europe là dessus, faut arrêter de jouer à ce jeu là car c’est gros ce qui peut leur tomber dessus.







Moi j’avais surtout entendu dire que les tribunaux les forçaient à donner/vendre des licences des brevets “essentiels”.

Même si le fait de faire une norme à partie de trucs breveté est discutable ([mauvaise fois on]s’ils sont pas content, ils ont cas se faire une norme de communication sans fils[off]):

C’est quand même le monde à l’envers: on ne peut pas utiliser un brevet essentiel pour gêner les concurrents sous peine de concurrence déloyale, par contre avec un brevet logiciel moisi, il n’y a aucun problème.


Le 03/09/2012 à 09h 10



Apple prétend que son concurrent a violé - notamment - le brevet 5 946 647, qui protège un système destiné à agir en fonction des données identifiées dans un document (ex : détection d’une adresse mail dans un document)





Si je fais un script qui fait grossièrement grep -E ‘[alphanum.]+@[alphanum.]+’ je viole le brevet apple ??



On me fera pas croire que personne n’a fait ce genre de chose (mais en ayant la décence de ne pas le breveter) dans un logiciel avant Apple.

Le 03/09/2012 à 06h 43







pithiviers a écrit :



Parce que le flash qui se couperait automatiquement quand on est dans un musée, ou la fonction téléphonie quand on est au cinéma, ce serait une belle évolution.







Surtout beaucoup de possibilité de restriction de diverses libertés dans d’autres contextes.

Exemple: vous voulez téléphoner dans notre zone (ex: parc d’attraction), merci de passer à la caisse pour acheter une autorisation.



Je pense qu’évolution soit le terme adapté.

Je vois pas pourquoi on mettrait des systèmes intrusifs dans tous les appareils pour que les cons soit forcés de respecter les exemples dont tu parles.

Pour les cinémas, si les gérants le voulaient le téléphone serait inutilisable…





Le 31/08/2012 à 16h 19



Mardi, Alain Vidalies expliquait avoir constaté une « démultiplication du nombre d’interventions lors [des] réunions de commissions »





J’espère honnêtement que les députés sont quand même suffisamment adultes pour ne pas en arriver là…

Le 31/08/2012 à 15h 34



Free hors Alice





Ca n’a aucun sens, Alice ne cherchant (depuis qu’elle est chez Free) ni à conserver ses clients (par rapport à Free) et ni à en recruter de nouveaux (pas très vigoureusement en tout cas)

Le 31/08/2012 à 08h 07







the_mei a écrit :



Une faille non exploité et non exploitable est moins critique qu’une faille exploité c’est normal.







Il n’existe pas de faille non exploitable (c’est pas une faille sinon).

Et ce n’est pas parce qu’on ne connaît aucun exemple où elle est exploitée qu’elle ne l’est pas.



Par contre une faille exploitée et publique est clairement critique pour l’image de l’entreprise.


Le 29/08/2012 à 21h 59

Je comprends la partie sur le manque de cohérence.

Pour moi, en mode bureau, ça me parait plutôt cohérent de retrouver les fenêtres classiques….

Je vois pas par ailleurs comment on peut critiquer qu’une barre d’outils reste identique: y’a rien de pire qu’une barre d’outils qui change alors quel sert toujours à la même chose.

Si MS chamboule tout à chaque nouvelle version de son OS, ils vont pas le vendre.

Y’a qu’à voir l’accueil de vista.