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DHKold

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349 commentaires

Le 17/02/2016 à 13h 30

Et de toute façon, beaucoup de privés font aussi de l’optimisation fiscale: magouilles et autres arrangements de composition familiale, de déductions diverses (pensions alimentaires par exemple), etc.

Le 17/02/2016 à 07h 27

Ah, donc maintenant on fait des bandes annonces de bandes annonces… J’attends avec impatience le moment où ils feront des bandes annonces de bandes annonces de bandes annonces de publicités pour du merchandising de film…

Le 12/02/2016 à 14h 36

Bah suffit de payer son titre de transport. Franchement, c’est comme si on créait des groupes pour partager les astuces sur “comment voler un pain chez le boulanger”, “comment passer à la caisse sans payer” ou “comment se faufiler dans un ciné sans ticket”…

Le 29/01/2016 à 14h 05

C’est entièrement de la responsabilité des développeurs de forcer la présence du client Steam ou non… Il y a pas mal de jeu (dont certains jeux Valve d’ailleurs) qui se lancent parfaitement sans passer par Steam et sans qu’il ne soit lancé, voire même installé…



http://steam.wikia.com/wiki/List_of_DRM-free_games









mirandir a écrit :



Ça m’aurait étonné.Merci.





C’est un peu la raison d’être de Steam, être un installer online…

Personnellement, j’ai pas besoin ni envie de garder plusieurs centaines de Go d’installers sur mon DD.


Le 29/01/2016 à 09h 32


  • C’est pas Steam qui impose les DRM, c’est au choix des éditeurs.



    • Pareil pour les bonus, c’est du choix des éditeurs.

    • Je ne vois pas en quoi les soldes sont une mauvaise chose…



      Reste la conversion USD/EUR, mais j’ai des doutes sur le fait que ce soit Valve qui décide, je pense plutôt que l’éditeur peut fixer le prix pour chaque zone et/ou devise?


Le 21/01/2016 à 14h 36

Offre/Demande. Si y’a des gens prêts à payer pour accéder à une alpha/beta, y’a pas besoin de justification, ce serait juste idiot de se priver d’une rentrée d’argent.

Le 04/12/2015 à 09h 13

De toute façon, dès qu’une personne a de l’argent/du pouvoir, elle est forcément coupable de tous les maux et n’agit que pour mettre à exécution ses plans diaboliques…

Le 27/10/2015 à 09h 13

Monsanto n’a pas inventé les OGM <img data-src=" /> Et un OGM n’est pas d’office mauvais… D’ailleurs selon la définition choisie (donc totalement subjective), la sélection génétique et les croisements effectués depuis près de 10000 ans sont ou pas des OGM…

Note aussi que sans OGM, les diabétiques n’auraient pas facilement accès à de l’insuline en quantité suffisante pour leur traitement.









kwak-kwak a écrit :



C’est le jeu, quand on veut jouer au c*n avec la bourse (et tout simplement quand on vend sa boite à la bourse) et bien parfois on perd. A noter pour les petits malins qui sont persuadés qu’une OPA est imminente (et que le cours va monter), il y a bien des chances que Vivendi se désengage dès que les cours auront montés… … en prévision de l’OPA qui n’aura peut-être pas lieu.





La bourse n’est qu’un simple marché, on met en vente sur le marché une partie de la société, et n’importe qui peut en acheter. Ils peuvent très bien mettre moins de 50% des parts en vente, émettre des obligations, des actions sans droit de vote, etc. Tout comme rien ne les oblige à passer par la bourse pour vendre des parts…



Ca permet de lever des fonds pour développer la société, parce que faire grandir une société sans investisseurs, c’est soit très long, soit tout simplement infaisable au delà d’un certain point.


Le 23/10/2015 à 08h 38

Pas que les grosses entreprises. Presque tout le monde, particuliers compris, cherche à payer le moins d’impôts possibles. Entre les déductions fiscales relatives à la composition familiale, aux pensions alimentaires, au logement, assurances vies etc.

Après, plus on a d’argent, plus le coût d’optimisation est (proportionnellement) faible, donc le gain est plus important.

Le 22/10/2015 à 13h 44

Parfois, c’est même avec l’aval du syndicat qui peut annoncer qu’il a réussi à diminuer le nombre de licenciements <img data-src=" />

Le 19/10/2015 à 10h 22

C’est à se demander comment on fait dans les pays où l’impôt est prélevé à la source (C’est à dire quasiment tous les pays développés) :p

Le 09/10/2015 à 21h 25







hurd a écrit :



Je pense notamment qu’on gagnerais beaucoup à réfléchir plus et produire moins.





J’aimerais bien quelques exemples ou début d’idées. Comment on organise cette réflexion? Que faire de ces réflexions? Comment? Si chacun réfléchi dans son coin, rien ne changera.



Et si deux groupes ont des idées opposées et sont incapables de se mettre d’accord, on fait quoi?



Si on arrête d’utiliser les lois du marché et que plus personne n’a envie de produire la nourriture, on mange quoi? Si personne n’a pour aspiration de nettoyer les égouts et les fosses sceptiques, on fait comment?



Tu parle un peu d’un monde utopique, à la limite du pays des bizounours.


Le 09/10/2015 à 14h 46







MuadJC a écrit :



Je vais te faire une révélation: il y a des chercheurs dans les universités.

Il faut bien les financer quand ils ne donnent pas de cours.





Je sais bien… Et c’est une excellente chose. Cela étant, la moitié seulement est enseignant-chercheur. Et ceux qui font de la recherche ne le font pas à temps plein. Je n’arrive pas à trouver d’analyse détaillée, mais je n’ai pas l’impression que sur les 15.000€ de coût, il n’y ait que 900€ qui serve à l’enseignement. Biensûr, on pourrait aussi parler de l’enseignement entre 6 et 18 ans où je doute que beaucoup d’instits et de profs soient également chercheurs :)







MuadJC a écrit :



Tout le débat est parti (il me semble) du fait que tu sous-entendais que les Grèves (de manière générale) étaient une prise d’otage de la société par des égoïstes.



La plupart des gens partagent ton dégout pour les opérations escargot sur autoroute et autres obstructions.

Mais ces actes ne sont pas faire grève, la grève c’est un rapport de force qui peut n’être que symbolique (les pompiers qui continuent de travailler).

Dans le cas d’une entreprise, pas d’élection (pour rester dans le cadre de l’actu).

Du coup, si le patronat fait la sourde oreille, quelle solution à part la grève?





La discussion est partie du fait que certains ont clairement dit qu’être opposé aux syndicats ou ne pas soutenir une grève n’avait pas de sens à moins d’être “une enflure”.



Concernant le cas de l’article, je n’ai rien à y redire, ils agissent dans les règles et ils ciblent les bonnes personnes ;) De manière générale la façon dont fonctionne le syndicalisme aux USA me plait d’avantage que dans nos régions.



Ces actes qui ne “sont pas faire grève” sont pourtant souvent effectués dans ce contexte. Et quand on tente de faire quelquechose, les grévistes rétorquent que c’est leur “droit de grève”. Du coup, il faudrait être cohérent et punir ses comportement, au lieu de laisser faire.



Donc en résumé, je suis pour le droit de grève, à la condition qu’il soit strictement encadré, c’est à dire que seul l’arrêt de travail est autorisé, tout acte visant à saboter/bloquer activement d’autres salariés ou citoyens doit être interdit (comme je l’ai dit, “activement”, c’est à dire bloquer l’accès).


Le 09/10/2015 à 12h 04

Je suis d’accord. Pour les grèves dans les services publiques, oui c’est évident. Je parle plutôt d’action dont le but est de bloquer (piquets de grève au milieu des routes, barricades devant les bâtiments, barrages routiers, etc.)









hurd a écrit :



Il n’est simplement pas normal que la société ne soit pas capable de trouver des emplois interessant pour des gens ayant fait des études non technique.

Ces réflexions pourrait être utilisé justement dans un but pratique, celui d’améliorer notre condition.

Je suis certains de plus, que ces personnes sont tout à fait capable de faire de la technique à condition qu’on ne leur demande pas de nier leur pensée, leur idéaux ,etc… , que ces éléments puisse apporter des choses à la société et à la personne.





Je suis plutôt dans l’optique “Je vois ce que je peux offrir à la société” au lieu de “Je fais ce que je veux et la société n’a qu’à me proposer des tâches qui correspondent à mes envies”. Et je n’ai pas dénigré le non-technique. Je n’ai absolument rien contre la philo, la psycho, les arts, etc. Ce que j’ai dit, c’est que si on a besoin de 500 ingénieurs et de 5 philosophes, mais qu’on se retrouve avec 500 philosophes et 5 ingénieurs, je pense que ceux qui ont choisi de faire de la philo sont responsable de leur situation, et autant je suis content qu’ils aient pu apprendre ce qu’ils voulaient, autant j’estime que ce n’est pas aux 5 ingénieurs et 5 philo de travailler pour entretenir 495 autres.



Bien sûr, le fait que les 495 (ou moins) ne trouvent pas d’emploi ne signifie pas qu’ils sont purement inutiles. Mais j’ai un doute sur ce qu’ils vont apporter à la société. Est-ce alors la faute de la société? Si demain on a une floppée de jeunes qui sortent avec un diplôme de maréchal ferrant, devons-nous forcément acheter des chevaux pour utiliser ce formidable potentiel?







hurd a écrit :



Être réveur et idéaliste ne veut pas dire ne rien faire , au contraire.

C’est la société qui veut forcer les gens à faire des trucs techniques sans réflexion qui est responsable.

Je suis certains qu’un philosophe, qu’un sociologue, un historien,etc… pourrait apporter une plus-value énorme en terme de réflexions et d’idée dans nombre de sociétés.

Mais si l’on préfère que les humains se déshumanise en se transformant en machine, c’est sur ça colle pas.





Je suis certain qu’un historien, sociologue, etc. peut apporter une plus-value, deux probablement, trois peut-être, 1 millions probablement pas. Un million dont la moitié au chômage et/ou ne passant pas une seconde à utiliser ses connaissances, certainement pas.

De la même manière que je pense qu’avoir 30M d’ingénieurs serait inutile… D’où l’intérêt, lorsqu’une population ne s’autorégule pas, d’introduire un système de contrôle. Après on peut discuter sur la manière, ça va de la limitation du nombre de places aux concours en passant par une augmentation des coûts, une étude de dossier, un tirage au sort, une liste d’attente, que sais-je.







hurd a écrit :



Sauf que ce n’est pas du tout représentation de ce que veut la communauté, la somme des intérêts particuliers n’est pas l’intérêt collectif, de plus penser qu’il n’y à pas d’énorme biais ne serait qu’en terme de communication (propagande,média,publicité) et d’inégalité de richesse (tout le monde n’a pas le même poids dans le marché), c’est juste être aveugle.





Pourtant, tu m’explique depuis le début qu’en agissant individuellement pour suivre ses rêves et principes, on apporte une plus-value à la société. Qu’en pouvant choisir ses études librement et en étant libre de travailler comme on le veut, on est sur la bonne voie.











hurd a écrit :



Bref, toujours à croire que le marché est l’image exact de l’envie de la société. En 1929 , la société avait-envie que la bourse s’effondre, avec le chômage et la guerre qui s’en est suivit ?





L’achat de smartphones et de voitures haut de gamme serait donc du même ordre que l’effondrement des bourses ou la guerre? Les médias et la publicité jouent certes un rôle, mais ce qui fait tourner la machine, c’est bien la demande. Il n’est pas difficile de trouver des gens ayant “difficile à boucler le mois” mais possédant un écran plat, un smartphone hors de prix et une voiture pleine de gadgets. Et j’ai pas l’impression que ce soit moins présent chez les penseurs, artistes ou autres.



“Quand on pense qu’il suffirait que les gens n’achètent pas pour que ça ne se vende plus ! ” - Coluche


Le 09/10/2015 à 10h 25

D’accord, c’est le fonctionnement normal d’écouter ^^ Je n’ai aucun soucis avec le dialogue, bien au contraire. Mais un dialogue, ça n’implique nullement d’accepter les propositions. Donc un gouvernement peut très bien écouter et discuter avec les syndicats mais ne rien appliquer de ce qu’ils proposent. Après, si les électeurs jugent qu’ils auraient dû, ils sanctionnent aux élections.



La grève est “une cessation concertée du travail qui vise à appuyer les revendications par la perte de production”. Empêcher d’autres travailleurs de se rendre sur leur lieu de travail ne fait pas partie du droit de grève.



Pour ce qui est du reste, je ne pense pas que les syndicats veuillent faire la grève par principe. Par contre, le terme “acquis” me parait toujours assez bizarre. Rien n’est jamais définitivement acquis, tout est sujet à discussion (il faut juste se mettre d’accord sur les contre-parties). Sans cela, les patrons pourraient également dire que “on ne touche pas aux acquis du patronat” et on se retrouvait dans une situation de blocage. Par contre, la contre-partie peut être plus ou moins importante.



Le travail est producteur de richesse, je suis d’accord, en insistant sur le fait que gérer/diriger une entreprise est également un travail. Après, le chantage au réalisme, ça tient 5 minutes et ça fait joli dans un discours, mais tu sors un beau tableau et tu peux comparer le discours au faits.

Le 09/10/2015 à 08h 41







MuadJC a écrit :



D’où tu paies leurs études? tu devrais t’informer un peu plus avant de nier le fait que les études sont payantes pour l’étudiant.





Bah, je regarde ce que l’état verse aux universités, ainsi que les statistiques sur le coût des études. Quand on paie 900€ de minerval pour une année, et que l’université a à un coût estimé de 15.000€ (par élève) pour fournir cette année d’étude, je me dis logiquement que les 14.100€ de différence, ils viennent de l’état, c’est à dire financé via les impôts.







levieuxtoby a écrit :









Que les élus rencontrent les syndicats pour discuter de solutions à mettre en place et de mesures à prendre, je suis pour. Mais à moins qu’ils aient été élu sur la promesse (entre autre) qu’ils allaient effectivement accepter les propositions des syndicats, cela reste du niveau de la proposition. C’est avec la partie “montrer les muscles” que j’ai un problème.



Les sondages d’opinion sont ce qu’ils sont, des sondages. Heureusement ils n’ont pas valeur contraignante. C’est donc bien un des trois cas que je décrivait, en moins cher qu’un référendum.



Bloquer une ville, je pense aux manifestations des syndicats à Bruxelles, où il n’est pas rare qu’ils bloquent les accès principaux, dégradent les lieux publique, détruises des voitures, etc. Généralement les syndicats de travailleurs, mais il est vrai qu’avec les taxis, tracteurs et autres, c’est pareil.



Le problème de corruption et de collusion est tout aussi grave. Je n’excuse pas plus ce comportement que celui des syndicats.


Le 09/10/2015 à 08h 22

Justement, que les syndicats restent à leur niveau en passant des accords avec les entreprises et en signant les conventions… Et surtout, qu’ils le fassent sans entraver la liberté des autres. Le jour où un élu local (maire, région) décide de d’empêcher de rendre au travail pour faire pression sur les ministres ou le parlement, tu trouvera ça normal et justifié?









hurd a écrit :



Pourtant on à payé tes études, et au vu de ce que tu produit comme pensée, tu nous coûte bien plus cher que ces rêveurs.

Avec des types comme toi, on risque pas d’améliorer les conditions de vie des personnes.





Et je paie un paquet d’impôts et de cotisations en retour. Tu penses que ce sont ceux qui ne travaillent pas qui finance tous ces avantages?









hurd a écrit :



Comparaison idiote





Oui, rêver d’avoir un bout de papier certifiant qu’on a passé des examens, c’est vrai que c’est un rêve bien meilleur que de vouloir explorer l’univers…







hurd a écrit :



C’est juste totalitaire de vouloir imposer au gens des modes de vie et des métiers qu’il n’ont pas un minimum choisi. Si on t’imposerai de devenir un de ces métiers que tu raille tant, je ne pense pas que tu serait content.

Les gens ont le droit d’avoir des occupations qui respectent ce qu’ils sont.





Je serais tout à fait prêt à faire n’importe quel travail aussi dégradant qu’il soit si cela permettait d’améliorer substantiellement la société. Au contraire, je n’ai jamais exigé de la communauté qu’elle finance mes rêves.







hurd a écrit :



Cette dette est une chimère.



Pendant qu’on s’amuse à nous expliquer que l’éducation coûte cher, on pollue la planète gratuitement, on nous assomme de publicité gratuitement, etc… Bref plein de “dettes cachés” qui elle ont probablement une plus grande réalité que ton délire sur l’éducation.





L’enseignement n’aurait donc aucun coût?

Si le rêve d’une personne c’est d’être expert en marketing, de faire de la pub, de fabriquer de gros bolides ou de cultiver des palmiers, ça te gène?







hurd a écrit :



Si il y à bien un truc qui est toujours nécessaire, et utile, c’est l’éducation. C’est grâce à elle qu’on peut envisager de penser l’avenir que ce soit pour réaliser les produits du futur, mais aussi la société de demain.





Jamais dit le contraire… Mais une société de penseurs libres ne se souciant pas d’assurer ses moyens de subsistance n’ira pas très loin.

J’en connais, des idéalistes, philosophes et rêveurs, qui refont chaque jour le monde et professent la bonne parole, vivant aux crochets des autres en estimant que c’est le devoir de la société de subvenir à leurs besoins.







hurd a écrit :



Sauf que dans notre société on ne travaille pas souvent pour la communauté pour des intérêts particulier, donc c’est juste n’importe quoi comme argument : travail salarié ≠ travail pour la communauté.

Je dirais même que c’est souvent l’inverse, en proportion ,les travaux non rémunéré sont bien souvent plus utile à la communauté que ceux rémunéré.





Bah, c’est la demande qui nourrit l’offre. Si la communauté ne veut pas de smartphones, de fastfoods ou de vêtements de marque, il lui suffit de ne pas en acheter. Si elle est veut, alors en produire est bien un travail “pour la communauté”. J’en peux rien si ce que demande la société, c’est de la m en boite.



Je serais ravi de passer mes journées sur de grands projets humanitaires ou à transmettre mes connaissances aux autres, mais il se trouve que c’est d’application bidon et de produits inutiles que la société est la plus friande. Perso, je consomme très peu de ces produits, par contre je finance volontiers des artistes ou des associations…


Le 09/10/2015 à 06h 58

Désolé de ne pas être un expert des syndicats français. Je ne connais pas non plus les différents syndicats espagnols, chinois ou anglais… Honte à moi. Je connais le Medef et la CGT de nom. Je sais bien qu’un syndicat n’est pas forcément lié aux salariés ni au monde du travail.

Le Medef représente des patrons. es-tu en train de me dire qu’ils ont le droit de bloquer le pays (barrages et autres) pour faire pression sur le gouvernement? Si la CGT peut le faire, y’a pas de raison de l’interdire au Medef.



Bien sûr que ce sont les partis élu qui gèrent la politique de l’emploi, le problème c’est quand un groupe quel qu’il soit, leur place une arme sur la tempe en disant “On aimerait bien que vous proposiez/votiez” telle loi. C’est ce que font les syndicats… Je suis de la même manière parfaitement opposé aux lobby en passant.



Je connais justement le fonctionnement des institutions (dans l’ensemble, je ne suis nullement un expert). Et une chose est certaine, c’est que les syndicats font pression sur les élus de manière plus ou moins appuyée pour qu’ils proposent et votent les lois qui les arrangent, ce qui, à mon sens, bypass le processus décisionnel qui devrait se faire sans pression externe sur les élus par qui que ce soit (enfin, sauf la pression électorale qui est celle qui compte).



Je n’ai pas le droit de décider que je veux qu’un parti parle en mon nom plutôt qu’un syndicat? Si je pense qu’un parti, via son programme et ses élus, défend les valeurs et les intérêts qui me correspondent, je n’ai pas le droit de décider que je n’ai pas envie d’avoir en plus une autre organisation?



Je n’ai pas le droit de penser que financer une association/organisation supplémentaire dont je n’ai pas besoin soit contre-productif?

Le 09/10/2015 à 05h 29

Malheureusement à un moment, quand on doit choisir entre A et B, il faut une méthode de décision. Pour l’instant, on a décidé que choisir l’option la plus sollicitée était la meilleure option, mais si tu pense qu’il y a une meilleure méthode, je suis ouvert à la proposition.



Imposer le choix de 51%, c’est toujours mieux que d’imposer le choix de 40%, 30% ou 2%…



Le problème des référendums, c’est que ça présente une politique à la carte, alors qu’une politique ne peut être qu’un projet global cohérent. Si on demande aux citoyens “Voulez-vous supprimer les impôts”, je serais surpris d’obtenir un résultat négatif. Dans le même temps, si on demande “Voulez-vous supprimer tous les avantages”, le résultat sera clairement négatif. Mais sans impôts, tous les autres projets ne peuvent plus être financés… Il faudrait donc que les questions:




  • soit portent sur des sujets isolés n’impact pas le reste de la politique

  • soit n’aient qu’une portée consultative (ça revient cher le sondage…)

  • soit portent sur des projets complets (ce qui est difficilement faisable)

Le 09/10/2015 à 05h 10

A partir du moment où je finance leurs études, oui j’ai mon mot à dire. Ce n’est pas à moi/aux travailleurs de payer les rêves des autres. Si mon rêve c’est d’aller faire un tour dans l’espace, j’ai le droit d’exiger que la communauté me paie le voyage? C’est pas du mépris, c’est du pragmatisme. Si on laisse chacun agir de manière purement égoïste et faire ce qu’il veut avec l’argent des autres, venir ensuite me reprocher d’être égocentrique ou prôner la solidarité, c’est du gros n’importe quoi.



Depuis le début on me reproche de ne penser qu’à moi, alors que mes principes sont fondés sur l’intérêt de la société de manière globale. Faire des études sans se soucier de pouvoir rembourser sa dette envers la communauté, ça c’est de l’égoïsme (parce que oui, des études ça représente un coût énorme en rien couvert par les frais d’inscription, sans même compter tous les services et autres dont on bénéficie durant les 20 premières années de nos vies).



Faut bien se dire que si chacun suit son rêve dans son coin, tout le système se crash et au final personne n’obtiendra quoi que ce soit… Alors que si on commence par travailler pour la communauté, alors ensuite on peut tendre à réaliser ses rêves…









levieuxtoby a écrit :



Je ne vois pas quoi répondre à ton « argument », qui montre simplement que tu ne comprends le principe même de syndicat. Un syndicat ça n’est pas fait pour prendre le pouvoir, c’est fait pour porter des revendications sur les conditions de travail. Lui prêter une intention qu’il n’a pas (gouverner), pour ensuite la lui reprocher, c’est faire un faux procès. Un gouvernement, ça gère bien d’autres choses que le travail.





Porter les revendications, pas utiliser la violence et la restriction de liberté pour imposer ses idées à un gouvernement. Dès le moment où le syndicat impose quoi que ce soit aux politiques, ils prennent part de façon active au gouvernement…







levieuxtoby a écrit :



À une différence près, le système est fait de tel façon qu’on propose aux salariés d’élire des représentants aux élections professionnelles. 63 % de participation, on est par exemple au niveau du taux des législatives. Si on suit ton raisonnement, les députés ne sont pas légitimes ?





Des députés représentant moins de la moitié des électeurs sont illégitimes, oui. Et lors de ces élections, est-ce qu’on propose au salarié l’option “veut n’être représenté par personne”? Parce que me dire que je peux choisir le plat, si j’ai pas envie de manger c’est un peu inutile.







levieuxtoby a écrit :



Ben c’est-à-dire que le fait qu’il y ait 2 gugusses ou 20 000 a strictement la même valeur, s’ils ont été mandatés par les représentants… Ce qui est le cas, les décisions de grève se font en assemblée générale (truc de ouf guedin : assemblée où il n’y a pas que des syndiqués).





Du coup, lorsqu’un syndicat représentant 10% des travailleurs bloque une ville, malgré le fait que les autres syndicats majoritaires ne participent pas à la grève, comment se fait-il que ça ne gène personne?





Bref, on tourne en rond. A moins d’avoir la possibilité de voter contre les syndicats (c’est à dire que je veux que ce soient les partis élus qui gèrent la politique de l’emploi, pas les syndicats), je resterai sur l’idée que les syndicats n’ont pas de légitimité à imposer leurs lois.


Le 08/10/2015 à 19h 04

J’ai bien précisé que si en ne travaillant pas, ça bloque les autres, ça ne compte pas, ça fait même partie du jeu ;) C’est du blocage volontaire (ce que font presque systématiquement les grévistes en bloquant les entrées) dont je parlais.



Je n’ai pas dit non plus qu’il ne fallait rien faire, je dis qu’il faut en faire le minimum. J’aurais tendance à penser que tant que le jeune n’est pas autonome, c’est aux parents de le prendre en charge, et pas à la société. Enfin, entre se tromper et choisir un parcours dont on sait délibérément qu’il est très risqué, il y a tout de même une différence.

Celui qui fait des études et qui, au bout du compte, se rend compte que la situation économique à changé, que le contexte n’est plus du tout pareil, et que donc ce qu’il avait prévu ne vaut plus, c’est évident que ce n’est pas sa faute et qu’il faut l’aider.

Mais un gars qui suit des études non porteuses et vient ensuite se plaindre de la difficulté à trouver un emploi, là c’est du foutage de g.

Le 08/10/2015 à 16h 51







levieuxtoby a écrit :



le principe du syndicalisme ne court-circuite aucunement le système électoral (étant lui-même basé sur ce principe





On me demande par qui je veux être dirigé, je dis “par X et Y”. On ne m’a pas proposé de syndicat dans la liste…

Là t’es juste occupé de dire que n’importe quel groupe privé, à partir du moment où il a le soutient d’une partie aussi infime qui soit d’une partie de la population, peut imposer sa politique au reste de la population. Et qu’en plus, ils peuvent utiliser la force pour ce faire.



Donc, si une milice privée élue par 20000 gus décide de menacer le gouvernement pour obtenir ce qu’elle veut, c’est légitime puisqu’après tout, n’importe qui pouvait voter pour eux ou pour une autre milice…







levieuxtoby a écrit :



L’organisation en syndicats permets simplement de défendre les intérêts de la partie qu’ils représentent. Le constat est simple : en tant qu’individu, il est quasiment impossible de mener à bien une revendication. L’idée derrière est de regrouper les forces, de faire converger les intérêts pour pouvoir avoir plus de poids (on en revient au rapport de force). Dans une démocratie digne de ce nom, ça serait un 5e pouvoir (au même titre que le journalisme devrait en être le 4e).





On a déjà un processus qui permet à un individu de faire valoir ses droits, c’est le système électoral permettant de décider qui va proposer les lois et qui va les voter…







levieuxtoby a écrit :



Ensuite, je réfute les prémisses de ta remarque qui considèrent qu’une négociation avec les syndicats au niveau gouvernemental soit un chantage. C’est le rôle naturel des organisations syndicales que d’exercer un rapport de force dans le calendrier législatif et exécutif.





Exercer un rapport de force dans le calendrier = chantage.

A partir du moment ou un groupe pose des exigences ou promet de foutre le b*, c’est la définition même du chantage.







levieuxtoby a écrit :



S’il doit y avoir illégitimité, on peut discuter du taux de personnes syndiquées. Encore que je ne sais pas comment cela peut être le seul critère, dans le sens où tu n’a pas besoin d’être syndiqué pour voter aux élections professionnelles, et que le taux de participation dépasse en moyenne les 63%…





Même si 100% de la population se présente au bureau de vote et que seul 10% vote pour un syndicat (le reste vote blanc), t’es occupé de me dire que ce syndicat représente légitimement la population? Si les 90% restant disent ne pas vouloir être représenté par un syndicat, on s’en fout?



Et si parmi ces 10%, à peine un sur dix participe à une action de blocage, tu pense que cette action est légitime?



Et je répète que tu ne réponds pas à mon principal argument: si un syndicat veut le pouvoir, il y a une méthode facile et légale de l’obtenir.


Le 08/10/2015 à 14h 40

Dès le moment où l’accès aux fonctions gouvernementales est garanti et ou le système d’élection est sain (ce qui est le cas), toute tentative de court-circuiter le système électoral est une attaque contre la démocratie. Le droit de vote pour tous, la suppression du vote censitaire a été le facteur déterminant.



Le seul droit dont un peuple oppressé à besoin, c’est celui de pouvoir choisir librement ses dirigeants. A partir de là et tant que ce droit est garanti, tout autre changement peut et doit se faire via ces dirigeants élus.



Ce qui m’amène à ceci: Tu n’as jusqu’à présent pas répondu à ma principale remarque: le syndicat, s’il veut proposer ou voter les lois, n’a qu’à se faire élire au gouvernement. S’ils ont besoin, malgré cela, d’utiliser le chantage, c’est qu’ils n’a pas eu le vote de la majorité et donc agissent de manière illégitime.

Le 08/10/2015 à 13h 53

Un syndicat n’a pas besoin de 50%+1 des voix pour aller bloquer la capitale. Il suffit d’un syndicat ayant quelques milliers de personnes.



La solution? Mais je la donne depuis le début. Si un organisme, peu importe lequel, veut prendre des décisions politiques, il passe par le système d’élections. Là, on vote pour des représentatns qui mettent en place une politique, et n’importe quel syndicat peut décider d’aller bloquer la capitale pour exiger l’inverse de ce que les votes ont mis au pouvoir.



Pour moi, la justification des syndicats, c’est de dialoguer / s’opposer / s’accorder / … avec le patronat. Ensuite, lorsqu’ils signent des accords, ils les présentent aux politiques qui sont libres de l’adapter en loi, qui est ensuite votée par les assemblées. Politiques qui sont libres, en temps qu’élus, de présenter les lois de leur programme, même si ça ne plait pas aux syndicats.



Disons que syndicats et patronat s’accordent pour un salaire minimum. Ils ont deux façon de faire appliquer leur accord. Via les conventions, ou via la législation. La première est préférable. La seconde ne peut se faire que via proposition au gouvernement, sans obligation ni pression aucune.

Le 08/10/2015 à 12h 54







levieuxtoby a écrit :



On entend dire : « oui, les syndicats représentent peu de travailleurs ». Sauf que le processus démocratique n’est absolument pas verrouillé. Si les salariés se déplaçaient plus pour aller voter pour le syndicat de leur choix s’il existe, ça irait mieux.





Je permet de rajouter quelques commentaire sur cette partie.



Je prends un exemple. Un syndicat décide de faire pression sur le gouvernement en bloquant la capitale “au finish”. Je fais comment pour exprimer mon opposition? Même en admettant que j’aurais voté pour un autre syndicat, le fait que ce dernier ne participe pas à l’action n’empêche en rien le premier d’imposer ses idées.



Quand un syndicat dit représenter la population, mais que lors de leur “grève nationale”, ils peinent à rassembler quelques petits % de la population, est-ce légitime? Sachant que ce petit pourcentage (disons 100.000) peut facilement tout bloquer.


Le 08/10/2015 à 12h 39

Je me suis probablement trompé en me focalisant sur l’échelle. Quand un syndicat fait grève pour faire pression sur un patron, c’est acceptable parce qu’il s’agit de l’exercice de la liberté individuelle de faire grève. A noter que je dit droit de grève, et non de sabotage ou de blocage. Faire grève, c’est ne pas effectuer son travail. Dès lors qu’on agit de manière à empêcher d’autres de travailler (barrages, sabotage d’outils, chantage, …) c’est inacceptable.



Un salarié à le droit de faire grève pour faire pression sur son employeur. Par contre, ce même salarié n’a pas le droit d’empêcher activement d’autres salariés de travailler (Activement car si en ne travaillant pas, les autres ne savent pas bosser, ça ne compte pas).



Le problème n’est pas seulement qu’il n’y a pas de syndicats qui me convienne, c’est que ce n’est pas leur rôle de décider de la politique. C’est le rôle du gouvernement. Si les syndicats veulent faire de la politique, il leur suffit de se faire élire au gouvernement. S’ils ont réellement le soutiens de la majorité, alors ils n’auront aucune difficulté à passer et j’accepterai leur politique.









hurd a écrit :









Ce contexte global est semblable pour la grosse majorité du pays. Il va de soi que j’ai profité des siècles d’avancées et des moyens disponibles. Là n’a jamais été mon argument. Mon argument part du raisonnement opposé: dès lors que tu fais un choix, tu es responsable de ses conséquences. Etudier l’archéologie (aussi intéressant et utile que ce soit) plutôt qu’autre chose, ce me semble être un choix, avec pour conséquence une plus grande difficulté à trouver de l’emploi. Cette difficulté, celui qui a fait le choix en est responsable.







carbier a écrit :



Tu ne prônes pas la liberté de chacun: tu prônes ta propre liberté en omettant le fait que vivre en société c’est aussi avoir des contraintes et des devoirs…





Je paie mes impôts (et je n’ai jamais émis la moindre plainte à ce sujet). Je suis toujours poli, prêt à aider et à discuter. Mon seul problème, c’est avec le fonctionnement de la sécurité sociale et du syndicalisme. Le second parce qu’ils vont à l’encontre du principe de démocratie en usant de violence pour imposer leurs idées. Le premier parce que je trouve que c’est mal pensé, mal géré, mal exécuté, que ça récompense ceux qui en font le moins.







Sadenki90 a écrit :



Je pense exactement la même choses, DHKold tu manques sérieusement d’empathie, c’est pas ta faute, mais c’est bien dommage tu aurais pu aider bien plus de gens que ce que tu penses faire actuellement.





Je suis toujours prêt à aider. Mais je souhaite avoir le droit de choisir qui j’aide et sous quelles conditions. J’ai aidé pas mal de connaissances pour leur recherche d’emploi par exemple(rédaction de CV et lettre, entrainement pour passer l’entretiens, les conduire sur place, etc.). J’aide mes voisins, mes amis, ma famille, des associations. J’ai pas envie de payer pour allocations familiales, du chômage longue durée ou les faux congés maladie (les vrai je veux bien).


Le 08/10/2015 à 11h 06

Je ne prétends pas savoir à ce qui est utile. Je pense par exemple que la philosophie est très intéressante et utile à la société. Mais je pense aussi qu’avoir une population composée majoritairement de diplômés en philo serait une catastrophe à tous les niveaux.



Maintenant, si tu as fini de m’insulter, de sortir mes phrases de leur contexte et de m’attribuer des idées que je n’ai jamais évoquées, on pourra peut-être avoir une discussion constructive?

Le 08/10/2015 à 10h 59

Génial l’argumentation. C’est moi qui suit idiot alors que c’est toi qui m’insulte (le tout sans même réfuter mon argumentation).





La chance c’est aussi d’être né avec des facultés de compréhension en dehors de la moyenne…



Donc, si je me fie à la première moitié de ton message/insulte, ce n’est pas mon cas puisque je suis incapable de comprendre… Ou alors, j’ai la “chance” d’avoir des facultés de compréhension en dessous de la moyenne?



Égocentrique? Non, bien au contraire, je prône la liberté de chacun, là où vous voulez imposer vos idées. Je prône la responsabilisation là où ou vous voulez communautariser. Bien entendu, si ne pas apprécier d’avoir à financer un système que je ne cautionne pas (ce qui est mon droit, le crime de pensée n’est pas encore établi il me semble) est égocentrique, alors je l’assume.

Le 08/10/2015 à 10h 48

Je n’ai pas beaucoup de temps donc je vais juste répondre globalement.



Un syndicat d’entreprise (voire à la limite sectoriel) qui organise une grève localisée à leur(s) entreprise(s), ça fait partie du “jeu” et le principe ne me dérange pas. C’est en effet le moyen pour les employés de faire pression sur l’employeur en restreignant la production.



Par contre, qu’un syndicat utilise la grève pour faire pression sur un gouvernement démocratiquement élu, là c’est inacceptable. N’importe quel autre groupe fait ce genre de chantage, même de façon moindre, on crie au scandale. ( Un groupement d’industriels installerait des barrages en plein Paris pour exiger ceci ou cela, ils se feraient probablement descendre en flèche).



Qu’un syndicat empêche ceux qui ne sont pas d’accord avec eux de se rendre à leur travail ou simplement de se déplacer librement, c’est inacceptable.



Pour l’enseignement, chacun choisit ses études, mais alors en assume les conséquences. Je déteste particulièrement celui qui fait un choix puis vient pleurer pour que d’autres en prennent la responsabilité. Tu veut passer 5 ans à étudier la psychologie des batraciens en Polynésie? Alors ne vient pas te plaindre de ne pas trouver d’emploi facilement, de ne pas être pris en charge par la société (qui a déjà payés les études), ou de devoir faire un métier en étant sur-qualifié…

Le 01/10/2015 à 16h 42

Fait: la probabilité de trouver un travail avec un diplôme augmente largement. Surtout pour certains diplômes ou le taux de chômage est en dessous des 2%.

Fait: ne pas essayer mène forcément à ne pas réussir.



Donc, ne pas essayer d’avoir un diplôme à pour conséquence prévisible une nette difficulté à obtenir un emploi.

Conclusion: Celui qui ne tente pas d’études est responsable de sa difficulté à ne pas trouver d’emploi.



Si la chance était prépondérante sur le diplôme, le taux de chômeurs diplômé serait sensiblement identique au taux de chômeurs non-diplômés.



Le “en même temps” n’a aucun intérêt dans la discussion. Toute une ville ne rentre pas dans un cinéma, ça ne veut pas dire que voir un film au cinéma est lié au hasard. La seule notion qui importe c’est le nombre de place et de candidats. Or il y a moins de candidats que postes identiques au mien.

Le 01/10/2015 à 09h 41

Si je lance un concours de lancer de patate, il n’y aura qu’un gagnant. T’es occupé de me dire que puisqu’il n’y a pas une infinité de vainqueurs, celui qui arrive premier n’y est arrivé que par le contexte et pas en ayant mieux joué.



Et je ne vois pas en quoi mes avantages ne peuvent pas être reproduits par le travail. C’est exactement ce que font une cinquantaine de personnes chaque année dans ma boite.



SI je suis ton raisonnement, on n’est jamais responsable de notre situation, et en poussant le raisonnement jusqu’au bout, les tueurs, violeurs et autres sont juste des victimes d’un mauvais contexte.

Le 30/09/2015 à 17h 14

Je sais que l’on ne finit pas toujours dans un secteur/boulot en lien avec ses études. Mon problème c’est pas le diplôme en soit. C’est le fait d’avoir à prendre en charge une personne qui n’a pas saisi les moyens disponibles pour se débrouiller seule. Or si bien entendu il est possible de trouver un travail avec ces diplômes, le taux de chômage y est plus élevé.



Pour la partie “capitaliste”, je dirais que s’il faut tant de personnes pour un téléphone, c’est que le public, celui-là même qui se plaint du système, réclame du design. Si personne n’achetait, ça ne se vendrait pas. Si le système tient, c’est parce qu’il est (inconsciemment ou pas) soutenu par la masse. Puis, peut-être que ceux qui bossent sur ces design sont content de leur travail. Ou qu’ils estiment que ce qu’ils en reçoivent en vaut la peine.



Je ne suis pas certain que la gratuité de l’enseignement soit attribuable aux syndicats. Typiquement, le développement de l’enseignement me semble être en grande partie attribuable aux pouvoirs religieux. Et beaucoup de partis et de “méchants patrons” (:p) sont aussi favorables à rendre l’accès à l’enseignement aussi aisé que possible.



Les bourses d’études sont (en tous les cas de par chez moi) accessibles en fonction des revenus des parents. Ça peut donner lieu à des cas assez tendus, par exemple pour ma part, mes parents étaient juste au dessus de la limite (donc pas de bourse), mais mon père versait une pension alimentaire à ma mère, qui étant incapable de gérer un budget ne m’a jamais versé quoi que ce soit ^^’ (D’où le fait que j’ai dû me démerder)



Tu peux m’envoyer les ressources par MP. Je garantis pas que je lirai tout par contre :p

Le 30/09/2015 à 14h 53

J’ai choisi le contexte en décidant de mon domaine d’étude, puis des entreprises/secteurs où j’ai postulé, et enfin de l’employeur que j’ai choisi.

Je ne me suis pas réveillé un matin dans une boîte d’info par hasard. N’importe qui peut suivre les mêmes études que moi, n’importe qui peut postuler dans la même boîte, et vu qu’on engage régulièrement, n’importe qui peut se faire engager. Ah, il faut être un minimum doué quand même…

Le 30/09/2015 à 14h 45

Je commence par le plus évident, je ne pense pas que la philo soit inutile. Je pense qu’en avoir (par exemple) un demi million ne l’est pas.



Pour ce qui est de l’abandon pour causes financières, c’est penser le problème à l’envers. Avec une bourse et en faisant appel aux aides fournies par les services sociaux et l’université, on peut avoir non seulement la gratuité (minerval à 0€, aide pour acheter le matériel de cours) mais aussi de l’aide pour se nourrir.



J’ai pas eu facile (loin de là) durant mes années d’étude, je crois que j’ai dû dépenser moins de 100€ en loisirs/sorties en 5 ans. Ça m’a pas arrêté pour autant. Arrêter aurait juste été la plus grosse erreur de ma vie.



Je pense que le rôle de formation générale, d’accumulation de savoir, de connaissances et d’outils, c’est le rôle des lycées/collèges. Une fois qu’on arrive au niveau études supérieures, que ce soit Techniques, Ecoles d’ingé, Unif ou Hautes Ecoles, je pense pour ma part que leur but est de permettre d’acquérir de quoi être “utile” pour la société.



Avoir des milliers de philosophes et de psychologues au chômage, je vois pas en quoi c’est utile. Et quand bien même certains d’entres-eux, durant leurs journées, utiliseraient leurs acquis pour ceci ou cela, on ne me fera pas croire que c’est ce que font la plupart d’entres-eux.



Les rêves c’est bien, mais on vit dans la réalité. Même sans parler argent, on a besoin de subvenir à certains impératifs : se nourrir, s’habiller, se loger, … Soit on produit tout ce dont on a besoin, soit on le troc avec d’autres. Donc il faut pouvoir donner quelque-chose en échange. Et quelque-chose qui intéresse l’autre partie.

Le 30/09/2015 à 13h 09

Les diplômes ayant les plus faibles taux de chômages sont: les ingénieurs, les médecins, les sciences (bios, pharma, chimie, informatique, indus), les techniques (électroméca, etc.), la gestion…



Alors que dans le même temps on retrouve dans le bas du classement les diplômes en Art, Journalisme, Archéologie, Philo, Psycho, etc.

Le 30/09/2015 à 12h 14







ActionFighter a écrit :









Je ne vois pas le rapport entre le coût pour la société et une bonne orientation.



Je n’ai pas dit que les sciences sociales étaient inutiles. J’ai dit qu’on avait pas besoin d’en avoir X milliers de nouveaux spécialistes chaque année. Et surtout, que la société n’avait pas à en financer (doublement: étude puis allocs) autant.



Si demain on supprime tout ou partie du système de protection sociale pour financer la recherche fondamentale, tu seras content? Je ne crois pas, parce qu’il est probable que tu juges plus important de s’assurer d’abord d’assurer un minimum de bien être à la population avant d’aller dépenser des fortunes en recherche.

C’est exactement ce que je dis ici. On manque de scientifiques, on a presque un problème d’obscurantisme et d’inculture généralisé, on a trop de personnes au chômage et beaucoup trop de diplômés dans certaines filières. On ne doit pas supprimer les filières bouchées, juste s’arranger pour les dégager tout en remplissant les autres.



Faire des études en sciences, en soudure, ou autre, n’empêche pas de se documenter sur la philo, d’assister à des cours de sciences humaines, de lire, de visiter des musées, etc.


Le 30/09/2015 à 11h 24

J’ai aussi travaillé pour financer mes études. Il n’empêche que la partie minerval (en gros 850€ par an sans bourse), est loin de couvrir le coût de l’année d’étude pour la société (qui est estimé entre 5000 et 20000€ par an et par élève).



Créer une inégalité? Mais le but de l’université (et des systèmes d’enseignement et de formation) est de former des gens de manière utile, pas de permettre d’apprendre ce qu’on veut. On a besoin de scientifiques, donc on finance les études scientifiques. On n’a pas besoin de diplômés en Y, donc on ne finance pas cette filière.



Tu peux être hyper doué pour utiliser une pioche, c’est pas pour autant que la société à le devoir de te payer une formation de mineur alors qu’on en a pas besoin. Là, chaque année, on a une flopée de jeunes qui sortent avec des diplômes qui ne serviront jamais, ni à eux, ni à la société.



C’est pas de l’élitisme, c’est du pragmatisme. L’autre solution, c’est de limiter le nombre, soit via tirage au sort, soit via examen. Dans tous les cas, il n’est pas normal de former 1000 personnes par an pour un domaine si les besoins de la société sont de 1 personne/an. Celui qui veut étudier “pour le plaisir”, il le fait après sa retraite, ou à ses frais.

Le 30/09/2015 à 09h 55







ActionFighter a écrit :



Pas moi, perso, j’ai juste choisi un truc qui me plaisait.





J’ai choisi, parmi les filières porteuses, celle qui me plaisait le plus. Etudier pour le plaisir aux frais de la société, je trouve pas ça franchement correct. Raison pour laquelle je pense que le minerval devrait dépendre du besoin.



Typiquement, j’ai rien contre une personne qui décide de faire des études dans une filière sans débouché, mais alors qu’elle le fasse à ses frais. Alors que celui qui décide d’aller dans une filière en pénurie, je pense qu’on devrait presque lui payer entièrement ses études.



Y’a toujours moyen, même en ne prenant LA filière qui nous passionne, de choisir des cours mineurs ou optionnels dans ce domaine.


Le 30/09/2015 à 09h 15

Bah je suis favorable à un meilleur accompagnement. Mais la sécurité sociale fonctionne justement d’avantage en mode “verser des allocs et contrôler (un peu)”.



Je me rappelle du cas d’une amie. Elle avait déjà vu à plusieurs reprises des assistants du FOREM (équivalent Pole Emploi) pour la conseiller et avoir un suivi, bah leurs conseils étaient stupides, déconnectés de la réalité, et le CV/lettre qu’ils avaient aidé à faire étaient bourrés d’erreurs et mal pensés.



Quand elle a compris qu’il y avait un soucis, elle m’a demandé mon avis et je l’ai aidée à tout refaire. En deux semaines elle a eu un entretiens d’embauche, je l’ai aidée à se préparer et là elle travaille depuis 3 ans.



C’est aussi ça de savoir se débrouiller, c’est aller demander conseil partout où on peut, et de ne pas faire comme certains et attendre que “ça tombe du ciel”. J’ai dû l’entendre souvent celle-là: “Je veux bien travailler mais ce pays ne me donnent pas d’emploi”.









ActionFighter a écrit :



Non, ils vivent d’amour et d’eau fraîche.





Bah faut croire, parce que sinon ils choisiraient, pour le même prix, une des filières ayant des débouchés :-°


Le 30/09/2015 à 09h 00

Attends, t’es occupé de me dire que ceux qui décident d’étudier la philo, la socio, la psycho, l’art, etc. le font pour bouffer?

T’es en train de me dire que le gars qui lors d’un reportage sur l’absentéisme scolaire, disait “ouai ma mère a perdu ses allocs parce que je vais plus en cours mais je m’en fous” est une pauvre victime de la société?



Et pas forcément besoin de faire l’unif, un bon diplôme technique, c’est aussi très recherché.









ActionFighter a écrit :



Les différences de niveau social sont un gros frein pour l’accès aux grandes études en France, et le système des grandes écoles est totalement inégalitaire.





Bah venez en Belgique, ici pas de grandes écoles, minerval ridiculement bas, et les facs de sciences sont loin d’être combles (malheureusement).


Le 29/09/2015 à 17h 38

D’où la partie ou j’insiste sur le fait que l’employeur continue quoi qu’il arrive de payer la même part de cotisations sociales, et n’est pas mis au courant du choix du salarié. Non seulement ça ne lui apporte aucun intérêt de faire du dumping (il continuera à raquer quoi qu’il arrive) mais à moins d’espionner le salarié, il ne sait pas s’il verse des cotisations.



Sinon, je l’ai déjà dit, mais je ne suis pas opposé à la sécurité sociale. La mutuelle me semble une excellente chose par exemple. A l’autre extrême, je trouve que les allocs familiales sont une très mauvaise chose.



Pour ce qui est de la défense des travailleurs concernant la durée de travail, les conditions de sécurité, ce genre de chose, oui, ça fait partie des avancées, mais là je pense qu’actuellement on a des conditions tout à faits suffisantes.









maestro321 a écrit :



Les avantages (par rapport aux autres) dont je dispose sont-ils réellement issus de la plus valu de mon propre travail/expérience (par rapport aux autres), ou bien sont-il issus d’un contexte arrangeant, voir privilégiant.. (domaine d’activité, opportunité, éducation, héritage etc..)?





Bah, mes parents n’étaient pas riches, je n’ai pas eu d’héritage, ni même de contexte familiale stable d’ailleurs. Je n’ai pas bénéficié de bourses ou de passes-droits, et dans l’ensemble je me suis toujours débrouillé seul. J’ai obtenu mon travail sans être pistonné, et si j’ai un bon salaire et de bonnes conditions, c’est à mon avis que je suis efficace..



Au final, j’estime être arrivé où j’en suis majoritairement par l’effort, la persévérance et en faisant des choix réfléchis.



Certains jouent de malchance, ont des problèmes dont ils ne sont pas responsables, ou ne disposent pas des capacités pour réussir. Ceux là je suis ravi de les aider.



Mais quand on regarde le nombre de chômeurs sans qualifications, le nombre de jeunes qui abandonnent les études, là c’est un problème d’effort et de discernement. Quand un diplômé vous dit que trouver un travail est difficile même avec un diplôme, alors qu’il a lui même choisi une filière presque sans débouchés…

Quand un chômeur dit qu’on ne répond même pas à ces CV alors qu’il se contente d’envoyer le même torchon bâclé sans lettre de motivation…

Ceux là ne m’inspirent aucune empathie.


Le 29/09/2015 à 14h 48

Pas ce que j’ai dit. Et je n’ai jamais proposer de tout supprimer. Mais c’est tellement plus facile de m’attribuer des propos extrêmes plutôt que d’accepter la moindre remise en question.



Ne serait-il pas possible d’envisager un système où (par exemple), je décide de ne pas cotiser (mon patron lui, cotise la même chose, et ignore si je cotise ou pas, c’est pas son problème). Dès lors, je n’aurais pas droit à toute une série “d’avantages”. Mais comme mon employeur cotise toujours il y a toujours un financement pour les autres. Et si je perds mon travail, si je tombe malade, si je prends ma pension? Bah je me démerde, et si je me plante, c’est mon problème.

Le 29/09/2015 à 14h 33

Je prône la liberté et la responsabilisation.









ActionFighter a écrit :



Donc tu admets que c’est ta situation professionnelle particulière qui te donne ce pouvoir de négocier sans appui syndical.





Oui, Situation que j’ai obtenue moi-même, et pas sans faire d’efforts.







Gritou a écrit :



Oui alors, si ta pause tu dois la rattraper, au final t’as rien négocier du tout, tu te fais meme plutot avoir.





Bah si je dois aller aux WC, boire un truc, etc. c’est bon, mais si je décide de ne rien faire pendant une demi heure, je vois mal pourquoi ce serait considéré comme du temps de travail. Sinon, autant faire une pause de 7h36 et hop, ma journée est finie <img data-src=" />

 





Gritou a écrit :



Alors que quelqu’un avec une plus faible importance peut tout à fait réussir à négocier un 4 jours par semaine.





Bah non, vu que la limite légale est de 8h/jour ^^

 





Gritou a écrit :



Donc tu gagnes un ptit peu plus mais de base un employé aurait donc eu une augmentation annuelle, ce qui change vachement la façon dont tu présentais les faits car entre “Je me négocie une augmentation tous les ans” et “J’ai droit de base à une augmentation tous les ans mais j’arrive à avoir un peu plus” y a une sacré différence, vu que tu change l’echelle de valeur.





Bah, cette année, l’indexation était de 0.03% si je me souviens bien (ou un truc du genre). Je pense que les 4.7% négociés vont un peu au delà de “un peu plus” ^^







maestro321 a écrit :







cf post #85





Je suis contre les lobbyistes également :p Et le blocage par des supporters, bien entendu que c’est honteux. Pour les autres cas, normalement il s’agit de blocages localisés et ponctuels, généralement de manière à ne pas empêcher les gens d’aller bosser.



Dans un système où la politique se décide au vote, il me parait pourtant que le processus électoral serait bien meilleur (si les syndicats sont soutenus par la majorité, ils seront élus et pourront donc faire passer leurs lois légitimement sans qu’on puisse y redire ^^).

Utiliser le chantage (via blocage) c’est court-circuiter le processus démocratique.



Sinon, oui je suis dans une situation favorable à la négociation. Mais je n’y suis pas arrivé par hasard. J’ai travaillé dur pour en arriver là, j’ai eu des années d’efforts. On me prend ensuite une bonne partie de ce que je gagne en me balançant que j’ai “de la chance”, que c’est normal de financer toute une série d’avantages pour lesquels on ne m’a pas demandé mon avis. On vient ensuite me dire que je devrais être reconnaissant du système o_O


Le 29/09/2015 à 14h 01

Hum, le seul moment où on m’a demandé de voter, c’est pour les représentant syndicaux au niveau entreprise. Sauf que je peux pas voter pour “ne pas avoir de syndicat”. Encore moins pour influencer ce qui se passer au niveau des manifestations nationales.



Et on peut manifester dans la rue sans placer des barrages sur les autoroutes.

Je les qualifie de non-démocratique, parce qu’ils se servent du chantage pour dicter les choix politiques. Le jour où ils se présenteront aux élections, formeront un gouvernement et siégeront aux organes décisionnels, je me plierai à leurs choix.

Le 29/09/2015 à 13h 48

Nullement, tout ce que je fais est documenté et un minimum commenté. Mais comme, globalement, je suis le seul à avoir bossé à font sur ces projets durant plusieurs années, j’en connais les mécanismes mieux que quiconque. Et il y a une grosse différence entre comprendre la doc et pouvoir rapidement identifier un problème…



Au final, ils peuvent très bien me remplacer, mais ça leur coûtera en temps et celui qu’ils engageront ne sera pas forcément moins cher que moi au final. En fait, s’ils se décident enfin à m’envoyer quelqu’un, je serai ravi de le former ^^ C’est pas le travail qui manque.

Le 29/09/2015 à 13h 31

A partir du moment ou un groupe de personne empêche d’autres personnes de circuler librement, j’estime que c’est un grave problème d’atteinte aux libertés.

A partir du moment ou la politique est imposée par un groupe non-élu de personnes, j’estime que c’est un grave délit de démocratie.



Je n’ai jamais râlé contre une manifestation ou une grève qui respecte ces deux principes. Mais quand les syndicats bloquent les routes, les entrées des villes, ou vont foutre le * chez des commerçants (parce qu’ils ont osé ouvrir un jour de grève), je trouve cela honteux.



Le fait qu’il existe pire ailleurs n’autorise pas les dérives ici.



Et encore une fois, je n’ai pas demander à empêcher les manifestations, encore moins les rassemblements, c’est toi qui m’attribue ces propos.



Enfin, oui, je suis persuadé que j’aurais pu négocier la plupart des ces acquis personnellement. D’ailleurs, pour pas mal de ces acquis, j’ai négocié mieux… Prétendre que sans les syndicats je n’aurais rien, alors que clairement j’ai montré que c’est faux, c’est aussi se comporter en “anar de base”…

Le 29/09/2015 à 13h 19







Gritou a écrit :



Tu ne travailles pas en pause? Tu veux dire que tes pauses sont gasp des pauses?

 

 Bon plus sérieusement, oui, tu listes des choses qui te concernent toi. Le coup de préférer 40h en 4 jours plutot que 38 en 5 je ne le comprends pas, pourquoi pas 38h en 4 jours? Pourquoi vouloir faire encore plus en moins de temps? Quand à l’augmentation, encore heureux, c’est au salarié de la négocier, pas au syndic.





Hum, si je veux arrêter de travailler 30min, alors je restes 30min plus tard. Au final je travailles 7h36 par jour.



Je dis 40h en 4 jours pour montrer que je serais prêt à bosser un peu plus en contre-partie d’une plus grande flexibilité. Il faut bien voir aussi qu’être absent un jour est un inconvénient pour mon employeur, puisque ça voudrait dire que si un problème survient ce jour là dans mon “domaine”, ça retarde la résolution.



Niveau augmentation, en Belgique on a une “indexation automatique”, et il n’est/était (pour l’instant c’est gelé) pas rare que vienne s’y ajouter une augmentation générale négociée par les syndicats.







Paladin_Fr a écrit :



La réalité de la négociation individuelle c’est ça :

patron “ce sera comme ça”

employé ou futur employé : “je ne suis pas d’accord”

patron : “la porte est là bas”

et tu peux être bon dans ton boulot il y aura toujours quelqu’un qui sera prêt à prendre ta place dans un contexte de chômage fort.



Ton message c’est “moi moi moi”, moi je fais comme ceci, comme cela donc les autres n’ont qu’à faire pareil dans le fond. 

C’est pas un reproche hein ! Il est logique, normal et sain de s’occuper de soi pour son propre intérêt.

Et il est logique,normal et sain que des personnes se regroupent pour leur propre intérêt pour augmenter leur chance de réussite.

 Et bizarrement c’est quoi le syndicalisme ?

 

Enfin bon les anti-syndicalistes c’est les 1er à aller voir un syndicat quand niveau boulot ça chauffe, je l’ai vu plus d’une fois :)





Chez moi les négociations c’est:

Employeur: On vous propose ça

Salarié: Je veux aussi X, Y, Z

Employeur: D’accord pour X et Z/4, pas Y

Salarié: Si pas Y, alors X et Z/2



Et si on me dit “la porte est là”, je réponds “OK, je vais aller voir en face, bonne chance pour la suite des projets A, B et C…”.



Engager quelqu’un pour me remplacer, il leur faudra une bonne année rien que pour le former, et ma participation pour la dite formation…



Et non, je ne vais pas aller voir les syndicats. Je me suis toujours pris en charge moi-même, on m’a toujours habitué à être responsable de mes choix et j’ai toujours détesté devoir faire appel à qui que ce soit. Tu peux bien avoir vu d’autres renier leurs propos, ça n’implique pas que je soit prêt à renier mes idéaux.


Le 07/10/2015 à 08h 50







Takaï a écrit :



C’est intéractif cet aspect du jeu ? <img data-src=" />





Avec l’introduction (<img data-src=" />) d’un arbre de compétence dédié à la reproduction?


Le 02/10/2015 à 11h 04

Je me disais justement que pas mal vont probablement attendre de voir passer le premier mois pour se faire une idée, du coup HB risque de mettre le paquet sur ce premier pack (pour attirer un max de gens) puis de repasser sur du médiocre.

Le 01/10/2015 à 11h 45

L’argument de la disponibilité n’est pas lié au support. Une vente dématérialisée, ça peut être le téléchargement d’un installer, qu’on est libre de sauvegarder n’importe où (sur DVD si ça vous chante). Alors que les supports physiques tentent de toute faire pour empêcher de les copier.



L’argument du collectionneur est marginal. Et une quasi disparition du support physique ne peut que leur être bénéfique puisque diminution implique augmentation de la valeur et de l’intérêt de la collection.



Le seul argument qui tient la route, c’est l’accès au dématérialisé, donc la vitesse de connexion. Mais on peut très bien envisager qu’au lieu de vendre des jeux boites, les boutiques se mette à fournir des bornes de récupération: pour une petite somme, tu rentre ton code/identifiant, tu place une clé USB/support dans la machine et hop, tu récupère l’installer.