Les liens sont bien dans l'article sur Tagadamedia. Merci de vérifier vos dires aussi avant d'affirmer ça.
Oups, désolé, je ne l'avais pas vu alors que je l'avais cherché en lisant l'article et je me souviens avoir cherché la décision par mon moteur de recherche préféré.
Au temps pour moi.
Le
01/02/2024 à
12h
56
Je plussoie sur les liens vers les sources. Ça manquait aussi dans l'article sur la CNIL et Tagadamedia.
Par contre, l'absence d'amende n’est pas lié à une limite d'indépendance d'une autorité indépendante, mais à la loi et surtout au fait qu'une amende contre l'État reviendrait à l'État. Bon on pourrait enlever la somme du budget du ou des ministères concernés pour la reverser dans le budget général, mais bof, ça ne changerait pas grand chose.
Si considérer que des données biométriques stockéesndans un fichier de police interrogeable pour résoudre des affaires c'est une atteinte à la vie privée, alors soit je comprends ton point de vue.
Je trouve dommage de sacraliser la vie privée au détriment de la sécurité sur cet objet là.
Quant au passif ou l'avenir d'une personne fichée, on ne sait pas si elle commettra un tort à la société plus tard, bien que je crois en la rédemption.
Enfin soit, bien que je ne sois pas du tout d'accord avec ton point de vue, je te remercie de l'avoir développer.
Je trouve dommage de sacraliser la vie privée au détriment de la sécurité sur cet objet là.
Ce n'est pas pour rien que je parle d'équilibre. La décision ne sacralise pas un sujet au détriment de l'autre. Elle remet de l'équilibre en demandant que les 2 sujets soient examinés pour voir s'il faut garder les données ou les détruire. Il est toujours possible de garder les données s'il est jugé que c'est important pour la sécurité. Il est juste interdit de refuser d'effacer les données sans raison.
Quand il s'agit de 2 droits fondamentaux en opposition, c'est toujours comme cela que c'est traité par les juridictions, en particulier celles qui tranchent en dernier recours (CJUE, CEDH, Conseil Constitutionnel, ...).
Le
01/02/2024 à
10h
44
Oui, bien sûr. Par contre, pas sûr que ça s'applique aux données biométriques conservées dans le cadre de l'établissement d'une pièce d'identité. Cette conservation est limitée dans le temps et est justifiée (au moins pour détecter les risques d'usurpation d'identité).
Par contre, l'effacement de ces données dans le cadre judiciaire doit s'appliquer sans problème. Remarque : au moins dans le cadre des empreintes digitales, la France est en règle : 25 ans maximum et possibilité de demander l'effacement avec possibilité de recours en cas de refus. C'est aussi le cas pour les empreintes génétiques (c'est un peu plus complexe : plus de cas différents).
Le
01/02/2024 à
10h
35
J'aurai pu parier sur ta réponse, de ton point de vue. En quoi est-ce plus équilibré ? Ce n'est purement que moral et de principe de défendre cette non-conservasion biométrique, qui ne semble pas un droit fondamental (comme la liberté d'aller et venir, l'égalité etc.)
C'est ton point de vue qui n'est pas équilibré. Il ne met en avant que le droit à la sécurité, pas le droit au respect de la vie privée.
Quoi de plus privé que des données biométriques ? C'est même pour cela que le RGPD leur réserve une place à part.
Moi, j'ai parlé d'équilibre parce que c'est ce que propose la CJUE : se poser régulièrement la question de savoir si la violation du respect la vie privée d'un individu est toujours nécessaire pour protéger la sécurité des personnes. Durant toute sa vie, une personne peut changer et il peut ne plus être nécessaire de garder ses empreintes digitales ou des informations génétiques le concernant. Dans le cas présent, seule sa mort pouvait permettre de supprimer ses données s'il avait été condamné. C'était manifestement non équilibré.
La décision de la CJUE n'interdit pas de garder ces données mais elle demande juste que ça soit justifié. C'est en cela que sa décision est équilibrée.
Le
31/01/2024 à
21h
07
Oui, un meilleur équilibre entre différents droits fondamentaux, c'est une avancée.
Le type voit tout. Effectivement c'est correct, on bypasse Cloudflare en interne, j'avais oublié ce détail.
L'expérience ! 2 résultats différents pour une même manipulation, c'est qu'il y a une différence ailleurs.
Par contre, pour vos tests internes, ça vaut le coup de garder ça en tête pour faire certains tests en passant par Cloudflare quand même.
Mais bon, il ici, le vrai problème, c'est le temps mis pour répondre, afficher les commentaires par pages de taille raisonnable me semble une bonne solution.
Le
01/02/2024 à
12h
08
Tiens c'est drôle ça, on a testé sur plein de profils, et ça finissait toujours par s'afficher. Fred42, l'homme qui écrit trop pour la machine.
Nous avons bien ce souci en tête, pour certains profils on consomme de quoi chauffer une piscine olympique à lister vos messages. On va optimiser ça.
Edit : j'ai réussi. 16 191 commentaires, on va commencer à facturer l'hébergement hein.
Tu ne passes peut-être pas par Cloudflare mais en interne de votre réseau pour ne pas partir en timeout.
Et puis, ça ne fait pas tant de commentaires que ça par jour.
Nota : j'ai testé un autre profil qui ne s'affiche pas chez moi. Je ne le dénoncerai pas.
Le
01/02/2024 à
11h
30
Vos commentaires sont tous listés.
Ça ne marche pas pour mon profil : j'ai un timeout de la part de Cloudflare : Error code 524 au bout de 2 à 3 minutes.
J'ai probablement trop de commentaires et si vous ne les affichez pas par page comme sur le site précédent mais en page infinie, c'est probablement la source du soucis.
En tout cas, ça évitera que l'on puisse m'appliquer cela : Il est à présent encore plus simple de démonter les arguments de vos adversaires d'éloquence en allant déterrer un de leurs commentaires planqués vers 2013.
Faudrait que je commente moins, mais ça risque d'être difficile et ça ne changera rien pour les commentaires passés.
En essayant avec (chromium non connecté), j'ai plus rapidement une erreur chromium disant que le site ne peut pas être atteint, probablement un timeout interne au navigateur
Toujours lire les commentaires avant de poser une question, surtout quand il n'y en a pas beaucoup comme ici.
Le
01/02/2024 à
12h
00
Oui, mais la résolution de nom ne s'appuie pas sur le protocole DNS dans ce cas. Il y a home aussi en seconde position.
Ils veulent juste traiter le cas du protocole DNS. Je pense que c'est une erreur parce qu'il faudrait éviter que ces 2 (ou plus) noms de premier niveau ne partent pas vers les serveur DNS racine comme ils le font actuellement si le nom ne peut être résolu localement. internal pour le protocole DNS, pourquoi pas, mais il faut aussi lister quelques nom de premier niveau qui ne pourront jamais être utilisé sur Internet (local et home en font partie à mon avis).
Édit : je lis dans le lien du commentaire ci-dessus que local est déjà réservé par l'IETF.
Mais je t'emmerde ! Après l'autre qui me traite de facho, voilà celui-ci qui me rapproche des antisémites !
(commentaire à modérer... ou pas)
Le
01/02/2024 à
10h
58
à supprimer
Je suis rigolo tendance Desproges, je conçois que ça ne plaise pas à tous. Et je n'ai pas son niveau.
Le
31/01/2024 à
16h
15
Enfin toujours est-il que j'ai pas compris la modération, là. Que les nazis aient été forts, c'est un fait et pas du troll, autrement on n'aurait pas eu besoin de 5 ans pour les battre et on ne serait pas allé piller leurs scientifiques pour les US ou l'URSS. Ici ca a modéré sur de l'opinion personnelle du moderateur, m'est avis
Ah oui, j'avais aussi parlé d'avoir récupéré leurs scientifiques en particulier dans le spatial.
Ça a pu être modéré sur "troll ou incitation au troll" parce que pas assez argumenté de ta part ou bien juste sur le mot nazi.
Le
31/01/2024 à
15h
36
Le coup des nazis... Meme rigoler on ne peut plus, alors que c'est pourtant un fait historique
Oui, celui-là. Et je t'avais répondu que l'inventeur n'était a priori pas nazi.
Le
31/01/2024 à
14h
04
Il y a à nouveau une modération ?
Il y a au moins un commentaire qui a été supprimé. Et j'en ai vu un autre supprimé il y a quelques jours avec un des miens qui y répondait.
Le
31/01/2024 à
10h
59
En vrai, je ne sais pas si c'est mieux comme ça ou comme avant. Je pense qu'il y a plein d'endroit où les messages modérés disparaissent simplement.
Ne pas oublier qu'au-dessus, il y a le groupe Bolloré qui contrôle Vivendi. Ce qu'ils voulaient éviter; c'est probablement un double niveau de décote lié aux holdings.
Cela ne changera pas grand chose sur sa mainmise sur une partie de l'information en France (CNews, Europe 1, le Journal du dimanche, etc.) et le placement de journalistes dans ses médias.
Ce qui me choque le plus dans cette histoire, c'est la volonté de faire des outils aseptisés qui ne pourraient pas générer d'images perturbantes ou violentes comme il les appelle dans sa lettre à OpenAI publiée sur LinkedIn¹. Et tout cela sous le prétexte de protéger les enfants et autres populations vulnérables. Quand on utilise les enfants pour justifier une mesure plus générale, on sait bien ici où ça peut mener et que ça cache souvent d'autres buts.
Que l'on protège ces personnes vulnérables de la diffusion de ces images, c'est légitime, mais que l'on empêche la génération de ces images pour tous me semble disproportionné. Ça me rappelle la loi française interdisant l'accès des mineurs au porno et autres interdits (violences , ...) que l'on a renforcé en demandant que la vérification d'âge soit parfaite tout en respectant le droit à la vie privée sous peine de blocage des sites. Vu la difficulté à appliquer cette loi, ça revient actuellement à interdire l'accès au porno et autres en France, même si dans les faits, cela n'est pas encore arrivé et que le DSA ajoute une compétence de l'UE qui l'emporte sur la compétence nationale.
Sa solution est de supprimer des données d'entraînement des images "nocives". Il reste à savoir où il veut qu'on place cette limite ! De façon générale (pas seulement pour les images), si l'on restreint les jeux de données d'entraînement des IA, on risque d'avoir des outils qui ignorent tout un pan de la connaissance et qui donneront des solutions tronquées (je ne parle pas que des IA génératives).
Ma critique ne s'arrête pas au lanceur d'alerte mais aussi à OpenAI et Microsoft qui affichent la même volonté puisqu'ils mettent des filtres pour empêcher de tels comportements.
Un monde où l'on restreint trop de choses me fait peur.
¹ C'est cette lettre publique que Microsoft lui a demandé de supprimer qui justifie les mots "fait taire" dans le titre de la brève.
Dans quels cas, tu as besoin de dépasser les 700 Mb/s ?
Le
31/01/2024 à
11h
01
ce n'est que la 1ere année, après ca augmente de 10€ par mois
Bah, c'est ce qu'il signalait en citant les 2 prix.
Le
31/01/2024 à
09h
38
Non. Je ne mélange rien.
OK, je n'avais pas compris que tu parlais d'une quantité de données par jour.
Le
30/01/2024 à
17h
58
Il faut récupérer l'ancienne box et la remettre à niveau pour réutilisation, envoyer la nouvelle box. Ce n'est pas déconnant comme prix.
Le
30/01/2024 à
17h
10
Si tu as besoin de 8Gbps symétrique, il faut passer sur du FTTO, car comme dit plus haut, il y a un mot qui a son importance : jusqu'à 8Gbps, si en journée tu dépasses pas 800Mo avec une offre 1G, tu peux passer a une offre 8G ca ne changera surement pas grand chose...
Tu mélanges les octets et les bits j'ai l'impression. 800Mo/s = 6,4 Gb/s.
Le
30/01/2024 à
14h
15
Pour le moment non, réponse a 14h a priori sur le site de free
14h14 et toujours rien sur leur site !
Petit HS : sur la page d'acueil de Next, pour cet article, il est affiché : il y a 47 minutes Web 9
Donc Web au lieu d'Internet qui apparaît bien quand on est dans l'article. Et quand on clique sur Web, ça affiche bien la catégorie Internet.
Le problème est que ça ne concerne par le RGPD. Mais à partir du moment où tu installes OneDrive, tout est fait pour que tu sauvegardes tous tes dossiers. Ça part d'une bonne intention mais parfois, on ne veut vraiment pas. Une case à cocher "Documents" est quand même plus simple qu'un formulaire compliqué. Il faut dire qu'avec Microsoft, on a pris l'habitude de répondre non à toutes les questions. Alors ils rusent...
C'est "sans se connecter à un compte Microsoft" qui m'a fait croire que c'était un problème RGPD en plus du sujet de l'article.
Mais l'alternative proposée reste valable.
Le
31/01/2024 à
14h
01
1) tu signales à Microsoft qu'ils ne sont pas conforme au RGPD sur les points que tu remarques. 2) Tu attends leur réponse ou un mois. 3) Si leur réponse ne te convient pas, tu portes plainte à la CNIL.
Alternative : tu n'utilises plus un produit qui ne te convient plus.
agriculteurs entre 50 et 60 ans. Tu les appelles "des anciens" (!) alors qu'ils sont plus jeunes que moi. Je ne sais qu'en penser.
Pour une population en âge de travailler entre 15 et 64 ans, oui, 50-60 c'est des anciens. Désolé pour toi 😅
Moi, je ne suis pas désolé : je ne travaille plus.
Le
31/01/2024 à
20h
00
C'est marrant, tes liens vont dans mon sens :
Pas du tout. Du coup ça sera ma dernière intervention, ta mauvaise foi à ce sujet commence a être manifeste.
Donc, les jeunes qui s'installent sont plus diplômés. Et ce sont eux qui s'endettent essentiellement.
1. Les jeunes sont plus diplômes que les anciens, et on parle ici d'un bac pro, pas d'un diplôme de commerce qui ouvrirait magiquement les clés de l'entreprenariat facile. 2. Mon lien pointe vers l'âge moyen des agriculteurs, qui est très élevé. Ce qui signifie que la grande majorité n'a même pas cette formation à minima. Donc je le répète : non, les agriculteurs "de maintenant" ne pas pas des jeunes entrepreneurs. Ce sont surtout des anciens, qui pour beaucoup ne savent pas se servir d'un ordinateur (y compris pas mal de plus jeunes). 3. Si les jeunes agriculteurs s'endettent, c'est parce qu'ils se lancent et qu'ils ont besoin d'investissement de départ, comme les anciens avant eux. Ils doivent juste emprunter globalement plus, parce que le foncier agricole a augmenté, et surtout parce qu'aujourd'hui les exploitations les plus rentables sont les plus grosses. Donc il faudrait avoir une grosse exploitation dès le début, ce qui est impossible, à moins d'hériter.
Ton troisième lien ne dit pas qu'ils ne vivent pas de leur travail ou il faudrait citer précisément le passage.
Oui effectivement, ce n'est pas bonne ancre, le paragraphe que je lisais est juste au-dessus (j'ai edit mon post précédent) : * « Les ménages agricoles sont également davantage exposés à la pauvreté monétaire » * « La pauvreté y est de surcroît plus intense » * « ils sont plus souvent sujets à des insuffisances de ressources » Et tout ça en prenant en compte qu'ils travaillent beaucoup plus que la moyenne (même pour des « entrepreneurs »), et qu'ils ne peuvent pas avoir de vacances, ni se permettre d'être malade (à moins d'être suffisamment gros, encore une fois). Un ami maraîcher s'est pété les croisés en été, il a juste dû arrêter de produire pendant 6 mois. Et a donc dû s'assoir sur les revenus de sa production, et sur ce qu'il avait déclaré en prévisionnel à la PAC.
Ce ne sont pas les gros exploitants industriels rentables qui manifestent aujourd'hui. Ce sont les plus petits, qui n'ont pas règles taillées sur mesure par la PAC, ni de marge de manœuvre auprès des revendeurs, qui ne produisent pas de produits "à haute valeur ajoutée" pour l'exportation, ni ceux qui peuvent se permettre des se payer des assurances hors de prix pour les coups durs.
C'est pourtant pas compliqué, il suffit de se renseigner sur leur revendications, qui ne datent pas d'hier, plutôt que d'écouter les propos hors-sol des polémistes et des réactionnaires ...
Sur le fait que l'agriculture n'est pas un secteur comme les autres, je suis assez d'accord, j'ai déjà dit qu'il était subventionné à peu près partout
Du coup pourquoi tu prétends qu'il leur suffirait de raisonner en entrepreneurs ? Les entrepreneurs (hors-agricoles) n'ont pas du tout ces contraintes, et raisonnent dans un contexte qui est complètement différent.
À propos de l'âge, on lit à ton premier lien :
55 % des agriculteurs ont 50 ans ou plus (figure 3b), soit 24 points de plus que pour l'ensemble des personnes en emploi (31 %). En particulier, 13 % des agriculteurs ont 60 ans ou plus, contre 3 % des personnes en emploi.
Ça fait 42 % des agriculteurs entre 50 et 60 ans. Tu les appelles "des anciens" (!) alors qu'ils sont plus jeunes que moi. Je ne sais qu'en penser. Par contre, je disais que c'étaient plutôt les jeunes qui s'endettaient, les anciens, comme tu les appelles ont probablement remboursé une bonne partie de leurs emprunts (les durées d'emprunt vont au max sur 25 ans pour du foncier agricole).
Les jeunes sont plus diplômes que les anciens, et on parle ici d'un bac pro, pas d'un diplôme de commerce qui ouvrirait magiquement les clés de l'entreprenariat facile.
On est d'accord qu'un bac pro est un peu juste pour devenir exploitant agricole. Pour cela, comme on le voit dans ton lien 2 précédent, il y a le BTSA analyse, conduite et stratégie de l'entreprise agricole (ACSEA). Un bac + 2 est probablement une meilleur assurance de réussir.
Mais le problème n'est pas différent dans les autres métiers où l'on est indépendant, comme l'artisanat.
Sinon, tu ne peux pas à la fois m'expliquer qu'il est difficile de vendre des terres un bon prix parce que personne ne veut faire agriculteur et me dire maintenant que le foncier agricole a augmenté. C'est contradictoire.
Ton dernier lien mis à jour dit juste que Les disparités de niveaux de vie sont cependant plus fortes. Le niveau de vie des 10 % des personnes les plus modestes ne dépasse pas 9 800 euros par an. Je veux bien croire que pour eux, c'est difficile, mais ce n'est pas la majorité. On lit juste au-dessus : Au sein des ménages agricoles, 50 % des personnes ont un niveau de vie par unité de consommation inférieur à 22 200 euros par an en 2018 (figure 2). Ce niveau de vie annuel médian est comparable à celui de l’ensemble des membres des ménages qui perçoivent des revenus d’activité.
C'est le fait qu'il y ait plus de disparités que dans la population totale active qui fait que certains agriculteurs ont des difficultés.
Je me demandais pourquoi tu citais la "pauvreté monétaire" et en lisant ce paragraphe et le suivant, j'ai compris pourquoi, il y avait ce distinguo que l'on ne fait pas en général. Cette pauvreté monétaire correspond à ce qu'ils se versent comme salaire et c'est globalement plus faible que pour la population active pauvre, d'où l'affirmation que La pauvreté y est de surcroît plus intense. Mais au paragraphe suivant, on nous explique un truc qui semble contradictoire : le taux de pauvreté en conditions de vie des exploitants agricoles est deux fois moindre que celui de l’ensemble de la population. On a l'explication juste après : Compte tenu de la nature de leur activité, une partie des dépenses privées des ménages agricoles (logement, dépenses d’énergie, etc.) peuvent être intégrées dans les comptes de l’exploitation. Plus souvent propriétaires de leur habitation que l’ensemble des ménages, ils ont moins souvent des difficultés de logement. Ils sont également moins affectés par des restrictions de consommation courant.
Comme une partie de leurs dépenses du ménage est supportée par l'exploitation, c'est autant de dépenses en moins par rapport au reste de la population et ils vivent au final globalement mieux que d'autres avec un revenu (apparent) plus faible. En plus, fiscalement, c'est intéressant qu'une partie des dépenses du ménage soit compté en charge pour l'exploitation, ça diminue le bénéfice imposable.
En gros, ce que je lis est conforme à ce qui était dit dans l'émission vrai ou faux du WE dernier où José Bové qui était invité était plutôt d'accord avec ce que disaient les journalistes. Les salaires bas qu'ils se versent ne représentent pas tout.
Le
31/01/2024 à
16h
10
Non. Encore une fois, juste non. Je peux comprendre qu'on ne soit pas au courant de la situation agricole en France - c'est vrai que c'est un milieu particulier - mais dans ce cas pourquoi balancer des contre-vérités à tout va ?
Les agriculteurs aujourd'hui sont majoritairement des anciens (1), qui n'ont qu'une qualification minimale, voire aucune à une époque où ça n'était pas obligatoire. Et le contexte de production a énormément changé entre l'époque à laquelle ils ont débuté leur exploitation et aujourd'hui. Aujourd'hui justement, il faut "juste" un bac pro (2), et s'il y a effectivement un volet économique de gestion d'exploitation, ce n'est pas le coeur de la formation, qui est plutôt axé sur ... la culture et l'élevage, bizarrement.
Si les agriculteurs raisonnaient effectivement en entrepreneurs comme les autres, ils abandonneraient tous ce secteur économique en crise depuis des décennies, qui ne leur permet pas de vivre de leur travail (3). Et le pays ne produirait aucune nourriture. Je maintiens donc qu'il faut que ces agriculteurs puissent faire leur métier. Et que la production de nourriture, ce n'est pas un secteur comme les autres, puisqu'il est vital, littéralement.
Le niveau de diplôme des agriculteurs s'est cependant fortement élevé ces dernières décennies.
Donc, les jeunes qui s'installent sont plus diplômés. Et ce sont eux qui s'endettent essentiellement.
Un rôle de chef d'entreprise
Quelle que soit la taille de son exploitation, l'agriculteur se pose les mêmes questions qu'un chef d'entreprise.
Ton troisième lien ne dit pas qu'ils ne vivent pas de leur travail ou il faudrait citer précisément le passage.
Comme il parle de revenu du ménage et que souvent le conjoint travaille ailleurs, il est normal que seule une partie du revenu du ménage provient de l'activité agricole (1/3). Le conjoint en rapporte pas loin de la moitié puisque 20 % de ce revenu vient du revenu des terres qu'ils possèdent et qu'ils se louent ) eux-même via leur société agricole. Ce genre de montage est aussi utilisé couramment par les autres entrepreneurs qui louent des locaux à leur entreprise. Donc, en fait, c'est 53,33 % des revenus du ménage qui sont d'origine de la production agricole.
Sur le fait que l'agriculture n'est pas un secteur comme les autres, je suis assez d'accord, j'ai déjà dit qu'il était subventionné à peu près partout. Et la PAC reste le premier poste du budget de l'UE et la France le premier bénéficiaire.
Le
31/01/2024 à
13h
56
Reguler le marché ici, ca veut dire ne pas l'ouvrir au 4 vents et surtout surtout ne pas le rendre déloyal par construction. Jamais un eleveur feancais ne pourra rivaliser avec un bresilien ou un néo-zélandais qui n'ont absolument pas les mêmes contraintes, par exemple. En plus d'etre une hérésie economique, c'est une gabegie écologique.
On a ruiné nos industries comme ca, ca ne leur suffit pas ? Il faut en plus qu'ils nous rendent dependants de l'extérieur pour un truc aussi crucial que l'alimentation ?
Les agriculteurs français qui exportent ne sont pas d'accord avec la fermeture des marchés.
Après, si l'on ne veut pas de poulets brésiliens élevés aux hormones, il faut interdire les produits d'animaux élevés aux hormones, c'est simple.
Le
31/01/2024 à
13h
53
Comme l'indique ton lien, la plupart du capital des agriculteurs est lié à leur activité. C'est aussi ce qui fait qu'ils sont très largement plus endettés que les autres catégories socio-professionnelles. Et si leur activité n'est pas rentable (mauvais plan, aides financières prévues mais non versées - coucou la PAC-, maladies, météo, catastrophes, etc.), ils ne peuvent ni tirer de revenus de ce capital, ni rembourser leurs dettes. Reste à vendre ce capital, en espérant trouver un acheteur. Mais avec la concentration des terres et la précarité du milieu, presque personne ne veut devenir agriculteur, la profession se casse la gueule depuis des décennies, et trouver qq'un pour racheter du matériel et/ou reprendre une exploitation est quasi-impossible. Notamment parce que ça coûte trop cher à l'achat, et que la rentabilité de l'exploitation est loin d'être assurée. Ensuite, ce capital se dévalorise à vitesse grand V. Un ami a repris des serres pour du maraîchage : non maintenues pendant 2 ans, il y avait tellement de travaux à faire pour pouvoir les utiliser qu'elles valaient ... 0 €.
C'est pour toutes ces raisons que beaucoup se considèrent coincés et en viennent à se suicider. Beaucoup plus que dans la population générale au passage. Si le capital dont tu parles était vraiment une richesse, on en serait pas là aujourd'hui.
Je pensais que tout le monde était conscient de ces réalités, mais c'est peut-être parce que je fréquente beaucoup le milieu. Du coup, c'est ça qu'ils racontent sur les plateaux télés ? Relativiser la condition des agriculteurs en allant cherry-picker le moindre chiffre qui va dans ce sens ? Et mettre la faute de leur condition sur leur dos ?
S'ils pensent être investis d'une mission, c'est autre chose.
Nourrir la population, c'est une « mission » très concrète je trouve. Si personne ne s'y « investi » comme tu dis, on n'est pas dans la merde ...
Oui, comme dans toute entreprise, si les revenus ne suffisent pas (activité non rentable), on va vers le dépôt de bilan. Ça a failli arriver à Next INpact.
Ensuite, si la valeur nette de leurs terres et autres investissements reste faible malgré le remboursement des emprunts, c'est aussi que le business plan est mauvais et qu'il ne fallait pas investir.
Le
31/01/2024 à
13h
44
Franchement Fred, pas toi...
Il faut vraiment tout ignorer du monde agricole pour dire ca. Ce n'est ABSOLUMENT pas un metier comme un autre, il y a toute une notion de patrimoine, de traditions, de rapport à la terre derrière tout ca. C'est ancré extrêmement profondément. C'est toute la question, cet ancrage, que les citadins ne comprennent pas pour la plupart.
Les agriculteurs de maintenant sont des entrepreneurs et ils sont pour beaucoup qualifiés, diplômés.
Il faut donc qu'ils raisonnent en entrepreneurs. C'est tout ce que je dis.
Le
31/01/2024 à
13h
42
"- pris à la gorge en aval pour les cours du marché et/ou les centrales d'achat"
Le marché ca se régule (sacrilègipopette. !). Surtout pour des biens hautement stratégiques comme celles qui gouvernent la souveraineté alimentaire.
Quand on fout du libre echange de partout, le responsable n'est pas le marché, mais celui qui ne le regule pas.
Les agriculteurs, un peu partout dans le monde sont subventionnés. Dans l'UE, c'est par la PAC et ça coûte assez cher.
Réguler le marché en plus de cela, ça fait peut-être beaucoup. Mais c'est ce qu'a fait la France pour les agriculteurs français, avec les lois EGAlim. Ça ne suffit peut-être pas à cause de la concurrence étrangère, y compris de l'UE.
Il y a peut-être un problème de taille pour tout un tas d'exploitations en France.
Le
31/01/2024 à
10h
55
Facile à dire. Mais quand ils croient en ce qu'ils/elles font (nourrir tes concitoyens), qu'il n'y a pas d'autres métier disponible dans leur région, et qu'ils ne sont formés à rien d'autre (certains n'ont qu'un bac technique en agronomie en poche, voire moins), et qu'il faut qu'ils remboursent leurs prêts pour l'achat de terrain/bâtiments/serres/machines agricoles, c'est tout de suite plus compliqué ...
S'ils pensent être investis d'une mission, c'est autre chose.
À ce niveau de revenus, il est inutile d'être qualifié pour faire autre chose payé au SMIC.
Enfin, s'ils sont trop endettés, par rapport à ce que ça leur rapport, c'est soit qu'ils ont fait un mauvais business plan, soit que leur exploitation est rentable et qu'ils auront plus de revenu disponible une fois les emprunts d'investissement remboursés. Ne pas oublier que le remboursement des emprunts augmente leur capital (pour tout ce qui est terrains et bâtiments) : c'est du revenu. Les agriculteurs font partie de ceux qui ont le plus de capital en France : ils sont très largement au-dessus du capital moyen des français. Voir par exemple ici
Le
31/01/2024 à
10h
31
Je connais beaucoup d'agriculteurs qui font ça effectivement. Mais ça ne règle pas leur problème de bosser 60h par semaine (en saison) pour gagner 400€-600€ par mois.
S'ils ne gagnent effectivement que ça, il vaut mieux qu'ils changent de métier.
Le
31/01/2024 à
10h
28
J'ai un voisin qui a choisi de ne pas demander d'aide PAC pour pouvoir faire ce qu'il veut, il a quand même été contrôlé. La plupart des contraintes sont là, que tu demandes les aides ou non.
Contrôlé pour quoi et par qui ?
Le
31/01/2024 à
10h
03
Si les contraintes pour toucher les aides de la PAC sont trop fortes et prennent trop de temps, il y a une solution : ne pas les demander. Ils gagneront 33 à 40 h par semaine d'administratif.
En effet, ce n'est pas 27000. On est plus du côté de 29000.
Tes chiffres datent de 2022 et comme dit dans la brève, il y a eu environ 2000 employés de moins il y a un an.
On peut donc considérer que il y a un an, il y avait après ces licenciements 2000/0,07x 0,93 = 26570 employés. Mon 27000 n'est pas loin, peut-être quelques embauches depuis.
Mais pour l'annonce des 9 %, qui concerne à la fois des postes occupés et des embauches à faire, comme on ne connaît pas la répartition entre les 2, on ne peut pas savoir combien de postes occupés ça fait. Il nous manque une information.
D'ailleurs, le titre est faux, puisque qu'une partie des 9% des postes supprimés ne sont pas encore dans les effectifs.
Le
31/01/2024 à
10h
44
Les actionnaires (via la bourse) pourrait râler car ils n'ont pas encore licencié "alors que les autres le font", et donc ils aimeraient réduire les couts pour espérer augmenter les dividendes.
On remarque aussi parfois des actions en bourse qui chutent car le bénéfice a été monstrueux mais pas exactement autant que celui prédit par les analystes. (un peu comme si tu ralais car il ne fait que 25° dehors alors que le mec de la météo avait annoncé 26.5°)
Les actionnaires (via la bourse)
Un actionnaire ne "râlent" pas via la bourse. Ils arbitrent vers une autre valeur qui leur semble meilleure.
Par contre, ils peuvent "râler" en votant lors de l'assemblée générale.
Le
31/01/2024 à
09h
51
Je ne sais pas d'où viennent les 2500 même s'ils reviennent un peu partout (via l'AFP).
En fait, ce qui est surprenant, c'est qu'il y avait plus de 27000 employés dans une société de ce type où tout doit quand même être bien automatisé.
Pour le bien des autres, tu as bien évidement signalé ce problème à la CNIL vu l'absence de réponse de leur part à l'absence de mot de passe. N'est-ce pas ?
À mon sens oui, ça permet de savoir de quoi on parle.
Je comprends sa question. Je ne connaissais aucun des noms, par contre les noms des lieux où se sont passés ces tueries, je les connaissais. Il aurait suffit d'écrire un truc du genre "à la gloire des auteurs ..." et ça aurait rendu plus léger l'écriture.
Ce n'est pas une image d'elle c'est une image synthétique qui lui ressemble, comme un dessin.
Un deepfake porno, c'est mettre sa tête sur un corps nu à l'aide d'une IA qui ajuste bien les 2, c'est un montage et ça rentre bien dans le cadre du droit à l'image puisque c'est la vraie tête de la personne.
L'idée n'est pas mauvaise ceci dit mais plutôt sur des véhicules du service public qui parcourent toute la France, du style voiture de police ou gendarmerie ...
Oui, tu as raison : des caméras sur des véhicules de police et gendarmerie actives en permanence, c'est une très bonne idée.
18398 commentaires
Jusqu’en 2023, le système français d’accès aux données de demandes de visas Schengen était dans l’illégalité
01/02/2024
Le 01/02/2024 à 13h 15
Au temps pour moi.
Le 01/02/2024 à 12h 56
Je plussoie sur les liens vers les sources. Ça manquait aussi dans l'article sur la CNIL et Tagadamedia.Par contre, l'absence d'amende n’est pas lié à une limite d'indépendance d'une autorité indépendante, mais à la loi et surtout au fait qu'une amende contre l'État reviendrait à l'État. Bon on pourrait enlever la somme du budget du ou des ministères concernés pour la reverser dans le budget général, mais bof, ça ne changerait pas grand chose.
CJUE : la police ne peut pas conserver les données biométriques de tous les condamnés
31/01/2024
Le 01/02/2024 à 13h 09
La décision ne sacralise pas un sujet au détriment de l'autre. Elle remet de l'équilibre en demandant que les 2 sujets soient examinés pour voir s'il faut garder les données ou les détruire. Il est toujours possible de garder les données s'il est jugé que c'est important pour la sécurité. Il est juste interdit de refuser d'effacer les données sans raison.
Quand il s'agit de 2 droits fondamentaux en opposition, c'est toujours comme cela que c'est traité par les juridictions, en particulier celles qui tranchent en dernier recours (CJUE, CEDH, Conseil Constitutionnel, ...).
Le 01/02/2024 à 10h 44
Oui, bien sûr.Par contre, pas sûr que ça s'applique aux données biométriques conservées dans le cadre de l'établissement d'une pièce d'identité. Cette conservation est limitée dans le temps et est justifiée (au moins pour détecter les risques d'usurpation d'identité).
Par contre, l'effacement de ces données dans le cadre judiciaire doit s'appliquer sans problème.
Remarque : au moins dans le cadre des empreintes digitales, la France est en règle : 25 ans maximum et possibilité de demander l'effacement avec possibilité de recours en cas de refus.
C'est aussi le cas pour les empreintes génétiques (c'est un peu plus complexe : plus de cas différents).
Le 01/02/2024 à 10h 35
Quoi de plus privé que des données biométriques ? C'est même pour cela que le RGPD leur réserve une place à part.
Moi, j'ai parlé d'équilibre parce que c'est ce que propose la CJUE : se poser régulièrement la question de savoir si la violation du respect la vie privée d'un individu est toujours nécessaire pour protéger la sécurité des personnes. Durant toute sa vie, une personne peut changer et il peut ne plus être nécessaire de garder ses empreintes digitales ou des informations génétiques le concernant.
Dans le cas présent, seule sa mort pouvait permettre de supprimer ses données s'il avait été condamné. C'était manifestement non équilibré.
La décision de la CJUE n'interdit pas de garder ces données mais elle demande juste que ça soit justifié. C'est en cela que sa décision est équilibrée.
Le 31/01/2024 à 21h 07
Oui, un meilleur équilibre entre différents droits fondamentaux, c'est une avancée.Le poing Dev – Round 10
01/02/2024
Le 01/02/2024 à 12h 28
Par contre, pour vos tests internes, ça vaut le coup de garder ça en tête pour faire certains tests en passant par Cloudflare quand même.
Mais bon, il ici, le vrai problème, c'est le temps mis pour répondre, afficher les commentaires par pages de taille raisonnable me semble une bonne solution.
Le 01/02/2024 à 12h 08
Et puis, ça ne fait pas tant de commentaires que ça par jour.
Nota : j'ai testé un autre profil qui ne s'affiche pas chez moi. Je ne le dénoncerai pas.
Le 01/02/2024 à 11h 30
Ça ne marche pas pour mon profil : j'ai un timeout de la part de Cloudflare : Error code 524 au bout de 2 à 3 minutes.J'ai probablement trop de commentaires et si vous ne les affichez pas par page comme sur le site précédent mais en page infinie, c'est probablement la source du soucis.
En tout cas, ça évitera que l'on puisse m'appliquer cela : Il est à présent encore plus simple de démonter les arguments de vos adversaires d'éloquence en allant déterrer un de leurs commentaires planqués vers 2013.
Faudrait que je commente moins, mais ça risque d'être difficile et ça ne changera rien pour les commentaires passés.
En essayant avec (chromium non connecté), j'ai plus rapidement une erreur chromium disant que le site ne peut pas être atteint, probablement un timeout interne au navigateur
L’ICANN propose le domaine .internal pour votre réseau local
01/02/2024
Le 01/02/2024 à 12h 19
Toujours lire les commentaires avant de poser une question, surtout quand il n'y en a pas beaucoup comme ici.Le 01/02/2024 à 12h 00
Oui, mais la résolution de nom ne s'appuie pas sur le protocole DNS dans ce cas.Il y a home aussi en seconde position.
Ils veulent juste traiter le cas du protocole DNS.
Je pense que c'est une erreur parce qu'il faudrait éviter que ces 2 (ou plus) noms de premier niveau ne partent pas vers les serveur DNS racine comme ils le font actuellement si le nom ne peut être résolu localement.
internal pour le protocole DNS, pourquoi pas, mais il faut aussi lister quelques nom de premier niveau qui ne pourront jamais être utilisé sur Internet (local et home en font partie à mon avis).
Édit : je lis dans le lien du commentaire ci-dessus que local est déjà réservé par l'IETF.
Les deepfakes pornographiques de Taylor Swift relancent le débat sur la régulation du phénomène
29/01/2024
Le 01/02/2024 à 11h 39
Après l'autre qui me traite de facho, voilà celui-ci qui me rapproche des antisémites !
(commentaire à modérer... ou pas)
Le 01/02/2024 à 10h 58
Le 31/01/2024 à 16h 15
Ça a pu être modéré sur "troll ou incitation au troll" parce que pas assez argumenté de ta part ou bien juste sur le mot nazi.
Le 31/01/2024 à 15h 36
Le 31/01/2024 à 14h 04
Le 31/01/2024 à 10h 59
En vrai, je ne sais pas si c'est mieux comme ça ou comme avant.Je pense qu'il y a plein d'endroit où les messages modérés disparaissent simplement.
Le Conseil de Surveillance de Vivendi valide la proposition d’une découpe en quatre entités
01/02/2024
Le 01/02/2024 à 10h 53
Ne pas oublier qu'au-dessus, il y a le groupe Bolloré qui contrôle Vivendi. Ce qu'ils voulaient éviter; c'est probablement un double niveau de décote lié aux holdings.Cela ne changera pas grand chose sur sa mainmise sur une partie de l'information en France (CNews, Europe 1, le Journal du dimanche, etc.) et le placement de journalistes dans ses médias.
Microsoft aurait fait taire des alertes sur les dangers de Dall-E
01/02/2024
Le 01/02/2024 à 10h 20
Ce qui me choque le plus dans cette histoire, c'est la volonté de faire des outils aseptisés qui ne pourraient pas générer d'images perturbantes ou violentes comme il les appelle dans sa lettre à OpenAI publiée sur LinkedIn¹.Et tout cela sous le prétexte de protéger les enfants et autres populations vulnérables. Quand on utilise les enfants pour justifier une mesure plus générale, on sait bien ici où ça peut mener et que ça cache souvent d'autres buts.
Que l'on protège ces personnes vulnérables de la diffusion de ces images, c'est légitime, mais que l'on empêche la génération de ces images pour tous me semble disproportionné.
Ça me rappelle la loi française interdisant l'accès des mineurs au porno et autres interdits (violences , ...) que l'on a renforcé en demandant que la vérification d'âge soit parfaite tout en respectant le droit à la vie privée sous peine de blocage des sites. Vu la difficulté à appliquer cette loi, ça revient actuellement à interdire l'accès au porno et autres en France, même si dans les faits, cela n'est pas encore arrivé et que le DSA ajoute une compétence de l'UE qui l'emporte sur la compétence nationale.
Sa solution est de supprimer des données d'entraînement des images "nocives". Il reste à savoir où il veut qu'on place cette limite ! De façon générale (pas seulement pour les images), si l'on restreint les jeux de données d'entraînement des IA, on risque d'avoir des outils qui ignorent tout un pan de la connaissance et qui donneront des solutions tronquées (je ne parle pas que des IA génératives).
Ma critique ne s'arrête pas au lanceur d'alerte mais aussi à OpenAI et Microsoft qui affichent la même volonté puisqu'ils mettent des filtres pour empêcher de tels comportements.
Un monde où l'on restreint trop de choses me fait peur.
¹ C'est cette lettre publique que Microsoft lui a demandé de supprimer qui justifie les mots "fait taire" dans le titre de la brève.
Freebox Ultra : 8 Gb/s symétrique, Wi-Fi 7, Canal+, Disney+… à partir de 49,99 euros par mois
30/01/2024
Le 31/01/2024 à 23h 48
Le 31/01/2024 à 11h 01
Le 31/01/2024 à 09h 38
Le 30/01/2024 à 17h 58
Il faut récupérer l'ancienne box et la remettre à niveau pour réutilisation, envoyer la nouvelle box. Ce n'est pas déconnant comme prix.Le 30/01/2024 à 17h 10
Le 30/01/2024 à 14h 15
Petit HS : sur la page d'acueil de Next, pour cet article, il est affiché :
il y a 47 minutes Web 9
Donc Web au lieu d'Internet qui apparaît bien quand on est dans l'article.
Et quand on clique sur Web, ça affiche bien la catégorie Internet.
Ça semble être un bug à l'affichage.
Le courtier en données Tagadamedia écope d’une amende de 75 000 euros par la CNIL
30/01/2024
Le 31/01/2024 à 23h 45
Mais l'alternative proposée reste valable.
Le 31/01/2024 à 14h 01
1) tu signales à Microsoft qu'ils ne sont pas conforme au RGPD sur les points que tu remarques.2) Tu attends leur réponse ou un mois.
3) Si leur réponse ne te convient pas, tu portes plainte à la CNIL.
Alternative : tu n'utilises plus un produit qui ne te convient plus.
Le 31/01/2024 à 10h 39
Non.Mais, c'était probablement impossible, l'origine des données n'étant probablement pas conservée chez les partenaires.
Le 30/01/2024 à 23h 18
Le 30/01/2024 à 17h 45
Les fraises MADATA ? Vraiment ! Quelle imagination ce Flock !Des agriculteurs, surveillés par satellite, dénoncent un « flicage » kafkaïen
31/01/2024
Le 31/01/2024 à 23h 42
Le 31/01/2024 à 20h 00
Ça fait 42 % des agriculteurs entre 50 et 60 ans. Tu les appelles "des anciens" (!) alors qu'ils sont plus jeunes que moi. Je ne sais qu'en penser.
Par contre, je disais que c'étaient plutôt les jeunes qui s'endettaient, les anciens, comme tu les appelles ont probablement remboursé une bonne partie de leurs emprunts (les durées d'emprunt vont au max sur 25 ans pour du foncier agricole).
On est d'accord qu'un bac pro est un peu juste pour devenir exploitant agricole. Pour cela, comme on le voit dans ton lien 2 précédent, il y a le BTSA analyse, conduite et stratégie de l'entreprise agricole (ACSEA). Un bac + 2 est probablement une meilleur assurance de réussir.
Mais le problème n'est pas différent dans les autres métiers où l'on est indépendant, comme l'artisanat.
Sinon, tu ne peux pas à la fois m'expliquer qu'il est difficile de vendre des terres un bon prix parce que personne ne veut faire agriculteur et me dire maintenant que le foncier agricole a augmenté. C'est contradictoire.
Ton dernier lien mis à jour dit juste que Les disparités de niveaux de vie sont cependant plus fortes. Le niveau de vie des 10 % des personnes les plus modestes ne dépasse pas 9 800 euros par an.
Je veux bien croire que pour eux, c'est difficile, mais ce n'est pas la majorité.
On lit juste au-dessus : Au sein des ménages agricoles, 50 % des personnes ont un niveau de vie par unité de consommation inférieur à 22 200 euros par an en 2018 (figure 2). Ce niveau de vie annuel médian est comparable à celui de l’ensemble des membres des ménages qui perçoivent des revenus d’activité.
C'est le fait qu'il y ait plus de disparités que dans la population totale active qui fait que certains agriculteurs ont des difficultés.
Je me demandais pourquoi tu citais la "pauvreté monétaire" et en lisant ce paragraphe et le suivant, j'ai compris pourquoi, il y avait ce distinguo que l'on ne fait pas en général.
Cette pauvreté monétaire correspond à ce qu'ils se versent comme salaire et c'est globalement plus faible que pour la population active pauvre, d'où l'affirmation que La pauvreté y est de surcroît plus intense.
Mais au paragraphe suivant, on nous explique un truc qui semble contradictoire : le taux de pauvreté en conditions de vie des exploitants agricoles est deux fois moindre que celui de l’ensemble de la population. On a l'explication juste après : Compte tenu de la nature de leur activité, une partie des dépenses privées des ménages agricoles (logement, dépenses d’énergie, etc.) peuvent être intégrées dans les comptes de l’exploitation. Plus souvent propriétaires de leur habitation que l’ensemble des ménages, ils ont moins souvent des difficultés de logement. Ils sont également moins affectés par des restrictions de consommation courant.
Comme une partie de leurs dépenses du ménage est supportée par l'exploitation, c'est autant de dépenses en moins par rapport au reste de la population et ils vivent au final globalement mieux que d'autres avec un revenu (apparent) plus faible.
En plus, fiscalement, c'est intéressant qu'une partie des dépenses du ménage soit compté en charge pour l'exploitation, ça diminue le bénéfice imposable.
En gros, ce que je lis est conforme à ce qui était dit dans l'émission vrai ou faux du WE dernier où José Bové qui était invité était plutôt d'accord avec ce que disaient les journalistes. Les salaires bas qu'ils se versent ne représentent pas tout.
Le 31/01/2024 à 16h 10
Donc, les jeunes qui s'installent sont plus diplômés. Et ce sont eux qui s'endettent essentiellement.
Ton troisième lien ne dit pas qu'ils ne vivent pas de leur travail ou il faudrait citer précisément le passage.
Comme il parle de revenu du ménage et que souvent le conjoint travaille ailleurs, il est normal que seule une partie du revenu du ménage provient de l'activité agricole (1/3). Le conjoint en rapporte pas loin de la moitié puisque 20 % de ce revenu vient du revenu des terres qu'ils possèdent et qu'ils se louent ) eux-même via leur société agricole. Ce genre de montage est aussi utilisé couramment par les autres entrepreneurs qui louent des locaux à leur entreprise.
Donc, en fait, c'est 53,33 % des revenus du ménage qui sont d'origine de la production agricole.
Sur le fait que l'agriculture n'est pas un secteur comme les autres, je suis assez d'accord, j'ai déjà dit qu'il était subventionné à peu près partout. Et la PAC reste le premier poste du budget de l'UE et la France le premier bénéficiaire.
Le 31/01/2024 à 13h 56
Après, si l'on ne veut pas de poulets brésiliens élevés aux hormones, il faut interdire les produits d'animaux élevés aux hormones, c'est simple.
Le 31/01/2024 à 13h 53
Ensuite, si la valeur nette de leurs terres et autres investissements reste faible malgré le remboursement des emprunts, c'est aussi que le business plan est mauvais et qu'il ne fallait pas investir.
Le 31/01/2024 à 13h 44
Il faut donc qu'ils raisonnent en entrepreneurs.
C'est tout ce que je dis.
Le 31/01/2024 à 13h 42
Réguler le marché en plus de cela, ça fait peut-être beaucoup. Mais c'est ce qu'a fait la France pour les agriculteurs français, avec les lois EGAlim. Ça ne suffit peut-être pas à cause de la concurrence étrangère, y compris de l'UE.
Il y a peut-être un problème de taille pour tout un tas d'exploitations en France.
Le 31/01/2024 à 10h 55
À ce niveau de revenus, il est inutile d'être qualifié pour faire autre chose payé au SMIC.
Enfin, s'ils sont trop endettés, par rapport à ce que ça leur rapport, c'est soit qu'ils ont fait un mauvais business plan, soit que leur exploitation est rentable et qu'ils auront plus de revenu disponible une fois les emprunts d'investissement remboursés. Ne pas oublier que le remboursement des emprunts augmente leur capital (pour tout ce qui est terrains et bâtiments) : c'est du revenu. Les agriculteurs font partie de ceux qui ont le plus de capital en France : ils sont très largement au-dessus du capital moyen des français. Voir par exemple ici
Le 31/01/2024 à 10h 31
Le 31/01/2024 à 10h 28
Le 31/01/2024 à 10h 03
Si les contraintes pour toucher les aides de la PAC sont trop fortes et prennent trop de temps, il y a une solution : ne pas les demander. Ils gagneront 33 à 40 h par semaine d'administratif.C'est un calcul économique à faire.
Qu’est-ce que le vishing, ou arnaque vocale au faux conseiller bancaire ?
31/01/2024
Le 31/01/2024 à 16h 23
La vieillesse est un naufrage !PayPal « prépare l’avenir » et réduit de 9 % ses effectifs (2 500 postes)
31/01/2024
Le 31/01/2024 à 13h 30
On peut donc considérer que il y a un an, il y avait après ces licenciements 2000/0,07x 0,93 = 26570 employés. Mon 27000 n'est pas loin, peut-être quelques embauches depuis.
Mais pour l'annonce des 9 %, qui concerne à la fois des postes occupés et des embauches à faire, comme on ne connaît pas la répartition entre les 2, on ne peut pas savoir combien de postes occupés ça fait. Il nous manque une information.
D'ailleurs, le titre est faux, puisque qu'une partie des 9% des postes supprimés ne sont pas encore dans les effectifs.
Le 31/01/2024 à 10h 44
Par contre, ils peuvent "râler" en votant lors de l'assemblée générale.
Le 31/01/2024 à 09h 51
Je ne sais pas d'où viennent les 2500 même s'ils reviennent un peu partout (via l'AFP).En fait, ce qui est surprenant, c'est qu'il y avait plus de 27000 employés dans une société de ce type où tout doit quand même être bien automatisé.
Trackers, dark patterns : l’UFC-Que choisir monte au créneau, mais montre le mauvais exemple
29/01/2024
Le 31/01/2024 à 10h 19
Pour le bien des autres, tu as bien évidement signalé ce problème à la CNIL vu l'absence de réponse de leur part à l'absence de mot de passe. N'est-ce pas ?Les mineurs exposés à de la glorification de tueurs de masse en ligne
31/01/2024
Le 31/01/2024 à 10h 15
des auteurs ..." et ça aurait rendu plus léger l'écriture.
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30/01/2024
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30/01/2024
Le 30/01/2024 à 17h 21
Ou pas !
Les chantiers de l’Arcep pour 2024 : presse, qualité de la fibre, environnement, régulation…
29/01/2024
Le 30/01/2024 à 12h 40
00 94 = Sri Lanka Sauf si tu es susceptible de recevoir des appels de là-bas, tu filtres.