Tu peux aussi faire l’analogie avec une péripatéticienne gratuite mais avec de la pub fluorescente peinte sur le corps" />
Dans ce cas là en plus, tu n’es plus le client mais le produit.
Donc la loi de pénalisation du client ne sert plus à rien.
Il y a un concept à creuser, là ! " />
Le
17/02/2014 à
10h
53
atomusk a écrit :
Il donne juste le nom de son appli, il ne met pas un lien, et ne vend pas son produit …
Il donne son expérience en parlant de ce qu’il connais. ça reste soft .
J’ai juste fait une remarque la seconde fois qu’il a cité son produit dans les commentaires de la news.
Je n’ai pas signalé son message à la modération, tu peux en témoigner.
En plus, je trouvais amusant que quelqu’un qui était pour que la pub rémunère le site où elle est faite fasse la sienne gratuitement. " />
J’ai maintenant compris sa façon de penser et je vais l’ignorer sans lui répondre,
Parce que les :
je suis premium et pas toi
je suis sur PCI depuis 2003
je connais David
je suis le seul avec lui à comprendre le problème
ça va 30 secondes, mais pas plus.
À croire qu’il se sente protégé ici et que cela flatte son sentiment de supériorité. Si ça peut faire du bien à son ego, pourquoi pas.
Le
17/02/2014 à
10h
36
Ohmydog a écrit :
Personnellement, je viens de découvrir Adblock.
…
Les sites que j’apprécie, soit je paye pour le contenu, soit je passe par IE sans blocage.
Tu peux aussi passer ces sites en liste blanche :
clic sur l’icône ABP et choisir désactiver pour le.site.où.tu.es
ça t’évitera de t’infliger IE juste pour ça.
Le
17/02/2014 à
10h
24
Tetedeiench a écrit :
Je suis premium " />
Et ça te donne tous les droits ?
Et je pense pas que ca gène PCI outre mesure que je parle de mon site sur un sujet qui le touche particulièrement, et auquel je suis confronté. Si j’ai bien lu, les seuls qui savent de quoi ils parlent côté “victime d’adblock”, c’est david et moi ici…
C’est toujours mieux que les commentaires “mais y a qu’à” de gens qui ne sont pas face à la chose " />
Ta suffisance pue.
Mais c’est tellement facile d’avoir des certitudes plutôt que d’écouter l’autre, débattre et d’argumenter.
C’est en tant que lecteur que je te reproche de faire de la pub pour toi dans les commentaires.
Edit :
Quant à ton second édit avec : “contrairement à toi”, il est vraiment représentatif du respect que tu as envers les autres.
J’ai failli devenir grossier, mais si c’est pour me faire modérer, je préfère exprimer mon mépris en restant correct.
Le
17/02/2014 à
10h
07
David_L a écrit :
La question du tracking peut être réglé avec des outils comme Ghostery, qui fonctionnent sur un principe bien plus saint.
" />
on va éviter d’en faire une religion !
J’ai essayé d’utiliser cet outil suite à un article de vous sur le sujet.
Je n’ai jamais réussi à accrocher et à comprendre son principe.
Il va trop dans le détail et fonctionne au cas par cas si j’ai bien compris.
Je pense qu’il ne s’adresse qu’à des spécialistes et n’est pas utilisable par le plus grand nombre, comme je l’écrivais dans mon message précédent, en pensant justement à cet outil.
Et je pense être loin d’avoir une mauvaise culture dans ce domaine, la preuve, la CNIL (enfin, la loi l’ayant créée) et moi avons la même date d’anniversaire, même si je suis plus le vieux. " />
Le
17/02/2014 à
09h
49
Tetedeiench a écrit :
OCCT est un excellent exemple : au bout de 10 millions de download, j’en déduis que je suis pas trop mal placé en termes de qualité. En termes de licence pour usage pro, j’en suis à … 1 par mois, grand max. A 150$. Je te laisse faire le calcul sur le revenu que cela génère (sachant qu’en plus, je déclare tout ca et paie des taxes).
C’est pas bientôt fini cette pub pour ton produit ?" />
Et tout ça sans rémunération pour PCI !
Le
17/02/2014 à
09h
32
David_L a écrit :
La CNIL confond la question de la vie privée et du financement avec ce genre de recommandations. Ce n’est pas son rôle. Des outils font, eux, parfaitement la différence entre les deux.
Et ces outils ne sont pas des usines à gaz et sont utilisables par le plus grand nombre ?
Si oui, pourquoi ne pas prendre contact avec eux et leur suggérer ? Vous êtes assez crédibles pour être au moins entendus.
Là où je suis d’accord avec toi, c’est que l’outil proposé fait un peu plus que juste empêcher le tracking et a des effets collatéraux importants.
Elle ferait d’ailleurs bien mieux de se préoccuper un peu plus de la vie privée plutôt que de focaliser sur les cookies qui sont 0.01% du problème… (mais on y reviendra).
Tu as des exemples précis montrant qu’elle ne se préoccupe pas assez de la vie privée ?
C’est mesuré comment ces 0,01 % ?
J’espère que je pourrai lire cet article passionnant qui s’appuie sur une mesure si précise, c’est-à-dire qu’il ne sera pas réservé aux abonnés (pour info, vous êtes en liste blanche sur ABP).
Tu as esquivé le sujet du tracking dans ta réponse.
Le
17/02/2014 à
09h
10
Un principe validé par la CNIL, qui a réitéré ses recommandations en la matière encore récemment.
Sur la page de la CNIL mise en lien dans l’article, le sujet est la traçabilité de sa navigation web.
L’utilisation d’ABD et le blocage de toutes les pubs n’est abordé que sous cet angle là :
certaines régies publicitaires ne sont pas filtrées par AdBlock et pourront vous tracer
et la CNIL est parfaitement dans son rôle de protection des données privées.
C’est le même combat que celui qu’elle effectue contre Google.
Il faut arrêter de pleurer contre la méchante CNIL qui en veut aux sites qui vivent de la publicité.
Quand les régies de pub arrêteront de tracer les utilisateurs et d’enregistrer leurs données sans les informer clairement, la CNIL fera son travail en conseillant de bloquer les pubs.
Il me semble que le Do Not Track est encore loin d’être respecté. Quand il le sera, la CNIL le conseillera plutôt que le blocage des pubs.
Je n’en peu plus du terme de vidéoprotection… " />
Comme si la camera allait te défendre. A moins d’être monté en série avec une tourelle franchement je ne vois pas.
Le terme vidéosurveillance est très bien.
1
Si c’est l’efficacité de la vidéo-protection qui doit être étudiée, je veux bien faire l’étude, ça va être facile : aucune caméra n’a protégé quelqu’un qui était en train de se faire agresser.
La vidéo-surveillance a une meilleure efficacité : elle permet parfois de reconnaître les agresseurs et de suivre en partie leurs déplacements passés. Cela peut conduire à leur arrestation.
Quant au terme que j’aime le plus, la vidéo-tranquilité, l’efficacité est négative : je ne suis pas tranquille quand je suis espionné.
Après m’être fait gazer à moto alors que je circulait en moto…
Bah, on m’a juste dit… “Y-a rien à faire si c’est un gendarme…”
:Elle ne sert à rien sa plateforme… poudre au yeux…
Tu ne dis pas pourquoi tu t’es fait gazer et si tu refusais de t’arrêter, mais il y a au moins mise en danger de la vie d’autrui (la tienne) sur son comportement.
Tu peux toujours, si pas prescrit, porter plainte directement auprès du procureur.
Les gendarmes ont le droit de tirer (après avoir annoncé “halte gendarmerie” de façon répétée).
La bombe lacrimo correspond peut-être au “tout engin” en fin de cet article du code de la défense :
Ils sont également autorisés à faire usage de tous engins ou moyens appropriés tels que herses, hérissons, câbles, pour immobiliser les moyens de transport quand les conducteurs ne s’arrêtent pas à leurs sommations.
Ah oué parce que forcément si c’est le secteur privé c’est forcément affilié à israel … " /> ?
Je le connaissais pas tant homme du peuple lui qui aime tant gérer son fric c’est un peu comme lepen il est pour la démocratie mais jamais quelqu’un d’autre qu’un lepen ne pourrait gouverner son parti politique …
Je dois avoir un grave déficit en logique en vrai mes tests de Qi n’ont été que le fruit d’un hasard particulièrement farceur….." />
Je pêche moins qu’ActionFighter, donc même le vendredi, ça passe. J’ai dû être trop pince sans rire.
Je n’ai aucune affinité pour le sieur Dieudonné, voir mes messages plus anciens sur certains fils un peu chauds.
Le
14/02/2014 à
15h
31
ActionFighter a écrit :
" />
Bourdin c’est RMC, et c’est Dieudonné qui refuse les demandes d’interview " />
Quant à Patrick Cohen, c’est un " />, au même titre que Barbier.
On doit combattre des idées par des idées, pas par la censure.
Je parlais de l’attachement de Dieudonné au service public, refusant toute interview du secteur privé comme RMC.
La tranche horaire de Bourdin est pilotée par Cohen sur France Inter (enfin une partie seulement)
Bourdin de 6 à 10 h
Cohen de 7 à 9 h
Tous des feignants sur le service public !
Le
14/02/2014 à
15h
19
ActionFighter a écrit :
Si si, des journalistes lui ont faits des demandes d’interview, Bourdin par exemple. Sauf que les demandes ont été systématiquement refusées.
J’applaudis son attachement au service public, en particulier à France Inter.
C’est juste dommage que Patrick Cohen l’a mis sur une liste noire et qu’il ne veut pas l’inviter.
Le gouvernement vient en effet de décider de reporter de deux mois les réunions de la Commission d’immatriculation pour les VTC. Rappelons ainsi que chaque VTC doit faire une demande d’immatriculation par écrit, la commission disposant d’un mois pour répondre
Et quand on va lire l’article R231-3 du code du tourisme qui régit cette délivrance, on lit :
L’immatriculation est effectuée par la commission d’immatriculation mentionnée à l’article L. 141-2 dans un délai d’un mois à compter de la date du récépissé émis par la commission au moment de la réception du dossier complet, sous réserve des dispositions prévues à l’article R. 231-5. La commission notifie à l’exploitant de voitures de tourisme avec chauffeur un certificat d’immatriculation comportant son numéro d’immatriculation au registre et la date d’enregistrement.
L’immatriculation est réputée acquise en l’absence de décision de la commission dans le délai prévu à l’alinéa précédent. La commission est alors tenue de délivrer sans délai un numéro d’immatriculation.
Ce qui fait qu’il suffira d’aller au tribunal administratif en référé pour faire tomber cette décision du gouvernement et obtenir la licence sans délai et sans que la commission ait étudié le dossier (ce qui aurait pu déboucher sur un refus).
Bref, encore une décision ridicule : y a-t-il des juristes qui conseillent le gouvernement ?
Ça serait un peu trop simple s’il suffisait de ne pas réunir une commission pour changer l’application d’un texte légal.
Quand on voit que le décret sur le travail des magasins de bricolage a été suspendu hier par le conseil d’état parce que l’autorisation était temporaire (jusqu’au 1er juillet 2015) alors qu’une dérogation de ce type doit être permanente !
Par contre, Slate est peut-être de parti pris malgré leurs dénégations dans leur article.
J’aimerais que PCI fasse un article sur ce sujet. C’est tout-à-fait dans ces sujets cibles.
Je repose donc la question différemment :
pourquoi PCI fait des articles s’appuyant sur les chiffres de Médiamétrie alors qu’ils semblent très peu fiables ?
Le
13/02/2014 à
10h
06
Que faut-il conclure de cet article ?
Je trouve que l’information de PCI n’est pas claire.
Médiamétrie est-il fiable ou non ?
Si oui, pourquoi semer le doute ?
Si non, pourquoi faire un article à partir de ses données ?
J’espère que ce n’est pas juste pour générer du trafic entre les pro et anti google et donc youtube et les anti Dailymotion (il y a peu de pro ici).
Je trouverai beaucoup plus intéressant de voir un comparatif des différents organismes mesurant l’audience des sites video et voir quels sont ceux qui sont proches et ceux qui s’écartent de la moyenne.
Cela permettrait ensuite d’utiliser les chiffres des organismes les plus fiables pour les articles suivant sur le sujet.
Procéder avec un panel sur un média où l’on peut faire de la mesure réelle en incluant des éléments de mesure dans les pages web me semble au minimum inutile et au pire de suspect ou signe d’incompréhension du média mesuré.
Merci d’avance à la rédaction de faire une réponse.
Absolument aucune contrainte pour l’utilisation des gaines “cuivre”. Etant donné que tous les logements ont un passage cuivre, il ne devrait pas y avoir besoin de percer les murs (tout du moins pour l’arrivée)
La seule contrainte, c’est que la fibre puisse passer physiquement et ce n’est pas toujours le cas. Voir mon autre message plus haut.
Le
13/02/2014 à
10h
26
marquis a écrit :
Son excuse avec le perforateur est complètement bidon.
Quand mon opérateur est venu pour installer la fibre, il n’a percé aucun trou.
Je suis à 10 m de la gaine technique du palier.
Avec le technicien, on a réfléchi 5 minutes et on a vu que la paire cuivre arrivait par le plafond dans l’entrée.
Pas de bruit de perceuse
Pas de poussière
Gain de temps
Pour l’installation dans les logements qui se sont abonnés, les techniciens ont utilisé la même méthode.
Edit : Grillé par Resman
Il ne faut pas faire de ce cas une généralité.
Dans ma résidence (datant de 1991) il fallait passer par les gaines techniques existantes. Dans la plupart des cas, dont chez moi, cela n’a pas été possible parce qu’il a été impossible de passer la fibre jusqu’au bout et malgré plusieurs essais dans les différentes gaines possibles. La société qui installe ici pour Orange est payé au forfait et essaie vraiment de passer par l’existant.
La construction a été faite au moindre effort, comme souvent et sans envisager de passer d’autres câbles.
Il a donc fallu demander et attendre l’autorisation de passer en apparent, autorisation donnée bâtiment par bâtiment alors que la problématique était la même dans tous.
Et à la fin, ça s’est bien traduit par le perçage d’abord dans le mur porteur avec un perforateur, puis dans la cloison allant de l’entrée au salon. Les trous sont effectivement de faible diamètre.
La fibre passe ensuite en apparent dans l’appartement, c’est assez propre, mais cela se voit. J’aurais pu payer pour avoir des goulottes, mais cela aurait été pire visuellement je pense.
Personnellement, cela ne m’a pas gêné et je suis propriétaire, mais je peux comprendre l’appréhension.
Tu parles. Ce n’est pas Bouygues qui apparaîtra, mais un sous traitant travaillant sous ses ordres.
Oui, mais Bouygues (pour garder le même exemple, je n’accuse personne, hein) aura plus de mal à dire qu’il ne pouvait pas savoir.
Je pense que le but est là.
Le
12/02/2014 à
09h
12
darkbeast a écrit :
15000 euros ça me parait peu, ça veut dire que si une boite merde une fois (ça peut arriver) c’est finit pour elle.
C’est une peine complémentaire que le juge peut appliquer ou non.
Il y a peu de risque qu’il décide de l’appliquer dès la première fois.
Le
11/02/2014 à
14h
01
RaoulC a écrit :
Je m’interroge toutefois sur l’utilité de ce genre de liste… Si une entreprise est condamnée, le jugement n’est-il pas public?
Cela permettrait d’avoir une liste contenant à peu près toutes les SSII :
Rentreraient ainsi dans ce champ : le travail dissimulé, le prêt illicite de personnel, l’emploi d’un étranger démuni de titre de travail, la fraude aux revenus de remplacement, etc.
Une bonne partie des lecteurs de PCI apprécieraient : cela faciliterait les candidatures chez eux pour changer de boite.
Au passage, avec la dernière box du fruit (Livebox play), il y a une fonction qui permet d’allumer et d’éteindre le wifi à heures fixes. C’est bien pensé comme système…
Encore faut-il avoir des utilisations à heures fixes, et ce, tous les jours de la semaine.
Il vaudrait mieux un système qui apprend les habitudes d’utilisation.
2/ Ce tableau montre que la CMU a son budget assis sur les cotisations versées aux organismes d’assurance complémentaire par les salariés : pas un impôt donc.
Ce tableau auquel on peut effectivement accéder par ici correspond à ce qui est appelé “Fonds CMU” de façon trompeuse.
La présentation des ses missions est faite ici et on voit qu’il s’agit du financement de la CMU-C (complémentaire) et non pas de la CMU :
Le Fonds CMU se voit confier trois missions principales :
Financer la CMU complémentaire et l'Aide pour une Complémentaire Santé
Suivre et analyser le fonctionnement des dispositifs et à ce titre formuler des propositions d’amélioration
Elaborer et publier la liste nationale des organismes complémentaires habilités à gérer la CMU complémentaire
Par contre, la CMU n’apparaît pas telle quelle en tant que “rentrée d’argent” dans le budget de la branche maladie qui a diverses sources de financement dont les cotisations en majorité, la CSG et les impôts et taxes.
Le
11/02/2014 à
13h
20
tmtisfree a écrit :
On a dû mal te renseigner : ce sont les cotisations des travailleurs “qui servent à financer la santé en général”.
Il faut se renseigner un peu plus :
Il y a aussi les cotisations des entreprises (cotisations patronales).
L’impôt contribue en partie au financement de la sécurité sociale : CMU et autres qui permettent par exemple de mieux luter contre les épidémies en soignant ceux qui ne seraient pas protégés car ne cotisant pas. Cette partie me semble plutôt une bonne politique de santé.
Et aussi il y a ces formidables inventions que sont la CSG et la CRDS.
En vertu de quoi mes biens mobiliers qui me rapportent (actions, livrets, assurances vie, …) ou les biens immobiliers d’autres personnes (loyers perçus) cotisent pour le financement de la sécurité sociale alors qu’ils ne profitent pas de ces cotisations, n’étant jamais malades ?
Je suis surpris qu’un libéral comme vous ne trouve pas cela scandaleux, peut-être parce qu’il n’est pas concerné ?
Le
11/02/2014 à
11h
04
kinos a écrit :
Le réseau télécom, c’est peut être les entreprises privées qui l’ont construit? Non, c’est les P&T de l’époque, avec les impôts de nos parents/grands parents…
Je corrige cette partie qui est fausse.
Le réseau télécom n’a pas été payé avec les impôts mais avec les revenus des abonnements téléphoniques incluant le coût des communications.
La situation de monopôle a facilité le maintien de prix élevés pour construire ce réseau.
Une partie de ce réseau, essentiellement la boucle locale est effectivement utile pour Google car elle permet à la majorité de ses utilisateurs français d’accéder à Internet et donc aux services de Google.
C’est pas parce que vous avez refusé le démarchage dans l’annuaire que vous allez être jamais appelé. Suffit que, pour la banque / assurance / mutuelle / université / opérateur / etc etc etc (bref, tout ce qui vous demande votre numéro) vous ayez oublié de cocher une fois, UNE FOIS, la case “je refuse que mes coordonnées soient transmises à des partenaires” et c’est MORT. Votre numéro va être transmis à des entreprises (“partenaires”) qui recoupent plein de fichiers pour faire un GROS fichier qui est vendu à d’autres entreprises (là encore, “partenaires”).
Je le sais, j’ai bossé un peu dedans ^^
J’aime les gens qui croient s’y connaître parce qu’ils ont bossé dans le milieu.
Je donne rarement mon numéro de ligne fixe (c’est cette ligne qui est appelée pour du démarchage, jamais mon portable qui lui n’est pas dans l’annuaire) pour m’inscrire et je fais attention aux cases à cocher de ce type, mais même si je fais une erreur de ce type, il m’est possible d’user de la loi Informatique et libertés pour faire supprimer mon numéro de la liste de la société qui m’appelle.
La plupart du temps, quand je demande comment ils ont eu mon numéro, ils disent que c’est par l’annuaire et nient que l’annuaire comporte la mention que je ne veux pas être appelé alors que cette mention y figure bien.
Par contre, il arrive assez souvent que les démarcheurs nient être dans une démarche commerciale pour faire croire qu’ils ne sont pas sous le coup de la loi.
Mais j’ai arrêté de croire au père noël et les gens que je ne connais pas et qui m’appellent chez moi et veulent mon bien sans que ça finisse par une transaction commerciale, j’ai un gros doute.
Le
11/02/2014 à
10h
54
Je n’ai toujours pas compris ce qu’une nouvelle loi apportera à la législation existante.
J’ai cette page dans mes bookmark pour pouvoir citer les peines de prison et le
montant des amendes :
amende de 750 € par appel
dans le cas de l’utilisation des coordonnées des personnes inscrites sur la « Liste Orange », à partir des annuaires téléphoniques (contravention de la 4e classe prévue par l’article R.10-1 alinéa 1 du code des postes et des communications électroniques).
5 ans emprisonnement et 300 000 € amende
Délit prévu par les articles 226-18 et 226-18-1 du code pénal .
Jusqu’à 300 000 € d’amende
Sanction prononcée par la CNIL, prévue par l’article 47 de la loi informatique et libertés modifiée .
Cela n’empêche pas la mauvaise foi des interlocuteurs qui affirment que l’information indiquant que je refuse le démarchage n’est pas présente dans les annuaires alors que c’est faux.
J’ai encore eu le cas hier et j’ai vérifié que cette information était toujours présente.
Sur pages jaunes, c’est même maintenant écrit en toutes lettres (“Opposé au marketing direct”) au lieu d’un logo que certains ne comprenaient pas forcément.
Je vais finir par aller porter systématiquement plainte.
Sinon, pour les apprentis chercheurs de documents, j’ai trouvé encore 4 documents PDF + (une ancienne version de ces 4 documents dans un répertoire fils nommé old) sur le site de l’anses.fr qui sont accessibles directement à partir d’un listing de répertoire.
En fait, c’est encore une fois google qui m’a indiqué les répertoires.
Saurez-vous les trouver vous aussi ?
Dans ces fichiers, il y a le nom de personnes, ce que l’on peut appeler des données personnelles, il me semble.
Je ne sais pas quoi faire.
Spoiler :
En fait, ces documents sont accessibles directement par une page Web classique non protégée par mot de passe. Ouf, je ne vais pas être condamné, enfin, j’espère parce que j’accède à cette partie de site par le port 8080. " />
Le
10/02/2014 à
14h
15
Nithril a écrit :
Et en meme temps si le gardé à vue n’est pas d’accord avec ce qui est retranscris il n’est pas obligé de signer le compte rendu non?
Qu’il refute et qu’il dise également qu’il avait l’intime conviction sans aucun doute que ces données étaient publiques
C’est sur qui n’a pas été écrit et sur lequel la cour a fait une soi-disant démonstration qu’il n’est pas d’accord.
Il est d’accord pour dire qu’il est remonté jusqu’à une page avec un login demandant une authentification. Et cela a été écrit dans le procès verbal de la garde à vue qu’il a sûrement signé. Ce qu’il conteste c’est la conclusion que tout ce qui était sur cet extranet était par conséquent privé et donc interdit de téléchargement. Et cette conclusion, elle n’est venue que dans le jugement de la cour d’appel, même pas dans les débats qui n’ont pas porté sur le maintien frauduleux. Il n’a donc même pas pu se défendre sur ce point et démontrer que la démonstration de la cour était fausse.
Donc, je maintiens : ne rien dire en garde à vue parce que l’avocat ne peut pas intervenir et conseiller sur la façon de s’exprimer.
Il sera toujours temps de parler avec l’aide d’un avocat plus tard.
Le
10/02/2014 à
13h
54
blackdream a écrit :
Bah apparemment oui, le temps employé fait passer la déposition au statut d’aveux : la différence entre douter de la légalité ou la certitude de l’illégalité.
C’est décidé, si un jour je passe en garde à vue, je ferme ma gueule et laisse un avocat répondre au questions.
Voilà, en garde à vue : ne rien dire, c’est très dangereux sur l’interpétation qui en sera fait après.
L’avocat ne peut répondre pendant une garde à vue. Vous serez donc 2 silencieux, mais ce n’est pas un problème : droit de garder le silence qui est à nouveau rappelé en cas de garde à vue.
malock a écrit :
J’ai vraiment dû manquer une information…
Où est-il indiqué que Bluetouff a admis avoir compris que les fichiers devaient être protégés ? Je ne trouve réellement pas cette information… Quelqu’un peut me citer le truc ?
Non, parce que je campe un peu sur ma position alors que oui, s’il a admis cela, je comprends bien le “maintien frauduleux”…
Il a par contre effectivement admis être tombé à un instant T devant une mécanisme d’identification. De là à dire que la démonstration de l’évidence (de la protection) est faite… c’est quand même bien bancale.
“Avez-vous vu une page d’identification sur la page d’accueil ?” : “oui”.
“En avez-vous alors déduis que les documents pouvaient être protégés ?” : “non”.
La plupart mélange ce que Bluetouff a reconnu et ce qu’à conclut la cour d’appel avec une soi-disant démonstration.
Ta seconde question ne figure pas dans le jugement en appel (et n’a a priori pas été posée en garde à vue en déduction de ce que dit Bluetouff)
Tim-timmy a écrit :
sauf qu’il n’est pas stupide et ne plaide pas l’incompétence et la naïveté, je crois … et c’est cité dans l’article qu’il a vu les verrous, et a choisi de pomper un max quand même (au cas où ça deviendrait inaccessible rapidement, a du en déduire la justice, pas uniquement pour faire le tri, vu qu’il a tout gardé)
Ce n’est pas du tout ce qu’il a dit, c’est toi qui suppose un truc qui est peut-être vrai, mais pas avoué ni démontré par l’accusation ou la cour.
Il reconnaît avoir vu les verrous et l’avoir dit en garde à vue, mais il nie en avoir conclut qu’il était dans un espace interdit.
Oui je n’ai jamais nié qu’il y avait une authentification à la racine du site, ce que je réfute totalement, c’est la déduction que cette authentification devait forcément s’appliquer à un répertoire du serveur web ne contenant aucun fichier système, aucun document confidentiel, aucune donnée personnelle, d’une agence publique sur des questions de santé publique
Le
10/02/2014 à
13h
38
Silenus a écrit :
Malheureusement pour lui, il a reconnu lui même lors de sa gav qu’il avait accéder à une partie “privée” (via une faille) du dit-site.
C’est clairement sur ses déclarations que le juge l’a condamné (pour maintien frauduleux).
Apres, comme l’a noté Eolas dans son article, seule la dernière condamnation (vol de données) aura des chances d’être cassée en cassation.
Les seules choses qu’il a reconnues sur ce point de maintien est
qu’après être arrivé “par erreurs au cœur de l’extranet de l’ANSES, avoir parcouru l’arborescence des répertoires et être remonté jusqu’à la page d’accueil, il a constaté la présence des contrôles d’accès et la nécessité d’une authentification par identifiant et mot de passe
J’ai recopié l’arrêt de la cour d’appel tel que publié par PCI.
C’est ensuite que la cour d’appel dit :
qu’il a été ainsi démontré qu’il avait conscience de son maintien irrégulier dans le système…
Je trouve la démonstration un peu courte :
à partir des déclarations, elle passe tout de suite à la conclusion de ce qu’elle appelle donc une démonstration.
De mon temps, mon prof de math était un peu plus exigeant sur ce que devait contenir une démonstration, c’est-à-dire un ensemble d’étapes qui mènent des hypothèses à la conclusion avec un raisonnement.
Si je lui recopiais les hypothèse et que j’ajoutais juste il est donc démontré que la conclusion est vraie, j’aurais eu 0.
J’espère que la cour de cassation sera aussi exigeante et renverra la cour d’appel à sa démonstration.(Oui la cour de cassation est plus sympa qu’un prof de math, elle demande de recommencer un devoir là où il y avait une faute au lieu de mettre 0)
Bluetouff pourra alors se défendre sur ce point de maintien frauduleux qui je l’ai lu je ne sais plus où n’a pas été abordé lors des débats pendant l’appel. Comme quoi, il faut aborder toutes les accusations et les démonter toutes lors d’un procès sans supposer que si la première tombe (accès frauduleux) le maintien tombera par la même occasion.
Nota : il dit exactement la même chose que moi (je ne l’avais pas lu avant d’écrire la première partie) :
Oui je n’ai jamais nié qu’il y avait une authentification à la racine du site, ce que je réfute totalement, c’est la déduction que cette authentification devait forcément s’appliquer à un répertoire du serveur web ne contenant aucun fichier système, aucun document confidentiel, aucune donnée personnelle, d’une agence publique sur des questions de santé publique.
Espérons qu’il y a matière à cassation sur l’absence de démonstration, je ne suis pas assez calé en droit pour savoir si c’est possible, mais il me semble avoir déjà lu des arrête de la cour de cassation qui cassaient une absence de démonstration. Par exemple ici
Le
10/02/2014 à
12h
25
carbier a écrit :
Tu laisses la porte de ta maison ouverte: est-ce que n’importe-qui a le droit de rentrer et de faire ce qu’il veut ?
L’introduction ou le maintien dans le domicile d’autrui à l’aide de manoeuvres, menaces, voies de fait ou contrainte, hors les cas où la loi le permet, est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.
Si la porte n’est pas fermée à clé, on peut entrer sans manœuvres ou autres cas prévus par la loi.
On fait tout au plus preuve d’impolitesse d’entrer sans frapper ni demander l’autorisation.
On remarquera que la loi a copié sur la vie de tous les jours la caractérisation des faits sur un système informatique : Code pénal - Article 323-1 alinéa 1
Le fait d’accéder ou de se maintenir, frauduleusement, dans tout ou partie d’un système de traitement automatisé de données est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30000 euros d’amende.
Sauf que : c’est moins bien écrit (on n’explique pas ce qui est frauduleux) et la peine peut être doublée par rapport à la vie de tous les jours ! On punit plus ce que l’on ne comprend pas bien.
C’est entre autre sur le flou du maintien frauduleux qu’il a pu être condamné.
Sûrement non à la seconde question.
Le
10/02/2014 à
12h
05
Dude76 a écrit :
Demain, si vous êtes passionné de propulsion (ionique, plasmique, etc.) et que vous tombez via une simple recherche sur un truc inédit via un moteur de recherche, que forcément ça vous intéresse, qu’éventuellement vous en parlez sur un blog (parce qu’une passion, généralement, ça se partage), vous pourrez être poursuivi en justice, parce que vous serez tombé sur un prototype d’un truc (censé être) protégé.
Je vous rassure, cet annuaire est inoffensif (si je puis dire) et l’organisme en question ne peut être poursuivi par la CNIL pour défaut de protection de données personnelles.
Seulement que pour moins risquer d’être inquiété, il vaudrait donc mieux être nul en informatique.
Bah, s’il était vraiment bon en informatique, il serait payé plus de xxxx € par mois." />
[Edit: à la demande du lecteur]
Le
07/02/2014 à
16h
48
Tim-timmy a écrit :
sauf qu’il les a gardés après … donc strictement pareil ..
Non, il n’a pas été condamné pour cela. Par rapport à ces doccuments, il a été condamné pour vol” (sic !) de ces fichiers.
marre de ces conneries rabachées … si. A lui de prouver que les arguments sont faux.
Je ne comprends pas pourquoi tu es contre cette présomption d’innocence .
Elle est rappelée dans l’article préliminaire du code de procédure pénale :
III. - Toute personne suspectée ou poursuivie est présumée innocente tant que sa culpabilité n’a pas été établie. Les atteintes à sa présomption d’innocence sont prévenues, réparées et réprimées dans les conditions prévues par la loi.
tu les a eu où, ces infos sur ses déclarations ? (pour dl tout le dossier, je pense perso qu’il est parti … euh, de la racine ? :p)
En page 5 de l’arrêt de la cour d’appel, deuxième paragraphe.
Le prévenu a parfaitement reconnu qu’après être arrivé par erreur …
Sur ta dernière phrase, comme déjà répondu, il est plus facile de télécharger les document en partant du point d’entrée et en remontant vers la racine que le contraire, c’est-à-dire redescendre vers tous les répertoires en dessous de la racine : comment peut-on les connaître ? La racine affiche une page de login et pas une liste de répertoires.
Le
07/02/2014 à
16h
30
megadub a écrit :
Non, non. C’est comme si tu voyais un sortie de secours avec la serrure pêtée dans Google Street et que tu allais sur place pour rentrer en fraude " />
C’est plutôt comme si tu voyais sur google street un lieu avec un accès libre à plein de documents et que quand tu y vas, tu finis par voir qu’alors qu’il n’y a aucun mur, il y a un endroit où il y a une porte fermée à clé toute seule.
Un peu comme les portes dans Les Trois Cartes ( de la série La Tour Sombre de Stephen King) : une porte au milieu de la plage, et rien autour.
Le
07/02/2014 à
16h
13
megadub a écrit :
Oui, donc il a vu qu’il était sur un serveur requérant des identifiants et il a téléchargé tous les docs possible… il y a bien infraction. Ca change nettement d’avoir les attendus et pas seulement le discours de la défense :)
Il n’y a aucune chronologie dans le jugement entre le moment où il a téléchargé les documents et le moment où il a remarqué la page de login.
S’il s’est baladé dans le site et a téléchargé avant de voir cette page de login, l’argumentation tombe et on ne peut plus le condamner pour les 2 chefs d’accusations retenus.
Au pénal, c’est à l’accusation de faire la preuve de la culpabilité et là, elle n’est pas faite.
Même s’il au eu le tort de reconnaître qu’il avait constaté la présence d’un contrôle d’accès (moins tu en dis, moins tu as de chance de te faire condamner), il n’a jamais dit qu’il s’était maintenu dans le site après cela ni qu’il a téléchargé les fichiers après.
La condamnation s’appuie sur des suppositions de chronologie et pas sur des faits. Elle doit donc être cassée.
Là dans son cas j’ai pas tout suivi, mais j’ai surtout l’impression que c’est la rediffusion des fichiers depuis son site qui est condamnée, et ca me semble plutôt 100% logique, si ils n’ont jamais été placés sous licence libre de redistribution ou autre, ce n’est pas à lui de faire ça (ne serait-ce qu’au niveau droit d’auteur c’est probablement condamnable " />).. Y accéder, en parler, partager le lien, why not, mais les copier et les remettre publiquement en ligne, hum " /> Mais c’est plus simple de dire que ce sont les juges qui n’y pipent rien … Après il faut voir si les articles utilisés pour le jugement sont viables, on verra avec le jugement quand il sera publié.
Il faut lire la news :
Le blogueur Olivier Laurelli a écopé d’une amende de 3 000 euros pour « maintien frauduleux dans un système de traitement automatisé de données » et « vol » de documents.
Il n’a pas été condamné pour la rediffusion des documents a priori (en attendant la publication du jugement).
De toute façon, il ne pouvait pas être condamné pour des faits pour lesquels il n’était pas poursuivi (la rediffusion).
Par contre, quand on lit :
Vous ne vous souciez pas de savoir si vous alliez tuer toute la planète ?
on peut supposer que ce qu’ils voulaient condamner, c’était bien la rediffusion des documents, parce que la seule copie des documents ne peut pas “tuer toute la planète”.
Le
06/02/2014 à
13h
04
Patch a écrit :
tu vois pas que c’est un troll ironique de sa part? " /> (il écrit tout à fait correctement dans ses autres messages)
Manifestement la sword n’a pas vu non plus l’ironie.
Mais tu as raison sur la qualité de ses autres messages.
C’est compliqué de juger le “manifestement illicite” sur un message !
Le
06/02/2014 à
12h
55
Fart`InDa’Fridge a écrit :
pffff justisse vendu a israel c sale sioniste d merde.
Quenelle ds l’Q d”la légisslaçion hollande ton paire cé ta tente!! !! !!!! !! ! !! !! ! !! !! !! ! ! ! !! ! ! ! ! !! ! !
Merci d’écrire en français !
La France et sa langue, respectez là !
Le
06/02/2014 à
11h
19
saf04 a écrit :
quand tu arrives sur un site via un moteur de recherche, tu ne sais jamais si le moteur va te poser devant la porte,devant une fenetre, la cheminée, ou un trou de souris dans le mur.
et une fois que t’es dedans tu peux tres bien sortir d’une piece via un onglet (donc en y restant quand meme, l’ubiquité c’est trop cool), et t’apercevoir qu’il est impossible d’y revenir sans la clé
Certes mais il y a quand même une chronologie des accès qu’il est possible de consulter par les journaux du serveur. Ces journaux sont manifestement disponibles puisque cités dans le premier jugement.
C’est à l’accusation de démontrer par ces journaux la culpabilité.
Et encore, cela ne prouverait pas que tout le site auquel il a accédé était protégé.
En l’occurrence, il ne pouvait pas savoir quelle partie du site était protégé parce qu’il n’a pas cassé la protection par la page de login. Il ne pouvait donc pas savoir où cette page l’amenait et si elle protégeait ou non les documents qu’il avait téléchargé.
Manifestement, la technologie utilisée sur ce site ne permettait pas de protéger ces documents sinon, il n’aurait pas pu les télécharger. Il était donc naturel de penser qu’ils étaient libres d’accès.
J’ai été voir sur Chilling Effects, lien fourni dans leur transparency report et je trouve des incohérences dans les dates.
Ce rapport correspond à la période du 1er juillet 2013 au 31 décembre 2013 et je trouve très peu de rapports concernant la France à ces dates là.
En fait, il n’y en a que 2 de SOS Homophobie datés du 18 décembre 2013.
J’ai donc cherché ce qu’il en était en relisant les demandes plus anciennes?
J’en conclus que la période de juillet à décembre correspond au traitement des demandes par Twitter et pas le dépôt de la demande.
Si l’on remonte jusqu’au 23 octobre 2012, on tombe sur la demande de retrait de l’UEJF qui a fait couler beaucoup d’octets sur ce site.
Cette demande a été traitée par Twitteren juillet. Cela semble correspondre.
Cette demande contient une soixantaine de signalisations.
Si j’ajoute tous les autres tweets cités (10) dans les autre rapports, je n’arrive pas aux 133 suppressions. C’est assez étrange.
Remarque, la demande de l’UEJF aussi la signalisation de comptes, peut-être que c’est de là que vient la suppression des tweets manquants à mon décompte.
Donc, en résumé, les demandes viennent de 2 organisations l’UEJF et SOS homophobie.
L’objectif final était de prendre le contrôle du nom de domaine afin de pouvoir réorienter les utilisateurs vers d’autres sites. Idéalement, les pirates mettaient en place une fausse copie de Facebook invitant les internautes à effectuer des opérations qui auraient mis en danger leurs informations personnelles, potentiellement leurs données bancaires.
J’ai comme un doute qu’ils aient à leur disposition une infrastructure informatique permettant de supporter la charge de tous les utilisateurs de Facebook !
18387 commentaires
Twitch commence à lutter contre Adblock et repense son modèle économique
17/02/2014
Le 17/02/2014 à 13h 15
Le 17/02/2014 à 10h 53
Le 17/02/2014 à 10h 36
Le 17/02/2014 à 10h 24
Le 17/02/2014 à 10h 07
Le 17/02/2014 à 09h 49
Le 17/02/2014 à 09h 32
Le 17/02/2014 à 09h 10
Un principe validé par la CNIL, qui a réitéré ses recommandations en la matière encore récemment.
Sur la page de la CNIL mise en lien dans l’article, le sujet est la traçabilité de sa navigation web.
L’utilisation d’ABD et le blocage de toutes les pubs n’est abordé que sous cet angle là :
certaines régies publicitaires ne sont pas filtrées par AdBlock et pourront vous tracer
et la CNIL est parfaitement dans son rôle de protection des données privées.
C’est le même combat que celui qu’elle effectue contre Google.
Il faut arrêter de pleurer contre la méchante CNIL qui en veut aux sites qui vivent de la publicité.
Quand les régies de pub arrêteront de tracer les utilisateurs et d’enregistrer leurs données sans les informer clairement, la CNIL fera son travail en conseillant de bloquer les pubs.
Il me semble que le Do Not Track est encore loin d’être respecté. Quand il le sera, la CNIL le conseillera plutôt que le blocage des pubs.
Copie privée : ce qui va changer dans un mois et demi
17/02/2014
Le 17/02/2014 à 11h 06
Marc Rees
Journaliste, rédacteur en chef
Publiée le 17/02/2014 à 11:19
Content de te relire " />
tout simplement.
L’État commande une étude pour mesurer l’efficacité de la vidéosurveillance
17/02/2014
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[MàJ] Nancy vu depuis un drone : Nans Thomas évite le tribunal correctionnel
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Manuel Valls assure le SAV de la plateforme « Signalement IGPN »
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France 5 s’intéresse aux géants du web, Google est-il le maître du monde ?
14/02/2014
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Le 14/02/2014 à 15h 19
Le gouvernement gèle les nouvelles immatriculations de VTC
13/02/2014
Le 13/02/2014 à 17h 57
Le gouvernement vient en effet de décider de reporter de deux mois les réunions de la Commission d’immatriculation pour les VTC. Rappelons ainsi que chaque VTC doit faire une demande d’immatriculation par écrit, la commission disposant d’un mois pour répondre
Et quand on va lire l’article R231-3 du code du tourisme qui régit cette délivrance, on lit :
L’immatriculation est effectuée par la commission d’immatriculation mentionnée à l’article L. 141-2 dans un délai d’un mois à compter de la date du récépissé émis par la commission au moment de la réception du dossier complet, sous réserve des dispositions prévues à l’article R. 231-5. La commission notifie à l’exploitant de voitures de tourisme avec chauffeur un certificat d’immatriculation comportant son numéro d’immatriculation au registre et la date d’enregistrement.
L’immatriculation est réputée acquise en l’absence de décision de la commission dans le délai prévu à l’alinéa précédent. La commission est alors tenue de délivrer sans délai un numéro d’immatriculation.
Ce qui fait qu’il suffira d’aller au tribunal administratif en référé pour faire tomber cette décision du gouvernement et obtenir la licence sans délai et sans que la commission ait étudié le dossier (ce qui aurait pu déboucher sur un refus).
Bref, encore une décision ridicule : y a-t-il des juristes qui conseillent le gouvernement ?
Ça serait un peu trop simple s’il suffisait de ne pas réunir une commission pour changer l’application d’un texte légal.
Quand on voit que le décret sur le travail des magasins de bricolage a été suspendu hier par le conseil d’état parce que l’autorisation était temporaire (jusqu’au 1er juillet 2015) alors qu’une dérogation de ce type doit être permanente !
Ce sont vraiment des charlots !
YouTube écrase toujours Dailymotion en France selon Médiamétrie
13/02/2014
Le 13/02/2014 à 11h 13
Le 13/02/2014 à 10h 06
Que faut-il conclure de cet article ?
Je trouve que l’information de PCI n’est pas claire.
Médiamétrie est-il fiable ou non ?
Si oui, pourquoi semer le doute ?
Si non, pourquoi faire un article à partir de ses données ?
J’espère que ce n’est pas juste pour générer du trafic entre les pro et anti google et donc youtube et les anti Dailymotion (il y a peu de pro ici).
Je trouverai beaucoup plus intéressant de voir un comparatif des différents organismes mesurant l’audience des sites video et voir quels sont ceux qui sont proches et ceux qui s’écartent de la moyenne.
Cela permettrait ensuite d’utiliser les chiffres des organismes les plus fiables pour les articles suivant sur le sujet.
Procéder avec un panel sur un média où l’on peut faire de la mesure réelle en incluant des éléments de mesure dans les pages web me semble au minimum inutile et au pire de suspect ou signe d’incompréhension du média mesuré.
Merci d’avance à la rédaction de faire une réponse.
Olivier Roussat (BT) : la 4G illimitée est un rêve, G.Fast pour compléter la fibre
13/02/2014
Le 13/02/2014 à 10h 31
Le 13/02/2014 à 10h 26
Firefox cherche à se financer en partie par des éléments sponsorisés
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Le 12/02/2014 à 14h 22
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12/02/2014
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Des voitures et des routes connectées en France dès 2016 selon l’État
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Google et le fisc français : « personne ne connaît à ce stade le montant »
10/02/2014
Le 11/02/2014 à 14h 54
Le 11/02/2014 à 13h 20
Le 11/02/2014 à 11h 04
[MàJ] Le projet de loi Consommation définitivement adopté par le Parlement
14/02/2014
Le 11/02/2014 à 13h 53
Le 11/02/2014 à 10h 54
Je n’ai toujours pas compris ce qu’une nouvelle loi apportera à la législation existante.
J’ai cette page dans mes bookmark pour pouvoir citer les peines de prison et le
montant des amendes :
amende de 750 € par appel
dans le cas de l’utilisation des coordonnées des personnes inscrites sur la « Liste Orange », à partir des annuaires téléphoniques (contravention de la 4e classe prévue par l’article R.10-1 alinéa 1 du code des postes et des communications électroniques).
5 ans emprisonnement et 300 000 € amende
Délit prévu par les articles 226-18 et 226-18-1 du code pénal .
Jusqu’à 300 000 € d’amende
Sanction prononcée par la CNIL, prévue par l’article 47 de la loi informatique et libertés modifiée .
Cela n’empêche pas la mauvaise foi des interlocuteurs qui affirment que l’information indiquant que je refuse le démarchage n’est pas présente dans les annuaires alors que c’est faux.
J’ai encore eu le cas hier et j’ai vérifié que cette information était toujours présente.
Sur pages jaunes, c’est même maintenant écrit en toutes lettres (“Opposé au marketing direct”) au lieu d’un logo que certains ne comprenaient pas forcément.
Je vais finir par aller porter systématiquement plainte.
Pourquoi la cour d’appel de Paris a condamné Bluetouff
10/02/2014
Le 10/02/2014 à 14h 52
Sinon, pour les apprentis chercheurs de documents, j’ai trouvé encore 4 documents PDF + (une ancienne version de ces 4 documents dans un répertoire fils nommé old) sur le site de l’anses.fr qui sont accessibles directement à partir d’un listing de répertoire.
En fait, c’est encore une fois google qui m’a indiqué les répertoires.
Saurez-vous les trouver vous aussi ?
Dans ces fichiers, il y a le nom de personnes, ce que l’on peut appeler des données personnelles, il me semble.
Je ne sais pas quoi faire.
Spoiler :
En fait, ces documents sont accessibles directement par une page Web classique non protégée par mot de passe. Ouf, je ne vais pas être condamné, enfin, j’espère parce que j’accède à cette partie de site par le port 8080. " />
Le 10/02/2014 à 14h 15
Le 10/02/2014 à 13h 54
Le 10/02/2014 à 13h 38
Le 10/02/2014 à 12h 25
Le 10/02/2014 à 12h 05
Affaire Bluetouff : télécharger l’arrêt de la cour d’appel de Paris
07/02/2014
Le 07/02/2014 à 17h 17
Le 07/02/2014 à 16h 48
Le 07/02/2014 à 16h 30
Le 07/02/2014 à 16h 13
[MàJ] Bluetouff décide de se pourvoir en Cassation
07/02/2014
Le 07/02/2014 à 14h 15
Le 06/02/2014 à 13h 04
Le 06/02/2014 à 12h 55
Le 06/02/2014 à 11h 19
La France a obtenu le retrait de 145 tweets en 2013, un record mondial
07/02/2014
Le 07/02/2014 à 10h 46
J’ai été voir sur Chilling Effects, lien fourni dans leur transparency report et je trouve des incohérences dans les dates.
Ce rapport correspond à la période du 1er juillet 2013 au 31 décembre 2013 et je trouve très peu de rapports concernant la France à ces dates là.
En fait, il n’y en a que 2 de SOS Homophobie datés du 18 décembre 2013.
J’ai donc cherché ce qu’il en était en relisant les demandes plus anciennes?
J’en conclus que la période de juillet à décembre correspond au traitement des demandes par Twitter et pas le dépôt de la demande.
Si l’on remonte jusqu’au 23 octobre 2012, on tombe sur la demande de retrait de l’UEJF qui a fait couler beaucoup d’octets sur ce site.
Cette demande a été traitée par Twitteren juillet. Cela semble correspondre.
Cette demande contient une soixantaine de signalisations.
Si j’ajoute tous les autres tweets cités (10) dans les autre rapports, je n’arrive pas aux 133 suppressions. C’est assez étrange.
Remarque, la demande de l’UEJF aussi la signalisation de comptes, peut-être que c’est de là que vient la suppression des tweets manquants à mon décompte.
Donc, en résumé, les demandes viennent de 2 organisations l’UEJF et SOS homophobie.
Facebook attaqué par la Syrian Electronic Army : plus de peur que de mal
06/02/2014
Le 06/02/2014 à 13h 00
L’objectif final était de prendre le contrôle du nom de domaine afin de pouvoir réorienter les utilisateurs vers d’autres sites. Idéalement, les pirates mettaient en place une fausse copie de Facebook invitant les internautes à effectuer des opérations qui auraient mis en danger leurs informations personnelles, potentiellement leurs données bancaires.
J’ai comme un doute qu’ils aient à leur disposition une infrastructure informatique permettant de supporter la charge de tous les utilisateurs de Facebook !
Il se seraient auto-DDOSés " />
La licence globale reste « la meilleure solution » selon la SPEDIDAM
06/02/2014
Le 06/02/2014 à 12h 47