Quel tracking ? Déjà ca ouvre le navigateur par défaut (Firefox chez moi), de plus le login se limitera surement à renvoyer un token à l’app et c’est terminé… l’avantage de passer par le navigateur c’est qu’il est possible de stocker ses identifiants (+sync) ou d’avoir sa session “pré-ouverte” par cookie.
Il n’y a pas de tracking ici…
Le fait est que ça va inciter les gens à se connecter à leur compte google dans leur navigateur, et à le laisser connecter. Ça devrait donc favoriser le tracking de google sur leur navigation web (et non pas au sein de l’appli qui utilise oauth).
Ce n’est peut-être pas leur objectif principal, mais c’est sans aucun doute un point qui les arrangent bien.
Comparaison foireuse, un PC et Smarphone/tablette, il y a une grosse différence (je n’apprécie pas la méthode de Google)
Logiciellement, smartphone/tablette sont des PC au form factor un peu spécifique. Pour beaucoup d’usages, l’un remplace très bien l’autre, la différence principale étant le confort d’utilisation.
Je ne vois vraiment pas en quoi ça justifierait une différence en matière de traitement des données personnelles.
Perso je dirais que si le CA de ta boîte dépasse les centaines de M€, tu as probablement un service dédié à l’IT qui doit en théorie savoir ce qu’il fait et ne pas suivre les conseils que je donne dans les commentaires de NextInpact ;-)
Ce que tu dis est du bon sens. Je doute que ce soit systématiquement appliqué en pratique.
Quand je vois les réactions de certains quand on leur demande d’arrêter d’utiliser leur date de naissance comme mdp partout…
Le
18/08/2016 à
11h
05
ErGo_404 a écrit :
Le chiffrement du disque ne sert que pour protéger d’un accès physique non autorisé alors que l’ordinateur est éteint.
Ne pas faire confiance à Bitlocker, c’est avoir peur que Microsoft ou le gouvernement Fr ou US accès physiquement à ton ordinateur à ton insu et y récupère tes données.
C’est un scénario qui ne concerne pas la plupart des gens, qui veulent JUSTE que le type qui vole leur ordinateur ne puisse pas accéder à ses photos ou ses documents perso/pro. Autrement dit en admettant que Bitlocker ait une backdoor ou une faille, il suffit quand même largement pour sa mission principale. N’oublions pas que le motif principal du vol d’ordinateur c’est la revente, pas l’espionnage.
Pour un usage perso, je suis totalement d’accord.
Pour un usage pro par contre, ça va dépendre de ton métier… Je dirais que si le CA de la boite dépasse le G€ et que tu es en concurrence avec une boite USAienne, la paranoïa est de rigueur.
Le même que pour tous les PC portables gamers : voir un seul PC qui soit à la fois relativement mobile et apte à jouer à la maison avec écran et clavier externe. Le curseur puissance-transport est juste placé plus côté transport que pour un ROG par exemple.
Faire matcher un fichier au format “x”-“y” avec des fichiers “y”-“z” pour obtenir des fichier “x”-“z”, quand on a 10 lignes ça va, mais avec une telle taille, je me suis bien amusé sur excel avec vlookup " />
Quand j’ai un truc comme ça à faire, je fais aussi du quick&drty sur excel, mais seulement si c’est du one-shot sur des petites données. Si je veux du réutilisable je fais un script en js sauce MS, à lancer avec cscript " />
Le
04/08/2016 à
09h
50
Obidoub a écrit :
Ouiiiiin, ils ont toujours pas mis le bandeau ! Office saymieux !
Voilà c’est fait, on peut fermer les commentaires " />
Mine de rien, je suis certain que c’est un vrai obstacle à la migration pour beaucoup d’utilisateurs. Je trouve qu’il était nettement plus facile de naviguer de l’un à l’autre avant l’arrivée des rubans (que je trouve personnellement très agréables à utiliser, même si c’est principalement une question d’habitude)
H2O a écrit :
Quant au troll, qui dis qu’on ne peut rien faire de joli avec LO, argh. Ça n’a rien à voir avec le logiciel. Si quelqu’un n’a pas de connaissance en typographie, il fera du moche. Si on s’y connais un peu, on fera même plus facilement du beau avec LO (gestion des styles bien meilleure que sous MSO).
Au delà du troll, le modèle par défaut de MSW (avec les titres en dégradé de bleu) est assez propre et joli. Inutile de régler quoi que ce soit pour avoir un document publiable. Dans toutes les versions de LO que j’ai utilisé, le modèle par défaut est (à mon avis) nettement moins joli.
Certes, c’est très facilement améliorable via la gestion des styles, mais pour la majorité des utilisateurs, la notion de style est au mieux un concept abstrait réservé au spécialiste, voire totalement inconnue. Peu de gens savent les améliorer. C’est dommage, car il serait probablement assez facile d’incorporer un style par défaut plus sympa dans LO.
De plus, les styles sont un peu plus mis en avant dans MSW (via les styles rapides) ce qui fait qu’ils sont peut-être plus utilisés par les utilisateurs qui ne savent pas ce qu’est un style.
L’un dans l’autre, ça ne m’étonne pas trop que les utilisateurs basiques considèrent que MSW fasse des choses plus jolies.
Non, c’est vachement bien mais ce qui me gène avec la mnémotechnique, c’est que qqn de ton entourage peut le retrouver…
Si ton moyen mnémotechnique c’est les initiales de tes enfants, c’est assez nul, et n’importe qui d’un peu motivé peut les retrouver.
Si tu bases ton moyen mnémotechnique sur une phrase que tu as inventée, même sur la base d’une expérience perso, l’étendue des possibilités est probablement assez large pour qu’une personne de ton entourage n’ait pas un avantage significatif.
Exemple: jam2AlSd,céupt pour “j’ai mangé deux andouillettes la semaine dernière, c’était un peu trop”. Bonne chance à tes proches pour la retrouver, mais si tu t’es effectivement fait péter la panse la semaine précédente, ça t’aidera vachement à le retenir!
J’apprends des choses, merci (je suis persuadé que j’avais lu quelque part le fait que ce droit à ne pas s’incriminer faisait partie des différences de procédure entre la France et les US).
Cela dit, avec l’état d’urgence, les droits de l’homme s’appliquent ils toujours ? " />
Le
03/08/2016 à
12h
39
Tu es sûr que ça existe en France, ce droit à ne pas s’incriminer?
Code pénal, Article 434-15-2
Est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende le fait, pour quiconque ayant connaissance de la convention secrète de déchiffrement d’un moyen de cryptologie susceptible d’avoir été utilisé pour préparer, faciliter ou commettre un crime ou un délit, de refuser de remettre ladite convention aux autorités judiciaires ou de la mettre en oeuvre, sur les réquisitions de ces autorités délivrées en application des titres II et III du livre Ier du code de procédure pénale.
Si le refus est opposé alors que la remise ou la mise en oeuvre de la convention aurait permis d’éviter la commission d’un crime ou d’un délit ou d’en limiter les effets, la peine est portée à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 euros d’amende.
(donc effectivement, on peut aller demander à google la clé, mais s’ils ont fait en sorte de ne pas la connaitre, ou si dans ton exemple le serveur efface soigneusement les clés privées au fur et à mesure, on ne peut rien leur reprocher)
Le
03/08/2016 à
12h
13
C’est à l’utilisateur qu’on demande la clé.
Par exemple, si tu es soupçonné de quelque chose et que la police a besoin d’accéder à ton gmail, ils ne vont pas demander la clé à google, mais exiger que tu la donnes (avec peut-être contrôle du juge, je ne sais pas).
Si tu refuses, tu es condamnable indépendamment de ta culpabilité sur le fond de l’affaire.
Je ne sais pas ce que l’ANSSI pense de la plausible denyability, qui casse un peu le truc…
On a en fait implicitement officialisé que le conducteur du dimanche n’avait pas à s’améliorer car on limiterait la gravité résultant de l’erreur qui fait se rencontrer un mobile A et un mobile (ou pas) B!
Ça c’est ton interprétation.
La mienne est que la répression est basée sur la vitesse parce que c’est un des rares trucs qu’on sait mesurer automatiquement, c’est aussi bête que ça.
D’ailleurs, les radars pour grillage de feux rouges sont de plus en plus fréquents, et l’idée de radar (ou autre système automatisé) surveillant le franchissement de ligne blanche revient régulièrement (mais je crois pas que ça se soit beaucoup fait réellement). Ça illustre bien que quand on sait le faire on vise les cause et non pas que la vitesse qui aggrave.
Plutôt que de profiter d’une opportunité pour mettre fin à quelques licences dont celle du SHOM ou de l’IGN, le gouvernement a préféré, comme trop souvent, le statu quo.
A quelle opportunité font-ils référence? Il y a un élément de contexte qui fait que la suppression totale des facturation ferait ‘moins mal’ à ces organismes qu’habituellement? (où aux ministères qui les financent, selon comment se fait le report du coût associé).
De toute façon, il ne faut pas se faire trop de soucis à long terme. Avec la généralisation des services géolocalisés et la montée en puissance progressive du crowd-sourcing, la valeur de la donnée brute ne fait que diminuer. Ces administrations vont forcément se tourner progressivement vers le service, ou bien sérieusement réduire la voilure et se concentrer sur les activités 100% subventionnées. Dans les deux cas, il n’y aura plus d’obstacle financier à l’open data.
Par contre celle qui aura appris sur openoffice, aura un handicap en entreprise par rapport à celui qui aura appris sur le pack office.
Plait-il? On parle d’initiation à l’informatique à l’école, en suivant un tutoriel débusqué sur internet pendant 2 heures, le niveau du ‘formé sur Office’ a été rattrapé, voire dépassé.
J’ai beau être drogué à MSO, je suis moins désemparé devant LO que devant les 14 couverts et 8 verres qui entourent mes assiettes dans un endroit ou on mange compliqué " />
Le
28/07/2016 à
16h
55
AmaCha a écrit :
Question subsidiaire : que pensez-vous de l’anthropophagie ? " />
Que du bien, mais attention aux prions
megadub a écrit :
il me semble tout de même plus logique d’apprendre sur des logiciels qu’ils auront plus de chance de croiser (…)
Bien au contraire. Si on a toutes les raisons de penser qu’ils vont utiliser le logiciel A et qu’on n’a pas la possibilité de les former à A et B, mieux vaut les former à B.
Sinon, ils vont rester toute leur vie dans le modèle clicodrome et jamais prendre de recul, alors que s’ils doivent apprendre à utiliser un logiciel différent de celui sur lequel ils sont appris, ils seront obligé d’avoir cette réflexion un peu abstraite consistant à comparer les deux logiciels et à adapter leurs savoirs génériques à un nouveau logiciel.
A l’école j’ai fait du caml. Je doute qu’un de mes professeurs ait réellement pensé que j’en ferai professionnellement plus tard. En attendant, ça permet d’avoir une meilleure prise de recul sur les langages que je pratique.
Le
28/07/2016 à
15h
54
TNZfr a écrit :
Ceci dit avec les distrib’ GNU/Linux actuelles, tu n’es pas obligé de changer de matériel à chaque montée de version. Et d’ailleurs cela fait partie des nombreux avantages des solutions libres, tu restes au goût du jour en terme de logiciels sur des machines que M\( a abandonné depuis longtemps. Les économies faites avec les solutions libres sont aussi sur ses aspects.
Faut pas exagérer, avec Windows non plus. W10 tourne très bien avec des machines qui ont dix ans. Après c'est vrai que si on veut vraiment faire durer ses machines très longtemps, une distrib linux bien légère est meilleure, mais ça reste un usage de niche.
TNZfr a écrit :
M'enfin, ce n'est pas tant le manque de valeur ajoutée du choix du libre qui pêche mais plutôt le fait de la politique des acteurs privés (M\) et la Pomme) qui consiste grosso-modo à maintenir les utilisateurs juste en dessous du seuil de déclenchement du changement / migration / remise en cause.
Je l’avais jamais vu comme ça, mais c’est effectivement une excellente description de la raison pour laquelle je garde windows à la maison, tout en me disant régulièrement que je devrais migrer " />
megadub a écrit :
Moi je me limite au sujet suivant : vaut-il mieux former les élèves aux outils MS que le libre ? Pour moi, c’est sans l’ombre d’un doute MS.
megadub a écrit :
Oui, c’est formidable… et donc, les élèves de collèges et lycées ça leur apporte quoi de connaitre ce système qui est partout de manière totalement invisible ?
Ce qui serait vraiment utile, c’est de former les élèves à des concepts.
Si tu les formes à MS (ou plutôt à Word 2016 sous W10), tu leur apprend à cliquer sur le bouton vert situé en haut à gauche de l’écran. Le jour où MS décide de changer la couleur du bouton, ou le décale légèrement vers la droite, c’est la panique.
Exemple classique : quand MS a sorti W8, on a eu des tas de gens qui ont pleuré qu’on leur avait volé leur menu démarrer. Or le menu démarrer n’a pas disparu dans W8, il a juste changé d’aspect : plein écran et avec des carrés au lieu de lignes… après on aime ou pas, c’est autre chose, il y a plein de critiques objectives à faire au menu démarrer de W8, mais il est bel et bien là.
Autre exemple, plus proche de l’article, tous ceux qui râlent à n’en plus finir quand ils doivent passer de Word à Writer, que Writer c’est nul, qu’on y retrouve rien. On aime ou on aime pas (perso je suis triste sans le ruban), mais si on a un tout petit minimum de capacité d’abstraction, c’est pas compliqué de comprendre que les deux outils ont pour différence principale que les boutons sont rangés différemment (dans le cadre d’une utilisation basique).
Il est donc essentiel de ne pas former les enfants à MS, de la même façon qu’il est essentiel de ne pas les former à Ubuntu/LO ou à n’importe quel logiciel précis. Il faut les former à comprendre de façon tout petit peu abstraite ce qu’est un ordinateur, ce qu’est un traitement de texte, un tableur…
Après, le logiciel qu’on utilise pour illustrer ces concepts importe peu. Idéalement, il faudrait avoir le temps d’en présenter deux aussi différents que possible, histoire que les enfants comprennent bien ce qui tient du concept et ce qui tient d’une implémentation particulière.
Quand on apprend aux enfants à compter, on ne leur apprend pas à compter des pommes. On les faits compter un peu de tout afin qu’ils n’associent pas le concept de nombre à un objet particulier.
Évidemment, avec cette méthode, on n’aura pas des enfants ultra-efficaces avec tel ou tel outil. C’est pas grave, c’est pas le rôle de l’école. L’école apprends les bases, après si l’entreprise veut un expert MS Word 2016 ou Writer 5.1.145, elle paie une formation spécialisée à son employé.
Le
28/07/2016 à
12h
38
Konrad a écrit :
Changement de version de Windows : pas de choix dans la date de migration. Le support de Windows XP a pris fin le 8 avril 2014, ça a été décidé de façon unilatérale par Microsoft. Les institutions ne maîtrisent pas la date de migration, elle leur est imposée (…)
N’importe quoi.
Personne n’a jamais été forcé de migrer son Windows à une date imposée (son MSO non plus). Il y a une fin de support, tu peux migrer avant, à la fin du support, après, ou pas migrer du tout, c’est ton choix (mais tu en connais les risques)
Toutes les distributions linux que je connais ont une date de fin de support, décidée par l’éditeur de la distribution. Personne m’a demandé mon avis dessus, pourtant il ne me viendrait pas à l’idée de dire qu’Ubuntu m’impose de migrer à une date donnée.
Windows XP a été maintenu plus de 10 ans. Peu de distributions libres peuvent en dire autant…
Konrad a écrit :
ils sont forcés de changer de version de MS-Office car ils ne peuvent pas lire les nouveaux documents qu’ils reçoivent…
Si tu es un utilisateur de LO et que tu reçois de fichiers dans un format étrange, tu seras aussi obligé de changer de version… ou bien de demander à ton interlocuteur d’utiliser un format un peu plus standard, ce que tu peux aussi faire si tu utilises Office.
Je dis pas que le libre c’est mal et que MS c’est le bien, hein, je suis pas naïf. Je suis d’accord avec toi sur les points que j’ai pas cité. Mais à un moment, il faut prendre conscience que certains arguments sont tellement ridicule qu’ils nuisent à la cause plus qu’autre chose.
Le
28/07/2016 à
07h
36
Autant je trouve l’insistance de certains à vouloir imposer le libre partout idiote, autant il me semble essentiel que les élèves ne soient pas formés sur un seul outil (donc pas que sur Office).
Leur apprendre à utiliser différents outils est le seul moyen de s’assurer qu’ils n’apprennent pas à utiliser un clicodrome, mais qu’ils aient l’occasion de comprendre que même si les interfaces et certains détails d’implémentation sont différents, les concepts de base sont les mêmes (utilisation de style sous Word/Writer par exemple).
S’ils ont bien compris ça, ils s’adapteront sans soucis à n’importe-quel outil arrivés dans le monde du travail.
Ma critique resterait évidemment valable si on ne les formait qu’à LibreOffice.
C’est précisément pour ça qu’on a inventé l’imprimante 3D (outil de dangereux pirate-terroriste lui aussi, qu’il faudrait réglementer en urgence, afin de ne pas reproduire l’erreur de ne pas avoir interdit le p2p)
Le Tour de France et pas mal de compétitions de ce type brassent beaucoup d’argent, les paris notamment. L’état en France réglemente les paris donc c’est normal qu’il réglemente le sport aussi. Sinon, tu te dopes comme un fou, on fait des paris sur toi qui seront gagnant et même si tu es choppé, tu es riche pour le reste de ta vie. L’exemple même est Armstrong qui est multimillionnaires alors certes il a rendu ses titres mais il a gardé ses sous.
Il me semble que les paris truqués sont interdits indépendamment de l’objet du pari. Si tu es convaincu de triche, et qu’il y a des éléments permettant de penser que tu as organisé des paris sur cette base, tu peux aller en prison même si la triche elle-même n’est pas traitée par l’état.
Pour Armstrong, sauf erreur de ma part, c’est différent, lui c’est la pub qui l’a rendu richissime. Libre aux agence de pub de prévoir une clause dans leur contrat stipulant que si l’athlète est convaincu de dopage, elles sont en droit de tout lui reprendre.
Z-os a écrit :
J’imagine l’année suivante, si ton concours est ouvert à tous, qu’il va pouvoir t’attaquer pour discrimination.
Je sais pas si c’était à moi que tu répondait, mais ça colle pas mal.
Si oui : il me suffit de prévoir dans le règlement de mon concours une clause type ‘seules les personnes n’ayant jamais été convaincues de triche lors d’une édition précédente sont autorisées à participer’. Simple, factuel, objectif, et non-discriminatoire. Et je peux même profiter des blacklists des concours organisés par mes voisins en adaptant la clause.
ThomasBrz a écrit :
En gros la avec la loi, le sportif sera plus le seul sanctionné mais tous ceux qui y ont participé l’équipementier, le club, le sportif ceux au courant pour complicité.
Alors que quand c’est dans le règlement de la course seul le sportif, peut l’être car tu ne peux pas enquêter plus loin car les grosses équipes ont des contrats pour maintenir sous silence le sportif.
Je suis tout à fait favorable à sanctionner tout ce monde-là, mais pourquoi le faire faire par la police?
L’organisateur d’une course pourrait très bien interdire à tous ceux convaincus de tricheries, ou impliqués dans la tricherie d’un de leurs coureurs (pour les équipes et équipementiers) par le passé à concourir, sans que cela implique des textes de loi spécifiques.
Pour prendre un exemple un peu grossier, y a-t-il un texte de loi interdisant aux coureurs cyclistes de faire la course en voiture? Non, le règlement de la course suffit. Pourtant quelle différence? les deux sont de la triche, le fait d’amener la voiture au coureur nécessiterait certainement des complices qui mériteraient eux aussi d’être pénalisés, peut faire l’objet de paris truqués, etc… La vraie différence, c’est que c’est évident à détecter.
Si on parle de mettre la triche mécanique dans la loi, c’est pas pour une différence de fond avec le fait de faire la course en voiture, mais parce que surveiller et détecter la triche via petits moteurs dans le pédalier, c’est nettement plus difficile, et donc relativement cher. Donc certains estiment que ce ne serait pas une mauvaise chose si c’est l’argent de l’état plutôt que le leur qui est dépensé pour le faire.
Même si en tant que sportif amateur, j’aimerais bien voir disparaitre le dopage, en tant que contribuable, je trouve ça proprement scandaleux.
Le
25/07/2016 à
14h
19
Certes (et encore heureux, manquerait plus qu’un privé puisse créer des infractions pénales!). Mais faut-il vraiment que ce soit poursuivi pénalement?
Si j’organise un concours de pétanque et que l’un des participants triche odieusement, il ne me viendrait jamais à l’idée de réclamer qu’il mange de la prison, je vais juste refuser de lui donner le hot-dog du vainqueur et je ne l’invite plus jamais.
Le
25/07/2016 à
14h
02
A-snowboard a écrit :
Le souci, c’est que ça pousse les plus jeunes à vouloir faire pareil.
Hors toutes les courses ne sont pas organisés par des boites privées.
Je voulais dire ‘par un privé’ plus que ‘par une boite privée’.
Boite privée, association, amateur isolé, peu importe. C’est pas à l’état de dicter les règles et de les faire respecter, mais à l’organisateur.
Et honnêtement, je doute que le fait que ce soit dans la loi freine qui que ce soit. Les jeunes les plus ambitieux (et fortunés) bricoleront leur vélo et n’auront aucun soucis tant qu’ils resteront dans de la course amateur.
Perso, j’ai fait de la course a pied en club pendant assez longtemps, j’ai jamais eu le moindre contrôle anti-dopage. J’ai pourtant entendu dire à plusieurs reprise que les shoots de ventoline avant le départ des cross n’étaient pas aussi rares qu’on pourrait l’espérer…
A-snowboard a écrit :
Mais bon, c’est plus facile de dire que c’est la loi que le règlement intérieur.
Ça aurait été une demande d’un organisateur d’une grande course faisant du lobbying, j’aurais compris. C’est logique, c’est dans son intérêt de déléguer gratuitement une partie de son travail à la police.
Par contre, de la part d’un député, qui est supposé défendre nos intérêts (et donc de pas flamber notre pognon dans des bêtises), c’est assez incompréhensible.
Le
25/07/2016 à
13h
40
Je ne comprends pas pourquoi l’état devrait s’occuper de ça…
Si le Tour de France (organisé par une boite privée) veut interdire les moteurs, elle le met dans les modalités de la compétition et elle en organise le contrôle comme elle le veut.
Déjà pour le dopage je me pose des questions, mais dans la mesure où ça met en danger la santé des coureurs, je peux comprendre. La triche mécanique, je ne vois vraiment pas pourquoi la police y consacrerait la moindre minute.
On a fait tout un foin car l’application donnait accès à tout le profil Google, mais au final, personne ne semble s’inquiéter qu’un éditeur de logiciel ( et on sait comment ils gèrent les choses en général quand ils font du jeu mobile) ait accès et conserve la localisation GPS de millions de personnes.
C’est la NSA qui doit être contente :)
Je ne pense pas que pokémon Go soit le bon point d’entrée pour la NSA : au final, ce sont des trajets très artificiels qui seraient remontés, car liés à la chasse au pokémon. Ce qui pourrait intéresser la NSA, c’est plutôt nos trajets du quotidien, et leurs éventuelles déviations suspectes. Tous ces pokémons qui font faire des détours inhabituels aux joueurs, ça doit faire des tas de faux positifs dans les algos de la NSA " />
heret a écrit :
Est-ce que si on refuse de faire comme tout le monde, c’est à-dire de se comporter comme un décérébré compulsif, on peut être considéré comme un dangereux terroriste ?
Suite à l’affaire Merah, j’avais lu un article qui expliquait les diverses raisons pour lesquelles on aurait du se douter que c’était un fou dangereux. Parmi celles-ci, etait cité le fait qu’il ne possédait pas de compte facebook, preuve incontestable d’asociabilité, voire de sociopathie.
sentryman a écrit :
C’est pas plutôt, celà fait un moi qu’on nous dit que des gens beaucoup d’enfant y jouent ? " />
Non, ça me dit rien, je me sentirais vraiment ridicule. (encore si j’étais au collège ça passerait je pense)
Si le jeu ne t’attire pas, tu es évidement libre de ne pas y jouer.
Par contre, si tu n’y joue pas parce que tu a peur d’être ridicule, c’est assez triste. Qu’est-ce qui est le plus typique du collégien, être obnubilé par l’image qu’on renvoie au point de la laisser définir son comportement, ou s’amuser avec son téléphone? " />
Ah… Je comprends pas la différence entre ce que tu décris et une MAJ pas dessus un W7 activé classique.
Le
22/07/2016 à
16h
14
Ça veut dire que si je me fais une clé USB bootable, et que je reformate au moment de l’install, je peux avoir un W10 tout propre sans avoir fait de démarche particulière depuis mon W7 avant?
Je voudrais repartir sur une base toute neuve, mais si je dois faire la migration avant de tout réinstaller, je sens qu’à la fin de la migration j’aurai la flemme de continuer " />
Le
22/07/2016 à
16h
11
DarthWound a écrit :
Cet identifiant aurait-il été réactivé lors d’une MàJ ? Ou bien ai-je de sérieux problèmes d’alcoolisme ?" />
L’un n’empêche pas l’autre !
Plus sérieusement, j’avais entendu parler de réactivation sauvage lors de MAJ, mais je fais le tour des réglages de temps en temps sur le mien, et j’ai jamais rien constaté de tel. Après, est-ce que mon cas est représentatif…
Perso j’ai un NAS à la maison, avec des données qui bougent relativement peu. Je fais une sauvegarde chiffrée par mois sur un DD externe, que je laisse dans un tiroir fermé de mon boulot (qui est suffisamment loin de chez moi pour avoir peut de chance d’être pris dans le même incendie, mais pas assez en cas de bombe nucléaire => risque accepté " />). Pas extrêmement pratique, mais pas si contraignant non plus. Il faut en avoir deux et les faire tourner, si on est comme moi un peu étourdi et qu’on oublie souvent de ramener le DD du boulot à la maison à la date théorique.
Si tu as le débit et le budget suffisant, tu peux faire une sauvegarde sur un NAS distant chez une personne de confiance (ou pousser des différentiels chiffrés si tu n’as que moyennement confiance). Ou bien pousser des différentiels chiffrés chez un fournisseur de cloud, après tout, qu’ils sachent que tu fais que tu fasse une sauvegarde tous les xxx ne te gène peut-être pas.
Ou tu peux même faire tout ça à la fois si tu es suffisamment parano !
Aujourd’hui : ‘Vous allez pas réguler en amont, attendez de voir comment ça s’organise pour voir si c’est nécessaire’
Deux ans plus tard : ‘Ah ben c’est pas possible de pousser de réguler comme ça a posteriori, on a organisé tout notre réseau de façon à ce que ce soit plus possible!’
Des fois, on a vraiment l’impression d’être pris pour des idiots…
Je ne sais pas vous, mais mon téléphone n’a pas de récepteur laser.
Ce système ne me semble pas prévu pour aller vers le sol et l’utilisateur final, c’est plus probablement pour se transmettre les données entre drones, ou entre drone et satellite (auquel cas c’est un peu plus que 16km " />). Là, plus de nuages.
Un ordinateur n’est pas une charge, c’est un investissement, pas une charge " />
Sinon j’ai souvent entendu parler de charges de carburant pour l’essence (ou charges de transport de façon plus générique), ou pour prendre des exemple liés à l’informatique de charges d’impression ou de licences.
Ce terme n’est plus neutre aujourd’hui, pas parce qu’il a un sens péjoratif intrinsèque, mais parce que des gens ont décidés de mal le prendre chaque fois qu’il était utilisé. Si tout le monde en était resté à sa définition technique, on n’aurait pas cette conversation.
Le
21/07/2016 à
13h
19
zefling a écrit :
Le problème c’est de voir comme une charge ceux qui font avancer la boîte. C’est d’ailleurs comme ça que certaine ont transformé le « cotisations sociales » (positif) en « charges sociales » (négatif). Mais bon, c’est vrai que ça fait chier de payer des impôts quand on voit ça.
Le problème, c’est surtout d’associer une valeur morale à un terme comptable. Une charge c’est tout simplement une ligne du bilan comptable qui ‘appauvrit l’entreprise’ (dans le sens ‘n’est pas directement compensée par une augmentation de l’actif’). Salaires et cotisations sociales en font partie.
Ça ne signifie absolument pas qu’un employé est une charge (au sens un boulet) pour l’entreprise.
Pff, c’est juste pour troller ou c’est une vraie (et vaine) tentative de prendre en défaut ?
Non, j’illustre juste le fait que réduire la réflexion aux autorisations données à l’installation d’une application est incomplet.
Ce n’est peut-être pas ce qui t’as le plus fait tiquer, mais pas mal de points reprochés à MS sont des activations par défaut de traitements, à la place du recueil de consentement éclairé et explicite de l’auteur (par exemple l’ID publicitaire). Le procédé est exactement le même avec les appareils Android et les comptes google (et autres) qui viennent avec tout un tas de trackers très similaires activés par défaut. Et je ne parle même pas des constructeurs qui customisent Android n’importe-comment.
Paradoxalement, on a même l’impression que le fait que MS ait donné la possibilité de désactiver certaines choses mais sans suffisamment mettre en valeur cette possibilité leur crée plus de soucis que s’ils les avaient rendues obligatoires.
Après je ne suis pas juriste, si la CNIL le dit, je suis tout à fait prêt à croire que la formulation alambiquée des CGU de Google est plus légale que la formation alambiquée des CGU de MS. Mais pour l’utilisateur final, ça ne change pas grand chose : il sait que tout est permis à l’éditeur, et que s’il veut désactiver certaines choses, il est bon pour une séance de spéléologie dans les abysses des réglages de son OS.
Tout cela ne retire évidemment rien au tord de MS, et je suis très content qu’ils se prennent ce rappel (le timing m’arrange pas trop, j’aurais bien aimé que le sujet soit clos avant la fin de la gratuité de W10 " />).
Le
21/07/2016 à
12h
33
Citan666 a écrit :
Qu’une application Android puisse faire potentiellement bien pire que Microsoft, bah oui, bien sûr. La différence c’est que si elle le fait, c’est que tu l’as choisi, puisque tu as au préalable accepté de l’y autoriser.
Ça remonte à quelques années, mais je suis presque sûr de ne pas avoir choisi d’installer ou non le pack Google et les crapwares de Sony sur mon téléphone Android. Par contre ce dont je suis certain, c’est que le système est conçu pour m’empêcher de désinstaller la majorité d’entre eux…
Si j’ai bien compris, c’est le principe du smart-contract, qui est l’originalité d’ethereum.
En plus des transactions monnétaires classiques (toutes les crypto-monnaies le font), tu peux placer dans la blockchain des ‘contrats’, sous la forme de procédure exécutable. Un fois que le contrat est validé dans la blockchain, c’est le système ethereum qui en garantie la bonne exécution.
Je suppose que typiquement, ces contrats sont de la forme ‘si telle condition est remplie, verser tant d’ethers à untel’, la définition de la condition devant probablement être assez astucieusement faite pour être évaluable par une machine… Donc entre autres, le payeur ne peut pas revenir sur le contrat si le vendeur fait bien sa part, alors que pour les contrats classiques, si le payeur ne joue pas le jeu, c’est 10 ans de procédure judiciaire!
The DAO était une société financée participativement en ethers, et basée exclusivement sur le passage de contrat de ce type. Sauf que quelqu’un a trouvé un moyen d’abuser la procédure définissant un des contrats, et à récupérer des sommes faramineuses de façon indue (c’est pour ça qu’on dit que ce n’est pas ethereum qui a été cassé, mais qu’on a simplement un ‘mauvais contrat’ qui a été exécuté dans les règles de l’art)
Le
21/07/2016 à
11h
41
BTCKnight a écrit :
Quel précédent?
Quel pays européen a RECEMMENT fait défaut sur sa dette? (pour l’Argentine, ça a pris 15 ans pour retrouver la “confiance” des préteurs…).
Le précédent faisait référence au ‘trucage’ de la blockchain (j’écris rarement les phrases de mon commentaire dans l’ordre, des fois je me prends les pieds dans le tapis), et c’est le roll-back d’hier. Il y a une armée de précédents de défauts étatiques, à ma connaissance pas d’aussi grande ampleur que celui que j’évoque, et aux conséquences plus ou moins durables pour le pays selon le contexte. Tu parles du 15 ans pour l’Argentine, c’est déjà relativement long. S’il faut 15 ans pour que la confiance revienne dans l’ethereum, c’est une monnaie morte! (mais je ne pense pas que ce soit le cas)
De plus il y a une différence de taille entre une monnaie étatique et une crypto-monnaie : même violemment dévaluée par son régulateur, une monnaie étatique reste liée à la population du pays et à sa capacité de production, qui sont ‘captifs’ de la monnaie. Une crypto-monnaie n’a pas ce facteur de confiance et de stabilité.
BTCKnight a écrit :
Sinon, tes commentaires sont … intéressants… (mais faut relire et APPLIQUER Aristote pour bien comprendre le Bitcoin et/ou l’Ethereum).
Aristote a dit beaucoup de choses, tu fais référence à un point en particulier?
Extrêmement intéressant. Il connait certainement bien mieux le sujet que moi, je suppose donc qu’il est plus proche de la réalité que moi (par exemple l’aspect empoisonnement de l’ethereum m’était complètement passé au-dessus de la tête).
Cependant, tu notera qu’une bonne part de son argument est moral (sauver la veuve et l’orphelin, et ne pas laisser le méchant gagner). Aspects que j’avais explicitement mis de côté pour ne regarder cyniquement que la confiance dans le système (peut-être à tord).
Et surtout, il ne répond pas à la question fondamentale, qui est dans quelles conditions sera-t-on à l’avenir prêt à envisager un nouveau fork pour corriger une escroquerie? (le 7° commentaire le dit mieux que moi)
BTCKnight a écrit :
Lorsque la DAO s’est fait hacker il y a 1 mois, la plupart des commentaires (sur NXI) étaient ironiques et avançaient que la DAO était un ponzi et/ou une arnaque incompréhensible…
Maintenant que les investisseurs qui ont été lésés à cause du piratage de la DAO sont REMBOURSES, la plupart des commentaires disent que c’est pas moral/ethique/logique/fidèle aux principes de la blockchain… c’est toujours étonnant à lire…
Tu noteras qu’il y a plusieurs commentateurs sur NXI, ils peuvent avoir des avis divergents.
Les investisseurs ont été remboursés en ether, mais l’ont-il été en équivalent de pouvoir d’achat IRL? parce que si l’éther s’est pété la gueule suite à l’affaire (les quelques sites que j’ai essayé pour afficher le cours de l’ether rament comme pas possible, j’arrive même pas à savoir su un ether vaut plutôt 1c ou 1k€ :-)), il y a quand même pas mal d’argent qui s’est ‘évaporé’, et la critique du schéma de ponzi reste difficile à évacuer
Sinon je me demande bien en quoi il y a contradiction entre le fait de dire que quelque chose est une pyramide de ponzi et le fait de penser que cette chose n’aurait pas du être sauvée (au contraire, je dirais que c’est assez cohérent).
Le
21/07/2016 à
09h
50
BTCKnight a écrit :
Sinon, c’est curieux comme plusieurs personnes peuvent réagir de manière diamétralement opposé à un même fait… moi, le fork me donne une grande confiance en la crypto-monnaie…. il suffit d’imaginer ce qui se serait passé si un fonds de placement en FIAT (euros ou dollars) s’était fait pirater …. crois tu que les investisseurs qui ont perdus 65 milliards de dollars (des vrai, bons gros \() dans la société d'investissements de Madoff vont les récupérer???
Je ne m'intéresse que relativement peu au sujet, ma vision est peut-être simpliste, mais de ce que j'avais compris, un des principaux arguments des crypto-monnaies la non-répudiabilité des transactions, et le fait qu'il ne soit pas possible à un régulateur de les truquer.
Ici, on vient magistralement de démontrer que c'est faux pour les deux. La non-répudibilité se passe de commentaire, et ici on a quelques 'leaders' de la monnaie qui demandent un rollback pour rattraper leurs bêtises, et la communauté qui s’exécute docilement... C'est pas très loin d'un rôle de régulateur.
A l'inverse, s'ils avaient dit 'désolé, on a merdé et on s'est fait dévalisé l'argent que vous nous avez confié mais on ne pas briser le principe de la blockchain pour rattraper nos bêtises', c'aurait été moche pour certains, mais ça m'aurait renvoyé une image de fiabilité bien plus grande : même quand des gens 'importants' de la communauté auraient intérêt à la truquer, la blockchain reste droite dans ses bottes.
BTCKnight a écrit :
il suffit d'imaginer ce qui se serait passé si un fonds de placement en FIAT (euros ou dollars) s'était fait pirater .... crois tu que les investisseurs qui ont perdus 65 milliards de dollars (des vrai, bons gros \)) dans la société d’investissements de Madoff vont les récupérer???
Avec les ‘vraies monnaies’, quand je me fait piquer 50 euros dans le métro, il n’y a pas de mécanisme prévu pour annuler la validité du billet et me rendre mes sous. C’est moche pour moi, mais c’est aussi ça qui fait que je peux faire suffisamment confiance en ce petit bout de papier pour l’échanger contre des trucs qui ont une valeur intrinsèque bien plus grande.
Il ne s’agit pas de savoir si c’est juste ou non, si c’est moral ou non, ni même si c’est bénéfique ou non au possesseurs d’ethers. C’est une question de respect des principes de base de la blockchain, sur lesquels est basée la confiance dans le système.
Si demande la zone euro décide unilatéralement de faire défaut sur sa dette, on pourra avoir des discussion sans fin sur le fait de savoir si c’était juste ou non, si c’est bénéfique ou non aux états et aux populations concernées, mais une chose est sûre : ça va exploser l’euro, et il faudra des années (voire des dizaines d’années) avant que les prêteurs fassent de nouveau confiance à ceux qui ont fait défaut.
On sait depuis le début que c’est théoriquement possible, mais ça n’avait jamais été fait. Maintenant, il y a un précédent…
C’est une truc qui m’intéresse habituellement assez pas du tout, mais je crois que je vais suivre le cours de l’ether dans les semaines à venir…
Le
20/07/2016 à
15h
38
C’est curieux cette histoire… Je suis pas certain de tout comprendre, mais ça soulève une armée de questions, et globalement, ça me donne pas confiance dans les crypto-monnaies…
Tant qu’à réécrire une partie de la blockchain, pourquoi ne pas avoir supprimé les transactions d’achat de parts de la DAO, plutôt que passer par une procédure de remboursement relativement compliquée?
Pour forcker la blockchain, il a du falloir re-miner l’ensemble des transactions qu’on ne voulait pas annuler depuis le point de divergence. Ce qui sous-entend qu’à un moment donné, quelqu’un a du établir la liste de ses transactions. Qui l’a fait? quelle légitimité a-t-il pour le faire? quel confiance lui accordent les autres ?
Et puis pour que ce soit ce fork qui prenne la main, ça veut dire qu’il faut que la majorité des mineurs décident de basculer dessus. Comment est-ce possible si seuls 18% d’entre eux ont daigné donner leur avis? On a une majorité de mineurs qui sont ‘neutres’ (ne votent pas) mais qui appliquent sans broncher les directives? A-t-on des réfractaires qui continuent à miner sur la branche ‘verolée’? Après tout, une monnaie n’a pour valeur que la confiance qu’on lui accorde, donc on pourrait très bien imaginer que les ethers de cette branche s’échangent encore…
Sinon philosophiquement c’est assez intéressant : ça veut dire que la possession de monnaie peut être remise en cause ‘démocratiquement’. Si je fais des choses qui ne plaisent pas à suffisamment de monde, ils peuvent décider de forcker vers une chaine dans laquelle tout mon argent a été distribué à d’autres…
Ça doit donner des idées à certains insatisfaits du système actuel (bon c’est pas de la vraie démocratie, puisque c’est fonction de la puissance de calcul…)
C’est pas parce que je dit qu’un aigle est un oiseau qu’il faut comprendre que tous les oiseaux sont des aigles.
Ce n’est pas parce qu’il affirme que le terrorisme nait quand on envahit un pays qu’il faut comprendre qu’il pense que le terrorisme ne nait jamais dans d’autres conditions.
Le
21/07/2016 à
11h
55
Il a dit que le terrorisme naissait à chaque fois qu’on amène la démocratie de force quelque part, pas qu’il naissait uniquement à ces occasions. Je pense qu’il a plutôt raison.
Déjà tu racontes n’importe quoi (s’il est possible pour une entreprise de recevoir plus d’argent en subvention que lui coûte le salaire, explique-moi pourquoi toutes les entreprises n’embauchent pas en masse des gens à rien faire?).
Effectivement, ce ratio est plus faible pour les bas salaires (de l’ordre d’1,3 sur un SMIC si ma mémoire est bonne), mais là on parle de développeurs ayant des compétences en sécurité… c’est pas super-compatible. Pour les salaires relativement élevées (à partir de 2-3 fois le SMIC), on est bien de l’ordre du facteur 2.
Et enfin, on parle ici de coût pour l’état. Donc même si ce que tu disais était vrai, ce coût ne disparaitrait pas magiquement, il serait simplement réparti entre sous-traitance à une boite de dev et subventions/assistanats divers à celle-ci.
Le
20/07/2016 à
11h
48
Petits rappels : il y a un facteur 2 (voire légèrement plus) entre le coût employeur et le salaire net, un dev ne travaille pas tout seul (il faut du matériel, des locaux, des services supports…), et on parle de dollars (même si ça joue moins que par le passé).
Donc j’exagère probablement un peu en disant que c’est un an de développeur milieu de gamme, mais je suis certainement moins loin de la réalité que toi.
Le
20/07/2016 à
09h
07
Ruzgfpegk a écrit :
Alternative crédible et accessible : embaucher un admin sys/réseau qui sera lui aussi content de ne pas se faire pigeonner par une SSII.
Eres parle de TPE. Embaucher une personne juste pour s’occuper de l’informatique alors que la taille de l’entreprise fait qu’il aurait de quoi s’occuper qu’une ou deux heures par semaine n’est ni crédible ni accessible…
Le
20/07/2016 à
09h
01
Un an de salaire d’un développeur milieu de gamme, face aux dizaines d’années d’experts bien mieux payés que nécessiterait le développement d’une solution maison…
Si ça permet de favoriser l’émergence d’un outil efficace, avec une communauté qui l’améliore sans cesse, l’ensemble des administrations pourront l’utiliser gratuitement à la place de leur rien du tout actuel, de solutions propriétaires ou de bricolages maisons. Ils auraient pu y mettre 10M€ que ça serait resté un excellent investissement.
Ce qui me dérange, c’est la réaction qu’ont certains dès qu’ils voient “zone de non-droit” qui dit en réalité uniquement cela (c’est différent sur internet et dans la vie réelle).
Cette réaction correspond à mon sens assez bien à l’emploi courant de l’expression “zone de non-droit” par nos politiciens pour nous faire gober que s’ils ne faisaient rien tout serait permis, mais bien plus rarement dans le sens que tu décris (même si on est d’accord que c’est le seul qui soit intelligent).
j-c_32 a écrit :
Pour la prescription, (…) c’est sous-entendre qu’on se satisfait de la situation actuelle, alors qu’elle est tout aussi foireuse.
Certes. Après, il y a un juste milieu à trouver, on ne peut pas non plus faire peser une épée de Damoclès sur quelqu’un pour toute sa vie. Sauf erreur de ma part, aujourd’hui, il n’y a que pour les crimes contre l’humanité qu’il n’y a pas de prescription… Si leur proposition était moins démesurée, on serait probablement plus disposés à en discuter.
Le
13/07/2016 à
14h
51
j-c_32 a écrit :
La question est bien plus simple que ça: est-ce que oui ou non la situation sur internet est différente de la situation “dans la vie réelle” dans laquelle les lois ont été conçues et pensées ? La réponse est “oui” et prétendre le contraire est simplement prouver que certains ont raison quand ils parlent de “de personnes qui s’érigent en expert plus ou moins éclairés”.
La question est simple, mais je ne pense pas que la réponse le soit autant. En fait, la question, c’est est-ce que c’est différent, en quoi, et quelle différence de traitement cela justifie-t-il? Que certaines lois soient beaucoup plus difficiles à faire appliquer sur internet qu’IRL, c’est un fait que personne ne nie.
Quand c’est un argument utilisé pour ajouter des lois spécifiques visant à améliorer la capacité à poursuivre poursuivre certaines infractions, ça fait sens. Après, on est d’accord ou non, avec ce qui est proposé, pas mal de mesure sont jugées excessives. Exemples, l’élargissement de la prescription pour la diffamation citée ici, ou l’ajout de sondes pour espionner tout le trafic.
Par contre quand c’est utilisé comme argument pour ‘interdire’ tout un tas de choses sans qu’on se pose ni la question de l’applicabilité de l’interdiction, ni la question de la bonne façon de lutter contre l’acte illégal visé, c’est juste débile. Exemple: interdire le bitcoin.
Voter des lois pour empêcher les méchants de nuire, ok. Voter des lois qui bloqueront l’utilisation honnête d’outils sans se donner les moyens d’empêcher les méchants de les utiliser, non.
Le
13/07/2016 à
13h
01
Winderly a écrit :
« Depuis plus de dix ans progresse l’idée qu’Internet ne saurait être soumis à aucune règle. » (Catherine Tasca, PS)
Encore la zone de non droit ?
J’ai du mal à interpréter cette citation.
Est-ce que c’est une critique du rapport qui repose sur cette idée de la zone de non-droit (sous-entendu c’est une idée fausse & ce rapport résout un problème qui n’existe pas), ou est-ce qu’elle se félicite du rapport, qui en aidant à faire passer de nouvelle lois, va corriger violemment le sentiment d’impunité qu’ont certains internautes?
Pareil pour la dernière : est-ce qu’il avertit ses collègues que ça va être un shit-storm, ou est-ce qu’il ironise sur ces débiles d’internautes qui ne font de toute façon que râler.
Il faut que je trouve le temps d’aller lire le CR complet, je sens que ça va être une séance rires et larmes.
Pourquoi le titre contient l’expression ‘box internet’, alors que le calcul se base sur le fait d’avoir un PC capable de recevoir la TV (donc n’importe quelle connexion à internet, filaire ou 3-4G suffit).
Au fond, qu’est-ce qu’on appelle box internet? J’ai bien fait attention quand j’ai pris mon abonnement à bien avoir une offre sans TV en prévision d’un éventuel élargissement de la redevance aux box tout-en-un, mais plus ça va plus je le sens mal…
Le
13/07/2016 à
14h
57
trash54 a écrit :
+1 ça serait bien plus simple : intégré directement dans les impôts locaux point
et ceux qui en ont pas et qui regarde pas (ni replay rien quoi) ben à eux de prouver
Comment veux-tu prouver que tu n’as pas de TV ou que tu ne vas pas sur certains sites? Si demain l’administration fiscale te demande de démontrer que tu n’a jamais fraudé les impôts tu fais comment? C’est juste impossible, et c’est pour cela qu’on a inventé la présomption d’innocence.
Soit c’est un impôt, et tout le monde paie soit c’est une redevance, et ça se fait par simple déclaration (avec contrôle si l’administration le juge nécessaire).
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Le même que pour tous les PC portables gamers : voir un seul PC qui soit à la fois relativement mobile et apte à jouer à la maison avec écran et clavier externe. Le curseur puissance-transport est juste placé plus côté transport que pour un ROG par exemple.
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Le 03/08/2016 à 16h 03
J’apprends des choses, merci (je suis persuadé que j’avais lu quelque part le fait que ce droit à ne pas s’incriminer faisait partie des différences de procédure entre la France et les US).
Cela dit, avec l’état d’urgence, les droits de l’homme s’appliquent ils toujours ? " />
Le 03/08/2016 à 12h 39
Tu es sûr que ça existe en France, ce droit à ne pas s’incriminer?
Code pénal, Article 434-15-2
Est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende le fait, pour quiconque ayant connaissance de la convention secrète de déchiffrement d’un moyen de cryptologie susceptible d’avoir été utilisé pour préparer, faciliter ou commettre un crime ou un délit, de refuser de remettre ladite convention aux autorités judiciaires ou de la mettre en oeuvre, sur les réquisitions de ces autorités délivrées en application des titres II et III du livre Ier du code de procédure pénale.
Si le refus est opposé alors que la remise ou la mise en oeuvre de la convention aurait permis d’éviter la commission d’un crime ou d’un délit ou d’en limiter les effets, la peine est portée à cinq ans d’emprisonnement et à 75 000 euros d’amende.
(donc effectivement, on peut aller demander à google la clé, mais s’ils ont fait en sorte de ne pas la connaitre, ou si dans ton exemple le serveur efface soigneusement les clés privées au fur et à mesure, on ne peut rien leur reprocher)
Le 03/08/2016 à 12h 13
C’est à l’utilisateur qu’on demande la clé.
Par exemple, si tu es soupçonné de quelque chose et que la police a besoin d’accéder à ton gmail, ils ne vont pas demander la clé à google, mais exiger que tu la donnes (avec peut-être contrôle du juge, je ne sais pas).
Si tu refuses, tu es condamnable indépendamment de ta culpabilité sur le fond de l’affaire.
Je ne sais pas ce que l’ANSSI pense de la plausible denyability, qui casse un peu le truc…
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Autant je trouve l’insistance de certains à vouloir imposer le libre partout idiote, autant il me semble essentiel que les élèves ne soient pas formés sur un seul outil (donc pas que sur Office).
Leur apprendre à utiliser différents outils est le seul moyen de s’assurer qu’ils n’apprennent pas à utiliser un clicodrome, mais qu’ils aient l’occasion de comprendre que même si les interfaces et certains détails d’implémentation sont différents, les concepts de base sont les mêmes (utilisation de style sous Word/Writer par exemple).
S’ils ont bien compris ça, ils s’adapteront sans soucis à n’importe-quel outil arrivés dans le monde du travail.
Ma critique resterait évidemment valable si on ne les formait qu’à LibreOffice.
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Le 27/07/2016 à 11h 23
C’est précisément pour ça qu’on a inventé l’imprimante 3D (outil de dangereux pirate-terroriste lui aussi, qu’il faudrait réglementer en urgence, afin de ne pas reproduire l’erreur de ne pas avoir interdit le p2p)
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Le 25/07/2016 à 14h 19
Certes (et encore heureux, manquerait plus qu’un privé puisse créer des infractions pénales!). Mais faut-il vraiment que ce soit poursuivi pénalement?
Si j’organise un concours de pétanque et que l’un des participants triche odieusement, il ne me viendrait jamais à l’idée de réclamer qu’il mange de la prison, je vais juste refuser de lui donner le hot-dog du vainqueur et je ne l’invite plus jamais.
Le 25/07/2016 à 14h 02
Le 25/07/2016 à 13h 40
Je ne comprends pas pourquoi l’état devrait s’occuper de ça…
Si le Tour de France (organisé par une boite privée) veut interdire les moteurs, elle le met dans les modalités de la compétition et elle en organise le contrôle comme elle le veut.
Déjà pour le dopage je me pose des questions, mais dans la mesure où ça met en danger la santé des coureurs, je peux comprendre. La triche mécanique, je ne vois vraiment pas pourquoi la police y consacrerait la moindre minute.
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Ah… Je comprends pas la différence entre ce que tu décris et une MAJ pas dessus un W7 activé classique.
Le 22/07/2016 à 16h 14
Ça veut dire que si je me fais une clé USB bootable, et que je reformate au moment de l’install, je peux avoir un W10 tout propre sans avoir fait de démarche particulière depuis mon W7 avant?
Je voudrais repartir sur une base toute neuve, mais si je dois faire la migration avant de tout réinstaller, je sens qu’à la fin de la migration j’aurai la flemme de continuer " />
Le 22/07/2016 à 16h 11
ownCloud 9.1 : du changement pour l’authentification et la gestion des sessions
22/07/2016
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Perso j’ai un NAS à la maison, avec des données qui bougent relativement peu. Je fais une sauvegarde chiffrée par mois sur un DD externe, que je laisse dans un tiroir fermé de mon boulot (qui est suffisamment loin de chez moi pour avoir peut de chance d’être pris dans le même incendie, mais pas assez en cas de bombe nucléaire => risque accepté " />). Pas extrêmement pratique, mais pas si contraignant non plus. Il faut en avoir deux et les faire tourner, si on est comme moi un peu étourdi et qu’on oublie souvent de ramener le DD du boulot à la maison à la date théorique.
Si tu as le débit et le budget suffisant, tu peux faire une sauvegarde sur un NAS distant chez une personne de confiance (ou pousser des différentiels chiffrés si tu n’as que moyennement confiance). Ou bien pousser des différentiels chiffrés chez un fournisseur de cloud, après tout, qu’ils sachent que tu fais que tu fasse une sauvegarde tous les xxx ne te gène peut-être pas.
Ou tu peux même faire tout ça à la fois si tu es suffisamment parano !
Neutralité du Net : la consultation européenne divise, près de 500 000 contributions à éplucher
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Aujourd’hui : ‘Vous allez pas réguler en amont, attendez de voir comment ça s’organise pour voir si c’est nécessaire’
Deux ans plus tard : ‘Ah ben c’est pas possible de pousser de réguler comme ça a posteriori, on a organisé tout notre réseau de façon à ce que ce soit plus possible!’
Des fois, on a vraiment l’impression d’être pris pour des idiots…
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20/07/2016
Le 22/07/2016 à 07h 35
Un ordinateur n’est pas une charge, c’est un investissement, pas une charge " />
Sinon j’ai souvent entendu parler de charges de carburant pour l’essence (ou charges de transport de façon plus générique), ou pour prendre des exemple liés à l’informatique de charges d’impression ou de licences.
Ce terme n’est plus neutre aujourd’hui, pas parce qu’il a un sens péjoratif intrinsèque, mais parce que des gens ont décidés de mal le prendre chaque fois qu’il était utilisé. Si tout le monde en était resté à sa définition technique, on n’aurait pas cette conversation.
Le 21/07/2016 à 13h 19
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Le 21/07/2016 à 12h 50
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Je suppose que typiquement, ces contrats sont de la forme ‘si telle condition est remplie, verser tant d’ethers à untel’, la définition de la condition devant probablement être assez astucieusement faite pour être évaluable par une machine… Donc entre autres, le payeur ne peut pas revenir sur le contrat si le vendeur fait bien sa part, alors que pour les contrats classiques, si le payeur ne joue pas le jeu, c’est 10 ans de procédure judiciaire!
The DAO était une société financée participativement en ethers, et basée exclusivement sur le passage de contrat de ce type. Sauf que quelqu’un a trouvé un moyen d’abuser la procédure définissant un des contrats, et à récupérer des sommes faramineuses de façon indue (c’est pour ça qu’on dit que ce n’est pas ethereum qui a été cassé, mais qu’on a simplement un ‘mauvais contrat’ qui a été exécuté dans les règles de l’art)
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C’est curieux cette histoire… Je suis pas certain de tout comprendre, mais ça soulève une armée de questions, et globalement, ça me donne pas confiance dans les crypto-monnaies…
Tant qu’à réécrire une partie de la blockchain, pourquoi ne pas avoir supprimé les transactions d’achat de parts de la DAO, plutôt que passer par une procédure de remboursement relativement compliquée?
Pour forcker la blockchain, il a du falloir re-miner l’ensemble des transactions qu’on ne voulait pas annuler depuis le point de divergence. Ce qui sous-entend qu’à un moment donné, quelqu’un a du établir la liste de ses transactions. Qui l’a fait? quelle légitimité a-t-il pour le faire? quel confiance lui accordent les autres ?
Et puis pour que ce soit ce fork qui prenne la main, ça veut dire qu’il faut que la majorité des mineurs décident de basculer dessus. Comment est-ce possible si seuls 18% d’entre eux ont daigné donner leur avis? On a une majorité de mineurs qui sont ‘neutres’ (ne votent pas) mais qui appliquent sans broncher les directives? A-t-on des réfractaires qui continuent à miner sur la branche ‘verolée’? Après tout, une monnaie n’a pour valeur que la confiance qu’on lui accorde, donc on pourrait très bien imaginer que les ethers de cette branche s’échangent encore…
Sinon philosophiquement c’est assez intéressant : ça veut dire que la possession de monnaie peut être remise en cause ‘démocratiquement’. Si je fais des choses qui ne plaisent pas à suffisamment de monde, ils peuvent décider de forcker vers une chaine dans laquelle tout mon argent a été distribué à d’autres…
Ça doit donner des idées à certains insatisfaits du système actuel (bon c’est pas de la vraie démocratie, puisque c’est fonction de la puissance de calcul…)
L’état d’urgence, tremplin au Sénat pour accentuer les pouvoirs du renseignement
20/07/2016
Le 21/07/2016 à 12h 28
C’est pas parce que je dit qu’un aigle est un oiseau qu’il faut comprendre que tous les oiseaux sont des aigles.
Ce n’est pas parce qu’il affirme que le terrorisme nait quand on envahit un pays qu’il faut comprendre qu’il pense que le terrorisme ne nait jamais dans d’autres conditions.
Le 21/07/2016 à 11h 55
Il a dit que le terrorisme naissait à chaque fois qu’on amène la démocratie de force quelque part, pas qu’il naissait uniquement à ces occasions. Je pense qu’il a plutôt raison.
L’ANSSI rejoint l’Open Information Security Foundation et soutient Suricata
19/07/2016
Le 21/07/2016 à 09h 11
Déjà tu racontes n’importe quoi (s’il est possible pour une entreprise de recevoir plus d’argent en subvention que lui coûte le salaire, explique-moi pourquoi toutes les entreprises n’embauchent pas en masse des gens à rien faire?).
Effectivement, ce ratio est plus faible pour les bas salaires (de l’ordre d’1,3 sur un SMIC si ma mémoire est bonne), mais là on parle de développeurs ayant des compétences en sécurité… c’est pas super-compatible. Pour les salaires relativement élevées (à partir de 2-3 fois le SMIC), on est bien de l’ordre du facteur 2.
Et enfin, on parle ici de coût pour l’état. Donc même si ce que tu disais était vrai, ce coût ne disparaitrait pas magiquement, il serait simplement réparti entre sous-traitance à une boite de dev et subventions/assistanats divers à celle-ci.
Le 20/07/2016 à 11h 48
Petits rappels : il y a un facteur 2 (voire légèrement plus) entre le coût employeur et le salaire net, un dev ne travaille pas tout seul (il faut du matériel, des locaux, des services supports…), et on parle de dollars (même si ça joue moins que par le passé).
Donc j’exagère probablement un peu en disant que c’est un an de développeur milieu de gamme, mais je suis certainement moins loin de la réalité que toi.
Le 20/07/2016 à 09h 07
Le 20/07/2016 à 09h 01
Un an de salaire d’un développeur milieu de gamme, face aux dizaines d’années d’experts bien mieux payés que nécessiterait le développement d’une solution maison…
Si ça permet de favoriser l’émergence d’un outil efficace, avec une communauté qui l’améliore sans cesse, l’ensemble des administrations pourront l’utiliser gratuitement à la place de leur rien du tout actuel, de solutions propriétaires ou de bricolages maisons. Ils auraient pu y mettre 10M€ que ça serait resté un excellent investissement.
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13/07/2016
Le 13/07/2016 à 15h 09
Pourquoi le titre contient l’expression ‘box internet’, alors que le calcul se base sur le fait d’avoir un PC capable de recevoir la TV (donc n’importe quelle connexion à internet, filaire ou 3-4G suffit).
Au fond, qu’est-ce qu’on appelle box internet? J’ai bien fait attention quand j’ai pris mon abonnement à bien avoir une offre sans TV en prévision d’un éventuel élargissement de la redevance aux box tout-en-un, mais plus ça va plus je le sens mal…
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