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7412 commentaires

Le 11/01/2018 à 08h 01







OlivierJ a écrit :



Surveillance en temps réel après un grand excès de vitesse

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 Ce sont vraiment des malades, on arrive vraiment à Big Brother. :craint:  

[...]

Je fais pareil, et NON on n'est pas un chauffard pour 10 km/h en plus sur autoroute, faut pas exagérer quand même. La limitation est arbitraire de toutes façons, différente selon les pays.








 Concernant la surveillance en temps réel, c'est clair que ça fait peur (en même temps, c'est ce que font Google et Facebook avec leur ciblage publicitaire, alors pourquoi l'État régalien se gênerait-il pour la sécurité publique).      






Concernant les limites de vitesse, elles existent :      







  • d’une part, pour réguler la vitesse des automobilistes afin d’éviter les bouchons et afin d’éviter des situations dangereuses dues à la distorsion de vitesse entre 2 véhicules (sur autoroute on doit rouler à plus de 80 Km/h sur la fil la plus à gauche et pas plus de 130 Km/h).

  • Et surtout, les limitations de vitesse ne sont que des vitesses maximales, car à la base, tout conducteur doit adapter sa vitesse à la situation (pluie, densité du trafic, véhicule lent qu’on s’apprête à dépasser, etc). &nbsp;



    La limitation de vitesse est effectivement une convention arbitraire (comme toute convention), et qui est malgré cela très utile pour ne pas gêner ou surprendre les autres usagers de la route. Rouler plus vite que la vitesse maximale autorisée, c’est comme se garer en double-file en centre-ville : ça peut être utile pour soi-même mais l’abus de ces pratiques est le symptôme d’un individualisme patent de notre Société dont l’automobile est le symbole.


Le 10/01/2018 à 11h 03

C’est pourtant simple :

surface : Km²

périmètre : le contour d’une surface en Km

rayon : la distance entre un point du cercle et son centre en Km



Tout le reste n’est que littérature.

Le 11/01/2018 à 00h 20

Déjà que faire un article de presse avec deux ou trois réponses d’une étude statistique valable de plusieurs pages n’est pas très correct comme base de réflexion, alors si en plus l’enquête elle-même est biaisée par des questions à choix multiples orientés, le grand public n’a plus qu’à faire sa prière pour se forger une opinion qui aurait un tant soit peu de sens.

&nbsp;<img data-src=" />

Le 10/01/2018 à 19h 41

Les rézo socio c’est le mal, un peu comme le tabac ou l’alcool. Alors créons une taxe sur les fake news. Autant que la perversion du quidam serve à quelque chose pour l’État. Et comme ça n’a aucune chance d’aboutir, ça aura eu au moins le mérite d’occuper le débat public pendant qu’on prépare une mesure impopulaire dans le même temps.

Le 10/01/2018 à 18h 00





  • La bande à Bader,

  • l’ETA,

  • les brigades rouges,

  • ladéchristianisationpendant la Terreur (Révolution française),

  • l’éradication de la religion orthodoxe pendant la Révolution russe de 1917 et pendant le pouvoir de Staline



    ont bien été inspiré par le matérialisme, l’anticléricalisme ou l’athéisme.



    Croire que Dieu n’existe pas, n’empêche pas de tuer des innocents pour diriger un pays ou pour imposer une idéologie (fut-elle sans dieu à honorer).

Le 10/01/2018 à 12h 05

Et quand on est plus Siné Hebdo Mensuel que Charlie Hebdo ?

&nbsp;<img data-src=" />

Le 10/01/2018 à 19h 25

Tu vois que tu as compris cette brève (à part que tu te perds dans des détails en faisant une pseudo-démonstration portnawoik). Inutile donc de faire comme s’il s’agissait d’un article de fond qui analyse la situation. Cette brève n’est qu’une brève (dans un journal papier, ça correspond à ces petits encarts qu’on trouve à l’intérieur du journal et qui servent à raconter des choses plus légères que les gros dossiers de fonds).



C’est fou d’être incapable de comprendre qu’on peut raconter des choses sans faire d’analyse détaillée. Cette habitude de regarder les petits détails pour avoir quelque chose à redire, alors que vous comprenez très bien ce qui est écrit, ça m’agace.

Le 08/01/2018 à 17h 57







kwak-kwak a écrit :



Qui sait je suis peut-être une personne particulièrement influente sur internet. Peut-être que suis en train d’écrire un article sur la qualité des articles Next Inpact ou en train de faire un classement des bons et mauvais sites de news.

&nbsp;[…]&nbsp;



&nbsp;

Qui sait ?…

&nbsp;

Et si tu as envie de me raconter ta vie, ne t’en prive pas, ça m’intéresse.

&nbsp;





kwak-kwak a écrit :



[…]



 L'article ici ne donne aucun élément qui permette de se forger une opinion soi-même : On ne peut analyser le problème, ni suivre le raisonnement ni analyser la problématique.      

C'est vraiment trop demandé que d'exposer le raisonnement logique complet qui a amené à une conclusion ?








Tu vois une conclusion alors qu'il n'y en a aucune. L'article ne donne aucun élément, et pour cause : il s'agit d'une brève et le journaliste n'en sait pas plus que toi.      



&nbsp;





kwak-kwak a écrit :



[…]



 La dernière fois qu'un truc n'a pas fonctionné comme je le voulais chez moi, je n'ai pas exigé un retour public du service presse de la société impliquée.      






PS: Je suis tout à fait calme.








Et pour cause tu n'es pas journaliste. Parles-en donc dans ton blog d'influenceur, personne ne t'en empêche.

Le 08/01/2018 à 14h 36







kwak-kwak a écrit :



[…]

Ce n’est pas la première fois que Next Inpact use de sa position de journaliste pour faire valoir un de ses caprices. […]





C’est bon les caprices, surtout quand le coeur de ton métier est de publier des faits réels au milieu du story telling des agences de publicité et des attachés de presse :

&nbsp;le journaliste ? Un empêcheur de tourner… marketer en rond.


Le 08/01/2018 à 14h 03







kwak-kwak a écrit :



[…]

En attendant, pour paraphraser le dit article ci-dessus, le service presse de Next Inpact n’a toujours pas répondu à mes multiples commentaires…





Dure, la vie de commentateur INpactien <img data-src=" />


Le 08/01/2018 à 13h 46







kwak-kwak a écrit :



Parce que M. David Legrand a un forfait Free spécial presse, garantissant un support de qualité (et qualifié) h24 ? Le fait d’être journaliste est un passe droit vers un service client spécifique qui doit répondre et cerner le problème dans la seconde ? On nage en plein délire là !

[…]





Il n’y a aucun passe-droit à avoir. Qu’est-ce que tu inventes là ? Un journaliste fait des articles de presse et toute entreprise a un service de relations publiques et de relations avec la presse. C’est tout.



Ce n’est qu’une brève qui parle d’une anecdote. Il se trouve que la marque d’un FAI est un élément de cette (petite) histoire, et toi, tu brodes un scandale qui n’existe pas. Arrête ton char Ben-Hur !



Inutile de t’énerver comme ça. Songe à démissionner car tu as l’air de t’investir beaucoup trop dans ton travail (le burn-out te guette peut-être).


Le 08/01/2018 à 07h 46

42.

Le 07/01/2018 à 16h 15

Si seulement Free mobile communiquait sur le “soucis” réel que les journalistes de Next inpact connaissent à Las Vegas avec leur abonnement Free mobile…

&nbsp;

« Interrogé sur le sujet, le service de presse de Free Mobile n’a pour le moment pas répondu à nos questions. » …

&nbsp;

à suivre…

Le 07/01/2018 à 16h 07

Les journalistes de Next inpact n’ont rien analysé de cette mauvaise expérience à Las Vegas avec leur abonnement Free mobile et tu accuses déjà Next inpact de choses qui ne sont pas écrites dans l’article.

&nbsp;







kwak-kwak a écrit :



[…] L’article de Next Impact semble d’ailleurs bien démontrer, malgré sa conclusion, que c’est le téléphone qui est en cause, et non Free.

[…]





&nbsp;Quelle conclusion ?

La réponse du SAV Free mobile comme quoi le problème est connu de leurs services ? ou le conseil de Next inpact destiné aux abonnés Free mobile présents au CES de Las Vegas de se munir d’un iPhone pour pouvoir téléphoner ?



Une brève de moins de 15 lignes et on dirais que tu as lu une analyse pamphlétaire et subjective contre l’image commerciale de Free mobile.


Le 07/01/2018 à 15h 49

Faut-il encore rappeler à quoi sert un titre d’un article de presse ?




    Le titre d'un article invite le lecteur à lire le châpo de l'article. Si le lecteur est accroché, alors il aura envie de lire l'article.          






    En l'occurrence, le titre de la brève ci-dessus ne met absolument pas en cause Free mobile puisque l'article parle du témoignage de journalistes de Next Inpact avec leur abonnement Free mobile à Las Vegas. Et la preuve qu'il s'agit d'un excellent titre, c'est que tu réagis à l'article, mais comme tu n'as pas lu l'article (ou que tu feins de ne pas l'avoir lu), tu réagis sur ce titre odieux qui cite Free mobile accompagné du mot "soucis".          






    Il va falloir lire plus d'un mot de l'article (et surtout citer autre chose que le titre d'un article de presse) pour me convaincre que Next Inpact met en cause Free mobile et non le smartphone Android. Surtout que, dans cette brève, ni Free mobile ni Android n'est accusé de quoi que ce soit.

Le 07/01/2018 à 12h 27







kwak-kwak a écrit :



[…]

Moi je m’étonne surtout du : parce que 1 seul téléphone ne fonctionne pas aux USA, mais sa carte SIM fonctionne parfaitement dans un autre téléphone, Next Inpact en déduit de la faute Free et non du téléphone. WTF Next Inpact ?



Par ailleurs le modèle du téléphone en défaut n’est pas donné et il est impossible pour quiconque de comparer avec un téléphone équivalent.



[...]







Il faut dire qu’il s’agit seulement d’une brève qui raconte une anecdote d’un problème de réseau aux States avec le FAI Free sur des smartphones Android. Honte à quiconque conjecturerait quelque hypothèse en la présentant comme une conclusion définitive et certaine.



(et honte à celui/celle qui lirait de telles affirmations faites sous pseudonyme en les prenant pour acquises, car c’est ainsi que naissent les rumeurs et les publicités virales mensongères)


Le 07/01/2018 à 00h 52







Drepanocytose a écrit :



Voilà. Méthode Free : on te vend un service minimaliste, qui est autrement mieux géré et plus complet chez les autres opérateurs…

Mais bon, pour que des partenaires assurent un service suffisant, il faut les payer, ce qui n’est pas du goût de Free.





C’est suffisant pour dire qu’on vend le service, et quand ça ne fonctionne pas, on dit qu’on connaît le problème et que c’est la vie, ma pauv’ Lucette. De toute façon, le réseau et Free ça fait deux.

&nbsp;

&nbsp;





Drepanocytose a écrit :



Opérateur en mousse, comme d’hab. Qui ne communiquera pas avant 2 mois, pour finir par déclarer que c’est la faute des autres. <img data-src=" />





Ça, c’est le discours “on botte en touche” quand un fournisseur de contenus veut un réseau performant pour les contenus qu’il met à disposition sur le web (et éventuellement dans l’offre “freeboxTV”).

&nbsp; <img data-src=" />

&nbsp;

L’interopérabilité entre réseaux, la redondance des liens avec les clients/fournisseurs d’Iliad/Free, ne sauraient être de la responsabilité de Iliad/Free, car Free n’est pas un opérateur de réseaux (un téléphoniste), c’est un opérateur de terminaux et de services numériques (un informaticien).

&nbsp;

En d’autres termes, Iliad/Free est bon pour développer des terminaux et des services “maison”, pas pour faire transiter des informations entre différents réseaux avec les bons procédés performants pour que l’information arrive nécessairement à son destinataire.


Le 07/01/2018 à 00h 30

C’est assez étonnant de s’apercevoir que la hype va s’intéresser au “borderless” sans parler des fréquences utilisées, sans parler de l’interopérabilité des réseaux (qualité de l’itinérance entre opérateurs du monde).



Au CES de Las Vegas, on va encore nous enfumer avec le “borderless”, avec la 5G, avec le HDR 8K ultra ultra très haute définition sans jamais mentionner le fait que les compatibilités entre réseaux - terminaux - producteurs de contenus ne sont pas au rendez-vous.

Le 09/01/2018 à 22h 46

Je n’aime pas spécialement P Drahi, mais dire qu’il n’a rien à perdre quand on sait que sa holding personnelle détient 60% d’Altice (plusieurs milliards d’euros) et que sa valeur a chuté en quelques mois, P Drahi doit plutôt se faire quelques frayeurs. Mais c’est sûr qu’il ne risque pas vraiment de se trouver au RSA avec cette histoire.



Concernant les banques propriétaires de la dette d’Altice, sauf à ce que Altice soit suffisamment grosse pour faire chuter plusieurs banques d’affaires (ce qui n’est pas le cas), je ne vois pas pourquoi l’État viendrait renflouer ces banques.

Le 09/01/2018 à 22h 17

C’est cohérent dans le sens où Altice s’apprête à se séparer de plusieurs filiales pour rembourser sa dette, c’est cohérent aussi de séparer les activités US des activités européennes dans le sens où la rentabilité US sera plus visible des investisseurs.



Et toi, peux-tu expliquer en quoi consiste la socialisation des pertes ? Si SFR faisait faillite (ce qui reste peu probable puisqu’elle serait plus sûrement rachetée par un concurrent avant qu’une procédure collective/dépôt de bilan soit enclenchée), les actifs seraient vendus tels quels et seuls les actionnaires auraient perdu leur investissement (les actions qu’ils ont acheté visiblement trop cher dans pareil cas).



Je me demande bien pourquoi l’État viendrait payer les pertes de SFR. Des précisions seraient bienvenues.

Le 09/01/2018 à 18h 21

Disons que j’ai voulu me mettre à utiliser l’application Windows (j’avais l’habitude du player web) et le streaming a l’air d’avoir du mal à se charger. On mettra mon commentaire négatif sur le compte de la déception du moment.



Ceci-dit, je déteste l’éditorialisation des contenus par algorithme ou par partenariats commerciaux comme celle de Spotify et de Deezer à l’époque où je testais un peu ces sites. Je suis évidemment un abonné Qobuz plutôt satisfait.

Le 09/01/2018 à 07h 56

Si Qobuz n’améliore pas la qualité de ses applications, ce partenariat avec ce réseau de distribution ne va pas l’aider.

&nbsp;

Mais, après tout, E.Leclerc a peut-être l’ambition de mettre une nouvelle corde à son arc en rachetant Qobuz pour en faire sa marque de streaming musical ?

Le 09/01/2018 à 12h 43

Tiens, un nouvel article de Marc Rees en préparation au sujet de E.Macron vs FakeNews ?



&nbsp;twitter.com Twitter

Le 09/01/2018 à 07h 51

Il me semble que la diffusion des publications dans la Timeline des utilisateurs est devenue payante pour les pages Facebook (en tout cas, fortement limitée si la page ne paie pas le service).

Le 09/01/2018 à 07h 47

Quand tu vas chez l’imprimeur pour faire des affiches et des tracts, il ne te dit pas qu’il ne veut pas imprimer ça ou ça parce que c’est une fausse information, si ce n’est pas écrit dans la loi. Il imprime en ajoutant uniquement les mentions légales comme “ne pas jeter sur la voie publique”.

&nbsp;

Les fausses informations sont interdites en France lorsque l’ordre public est menacé. Hormis cette condition, chacun est libre d’exprimer ses opinions et ses croyances. Liberté de conscience, liberté d’opinion, libre-arbitre : même l’État n’a pas à dire ce que le quidam doit penser en dehors des restrictions de la loi (Droits de l’Homme et du Citoyen, inclus dans le préambule de la Constitution de 1958).

&nbsp;

À la vérité, Facebook est un éditeur ou un média et non un système de communication interpersonnelle. Depuis le début, Facebook choisit ce que l’utilisateur regarde (pas de poitrine féminine, pas de sexe, pas d’opinion, mais des émotions, du sang, des larmes, de la peur, de la joie, du rire, etc).

Le 09/01/2018 à 12h 31







joma74fr a écrit :



[…]



Et on pouvait fumer des gitanes en conduisant sans se faire arrêter pour fumage (ou enfumage de son entourage).   



&nbsp;[…]&nbsp;



&nbsp;

&nbsp;Au fait, est-ce qu’on peut toujours fumer en conduisant, de nos jours ?


Le 09/01/2018 à 12h 22

Quand je pense qu’on roulait à 60 Km/h en centre-ville dans les années 1980… avec des feux tricolores à chaque carrefour et des départs dignes de la F1 quand le feu passait au vert… (souvenirs d’enfance)



Et on pouvait fumer des gitanes en conduisant sans se faire arrêter pour fumage (ou enfumage de son entourage).




Pour tous les nostalgiques de cette époque, il reste quelques pays d'Afrique ou de l'Inde-Asie du Sud-Est.

Le 09/01/2018 à 10h 43

“Wiidii” est plus sympa à prononcer que “OK Djingo” pour un francophone <img data-src=" />

Le 07/01/2018 à 15h 36







gavroche69 a écrit :



[…]



Le problème c'est que lui a eu directement la visite d'un huissier sans jamais recevoir le moindre courrier de relance de la part de la CIPAV.      



[…]









Patch a écrit :



Il y a eu décision de justice? Si c’est pas le cas, c’était totalement illégal de tenter une saisie bancaire…






Un huissier ne sert pas uniquement à recouvrir des dettes de manière coercitive et peut rendre visite à une personne sans mandat d'un tribunal (par exemples: pour constater des faits, pour trouver un arrangement, pour informer une personne) :     







  • “Fonctions”&nbsp;service-public.fr Service Public

  • “Description métier”&nbsp;https://www.cidj.com/metiers/huissier-de-justice



    &nbsp;Ceci-dit, entre les sociétés d’affacturage qui se font passer pour des huissiers et les véritables huissiers qui peuvent potentiellement faire preuve de harcèlement téléphonique, postal ou au domicile, il y a forcément de nombreux comportements illégaux, voire pénalement répréhensibles.


Le 07/01/2018 à 10h 42

désolé, “corrosif” avec 2 R.

Le 07/01/2018 à 10h 33

Bon sang! Que c’est corosif en ce début d’année !  <img data-src=" />

 

Parce que les Français (dont je fais partie) font trop confiance au pouvoir centralisé de l’Élysée/Matignon, j’aime bien la 3e caricature à propos de : Le gouvernement ouvre un registre numérique pour les ministres en situation de conflit d’intérêts

 <img data-src=" />

Le 07/01/2018 à 11h 51

Il s’agit seulement du teasing reçu par mail avant le teasing à voir sur place au CES de ce que les constructeurs veulent vendre et qui ne se vendra probablement pas.

&nbsp;<img data-src=" />

Le 07/01/2018 à 03h 02

INtéressants, les écrans incurvés et les PC dans le cloud. À voir, si le succès sera au rendez-vous.

Le 05/01/2018 à 11h 37

Perso, concernant Free, je ne te donnerais pas tort : j’ai connu quelques mésaventures avec ce fournisseur qui néglige son réseau télécom (mais qui est un champion en terminaux “box” et en services numériques maison).




 Il m'a fallu plus de 10 ans pour redevenir client de Bouygues Télécom. J'ai quitté Free en 2011, donc rendez-vous en 2021 pour voir si ma rancune est passée (et si les offres du "trublion" ont progressé).       

&nbsp;

(concernant les zones blanches, l'État devrait avoir fait le travail avec ses 4 partenaires privés, ou l'aménagement du territoire ne serait-elle qu'une vaste fumisterie?)

Le 05/01/2018 à 11h 31

Tu ne connais pas matroska ? Il adoube généralement Orange et Apple. Dans un sens, je ne lui donne pas tord (mais ça se discute quand même).

Le 04/01/2018 à 17h 56

Quand on voit la FIS de Free mobile indiquer en 2019 un débit en itinérance 3G de 768 Kb/s, on se dit qu’il y a les “pigeons” qui ont un iPhone en 4G+ et les consommateurs qui ont un Wiko qui rame en 3G limitée.




&nbsp;« Tu vois... Le monde se divise en deux catégories : ceux qui ont un pistolet chargé... et ceux qui creusent. Toi, tu creuses. »&nbsp;&nbsp;       



&nbsp;




Il y a mieux... mais c'est plus cher&nbsp; :troll:  

&nbsp;(quoi que... à 10€ la carte SIM, c'est cher quand même)



&nbsp;

désolé…&nbsp;

&nbsp;<img data-src=" />

Le 05/01/2018 à 11h 23

Parce que, à côté de la CADA, la CNIL existe aussi ?

Le 05/01/2018 à 11h 19

C’est surtout dû au fait que les accueils des organismes sociaux (CAF, Pôle Emploi, etc) sont à une distance de plusieurs dizaines de Km les uns des autres (aujourd’hui la plupart des démarches se font en ligne avec messagerie “sécurisée”).



Quand on est au RSA ou qu’on a besoin d’une aide médico-sociale, on n’a pas d’accès à internet, on n’a pas de véhicule personnel, on ne sait parfois pas lire/écrire. Donc, il existe des accueils de proximité pour ces gens-là.

Le 04/01/2018 à 17h 30

Principe de non-rétroactivité de la loi :



 &nbsp;       

&nbsp;« Il existe un principe général du droit au terme selon lequel la loi ne peut réglementer que l’avenir. Ce principe possède même une valeur constitutionnelle en matière pénale&nbsp;: on ne saurait en effet reprocher à un individu un comportement qui, à l’époque de sa commission, n’était pas considéré comme une infraction. Ce principe général de non-rétroactivité constitue un corollaire du concept de sécurité juridique&nbsp;: la loi ayant pour but d’ordonner les relations sociales, elles ne sauraient en changer les règles pour le passé, ce qui aboutit toujours à un grand désordre. »



source: Des garanties offertes aux personnes - vie-publique.fr



&nbsp;      

Bien sûr, en Droit, il y a toujours des exceptions (un principe n'est qu'un principe).

Le 04/01/2018 à 14h 49

Si l’exécutif faisait son job d’appliquer les lois, au lieu de pondre des projets de loi comme une poule pond des oeufs, avec un budget valable pour la justice de ce pays, on serait sorti de l’ornière médiatico-politique.



On se demande bien pourquoi le Procureur de la République (le Ministère public, le Parquet) se trouve sous la responsabilité du Gouvernement.

Le 04/01/2018 à 14h 44

Mais bien sûr que si, on peut. Il suffit d’appliquer la loi existante.

Le 04/01/2018 à 11h 39

erreur de ma part, il fallait lire :





  • le respect des lois et libertés publiques par l’autorité judiciaire.



Le 04/01/2018 à 11h 32







Sentenza___ a écrit :



[…] L’Etat devrait développer un libre-arbitre, je dirais même une autonomie, plutôt que l’inverse, mais force est de constater que l’autonomie qu’on peut déjà avoir via les outils à notre disposition (et il y en a des tas et des tas) peu de gens les utilisent…





Qu’on se le dise, l’État ne donne pas la liberté. La liberté se prend. L’État assure seulement :





  • le respect de l’ordre public et sa propre sécurité par le pouvoir exécutif,

  • la limitation des libertés par la loi issue du pouvoir législatif,

  • le respect des lois et libertés publiques par le pouvoir législatif.



     

    «

     Le 7 décembre 1830, les rédacteurs de l’Avenir résumaient ainsi leurs revendications :



    « Nous demandons premièrement la liberté de conscience ou la liberté de religion, pleine, universelle, sans distinction comme sans privilège ; et par conséquent, en ce qui nous touche, nous catholiques, la totale séparation de l’Église et de l’État […] Cette séparation nécessaire, et sans laquelle il n’existerait pour les catholiques nulle liberté religieuse, implique, d’une part, la suppression du budget ecclésiastique, et nous l’avons hautement reconnu ; d’une autre part, l’indépendance absolue du clergé dans l’ordre spirituel […] De même qu’il ne peut y avoir aujourd’hui rien de religieux dans la politique, il ne doit y avoir rien de politique dans la religion. »



    « Nous demandons, en second lieu, la liberté d’enseignement, parce qu’elle est de droit naturel et, pour ainsi dire, la première liberté de la famille ; parce qu’il n’existe sans elle ni de liberté religieuse, ni de liberté d’opinions… »



    Parmi les autres revendications figuraient la liberté de la presse, la liberté d’association, la généralisation du principe électif.

     

    Lacordaire se signala en particulier par des articles demandant la liberté d’expression et la liberté de la presse, la liberté d’enseignement, contre le monopole de l’Université, s’opposant à Montalivet, le ministre de l’Instruction publique et des cultes. Mais il fut surtout véhément pour exiger la séparation de l’Église et de l’État. Ainsi, il appela les prêtres français à refuser le salaire qui leur était versé par le gouvernement, et exalta la pauvreté du clergé. Le 15 novembre 1830, il s’exclamait : « Nous sommes payés par nos ennemis, par ceux qui nous regardent comme des hypocrites ou des imbéciles, et qui sont persuadés que notre vie tient à leur argent […] La liberté ne se donne pas, elle se prend. » Ces revendications, les nombreuses attaques contre les évêques nommés par le nouveau gouvernement, qualifiés d’« ambitieux et serviles », la virulence des auteurs, particulièrement Lamennais et Lacordaire, provoquèrent le scandale auprès de l’épiscopat français, majoritairement gallican et conservateur, et les évêques français intentèrent un procès aux rédacteurs de l’Avenir. En janvier 1831, Lamennais et Lacordaire durent se défendre devant la justice et obtinrent un acquittement triomphal.  

    »  

    source: fr.wikipedia.org Wikipedia


Le 04/01/2018 à 10h 19

L’exécutif limite la liberté d’opinion et le citoyen lambda demande réparation en justice. En principe, on fait l’inverse dans une démocratie.



Mais on peut être favorable à une société dans laquelle l’État contrôle les opinions – ça ne s’appelle plus une démocratie (par défaut on est libre de faire ce que l’on veut et seule la loi limite notre liberté), ça s’appelle une théocratie, une technocratie, une ploutocratie (selon qui décide de l’opinion que tout-un-chacun doit avoir par défaut).

Le 04/01/2018 à 10h 11

Mais ça existe déjà (comme indiqué dans l’article ci-dessus) : les fausses nouvelles qui menacent l’ordre public sont déjà interdites.



Bientôt, faudra-t-il demander au CSA avant la publication d’un pamphlet ou d’un livre polémique ?

Le 04/01/2018 à 10h 06

Il existe quelque chose qu’on nomme communément la liberté d’opinion et le libre-arbitre. Ça s’apprend à l’école de la république, à l’école de l’enseignement privé, ou à l’école de la vie (par exemples et sans exhaustivité: on peut recouper les infos, tourner 7 fois la langue dans sa bouche avant de parler de tweeter, s’abonner à 2 ou 3 organes de presse, lire des livres, aller à la bibliothèque municipale, etc).



&nbsp;Et ce n’est pas une opinion officielle venant du CSA, du gouvernement, d’un/e député/e ou d’une quelconque autorité, commission ou conseil de sages qui décidera ce que pense le citoyen lambda (dans une démocratie, en tout cas).

&nbsp;

&nbsp;Les fake news ont toujours exister, ce n’est pas le web 2.0 qui les ont inventé (même si les fausses nouvelles et les rumeurs s’y déplacent comme une traînée de poudre).

Le 04/01/2018 à 09h 51

E Macron décrètera la formation de la nouvelle ORTF(fusion du CSA et de France Télévisions). On ne va quand même pas laisser des TV étrangères disséminer des opinions dissidentes dans l’opinion publique française.

&nbsp;<img data-src=" />

&nbsp;

Non, en fait, il s’agit simplement d’un bullshit législatif qui fera pschitt, le temps d’occuper l’opinion publique pendant quelques semaines. On a l’habitude.

Le 04/01/2018 à 01h 10

Merci pour la vraie info au doigt mouillé <img data-src=" />

Le 03/01/2018 à 17h 07

« […] directeur de l’innovation et de la communication, nous a ainsi expliqué que le script en question « était expérimental et est d’ailleurs déjà désactivé. Il avait été mis en place par des personnes qui ne travaillent plus chez nous ». » (article Next inpact)





  • en deux mots : méthodes agiles

  • en 2 explications : expérimentation avortée - les initiateurs de la mauvaise idée ne sont plus là



    &nbsp;Nous voilà rassurés <img data-src=" />