votre avatar

anonyme_d5bf0b9f87fd15affa58563db3b0ac5d

est avec nous depuis le 30 octobre 2013 ❤️

7412 commentaires

Le 19/11/2017 à 13h 06

J’ai essayé de regarder The Punisher sur Netflix, mais je n’ai pas accroché (trop brut, trop de mauvais karma). En revanche, ça m’a donné envie d’écouter de la musique gothique finlandaise.

Le 14/11/2017 à 20h 48

Concernant The Crown, j’ai toujours l’étrange sensation que The Doctor se fait passer pour le Prince Philip Mountbatten.

&nbsp;<img data-src=" />

Le 14/11/2017 à 19h 41







Stel a écrit :



Aquaman ca me vend pas du rêve….. mais alors paaaaaaaaaaaaaaaaaaas du tout……

[…]





Il n’est peut-être pas là pour faire rêver le public masculin…



En tout cas, j’ai bien aimé Jason Momoa (l’acteur qui joue le personnage de Aquaman) dans la série Frontier.


Le 14/11/2017 à 17h 34

Justice League a l’air d’un film intéressant, dommage que la musique soit du réchauffé (marketing oblige: on place un air musical que tout le monde connaît pour ne pas refroidir le chaland) et j’ai peur aux excès d’effets spéciaux numérisés (ces bandes-annonce sont pire qu’un feu d’artifice, ça pique les yeux, attention à l’épilepsie).

Le 19/11/2017 à 12h 25

Désolé, je crois qu’il y a méprise de ma part : l’article de Next inpact dit autre chose <img data-src=" />



Les immeubles collectifs seraient déjà concernés par l’obligation (si j’ai bien compris) et l’obligation s’étendrait au semestre 2016 aux immeubles de petites tailles (les maisons individuelles).

Le 19/11/2017 à 12h 17

Effectivement <img data-src=" /> … si on en croit également cet article de Next inpact du 31/08/2016 :





  • Les nouveaux propriétaires bientôt tenus de pré-raccorder leur logement à la fibre optique



    &nbsp; « Alors que seuls les immeubles collectifs neufs doivent aujourd’hui être capables de recevoir « par défaut&nbsp;»&nbsp;la fibre optique (de la même manière que la télévision par exemple), il était prévu que cette contrainte soit étendue à tous immeubles individuels et aux maisons dont le permis de construire aurait été délivré après le 1er juillet 2016.



    &nbsp;Le gouvernement ayant tardé à publier le décret d’application du nouvel article L111-5-1-1 du Code de la construction et de l’habitation, ses dispositions ne s’appliqueront finalement qu’aux bâtiments neufs pour lesquels une demande de permis de construire sera déposée «&nbsp;à compter du premier jour du deuxième mois suivant sa publication [aujourd’hui, ndlr]&nbsp;». Ce qui nous ramène au 1er octobre prochain. »

Le 19/11/2017 à 01h 13

2 remarques:





  • Il ne faut pas croire que la fibre intéresse le quidam qui n’a même pas de poste de TV ultraHD-4K et qui ne changera pas d’abonnement ni pour un meilleur débit internet, ni pour utiliser des objets connectés (sauf si la “hype” s’empare de l’internet of things comme elle s’est emparée du smartphone).

  • Les opérateurs privés n’ont que faire de l’aménagement du territoire, nous sommes bien d’accord. C’est l’affaire des Collectivités locales et de l’État : soit les négociations futures avec les opérateurs privés aboutiront à un déploiement de leur part le plus étendu possible (il paraît que SFR est capable de fibrer 100% de l’Hexagone <img data-src=" /> ), soit les collectivités locales conduiront des projets RIP (réseaux d’initiative publique) financés par l’impôt.



    &nbsp;Tout ça pour dire que le choix de la fibre est autant (si ce n’est plus) un choix de politique industrielle qu’un choix commerciale d’entreprises privés. Et les premiers raccordés à la fibre seront toujours situés dans les zones (les villes, les quartiers, les immeubles les plus denses en logements car plus rentables).

    &nbsp;

    &nbsp;Même dans les années 1970 avec le déploiement du cuivre, ou dans les années 1980-1990 avec les cabines téléphoniques à “télécarte”, il y a toujours eu un décalage d’au moins 5 à 10 ans entre les centres-villes qui attirent du monde et les hameaux ou les quartiers où quelques habitants résident en soirée et les jours fériés.

Le 16/11/2017 à 11h 29

Bien possible que Altice ne puisse plus emprunter actuellement vue la baisse de parts de marché en France. De toute manière, si SFR n’augmente pas rapidement son chiffre d’affaire (donc les bénéfices), elle ne pourra pas rembourser son échéance impressionnante en 2022 : un refinancement de la dette est toujours possible mais incertain et surtout impossible si les clients ne reviennent pas avant 2022.

Le 16/11/2017 à 10h 54

Patrick Drahi a quand même annoncé des choses : il redevient PDG d’Altice, SFR ne changera pas de nom, aucune acquisition avant de rétablir la confiance des clients, etc.



Ici Iliad n’annonce rien à part une situation stable et si on compare l’évolution de l’action Altice avec celle de l’action Iliad sur une période supérieure à un mois, l’action Iliad n’a pas baissé contrairement à l’action Altice.

Le 18/11/2017 à 13h 45

<img data-src=" />&nbsp; <img data-src=" />



&nbsp;Les 3 vautours y ont vraiment cru, tellement ils désiraient le retour à trois opérateurs en France.

Le 18/11/2017 à 13h 38

vendre BouyguesTel mais pas quitter le secteur des télécoms.

Le 17/11/2017 à 13h 56

Le boîtier Miami me fait penser à un gros smartphone Android : parfois ça plante, ça se met à jour quand ça le décide, ça chauffe quand on l’utilise (parce que pas de ventilateur) et en cas de surchauffe ça ralentit.

Le 17/11/2017 à 09h 44

BouyguesTel a l’air de faire les derniers efforts afin d’atteindre ses objectifs en terme de nombre d’abonnés. Comme dit dans l’article, les promos de fin d’année ne vont pas mollir.

Le 17/11/2017 à 09h 27

Personnellement, je me suis réengagé et en contactant BouyguesTel sur Twitter, j’ai pu obtenir le prolongement de la promotion à 18€ par mois qu’on m’avait supprimée suite au changement de contrat.

Le 17/11/2017 à 09h 20

Je confirme : le boîtier Miami chauffe énormément (pas de ventilateur, refroidissement par la surface en métal) et j’ai trouvé cocasse que les mises à jour de Android puissent se produire inopinément au cours du visionnage de la TV (heureusement, je ne suis pas un fan de TV et je ne regarde Netflix que sur PC).

Le 17/11/2017 à 09h 13

Concernant Next inpact, je ne suis pas abonné Free et pourtant, par moment, le chargement des pages et l’envoi des commentaires est tout de même laborieux (j’ai même parfois une page CloudFare “erreur 502”). Idem en ce qui concerne Facebook : la plateforme n’aime pas que je modifie plusieurs fois un commentaire :

&nbsp;

&nbsp;les protections contre les robots ont l’air sévère depuis quelques temps.

Le 18/11/2017 à 11h 43

S’informer, ça prend du temps. Je suis bien d’accord et si tu trouves une solution pour que ça se fasse instantanément, tu auras rendu service à l’humanité. Et si tu te dis zététicien, j’ai une mauvaise nouvelle pour toi : tu ne seras jamais sûr de ce que tu penses, car tu es incapable de croire sans voir (tu es comme Saint Thomas).

Le 18/11/2017 à 11h 36

Vous êtes vraiment rabas-joie les scientifiques, cartésiens, zététiciens ou je ne sais comment vous voulez qu’on vous appelle :





  • Non seulement, vous n’êtes pas d’accord entre vous (dans le documentaire, ce sont des scientifiques qui témoignent de leurs travaux), nonobstant le fait que vous partagiez les mêmes valeurs et les mêmes méthodes de raisonnement.

  • Mais en plus, vous vous bornez à chercher la petite bête, le petit détail qui cloche dans tout propos que vous entendez.



    &nbsp;C’est un documentaire (un film qui sert à élargir ses connaissances à d’autres sphères que celles qu’on connaît déjà), avec des témoins qu’on écoute étaler leur opinion, leur expérience, leur connaissance d’un sujet, ce n’est pas un rapport scientifique exhaustif. En l’occurrence, vous pouvez dire tout ce que vous voulez à propos de ce documentaire (et vous avez raison et le droit de le dire), mais vous ne pouvez pas dire que ce documentaire est dangereux ou qu’il raconte des “salades”. D’ailleurs, il y a un biais dans tout discours, même dans le discours ou l’étude (qui se veut exhaustive et exacte) d’un scientifique ou d’un zététicien, car tout propos ne peut refléter une Vérité absolue, ça fait partie des limites du langage. Aucun discours ne renferme l’entièreté d’une Vérité absolue.



    Donc, vous pourrez toujours, à l’infini remettre en question le raisonnement d’autrui, mais si vous mettiez en même temps vos propres convictions en question, ce serait déjà plus correct et INtéressant.

Le 17/11/2017 à 21h 18

Un documentaire n’est pas une synthèse ou un rapport exhaustif. Il faudrait penser un peu à développer votre sens critique et vous remettre en cause, plutôt que :

&nbsp;




  • de vomir sur un documentaire qui ne vous a rien fait,

  • ou pire, d’appliquer un dogme ou une opinion personnelle sur ce que vous percevez



    &nbsp;alors qu’il suffit de prendre du recul sur ses propres certitudes et de remettre un poil ses certitudes en question.

    &nbsp;

    (mais peut-être êtes-vous un génie omniscient, dans ce cas recevez toutes mes excuses)

Le 17/11/2017 à 20h 09

ça s’appelle une hypothèse de départ, un postulat. On se pose une question et on interroge des chercheurs, des témoins du sujet qui livrent leurs conclusions. Chacun est libre de se faire sa propre opinion et de faire ses propres recherches sur le sujet, on appelle cela communément le sens critique. C’est clair que ça change des émissions TV qu’on consomme pour se vider la tête.

Le 17/11/2017 à 14h 04

La (fausse) naïveté de la publicité d’Apple est pas mal non plus <img data-src=" />



Un micro-ordinateur ne sert pas uniquement à faire du web, de la messagerie instantanée ou à jouer à l’écran magique



Ceci-dit, si on veut communiquer en wifi perché sur un arbre, un iPad est plus pratique qu’un iMac <img data-src=" />

Le 17/11/2017 à 10h 37

D’accord&nbsp;&nbsp;<img data-src=" /> Je reconnais qu’en l’état actuel de la pratique des institutions, l’utilité du CESE est marginale et qu’une fusion du Sénat et du CESE serait éventuellement une bonne chose (bien que la décentralisation de la République tend aujourd’hui à conférer de plus en plus de pouvoirs aux Collectivités territoriales).




Personnellement, je préférerais qu'on redonne au CESE son rôle constitutionnel dans la pratique des institutions. Mais, c'est comme le "septennat unique" du Président de la République qui aurait plus de sens dans la Ve République que l'actuel "quinquennat renouvelable une fois" -- ce quinquennat présidentiel qui, associé au pouvoir de dissolution, renforce le pouvoir de l'exécutif sur l'Assemblée nationale. On n'est pas loin de la situation de Louis XVI ou de Bonaparte Consul à vie finalement : un parlement moribond qui fait face à un chef de l'exécutif qui nomme trop de responsables politiques et qui décide en dernier ressort face au législatif et au judiciaire au petits moyens (ma petite opinion personnelle).

Le 17/11/2017 à 10h 10

Personnellement, je ne vois pas Louis XVI comme un démocrate. Il n’aimait pas le pouvoir, mais il n’a jamais renoncé à l’absolutisme et au pouvoir “de droit divin”. C’était un conservateur pur et dur, au contraire de la monarchie britannique qui a su partager le pouvoir avec ce qu’on appelait en France le “tiers-État”.

Le 17/11/2017 à 10h 02

Sûrement… cependant la révocation de l’Edit de Nantes par Louis XIV ne s’est pas fait sans heurs tout de même (je fais notamment référence aux dragonnades).

Le 16/11/2017 à 11h 04

Merci pour ces précisions que je ne connaissais pas <img data-src=" />



Mais à part la Bretagne et quelques cités protestantes, je ne vois pas bien quelles provinces résistaient aux décisions de Louis XIV.

Le 16/11/2017 à 10h 43

“Et qui propose de payer des impôts pour compenser des choses illégales”



Je suppose une persistance du mercantilisme de Colbert, associée à celle de l’État-providence des 30 Glorieuses.

Le 16/11/2017 à 10h 34

Il faut dire que dans le secteur de la culture et de la presse, Microsoft est plutôt un nain.

Le 16/11/2017 à 10h 27

C’est toujours intrigant pour moi de voir comment on est capable de discréditer l’utilité d’une institution au prétexte qu’elle sert à recaser des élus déchus ou que son rôle n’est pas prédominant dans les décisions de l’État. C’est la même chose avec le Sénat et le système bicaméral du Parlement. Si on veut tout simplifier, on revient au système de la monarchie absolue ou du gouvernement de Vichy et on en parle plus.&nbsp;

&nbsp;

&nbsp;Le principe de base des institutions démocratiques est surtout constitué par de la transparence, des débats publics et la participation de l’ensemble des représentants de la Nation.

Le 15/11/2017 à 19h 12

Intéressant, le graphique de l’article : on voit bien l’effet de levier avec les différentes échéances de remboursement et les dettes des différentes filiales du groupe Altice.

Le 15/11/2017 à 15h 50

En parlant des statistiques Nperf et 4G mark dont les FAI se servent parfois dans leurs publicités, à lire :

&nbsp;

Derrière les publicités 4G, les mécaniques de la mesure de débit- Next inpact - 29/05/2017

Le 15/11/2017 à 15h 37

Et si tu regardes Netflix sur un smartphone à 50€ en wifi, le débit ne sera pas le même que sur un écran ultraHD-4K avec l’abonnement premium de Netflix connecté à la fibre FttH. Ce qui fera baisser la moyenne de ces statistiques Netflix.



Concernant la question de savoir s’il s’agit d’une arnaque, d’après moi, ce n’est pas pire que les publicités des opérateurs télécom qui vantent la 4G et la fiiibre qui va très vite “jusqu’à 1Gb/s”.

Le 15/11/2017 à 15h 24







secouss a écrit :



Bah tu prend rien que les test de chez Nperf / 4G mark pour le mobile / Speedtest / ARCEP et les quelques études indépendant et ose me dire qu’ils sont d’accord sur le fait que comme tu le dis Free est beaucoup moins bon ? […]





Encore faut-il préciser que ces statistiques Netflix ne représentent pas la qualité du réseau des FAI, mais l’interconnexion de Netflix avec ses abonnés classés selon le FAI auquel ils sont connectés.



&nbsp;“L’indice de performance des FAI concernant Netflix donne le débit

moyen aux heures de grande écoute du contenu Netflix regardé en

streaming par ses utilisateurs au cours d’un mois donné. Pour déterminer

le débit binaire aux heures de grande écoute pour chaque FAI, nous

calculons le débit moyen en mégabits par seconde (Mbit/s) du contenu

Netflix regardé en streaming par ses utilisateurs. Nous mesurons le

débit effectif sur tous les appareils dont disposent les utilisateurs.

Pour un petit nombre d’appareils, nous ne sommes pas en mesure d’établir

le débit exact et le streaming sur les réseaux cellulaires n’est pas

pris en compte dans nos mesures. Le débit indiqué dans l’indice de

performance des FAI n’est pas une mesure du débit maximal ni une

indication de la capacité maximale d’un FAI.”

&nbsphttps://ispspeedindex.netflix.com/about/fr/



Ceci-dit, chacun peut croire ce qu’il veut, et ces statistiques n’ont pas la prétention de représenter une vérité scientifique ou de faire office de rapport technique ou d’étude indépendante. Ces statistiques s’adressent aux abonnés Netflix comme n’importe quelle communication commerciale.


Le 15/11/2017 à 11h 31

Effectivement, le but d’une fusion est de faire des économies d’échelle, donc entre autres choses, de faire autant avec moins d’effectifs (on supprime les postes en double et même plus). Encore faut-il garder le même nombre de clients (voire d’accroître le chiffre d’affaire, ce qui est indispensable dans le cas d’une fusion par LBO).

Le 15/11/2017 à 11h 26

En principe quand on vend, c’est justement pour rembourser les dettes (ou, plus sûrement, une partie des dettes).

&nbsp;

&nbsp;De toute manière, Iliad n’est pas en mesure d’acheter Altice à elle toute seule (même pas Altice France)… ou alors, en achetant Altice pour 1€ symbolique (si jamais le dépôt de bilan était prononcé et dans le cas où, hypothétiquement, les infrastructures d’Altice ne valaient plus grand chose).

Le 15/11/2017 à 11h 17

&nbsp;Quand je pense que, entre 2014 et 2016 (pendant près de 2 ans), les commentaires dans les médias et dans les forums/rézo socio disaient la même chose à propos de Bouygues Télécom qu’à propos d’Altice-SFR aujourd’hui depuis quelques jours…

&nbsp;Comment on dit ?… Ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué ?




Le 15/11/2017 à 13h 00

&nbsp;Concernant Syma, les boutiques Syma sont un peu la résurgence des boutiques télécom qui avaient disparu suite aux bas tarifs de Free mobile en 2012-2013 (on se souvient de The Phone House).




   &nbsp;D'ailleurs, c'est amusant de voir fleurir aujourd'hui dans les centres-villes ces boutiques d'accessoires pour mobile (qui vendent parfois des mobiles, des netbooks, des services de cybercafé... et qui jouent parfois le rôle de MVNO).

Le 15/11/2017 à 11h 57

&nbsp; Comme face à Cash investigation, face à Next inpact, ne pas répondre aux sollicitation du journaliste est une erreur&nbsp; <img data-src=" />

&nbsp;

&nbsp;Note pour plus tard : revoir la politique de communication en cas de mise en cause avérée de la marque.

&nbsp;(transparency is the new marketing)

&nbsp;

&nbsp;«On peut tromper une personne mille fois. On peut tromper mille personne une fois. Mais on ne peut pas tromper mille personnes, mille fois. » - Alain Berberian / La Cité de la peur

Le 14/11/2017 à 12h 51

Voilà, tu as résumé la raison d’être de la NSA : je surveille x, donc je surveille y qui est en rapport avec x de manière régulière.

Le 14/11/2017 à 12h 44

Si je résume ton point de vue, sauf erreur d’interprétation de ma part : on serait libre de commettre des actes illégaux, pourvu que la justice ne s’en mêle pas.



D’après moi, si c’est illégal, il ne fallait simplement pas le faire. Oui ça “jette l’opprobre sur notre pays” (en tout cas, ça ne l’honore pas).

Le 13/11/2017 à 16h 47

OK, merci de la précision <img data-src=" />



Dans un sens la structure du texte ressemble un peu, mais appeler ça du plagiat, c’est comme si Coca-Cola reprochait à Pepsi d’utiliser les mêmes ingrédients dans son soda.

Le 13/11/2017 à 16h 25

Reprendre une information sans citer la source, il me semble que ce n’est pas très correct, mais encore faut-il que l’auteur de l’information prouve qu’il s’agit d’une exclusivité ou d’un “scoop” (à mon avis).



Je ne comprends pas bien le litige, cette élection était bien un événement public, non ?

Le 13/11/2017 à 15h 58

« Sans oublier que l’on peut souscrire sans être client SFR à 10€/mois ou 60€/ans il me semble. »



<img data-src=" /> C’est vrai, les “exclusivités” SFR sont disponibles en offres OTT (sans abonnement box SFR ou mobile SFR) :




Le 13/11/2017 à 15h 35

Orange qui empêche de changer les adresses DNS des Livebox, Orange qui propose des services de banque, de domotique, de TV et j’en passe…. pour moi, ça ressemble beaucoup à de l’internet by Orange (même si les “services spécialisés” des opérateurs sont autorisés par la définition officielle de la neutralité du net).

Le 13/11/2017 à 15h 27

OK merci de l’info <img data-src=" />

Le 13/11/2017 à 10h 25

Il me semble que Orange Bank a une interface web, mais l’usage d’un smartphone compatible est obligatoire (sûrement pour faciliter diverses fonctionnalités et opérations).

Le 13/11/2017 à 10h 19

« Mon besoin principal serait d’y accéder sur un ordinateur, et parfois sur Tablette, mais pas l’inverse. »



En effet, je pense que le fait qu’une banque soit “omnicanal” (comme on dit dans le marketing) est un avantage.



En revanche, le fait d’être obligé d’utiliser un smartphone très récent (ne serait-ce que pour souscrire à une offre) et parfois d’envoyer une lettre recommandée en papier (pour clôturer un compte notamment - je fais référence à des banques en ligne comme Monabanq ou ING Bank actuellement), c’est ubuesque et ça ressemble fort à une manière de rendre le client captif ou de le forcer à adopter de nouveaux usages (c’est l’erreur de Microsoft avec l’interface type “tablette” de Windows 8).

Le 13/11/2017 à 10h 05

« […] sur le téléphone mobile qui est devenu un peu la télécommande de nos vies. » dixit S Richard.

 

Orange, don’t be evil<img data-src=" />

 

« Je préfère mettre un milliard chaque année pour faire la fibre optique en France, plutôt que pour acheter les droits du foot » dixit S Richard.

 

C’est sûr, le mot “exclusivité” est exclu du langage d’Orange. Par exemple, les droits d’exclusivités de OCS ne sont pas le fait d’Orange.

  <img data-src=" />  <img data-src=" />

 

« Nous avons une conviction très forte, c’est que l’utilisateur veut la liberté de choix […] nos clients veulent avoir Netflix, ils veulent avoir Canal+, OCS bien entendu, toute sorte de contenus […] ils n’ont pas du tout envie qu’on les mette dans une espèce de souricière dans laquelle on leur dit ”Tu as pris un abonnement, tu vas aussi consommer nos contenus” » dixit S Richard.

 

Bien dit  <img data-src=" />

Maintenant la question est : Va-t-on offrir au client ce qu’il souhaite avoir ? Autrement-dit, comment va-t-on valoriser des contenus audiovisuels si on ne rend pas le client captif d’une exclusivité ?

Le 12/11/2017 à 09h 59

Quand Usul, l’écharpe posée sur la poitrine tel un prédicant chrétien, utilise l’expression « Il aurait été dommage que… », je le trouve « éminemment » bourgeois, le temps d’un instant.