Le fait est que les banques ne veulent plus traiter lamonnaie sonnante et trébuchante. Elles préfèrent se payer elles-mêmerubis sur l’ongle(les frais bancaires sans facturation préalable). Même l’administration fiscale refuse les espèces au-delà de 300€ ! Comme si les paiements en espèces étaient suspects de blanchiment d’argent sale et que la logistique du papier-monnaie était plus dangereux que l’argent anonyme. C’est ridicule, le commerce et la démocratie sont basé/es sur la confiance avant tout.
Comme devant le tribunal correctionnel : la première fois, c’est une peine avec sursis, si on persiste dans l’infraction, c’est une peine ferme.
Plus sérieusement, si l'opérateur te contacte pour te dire que tu consommes plus hors de France qu'à l'intérieur des frontières et qu'il faut arrêter maintenant, si tu persistes à consommer plus à l'étranger, il ne va pas te faire cadeau d'une consommation qui est juridiquement considérée comme une consommation habituelle hors de France. Ceci-dit, on ne sait jamais : les opérateurs offrent bien actuellement des forfaits mobile 40Go à 100Go pour 0,99€, 2,99€ ou 9,99€ mensuel pour attirer les clients de leurs 3 confrères, donc tout est possible.
Je remarque cependant que Parsec a l’air d’avoir une application compatible Linux Ubuntu, ce qui n’est pas le cas de LiquidSky. J’imagine qu’avec son boîtier, Pc Shadow permet d’utiliser un PC Ubuntu.
Le
03/12/2017 à
16h
14
Moi qui joue de temps à autres à Europa Universalis sur un PC bureautique, j’ai testé LiquidSky (que je ne connaissais pas), et c’est vraiment intéressant avec une offre pour les “power users” et une offre pour les gens comme moi (qui paient à la consommation).
En revanche, je n’ai pas compris comment fonctionnait Parsec (trop de mots d’anglais que je ne comprends pas et aucun tarif affiché).
PC Shadow a l’air d’être fait pour les joueurs de Mmeuporg (MMORPG), de FPS et autres jeux d’action en live avec des parties qui durent plusieurs dizaines heures dans une période de quelques jours (voire plus sur une période mensuelle).
« Vers une future loi étendant la régulation d’Internet par le CSA ? C’est ce qui ressort d’un discours prononcé samedi par Emmanuel Macron à l’occasion de la journée de lutte contre les violences faites aux femmes. Seul hic, plusieurs mesures existent déjà pour encadrer les débordements. » - Next inpact - 27/11/2017
E Macron est un peu le Robespierre du XXIe Siècle : soit on est d’accord avec les Montagnards (avec lui), soit on coupe la tête des Girondins. D’ailleurs, Moi qui croyais que E Macron était un fédéraliste européen, je me demande s’il n’est pas plutôt un conservateur qui aime l’Union européenne par opportunisme de circonstance (non, je n’ai pas dit qu’il aime l’Europe des banques, c’est pas mon genre de caricaturer le Président de la République).
ÀMHA on est bien content de trouver un huissier quand on est du côté du plaignant (tous les créanciers ne sont pas des usuriers et tous les surendettés ne sont pas des victimes du système).
Le
01/12/2017 à
13h
20
Gibraltar, les Bahamas (possessions britanniques) ne seraient pas des paradis fiscaux ?
« Liste gris foncée (paradis fiscaux déjà identifiés en 2000 par l’Ocde) : Andorre, Anguilla Antigua, Barabade, Aruba, Bahamas, Bahrein, Belize, les Bermudes, les iles vierges anglaises, les iles Cayman, les iles Cook, la Dominique, Gibraltar, Grenade, Liberia, le Liechtenstein, les Iles marshall, Monaco, Montserrat, Nauru, les Antilles néérlandaises, Niue, Panama, St Kitts and Nevis, Sainte Lucie, Saint Vincent et Grenadine, Samoa, San Marin, les iles Turks and Caicos, Vanuatu. »
Cette affaire Airbnb me rappelle une autre affaire avec Lycamobile : « La police enquête sur une étonnante filière de blanchiment chez Lycamobile, qui mêle vente de cartes téléphoniques et paiement au noir de travailleurs du BTP. »
Les productions de BBC America et de la BBC britannique (par exemples) sont pourtant parmi les plus populaires dans le Monde.
Le
02/12/2017 à
13h
04
Elwyns a écrit :
la CAP n’est pas un impot, si cela l’était elle serait indexé sur le revenu, hors ce n’est pas le cas. c’est bien pour cela qu’il y a une ligne “Redevance audiovisuelle” sur la ligne d’impôts locaux.
Si ce n’est un impôt, alors qu’est-ce donc d’après toi ?
D’ailleurs, je précise que l’assiette d’un impôt n’est pas forcément constitué de revenus (l’impôt sur les revenus des personnes physiques est un impôt parmi d’autres).
Le
02/12/2017 à
12h
58
À côté de la BBC, même en additionnant les diffusions de France Télévisions + Radio France + France Médias Monde, l’État français est petit joueur :
Heureusement qu’on est encore libre de regarder la TV ou pas. La question ici est de savoir comment on finance les programmes audiovisuels qui représentent des coûts fixes très importants et d’assurer le service au moment où le quidam a envie d’allumer un poste de TV.
Rien n’interdit de s’informer dans la presse (subventionnée ou non), dans des conventions, dans des conférences-débat, etc (c’est même plutôt conseillé).
Le
28/11/2017 à
18h
52
Certes c’est un impôt spécifique, mais comme tout poste de dépense de l’État, il y a un lobbying qui s’oppère. Je ne vois pas vraiment où est le débat ici (à part que c’est une dépense de l’État qui fait l’objet d’articles de presse).
Pour être précis : ne pas confondre les transports publics d’État de la région parisienne (où l’infrastructure est vieillissante) avec les Société Publiques Locales de transport urbain (SPL) qui sont aussi efficaces, sinon plus, que des acteurs privés comme Transdev ou RATP Dev ou Vectalia qui sévissent ailleurs dans l’Hexagone.
" />
Le
02/12/2017 à
11h
07
Jarodd a écrit :
Comment fais-tu ? Free n’est dans aucun site de test à ma connaissance, et son propre site te présente du “haut débit” sans préciser si c’est du xDSL ou de la fibre.
Le site free.fr présente un résultat d’éligibilité générique sans aucune précision de la technologie de raccordement réseau lorsqu’il s’agit du réseau cuivre et ne précise le type de raccordement que lorsqu’il s’agit d’un raccordement Très Haut Débit (FttH). Comme d’habitude, le marketing de Free est intelligemment opportuniste :
Concernant les réseaux de distribution dans les secteurs de l’eau (eau potable et assainissement des eaux usées), de l’électricité et des routes, ceux-ci appartiennent aux collectivités locales (départements, agglomérations, communes souvent organisées en syndicats).
Concernant lesréseaux de transport, ceux-ci appartiennent généralement soit à l’État français, soit à des filiales de grands groupes du CAC40.
Dans le secteur des télécoms, on considère (malheureusement de mon point de vue) que les réseaux (l’infrastructure) au sens large, et les réseaux de distribution (fibre FttH entre le NRO et l’habitation) en particulier, correspondent à un élément de différentiation de l’offre commerciale indissociable de la fourniture du service de communication électronique en lui-même. Donc, dans ce contexte, si on souhaite une offre commerciale plurielle et nombreuse, la concurrence par les infrastructures est la seule solution envisageable (si on admet que 4 propriétaires de réseaux qui se battent en duel, correspondent à un marché vraiment concurrentiel). Et les MVNO et autres fournisseurs de services télécom indépendants du réseau n’ont aucune marge de manoeuvre, mais peut-être ont-ils un impact sur quelques marchés de niche.
Le
02/12/2017 à
09h
37
En plus de mon commentaire précédent #9, je citerais les exemples de EDF/Enedis sur les marchés de l’électricité et de BT/Openreach* en Grande-Bretagne, par opposition à Orange qui change de casquette suivant le rôle que la multinationale doit remplir vis-à-vis de l’État/Arcep.
Quand on veut ouvrir un marché à la concurrence commerciale et favoriser la pluralité des offres alors qu’il y a une multinationale (telle que Orange dans les télécoms, ou EDF dans les infrastructures d’électricité) en situation de quasi-monopole sur un ou plusieurs marchés de ce secteur d’activité, et si on veut vraiment que l’infrastructure (le réseau) soit ouverte à tous les acteurs du marché (suivant le contexte: fournisseurs, producteurs, diffuseurs, etc), donc on dédie une structure juridique – une filiale du grand groupe international en question, ou mieux une entité totalement indépendante financièrement qu’elle soit publique ou d’économie mixte ou sous forme d’organisme privé (comme les CPAM dans l’assurance santé ou comme le GIE Cartes Bancaires par exemples) – à la relation entre le gestionnaire de ce réseau et l’ensemble de ses clients (les acteurs du marché qui utilise cette infrastructure commune dont ils ont besoin).
Or ce n’est pas le cas actuellement avec Orange qui ne remplit ses obligations d’activités sur le marché de gros régulé (négociées avec l’État/gouvernement+Arcep) qu’en faisant des rapports d’activités sans transparence publique basée sur la bonne foi supposée de ses propres services (qui analysent et auditent par contrôle de gestion afin d’être en mesure d’isoler les activités régulées des activités commerciales soumises à concurrence).
En espérant avoir répondu clairement à la question.
* articles de Next Inpact INtéressants au sujet de BT et Openreach :
Au Royaume-Uni, le géant BT accepte de séparer ses activités réseau et FAI- 10/03/2017 - « La scie est de sortie : l’Ofcom annonce que BT transforme son activité réseau en entreprise à part entière. Elle restera une filiale du groupe, avec un budget et un organigramme propres. De quoi donner un coup de pouce à la concurrence du marché britannique, que l’opérateur historique entravait, selon le régulateur. »
Télécoms : l’électrochoc du régulateur britannique sur la concurrence- 25/02/2016 - « Le régulateur britannique des télécoms, l’Ofcom, propose une séparation de l’opérateur historique : d’un côté la partie réseau, de l’autre le fournisseur d’accès. Le but, accélérer le déploiement du très haut débit et intensifier la concurrence. Un observatoire de la qualité de service et une nouvelle carte de couverture sont aussi prévus. »
Le
01/12/2017 à
14h
02
Je sais bien qu’en France, on n’en a rien à faire des conflits d’intérêts, et personnellement, à cause de ça, j’ai mal à ma France. D’ailleurs, si ça ne tenait qu’à moi, le FAI Free serait indépendant de l’opérateur télécom Free et du diffuseur audiovisuel Free. Et chaque client pourrait choisir de brancher l’offre OTT Free sur une ligne Orange (et vice-versa) en choisissant BouyguesTel comme FAI (ou un autre FAI).
Le
01/12/2017 à
13h
54
Justement, que Free ait l’accès plein et entier des fourreaux et génie civil d’Orange (ou même de Enedis ou autre - en partenariat commercial ou en accès obligatoire réglementaire). Ça évitera à Orange d’avoir l’obligation de proposer une offre de gros à Free, BouyguesTel et autres FAI. Mais, ni l’État, ni Orange ne demandera ça – pas folle la guêpe, elle gardera la main-mise sur l’infrastructure si on lui laisse le choix (ça ne veut pas dire pour autant que Free ou BouyguesTel sont prêts à faire les investissements nécessaires).
Le
01/12/2017 à
13h
41
J’habite dans une agglomération de 200 000 habitants et dans un quartier fibré en co-financement Orange/SFR et j’ai souscrit début 2017 un abonnement Bbox Miami fibre (BouyguesTel).
(Freebox fibre n’est, à ce jour, pas encore proposé dans mon logement)
en faisant un test d’éligibilité à l’instant, je suis enfin! éligible à l’offre Freebox fibre (ça ne m’intéresse pas personnellement, mais c’est à souligner).
Le
01/12/2017 à
13h
39
Finalement, je suis d’accord avec l’avis de Free et sa “« Muraille de Chine absolue » entre Orange déployeur et Orange fournisseur d’accès”.
Maintenant, on fait d’excellentes prothèses cardiaques comme en témoigne le film Hyper Tension 2 (avec Jason Statham) dans lequel « Un parrain de la mafia a remplacé le coeur de Chev par une prothèse qu’il doit régulièrement stimuler en s’envoyant des décharges électriques. » " />
La question éthique en matière de smartphone et tablette et services télécom, elle est passablement oubliée de nos jours, même par la jeune génération des digital natives et des millenials.
Il n’y a qu’à voir le succès de Wiko ou de l’iPhone : ça se vend comme des petits pains. Il n’y a bien que quelques organes de presse de consommateurs (60 Millions de consommateurs par exemple) et quelques organisations comme l’Ademe ou Greenpeace pour conseiller de laisser refroidir son smartphone quand il est chaud, de le protéger dans un étui quand on ne s’en sert pas (dans le but de le conserver le plus longtemps possible), de ne pas laisser dormir inutilement des appareils dans les tiroirs, de renouveler son appareil en achetant éventuellement de l’occasion, d’acheter des appareils réparables (iFixit est ton ami), etc.
Dans 20 ans, on regardera le début du XXIe Siècle comme une frénésie du smartphone (ou alors on aura oublié pour succomber à une frénésie de consommation focalisée sur un autre produit/service).
Le
01/12/2017 à
10h
18
« Est-ce que le service est interrompu pendant la portabilité ?
L’abonné continue à bénéficier du service chez son ancien opérateur entre le moment où il fait sa demande de portabilité et le moment où le numéro est effectivement basculé chez le nouvel opérateur.
Cette opération de bascule est appelé « portage ». L’abonné est informé de la date et du créneau horaire auxquels sera effectué le portage soit directement lors de la souscription, soit par sms après la souscription, au plus tard la veille du portage.
Le jour du portage, durant le créneau horaire indiqué, l’abonné constatera une coupure du service de l’ancien opérateur. Il doit alors insérer la carte SIM du nouvel opérateur dans son terminal et attendre l’activation du service de ce dernier.
Le délai maximum entre la coupure chez l’ancien opérateur et l’activation chez le nouvel opérateur est réglementé ; il est fixé à 4 heures. »
Ces offres promotionnelles sont juste cyniques en terme de relation client : en gros, les opérateurs prennent leurs millions de clients littéralement pour des vaches à lait qu’ils sont. C’est un peu comme la “crise du beurre” récente causée par l’augmentation de la demande de beurre au niveau mondial, alors que le prix du lait n’a jamais été aussi bas et parce que les centrales d’achat de la grande distribution et l’industrie agro-alimentaire n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur un prix raisonnable pour tout le monde (au passage, ça me rappelle les “problèmes de peering” pendant les heures d’affluence entre Free avec youtube ou netflix ou autres selon les saisons).
Il y a aussi un soucis que j’ai déjà expérimenté avec ces périodes promotionnelles : j’ai l’impression que la qualité du service baisse temporairement à cause de l’affluence provoquée sur les réseaux et qui n’est pas forcément prise en considération dans la gestion de l’infrastructure par l’opérateur (bref, rien de nouveau, on vend de la 4G, mais on fournit un service par moment pitoyable et c’est pas grave du moment que le client paie et que la concurrence chope moins de client).
Le
30/11/2017 à
17h
47
S’il s’agit d’un RIP (Réseau d’Initiative Publique), il ne s’agit pas d’un réseau en co-financement d’opérateurs privés (et vice-versa).
" />
Le
30/11/2017 à
17h
43
« C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme. »
Faut pas rêver, l’argent public n’a pas servi à renflouer Vivendi Universal et ne servira pas plus à sauver Altice de la débacle (si elle a lieu). D’ailleurs, Orange sera déjà bien content de se débarrasser d’un de ses véritables concurrents (le monopole n’est pas loin sur les marchés de gros), quant à Free et BouyguesTel, ils pourront, le cas échéant, profiter du partage des actifs de la bête mise à terre.
Le
30/11/2017 à
17h
20
Concernant le point 3- : Free a surtout eu l’idée (bonne ou mauvaise) d’installer ses propres équipements dans les NRA avec la bénédiction des autorités (l’ART/ARCEP en premier chef) à côté de ceux de France Telecom avec une offre défiant toute concurrence, ce qui a provoqué une baisse des tarifs des offres internet par ADSL et la chute des FAI fonctionnant avec un modèle économique dépendant de l’offre de gros de France Telecom (qui, bien sûr, n’a pas aligné son prix de gros).
NB: n’étant pas un “power user” ou un “gros consommateur-squatteur de réseau”, je suis le premier à regretter cette guerre des prix des promotions, je suis un fan des offres commerciales dites “de niche” (FAI indépendants, MVNO).
Le
30/11/2017 à
14h
28
Le rendez-vous est-il déjà positionné ? ou s’agit-il simplement d’une tacite évolution de l’offre souscrite par affirmation orale d’un agent commercial ?
Perso, avec Orange, j'ai eu un rendez-vous pendant lequel le technicien m'a dit que mon appartement serait difficile à fibrer et m'a engagé à prendre un 2d rendez-vous pour réfléchir et me décider (2d rendez-vous que j'ai annulé car j'avais d'autres priorités à ce moment-là et que ça m'avait déçu). Et avec BouyguesTel, j'ai eu un rendez-vous qui s'est ma foi bien passé malgré une installation dans les parties communes de l'immeuble qui m'on laissé songeur (mais dans mon immeuble, c'est général à tous les sous-traitants qui font plus ou moins un travail de sagouin).
Plus le prix du forfait est faible, moins la quantité de données mensuelle en itinérance européenne est importante. BouyguesTel obéit donc à la réglementation européenne sans aller aussi loin que Free mobile (par exemple).
En fait, l’expression utilisée par BouyguesTel est : « pour l’ouverture d’une nouvelle ligne, limitée à une par foyer »
Le
30/11/2017 à
11h
27
« Chez Free (Mobile) et Bouygues Telecom, l’offre est réservée aux nouveaux clients, avec ou sans portabilité. » (article Next inpact)
Client Bbox, j’ai accès à l’offre promotionnelle B&You 20Go à 3,99€ par mois. Finalement, “nouveau client” veut dire “nouveau client mobile pour une offre promotionnelle mobile”.
C’est très drôle cette opposition public/privé, parce que de toute manière le public est dirigé par le privé : groupes de pressions, influence sur la Société, élections, etc.
Et surtout, le démantèlement de Google (qui n'est à l'heure actuelle qu'une hypothèse, une virtualité) ne se pose pas sans consensus, sans négociation. D'ailleurs, une société privé hégémonique (en situation de monopole) est plus proche du communisme qu'une autorité publique qui négocierait (et, je le répète, ce n'est qu'une hypothèse qui n'est pas prête d'être mise en place) le démantèlement de Google.
Il y a quelque chose que je ne comprends pas dans cette opposition d'un Google qui serait forcément transparent dans sa politique commerciale et qui aurait tous les mérites sociaux face à une autorité publique qui serait forcément opaque, manipulatrice, corrompue (liste non-exhaustive). J'ai l'impression qu'il faut réviser vos* préjugés et abandonner quelque dogme soit-disant capitaliste ou hédoniste (*vous = tous ceux qui en veulent aux État, aux gouvernements, aux commissions, etc).
Le
29/11/2017 à
09h
43
En fait, après réflexion, c’est un peu présomptueux de ma part d’affirmer que “je n’ai jamais compris où se situait la praticité” de tout centraliser chez le même fournisseur, puisque c’est ce que j’ai fait pendant 15 ans avec ma banque.
Et c’est vrai que c’était bien pratique… jusqu’au jour où j’en ai eu assez qu’on ne me renseigne pas correctement sur les produits et qu’on m’aiguillait vers des produits dont je n’avais pas besoin.
Le
29/11/2017 à
09h
28
Perso, je n’ai jamais compris où se situait la praticité dans le fait d’utiliser des services”tout-en-un” (tout sur une seule et même facture, tout les services liés sur la même interface utilisant les mêmes données imbriquées).
Je suis peut-être très sensible au fait que ce marketing de l’offre packagée rend le client que je suis particulièrement captif et donc fragile en cas de problème avec mon fournisseur.
Le
29/11/2017 à
06h
14
Pour les cinéphiles, il y aThe Circledisponible en Vod et qui dépeint très bien les problématiques et les enjeux d’une société dont le coeur de métier est la disponibilité publique de toute donnée (données intimes, démocratisation de la connaissance, transparence des activités de chacun, visualisation de tout lieu, agrégation de métadonnées rendues publiques, etc) avec les implications dans la vie de tous les jours de milliards d’individus.
Le
29/11/2017 à
06h
03
Laurent SFN a écrit :
Quelques réflexions et anecdotes en vrac…
Dans une boite ou je bossais l’an dernier, on avait tous un compte gmail, sauf une collègue, très paranoïaque sur les questions de surveillance de sa vie privée et pro. Elle avait donc un compte laposte.net. […]
On peut regretter que le Géoportailde l’IGN ne date que de 2006, soit un an après l’ouverture du service Google Maps en Europe (2005).
Le
29/11/2017 à
05h
51
Quelqu’un te demande d’arrêter d’utiliser les services Google ?
#DénonceTonLibriste
Plus sérieusement, a-t-on le droit de critiquer les inconvénients d’une situation, d’un produit, d’une société tout en l’utilisant ? Ou faut-il être forcément un utilisateur béa d’admiration pour tous ses fournisseurs de services ?
Le
29/11/2017 à
05h
43
Oui , il s’agit d’un édito. " /> (faut-il le rappeler?)
Où est-il écrit que l’avis du journaliste est de démanteler Google ? " />
Le
29/11/2017 à
05h
27
Faire des kilomètres en voiture pour pousser un caddie dans un entrepôt de quelques centaines de m² (sans service, sans conseil), c’est surtout un choix personnel et un choix de Société.
Ça ne prend pas plus de temps et ne demande pas plus de préparation de prendre son cabas et parcourir le centre-ville (ou une zone commerciale urbanisée). Encore faut-il savoir faire ses propres choix de consommation, vu que les recommandations de la publicité de l'industrie sont moins présentes dans les petits commerces, hors grandes enseignes type Zara pour l'habillement ou Monoprix pour l'alimentaire.
On a besoin de réfléchir quand on a l'habitude d'un comportement qu'on ne souhaite pas changer par pur soucis de confort : on ne change rien dans sa petite vie sans en payer le prix du risque et sans sortir de sa "zone de confort.
J’ai commencé à regarder The Circle en Vod et pour le moment ça me plaît bien. On voit bien les références à la Silicon Valley et aux entreprises du numérique.
Pour le moment, le personnage principal a les pieds sur terre, mais son environnement professionnel semble de plus en plus déconnecté (aussi paradoxal que cela puisse paraître s’agissant d’une entreprise du numérique).
7412 commentaires
Compte-Nickel durcit sa facturation sur le rejet de prélèvement
04/12/2017
Le 04/12/2017 à 09h 56
Le fait est que les banques ne veulent plus traiter lamonnaie sonnante et trébuchante. Elles préfèrent se payer elles-mêmerubis sur l’ongle(les frais bancaires sans facturation préalable). Même l’administration fiscale refuse les espèces au-delà de 300€ ! Comme si les paiements en espèces étaient suspects de blanchiment d’argent sale et que la logistique du papier-monnaie était plus dangereux que l’argent anonyme. C’est ridicule, le commerce et la démocratie sont basé/es sur la confiance avant tout.
Fin des frais de roaming en Europe : quelle situation au bout de six mois ?
28/11/2017
Le 03/12/2017 à 19h 07
Comme devant le tribunal correctionnel : la première fois, c’est une peine avec sursis, si on persiste dans l’infraction, c’est une peine ferme.
C’est le grand jour pour le PC « dans le Cloud » Shadow : nouvelle offre, ouverte à tous
29/11/2017
Le 03/12/2017 à 16h 20
Je remarque cependant que Parsec a l’air d’avoir une application compatible Linux Ubuntu, ce qui n’est pas le cas de LiquidSky. J’imagine qu’avec son boîtier, Pc Shadow permet d’utiliser un PC Ubuntu.
Le 03/12/2017 à 16h 14
Moi qui joue de temps à autres à Europa Universalis sur un PC bureautique, j’ai testé LiquidSky (que je ne connaissais pas), et c’est vraiment intéressant avec une offre pour les “power users” et une offre pour les gens comme moi (qui paient à la consommation).
En revanche, je n’ai pas compris comment fonctionnait Parsec (trop de mots d’anglais que je ne comprends pas et aucun tarif affiché).
PC Shadow a l’air d’être fait pour les joueurs de Mmeuporg (MMORPG), de FPS et autres jeux d’action en live avec des parties qui durent plusieurs dizaines heures dans une période de quelques jours (voire plus sur une période mensuelle).
#Flock ne veut pas d’un web tout filtré
02/12/2017
Le 03/12/2017 à 12h 00
Le 03/12/2017 à 11h 51
« Et si on laissait un peu les autres décider de tout à notre place, quitte à finir comme les humains de Wall-E ? »
(article Next inpact)
" /> pour la référence au film d’animation WALL-E (le temps révolu où Pixar n’appartenait pas à Disney).
Le 03/12/2017 à 11h 34
645ème édition des LIDD : Liens Idiots Du Dimanche
02/12/2017
Le 03/12/2017 à 00h 22
Mister JDay en grande forme !
Airbnb accusée de faciliter l’évasion fiscale avec une carte bancaire prépayée
01/12/2017
Le 02/12/2017 à 14h 41
ÀMHA on est bien content de trouver un huissier quand on est du côté du plaignant (tous les créanciers ne sont pas des usuriers et tous les surendettés ne sont pas des victimes du système).
Le 01/12/2017 à 13h 20
Gibraltar, les Bahamas (possessions britanniques) ne seraient pas des paradis fiscaux ?
  Arte  http://www.huffingtonpost.fr/2013/08/17/gibraltar-un-rocher-insolite_n_3742855.h…
« Liste gris foncée (paradis fiscaux déjà identifiés en 2000 par l’Ocde) : Andorre, Anguilla Antigua, Barabade, Aruba, Bahamas, Bahrein, Belize, les Bermudes, les iles vierges anglaises, les iles Cayman, les iles Cook, la Dominique, Gibraltar, Grenade, Liberia, le Liechtenstein, les Iles marshall, Monaco, Montserrat, Nauru, les Antilles néérlandaises, Niue, Panama, St Kitts and Nevis, Sainte Lucie, Saint Vincent et Grenadine, Samoa, San Marin, les iles Turks and Caicos, Vanuatu. »
 http://blogs.alternatives-economiques.fr/harribey/2009/04/03/g20-le-deni-de-real…
Le 01/12/2017 à 12h 58
Cette affaire Airbnb me rappelle une autre affaire avec Lycamobile : « La police enquête sur une étonnante filière de blanchiment chez Lycamobile, qui mêle vente de cartes téléphoniques et paiement au noir de travailleurs du BTP. »
source: Lycamobile : l’argent sale des cartes prépayées- lejdd.fr - 25/09/2016
Le 01/12/2017 à 12h 33
« Paiement d’un salaire
Au-delà, l’employeur doit obligatoirement vous payer par chèque barré ou par virement à un compte bancaire ou postal. »
→ En France, nous sommes contraints par la loi d’avoir un compte bancaire. C’est l’jeu ma pauv’ Lucette !
L’extension de la redevance TV aux nouveaux écrans échoue au Sénat
28/11/2017
Le 02/12/2017 à 13h 21
Les productions de BBC America et de la BBC britannique (par exemples) sont pourtant parmi les plus populaires dans le Monde.
Le 02/12/2017 à 13h 04
Le 02/12/2017 à 12h 58
À côté de la BBC, même en additionnant les diffusions de France Télévisions + Radio France + France Médias Monde, l’État français est petit joueur :
Wikipedia
Le 28/11/2017 à 18h 55
Heureusement qu’on est encore libre de regarder la TV ou pas. La question ici est de savoir comment on finance les programmes audiovisuels qui représentent des coûts fixes très importants et d’assurer le service au moment où le quidam a envie d’allumer un poste de TV.
Rien n’interdit de s’informer dans la presse (subventionnée ou non), dans des conventions, dans des conférences-débat, etc (c’est même plutôt conseillé).
Le 28/11/2017 à 18h 52
Certes c’est un impôt spécifique, mais comme tout poste de dépense de l’État, il y a un lobbying qui s’oppère. Je ne vois pas vraiment où est le débat ici (à part que c’est une dépense de l’État qui fait l’objet d’articles de presse).
Tensions à ciel ouvert entre État et opérateurs sur le mobile, SFR ne fibrera pas toute la France
01/12/2017
Le 02/12/2017 à 12h 49
Pour être précis : ne pas confondre les transports publics d’État de la région parisienne (où l’infrastructure est vieillissante) avec les Société Publiques Locales de transport urbain (SPL) qui sont aussi efficaces, sinon plus, que des acteurs privés comme Transdev ou RATP Dev ou Vectalia qui sévissent ailleurs dans l’Hexagone.
" />
Le 02/12/2017 à 11h 07
Le 02/12/2017 à 10h 26
Concernant les réseaux de distribution dans les secteurs de l’eau (eau potable et assainissement des eaux usées), de l’électricité et des routes, ceux-ci appartiennent aux collectivités locales (départements, agglomérations, communes souvent organisées en syndicats).
Concernant lesréseaux de transport, ceux-ci appartiennent généralement soit à l’État français, soit à des filiales de grands groupes du CAC40.
Dans le secteur des télécoms, on considère (malheureusement de mon point de vue) que les réseaux (l’infrastructure) au sens large, et les réseaux de distribution (fibre FttH entre le NRO et l’habitation) en particulier, correspondent à un élément de différentiation de l’offre commerciale indissociable de la fourniture du service de communication électronique en lui-même. Donc, dans ce contexte, si on souhaite une offre commerciale plurielle et nombreuse, la concurrence par les infrastructures est la seule solution envisageable (si on admet que 4 propriétaires de réseaux qui se battent en duel, correspondent à un marché vraiment concurrentiel). Et les MVNO et autres fournisseurs de services télécom indépendants du réseau n’ont aucune marge de manoeuvre, mais peut-être ont-ils un impact sur quelques marchés de niche.
Le 02/12/2017 à 09h 37
En plus de mon commentaire précédent #9, je citerais les exemples de EDF/Enedis sur les marchés de l’électricité et de BT/Openreach* en Grande-Bretagne, par opposition à Orange qui change de casquette suivant le rôle que la multinationale doit remplir vis-à-vis de l’État/Arcep.
Quand on veut ouvrir un marché à la concurrence commerciale et favoriser la pluralité des offres alors qu’il y a une multinationale (telle que Orange dans les télécoms, ou EDF dans les infrastructures d’électricité) en situation de quasi-monopole sur un ou plusieurs marchés de ce secteur d’activité, et si on veut vraiment que l’infrastructure (le réseau) soit ouverte à tous les acteurs du marché (suivant le contexte: fournisseurs, producteurs, diffuseurs, etc), donc on dédie une structure juridique – une filiale du grand groupe international en question, ou mieux une entité totalement indépendante financièrement qu’elle soit publique ou d’économie mixte ou sous forme d’organisme privé (comme les CPAM dans l’assurance santé ou comme le GIE Cartes Bancaires par exemples) – à la relation entre le gestionnaire de ce réseau et l’ensemble de ses clients (les acteurs du marché qui utilise cette infrastructure commune dont ils ont besoin).
Or ce n’est pas le cas actuellement avec Orange qui ne remplit ses obligations d’activités sur le marché de gros régulé (négociées avec l’État/gouvernement+Arcep) qu’en faisant des rapports d’activités sans transparence publique basée sur la bonne foi supposée de ses propres services (qui analysent et auditent par contrôle de gestion afin d’être en mesure d’isoler les activités régulées des activités commerciales soumises à concurrence).
En espérant avoir répondu clairement à la question.
* articles de Next Inpact INtéressants au sujet de BT et Openreach :
Le 01/12/2017 à 14h 02
Je sais bien qu’en France, on n’en a rien à faire des conflits d’intérêts, et personnellement, à cause de ça, j’ai mal à ma France. D’ailleurs, si ça ne tenait qu’à moi, le FAI Free serait indépendant de l’opérateur télécom Free et du diffuseur audiovisuel Free. Et chaque client pourrait choisir de brancher l’offre OTT Free sur une ligne Orange (et vice-versa) en choisissant BouyguesTel comme FAI (ou un autre FAI).
Le 01/12/2017 à 13h 54
Justement, que Free ait l’accès plein et entier des fourreaux et génie civil d’Orange (ou même de Enedis ou autre - en partenariat commercial ou en accès obligatoire réglementaire). Ça évitera à Orange d’avoir l’obligation de proposer une offre de gros à Free, BouyguesTel et autres FAI. Mais, ni l’État, ni Orange ne demandera ça – pas folle la guêpe, elle gardera la main-mise sur l’infrastructure si on lui laisse le choix (ça ne veut pas dire pour autant que Free ou BouyguesTel sont prêts à faire les investissements nécessaires).
Le 01/12/2017 à 13h 41
J’habite dans une agglomération de 200 000 habitants et dans un quartier fibré en co-financement Orange/SFR et j’ai souscrit début 2017 un abonnement Bbox Miami fibre (BouyguesTel).
(Freebox fibre n’est, à ce jour, pas encore proposé dans mon logement)
en faisant un test d’éligibilité à l’instant, je suis enfin! éligible à l’offre Freebox fibre (ça ne m’intéresse pas personnellement, mais c’est à souligner).
Le 01/12/2017 à 13h 39
Finalement, je suis d’accord avec l’avis de Free et sa “« Muraille de Chine absolue » entre Orange déployeur et Orange fournisseur d’accès”.
#Replay : transplantation cardiaque, secrets des pyramides et joueurs durs à cuire
01/12/2017
Le 01/12/2017 à 22h 26
Maintenant, on fait d’excellentes prothèses cardiaques comme en témoigne le film Hyper Tension 2 (avec Jason Statham) dans lequel « Un parrain de la mafia a remplacé le coeur de Chev par une prothèse qu’il doit régulièrement stimuler en s’envoyant des décharges électriques. » " />
Six ans après l’arrivée de Free Mobile, des forfaits de 1 à 10 euros pour tenter d’attirer le client
30/11/2017
Le 01/12/2017 à 22h 00
La question éthique en matière de smartphone et tablette et services télécom, elle est passablement oubliée de nos jours, même par la jeune génération des digital natives et des millenials.
Il n’y a qu’à voir le succès de Wiko ou de l’iPhone : ça se vend comme des petits pains. Il n’y a bien que quelques organes de presse de consommateurs (60 Millions de consommateurs par exemple) et quelques organisations comme l’Ademe ou Greenpeace pour conseiller de laisser refroidir son smartphone quand il est chaud, de le protéger dans un étui quand on ne s’en sert pas (dans le but de le conserver le plus longtemps possible), de ne pas laisser dormir inutilement des appareils dans les tiroirs, de renouveler son appareil en achetant éventuellement de l’occasion, d’acheter des appareils réparables (iFixit est ton ami), etc.
Dans 20 ans, on regardera le début du XXIe Siècle comme une frénésie du smartphone (ou alors on aura oublié pour succomber à une frénésie de consommation focalisée sur un autre produit/service).
Le 01/12/2017 à 10h 18
« Est-ce que le service est interrompu pendant la portabilité ?
L’abonné continue à bénéficier du service chez son ancien opérateur entre le moment où il fait sa demande de portabilité et le moment où le numéro est effectivement basculé chez le nouvel opérateur.
Cette opération de bascule est appelé « portage ». L’abonné est informé de la date et du créneau horaire auxquels sera effectué le portage soit directement lors de la souscription, soit par sms après la souscription, au plus tard la veille du portage.
Le 30/11/2017 à 23h 40
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Ces offres promotionnelles sont juste cyniques en terme de relation client : en gros, les opérateurs prennent leurs millions de clients littéralement pour des vaches à lait qu’ils sont. C’est un peu comme la “crise du beurre” récente causée par l’augmentation de la demande de beurre au niveau mondial, alors que le prix du lait n’a jamais été aussi bas et parce que les centrales d’achat de la grande distribution et l’industrie agro-alimentaire n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur un prix raisonnable pour tout le monde (au passage, ça me rappelle les “problèmes de peering” pendant les heures d’affluence entre Free avec youtube ou netflix ou autres selon les saisons).
Il y a aussi un soucis que j’ai déjà expérimenté avec ces périodes promotionnelles : j’ai l’impression que la qualité du service baisse temporairement à cause de l’affluence provoquée sur les réseaux et qui n’est pas forcément prise en considération dans la gestion de l’infrastructure par l’opérateur (bref, rien de nouveau, on vend de la 4G, mais on fournit un service par moment pitoyable et c’est pas grave du moment que le client paie et que la concurrence chope moins de client).
Le 30/11/2017 à 17h 47
S’il s’agit d’un RIP (Réseau d’Initiative Publique), il ne s’agit pas d’un réseau en co-financement d’opérateurs privés (et vice-versa).
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Le 30/11/2017 à 17h 43
« C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme. »
Renaud -Dès que le vent soufflera
Le 30/11/2017 à 17h 35
Faut pas rêver, l’argent public n’a pas servi à renflouer Vivendi Universal et ne servira pas plus à sauver Altice de la débacle (si elle a lieu). D’ailleurs, Orange sera déjà bien content de se débarrasser d’un de ses véritables concurrents (le monopole n’est pas loin sur les marchés de gros), quant à Free et BouyguesTel, ils pourront, le cas échéant, profiter du partage des actifs de la bête mise à terre.
Le 30/11/2017 à 17h 20
Concernant le point 3- : Free a surtout eu l’idée (bonne ou mauvaise) d’installer ses propres équipements dans les NRA avec la bénédiction des autorités (l’ART/ARCEP en premier chef) à côté de ceux de France Telecom avec une offre défiant toute concurrence, ce qui a provoqué une baisse des tarifs des offres internet par ADSL et la chute des FAI fonctionnant avec un modèle économique dépendant de l’offre de gros de France Telecom (qui, bien sûr, n’a pas aligné son prix de gros).
NB: n’étant pas un “power user” ou un “gros consommateur-squatteur de réseau”, je suis le premier à regretter cette guerre des prix des promotions, je suis un fan des offres commerciales dites “de niche” (FAI indépendants, MVNO).
Le 30/11/2017 à 14h 28
Le rendez-vous est-il déjà positionné ? ou s’agit-il simplement d’une tacite évolution de l’offre souscrite par affirmation orale d’un agent commercial ?
Free Mobile lance une vente privée à 0,99 €, BT réplique avec BYou 20 Go à 2,99 €
30/11/2017
Le 30/11/2017 à 23h 22
Plus le prix du forfait est faible, moins la quantité de données mensuelle en itinérance européenne est importante. BouyguesTel obéit donc à la réglementation européenne sans aller aussi loin que Free mobile (par exemple).
Prépayés, forfaits : les limites de l’itinérance sans frais dans l’Union européenne
Next inpact - 07/02/2017
Le 30/11/2017 à 13h 55
En fait, l’expression utilisée par BouyguesTel est : « pour l’ouverture d’une nouvelle ligne, limitée à une par foyer »
Le 30/11/2017 à 11h 27
« Chez Free (Mobile) et Bouygues Telecom, l’offre est réservée aux nouveaux clients, avec ou sans portabilité. » (article Next inpact)
Client Bbox, j’ai accès à l’offre promotionnelle B&You 20Go à 3,99€ par mois. Finalement, “nouveau client” veut dire “nouveau client mobile pour une offre promotionnelle mobile”.
Et si on se débarrassait de Google (pour commencer) ?
27/11/2017
Le 29/11/2017 à 17h 00
C’est très drôle cette opposition public/privé, parce que de toute manière le public est dirigé par le privé : groupes de pressions, influence sur la Société, élections, etc.
Le 29/11/2017 à 09h 43
En fait, après réflexion, c’est un peu présomptueux de ma part d’affirmer que “je n’ai jamais compris où se situait la praticité” de tout centraliser chez le même fournisseur, puisque c’est ce que j’ai fait pendant 15 ans avec ma banque.
Et c’est vrai que c’était bien pratique… jusqu’au jour où j’en ai eu assez qu’on ne me renseigne pas correctement sur les produits et qu’on m’aiguillait vers des produits dont je n’avais pas besoin.
Le 29/11/2017 à 09h 28
Perso, je n’ai jamais compris où se situait la praticité dans le fait d’utiliser des services”tout-en-un” (tout sur une seule et même facture, tout les services liés sur la même interface utilisant les mêmes données imbriquées).
Je suis peut-être très sensible au fait que ce marketing de l’offre packagée rend le client que je suis particulièrement captif et donc fragile en cas de problème avec mon fournisseur.
Le 29/11/2017 à 06h 14
Pour les cinéphiles, il y aThe Circledisponible en Vod et qui dépeint très bien les problématiques et les enjeux d’une société dont le coeur de métier est la disponibilité publique de toute donnée (données intimes, démocratisation de la connaissance, transparence des activités de chacun, visualisation de tout lieu, agrégation de métadonnées rendues publiques, etc) avec les implications dans la vie de tous les jours de milliards d’individus.
Le 29/11/2017 à 06h 03
Le 29/11/2017 à 05h 57
Le 29/11/2017 à 05h 51
Quelqu’un te demande d’arrêter d’utiliser les services Google ?
#DénonceTonLibriste
Plus sérieusement, a-t-on le droit de critiquer les inconvénients d’une situation, d’un produit, d’une société tout en l’utilisant ? Ou faut-il être forcément un utilisateur béa d’admiration pour tous ses fournisseurs de services ?
Le 29/11/2017 à 05h 43
Le 29/11/2017 à 05h 27
Faire des kilomètres en voiture pour pousser un caddie dans un entrepôt de quelques centaines de m² (sans service, sans conseil), c’est surtout un choix personnel et un choix de Société.
Sites porno : le président du CSA rêve de « mesures immédiates de suspension et d’interdiction »
29/11/2017
Le 29/11/2017 à 11h 30
En fait, ça sert à quoi des parents ?
« Laisse pas trainer ton fils,
Si tu n’veux pas qu’il glisse
…
Le laisse pas chercher ailleurs
L’amour qu’il devrait y avoir dans tes yeux »
Laisse pas trainer ton fils - Suprême NTM
Le 29/11/2017 à 10h 24
Le 29/11/2017 à 10h 09
Robespierre sort du corps du CSA ! … Heureusement, les Girondins sont là.
La Terreur (Révolution française) (2000 ans d’histoire - France Inter)
Bandes-annonces : Bad Moms 2, Coco, Yéti & Compagnie, Star Wars VIII, Black Mirror et d’autres
28/11/2017
Le 28/11/2017 à 19h 53
J’ai commencé à regarder The Circle en Vod et pour le moment ça me plaît bien. On voit bien les références à la Silicon Valley et aux entreprises du numérique.
Pour le moment, le personnage principal a les pieds sur terre, mais son environnement professionnel semble de plus en plus déconnecté (aussi paradoxal que cela puisse paraître s’agissant d’une entreprise du numérique).