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7412 commentaires

Le 19/12/2017 à 12h 01

C’est peut-être pour ça que le streaming vidéo ne fonctionne pas très bien aux heures de pointe chez Free ? Je dis ça, j’en sais rien…

Le 18/12/2017 à 17h 36

À mon avis :



  - D'un point de vue viabilité économique, le système de redistribution me fait penser aux solutions publicitaires des années 2000 avec :        







  • mediabarre- la barre de pub qui s’affichait pour gagner de l’argent en surfant,

  • MultiManiaou chez.com - qui a l’air d’exister encore après le rachat de Alice par Iliad,

  • Oreka- le fournisseur d’accès à internet qui offrait 18H d’internet gratuit contre l’affichage d’une barre de publicité.



  • D’un point de vue éthique, même si je crois à l’utilité de la publicité commerciale “raisonnable” ou “raisonnée”, je ne crois absolument pas que la publicité puisse se faire au profit de la cible des annonceurs. Comme on dit souvent, si c’est gratuit, c’est l’utilisateur le produit. Alors que dire quand l’utilisateur se fait payer pour regarder de la publicité (l’internaute qui consulte un site web) ou est obligé de concéder une partie de ses revenus publicitaire à un tiers (l’éditeur du site web).

Le 18/12/2017 à 16h 50

Brave, le navigateur qui redistribue les revenus de la publicité en ligne (encore un intermédiaire de confiance qui va vite se rendre indispensable… ou disparaître).

Le 18/12/2017 à 14h 41

Merci pour la réponse.



Autre remarque : j’ai regardé l’affichage de #LeBrief sur la présentation en “vignettes” de l’accueil et ça m’a l’air sympathique, même si j’ai pris l’habitude de repérer #LeBrief dans la colonne de droite quand je lis les articles (actuellement, j’utilise plutôt l’accueil en “liste illustrée en continu”).

Le 18/12/2017 à 14h 30

Les images nuisent aux textes en général, donc les petites pastilles de couleur ne me gênent pas. Ceci-dit, ça va donner un style “Le Monde” plutôt qu’un style “Pif Gadget” à la présentation de la colonne de droite (il y a quand même des images dans les articles, donc il ne devrait pas y avoir de problème selon moi).



Question subsidiaire : qu’est-ce que la version AMP ?

Le 18/12/2017 à 14h 17







kwak-kwak a écrit :



Du coup un nouveau scrutin sera organisé dans la circonscription ? Quand ? Avec les mêmes candidats ?









Arnaud3013 a écrit :



Du coup ils vont refaire l’élection? ou c’est l’opposante qui gagne ici?





Le Conseil constitutionnel ayant annulé le scrutin, il y aura donc une législative partielle : on réorganise une élection législative dans cette circonscription en suivant la procédure habituelle d’une élection législative (candidatures à déposer avant la date limite, campagne électorale officielle, organisation de l’élection, publication des résultats, etc).



Les candidats de l’élection annulée peuvent se représenter s’ils le souhaitent (j’imagine que le candidat ayant demandé l’annulation attend impatiemment de redéposer un dossier de candidature).


Le 18/12/2017 à 12h 55

Et les opérateurs téléphoniques le font… sur réquisition de police judiciaire.



 Cela-dit, de nos jours, les informations personnelles/la vie privée et l’autorité judiciaire n’ont plus autant d’importance qu’auparavant, donc je me demande à quoi servent les verrous juridiques et les options de masquage du numéro lorsqu’on appelle.

Le 18/12/2017 à 11h 30

Et peut-on avoir un raisonnement autre que binaire ou manichéen ?



Voici une énumération à la Prévert pour bien me faire comprendre (allumez la fonction “remise en question” et éteignez la fonction “j’ai des convictions quand même”) :





  • la pollution de cheminée est mauvaise pour la santé,

  • la circulation automobile provoque des maladies cardio-respiratoires et des accidents de la route,

  • l’exposition au Soleil est mauvaise à la santé,

  • les appareils de bronzage par exposition aux UV doivent être utilisés avec précaution.



    La liste n’est pas exhaustive et on peut évidemment y ajouter la téléphonie mobile.

     

    Et oui! la vie est une aventure, on ne connaît pas réellement le monde qui nous entoure. C’est la vie qui est flippante, c’est bien pour cela que des recommandations et des précautions s’imposent (pas l’inverse: les recommandations et les précautions qui seraient flippantes et la vie qui serait sereine… comme par magie, par omniscience de l’individu qui maîtriserait tous les paramètres de sa petite vie fragile).

Le 18/12/2017 à 10h 09

La banque edel, bel exemple de filiale détenue par une société coopérative (GALEC - la société coopérative des centres E.Leclerc). Pour prendre un autre exemple, le Crédit mutuel (CM) est très fort à ce jeu-là avec des filiales multiples et dans tous les domaines (banques, presse, télécom). Il y a même des banques régionales ou inter-régionales du CM qui possèdent leurs propres filiales (les bretons du CM Arkéa par exemple).




   Je suis bien d'accord, c'est toute l'ambigüité du marketing qui est fait autour des coopératives et tout l'avantage du statut de coopérative :         







  • le marketing ou la réputation a vite fait de classer le mot “coopérative” comme une notion positive,

  • une coopérative est sensée travailler dans le sens de ses sociétaires selon son organisation et la composition de son capital (ce qui n’est pas toujours le cas: par exemple, les coopératives agricoles qui sont devenue au fil du temps des géants qui imposent des prix d’achat trop bas aux agriculteur/trices pour obéir aux “prix du marché” et pour satisfaire les exigences des centrales d’achat).



     Pour reprendre l’exemple de E. Leclerc, la structure centrale est organisée de manière coopérative et les “coopérateurs” sont les sociétés qui possèdent les magasins et qui possèdent en commun une centrale d’achat, à la différence de Carrefour qui est une structure capitalistique unique et qui maîtrise l’ensemble du processus de distribution. Finalement, ça ne change pas toujours les choses pour les tiers (les clients, les fournisseurs de E.Leclerc). Sans compter qu’une coopérative peut détenir des filiales (qui ne sont, de fait, plus sont le contrôle direct des sociétaires) comme la banque edel. Le statut juridique ne présume donc pas vraiment des actions futures et des compétences d’une personne ou d’une société.



     

Le 17/12/2017 à 21h 31

Pour être exact, le Crédit coopératif est une Banque populaire qui, comme toutes Banques populaires, est actionnaire du groupe Banques populaires, qui détient 50% du groupe BPCE.



En d’autres termes, le Crédit coopératif fait partie du groupe BPCE comme une Caisse d’Épargne, mais le Crédit coopératif n’est pas une Caisse d’Épargne et n’a rien à voir avec le groupe Caisse d’Épargne (à part le fait de faire partie de BPCE).

Le 16/12/2017 à 21h 52

Concernant le Crédit agricole, plus précisément « SAS Rue La Boëtie est la maison mère de Crédit agricole S.A. (56,18 % du capital)1. […] elle est contrôlée à 100 % par les caisses régionales de Crédit agricole 3. »

  fr.wikipedia.org Wikipedia

Le 16/12/2017 à 21h 42







Dahas a écrit :



Le crédit coopératif appartient au Crédit Agricole…





Tu confonds peut-être avec LCL, qui est effectivement une filiale du Crédit agricole. 

 



Non seulement le Crédit coopératif n'a rien à voir avec le Crédit agricole, mais en plus, à la différence d'une banque commerciale, c'est le Crédit coopératif qui est actionnaire de BPCE (comme le Crédit agricole Île-de-France est actionnaire du Crédit agricole) selon les principes des banques coopératives ou mutualistes. Me dira-t-on que ce second point n'a pas d'importance, l'important étant qu'il s'agit du même réseau bancaire. À voir...

Le 16/12/2017 à 13h 59

Bien vu <img data-src=" />

&nbsp;Effectivement, la banque du porteur de la carte bancaire se fait rémunérer quelques dizièmes de % de la transaction par la banque du commerçant :&nbsp;

&nbsp;&nbsp;https://www.cbanque.com/actu/55587/carte-bancaire-les-commissions-plafonnees-a-0…

Le 16/12/2017 à 13h 40

Il me semble qu’il s’agit surtout de décourager les paiements en espèces et d’encourager les usages de la CB (sans contact, etc). Ça va de pair avec la facturation des retraits d’espèces. À mon avis, la commission perçue par la banque propriétaire du distributeur de billet est bien plus importante que la commission perçue par la banque du commerçant lors d’un paiement en magasin.

Le 16/12/2017 à 13h 33

ING Direct a tout de même changer drastiquement ses conditions tarifaires en 2016 (raison pour laquelle j’ai clôturé mon compte courant ING), donc que ce soit marqué noir sur blanc n’a aucune valeur quant à la versatilité de la politique commerciale de la dite banque. Il se peut très bien que dans 3 semaines ou dans 2 ans, tu reçoivent une lettre ou un courriel pour t’annoncer que ING Direct “évolue” et qu’elle t’invite à évoluer avec elle.



(ma petite expérience personnelle)

Le 16/12/2017 à 13h 21

En effet, le Crédit agricole Île-de-Francen’a pas de frais de tenue de compte, mais ce n’est pas le cas, par exemple, du Crédit agricole des Savoie (12 € par an). Le Crédit agricole est une banque coopérative, les tarifs sont élaborés par chaque banque régionale du réseau.




Il y a bien d'autres banques qui ne font pas payer de frais de tenue de compte (même si elles sont devenues rares), comme le Crédit coopératif (réseau Banques populaires).

Le 15/12/2017 à 23h 12

Effectivement, et à mon grand regret, j’ai quitté La Banque postale pour cette nième augmentation de tarifs qui me paraît scandaleuse.



Mais paraît-il que la Société générale est passé de 0€ à 30€ de frais annuels de tenue de compte, et cette banque a toujours des clients, donc tout est normal. C’est peut-être pour pousser les clients chez la filiale Boursorama (un peu comme BNP avec Hello Bank).

Le 15/12/2017 à 23h 03

Je partage à propos du rebranding BNP/Hello, mais je la généraliserais à toutes les banques en ligne et à beaucoup de néo-banques : toutes ces conditions tarifaires qui dépendent de l’utilisation qu’on a de la carte bancaire et qui tente de fidéliser le client avec des remises de partenaires ou des opérations automatisées valables uniquement entre comptes internes :





  • c’est très corporate,

  • ça rend le client très captif et ça oblige parfois à souscrire à des comptes supplémentaires,

  • ça rentabilise les infrastructure du réseau bancaire en utilisant l’existant pour faire de nouvelles offres commerciales (comme les marques de lessive qui appartiennent à 2 ou 3 groupes industriels).



    Ça me fait penser aux opérateurs télécom qui offrent la carte SIM en cas de portabilité (sinon 10€ la carte SIM avec un nouveau numéro) ou qui offrent des avantages en cas de souscription à une offre quadplay ou qui fournissent des communications gratuites entre interlocuteurs du même opérateur.

Le 15/12/2017 à 19h 52

Lydia et Revolut m’impressionnent pour leurs services novateurs avec peu de frais. Ceci-dit, si on veut une carte physique Lydia devient aussi chère que ING Bank (sans les minimums requis).

Le 15/12/2017 à 19h 47







joma74fr a écrit :



[…] je me méfie comme de la peste de ces cartes de fidélité qui rendent captifs les clients.





Dans un sens, les cartes de fidélité peuvent avoir des avantages : ça crée un lien de confiance entre le client et le fournisseur, ça valorise la marque, etc. Mais, on s’aperçoit que, par moment, le client devient l’esclave de la machinerie fidélisante, un peu comme l’utilisateur de Facebook devient le “digital labour” et le faire-valoir de Facebook auprès des annonceurs avec cette économie de l’attention.


Le 15/12/2017 à 19h 37

C-Zam m’aurait intéressé, mais je n’aime pas les partenariats commerciaux (fidélité, remises Partenaires).



Et depuis que N26 vante sa CB Metal avec ses offres partenaires, ça m’a détourné de tout intérêt pour leur offre – ajouté à ça, le fait que les retraits d’espèces soient payant et les services d’assurances en Allemagne (oui, je préfère les banquiers aux bancassureurs, et oui ça existe des banquiers même si c’est rare).



Bref, depuis que j’ai vu le filmIn The Air(avec Georges Clooney), et après ma mauvaise expérience de l’offre Adesio de La Banque postale (une CB qui donnait des points à échanger contre des produits&services d’un catalogue partenaires), je me méfie comme de la peste de ces cartes de fidélité qui rendent captifs les clients.

Le 18/12/2017 à 09h 33

Privacy Badger a l’air d’autoriser ce nom de domaine (core.unit-sense.net) par défaut.



D’ailleurs, il est très rare de ne voir qu’un seul traqueur pour un site web, d’autant plus signalé en vert (tout autorisé) par Privacy Badger.

Le 16/12/2017 à 17h 44

On appelle ça aussi “la loi du plus fort”, qu’on retrouve dans l’agro-alimentaire avec des coopératives agricoles et des centrales d’achat de grande distribution qui font la loi du négoce de gros.

Le 13/12/2017 à 23h 38

La Neutralité du Net utilisée par des FAI français qui se financent essentiellement avec leurs activités de services audiovisuels et bientôt avec les marchés de l’internet des objets… Comment dire… le vers est (plus que) dans le fruit. Je dirais même plus, le fruit est déjà bien entamé.

Le 13/12/2017 à 05h 06

Tiens, sur Mastodon, on (re)parle de Orange VS Qobuz :

&nbsp;nextinpact.com Next INpact

&nbsp;communaute.orange.fr Orange

Le 16/12/2017 à 09h 11

Et encore une fois, si toi, personnellement, tu souhaites être client régulier de Amazon, grand bien t’en fasse. Je ne te juge pas. Mais ça ne m’empêche pas de penser (et de dire) que ce n’est pas une bonne idée à long terme. Et oui, c’est comme faire ses courses tout le temps chez le même grand distributeur (français ou belge) avec sa carte de fidélité.

Le 16/12/2017 à 08h 58

Merci de la précision. Effectivement, on peut remplacer Amazon par les centrales d’achat Carrefour, Auchan/SysèmeU, Intermarché/Casino, etc. On peut aussi remplacer Mc Donald’s par le groupe Bertrand (Quick/Burger King, Au Bureau, etc).



Ces groupes français assument très bien leur mercantilisme, c’est seulement que les médias français n’en parlent pas, c’est tout. Et quand Amazon installe un nouvel entrepôt en France, je ne pense pas qu’il y ait autant de vindicte populaire que tu sembles le penser.



Alors l’hypocrisie dont tu parles, je ne sais pas où tu la vois (c’est sûrement une construction de ton esprit).

Le 15/12/2017 à 19h 16







Stel a écrit :



Amazon étant le meilleurs (et de loin) e-commercant, je ne vois absolument pas le problème.





Amazon n’est pas un commerçant, c’est un logisticien. Autrement-dit, Amazon est au commerce, ce que Mc Donald’s est à la restauration.



Conclusion : goinfre-toi chez Amazon, le meilleur (et de loin) e-commerçant, si tu veux. Mais je ne suis pas certain que ce soit une solution de long terme.


Le 15/12/2017 à 18h 31

C’est comme les stocks d’iPhone : à ce propos, je suis impressionné de voir autant d’iPhone en vente sur leboncoin, après avoir vu récemment sur les rézo-socio des personnes se plaindre de l’indisponibilité de leurs (pré-)commande d’iPhone à leur magasin ou boutique d’opérateur en ligne.

Le 15/12/2017 à 18h 16

Personnellement, j’ai acheté récemment chez Castorama.fr et King-Jouet.com, et je me suis aperçu que les prix des articles présentés en ligne n’ont pas forcément le même prix si on les achète en magasin ou en ligne (les prix en magasin font parfois l’objet de remises commerciales).



Cela-dit, je viens de me rendre compte que King-Jouet utilise le Marketplace de Amazon.fr comme canal de distribution : les voix du commerce sont impénétrables et tous les chemins mènent à Rome.



Voilà ma petite expérience en cette saison de préparation des fêtes de Noël.

Le 15/12/2017 à 14h 55

Périco Légasse : Malbouffe et Mondialisation ? - Thinkerview - 14/12/2017

Le 14/12/2017 à 11h 14

Le fait est qu’il y a un conflit entre Netflix et Free. C’était la même chose avec Youtube de 2011 à 2015. Alors sûrement que tu as raison sur les aspects techniques. Mais peu importe, c’est toujours la même gestion déplorable de la comunication de Free qui est en cause. Que tu ais raison dans tes explications ou pas, c’est que de la com’ pourrie de la part de Free.



De mon point de vue de consommateur (je ne suis pas technicien Free et je ne travaille pour aucun FAI), on pourra toujours discuter de “qui de la poule et de l’oeuf est apparu le premier?”, on pourra toujours trouver des excuses à X ou à Y, on pourra toujours dire que Google est un grand méchant ou que, au contraire c’est Orange le grand méchant : c’est une vision binaire du problème que je refuse. Moi, je ne défends et je n’accuse personne, et je ne défends aucune cause (pas même la neutralité du Net qui n’est qu’un principe pour favoriser un accès libre à internet). Je vois seulement un problème d’accès viable à un service sur internet et deux partenaires commerciaux qui ne se mettent pas d’accord pour fournir un service correct à leurs clients communs.

Le 13/12/2017 à 23h 06

Tu as raison sur le fait que Netflix ne protège pas la Neutralité du Net. Et tu fais bien de le préciser.



Cela-dit, on peut dire la même chose du FAI qui fournit un service pourri selon la destination des données (fussent-elles Youtube, Netflix, Vimeo ou d’autres) et qui ne dit pas ouvertement que, pour lui, le streaming vidéo n’est pas envisageable car il est impossible (ou très difficile) de respecter les normes de neutralité du Net dans de bonnes conditions.



Les télécoms, c’est un secteur d’activités qui repose sur l’interconnexion des réseaux. Le problème est surtout que l’interconnexion est en panne, donc que le FAI, l’hébergeur, etc, ne fournissent pas le service qu’ils sont sensés fournir. Et il faudrait arrêter de voir les FAI français comme des acteurs qui respectent la neutralité du Net : les FAI français sont des diffuseurs audiovisuels (la partie la plus rentable de leurs activités) donc ils ne sont déjà pas neutre financièrement et commercialement parlant.



C’est Netflix qui… C’est Free qui… C’est bien beau de se jeter la patate chaude, mais on s’en fiche autant que le surveillant de collège qui sépare deux élèves qui se battent et qui disent que c’est l’autre qui a commencé : il y a un problème, la solution au problème c’est de les séparer et de les mettre chacun dans leur coin pendant une heure de colle.

Le 12/12/2017 à 13h 33

Quand tu vas de Lyon à Bordeaux par le train et que la SNCF t’oblige à passer par Paris au lieu de créer une ligne TGV directe du Lyonnais vers l’Aquitaine, forcément le détour et la correspondance à Paris t’aura fait perdre quelques heures.



Là c’est pareil : quand le FAI français va chercher le flux Netflix à plusieurs milliers de kilomètres, en prenant des voies bondées, le voyage se fait au ralenti.

Le 12/12/2017 à 13h 13

Quand il n’y a plus de beurre dans les magasins Carrefour, c’est le problème de Danone.



C’est clair, ce n’est pas le distributeur qui refuse d’utiliser un canal de distribution, c’est la faute de l’industriel qui ne vend pas selon les conditions du distributeur… Moi, en attendant, je vais faire mes courses chez Auchan, et pis c’est tout.

Le 12/12/2017 à 12h 55

Les GAFAM et les NATUont des CDNen Europe. Sinon, s’il fallait regarder les vidéos youtube stockées en Amérique du Nord, ce serait tous les FAI français qui n’auraient aucun débit sur ces plateformes web US.



Il suffit que Iliad/Free se connecte aux CDN de Netflix les plus proches de Paris, c’est tout. Cette affaire, c’est comme la crise du beurre entre les centrales d’achat et l’industrie agro-alimentaire.

Le 14/12/2017 à 10h 43

Le 15h17 pour Paris, le prochain film de Clint Eastwood en février 2018

Le 13/12/2017 à 21h 40







joma74fr a écrit :



DC Legend of Tomorrow, c’est quand même plus drôle que Avengers&nbsp; <img data-src=" />





Marvel’s Avengers bien sûr… À ne pas confondre avec The Avengers (la série TV britannique).


Le 13/12/2017 à 21h 27

Quand je tape “chapeau melon” dans le moteur de recherche sur Netflix, l’algorithme me trouve Marvel’s Avengers, Iron Man et Spiderman. Je crois que l’IA de Netflix devrait réviser ses classiques <img data-src=" />

Le 13/12/2017 à 21h 18

DC Legend of Tomorrow, c’est quand même plus drôle que Avengers&nbsp; <img data-src=" />

Le 12/12/2017 à 17h 24

Alita : Battle Angel : Enfin un film de cyborgs japonais sansScarlett Johansson <img data-src=" />

&nbsp;

J’espère que les fans de mangas seront enthousiastes.

Le 14/12/2017 à 10h 31

La conclusion de l’entretien par Benjamin Bayart est tout de même savoureuse. On voit bien que les FAI français sont dépendants des services à valeur ajoutée (les “services spécialisés”) qu’ils vendent obligatoirement dans leurs offres d’accès à internet. L’accès à internet devient donc subsidiaire financièrement et commercialement parlant des services TV-presse incluses dans les offres des FAI.



Si on ajoute à ça les futures services IoT (objets connectés) que les FAI n’hésiteront pas à fournir avec leur accès, la neutralité du Net sera finalement un principe bien érodé à l’avenir… sauf si la régulation des objets connectés et des terminaux par l’Arcep et si la concurrence d’autres acteurs IoT comme les fournisseurs d’électricité avec le compteur Linky vient déstabiliser toute velléité de contrôle des réseaux par une poignée d’acteurs du marché IoT et du marché des médias.

Le 14/12/2017 à 09h 10

La “ménagère de moins de 50ans”, le fameux pivot d’audience des médias audiovisuels car c’est elle qui décide de ce qu’on fait ensemble dans le foyer.



Ceux qui rêvent encore d’un web gratuit (financé par la pub), auront encore du web gratuit. Et pour longtemps, qu’ils se rassurent.

Le 13/12/2017 à 20h 43

De toute façon, se goinfrer des Meuporg est très mauvais pour la santé mentale.



Ceci-dit, perso, je ne connais pas vraiment la joie de jouer en réseau, donc je suis presque autant néophyte de la question que le journaliste de France 2 qui a inventé ce concept du Meuporg&nbsp; <img data-src=" />

Le 13/12/2017 à 20h 34

Apparemment, Shadow PC vise les Power user, les joueurs de Meuporg (MMORPG) et autres FPS.

&nbsp;

Malheureusement, je ne joue qu’à des jeux moins gourmands. Si une offre semblable à celle de LiquidSky (offre aux alentours de 10-15€ par mois ou en recharge prépayée, paramétrage du débit, de la qualité d’image) existe à Paris, ou mieux, à Lyon ou à Genève, ça m’intéresse. En attendant, depuis que je connais LiquidSky, je suis ravi, même connecté au cloud de Londres et malgré une qualité variable selon la météo.

Le 13/12/2017 à 07h 45

Ce que je comprends de ton commentaire, c’est que la ploutocratie actuelle (une république marchande qu’on appelle encore aujourd’hui un régime démocratique) te rend malheureux. Donc tu penses que la technocratie serait un bien meilleur système politique. Personnellement, je ne sais pas si ce serait mieux (la technocratie dans la politique monétaire européenne, on en voit les faiblesses), mais je pense que le système actuel ressemble de moins en moins à une démocratie (libre-arbitre, décision majoritaire, liberté d’opinion).

Le 13/12/2017 à 07h 18







Olivier J a écrit :



A mon avis tu t’égares là.

La démarche scientifique est loin de regarder les choses par le petit bout de la lorgnette, ni de chercher à “définir une vérité qui n’existe qu’en théorie” (là c’est n’importe quoi, pense à tout ce à quoi la science a permis d’aboutir, rien qu’en médecine), il y a des théories scientifiques qui agrègent justement plein de domaines, la théorie de l’évolution en étant un exemple.

(“qui sera contredite par un autre cartésien” : en général justement pas).



 

Je ne sais pas si je m’exprime bien, mais il me semble qu’il y a une réalité globale qu’aucune étude scientifique (ou étude rationnelle) ne pourra mesurer, même dans un rapport de plusieurs millions de pages. Dans une thèse, il y a forcément un point de vue (qu’on pourra appeler un biais). C’est comme regarder un objet : on ne le regarde jamais sous toutes les coutures en même temps, il faut pouvoir se déplacer par rapport à lui pour le voir entièrement, et jamais on ne pourra le voir entièrement au même instant.



Dans ce contexte, se confronter au détail comme le fait le cartésien, c’est ce que j’appelle regarder par le bout de la lorgnette. Et oui, un cartésien qui discute avec un autre cartésien (qui ne regarde pas la même facette du même objet), décriront une réalité différente (bien que leur objectif commun soit de se mettre d’accord, tu as raison).

 

 



Olivier J a écrit :



Immense faiblesse ?

(ta première phrase est fausse aussi, ou alors faudrait développer)





 Faire confiance sans besoin de preuve, c’est quand même très utile pour vivre en société. Quand les choses sont abstraites, ou quand les choses sont confuses, il faut chercher à les éclaircir sans demander de preuves tangibles (car il n’y en aura pas, on pourra toujours “fact-checker” dans le vide jusqu’à la fin des temps). Or, dans la vie courante, la plupart du temps, ça ne sert à rien d’avoir cette démarche rationnelle, c’est inutile, ça engendre des discussions sans fin qui ne mèneront à aucune démonstration puisque tout le monde peut avoir raison (en partie raison).

 

 En revanche, rationaliser les choses quand on est en mesure de quantifier, de mesurer, c’est une grande qualité.



 



Olivier J a écrit :



Au contraire, ce sont bien ceux qui s’évertuent à distinguer ces 2 choses, ou bien tu était ironique ?





 Quand on rationalise l’intangible, c’est qu’on a raté quelque chose dans sa démonstration. Une démonstration qui ne démontre absolument pas qu’on détient la vérité ou qu’on connaît la réalité des choses. Cette démonstration montre seulement qu’on a un point de vue différent dans le débat.


Le 13/12/2017 à 06h 14







OlivierJ a écrit :



Je ne sais pas d’où tu sors tes affirmations.



Au contraire, les rationnels et cartésiens aiment bien parler de leurs "découvertes". Quand tu es cartésien tu es témoin de beaucoup de gens qui ne le sont pas, et en général tu as plutôt envie de les rendre plus cartésiens ou rationnels.





&nbsp;

Pardon, je m’immisce dans la discussion mais je serais bref.



Une personne qui rationalise tout a toujours raison, forcément qu’elle a raison (1+1=2 et je peux le prouver… en tout cas, si je prends le temps de le faire et si nous en avons le temps, je le ferais: ça s’appelle un présupposé, un préjugé). Il est très rare d’avoir tort tout seul dans sa tête - perso, je suis très fort à me persuadé d’avoir raison, sauf lorsque je me remets en question car ça me fait douter et ça me déstabilise.

&nbsp;

En conclusion, 3 questions réthoriques dont la réponse me semble évidemment “oui” (binairement “oui” pour cette fois) : est-il possible d’imaginer qu’on puisse avoir une opinion différente sans avoir tort ? Est-il possible de raisonner en dehors de la rationalité ? Rationaliser l’intangible, n’est-ce pas farfelu ?


Le 12/12/2017 à 16h 26

méthodes agiles labellisées French Tech ?

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Le 12/12/2017 à 02h 19

Frédéric Taddeï : Les limites du débat ?- Thinkerview sur youtube.fr - 06/12/2017