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Sans intérêt

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875 commentaires

Le 09/10/2016 à 00h 04

Imposer le 64-bits aux applications permet à Apple de ne plus avoir de couche de compatibilité pour applications 32-bits. Cette couche sert d’intermédiaire, et ralentit effectivement l’application, certes, de manière habituellement négligeable. Mais c’est aussi une couche qui réclame un effort supplémentaire de maintenance à Apple. Et, côté appareil, réclame aussi de l’espace de bande passante (lors des mises-à-jour) et de stockage (sur l’appareil).



Rappelons qu’Apple est passée à l’architecture exclusivement 64 bits pour ses ordinateurs voici plusieurs années. Et ceci a permis de réduire la taille de l’OS et d’en améliorer les performances. Et cela a coûté l’abandon des API les plus anciennes, et l’incompatibilité avec les applications basées dessus. Quant à Windows ou Linux, à part sur des plateformes embarquées, il est exceptionnel de trouver un processeur non compatible 64 bits. D’après l’enquête sur le matériel et les logiciels Steam de septembre 2016, moins de 10 % des joueurs disposent d’un OS 32-bits.



Pour en revenir au mobile et à iOS, rappelons que le principal reproche fait par les développeurs d’applications Android est la fragmentation du marché. Au contraire, iOS est apprécié pour sa cohérence. Il est donc logique et pertinent pour Apple de conserver cette homogénéité, voire de la renforcer.

Le 08/10/2016 à 12h 31







S3T4 a écrit :



S’ils pouvaient lever de l’argent pour changer le modem fournis, amélioré leurs services et relocalisé leurs support en france.  […}





Il me semble que le support d’OVH est lié non pas à une volonté de délocalisation, mais à une volonté de service permanent. C’est notamment le jour de la semaine, ainsi que l’heure de ton appel qui déterminent le pays destinataire de ton appel au support.



On pourra ou non apprécier les réponses du support aux questions ou requêtes des clients, mais force est de constater que depuis la prise prise de conscience de l’intérêt des supports techniques et commerciaux au milieu des années 2000, leur qualité a changé de tout au tout, les interlocuteurs étant devenus (relativement) disponibles et (très) compétents.



Un point que j’apprécie particulièrement auprès du support d’OVH, c’est que mon interlocuteur ne lit pas un QCM dont il ne comprend pas les mots. Au contraire, l’interlocuteur propose un dialogue (relativement) ouvert et trouve une réponse rapidement, connaissant (presque) parfaitement toute la galaxie des services OVH. Et en cas d’impasse, il sait trouver un collègue plus spécialisé et proposer une solution rapidement. Le tout avec patience et courtoisie.


Le 08/10/2016 à 12h 18







KP2 a écrit :



Et pour rappel, ils sont loin de leur “premier” tour de table car ils avaient réalisé 400M€ il y’a 2-3 ans. Et encore 100 ou 150M€ qq années plus tôt… 



C’était des emprunts ou des obligations, non des parts de la société. Là, c’est la première fois que des intervenants étrangers à la famille (et aux cadres de l’entreprise ?) entrent au capital de la société.


Le 06/10/2016 à 20h 32







Mavelic a écrit :



Question de béotien : peut-on apprendre à programmer (sans prétention) avec cet outil ?

Il y a vingt ans, j’ai appris le html4, CSS1&2 et un peu de js avec ce genre de logiciel tiers, juste pour la connaissance, d’où ma question.





Visual Studio s’est ouvert à de nombreux langages de programmation, dont HTML, CSS et JavaScript. Du coup, tu peux commencer par rassembler tes souvenirs avec cet outil. Qui plus est, il existe une version gratuite de l’IDE, Visual Studio Community.



En ce moment, j’alterne entre Python et C++, et la possibilité d’utiliser un même outil est un plus permettant de gagner en productivité. Si un simple éditeur de texte (tel que Notepad !) permet de programmer, on est tout de même plus confortable avec un IDE, notamment du fait de la présence d’un débugger intégré. Et en matière d’IDE, Visual Studio fait sans conteste partie des meilleurs.


Le 06/10/2016 à 19h 55







tazvld a écrit :



[…] par exemple, j’ai dû écrire que 2 makefile dans ma vie, j’ai toujours laissé l’IDE le faire à ma place, du coup, même si j’ai vaguement su à une époque, aujourd’hui je suis incapable d’en faire ni de savoir en débugger un. 



Tu peux rattraper ton retard : la mode n’est plus aux makefiles, mais à CMake. Et tu devras le maîtriser correctement, un IDE tel que CLion l’exige.



Dans ma vie de développeur, j’ai été amené à faire pas mal de makefiles maintenus à la main, et cela n’a rien de réjouissant, pas plus que c’est intéressant. Autant laisser faire l’IDE… lorsqu’il le propose. Sauf besoins particuliers, assez rares, il n’y a aucune valeur ajoutée à le gérer à la main.

 

 


Le 06/10/2016 à 18h 49







Charly32 a écrit :



Comment peut-on être prêt à dépenser des fortunes pour un skin? […]





De la même manière que l’on achète des vêtements, parfois très chers, que l’on renouvelle souvent non pas par besoin, mais par effet de mode. C’est un moyen de distinction, incitant au respect, voire à l’admiration.


Le 06/10/2016 à 18h 35

Le communiqué de presse de la commission de la régulation des jeux d’argent de l’Etat de Washington semble bien comprendre le fonctionnement des casinos utilisant les skins en guise de monnaie. Au-delà de l’intérêt que porte la commission à Valve et de son implication judiciaire, ce communiqué montre l’intérêt du régulateur pour l’esport. Il sera intéressant de voir si d’autres régulateurs lui enjoindront le pas pour faire le ménage dans ce business. ARJEL, es-tu là ?

Le 06/10/2016 à 13h 31







WereWindle a écrit :



rien que pour le matos volé (même si 1000\( c'est vite atteint et que ça pisse pas bien loin), il va prendre, je pense.





Ca me fait penser à un épisode d'Alias où l'on a arrêté l'un des protagonistes pour détention de matériel non autorisé : une PlayStation 2.



Sérieusement, \)
1000 de matériel informatique, qu’est-ce que c’est, pour un informaticien, donc un type qui gagne relativement bien sa vie et, a priori, est entouré de matériel informatique chez lui ? C’est un peu comme si on arrêtait une secrétaire pour vol de matériel de bureau, genre, un crayon.

 



alex.d. a écrit :



1000$ de matériel volé, ça veut peut-être juste dire qu’il a ramené son laptop à la maison alors qu’il n’en avait pas le droit.

 





C’est en effet ce à quoi cela fait penser. Genre, ledit laptop contenait les fameuses informations sensibles.


Le 06/10/2016 à 13h 03

Le profil évoqué et les reproches faits à l’intéressé laissent à penser à un informaticien lambda qui ramène du boulot chez lui, souvent pour son usage personnel. Qu’on le veuille ou non, c’est assez banal.



L’informatique est souvent une affaire de passionnés qui ont parfois (?) du mal à distinguer ce qui fait partie de leur travail et de leurs loisirs. Et pour cause : c’est la passion qui les a amenés à travailler dans ce domaine, et non l’inverse.



Cette histoire me fait penser à l’épisode S05E18 de The Good Wife, All Taped Out.



M’enfin bref, on pourra toujours débattre de l’affaire, se faire plein de films… force est de constater qu’on ne connaît rien du bien fondé des charges retenues, et dont on ne connaîtra probablement jamais rien, vu que les documents incriminés, et donc le fond de l’affaire, sont classés.

Le 06/10/2016 à 12h 06







gvaudan a écrit :



pour moi elle serait réellement bienvenue si elle était sincère elle aussi :




  • visible sur toute la durée

  • visible en gros et gras (idéalement  visible en travers de la vidéo sur toute la diagonale)

  • filtrable dans les résultats de la recherche 





    Google étant probablement la plus grande régie publicitaire du monde, et ses clients d’annonceurs préférant masquer le caractère publicitaire de leurs messages, il est peu probable que cette mention devienne surexposée.



    Rappelons qu’à ses débuts, Google identifiait clairement les espaces publicitaires dans ses résultats de recherche. Désormais, la distinction est beaucoup, beaucoup plus discrète et s’intègre à la place des (premiers) résultats de recherche dits “naturels”. Plus gênant, alors que Google exige des sites hébergeant ses annonces AdSense que le contenu non publicitaire apparaisse au-dessus de la ligne de flottaison, il n’applique plus cette règle à son propre moteur de recherche.



    En fait, si l’on peut pinailler sur la présence ou non des mentions publicitaires des messages, sur leur dénomination, sur leur durée d’affichage, ou encore sur leur forme, c’est peut-être le modèle économique basé sur la publicité qu’il convient de remettre en question.



    La mode est aux bloqueurs de publicités. Les annonceurs la contournent en intégrant leurs messages publicitaires sous forme de publi-rédactionnels. Nul doute que les bloqueurs de publicités sauront les identifier et les masquer. Les placements produits envahiront alors totalement les contenus rédactionnels. Le jeu du chat et de la souris.



    Peut-être pourrait-on sérieusement envisager de payer directement ses consommations informatives, culturelles et récréatives plutôt que d’espérer que des tiers le fassent à notre place ? YouTube Red n’est pas disponible en France, mais le service laisse entrevoir une piste intéressante, une piste permettant à la fois aux vidéastes, mais aussi à leurs diffuseurs, de se détacher complètement (?) des publicités qui polluent nos écrans.


Le 06/10/2016 à 00h 33

On pourra toujours discuter sur les termes employés, mais cette mention est clairement la bienvenue.



Ceci dit, j’avoue ne pas comprendre l’intérêt pour YouTube d’héberger gratuitement les vidéos incluant des publicités. Après tout, cela fait clairement concurrence à son propre système AdWords/AdSense ! Or, de la galaxie de services Google, autant YouTube est populaire, autant sa rentabilité semble douteuse. Peut-être que Google étudie-t-elle* le sponsoring intégré en envisageant de l’intégrer dans ses propres services ? Après tout, il n’y a pas de raison que cette part de marché publicitaire lui échappe !



(* “Un” ou “une” Google ? “Une société”, “une entreprise”, mais… le nom d’une entreprise ? Google, est-ce masculin ou féminin ?)

Le 06/10/2016 à 01h 39

Tu ne vas pas aimer : on a pu et on peut désactiver les mises-à-jour de Windows. Ensuite, on peut discuter de l’ergonomie de cette désactivation, et sa facilité d’accès, mais au final, on se retrouve tous par installer des choses que l’on n’a pas, explicitement, demandées. Le sous-titre, “Le consentement, cette valeur en perte de vitesse”, indique bien une tendance de fond du marché : ce n’est plus l’utilisateur qui décide pour ce qui le concerne. D’autres s’en chargent à sa place.

Le 06/10/2016 à 01h 33

Il n’en demeure pas moins que ces calculs sont étonnants. Dans le discours commercial présenté au client final, la déduction est liée à l’ajout du service supplémentaire ; sur le calcul de la TVA présenté aux impôts, la déduction concerne l’ensemble des services, comme par hasard dans le sens qui réduit cette TVA.

Le 04/10/2016 à 20h 38

Intéressant de noter que la redevance n’est pas payée par les plus démunis d’entre nous. Or, si ces derniers ont un abonnement à Internet, ce qui devient indispensable, ils paieront, certes indirectement, la télévision publique. Et ce, même sans téléviseur.



(Rappelons que même 1 € d’augmentation de la redevance télévisuelle, c’est plus que l’inflation. Il faudrait peut-être que la télévision publique prenne conscience qu’elle vit au-dessus de ses moyens.)

Le 04/10/2016 à 13h 37

On peut féliciter Microsoft pour la longévité de la maintenance de ses systèmes d’exploitation.

Le 04/10/2016 à 12h 04







fred42 a écrit :



Les faits reprochés ont eu lieu entre 2001 et 2004, pas en 2016 sur des versions de Windows 98 à XP.



Je ne suis pas sûr que les mesures de protection de Microsoft étaient si évoluées à l’époque. Il me semble qu’il suffisait de copier un numéro de licence pour que cela fonctionne.





Oups. Merci pour ta vigilance. J’ai en effet été trop vite avec les dates, omettant que les affaires remontaient à douze à quinze ans. (Toutes ces années de procédures pour qu’un éditeur américain adepte l’évasion fiscale puisse empêcher la revente de logiciels acquis de manière légale… le tout sur la base d’un modèle économique, la vente de logiciels, en voie de devenir obsolète. Quel gâchis.)


Le 04/10/2016 à 07h 25







EricB a écrit :



Dans ce procès, je ne comprends donc pas bien pourquoi on se focalise sur le support. Ce qui compte, c est la vente de la licence, et qu elle reste unique.






Personnellement, je n'y vois que du cynisme : pour l'avocat, facturer son client ; pour le client, intimider toute entité allant contre ses intérêts immédiats. Le bon sens et la justice ne semblent pas avoir leur place ici.    





Rappelons que les logiciels Microsoft intègrent un DRM qui empêche leur utilisation sans “activation”. En principe, une même licence ne peut être utilisée en même temps sur deux ordinateurs, la seconde activation désactive nécessairement la première (à moins que cette première soit hors ligne, mais qui peut y croire, en 2016 ?) Ce procès vise donc bien à empêcher la revente de licences légitimes, et en aucune manière des contrefaçons.


Le 04/10/2016 à 07h 07

Le modèle économique des logiciels semble irrémédiablement s’orienter vers la vente de services, plutôt que de logiciels. Il est fort probable que la vente de licences de Microsoft Windows ou de Microsoft Office disparaisse au profit des seuls abonnements mensuels ou annuels. Cela permettrait à l’éditeur d’empêcher toute revente de licence, ou du moins, en réduire l’impact sur son chiffre d’affaires.

Le 03/10/2016 à 21h 32

On peut se réjouir de la dématérialisation des démarches. Toutefois, le dématérialisation ne les simplifie pas nécessairement.



Un gros souci est que l’on ne repense pas les démarches : on ne fait que reproduire sur l’ordinateur ce que l’on fait sur papier. Du coup, on se retrouve avec les inconvénients du papier et de l’ordinateur cumulés. Au lieu de profiter de tout le potentiel des gains de productivité liés à l’ordinateur, au final, on ne fait que reporter sur les demandeurs le coût/temps de la saisie informatique. Mais on remplit les mêmes formulaires à l’ergonomie hasardeuse, et on suit les mêmes procédures dictées par une organisation des services autour du papier. Mais… chez soi, sur son propre matériel informatique.



Quant à la réalité de la France, rappelons que les territoires ruraux, éloignés des locaux des services sociaux, sont aussi ceux qui sont les moins bien pourvus en couverture Internet, qu’elle soit fixe ou mobile. Pas sûr que la dématérialisation des démarches soit particulièrement efficace ici, d’autant que le suivi régulier est toujours maintenu, suivi qui implique un déplacement. Or, ces déplacements ne semblent pas réduits.



Autre point touchant la réalité des bénéficiaires du RSA : ont-ils accès à l’outil informatique pour bénéficier de la dématérialisation ? Savent-ils l’exploiter ? La crainte que l’on peut avoir est que les personnes les plus vulnérables de notre société soient exclues du fait de la dématérialisation.



Enfin, si l’on souhaite véritablement simplifier les démarches, peut-être devrait-on se rapprocher encore un peu plus du revenu universel inconditionnel ? L’essentiel des justificatifs sauterait comme par magie, libérant des tâches administratives administrations et administrés. Le revenu universel inconditionnel n’a pas que des avantages, mais la simplification en est clairement un !



Ceci dit, félicitons la démarche de cette dématérialisation des demandes de RSA, bienvenue.

Le 03/10/2016 à 19h 41

Voici une application industrielle intéressante de l’impression 3D, où l’objet est fabriqué sur mesure, à partir d’éléments prédéfinis. C’est l’un des premiers, sinon le premier jouet de ce type (en fait, on dirait que non). Il serait aussi intéressant de savoir où les jouets sont fabriqués, notamment si la fabrication est locale (ne serait-ce que sur le même continent que le client) ou globale (en Chine ?)



La crainte que l’on peut avoir, maintenant, vient de l’accueil des clients. S’il s’agit véritablement d’une impression 3D en un seul bloc, en couleur, donc probablement en SLS, beaucoup de clients risquent d’être déçus par la qualité des jouets fabriqués sur mesure par rapport à celle des jouets industriels fabriqués avec une méthode plus traditionnelle, le moulage par injection. Mais peut-être que le procédé de fabrication sera différent ? Voire spécifique à cette série de jouets ?

Le 30/09/2016 à 21h 17

Si je comprends bien, le DRM de HP intégrait une… appelons un chat un chat… une bombe logique ?

Le 30/09/2016 à 15h 04

Si l’on veut que les téléphones durent, il faudrait :





  • rappeler qu’un défaut de conception est garanti à vie, et que le logiciel du téléphone n’étant pas délié de celui-ci, il en fait intégralement partie, par conséquent de quoi, tout défaut de sécurité se doit d’être corrigé, et donc les mises-à-jour des OS fournies ;

  • considérer qu’un téléphone (et une tablette) sont des objets portables que l’on fait tomber dans le cadre d’une utilisation normale, et par conséquent considérer la casse physique des téléphones suite à une chute comme couverte par la garantie ;

  • interdire la vente liée des téléphones avec les abonnements téléphoniques, notamment par l’interdiction des « points de fidélité » poussant le consommateur à changer de téléphone tous les 12 à 36 mois, alors que celui-ci est pleinement fonctionnel, y compris au niveau des apps récentes.



Le 30/09/2016 à 14h 58

Puisqu’Ubisoft ne communique plus ses chiffres de ventes, quels sont ceux de la seconde « nouvelle marque dans toute l’histoire du jeu vidéo » ?

Le 30/09/2016 à 13h 01

Vautours. (Je sais, je mérite mon pseudo.)

Le 30/09/2016 à 00h 51

Chouette, ces moments (?) permettront enfin de faire un lien cohérent entre les gazouillis, trop souvent éphémères et indépendants.

Le 30/09/2016 à 00h 44







Shimaran a écrit :



Grinding Gear Games&nbsp;<img data-src=" />









TheRealBix a écrit :



Rust est toujours dans le top 10 !

Unturned (même si je ne comprends pas pourquoi) n’est pas loin derrière

Path of Exile n’est jamais descendu en dessous de 5000…

Des jeux indés il y en a un bon paquet qui tiennent le coup (en absolu)





OK, je retire alors. No Man’s Land est bel et bien un jeu indépendant impopulaire. (CTRL-Z !&nbsp;CTRL-Z !&nbsp;CTRL-Z !)&nbsp;<img data-src=" />


Le 30/09/2016 à 00h 40

A propos d’ETS2 :



&nbsp;      









Commentaire_supprime a écrit :



Va vraiment falloir que je m’y mettre, surtout s’il y a des cartes de la Pologne.




 Un DLC ferroutage est-il prévu ? Et un mode car ferry/navire roulier ?








 Mes neveux ont instantanément reconnu Varsovie grâce à son Palais de la Culture. En fait, la carte de l'Europe est représentée à l'échelle 1 : 8&nbsp;environ, et seuls quelques axes routiers y figurent. Les paysages sont très sommaires, à savoir qu'il y a bien des différences entre plaines et montagnes, mais rien de topologiquement réaliste. Quant aux villes, elles sont représentées via des points de repères emblématiques, et seule leur périphérie peut être visitée. Rien de transcendant, mais suffisamment proche de la réalité pour y trouver des repères.      






Je ne crois pas que le ferroutage soit intégré à ETS2, mais le ferry s'y trouve, oui. J'avoue cependant ne pas y avoir mis les pieds… euh… les roues. J'y joue vraiment de manière ultra-pépère, sans enjeu autre que la détente, ou la recherche d'un pseudo réalisme, notamment avec l'acquisition d'un TrackHat.

Le 29/09/2016 à 09h 08

Je pense que tu as mis le doigt sur l’intérêt même du jeu : pas, ou peu d’enjeu, aucune prise de tête, et de jolis paysages. Avec un volant, des pédales, voire en multi-screen, c’est vraiment chouette.



Quant au succès rencontré par ce jeu, il s’explique notamment par le fait que si le jeu est limité, il n’en demeure pas moins bien fini, et même parmi les meilleurs de sa catégorie. Et enfin, les jeux de la catégorie “simulateur vaguement réaliste de trucs très chiants” sont assez rares.

Le 29/09/2016 à 08h 49

Attends, attends, qu’est-ce que tu reproches à ETS2 ?! Si tu cherches les ennuis, dis-le tout de suite !&nbsp;<img data-src=" />

Le 29/09/2016 à 08h 35

« Sur Steam, No Man’s Sky est passé sous la barre du millier de joueurs simultanés à l’heure de pointe, un score extrêmement bas&nbsp;» est à relativiser : quel studio&nbsp;« indépendant&nbsp;» peut-il se targuer d’une telle popularité ?

Le 30/09/2016 à 00h 22

La France comptant cinq fois moins de citoyens que les Etats-Unis, il aurait été plus pertinent de considérer que 20.000 signatures seraient suffisantes. Autrement, seuls les groupes de pression avec un budget de communication suffisant pour susciter les foules pourront atteindre 100.000 signatures.

Le 29/09/2016 à 09h 13

Après, si tout le monde vit de la pub, il va y avoir un souci ! Faire des jeux financés par la publicité pour des jeux financés par la publicité pour des jeux fin… à un moment, soit le consommateur paye quelque chose, soit le système s’effondre.

Le 29/09/2016 à 08h 38

Faire de la publicité pour ses propres jeux paraît censé, mais le modèle économique semble bien de faire de la publicité pour les concurrents. Qui plus est, un grand éditeur tel qu’Ubisoft a régulièrement des jeux à promouvoir. Enfin, quelques free-to-play sans publicité arrivent à sortir du lot et durer. Certes, c’est rare, et Ubisoft ne semble pas faire partie des leaders de ce modèle économique.

Le 28/09/2016 à 21h 10

J’avoue ne pas voir l’intérêt pour un grand éditeur de jeux vidéo d’afficher des publicités dans les jeux qu’il édite : l’essentiel des publicités affichées ne vise-t-il pas un public de joueurs ? Faire un produit dont le modèle économique repose sur la promotion de titres concurrents n’est-il pas… hum… étonnant ?

Le 28/09/2016 à 21h 29

Merci, j’ai en effet eu l’audace de ne lire qu’en diagonale quelques commentaires. Dommage qu’il manque une source fiable du cours de la cocaïne. En effet, celles que j’ai pu trouver sur le Net semblent indiquer que ce prix, après une forte diminution, semble stable depuis 2010. L’explication serait donc à chercher ailleurs ? ;-)

Le 28/09/2016 à 20h 59

On peut s’étonner que, face à une inflation de 0,0 % en 2015, on envisage d’augmenter la redevance de 1,5 % pour 2017. En fait, cela fait plusieurs années que l’augmentation de la redevance est supérieure à l’inflation. On est en droit de se demander pourquoi les coûts du service public augmentent tant.

Le 28/09/2016 à 21h 06

En effet, cette fois-ci, les frères Guillemot ont bien fait leurs devoirs.

Le 28/09/2016 à 21h 00

OK, merci.&nbsp;<img data-src=" />

Le 28/09/2016 à 20h 42







thomgamer a écrit :



[…] on sait toujours pas combien la Hadopi devra reverser et si c’est rétroactif ? Car là si ils provisionnent depuis le début ça va passer, sinon ils vont devoir demander une rallonge.





En effet, qu’en est-il des frais à rembourser jusqu’ici ? La Hadopi avait-elle provisionné ces sommes, en attendant le fameux décret, ou bien a-t-elle joué l’autruche, préférant tout rejeter sur le Ministère ? Et du coup, qu’en sera-t-il du remboursement des FAI ?



Qu’en est-il de la loi des finances ? Les députés ou les sénateurs vont-ils tenter de réviser cette subvention à la baisse (ou à la hausse) ? Vu que la gauche, qui a tant décrié la Hadopi, du temps où elle était dans l’opposition, soutient désormais cette administration, et que la droite, qui l’a mise en place, ne semble jamais l’avoir remise en question, le budget de neuf millions sera validé sans broncher au Parlement ?


Le 28/09/2016 à 03h 31

J’attends avec impatience la sortie de&nbsp;Ghost In The Shell avec la reine Elisabeth II ! Quand je lis les aigris pester dans les commentaires contre le manque d’originalité dans les licences, c’est à se demander s’ils ont bien lu l’article en entier avant de commenter !&nbsp;<img data-src=" />

Le 27/09/2016 à 02h 06

À première vue, déceler l’«&nbsp;illectronisme » paraît être une bonne idée.



Toutefois, à bien y réfléchir, ne prend-on pas le problème à l’envers ? Est-ce à l’être humain de s’adapter aux machines, ou bien est-ce aux machines de s’adapter à l’être humain ?



Dans un monde où chaque smartphone intègre désormais un assistant vocal, et où l’intelligence artificielle épie, repère et anticipe chacun des gestes de notre vie quotidienne, ne devrait-on pas s’assurer que l’informatique apprenne à nous comprendre tous, y compris les plus&nbsp;«&nbsp;illectronistes&nbsp;» (?)&nbsp;d’entre nous ?



Ceci dit, détecter&nbsp;«&nbsp;illectronisme » permettrait à l’Etat de prendre la mesure du problème, et en observer l’évolution dans le temps. Quitte à ce que ce défaut actuel cesse d’avoir des conséquences à l’avenir.

Le 27/09/2016 à 01h 55

On dirait que les développeurs de jeux vidéo sont sous-informés dans le domaine de la sécurité informatique.

Le 23/09/2016 à 13h 55







thomgamer a écrit :



Même avec une licence globale (dont nos politiques ne veulent pas entendre parler), il faudrait que l’organisme qui redistribue les fruits de celle-ci soit bien fait, car si je regarde le lien de piwi82, on se retrouverait avec les stars bouffant 90% du budget.





Pourquoi diable une licence globale ? Les chiffres de l’INSEE et du Ministère de la Culture semblent indiquer que le budget culture des ménages est sensiblement constant, le piratage P2P et la lutte contre le piratage P2P ne semblent pas avoir d’influence sur le volume des ventes culturelles. À quoi bon une licence globale, donc une subvention déguisée, vu l’absence de préjudice ?



D’un point de vue plus cynique (ou pragmatique ?), on peut imaginer que lorsque les gens piratent des auteurs américains, étrangers, c’est pour dépenser leur argent dans des concerts, locaux ? Ne pourrait-on pas dire aux politiques que le piratage en P2P finance, certes indirectement, le développement culturel national, et crée des emplois dans le spectacle ?

&nbsp;



thomgamer a écrit :



La Hadopi de base n’était pas une si mauvaise idée, mais au final c’est devenu une simple machine répressive … Si elle avait bien suivi toutes ces missions. Au final elle n’a suivi que le volet répression au lieu d’étoffer l’offre légale, d’étudier le comportement et le pourquoi du pirate, améliorer la chronologie des médias…).





La Hadopi lutte contre le P2P, et en toute logique, elle a fait se déplacer le problème (si problème il y a !) sans le résoudre.



Les chiffres des condamnations montre que la Hadopi n’est pas une machine à répression, qui n’est qu’exceptionnelle. En revanche, elle sert d’épouvantail incitant les Internautes français à changer de comportement. De là à croire que ce comportement vise à augmenter les dépenses culturelles des ménages ayant reçu un courrier… voici une étude qu’il serait intéressant de faire !


Le 23/09/2016 à 13h 25

Sans vouloir polémiquer (ha ha), sur quelle base s’appuie la députée&nbsp;Virginie Duby-Muller pour parler du désengorgement des tribunaux ? Concrètement, combien y avait-il de dossiers instruits par le parquet avant la mise en place de la Hadopi et après sa mise en place ?



La députée comprend-elle que la Hadopi a poussé les pirates à adopter de nouveaux comportements que sont le streaming illégal, ou encore les seedbox et les proxys ou VPN anonymisants ? On peut craindre que la Hadopi a professionnalisé la contrefaçon culturelle, favorisant des professionnels aux motivations mercantiles.



Mais désengorger les tribunaux, si tel devait être effectivement le cas, est une chose. Qu’en est-il des dépenses culturelles des ménages ? Le piratage les a-t-il fait baisser ? La Hadopi les a-t-elle fait monter ? Les chiffres du Ministère de la Culture ne semblent montrer aucune influence sur le volume, tout au plus sur la répartition.



Si le but est bel et bien de désengorger les tribunaux, la solution est toute trouvée : dépénaliser la contrefaçon culturelle non marchande ! Est-il utile de rappeler que la Hadopi vise à empêcher la diffusion, non marchande, de la culture ?

Le 23/09/2016 à 13h 38

Il me semble bien que la redevance pour copie privée ne couvre que les copies de contenus culturels licites, et donc exclus les contenus illicites.

Le 23/09/2016 à 13h 00

En effet, si le code est très intéressant, sans les images annotées, la technologie est surtout utile aux chercheurs qui l’exploiteront pour mettre à l’épreuve face à leurs propres solutions.



Toutefois, Google renvoie vers l’une de ces banques d’images dédiées à la recherche scientifique, ImageNet, où figurent justement des images annotées.



Ensuite, à chacun, enfin à chaque équipe, de développer sa propre solution, commerciale ou non, pour exploiter l’annotation automatique d’images.



Enfin, on ne pourra que saluer l’effort de Google, mais aussi de Microsoft, de mettre à disposition de tous des technologies d’apprentissage automatique. Cela permet à la recherche de progresser rapidement dans le domaine de la reconnaissance d’images en particulier, et de l’intelligence artificielle en général. Les scientifiques, mais aussi les ingénieurs mettant en oeuvre ces technologies, peuvent se concentrer sur de nouvelles idées, plutôt que de refaire la roue encore et encore.

Le 23/09/2016 à 02h 34

L’alerte des fuites de mots de passes est une fonctionnalité très rassurante, mais présente un défaut dans son implémentation.



En effet, d’expérience, il s’écoule entre un et trois jours entre la mise en évidence publique d’une fuite et sa prise en compte par Dashlane. Si l’on a modifié son mot de passe sur un service piraté après le piratage, mais avant que l’équipe de Dashlane ne répertorie la faille, Dashlane considère tout de même le mot de passe compromis.



Gageons que l’outil sera amélioré sur ce point, car il n’incite pas l’utilisateur à être réactif, bien au contraire. Et c’est fort dommage.



Enfin, l’article semble faire l’impasse sur le suivi automatique des dépenses faites en ligne. En effet, suite à un achat, Dashlane enregistre la transaction dans un historique dédié. Cela peut s’avérer pratique pour faire un point rapide des dépenses récentes. Malheureusement, le système ne fonctionne pas correctement sur tous les sites, ignorant des transactions, ou récupérant des prix farfelus, que l’on peut tout de même modifier avant enregistrement (sur ce point, d’ailleurs : la localisation des “.” et des “,” comme séparateurs de décimales est défaillante).

Le 23/09/2016 à 02h 16

Dashlane repose sur un principe où seul l’utilisateur a accès à ses mots de passes, en local. C’est le mot de passe maître qui définit la clé de chiffrement, et sans ce mot de passe, il n’est pas possible de récupérer les données chiffrées. L’éditeur du logiciel ne connaît pas ce mot de passe, et celui-ci n’est pas transmis sur ses serveurs.



La synchronisation vise à transmettre les données, chiffrées, entre plusieurs machines, via les serveurs de l’éditeur. L’éditeur de l’outil n’a pas à connaître et ne connaît pas le mot de passe maître indispensable au chiffrement et au déchiffrement des données. Il ne voit que des données chiffrées, illisibles, rien de plus.



D’ailleurs, comme l’indique l’article, une fois le mot de passe maître perdu par l’utilisateur, que lui seul connaît, toutes les données sont définitivement illisibles.



Certes, le logiciel étant privatif, l’éditeur peut le modifier pour envoyer le mot de passe maître saisi par l’utilisateur à ses serveurs. Cependant, cela supposerait la modification des outils clients. Et cela nous renvoie à l’affaire de l’iPhone chiffré dans laquelle le FBI souhaitait imposer à Apple à modifier son logiciel de protection. Certes, Dashlane n’a sans doute pas les moyens d’Apple…

Le 18/09/2016 à 11h 51

Autant James Comey, directeur du FBI, que Mark Zuckerberg, directeur de Facebook, sont des cibles de choix pour les apprentis pirates, les criminels, ou les agences de renseignement du monde entier. Il est normal qu’ils se protègent davantage que le commun des mortels.



Ceci dit, James Comey nous rappelle surtout que la protection physique est entrée dans les moeurs sans que personne n’y trouve quoi que ce soit à redire. En matière de sécurité, il n’y a aucune raison d’agir différemment avec son ordinateur qu’avec son domicile.

Le 17/09/2016 à 00h 12

À noter que Netflix a ajouté plus tôt ce mois-ci (en France) la série originale Star Trek.