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1718 commentaires

Le 18/12/2015 à 14h 39







Matif a écrit :



C’est la vérification individuelle.



Question : que peut faire l’électeur s’il constate que les noms inscrits sur les cartons ne correspondent PAS à son choix ?





Il se plaint au président du bureau de vote. Le bulletin en erreur est détruit devant témoins, et le votant reçoit un nouveau bulletin vierge. Au risque de me répéter … exactement comme dans la procédure manuelle.



Pour rappel, puisque cela ne semble pas clair : aucun vote n’est comptabilisé par la machine qui imprime le bulletin. Seuls les bulletins placés dans l’urne seront comptés, en fin de journée ; or dans le cas d’une contestation, le bulletin n’est pas mis dans l’urne…


Le 18/12/2015 à 12h 44







Matif a écrit :



J’ai déjà expliqué (#230 p.23) pourquoi le point de vérification  individuelle ne fonctionne PAS.

Le vote vérifiable est un leurre.





J’ai déjà expliqué - vingt fois - le principe d’un vote électronique strictement équivalent à un vote papier.





  1. L’électeur choisit à l’écran le ou les candidats pour lesquels il désire voter.

  2. La machine dans l’isoloir imprime un carton sur lequel sont écrits de manière lisible le nom de ces candidats, dans une police OCR, donc lisible sans contestation par un humain et par une machine.

  3. L’électeur vérifie que les noms sur le carton correspondent bien à son choix.

  4. L’électeur sort de l’isoloir et dépose son carton dans l’urne transparente, ayant pris soin de replier le carton (ou le mettre dans une enveloppe) afin de masquer son vote. De par le fait qu’il dépose son vote dans l’urne, il signale tacitement qu’il est d’accord avec ce qui est imprimé sur le carton.

  5. A la clôture du bureau de vote, l’urne est ouverte, les cartons sont dépliés et répartis en “tas” de taille raisonnable (p. ex. 100 cartons).

  6. Les cartons passent dans une machine qui lit les noms et comptabilise les votes, en les affichant au fur et à mesure.

  7. Les témoins sont autorisés, avant ou après le comptage par la machine, de prendre un tas et de compter à la main (ou par tout autre moyen mécanographique qu’ils auraient amené eux-mêmes et en lequel ils ont confiance, par exemple un scanner avec passeur automatique). Ils peuvent ensuite comparer avec les résultats tabulés par la machine. Ils répètent cette procédure autant de fois qu’ils le désirent.

  8. Lorsque les témoins ont raisonnablement éliminé leurs doutes sur la fiabilité des résultats, les tas sont scellés individuellement, chacun avec leurs résultats tabulés et les signatures des témoins.

  9. En cas de contestation ultérieure, on peut encore rouvrir les scellés et recompter.



    Cette procédure offre exactement les mêmes garanties que la procédure manuelle existante, puisqu’elle est exactement la même, la seule différence notable étant que le bulletin de vote est imprimé à la demande au lieu d’être préimprimé, et que cette impression à la demande le rend plus facile à relire mécaniquement.



    De fait, après ma sortie du bureau de vote, je n’ai aucune preuve de pour qui j’ai voté, c’était déjà le cas dans la procédure manuelle, je dois faire confiance aux témoins présents dans le bureau au moment du vote et au moment du dépouillement.



    Et si ô miracle de la technologie les cartons sont imprimés avec une encre qui disparaît et ou change le nom du candidat une fois dans l’urne, encore une fois, ce serait tout aussi possible avec des cartons préimprimés.



    Et si la machine de lecture détruit les cartons ? Hé bien le vote est déclaré nul et doit être recommencé. Encore une fois, exactement comme dans la procédure purement manuelle.



    Quant à ceux qui n’ont pas encore compris que, indépendemment de la vitesse, le taux d’erreur d’une procédure manuelle, quand des gens stressés et fatigués doivent compter de nuit dans un local bruyant les points rouges sur un bulletin de 80cm sur 50cm comme celui-ci (sachant qu’un électeur peut cocher autant de cases qu’il le veut dans une même colonne) :

     

    http://static.blogs.sudinfo.be/media/29/9405208-thumb.jpg

      

    est un ordre de magnitude pire que pour la procédure mécanisée, hé bien, je ne peux malheureusement rien pour eux.


Le 18/12/2015 à 11h 33







Chamaloxxx a écrit :



Sauf que ça ne sert à rien. Imaginons un litige. Pour qu’il puisse être contrôlé, il faudrait demander à 100% des votants de revenir avec le fameux papier, puis de refaire le compte.



Donc ça revient STRICTEMENT AU MÊME que le vote papier de base, mais moins fiable…





ILS METTENT LE PAPIER DANS L’URNE !!!!!!!!!!!!!! Si chacun repart avec son bulletin de vote sous le bras, comment tu fais pour les compter ?

 


Le 17/12/2015 à 15h 23







jiph a écrit :



Donc la première machine ne sert à rien. Les bulletins sont déjà imprimés, donc seul la seconde machine suffit.





 Ils suffisent peut être dans le cadre Franco-Français où il n’y a que quelques candidats et on vote pour un seul, mais pas nécessairement dans le reste du monde… En Belgique, dans certaines élections, tu peux voter pour plusieurs candidats… En Suisse lors d’une votation, tu t’exprimes sur plusieurs sujets. Tu préimprimes toutes les combinaisons possibles ? 


Le 17/12/2015 à 13h 47







Patch a écrit :



Et seras-tu capable de prouver qu’il n’y a pas d’erreur à échelle nationale avec une machine (sachant qu’en dépouillement manuel, on peut le vérifier bureau par bureau, et qu’un compromis ne compromet pas les autres)?





Oui. Exactement de la même façon que pour un comptage manuel, on pourra si on veut recompter bureau par bureau.  Il n’y a aucune différence avec un comptage purement manuel, si ce n’est la mécanisation du comptage initial.


Le 17/12/2015 à 13h 45







jiph a écrit :



Et si tu imprimes le candidat A, mets le papier dans ta poche puis mets le candidat B dans l’enveloppe ?

Quel vote compte ?





Ben… exactement comme quand tu le fais avec un dépouillement manuel : le bulletin qui est dans l’enveloppe, évidemment.



Bon. Ca c’était la réponse courte. La longue maintenant puisque manifestement ça ne passe pas…



Seul compte le bulletin que tu mets dans l’urne. La machine dans l’isoloir qui a imprimé ce bulletin ne compte rien, elle se contente d’imprimer ton vote sur un carton, puis oublie tout. Le but d’avoir une machine dans l’isoloir est de garantir que le bulletin sera lisible par la machine de comptage, qui ne commencera à compter que quand le bureau de vote sera fermé.


Le 16/12/2015 à 14h 57







MasterDav a écrit :



Sans parler du gain de temps indiscutable.





Certes !



 Quoique toutefois néanmoins, dans le cas d’une élection (et peut-être le contraire du tri postal mais ça reste à démontrer) la vitesse d’exécution est accessoire par rapport au taux d’erreur.



Ou alors plus prosaïquement, le gain de temps découle de l’absence d’erreurs sans être nécessairement le but premier.


Le 16/12/2015 à 14h 45







athlon64 a écrit :



Et je ne comprends toujours pas en quoi ca change que de trier manuellement. <img data-src=" />





En l’absence de volonté délibérée de nuire ou de panne, une machine fait significativement moins d’erreurs qu’un humain sur une tâche répétitive comme compter des coches dans des cases.



En pratique, il suffit donc de contrôler le travail mécanographique (si si, j’aime les mots désuets) sur un petit échantillon pour s’assurer que les résultats sont corrects.



Pour faire écho à ton émoticône (caramba encore un mot bien choisi), c’est notoirement le cas dans une usine d’allumettes.


Le 15/12/2015 à 16h 02







MuadJC a écrit :



Mon idée est de cloisonner les contrôles, ce qui préserve l’anonymat. les bases de données (de log)

seraient séparées, celle des votes effectués serait inaccessible à tout organe politique (ou syndical, etc).



Oui.

Qui ?

Leaks !&nbsp;<img data-src=" />





Je n’ai pas de vision précise, certes. Mais ce sont des pistes que personne n’évoque, préférant accepter ou refuser en bloc.&nbsp;

&nbsp;

La cryptographie ne s’improvise malheureusement pas…



&nbsp;


Le 15/12/2015 à 14h 44







flagos_ a écrit :



Ton grand père peut télécharger l’urne globale, et refaire le comptage avec le soft de son choix, puisque l’implémentation est open-source.



A tous les coups, il pourrait même faire depuis une tablette.



Note que ceci est impossible a faire avec le vote papier, tu es obligé de faire confiance car tu ne sais pas ce qui se passait dans tous les bureaux de vote en France.





Non, il ne peut pas faire cela avec les machines à voter existantes.


Le 15/12/2015 à 14h 30







MuadJC a écrit :



Personnellement, je n’ai aucune idée de la réponse. Je n’ai donc pas plus confiance dans le dépouillement humain.





Hé bien justement !



Si tu n’as pas confiance dans le dépouillement humain, la loi te donne explicitement le droit d’aller vérifier par toi même le déroulement du processus (pour autant évidemment que tu ne viennes pas juste pour foutre le boxon) Mais pour que tu puisses exercer ce droit, il faut que les opérations soient vérifiables par un citoyen “lambda”. C’est le cas avec des bulletins papier, pas avec des bits dans une mémoire flash.



Tu peux, si tu veux, mettre un signe discret sur ton bulletin pour vérifer qu’il est bien dans l’urne (évidemment, ça le rendra nul… mais c’est ton droit)


Le 15/12/2015 à 12h 22







flagos_ a écrit :



&nbsp;&nbsp;d’adopter une position hstérique sur le sujet comme vous le faites ! C’est une erreur historique !





Qui est hystérique / historique ici ? Personne ici ne maintient qu’il faut arrêter toutes les recherches sur la question du vote électronique…



Mais tout le monde est essentiellement d’accord que l’implémentation actuelle du vote électronique est mauvaise et doit être éradiquée.



Et puis c’est pas comme si c’était récent :&nbsp;



&nbsphttp://www.imdb.com/title/tt0649373/

&nbsp;


Le 15/12/2015 à 12h 14







clemandr a écrit :



Quand je vois le modèle de machine à voter présente dans ma ville, j’ai un peu de mal à voir dans quelle mesure le vote pourrait être volontairement altéré.





&nbsp;C’est bien là tout le problème… Tu as un peu de mal à voir comment on peut tricher. Je répète le mot important : TU. Le simple fait que tu ne connaisses aucun moyen de contourner la sécurité ne garantit en rien que c’est sécurisé. Attention : ceci n’est pas une attaque personnelle ! C’est simplement qu’il est très facile de faire croire à quelqu’un qu’un système est sécurisé alors qu’il ne l’est pas.



Je ne vois pas comment quelqu’un a bien pu voler mon vélo, j’avais mis deux cadenas…


Le 15/12/2015 à 11h 07







Sigma42 a écrit :



Ouais enfin, tant qu’on n’a pas recompté humainement on ne peut pas savoir s’il y a eu bug ou triche

Du coup on double le travail : Décompte machine puis manuel : L’avantage c’est quoi ? D’avoir les résultats d’élections 5 min après la fermeture des bureaux de vote, c’est tout ?





Dans la majorité des dépouillements, les bulletins sont re-comptés plusieurs fois par plusieurs personnes. Pas nécessairement l’intégralité, mais les observateurs des partis le font régulièrement (c’est même pour ça qu’ils sont là). Et le plus souvent il y a des erreurs (humaines et de bonne foi) parce que compter des bulletins, c’est chiant et le cerveau humain n’est pas adapté à cette tâche.



La seule chose qui change c’est que le comptage exhaustif initial est fait par une caméra plutôt qu’un humain, donc en l’absence de tricherie, le résultat initial est correct.

&nbsp;


Le 15/12/2015 à 11h 00







KooKiz a écrit :



Il n’y a strictement aucun moyen pour un programme de se protéger totalement d’une corruption de la mémoire. Même si tu rajoutes un “si voix comptées &gt; voix exprimées alors erreur” à la fin du programme, la corruption peut tout à fait arriver juste après ton test.





Oui, bien sûr, je ne le conteste pas que ça peut arriver. Mais tout est question de probabilités… Honnêtement, juste dans la demi seconde entre le moment où il vérifie les résultats et le moment où il les imprime ?


Le 15/12/2015 à 10h 38







FREDOM1989 a écrit :



Donc on va avoir un ticket, à placer dans une urnes et on va comparer le décompte automatique des machine au décompte des tickets. C’est très intéressant.



&nbsp;Ou alors on a un code unique anonyme bien sûre et après décompte on peut vérifier pour quel candidat a été attribué sa “clé” mais le vote ne sera plus anonyme, le régime saura pour qui on a voté vu qu’il saura quel internaute a vérifié quel clé.



Le papier est idéale car le quidam peu vérifier que tous le processus se passe bien et ça coute pas chers.





Je crois qu’on ne se comprend pas sur les points de détail. Pour voter, je vais sur une machine qui me montre la liste des candidats et j’appuie à l’écran sur celui à qui je veux confier les 5 prochaines années de ma vie.



La machine sort un ticket carton, format ticket de cinéma, sur lequel est écrit en toutes lettres le nom des candidats pour qui j’ai voté, dans une police de caractères “OCR friendly”. Il n’y a aucune autre information sur le carton qui pourrait m’identifier. Je relis pour vérifier, je plie le carton en quatre pour cacher le texte, et je le mets dans l’urne.



Ca n’a pas nécessairement de sens au deuxième tour de la présidentielle (il peut être plus efficace de préimprimer les bulletins aux noms des deux candidats) mais pour toutes les élections où on a le choix entre de nombreux candidats, ça simplifie grandement la logistique.

&nbsp;


Le 15/12/2015 à 10h 27







flagos_ a écrit :



&nbsp;Par exemple une machine a voter qui imprimerai un bulletin et qui le déposerait dans une urne scellée.





Je relève juste ce point (je suis évidemment d’accord avec tout le reste…) car il faut absolument que l’électeur lui-même reçoive son bulletin en main propre pour qu’il puisse le vérifier avant de le mettre dans l’urne !


Le 15/12/2015 à 10h 20







KooKiz a écrit :



Bah une erreur matérielle est tout à fait plausible, c’est pour ça que des mémoires dites ECC existent, avec des systèmes de détection et correction d’erreur.





Certes, je ne veux pas nier l’existence de ce problème, mais comment tu expliques que le programme a accepté de sortir comme valides des résultats donnant 4200 voix à un candidat, parmi 2000 bulletins valides <img data-src=" />?


Le 15/12/2015 à 10h 14







KooKiz a écrit :



Mais si la machine se charge juste de donner un bout de papier qui sera compté à la main, quel est l’intérêt d’utiliser une machine ?



Sécurité et simplicité sont souvent synonymes. Moins il y aura d’étapes et plus il y aura de transparence, et plus le vote sera sûr.&nbsp;





Le but ici est de faire le comptage des bulletins par une machine, qui le fera vite, mais que l’on pourra vérifier. Par exemple, on prend le contenu de l’urne (2000 bulletins) et on sépare (en aveugle) en 20 tas de +/- 100 bulletins. On fait compter ces 20 tas successivement par une machine, qui sort rapidement vingt comptages qu’on additionne dans un tableau (non j’ai pas dit Excel). N’importe quel observateur peut contester, prendre un des 20 tas, le compter à la main et comparer avec les résultats de la machine. N’importe quel observateur peut prendre sa calculette et refaire les sommes. Il peut répéter l’opération autant de fois qu’il le désire jusqu’à être convaincu que les résultats sont corrects.


Le 15/12/2015 à 09h 39







Just1_ a écrit :



J’ai beau être technophile, je suis résolument contre le vote électronique!&nbsp;



Rien ne vaut un petit bout de papier. N’importe qui (sans étude particulière) peut contrôler et assister au dépouillement!





Pareil.



Bruce Schneier, spécialiste de la sécurité informatique et qui est loin d’être un idiot, propose un système où le vote électronique se fait par une machine qui sort un ticket où le vote est imprimé de manière lisible à la fois par un humain et par un ordinateur. Le dépouillement est rapide et contrôlable.


Le 15/12/2015 à 09h 33







Berri-UQAM a écrit :



Hein ?





C’est arrivé en Belgique, un candidat avait mystérieusement reçu 4096 voix de trop. Le fabriquant avait invoqué un rayon cosmique.



Un prof d’université reconnu (j’ai assidument assisté à ses cours durant mes années d’université, c’est dire …) était passé à la télé pour expliquer, quasiment obligé de se retenir d’éclater de rire, que le rayon cosmique c’était de la fumisterie et que l’explication la plus plausible était que cette machine ait été programmée par un informaticien avec deux pieds gauches à la place du cerveau.


Le 18/12/2015 à 12h 53







gokudomatic a écrit :



De même si un étudiant s’amuse à faire un petit script du genre cat /dev/urandom &gt; mytrollfile.bin, MS va vite saturer et aura l’obligation de garder les fichiers totalement inutiles de l’étudiant.





Un petit bot de 100000 PC zombies qui font ça 247, et hop, y’aura tellement de disques qui tournent en même temps dans le même sens que le datacenter va se satelliser&nbsp;<img data-src=" />

&nbsp;


Le 18/12/2015 à 11h 31







Abused a écrit :



c’est très pratique d’avoir de l’espace illimité … faire un Ghost de tes Hdd (ou d’un parc, chaque jour ^^)





Le problème de l’illimité, c’est que si l’IT s’en fout de virer les ghost dont il n’a plus besoin, MS se retrouve avec une mégatonne de fichiers qu’il ne peut contractuellement pas détruire…


Le 15/12/2015 à 12h 03







Folgore a écrit :



OVH y a plus de .net en mutualisé ? A moins que ca a jamais existé. Enfin bon, j’en avais pas trouvé, j’ai cherché ailleurs et j’ai chopé hostforlife: et suis pas déçue, au contraire, ca carbure aux stéroïdes et pour moins de 60€/ans <img data-src=" />





J’ai un “ASPPERSO” mutualisé depuis tellement longtemps que je ne me rappelle même plus quand j’ai commencé… Mais de fait, je ne vois aucun endroit où on peut encore en commander.



Bon, je vais de ce pas voir à le renouveler pour ne pas (1) me retrouver à payer plus et surtout (2) ne plus avoir d’hébergement .net (quoique finalement, pour le peu que ça me sert…)



&nbsp;Heu, bon, il est valide encore deux ans… Purée, va vraiment falloir que je développe un site à mettre dessus.


Le 15/12/2015 à 10h 24

Le jour où Youtube n’acceptera plus des vidéos où apparaissent des chats, là on pourra dire qu’il y a progrès.

Le 14/12/2015 à 09h 17

Dommage, c’était pratique pour parler dans l’hygiaphone.

Le 14/12/2015 à 09h 14







dump a écrit :



Du grand Microsoft.

Toujours là à créer divers services et logiciels À fin de faire comme la concurrence.

Mais au bout de quelques années à chaque fois ils abandonnent ce qu’ils ont commencé en laissant dans la galère les clients.

Si on regarde bien, dans le temps et la pérennité d’une application d’un service , Microsoft n’est pas du tout fiable. Et tot ou tard il faudra s’attendre à ce qu’ils abandonnent ce qu’ils ont commencé.





Heureusement que les autres ne font pas pareil !



Euh … wait … si en fait.



&nbsp;Faut s’y faire, avec le gratuit on en a pour son argent, ni plus, ni moins.


Le 07/12/2015 à 09h 10







tmtisfree a écrit :



Pardon, climato-hérétique : c’est l’expression appropriée face à une secte.





C’est pas parce qu’une secte a tort que ses détracteurs ont forcément raison&nbsp;<img data-src=" />


Le 04/12/2015 à 20h 46







AlbertSY a écrit :



Par ailleurs tant qu’on a besoin d’un Mac pour compiler les apps destiner à iOS ou Mac, autant de le faire sur un Mac directement.





Moi c’qui m’a toujours fait marrer, c’est que Objective C fait un usage immodéré des caractères [ ] { et }. Et que ces touches n’apparaissent nulle part sur un clavier Azerty de Mac, il faut retenir une combinaison à trois touches pour les taper.



&nbsp;Y’a des moments où à force de vouloir tout faire pas comme les autres, on atteint les limites des bornes&nbsp;<img data-src=" />


Le 04/12/2015 à 20h 18







Bylon a écrit :



Ouah… tu connais l’assembleur 360 ?.. ça vaut de l’or ça parce que les quelques rares programmes qui restent, plus personne ne sait les comprendre/maintenir. <img data-src=" />





Heu … non … L’ autre mainframe :-) Control Data 6600 (enfin … quand j’ai commencé c’était déjà un CDC Cyber 170750, mais il était compatible.) Aaaah les joies des mots de 60 bits et des adresses sur 18…



SA1 REQ

SX2 B2

IX6 X1+X2

SA6 &nbsp;B1

XJ



Toute une époque :-)


Le 03/12/2015 à 18h 12

On est tout-à-fait d’accord. Microsoft a d’ailleurs des accords avec certains grands comptes pour rendre le code source de Windows accessible. Ca coûte un bras, c’est restrictif mais ça existe, c’est bien la preuve qu’on en a besoin.



Maintenant, une grande majorité des applications (oui de fait pas un émulateur comme Wine, c’est évident) se passent très bien des détails sordides…



Et je ne suis pas développeur depuis 20 ans ! Je ne développe des applications sous Windows que depuis 20 ans c’est vrai, mais avant c’était sous MS-DOS, et avant … heu … bah oui … CP/M et du Z-80 embarqué :-) Et avant c’était sur un mainframe… Houuuu je suis vieux.

Le 03/12/2015 à 13h 01







Cedrix a écrit :



Désolé, je me suis mal exprimé sur le Smartphone. Je parlais de ton argument d’autorité. Pas du reste de ton message. <img data-src=" />





Là non plus je ne suis pas d’accord&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;Un argument d’autorité n’est jamais valable, même sur une technologie aussi peu évolutive que le taillage des silex

&nbsp;<img data-src=" />


Le 03/12/2015 à 12h 40







Cedrix a écrit :



Sauf que dans un secteur aussi évolutif que les nouvelles technologies, cet argument n’est en aucun cas valable.





Au contraire, je dirais plutôt qu’il est indispensable d’avoir avant tout une API stable et un support garanti dans le temps, de façon que les applications écrites aujourd’hui continuent à fonctionner demain… Surtout dans le monde professionnel et industriel, cible de ce produit.



La modélisation 3D c’est d’abord l’industrie qui en a besoin, et les industriels, ils font des investissements à long terme, ils aiment les outils qui ne changent pas au gré du vent, la plupart des cahiers des charges auxquels on répond se résument généralement à une seule phrase : “votre nouveau produit, on veut bien l’acheter à condition qu’il fonctionne exactement comme l’ancien”.



Et puis, c’est pas comme si on ne se doutait pas un tout petit peu que l’API s’inspirera de DirectX.&nbsp;<img data-src=" />


Le 03/12/2015 à 07h 58







Bylon a écrit :



Certainement.



Vu l’investissement que demande d’adapter les jeux/applications à ce genre de chose, et vu qu’il y a déjà plein de concurrence sur le sujet, à mon sens ça ne décollera jamais si le bouzin n’est pas accessible pas des API Open Sourcées/Libres et normalisées.



Et ce n’est pas trop la politique du numéro 1 du logiciel privateur, même si des progrès timides sont notés récemment.





Ah bon ? Ce n’est donc que récemment que Microsoft a timidement publié quelques API pour accéder aux fonctionnalités de Windows et de ses autres produits ? C’est marrant, moi au contraire il me semblait que ces API étaient accessibles depuis toujours. Mais c’est vrai que je ne programme des applications sous Windows que depuis 20 ans, donc je dois sûrement me tromper.&nbsp;



D’autant plus marrant que, justement, la “politique” de Microsoft est de garantir une compatibilité ascendante très poussée, les programmes écrits pour Windows 95 continuent à tourner sans soucis majeurs sous Windows 10… ‘tain, ils ont été jusqu’à détecter les programmes d’installation 16 bits et les remplacer par un simulateur pour qu’on puisse continuer à installer des vieux trucs sur un processeur 64 bits !



Et ne me fais pas dire ce que je n’ai pas dit. Je sais très bien qu’ils ne font pas ça pour promouvoir la fraternité entre les peuples, mais bien pour conserver leurs parts de marché. Mais ils le font.



Edit : oui, j’ai utilisé un argument d’autorité : “je programme depuis 20 ans, je sais que j’ai raison”. J’assume.


Le 03/12/2015 à 18h 28







DotNerk a écrit :



Je serai plus mitigé et j’irai avec du “Hybrid-Cloud” s’il faut vraiment y aller <img data-src=" />





Mitigation est effectivement le maître mot en informatique… Toujours espérer le meilleur et se préparer au pire.


Le 01/12/2015 à 12h 39







romainsromain a écrit :





  1. Dépendance technique : on va former les enseignants aux produits Microsofts et apprendre aux enfants à coder dans un langage Microsoft …&nbsp;





    Même à la (grande…) époque du Thomson TO-7, les gamins programmaient déjà avec un langage Microsoft&nbsp;<img data-src=" />


Le 30/11/2015 à 13h 42







Z-os a écrit :



[quote:5542396:Pochi]



En informatique, TOUT&nbsp;a une formule magique.    



[quote]

Ben non, a priori, s’il s’agit d’un problème NP complet tu auras du mal à le résoudre en temps polynomial. <img data-src=" />





Sauf à démontrer que P = NP, et empocher le million de dollars qui va avec - ce qui permet en plus de boucler le budget course de l’écurie pour l’année…&nbsp;<img data-src=" />


Le 22/10/2015 à 07h 50

On va dire que… peut-être … une appli lancée continue à pouvoir accéder au contenu, mais qu’il n’est pas possible de lancer une nouvelle appli.



&nbsp;Enfin, tout ça pour dire qu’on ne sait pas le fin mot de l’histoire en fait.&nbsp;<img data-src=" />

Le 22/10/2015 à 07h 03

J’ai un peu de mal à croire qu’une fois que le téléphone est locké, le déchiffrement est impossible. Sous Android, les applications peuvent lancer des services, qui peuvent effectuer un traitement quand le téléphone est locké, soit périodiquement (timer) soit en fonction d’un événement (réception d’un SMS de ta belle-mère). Ce serait étonnant que ces applications soient tout-à-coup bannies.

Le 19/10/2015 à 14h 50







joma74fr a écrit :



oui, bien vu, c’est le même principe.



Pourquoi ne parle-t-on pas d’illimité pour les forfaits annuels de transports en commun ?





Je lis distinctement le mot “illimité” dans ces tarifs :

&nbsp;

http://www.ratp.fr/fr/ratp/c_20585/titres-tarifs/


Le 19/10/2015 à 11h 58







psn00ps a écrit :



Quand on veut, on peut.





Ca fournit une connexion point à point entre deux bâtiments à des emplacement fixes… Je ne vois pas en quoi c’est applicable à un téléphone portable (également appelé mobile)…&nbsp;<img data-src=" />


Le 19/10/2015 à 10h 01







croustx a écrit :



Question a deux balles : pourquoi en Wimax, ADSL, WifiMax, … on arrive à faire de l’illimité;



… mais pas en 4G ?





On n’arrive pas à faire de l’illimité avec une quelconque technologie. Il se fait simplement que les limites technologiques de l’ADSL par exemple sont plus élevées &nbsp;et plus facilement contournables (il “suffit” de rajouter des câbles…) que pour les technologies sans fil où, par principe, le spectre électromagnétique, donc la bande passante totale, ne peuvent pas être étendus et sont partagés par tout le monde.


Le 02/10/2015 à 05h 51

Pour répondre au cas précis de l’acquisition de données de températures qui serait encapsulé par un concept unique, hé bien je peux te dire - pour avoir implémenté un système de traçage généralisé - que c’est loin, très loin d’être le cas ! Il n’y a pas deux constructeurs qui utilisent le même protocole pour l’acquisition. On trouve des compteurs WMI (pour la température du processeur), des couches COM/DCOM (OneSix) voire DDE (OneSIx aussi…) divers boîtiers qui ont un serveur HTTP, de la mémoire partagée (Motherboard Monitor) encore d’autres qui exportent régulièrement un fichier CSV…

&nbsp;

&nbsp;Et malheureusement ça ne s’améliorera pas tant qu’il n’y aura pas un gars suffisamment puissant que pour imposer un standard (ne fût ce que dire une fois pour toutes : c’est SNMP point barre). Et dès qu’un acteur aura réussi à imposer un standard, on lui gueulera dessus parce que ça nuit à la diversité (personnellement j’ai du mal à voir où il y a un besoin de diversité dans un standard d’acquisition de températures, mais bon…). C’est un cercle vicieux&nbsp;<img data-src=" />

&nbsp;

&nbsp;

Le 30/09/2015 à 14h 01

Toutafé, on est bien d’accord, mais il y a ici une différence de taille : l’existant. Il n’existe pas encore de base d’utilisateurs RPi / Windows 10 pour pousser les dév à rester, donc l’immobilisme ne jouera pas en la faveur de MS sur ce coup ! Windows Phone, l’équation est : y’avait personne + c’est pas bon = y’a toujours personne qui en veut. La seule variable qu’ils peuvent changer c’est “c’est pas bon” en “c’est merveilleux”.

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Le 30/09/2015 à 13h 14

&nbsp;C’est bien là toute la différence entre l’ouverture GPL “nous vous autorisons explicitement à” et l’ouverture IBM “et mayrdeuh, notre service juridique n’arrive pas à trouver l’entourloupe le moyen légal de vous empêcher de”&nbsp;

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&nbsp;Et pour en revenir à Microsoft, je ne vois pas pourquoi ils ne pourraient pas proposer un OS pour cette carte. Comme on l’a dit pour Windows Phone, si c’est une bouse, les développeurs s’en écarteront. Si ça apporte quelque chose, hé bien tant mieux.

Le 30/09/2015 à 06h 21

Je n’arrive toujours pas à comprendre d’où vient cette légende que le Pi serait ouvert… Même si ses plans de montage, son firmware et tout le toutim sont publiés et non protégés, les composants eux-mêmes sont propriétaires. L’architecture ARM n’est pas libre de droits, elle requiert une licence.

Le 30/09/2015 à 06h 02

Je cite Wikipedia, aussi, alors …

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&nbspfr.wikipedia.org Wikipedia&nbsp;

&nbsp;Le BIOS équipant les PC d’IBM étant protégé, Compaq […] rétroingénierie …&nbsp;

Ce qui a conduit à des procès…

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&nbsp;On est bien d’accord que l’IBM PC n’étant que l’assemblage de composants tiers, n’importe qui peut s’en procurer aussi. Mais ces composants tiers (à commencer par le 8088) ne sont pas eux-mêmes ouverts.

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En publiant l’architacture du bus,&nbsp;IBM avait autorisé d’autres à créer des cartes d’extension, pas de cloner le PC lui-même. C’est un peu comme si tu disais que parce que Microsoft publie l’API WIN32 pour que des tiers puissent écrire des programmes, et que Windows est composé d’instructions x86 dont le fonctionnement de chacune est précisément documenté par Intel, Windows est un standard ouvert…

Le 29/09/2015 à 11h 33







Grumlyz a écrit :



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Perso, j’ai encore du mal à y trouver un quelconque intérêt pour l’utilisateur.





Moi non plus… y’a qu’à voir le carton qu’a fait le Nabaztag&nbsp;<img data-src=" />&nbsp;

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&nbsp;Mais par la porte ou la fenêtre, on va en bouffer. Les montres connectées arrivent, suivent les bracelets fitness, les balances connectées, les frigos qui te font les gros yeux quand tu grignotes à 3h du mat…

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Le 29/09/2015 à 07h 52







brice.wernet a écrit :



&nbsp;Sur le RPi2, on a du .Net, mais jusqu’à où? Et difficile de faire confiance à une PLF fermée qui sent le “pet project”. On a un peu peur que la mayonnaise ne prenne pas et que le blanc en neige retombe, ce qui nous laisserait avec plein de fonctionnalités non finies.





IoT est le “next big thing” (jusqu’à la prochaine nouveauté)… Microsoft ne peut pas se permettre de passer à côté, ce serait particulièrement étonnant qu’ils laissent tomber cette plateforme… Et à la limite, vaut mieux que ça sente le “pet project” que le pet tout court.


Le 29/09/2015 à 07h 43

L’IBM PC était un matériel ouvert…&nbsp;<img data-src=" />