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numerid

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2594 commentaires

Le 20/02/2018 à 13h 56

Et ce sont les piétons qui laissent passer la navette.

Le 20/02/2018 à 13h 41







JFP285 a écrit :



Merci pour la précision, je me disais bien qu’il devait y avoir une raison de ce genre… mais ça ne me satisfait pas complètement non plus, je trouverais plus logique un genre de protection en écriture permettant de chiffrer soi-même un document signé par un tiers pour peu qu’il n’ait pas été modifié, et bien dans la mesure où le chiffrement ne change rien au contenu.





Moi ça ne me satisfaisait pas (et toujours pas d’ailleurs) quand on a commencé à s’amuser à signer un document numériquement il y a deux ans, c’était déjà possible mais avec un dispositif externe et on ne pouvait pas générer de pdf. C’est pour ça que je trouvais l’intérêt limité. D’un autre côté, il y a des cas de figure où cela n’est pas gênant, genre note de service dans une grande structure ou correspondance entre professions juridiques (qui ne sont pas les premières à connaître ça…) entre elles ou entre clients (rédaction d’un contrat par exemple). On a simplement besoin d’un document signé numériquement pour s’assurer de l’identité de l’émetteur.



Maintenant, avec la version 6, en plus, si on dispose d’une signature numérique certifiée physiquement, on peut générer des pdf signés numériquement.


Le 20/02/2018 à 13h 35

En fait, on peut signer un document dans LibreOffice depuis la version 5 à peu près à condition d’avoir une signature numérique authentifiée par un organisme externe : carte d’identité (belge pas française) ou badge professionnel quand on a cette signature plus un lecteur de carte.

Le 20/02/2018 à 10h 35

En fait cette signature numérique garantit l’authenticité du document et son intégrité. Si le document a été ouvert il a perdu de son intégrité d’origine. Et c’est à l’auteur d’origine de signer et chiffrer son document, pas un tiers pour garantir l’authenticité du document qui acquiert ainsi valeur de preuve par l’écrit (manuscrit au départ), la plus haute valeur de preuve en droit (en droit contractuel tout au moins).

 

LibreOffice suit les normes en la matière, ni plus ni moins.

Le 20/02/2018 à 09h 12

Ce qu’il faut relever aussi c’est qu’on peut également signer un pdf avec LibreOffice, pour peu qu’on dispose d’un système d’authentification externe, comme, par exemple, une carte d’identité belge qui est prévue pour ça. Ce n’est pas possible avec les signatures GnuGP qui font fermer le document.

Le 19/02/2018 à 14h 19

À part la possibilité de monter son instance, c’est effectivement pour toutes ces raisons que j’y suis. Il serait bien que les entreprises s’y mettent plus. Les people peuvent rester sur Twitter.

Le 19/02/2018 à 09h 31

Je n’ai jamais pu me faire à Twitter, en revanche, Mastodon si. C’est tellement plus facile à utiliser déjà.

Bref je reste, je perdure et j’utilise Mastodon. Je connais un certain nombre de gens qui ont complètement laissé tomber Twitter.

Le 19/02/2018 à 10h 48

Honnêtement je suis assez dubitative sur les réelles connaissances de Louis de Broissia en matière de numérique… c’est le genre conservateur.

Et même si, dans sa famille, on vit plutôt vieux et en bonne santé, il a tout de même l’âge (et les moyens) de prendre sa retraite. Je trouve assez consternante cette façon qu’ont les politiciens de s’accrocher.

Le 15/02/2018 à 14h 14

Pas que chez les emmarcheurs ! Je crois bien que c’est un truc appelé “consigne de vote” qui perdure depuis des années. <img data-src=" />



Mais je crois que les emmarcheurs poussent le système jusqu’à ses plus extrêmes limites. Le problème c’est que, du coup, ils s’assoient, encore un peu plus que leurs prédécesseurs, sur la démocratie, parce que Jupiter, quoique puisse affirmer le slogan de son parti, c’est plutôt la République en déroute et la ploutocratie à marche forcée.

Le 15/02/2018 à 13h 30

Les parlementaires ne sont pas censés lire et réfléchir avant de voter les lois ? Ou bien me trompé-je ?



D’accord, personne n’a dit que ces messieurs-dames sont censés les comprendre.

Le 14/02/2018 à 12h 15

Merci. J’attends la suite du feuilleton.

Le 14/02/2018 à 11h 52

Oui, ça fait des années que je le dis :-), je parle du troisième point.



&nbsp;Peut-être qu’enfin. C’est pourtant le moyen le plus efficace de diminuer les coûts sans impact sur la qualité de soin, au contraire !

Le 14/02/2018 à 11h 51

Doux rêveur !

Le 14/02/2018 à 11h 49

Je ne vois pas où est la censure ici. Les publicités ne font pas partie du contenu des médias qui ont tendance à s’auto-censurer pour ne pas déplaire à leurs annonceurs principaux. Là, en fait, Unilever avec son annonce, leur demande plutôt de faire leur boulot correctement. Et si les médias ne le font pas, c’est leur problème.

Le 14/02/2018 à 11h 43

Je vois un intérêt principal : cela poussera peut-être les organismes publics à se poser des questions dans le choix de leurs fournisseurs et sur leurs tarifs. Le travail au noir permet de faire baisser singulièrement les prix et l’optique administrative qui consiste à prendre le “moins-disant”, c’est-à-dire le moins cher (sauf quand ce sont des potes, là les factures explosent curieusement, mais passons) peut aboutir à ce que les structures fassent appel à des entreprises pas très nettes. C’est d’ailleurs arrivé à l’Urssaf elle-même, c’est dire.

Le 13/02/2018 à 09h 44

En amont, si les cahiers des charges sont bien définis et validés de façon à vérifier qu’on a bien compris ce que le client veut réellement. Cela signifie évidemment que le client est prêt à passer du temps pour la conception et qu’il ne se contente pas de déléguer le boulot.

Le 12/02/2018 à 17h 44

On va appeler cela la politique du “un pas en avant, deux pas en arrière”.

Le 12/02/2018 à 16h 48

C’est pour ça que j’ai écrit supposé, on leur prête des connaissances du fait de leur âge sans que ça soit corrélé avec la réalité.



Pour le, reste, on est d’accord.

Le 09/02/2018 à 19h 02







Kerghan a écrit :



Maîtrise-t-il mal son sujet ou bien n’a-t-il pas suffisamment travaillé sur ce dossier ? Ou autre ?



Si quelqu’un a la réponse, je suis intéressé.







&nbsp;Mon opinion sur le sujet, donc qui a une valeur universelle en ce qui me concerne, mais infime par ailleurs.



C’est lui qui avait concocté le programme en matière de numérique du candidat Macron, un programme pas transcendant en aucune façon, voire décevant pour des gens jeunes et supposés être connectés et innovants. Je pense que monsieur Mahjoubi a surtout beaucoup, beaucoup d’ambition et qu’il doit consacrer une part de son temps à faire en sorte d’arriver à ses fins. Avoir une étiquette “numérique” est un moyen. Avoir des réelles connaissances dans le domaine, ne doit pas en être et moins que de tout faire pour être l’homme indispensable du secteur (ce qui demande de l’entregent, de l’ambition et un savoir se montrer là où il faut, mais pas obligatoirement de connaître le secteur ou de maîtriser des dossiers).


Le 08/02/2018 à 18h 17







jurinord a écrit :



Tu penses aussi très fort à la notion de marque notoirement connue (cf.al 2, art.713-5 CPI -) et au célèbre arrêt “la Tour d’Argent”du 21 mars 2000. &nbsp;





&nbsp;La Tour d’argent qui n’était pas à son premier procès dans le genre. Elle avait attaqué en justice, dans les années 1980 une brasserie-restau du même nom qui se trouvait à l’emplacement de l’actuel restaurant Les Grandes marches à Paris.

&nbsp;

Le bistrotier avait gagné car il a démontré qu’il existait depuis plus longtemps que le restaurant prestigieux. Mais, évidemment, dans l’affaire de l’Opéra Bastille, quand il a été détruit puis qu’un immeuble a été construit à la place, il ne pouvait plus garder ce nom. Surtout que la brasserie est devenue plus haut de gamme.


Le 08/02/2018 à 08h 34







TheKillerOfComputer a écrit :



En plus il est connu qu’il est possible d’utiliser un nom rappelant vaguement un nom déposé tant que l’activité est radicalement différente au point d’éviter toute confusion. Or je vois mal Mme Michu, voulant quitter SFR/Orange pour aller à Free, se planter pour aller sur Free Electrons et aller acheter un de leur abonnement internet qu’ils ne vendent pas puisque ce n’est pas leur activité.



&nbsp;



Oui mais non, voir l’exemple du Concert de la loge olympique qui a dû virer le mot olympique de son nom. Ils ne sont pas les seuls, des bistros ont dû faire de même. Pourtant, quel rapport avec les jeux du même nom ? Quelle confusion possible ? Aucune.



Les organismes concernés étant généralement des petites structures, ils n’ont pas les moyens de lutter contre ces gros.


Le 07/02/2018 à 20h 42

Ben, comment dire, c’est effectivement ce qui se passe, en pire, avec les Jeux olympiques. Deux exemples : l’ensemble de musique sur instruments anciens, le Concert de la loge olympique, reprenant en cela le nom d’un orchestre fondé en 1783, a dû supprimer l’adjectif olympique de son nom, et le réseau social américain Ravelry spécialisé dans le travail du fil, qui, au moment, des jeux olympiques, propose aux adhérents dudit réseau social de mettre un tag et un badge “Ravelenics Games” sur leurs réalisations et créations et été sommé de changer le nom (le mot games a été viré).



C’est du n’importe quoi inquiétant soit dit en passant.

Le 08/02/2018 à 16h 41

Certes.

Cela dit, pour parler d’un réseau social que je connais bien, spécialisé dans le travail de la laine en gros, qui comporte une forte dominante de femmes, à savoir Ravelry, les gens sont courtois entre eux. Il n’y a pas de cyber harcèlement, ça ne passerait tout simplement pas et pas du fait d’une modération d’ailleurs. Il est arrivé que des messieurs se plaignent d’être néantisés quand on ne s’adresse qu’aux femmes. :-)

Mais c’est un réseau social spécialisé et les trolleurs hargneux n’y vont pas.

Le 08/02/2018 à 13h 48







skankhunt42 a écrit :



Je me demande comment ça ce passe sur les forums de coutures ? C’est pas sexiste d’ailleurs ce genre de remarques ?





La couture n’est pas un truc dédié à un genre particulier !&nbsp; Ce qui est sexiste, et surtout complètement idiot, est de le penser par contre.


Le 07/02/2018 à 20h 25

Bon sang, mais c’est bien sûr ! Où avais-je la tête.

Le 07/02/2018 à 15h 03

«&nbsp;Le droit en vigueur répond déjà à la préoccupation légitime de contrôle de l’activité des services de renseignement&nbsp;»



J’avais vaguement cru comprendre qu’à peu près tout le monde, sauf le gouvernement et les politiques trouvent que non. J’ai loupé un épisode ou bien ?



Et accessoirement, il y a tellement d’organismes de renseignement et de contrôle dudit que c’est la chienlit étant donné qu’en prime ils ne causent pas entre eux.

Le 07/02/2018 à 15h 01

Solution trop simple et trop évidente…

Le 07/02/2018 à 08h 04

Je dois dire… une soirée chez soi avec les BD me parait nettement plus attractive que le film Gaston Lagaffe au vu et à l’entendu de la bande annonce. Je pense que ce genre de film n’est pas fait pour les amateurs des BD.

Le 05/02/2018 à 16h 27







OlivierJ a écrit :



Quel rapport avec l’ORTF ?

(l’époque où les seules chaînes de radio et télé étaient dépendantes de l’État et du gouvernement : aucun.

En plus il y avait déjà une presse libre)&nbsp;







La volonté du gouvernement de garder un certain contrôle sur l’information. Et là, Macron fait même peut-être pire que De Gaulle.


Le 05/02/2018 à 15h 08

Dans le temps, on appelait ça l’ORTF !

Macron, toujours dans l’innovation (question de relativité).

Le 05/02/2018 à 15h 06

Ce jeu de rôle doit donc ménager le futur texte contre la désinformation, quitte à mentir sur l’identité de ses géniteurs.



&nbsp;Ça c’est vachard comme pique.

Le 05/02/2018 à 16h 23

Et le gouvernement s’assiéra dessus comme d’habitude je suppose. Surtout si c’est réellement innovant. Innovant autrement qu’avec des smartphone je veux dire.



Bon, on peut toujours essayer. Il faudra avoir des garanties que ça ne soit pas noyauté par ce qui reste de militants enmarcheurs ou par des community managers…

Le 05/02/2018 à 11h 51







empty a écrit :



“qui circulent sur internet”

&nbsp;Les politiques passent leur temps à nous dire de ne pas croire ce qui circule sur internet. Mais là oui…





Ils passent aussi leur temps à refuser les contrôles pour eux-mêmes et à en concocter pour les autres ! Ils ne sont donc plus à une incohérence près.


Le 02/02/2018 à 16h 44

Une bonne occasion de les utiliser :&nbsp; <img data-src=" />

&nbsp;<img data-src=" />

&nbsp;<img data-src=" />

Le 02/02/2018 à 13h 33

Une preuve supplémentaire du fait que les cours de la Bourse n’ont pas de rapport avec l’économie réelle.

Le 02/02/2018 à 11h 35

Et d’un point financier ? Est-ce que c’est aussi intéressant ?

Le 02/02/2018 à 08h 40

Un excellent exemple, cet entretien de l’ADN avec Tristan Nitot :Tristan Nitot : « Les internautes sont devenus le bétail de Google et Facebook »



&nbsp;Privacy Badger me signale la présence de 11 traqueurs.

Le 01/02/2018 à 16h 37

C’est un énorme boulot compliqué par le fait que l’ooxml est une cochonnerie sans nom.

Le 01/02/2018 à 16h 37

Il est super rapide ! Je n’en reviens pas. Et j’ai toujours mon vieux profil.

Le 01/02/2018 à 10h 37

C’est pas du matériel Cisco qui avait été source de gros problèmes chez OVH récemment au fait ?

Le 31/01/2018 à 20h 08

Je ne vois toujours ps le rapport entre les flux RSS et les réseaux sociaux !

Le 31/01/2018 à 15h 55

Esprit d’escalier quand tu nous tiens…



Pour Next-Inpact : flux RSS, donc Akregator et Mastodon.

Le 31/01/2018 à 15h 53

Sinon, je ne consulte ces sites que sur des ordinateurs, voire sur mon ordinateur principal. Pas besoin de fil à la patte.

Le 31/01/2018 à 15h 48

Oui, je suis passée de RSS Owl sou Windows à Akregator sous Mageia et franchement, je ne pourrais pas m’en passer. Ça me permet de balayer l’actualité des sites que j’ai dans mes flux quand je veux. Pratique pour suivre l’actualité tout simplement mais aussi des sites du type d’Instructables. Je ne comprends pas que des sites suppriment ça pour tout dire.

Le 31/01/2018 à 15h 50

On attends de voir ce qui se cache derrière le discours.

Le 29/01/2018 à 13h 27







OlivierJ a écrit :



Possible qu’il y ait assez rarement de burn-out chez les parlementaires, car ils sont plus comme des indépendants, sans patron unique. Si je ne dis pas de bêtise, le burn-out touche plutôt les salariés qui ont un environnement et une hiérarchie à qui reporter ; je dis ça sans certitude car un avocat doit pouvoir y tomber aussi.



Quand on est indépendants on a des clients qui ne comprennent pas qu’on puisse ne pas être sur la brèche tout le temps, vous en demandent de plus en plus en négociant des prix de plus en plus bas et paient au lance-pierre. On a aussi sur le dos les divers organismes “sociaux”, les administrations des impôts, etc. Il y a tout plein de raisons de faire des brun-out. Mais on n’a pas d’arrêt maladie.


Le 29/01/2018 à 13h 23

Le problème c’est qu’ils ne sont pas non plus forcément là pour les occasions ou les votes importants… Alors bon.

Le 29/01/2018 à 13h 21

Dans le livre Numérique, reprendre le contrôle de Nina Cercy et Tristan Nitot, Isabelle Falque-Perrotin explique qu’en Irlande, par exemple, il n’y a qu’une personne pour faire le travail. Même ramené à la taille de la population, nettement plus petite que celle de la France, cela ne fait pas beaucoup.

Le 29/01/2018 à 13h 13

Et là, je me demande si je suis en conformité ou pas et j’attends avec impatience ce guide vu que je n’ai pas forcément tout bien suivi.

Le 29/01/2018 à 10h 47

Ils ont dû confondre avec la journée internationale du foutage de gueule. Je ne vois que ça comme explication.