C’est une question de goût mais le grand glouton original était sans épice. Par contre, on peut évidemment y ajouter du citron !
Le
01/04/2022 à
19h
46
(reply:2064434:j34n-r0x0r) Pertinent. Mais, en même temps, les comptes publics seraient en déséquilibre à cause de la remise sur les carburants à destination des banques les plus fragiles. En responsabilité, il nous faut ainsi notamment défendre les nouveaux joueurs de Mario Kart ayant acquis lors du quinquenat leur console avec notre Pass Culture. Car, en démocratie, nous devons défendre ce modèle quoi qu’il en coûte. (…)
Vite vite du mazout pour noyer le poisson !
Ceci* n’est pas un copier-coller… mais il est sujet à taxe.
*Quand le JO sort du bain, c’est toute l’eau forte qui est bénite
C’est toute la question : pourquoi jusqu’ici il n’y avait aucun rapport entre Havas et le monde de la recherche ? Et bien avant les relations publiques formatées, n’était-ce pas pour les mêmes raisons de souveraineté que le plan Calcul (dont l’Inria était l’apothéose économique) servait d’habile rempart face à l’inconsistance supposée des journaux ?
A défaut d’avoir compris le fond, on peut remarquer qu’il y a bien confusion sur la forme entre économie et savoir. Voir aussi entre scientificité et recherche. Autrement dit, en l’abence de travaux déterminants (ou de l’intelligence suffisante pour les distinguer honnêtement), c’est le cirque.
Le
29/03/2022 à
19h
55
La nationnalité n’a pas de valeur en sciences.
Pourtant l’équivalent pigeon-gramme n’est pas une mesure fondamentale de l’impact environnemental du numérique en déclinaison Ademe. Etonnant.
Le
29/03/2022 à
07h
30
Balzac en disait déjà et sans grand discours (1840) : « Le public peut croire qu’il existe plusieurs journaux, mais il n’y a en définitive, qu’un seul journal… Monsieur Havas. »
C’est peut-être sur ce dernier nom qu’il y a confusion : le népotisme sous-jacent c’est Bolloré, pas Havas.
Ravi d’apprendre que mon auto-subvention par le truchement de pièces détachées ne met pas au gomache ces rap-tout. Et de nous rappeler que leur précarité politique se réinvente d’elle-même chaque année.
Dans les scénarios futuristes d’e-Darmanin, « les capacités pourront être “augmentées” grâce à un “exosquelette” ou répartiteur de charge, interconnectées avec les moyens numériques présents et à venir (moyens radio, NEO, PC Storm, caméra piéton etc.) et grâce à l’emport d’une capacité d’énergie ».
Il manque donc le bouclier bêtavoltaïque pour traiter les sursauts irradiants .
C’est pas faux. D’ailleurs, je suis le premier à le faire… mais la société incite à le faire, aussi. Vu qu’on détruit petit à petit le social, faut faire des réserves chacun pour soi, pour ne pas avoir à compter dessus. C’est bien joué n’empêche… on note que quand la sécu et les entreprises nationales ont été mises en place, il en a fallu des couilles, aux types aux pouvoirs, pour privilégier le bien commun au chacun pour soi, parce que bon, c’est pas nouveau comme fonctionnement quand même…
Il y a cependant une chose qu’il est encore possible de faire après ce modèle commun et qui arrange tout le monde : individualiser les flux de réinvestissement, c’est à dire les discrétiser en acceptant qu’il y ait plusieurs baignoires sans possibilité d’en vider l’eau d’une dans une seconde et ainsi de suite. Le problème évident c’est qu’à large échelle on sait déjà que c’est échec et c’est aussi une limite liée à notre capacité “innée” à dénombrer les grands ensembles d’idées qui est finalement de la même inertie sociale mobilisée pour traiter du capital comme une meute d’écureuils le ferait.
Grosso modo, le modèle Suisse marche en Suisse, mais ne peut pas fonctionner sans décentralisations accompagnées de transferts aux régions des responsabilités complètes sur certains sujets. Y compris la partie monétaire qui est aujourd’hui incompatible avec les marchés mondiaux, ou même l’Euro… Et c’est ainsi que l’avantage du “communisme” Suisse se valide en solvabilité : les revenus bancaires sont liés à des matières premières qui, ne se déplaçant pas plus vite que le mur du son, ont un taux d’intérêt garanti sans cédille dans des contrats trop civils pour être cons.
Le
17/03/2022 à
22h
00
(reply:2061863:j34n-r0x0r)
J’ironise car cela évite de sombrer mon capitaine.
Le
17/03/2022 à
21h
58
(quote:2061861:j34n-r0x0r)
Ils produisent de la pollution car il y a tout un tas de pauvres qui font la course pour ça : prend un milliardaire, donne lui tout les outils (pour l’aider un peu) , les matières premières, le carburant pour construire sont château , laisse le seul dans un champs et sort le popcorn pour comprendre.
Les amish de mes amish sont mes amish, il parait. Et dire qu’on ne pensait pas un jour confondre résilience avec redondance…
Le
17/03/2022 à
21h
50
Br31zh a dit:
Je veux bien admettre que certains problèmes sont pas intrinsèquement liés à la fortune, mais la plupart de ces personnes ne font clairement pas tout ce qui est en leur pouvoir pour améliorer la situation, je pense que pour la plupart c’est même le contraire…
Car ils y ont souvent un double intérêt (rendement de l’actif + rendement général) :
financer des lobbys
financer des mécanismes de holding
financer du neuro-marketing
financer des médias complaisants
financer des politiques publiques
(…)
En gros : dépenser de l’argent pour en gagner plus. Dans pas mal de cas, la solvabilité (qui est différente de la dette) conduit au n’importe quoi. On a pas de leçons à donner aux autres sur ce point, même les pauvres font tout pareil, et j’ai envie de dire que malheureusement, dans leur cas, c’est même recommandé… !
Le
17/03/2022 à
21h
42
Je ne pense pas que la dette disparaisse. En fait, la dette c’est comme rien dans notre économie actuelle. Le bitcoin, là encore, dépend de l’énergie injectée. Le problème réside surtout dans ce que la dette ne permet pas de comptabiliser comme tel et n’engage donc pas sans ses conditions politiques de frileux friqués des dimensions pleinement utiles. (rénover les logements, substituer ce qui doit l’être, revaloriser les conditions de travail etc)
Le
17/03/2022 à
21h
36
Br31zh a dit:
C’est juste du gâchis actuellement. Du coup je propose même que les riches restent riches, comme ça ils ont pas à se sacrifier pour autant. Juste, être un peu moins riches, un peu moins égoïstes, et ça suffira.
Le gâchis provient principalement de la consommation subie. Ex : chauffage. Mais évidemment, il faudrait là aussi réinvestir. Après c’est une question de priorités : toute redistribution sans conditions d’usage ne changera assurément rien.
Le
17/03/2022 à
21h
32
La logique où cela nous conduit c’est effectivement de détruire la monnaie. Sauf que, l’épargne tendant à être l’inverse des émissions, l’énergie nécessaire au fonctionnement de la monnaie électronique va elle aussi subir la déplétion prédite (intégrale du stock).
Dans le système Italien avant l’Euro, où les montants des prix étaient élevés, on cachait bien le problème de charité. Même en revenant à une autre comptabilité, la possibilité même de la monnaie pose le problème. Cela ne va pas plus loin : il faut changer la mesure et n’en garder qu’une à chaque fois.
Le
17/03/2022 à
21h
25
(quote:2061845:j34n-r0x0r) Coté écologique qui est capable ici de m’expliquer qu’une injection massive de liquidité extraite du milieu financier dans le social arrangerait la donne ? (sans parler de l’inflation…)
A ce stade tu en es à compter le nombre d’atomes dans ton siège troué en te disant que jusqu’ici tu n’as que 4 trous et qu’il t’en faudrait 5. Un peu comme le macronnien qui s’est cru 6 fois milliardaire avec ses sièges en Polychlorure de vinyle. Il y a un atome à compter ! Vite, fissions les-les tous !
Le
17/03/2022 à
21h
15
Br31zh a dit:
La part de ma réponse que tu cites n’a absolument aucun rapport avec ce que tu dis. Tu peux préciser ^^’ ? (et accessoirement, j’ai jamais dit qu’on parlait dans un modèle économique connu. Soyons honnêtes, je sais très bien que rien ne va changer avant des années, et jamais à ce point-là, c’est purement théorique ici. Quoique certaines mesures puissent être envisageables, j’ai peu d’espoir, surtout à l’échelle mondiale).
Les émissions par personne dues au charbon n’ont jamais cessé d’augmenter, et ce « vieux » combustible occupe désormais la première place ! La cause est simple : 2⁄3 du charbon mondial sert à faire de l’électricité, dont la consommation augmente linéairement avec le PIB (ci-dessous, PIB mondial en fonction de la consommation d’électricité mondiale pour la période 1985-2012 : les deux se répondent presque parfaitement).
Une autre manière d’interpréter ta proposition c’est donc de se demander comment le pouvoir d’achat serait affecté par une redistribution des hauts revenus. Basiquement, dans de nombreux cas, les bénéficiaires produiraient une demande énergétique intenable sans émissions majeures de CO2. C’est déjà ce qu’il se produit avec les classes moyennes en Chine !
C’est pour cette raison que cela ne marche pas avec le système actuel : le choix c’est soit d’éviter les prélèvements naturels, dont le charbon est l’une des premières denrées, soit d’émettre des quantités invraisemblables de CO2 a priori mortelles.
In fine ce sont les fonds de pension qui régulent l’écart entre la courbe bleue et la droite. En vain. In fine ce sont les syndicats (ou autres) qui régulent l’écart entre la courbe droite et la droite courbe. En vain aussi…
Le
17/03/2022 à
20h
41
fred42 a dit:
ils ne possèdent pas des tas de cash (même numériques) mais des entreprises qu’il est impossible de vendre à d’autres pour avoir du cash à redistribuer.
Dans certains cas la part courante du roulement journalier excède les besoins réels du bénéficiaire. Et l’épargne des entreprises n’est pas nulle tout comme ses créances.
Le mieux que l’on puisse faire, c’est de confisquer une partie de leurs actions et que l’état reverse les dividendes vers les plus pauvres, mais ça fera moins que l’augmentation de la richesse liée à ces actions, puisque les dividendes ne représentent qu’une part assez faible de la richesse crée.
D’où le recours massif (et un peu pathétique) aux services électroniques dont la masse énergétique est en croissance.
En gros, si Google partageait ses revenus horaire, on serait tous (à échelle mondiale) en mesure de vivre correctement en convertissant les gigawatt heures induits par son service publicitaire en cash. Le bitcoin est aussi né de ce constat… un peu comme les 0,15 cents circulaires de Castex. :oui2:
Le
17/03/2022 à
20h
17
Br31zh a dit:
Moi je propose de prendre aux plus riches et de redonner aux plus pauvres. Même pas de façon à être tous égaux, hein, juste que les pauvres puissent vivre correctement. Les plus riches auront encore un très bon niveau de vie après ce prélèvement.
Cela ne marche pas, ou alors, il faut repomper “sans énergie” le CO2 de l’atmosphère afin de rester sur un modèle économique connu. D’où l’idée de donner un prix préventif au carbone et faire comme si la non courbure du rapport proportionnel entre GES et PIB mondial était purement spéculative alors que sa mesure de platitude est connue depuis des années maintenant.
Le
17/03/2022 à
20h
05
fred42 a dit:
Et dans quel but ? Être le plus riche du cimetière ?
À un certain niveau de richesse (puisqu’ils parlaient des très riches), ce sont généralement les sociétés qu’ils possèdent qui empruntent, pas eux-mêmes.
Et à quel pallier est ce seuil de richesse ?
Sinon c’est la magie de la médiane : dans une boite où le revenu médian sert de base à l’emprunt (quand bien même la motivation du débiteur n’en sois pas l’objet), même le créancier passe à côté de la “fortune” du propriétaire débiteur car l’idée réside dans la différence entre la croissance de l’entreprise et le taux d’intérêt. Aussi, il est assez intéressant de prêter aux entreprises : elles peuvent justifier participer à l’embauche moyennant l’usage de la planche à billets ou du marché secondaire.
Dans ce scénario restreint à la comparaison entre deux taux, l’un variable, et l’autre fixe (ou révisable), la notion de “ressource” se limite aux simples ressources humaines. C’est donc assez pratique : pas de communication des revenus ou du patrimoine réels du propriétaire ni de la concession pour les revenus générés par le cash flow de l’affaire.
Conclusion : s’intéresser à un flux financier est plus intéressant (monétairement parlant) que de s’intéresser à un flux de pétrole. Et donc conclusion² : vive la neutralité carbone.
Le
17/03/2022 à
18h
56
OlivierJ a dit:
C’est pas une espèce de gens à part.
En effet, c’est de la comptabilité basique : salaire moyen + (masse de dividendes/nb de salaires) = salaire défendu par les syndicats.
Les problèmes sociaux arrivent quand la (masse de dividendes / nb d’actionnaires) est > au salaire moyen. Ce n’est pas anormal et on a le droit de sécuriser ses revenus par un salaire, typiquement lorsqu’on s’endette sur 25 ans pour se mettre au chaud.
Ce n’était pas si obvious en 2008 pour l’actionnaire professionnel.
Le
17/03/2022 à
17h
59
fred42 a dit:
Ça vient d’où cette affirmation ? Et c’est à quel seuil situes-tu cette minorité la plus riche ?
Pour moi, il peut faire référence à cette trajectoire sans nécessairement définir un seuil de pauvreté absolue.
Sachant que la part de dépenses consacrée au logement n’a pas beaucoup diminuée et va en s’accroissant, l’accord d’un prêt aux plus hauts revenus est prioritaire en termes de risque pour la banque sur l’accord d’un prêt aux plus faibles. Simple constat empirique.
Le
17/03/2022 à
17h
41
ColinMaudry a dit:
Le pouvoir d’achat ne tient pas compte de l’achat d’immobilier car l’Insee le classe dans les investissements. Être locataire toute sa vie, surtout à la retraite, c’est un peu handicapant. J’imagine qu’il y plein de méthodes pour calculer les inégalités, mais l’augmentation du nombre de personnes sous le seuil de pauvreté est en soit assez alarmant.
Très indirectement c’est “approximé” en tendance par l’Insee avec l’indice de référence des loyers. Mais il y a plus sûrement les banques qui ne disent pas ce qu’elles en pensent, depuis 2008 l’accès restreint au crédit est bien plus inquiétant : le ratio revenus-prix de la construction neuve a pas mal bondi et peu de monde en parle encore comme si c’était normal d’être pauvre dans une passoire et riche dans un sauna.
Le
17/03/2022 à
17h
24
OlivierJ a dit:
Ce genre de commentaire me fait un peu marrer. Tu crois que les concepteurs ont envie de fabriquer des voitures lourdes, chères et peu réparables ? Tu n’as pas idée du nombre de normes qui existent pour les voitures, entre la sécurité et la pollution et d’autres trucs.
Les concepteurs sont mieux payés chez Renault que chez Tartempion électrique. Fact.
Ensuite, force est de constater qu’entre distribuer des revues de mécanique aux garagistes amateurs (pratique désormais révolue) et payer un yop pub; l’économie gouverne de payer un publicitaire + ODB. Fact aussi.
Quant aux normes… bah voilà pourquoi l’électronique disqualifie la main d’œuvre pas qualifiée dans le monde réel. A rebours du discours larmoyant des mauvais perdants de l’électrique ou de leurs syndicats. Fact.
Non vraiment, je pense que dire tout ceci sans avertissement contextuel c’est bien passer à côté du volume de matériaux nécessaire pour faire 6 ou 8 gammes de véhicules… ce n’est pas non plus en se tournant vers les services ou le comptage du CO2 que le problème mute, c’est là encore se voiler la (bonne) farce.
Le
17/03/2022 à
17h
01
OlivierJ a dit:
Alors que c’est faux, par exemple le rapport inter-décile n’a quasiment pas bougé entre 1980 et 2005, par exemple.
Ah mais on voit ici la différence entre des acheteurs et des investisseurs tout aussi paresseux. Curieusement, les seconds sont généralement plus prompts à poser des courbes dans des graphiques que les premiers ! C’est la magie de la communication : jamais aucune méthode.
Le
17/03/2022 à
15h
46
OlivierJ a dit:
Alors entre un “SUV” (faut voir le modèle) et une petite voiture genre 106, c’est pas le jour et la nuit. Tu peux interdire la vente des gros “SUV” ça ne va rien changer, surtout que ces ventes sont marginales vu le prix.
Ce n’est pourtant pas ce qui a été retenu dans la loi. Il y a maintenant une limite de poids. Il n’y a certes que peu de différence de rendement moteur (= émissions de CO2) mais, la quantité de matériaux brassée et/ou usinée se paye à un moment ou un autre en émissions supplémentaires. Emissions qui sont, comme chacun le sait (ou se défend de le savoir) la marge ultime du constructeur.
Dire qu’on voudrait des voitures légères et électriques et se passer du haut de gamme c’est faire perdre de l’argent à nos constructeurs automobiles (en valeur d’usinage principalement) en l’état actuel du marché.
Le
17/03/2022 à
15h
17
carbier a dit:
Il manque plus que le petit livre rouge et on est bon.
Car le petit livre bleu tape à l’œil du manifestant ?
A défaut de comparer des différences de revenus, on peut comparer les dimensions et la quantité de CO2 par kilomètres parcourus.
La grosse farce du moment c’est d’oublier que dans certains pays (dont la France), le r.o.i d’une électrique se classe en numéro 1 devant les pots de yaourt 2L et numéro 3 les S.U.V.
Le
17/03/2022 à
13h
06
OlivierJ a dit:
Non, c’est le développement technique et l’utilisation des fossiles pour nous aider dans la production de biens. Cf Jancovici.
Certes. Mais il faudrait alors aussi parler des biens (ou services aussi) dont plus de 50% de leur valeur monétaire est du fossile. Dans l’industrie c’est courant d’avoir ce genre de dilemmes entre masse salariale et masse énergétique…
Le
17/03/2022 à
12h
57
Les riches ont besoin des pauvres pour nettoyer leurs rues, faire leur jardin, travailler dans leurs entreprises et prendre soin de leurs aînés. Donc pour leur tranquillité il vaut mieux qu’il reste en bons termes avec les pauvres.
Ils ont besoin aussi de financer l’État via leurs impôts pour qu’il maintienne les infrastructures nécessaire à leurs industries (éducation des employés, transports, ramassage des ordures, etc.).
Les pauvres achètent leur capital aux riches. C’est un problème de valeurs et d’unités : la première exploite la seconde.
Le
17/03/2022 à
12h
50
(quote:2061627:127.0.0.1)
Par notion d’équité ultime, est-ce qu’on ne devrait pas rendre l’essence gratuite pour ceux qui sont en phase terminale ?
Avec de la 3D un système anti-copie n’a aucune utilité si l’ensemble des données est lisible par un logiciel de 3D destiné à de l’impression, encore moins avec de la CAO (formats interopérables et redondants pour des raisons de production). Il faudrait avoir l’accord des développeurs pour aller là dedans et c’est sans garantie de ne pas toucher aux créateurs ou à l’usage de la CAO en général comme base.
(quote:2061717:skankhunt42 ) Par contre contrairement à la vidéo / photographie il est très simple de faire sauter ce genre de DRM avec un logiciel 3d du genre blender sans avoir à pratiquer un ré-encodage donc c’est 100% lossless.
Ce n’est pas un DRM. Et je rappelle ici qu’un DRM, par consistance même, est inefficace face au but poursuivi (exemple lutter contre des contre-façons de disques déjà copiés…). C’est donc un marquage pour distinguer la copie 2 de l’original copié 1. L’étape d’après ce serait de protéger tous les fichiers préventivement. Ce qui permettrait de reconnaître chaque fichier transmis à un imprimeur comme original ou n2… que cela va être (encore) dur de coller à la réalité du droit de communication mais pourquoi pas.
Le
17/03/2022 à
08h
57
Kim Dot Tax ! C’est le kamoulox d’avant, mais d’après aussi.
Le
17/03/2022 à
08h
39
Drepanocytose a dit:
Ca c’est intéressant. Donc si un objet destiné à etre seulement exposé est reproduit pour être seulement vendu et pas exposé, ca ne s’appliquerait pas ? ou c’est moi qui raisonne de facon tordue ?
L’exposition précède la vente. Si l’exposition (qui est aussi une représentation) excède le cadre privé (cercle familial par exemple), l’exception ne s’applique pas et c’est une contre-façon.
La question non résolue ici : est-ce raisonnable d’apposer des marquages lorsque la finalité est une copie privée ?
Dans le hardcore le temps de cuisson c’est essentiel. Du coup, ce doit être de la zoophilie d’après la loi.
Le
17/03/2022 à
13h
39
Désolé mais faux : ces sites ne respectent pas la loi depuis le début d’internet en affichant juste une déclaration de majorité.
Hélas, c’est incorrect. L’article 227-24 du Code Pénal a été codifié par la loi N° 92-684 du 22 juillet 1992. Les origines d’Internet remontent aux années 1960-70, et si on s’arrête au Web seul (le protocole HTTP et le premier navigateur), il a été créé en 1990. La loi est donc postérieure (sans jeux de mots ) à Internet et au Web.
Le fait soit de fabriquer, de transporter, de diffuser par quelque moyen que ce soit et quel qu’en soit le support un message à caractère violent ou pornographique ou de nature à porter gravement atteinte à la dignité humaine, soit de faire commerce d’un tel message, est puni de trois ans d’emprisonnement et de 500 000 F d’amende lorsque ce message est susceptible d’être vu ou perçu par un mineur.
Lorsque les infractions prévues au présent article sont soumises par la voie de la presse écrite ou audiovisuelle, les dispositions particulières des lois qui régissent ces matières sont applicables en ce qui concerne la détermination des personnes responsables.
L’article 227-24 a été ensuite modifié en 2002 par l’ordonnance traduisant tous les montants des peines en euros.
C’est seulement à partir de la version de 2007 qu’elle ajoute la communication au public en ligne parmi les dispositions particulières des lois qui régissent le secteur en matière de personnes responsables.
La version revue en 2011 ajoute l’incitation à se livrer à des jeux dangereux les mettant physiquement en danger parmi les cas de messages interdits de diffusions aux mineurs.
Puis en 2014 il y eut l’incitation au terrorisme de rajouté.
C’est seulement en 2020 que la loi indique que l’accès d’un mineur aux messages mentionnés au premier alinéa résulte d’une simple déclaration de celui-ci indiquant qu’il est âgé d’au moins dix-huit ans. Et rajoute donc le passage que j’estime mal écrit car mettant en insécurité juridique d’autres acteurs que ceux spécialisés dans la diffusion de pornographie. Auparavant, un site qui affichait un bandeau demandant de confirmer sa majorité avant l’accès était visiblement légal vu qu’il ne semble pas y avoir eu de procédures auparavant. En tous cas, je n’en ai pas retrouvé après rapide recherche mais j’ai peut être mal cherché.
La version de 2021 actuellement en vigueur a rajouté la zoophilie parmi les messages interdits.
Le gouvernement n’a fait que faire un rappel à la loi qui est que le porno est interdit de diffusion aux mineurs.
Le Gouvernement n’a pas cette autorité. Cette action est aussi codifiée par la loi, c’est l’article 41-1 du Code de Procédure Pénale qui indique que le Procureur de la République peut le faire.
Dans le cas présent, on parle d’une assignation de l’ARCOM qui est une autorité administrative autonome, en vue d’un blocage administratif. Ce n’est donc pas un rappel à la loi mais bel et bien une sanction.
contrainte ou surprise, soit par un ascendant légitime, naturel ou adoptif de la victime ou par une personne ayant autorité sur elle,
Sans verser dans le néo-conservatisme, les circonstances débattues ont tout de même 210 ans… En suivant la même logique les autres “attentats” présents seraient découpés en tranches de code un peu partout d’ici 1 ou 2 siècles. On imagine (déjà) le malaise.
Le
15/03/2022 à
22h
35
(quote:2061257:skankhunt42 ) Tout comme avec le cannabis et au final c’est des mineurs qui vendent au majeurs.
C’est du moisi, Zoologischer Garten ce n’était pas si vert il me semble. Qu’est ce qui a changé depuis les 70’s, l’internet ?
SebGF a dit:
Le problème étant qu’il s’agit d’un tabou social, comme tout ce qui a trait à la sexualité, donc on préfère laisser les adolescents livrés à eux-même. Pour une société qui prétend protéger ses enfants, perso j’appelle ça un échec total
-> et depuis au moins 50 ans tout genre politique confondu. En fait depuis qu’on en parle… on en parle.
(quote:2061629:Patrick_C.) Oui, et? Cela fait un scientifique (c’est votre affirmation de départ)?
(…)Je vous dis depuis le départ que l’agrément ne fait pas d’eux des scientifiques (ce qui était votre réponse initiale)
Je n’ai jamais dit qu’ils étaient des scientifiques. j’ai précisément montré que “l’indépendance de la science” est une hypothèse discrète et bien commode pour ne rien entendre de la méthode scientifique. (la seule chose là dedans qui est effectivement scientifique et admissible comme base de réflexion).
Euh, pour mettre d’accord Negawatt avec le reste du monde scientifique, il va falloir un changement majeur chez eux. Et ce que j’ai vu dans tous les scénarios et possibilités de RTE, c’est que le stockage est loin d’être résolu.
C’est faux. Negawatt produit un point de vue conforme aux attendus. Mais, ces attendus sont effectivement différents de celui du gestionnaire de réseau. Comme trop souvent, et ça m’agace, on confond par excès de proportionnalité économique le “besoin d’usage” et la “convention sur la consommation”.
Aussi, le stockage pose principalement problème aux industries qui font les trois 8, bien avant le zouave sortant en boite. Ça, c’est le “besoin d’usage” qui est en effet indépendant de l’énergie consommée. Ce n’est qu’un chiffre, mettons 1Twh le 7 octobre entre 3h et 2h du matin pour X.
A contrario, le stockage pose principalement problème aux infrastructures en période de stress pour apposer une garantie de conformité… L’apport de RTE c’est de dire que la marge de manœuvre “comme si c’était comme avant” doit être plus grande afin d’éviter une coupure. Donc cela induit une surconsommation nécessaire qui est le socle de la garantie de conformité.
On ne peut pas attribuer la question de la puissance des ENR à un besoin d’usage, il manque à ce moment là le facteur de charge et c’est donc bien le réseau qui “”“consomme”“” (gros guillemets) de la tension à certaines périodes.
Tout ceci mène à savoir qui veut stocker du courant et comment. RTE n’ayant qu’une légitimité à être entendu sur la partie réseau à mon sens. Le reste ne dépend pas d’eux. Vais-je demander à mon livreur de colis son avis sur ce que j’achète ? … bon. C’est un peu foireux comme organisation du débat AMHA.
Il y a plus toujours plus fort que le fort : ne pas en acheter et miser sur la réparation.
Les sites de vente d’occasion sont maintenant réputés pour vendre de la carte mère et c’est du niveau changer la batterie sur certains modèles. Il n’y a pas beaucoup d’utilité sociale ou écologique à ces mesures, y compris parfois les reconditionnements en eux-mêmes dont le coût de la main d’œuvre subventionnée et polluante dans le cycle de vie se contournent assez facilement pour un bidouilleur motivé et responsable.
Je trouve presque ordinaire de voir des non avertis tomber sous le coup de ces mesures. Microsoft ou Apple n’en aurait pas fait moins avec un même goût pervers pour le licencing théoglobule.
C’est (encore) de la réclame pour faire saliver sur l’étiquette de l’économie-fiction dans laquelle on a raté la marche ou la lettre…
Il y a trop peu de contenus relevant du droit sur la presse sur Twitter. Lorsque l’excercice de ces droits seront admis par les juridictions étrangères on pourra éventuellement bien rire des désinformations multiples, y compris celles des états eux-mêmes…
Pour l’instant, ce fourre-tout de Jospinistes à la dérive perdure.
Le
15/03/2022 à
21h
24
L’Angleterre a enfreint le droit international comme son complice en 2003.
On a donc des difficultés à comprendre comment leur sortie de l’Union Européenne ne fait pas déjà l’objet de sanctions continentales réalistes à raison de ce manquement en général et de celui-ci (Assange) en particulier.
Qui plus est, les tensions Britanniques avec le continent ont certainement précipité la dissolution de la paix comme unique prisme diplomatique en Europe de l’Ouest.
Il faudrait avoir une confiance aveugle dans l’OTAN pour ne pas observer un comportement démocratique abhorré un peu partout depuis l’avènement du nouvel ordre mondial théorisé par Bush père en 1991, soit 12 ans avant l’invasion de l’Irak et 19 ans avant les révélations de Wikileaks.
Inutile de croire que le problème puisse être nouveau, les états criminels choisissent en général d’endetter leur progéniture pour 30 ans, minimum.
4748 commentaires
#Flock vit dans un monde complexe
02/04/2022
Le 04/04/2022 à 21h 34
Une langue un peu bistre c’est suspect.
On dirait (sans surprise) que c’est une langue de bois !
Ce n’est pas si décevant je trouve : metrics my tong répond bien au matrix my unicorn du trosième gag.
Le 02/04/2022 à 17h 21
Excellent.
[MàJ] Le copier-coller bientôt soumis à redevance copie privée
01/04/2022
Le 03/04/2022 à 08h 04
C’est une question de goût mais le grand glouton original était sans épice. Par contre, on peut évidemment y ajouter du citron !
Le 01/04/2022 à 19h 46
Vite vite du mazout pour noyer le poisson !
Ceci* n’est pas un copier-coller… mais il est sujet à taxe.
*Quand le JO sort du bain, c’est toute l’eau forte qui est bénite
Cyberattaque Viasat (KA-SAT) : enfin des explications, mais encore beaucoup de brouillard
01/04/2022
Le 01/04/2022 à 18h 17
Enercon Quichotte va.
[MàJ] Empreinte environnementale : Next INpact passe au vert (de gris)
01/04/2022
Le 01/04/2022 à 18h 02
Two hundred and fifty-six shades of gray ça en fait beaucoup de nanosieverts à faire tourner. C’est le mal.
Sinon tant pis, j’apporterais les silex. Promis.
De nombreux chercheurs d’INRIA déplorent le projet start-up nation de son PDG
28/03/2022
Le 29/03/2022 à 21h 12
C’est toute la question : pourquoi jusqu’ici il n’y avait aucun rapport entre Havas et le monde de la recherche ?
Et bien avant les relations publiques formatées, n’était-ce pas pour les mêmes raisons de souveraineté que le plan Calcul (dont l’Inria était l’apothéose économique) servait d’habile rempart face à l’inconsistance supposée des journaux ?
A défaut d’avoir compris le fond, on peut remarquer qu’il y a bien confusion sur la forme entre économie et savoir. Voir aussi entre scientificité et recherche.
Autrement dit, en l’abence de travaux déterminants (ou de l’intelligence suffisante pour les distinguer honnêtement), c’est le cirque.
Le 29/03/2022 à 19h 55
La nationnalité n’a pas de valeur en sciences.
Pourtant l’équivalent pigeon-gramme n’est pas une mesure fondamentale de l’impact environnemental du numérique en déclinaison Ademe. Etonnant.
Le 29/03/2022 à 07h 30
Balzac en disait déjà et sans grand discours (1840) :
« Le public peut croire qu’il existe plusieurs journaux, mais il n’y a en définitive, qu’un seul journal… Monsieur Havas. »
C’est peut-être sur ce dernier nom qu’il y a confusion : le népotisme sous-jacent c’est Bolloré, pas Havas.
Bercy détaille l’aide aux reconditionneurs de tablettes et smartphones
29/03/2022
Le 29/03/2022 à 07h 35
Ravi d’apprendre que mon auto-subvention par le truchement de pièces détachées ne met pas au gomache ces rap-tout. Et de nous rappeler que leur précarité politique se réinvente d’elle-même chaque année.
#Flock aussi est « largement imprévisible »
19/03/2022
Le 19/03/2022 à 14h 49
Il faut toujours viser la Chine, même en cas d’échec on atterrit dans le polystyrène.
Merci Flock.
LOPMI : la « révolution numérique » du ministère de l’Intérieur
18/03/2022
Le 19/03/2022 à 09h 48
Il manque donc le bouclier bêtavoltaïque pour traiter les sursauts irradiants .
La Douane suédoise sanctionnée dans les frontières du RGPD
17/03/2022
Le 17/03/2022 à 23h 09
C’est symboliquement bien pire : Overkill.
Un « plan de résilience » face à l’augmentation du prix des matières premières
17/03/2022
Le 17/03/2022 à 22h 38
Il y a cependant une chose qu’il est encore possible de faire après ce modèle commun et qui arrange tout le monde : individualiser les flux de réinvestissement, c’est à dire les discrétiser en acceptant qu’il y ait plusieurs baignoires sans possibilité d’en vider l’eau d’une dans une seconde et ainsi de suite.
Le problème évident c’est qu’à large échelle on sait déjà que c’est échec et c’est aussi une limite liée à notre capacité “innée” à dénombrer les grands ensembles d’idées qui est finalement de la même inertie sociale mobilisée pour traiter du capital comme une meute d’écureuils le ferait.
Grosso modo, le modèle Suisse marche en Suisse, mais ne peut pas fonctionner sans décentralisations accompagnées de transferts aux régions des responsabilités complètes sur certains sujets. Y compris la partie monétaire qui est aujourd’hui incompatible avec les marchés mondiaux, ou même l’Euro… Et c’est ainsi que l’avantage du “communisme” Suisse se valide en solvabilité : les revenus bancaires sont liés à des matières premières qui, ne se déplaçant pas plus vite que le mur du son, ont un taux d’intérêt garanti sans cédille dans des contrats trop civils pour être cons.
Le 17/03/2022 à 22h 00
J’ironise car cela évite de sombrer mon capitaine.
Le 17/03/2022 à 21h 58
Les amish de mes amish sont mes amish, il parait.
Et dire qu’on ne pensait pas un jour confondre résilience avec redondance…
Le 17/03/2022 à 21h 50
Car ils y ont souvent un double intérêt (rendement de l’actif + rendement général) :
En gros : dépenser de l’argent pour en gagner plus. Dans pas mal de cas, la solvabilité (qui est différente de la dette) conduit au n’importe quoi. On a pas de leçons à donner aux autres sur ce point, même les pauvres font tout pareil, et j’ai envie de dire que malheureusement, dans leur cas, c’est même recommandé… !
Le 17/03/2022 à 21h 42
Je ne pense pas que la dette disparaisse. En fait, la dette c’est comme rien dans notre économie actuelle. Le bitcoin, là encore, dépend de l’énergie injectée.
Le problème réside surtout dans ce que la dette ne permet pas de comptabiliser comme tel et n’engage donc pas sans ses conditions politiques de frileux friqués des dimensions pleinement utiles. (rénover les logements, substituer ce qui doit l’être, revaloriser les conditions de travail etc)
Le 17/03/2022 à 21h 36
Le gâchis provient principalement de la consommation subie. Ex : chauffage.
Mais évidemment, il faudrait là aussi réinvestir. Après c’est une question de priorités : toute redistribution sans conditions d’usage ne changera assurément rien.
Le 17/03/2022 à 21h 32
La logique où cela nous conduit c’est effectivement de détruire la monnaie.
Sauf que, l’épargne tendant à être l’inverse des émissions, l’énergie nécessaire au fonctionnement de la monnaie électronique va elle aussi subir la déplétion prédite (intégrale du stock).
Dans le système Italien avant l’Euro, où les montants des prix étaient élevés, on cachait bien le problème de charité. Même en revenant à une autre comptabilité, la possibilité même de la monnaie pose le problème. Cela ne va pas plus loin : il faut changer la mesure et n’en garder qu’une à chaque fois.
Le 17/03/2022 à 21h 25
A ce stade tu en es à compter le nombre d’atomes dans ton siège troué en te disant que jusqu’ici tu n’as que 4 trous et qu’il t’en faudrait 5.
Un peu comme le macronnien qui s’est cru 6 fois milliardaire avec ses sièges en Polychlorure de vinyle.
Il y a un atome à compter ! Vite, fissions les-les tous !
Le 17/03/2022 à 21h 15
A échelle mondiale on remarque :
Une autre manière d’interpréter ta proposition c’est donc de se demander comment le pouvoir d’achat serait affecté par une redistribution des hauts revenus. Basiquement, dans de nombreux cas, les bénéficiaires produiraient une demande énergétique intenable sans émissions majeures de CO2. C’est déjà ce qu’il se produit avec les classes moyennes en Chine !
C’est pour cette raison que cela ne marche pas avec le système actuel : le choix c’est soit d’éviter les prélèvements naturels, dont le charbon est l’une des premières denrées, soit d’émettre des quantités invraisemblables de CO2 a priori mortelles.
In fine ce sont les fonds de pension qui régulent l’écart entre la courbe bleue et la droite. En vain.
In fine ce sont les syndicats (ou autres) qui régulent l’écart entre la courbe droite et la droite courbe. En vain aussi…
Le 17/03/2022 à 20h 41
Dans certains cas la part courante du roulement journalier excède les besoins réels du bénéficiaire. Et l’épargne des entreprises n’est pas nulle tout comme ses créances.
D’où le recours massif (et un peu pathétique) aux services électroniques dont la masse énergétique est en croissance.
En gros, si Google partageait ses revenus horaire, on serait tous (à échelle mondiale) en mesure de vivre correctement en convertissant les gigawatt heures induits par son service publicitaire en cash. Le bitcoin est aussi né de ce constat… un peu comme les 0,15 cents circulaires de Castex. :oui2:
Le 17/03/2022 à 20h 17
Cela ne marche pas, ou alors, il faut repomper “sans énergie” le CO2 de l’atmosphère afin de rester sur un modèle économique connu.
D’où l’idée de donner un prix préventif au carbone et faire comme si la non courbure du rapport proportionnel entre GES et PIB mondial était purement spéculative alors que sa mesure de platitude est connue depuis des années maintenant.
Le 17/03/2022 à 20h 05
Et à quel pallier est ce seuil de richesse ?
Sinon c’est la magie de la médiane : dans une boite où le revenu médian sert de base à l’emprunt (quand bien même la motivation du débiteur n’en sois pas l’objet), même le créancier passe à côté de la “fortune” du propriétaire débiteur car l’idée réside dans la différence entre la croissance de l’entreprise et le taux d’intérêt.
Aussi, il est assez intéressant de prêter aux entreprises : elles peuvent justifier participer à l’embauche moyennant l’usage de la planche à billets ou du marché secondaire.
Dans ce scénario restreint à la comparaison entre deux taux, l’un variable, et l’autre fixe (ou révisable), la notion de “ressource” se limite aux simples ressources humaines. C’est donc assez pratique : pas de communication des revenus ou du patrimoine réels du propriétaire ni de la concession pour les revenus générés par le cash flow de l’affaire.
Conclusion : s’intéresser à un flux financier est plus intéressant (monétairement parlant) que de s’intéresser à un flux de pétrole. Et donc conclusion² : vive la neutralité carbone.
Le 17/03/2022 à 18h 56
En effet, c’est de la comptabilité basique : salaire moyen + (masse de dividendes/nb de salaires) = salaire défendu par les syndicats.
Les problèmes sociaux arrivent quand la (masse de dividendes / nb d’actionnaires) est > au salaire moyen. Ce n’est pas anormal et on a le droit de sécuriser ses revenus par un salaire, typiquement lorsqu’on s’endette sur 25 ans pour se mettre au chaud.
Ce n’était pas si obvious en 2008 pour l’actionnaire professionnel.
Le 17/03/2022 à 17h 59
Pour moi, il peut faire référence à cette trajectoire sans nécessairement définir un seuil de pauvreté absolue.
Sachant que la part de dépenses consacrée au logement n’a pas beaucoup diminuée et va en s’accroissant, l’accord d’un prêt aux plus hauts revenus est prioritaire en termes de risque pour la banque sur l’accord d’un prêt aux plus faibles. Simple constat empirique.
Le 17/03/2022 à 17h 41
Très indirectement c’est “approximé” en tendance par l’Insee avec l’indice de référence des loyers.
Mais il y a plus sûrement les banques qui ne disent pas ce qu’elles en pensent, depuis 2008 l’accès restreint au crédit est bien plus inquiétant : le ratio revenus-prix de la construction neuve a pas mal bondi et peu de monde en parle encore comme si c’était normal d’être pauvre dans une passoire et riche dans un sauna.
Le 17/03/2022 à 17h 24
Les concepteurs sont mieux payés chez Renault que chez Tartempion électrique. Fact.
Ensuite, force est de constater qu’entre distribuer des revues de mécanique aux garagistes amateurs (pratique désormais révolue) et payer un yop pub; l’économie gouverne de payer un publicitaire + ODB. Fact aussi.
Quant aux normes… bah voilà pourquoi l’électronique disqualifie la main d’œuvre pas qualifiée dans le monde réel. A rebours du discours larmoyant des mauvais perdants de l’électrique ou de leurs syndicats. Fact.
Non vraiment, je pense que dire tout ceci sans avertissement contextuel c’est bien passer à côté du volume de matériaux nécessaire pour faire 6 ou 8 gammes de véhicules… ce n’est pas non plus en se tournant vers les services ou le comptage du CO2 que le problème mute, c’est là encore se voiler la (bonne) farce.
Le 17/03/2022 à 17h 01
C’est abusif. Le bon indice c’est celui-ci.
Le 17/03/2022 à 15h 49
Ah mais on voit ici la différence entre des acheteurs et des investisseurs tout aussi paresseux. Curieusement, les seconds sont généralement plus prompts à poser des courbes dans des graphiques que les premiers ! C’est la magie de la communication : jamais aucune méthode.
Le 17/03/2022 à 15h 46
Ce n’est pourtant pas ce qui a été retenu dans la loi. Il y a maintenant une limite de poids.
Il n’y a certes que peu de différence de rendement moteur (= émissions de CO2) mais, la quantité de matériaux brassée et/ou usinée se paye à un moment ou un autre en émissions supplémentaires.
Emissions qui sont, comme chacun le sait (ou se défend de le savoir) la marge ultime du constructeur.
Dire qu’on voudrait des voitures légères et électriques et se passer du haut de gamme c’est faire perdre de l’argent à nos constructeurs automobiles (en valeur d’usinage principalement) en l’état actuel du marché.
Le 17/03/2022 à 15h 17
Car le petit livre bleu tape à l’œil du manifestant ?
A défaut de comparer des différences de revenus, on peut comparer les dimensions et la quantité de CO2 par kilomètres parcourus.
La grosse farce du moment c’est d’oublier que dans certains pays (dont la France), le r.o.i d’une électrique se classe en numéro 1 devant les pots de yaourt 2L et numéro 3 les S.U.V.
Le 17/03/2022 à 13h 06
Certes. Mais il faudrait alors aussi parler des biens (ou services aussi) dont plus de 50% de leur valeur monétaire est du fossile. Dans l’industrie c’est courant d’avoir ce genre de dilemmes entre masse salariale et masse énergétique…
Le 17/03/2022 à 12h 57
Les pauvres achètent leur capital aux riches.
C’est un problème de valeurs et d’unités : la première exploite la seconde.
Le 17/03/2022 à 12h 50
Bah, un peu comme avec les nœuds, on s’amarre.
Contre les impressions 3D illicites, un numéro d’identification pour retrouver les clients des prestataires
17/03/2022
Le 17/03/2022 à 19h 33
Avec de la 3D un système anti-copie n’a aucune utilité si l’ensemble des données est lisible par un logiciel de 3D destiné à de l’impression, encore moins avec de la CAO (formats interopérables et redondants pour des raisons de production).
Il faudrait avoir l’accord des développeurs pour aller là dedans et c’est sans garantie de ne pas toucher aux créateurs ou à l’usage de la CAO en général comme base.
Ce n’est pas un DRM. Et je rappelle ici qu’un DRM, par consistance même, est inefficace face au but poursuivi (exemple lutter contre des contre-façons de disques déjà copiés…).
C’est donc un marquage pour distinguer la copie 2 de l’original copié 1.
L’étape d’après ce serait de protéger tous les fichiers préventivement. Ce qui permettrait de reconnaître chaque fichier transmis à un imprimeur comme original ou n2… que cela va être (encore) dur de coller à la réalité du droit de communication mais pourquoi pas.
Le 17/03/2022 à 08h 57
Kim Dot Tax !
C’est le kamoulox d’avant, mais d’après aussi.
Le 17/03/2022 à 08h 39
L’exposition précède la vente.
Si l’exposition (qui est aussi une représentation) excède le cadre privé (cercle familial par exemple), l’exception ne s’applique pas et c’est une contre-façon.
La question non résolue ici : est-ce raisonnable d’apposer des marquages lorsque la finalité est une copie privée ?
Télescope James Webb : dans les entrailles de l’instrument MIRI, développé en Europe
17/03/2022
Le 17/03/2022 à 15h 06
Ce que contient l’assignation ARCOM pour bloquer cinq des principaux sites pornos
14/03/2022
Le 17/03/2022 à 13h 44
Dans le hardcore le temps de cuisson c’est essentiel.
Du coup, ce doit être de la zoophilie d’après la loi.
Le 17/03/2022 à 13h 39
En 1810 on parlait d’attentat à la pudeur.
Sans verser dans le néo-conservatisme, les circonstances débattues ont tout de même 210 ans… En suivant la même logique les autres “attentats” présents seraient découpés en tranches de code un peu partout d’ici 1 ou 2 siècles. On imagine (déjà) le malaise.
Le 15/03/2022 à 22h 35
C’est du moisi, Zoologischer Garten ce n’était pas si vert il me semble. Qu’est ce qui a changé depuis les 70’s, l’internet ?
-> et depuis au moins 50 ans tout genre politique confondu.
En fait depuis qu’on en parle… on en parle.
Ukraine et risque nucléaire : comment suivre en ligne les niveaux de radioactivité en Europe
10/03/2022
Le 17/03/2022 à 12h 27
Je n’ai jamais dit qu’ils étaient des scientifiques. j’ai précisément montré que “l’indépendance de la science” est une hypothèse discrète et bien commode pour ne rien entendre de la méthode scientifique. (la seule chose là dedans qui est effectivement scientifique et admissible comme base de réflexion).
C’est faux. Negawatt produit un point de vue conforme aux attendus. Mais, ces attendus sont effectivement différents de celui du gestionnaire de réseau.
Comme trop souvent, et ça m’agace, on confond par excès de proportionnalité économique le “besoin d’usage” et la “convention sur la consommation”.
Aussi, le stockage pose principalement problème aux industries qui font les trois 8, bien avant le zouave sortant en boite. Ça, c’est le “besoin d’usage” qui est en effet indépendant de l’énergie consommée. Ce n’est qu’un chiffre, mettons 1Twh le 7 octobre entre 3h et 2h du matin pour X.
A contrario, le stockage pose principalement problème aux infrastructures en période de stress pour apposer une garantie de conformité…
L’apport de RTE c’est de dire que la marge de manœuvre “comme si c’était comme avant” doit être plus grande afin d’éviter une coupure. Donc cela induit une surconsommation nécessaire qui est le socle de la garantie de conformité.
On ne peut pas attribuer la question de la puissance des ENR à un besoin d’usage, il manque à ce moment là le facteur de charge et c’est donc bien le réseau qui “”“consomme”“” (gros guillemets) de la tension à certaines périodes.
Tout ceci mène à savoir qui veut stocker du courant et comment. RTE n’ayant qu’une légitimité à être entendu sur la partie réseau à mon sens. Le reste ne dépend pas d’eux. Vais-je demander à mon livreur de colis son avis sur ce que j’achète ? … bon. C’est un peu foireux comme organisation du débat AMHA.
La reconnaissance faciale pour combattre la guerre en Ukraine
14/03/2022
Le 16/03/2022 à 15h 57
La technique est une continuation de la guerre par d’autres moyens.
De l’argent public pour les reconditionneurs français qui payent la copie privée
15/03/2022
Le 15/03/2022 à 23h 59
Il y a plus toujours plus fort que le fort : ne pas en acheter et miser sur la réparation.
Les sites de vente d’occasion sont maintenant réputés pour vendre de la carte mère et c’est du niveau changer la batterie sur certains modèles.
Il n’y a pas beaucoup d’utilité sociale ou écologique à ces mesures, y compris parfois les reconditionnements en eux-mêmes dont le coût de la main d’œuvre subventionnée et polluante dans le cycle de vie se contournent assez facilement pour un bidouilleur motivé et responsable.
Je trouve presque ordinaire de voir des non avertis tomber sous le coup de ces mesures. Microsoft ou Apple n’en aurait pas fait moins avec un même goût pervers pour le licencing théoglobule.
C’est (encore) de la réclame pour faire saliver sur l’étiquette de l’économie-fiction dans laquelle on a raté la marche ou la lettre…
Pas de recours pour Julian Assange devant la justice britannique
15/03/2022
Le 15/03/2022 à 23h 05
Gruick !
Il y a trop peu de contenus relevant du droit sur la presse sur Twitter. Lorsque l’excercice de ces droits seront admis par les juridictions étrangères on pourra éventuellement bien rire des désinformations multiples, y compris celles des états eux-mêmes…
Pour l’instant, ce fourre-tout de Jospinistes à la dérive perdure.
Le 15/03/2022 à 21h 24
L’Angleterre a enfreint le droit international comme son complice en 2003.
On a donc des difficultés à comprendre comment leur sortie de l’Union Européenne ne fait pas déjà l’objet de sanctions continentales réalistes à raison de ce manquement en général et de celui-ci (Assange) en particulier.
Qui plus est, les tensions Britanniques avec le continent ont certainement précipité la dissolution de la paix comme unique prisme diplomatique en Europe de l’Ouest.
Il faudrait avoir une confiance aveugle dans l’OTAN pour ne pas observer un comportement démocratique abhorré un peu partout depuis l’avènement du nouvel ordre mondial théorisé par Bush père en 1991, soit 12 ans avant l’invasion de l’Irak et 19 ans avant les révélations de Wikileaks.
Inutile de croire que le problème puisse être nouveau, les états criminels choisissent en général d’endetter leur progéniture pour 30 ans, minimum.
Canal Détox : « des comprimés d’iode pour se protéger des radiations, vraiment ? »
15/03/2022
Le 15/03/2022 à 22h 02
Yakafocon le pass cumulus ! Le retour de super mandats.
(avec reconduction tacite annuelle de covid jusqu’à 128 variants, chikungunya 16 variants, taux d’humidité mini de 30%, radionucléides divers jusqu’à 256 octets, formaldéhydes d’hiver jusqu’à 8bits, bisphénols de printemps maxi -1⁄12 (…) ).
Ô mais on y pense toujours avant dans le monde d’après…
Le 15/03/2022 à 20h 25
Mais non, les Allemands avaient des piles expérimentales dès 1941. La rumeur n’était pas si éloignée de la réalité qu’on pouvait le penser.