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Rastabib

est avec nous depuis le 1 février 2016 ❤️

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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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16 commentaires

Framasoft nous parle de ses plans pour « le monde d'après »

Le 10/05/2020 à 05h 23

Je ne préfère rien, je constate qu’un client est parti vers une solution moins respectueuse de ses données et de sa vie privée, alors même que l’objectif de la page Privacy est, je suppose, d’informer pour inspirer confiance.
Le résultat est donc contraire à celui recherché, c’est une constatation tirée du témoignage de taxalot.

Supprimer la page Privacy serait donc moins transparent mais peut-être plus productif en terme de confiance du client, paradoxalement.
 


Le 09/05/2020 à 01h 17






taxalot a écrit :

C’était les admins. Je n’avais fait aucune manip.

J’ai bizarrement davantage confiance en Google qui aura un vrai budget sécurité et des contrôles internes, et qui en plus est administré a l’étranger.

En tout cas, cela montre que ce n’est pas davantage sécurisé, et probablement même encore moins.


C’est l’excès de transparence qui dans ce cas est néfaste au produit. Sous Nextcloud dans l’onglet Privacy, il y a les noms des utilisateurs qui administrent le serveur, ainsi que d’autres informations comme la localisation du serveur. En voulant bien faire et en donnant un maximum d’informations pour être transparent, ils ont fait peur au client.
Alors que chez Google, il y a probablement beaucoup beaucoup plus d’utilisateurs qui ont accès à tout ou partie de tes données, mais Google n’a pas une page où il te liste les 700 personnes qui y ont accès.



Restriction, menace de suspension : l'affaire Amazon dans le détail

Le 15/04/2020 à 22h 07

Amazon Logistics livre 77 jusqu’à 22h sur Paris. Vu la performance de La Poste et ses rejetons, ils ont créé leur propre service de livraison dans les zones denses. Ils laissent à Colissimo la livraison dans toutes les parties peu denses du territoire car c’est une activité déficitaire ;-)


Newsgroups : condamné pour contrefaçon, Newsoo se pourvoit en cassation

Le 28/04/2017 à 17h 44

Il a fait comme trop de gardés à vue, il a ouvert sa bouche. Vous avez le droit à un avocat maintenant pendant toutes les auditions, donc si vous êtes arrêtés, vous en demandez un et vous dites rien.


Emmanuel Macron en Marche contre le terrorisme (et le chiffrement)

Le 10/04/2017 à 18h 07

Tu n’es pas seul, je suis dans le même cas et je pense qu’il y a beaucoup d’électeurs dans la même situation. Je me tâte même à voter Mélenchon (pas du tout par conviction politique), juste pour bien rigoler si on a un 2ème tour Mélenchon/Le Pen où une grande majorité d’électeurs seraient bien emmerdés.


News from the past

Le 04/04/2017 à 09h 38

Quelqu’un connaît un opérateur qui propose du backup comme Crashplan ou Blackblaze mais avec une structure juridique et des serveurs sous juridiction EU ?


Sous-location sur Airbnb : condamnés à payer 5 000 euros à leur propriétaire

Le 17/04/2016 à 02h 41

Il faut réviser ton droit : on est au civil, pas au pénal là. C’est un litige entre des personnes privées : un contrat a été signé et l’une des parties dit que l’autre ne respecte pas ses obligations. Il demande donc à la justice de sanctionner l’autre partie. Il n’y a pas de plainte, pas de procureur, et pas de peines comme j’ai pu lire plus haut dans les commentaires.


Réforme pénale : les sénateurs couplent interception du flux et saisie du stock de mails

Le 30/03/2016 à 07h 09

Il faut arrêter de voir le mal partout, cette demande a été formulée par les juges d’instruction anti-terroriste lors de leur audition par une commission parlementaire (de mémoire). Le cadre actuel rend en effet impossible d’accéder au contenu des messages déjà envoyés et reçus alors qu’on a l’autorisation de mettre sur écoute la boîte électronique. Il ne répond donc pas aux nécessités opérationnelles des enquêtes. En effet, si on doit prévenir la personne suspectée afin de pouvoir lire les messages déjà reçus, elle se sait surveillée et par conséquence, l’écoute judiciaire ne va plus être très fructueuse. De plus, la saisie est conditionnée à l’autorisation préalable du juge judiciaire donc il semble que les droits des justiciables soient protégés.
Il aurait été plus intéressant d’étudier les différences de protections offertes entre le régime des interceptions judiciaires et celui des perquisitions judiciaires pour mesurer l’impact sur les droits de la défense.


Le.Taxi, un registre pour héler électroniquement tous les taxis connectés

Le 22/03/2016 à 13h 23

Je ne sais pas comment tu fais tes comptes, mais Uber est moins cher que le tarif des taxis, que ce soit la prise en charge ou le tarif horokilométrique à la période la plus favorable (A).
Et je ne compte même pas Uberpool où tu as une ristourne additionnelle.


Le 22/03/2016 à 12h 14

Les parkings blindés c’est aux heures creuses. Il y a notoirement un gros déficit de taxis à Paris comparé à des capitales de taille similaire et avec le même niveau de touristes.
Aux heures de pointe, il est strictement impossible de trouver un taxi à Paris. Je me souviens de ces fins de soirée le week-end à attendre avec 30 autres personnes à la station de taxi de Saint-Michel. Egalement, ces innombrables courses refusées parce que “je n’allais pas dans le bon sens”.

Heureusement, tout ça est fini depuis 3 ans. Je ne prends plus qu’Uber et je n’ai plus aucun soucis.


Peerio sort de bêta et lance ses applications mobiles

Le 21/03/2016 à 19h 30

Leur société est sous quelle juridiction ?


Renseignement, état d’urgence : Amnesty International épingle la France

Le 24/02/2016 à 12h 46

Les perquisitions de nuit sont déjà possibles dans le droit commun pour certaines infractions spécifiques : entre autres trafic de stupéfiant, proxénétisme, bande organisée, et terrorisme. On n’a donc pas besoin de l’état d’urgence pour poursuivre et réprimer efficacement ce type d’infractions.
Les perquisitions administratives prévues par l’état d’urgence permettent d’agir de manière préventive, au détriment des garanties apportées par la procédure judiciaire classique (entre autre l’intervention du juge judiciaire). Elles sont adaptées pour une situation où on doit faire face à un péril imminent, comme c’était le cas juste après les attentats. Aujourd’hui, à mon sens, elles sont difficilement justifiables.


3 mois de Premium pour 3 euros : il ne vous reste que jusqu'à ce soir

Le 18/02/2016 à 13h 00

Done


Apple lève 12 milliards de dollars de dettes pour payer ses dividendes

Le 17/02/2016 à 16h 20

Les lois d’amnistie sont votées de temps en temps, tu peux oublier toute notion d’équité entre sociétés. C’est pas la PME du coin qui finance ta campagne présidentielle. On n’est pas du tout dans le même type de système que la France, le lobbying est pleinement assumé par toutes les composantes de la société (pas que les multinationales).


Le 17/02/2016 à 16h 17

On peut également emprunter à sa filiale offshore (c’était le montage utilisé par HP à l’époque qui empruntait tous les 15 jours alternativement de l’argent avec intérêts à 2 fonds lui appartement situés aux Bermudes).
Les spécialistes d’International Tax Law sont de grands créatifs.


Le 17/02/2016 à 14h 36

L’action qui déclenche la taxation aux USA est le rapatriement des bénéfices vers les USA. Ces sociétés gardent donc leurs bénéfices mondiaux (hors USA) à l’étranger, en attendant les périodes d’amnistie fiscale. Elles font du lobbying intensément auprès du législateur en ce sens. C’est un très grand classique de l’optimisation fiscale des groupes multinationaux aux USA.
Le problème, évidemment, c’est qu’elles ne peuvent pas utiliser cet argent stocké offshore pour payer les dividendes à leurs actionnaires vu qu’elles sont incorporée aux USA, d’où le contournement par un emprunt.

Certaines sociétés évacuent ou évacuaient même leur bénéfices américains. A une époque (je ne sais pas si c’est toujours le cas), Microsoft US cédait tous ses brevets à Microsoft Porto Rico . De cette manières, Microsoft US devait payer chaque année des royalties à Microsoft Porto Rico pour l’utilisation de ces brevets dans tous ses logiciels. Cela permettait de faire sortir du cash des US ver Porto Rico en toute légalité. Les royalties sont couramment utilisées (en Europe, c’est l’un des vecteurs principaux quand on parle de l’Irlande).