Je remets un petit com’ en consultant le site ce matin au boulot, pour décrasser les neurones et me tenir un peu au courant.
Sait-on jamais, même si en principe ça n’augmente pas mes chances, sur un malentendu…
Le
06/07/2018 à
09h
31
J’aime pas les concours, mais bon, il faut faire un effort pour un nouveau PC " />
NextInpact, c’est plutôt récent pour moi, et ça m’a accompagné lors de ma reconversion dans l’informatique. C’est une source utile pour suivre l’évolution de la société, mais aussi, je ne pensais pas à ce point là, un bon sujet de discussion lors des entretiens quand on parle de veille!
C’est aussi des commentaires largement plus intéressants qu’ailleurs.
Mais maintenant que j’ai un contrat vais-je rester abonné? " />
Je vois mal nos amis de là haut faire une loi anti capitalisme.
Bien que ça ne me dérangerai pas :)
Pourtant on a bien une ministre qui “cite” Marx " />
Le
03/07/2018 à
07h
12
PèrePatience a écrit :
Tu coupes la télé et basta.
Tu fais toi même, avec tes enfants, la programmation de ce qu’ils veulent regarder sur des canaux alternatifs (netflix, prime vidéo, achats demat de dessins annimés ou autre).
Un parent c’est responsable de l’éducation de son enfant, fatigué ou pas après une journée de taff.
Ce sont des fausses excuses que de laisser la télé faire la nounou.
Pour les comportements alimentaires, si les parents n’achètent pas ces produits, peu de chance que les enfants y deviennent accro.
Problème : Ca devient ensuite un sujet de société. Une fois que la population est obèse/diabétique, tu leurs coupe la sécu, tu leurs mets une amende, tu les laisses crever sous les ponts? On commence à parler de difficultés de recrutement dans certaines professions aux EU!
Je pourrais être d’accord (perso je me sens responsable du comportement de mon enfant) mais visiblement l’information ça ne suffit pas, et les vendeurs de gras continuent à offrir un hamburger pour un acheté, à vendre des boissons déminéralisées etc.
Un modérateur va supprimer un message pour aider les utilisateurs de la plateforme, surtout. Je pense que ça n’a pas à être obligatoire.
Donc responsabilité de qui en cas de propos condamnables? Si le site ne l’est pas, il doit communiquer l’identité de l’internaute à la justice non? Donc conserver cette info?
Le
19/06/2018 à
17h
19
ProFesseur Onizuka a écrit :
Remplacer la justice publique par la censure privée " />
L’enfer est pavé de bonnes intentions " />
Oui mais.
Si dans les commentaires, ici, quelqu’un se met à être très insultant/violent vers un autre participant, quelle est la meilleure solution? Qu’un modérateur vire le post ou que le participant porte plainte puis que la justice demande à NextInpact la suppression du post?
C’est sûr qu’on se retrouve contrôlés par la morale et/ou l’application de la loi selon NXI/Facebook/jv.com, mais le tribunal pour chaque mot tapé sur internet, c’est un peu irréaliste… Surtout avec la vitesse de réplication possible. On est nombreux je pense d’ailleurs à choisir nos lieux de fréquentation numériques en fonction de la politique appliquée (ni trop, ni trop peu, selon nos goûts).
C’est pas pour ça que je défend le filtrage (parfois bien étrange) effectué par certains grands acteurs du net hein, mais les juges ne seront jamais assez nombreux.
Encore une fois la proposition de l’automatisme, qui est presque une présomption de culpabilité, ne me plaît pas, mais c’est une mauvaise réponse à une bonne question.
Qu’on donne des moyens à la justice d’agir rapidement pour ce genre de problèmes (création de postes, …)
et qu’on ne laisse pas les intermédiaires le choix de ce qui est licite ou non.
Alors oui, et je ne soutiens pas la proposition de cette élue. (automatisme=danger)
Par contre j’ai vécu un cas où nous étions plusieurs à signaler des appels au viol et au meurtre à l’encontre d’un mineur (qui n’avait pas de compte) sur Facebook. J’ai attendu 48h pour que Facebook réponde que “les propos n’enfreignaient pas la charte”. Pourtant ils étaient explicites et publics (pas besoin d’être “ami” pour les lire). En 24h la victime a vu son identité révélée à la suite des commentaires appelant à la violence. Bref, moralement et légalement c’était totalement hors des clous.
Il a fallu 1 semaine pour que la conversation soit supprimée suite à diverses interventions (dépôt de plainte etc.). C’est très court pour la justice, et suffisamment long pour causer d’énormes dommages.
Y-a-t-il une solution à ce genre de comportement, à part une responsabilité de l’hébergeur?
(Laisser les gens s’organiser pour commettre des crimes? Demander les coordonnées de tous les participants et les trainer en justice 6 mois après? Engager des gros bras pour menacer le détenteur du compte à l’origine des attaques? Embaucher un hacker pour supprimer son compte? Interdire les réseaux sociaux non modérés pré-publication?)
Au passage le téléphone est très pratique pour garder le contact avec les parents, ne serait ce que pour aller les chercher. Les exemples ne manque pas.
Ouaip. Faut surtout s’interroger sur les conséquences: Plus de responsabilisation (comment faire sentir à un môme qu’on a confiance en lui s’il est pisté par le portable), plus de mémoire (là je parle de moi par exemple) parce qu’on a toujours le portable pour demander le digicode une fois arrivé, plus de sens de l’orientation (googlemap)…
Quand je vois les conséquences sur les adultes, je ne souhaite pas ça aux enfants.
Par contre en techno ils font des trucs sympas genre sketchup ou autre, en respectant des méthodes pour faire un plan de maison par exemple, je trouve ça cool.
Le
01/06/2018 à
08h
08
Krogoth a écrit :
L’écriture est indispensable, parfois même sur support papier…c’est plus sur l’écriture manuscrite (avec un stylo) que je m’interroge. Ca fait quelques temps qu’on n’écrit plus avec un stylet dans de l’argile ou plus recemment qu’on n’utilise plus de plume et d’encrier. Ca peut toujours être utilisé oui, mais sous une forme artistique, moins pour la transmission d’information.
Mouais… Reste que le tableau (craie " /> ou véléda) est un outil encore plutôt utile et utilisé par exemple. On peut le remplacer par un tableau numérique (même si le coût et l’ergonomie parfois foireuse sont pour l’instant bof) qui nécessitera aussi un stylo, mais il n’empêche que pouvoir improviser plutôt que de suivre un powerpoint est un atout non négligeable.
On vit tous des xp différentes, la mienne est que dès qu’on se réunit (à deux ou plus) le manuscrit devient un outil de communication très fort.
De même je vais aller suivre des petites conférences bientôt, j’ai réfléchi à ce que j’allais emporter pour mes notes, bah ça sera un petit cahier… Pas fragile, facile à ranger,, facile d’écrire ET de faire un schéma, des rectifs, des flèches dans le texte, écrire dans la marge…
Certains auront leur portable ou un smartphone, on aura tous des inconvénients et des avantages en temps et en ergonomie, mais choisir pour nos gamins en 2018, les priver d’un outil, et voir ce que ça donne dans 20 ans… risqué.
Le
31/05/2018 à
15h
24
Krogoth a écrit :
De la même façon j’ai du mal à comprendre cette insistance dans l’apprentissage de l’écriture manuscrite. Moi même je n’écris pas plus d’un ligne par trimestre alors un enfant qui a 5-6 aujourd’hui….
Il y a une étude récente qui montrait que la mémorisation était meilleure en cours/formation en prenant des notes manuscrites plutôt que sur ordi.
A part pour les virtuoses, tout ce qui est dessin/schéma est plus lent sur ordi.
En cours d’algo niveau bac+4, on était tous sur papier/crayon et le prof nous disait qu’en BTS ils étaient tous sur ordi. Avec le niveau d’abstraction qui monte, on revient à des outils qui traduisent directement la pensée.
De plus les psys alertent sur la sur-sollicitation par la connexion, qui provoque pertes de concentration, mémoire etc. Autant préserver les enfants en formation de ces problèmes, en attendant que les adultes, déjà, soit capables de s’en protéger.
Il ne me parait pas aberrant d’utiliser encore les outils “simples” pour l’apprentissage. Les génies de l’informatique ont un cerveau bien fait, mais pas forcément une maîtrise de l’écran tactile. De même pour faire du dev de haut vol il vaut mieux avoir un gros bagage algo/math, parler anglais, que d’avoir fait du html à 10 ans.
Enfin c’est mon avis, et je pense que c’est encore pire que ça… Le “monde numérique” de demain va nécessiter bien plus de compétences en éthique, sociologie, culture etc. que d’habitudes à manier des produits. (qui en plus sont obsolètes en 2 ans)
S’il doit y avoir une procédure permettant de s’authentifier avant d’accéder aux données, il faut nécessairement respecter le principe de parallélisme des formes:
Effectivement, ça m’étonne pas mal ce concept. Si quelqu’un crée un compte “usurpation d’identité” sur un site, c’est à l’usurpé de prouver son identité, un peu bizarre.
T’as quelqu’un derrière ton siège avec un flingue sur ta tête qui te force à aller sur ces sites ?
Si t’es pas content de leur conditions tu peux te casser du site.
Sur la théorie je suis d’accord.
Dans la pratique, chercher un boulot dans certains secteurs actuellement sans compte LinkedIn c’est quelques mois de chômage garantis. C’est pas un flingue, mais bon.
Sans compter quelques dérives comme Facebook qui oblige un développeur à se connecter avec un compte perso pour accéder à son API. Je travaille pour une boîte qui a besoin d’accéder à l’API facebook -> je dois avoir un compte facebook, qui en principe ne doit pas être fake -> je dois accepter leurs conditions d’utilisation. C’est pas un flingue, mais bon.
C’est estime a 1.2 milliards d’euros pour les entreprises francaises…
C’est le coût du rattrapage sur le n’importe quoi qui est pratiqué depuis des années.
C’est même la preuve que l’autorégulation ne fonctionne pas: La gestion des données des internautes a toujours été pourrie, open bar dans la collecte et le traitement. Les fuites géantes de données de compte par des acteurs importants a jeté un mauvais coup de comm’ là dessus, mais personne n’a été surpris parmi les gens du secteur. Le droit de consultation et modification s’est souvent vu confronté à une absence de réponse.
Bref… En plus l’économie c’est pas si simple, ces 1,2 milliards ils vont aller où? Dans des sociétés d’info, de conseil, chez de nouveaux employés? En France, à l’étranger?
Le
26/05/2018 à
15h
39
Stel a écrit :
Ca touche adsense, donc ca touche énormément de monde (vraiment beaucoup). Pour résumer il faut demander l’autorisation à tes visiteurs d’afficher adsense.
J’ai l’impression que la plupart des gens ici n’ont aucune idée de l’ampleur de la catastrophe qui arrive, quand vous verrez vos sites préféré soit fermer soit devenir payant ca va vous faire tout drôle.
Justement, pour un débat assez proche, j’ai déjà regardé la liste des sites que je fréquente régulièrement, et leur dépendance à la pub/leur source de financement.
Et bien… il s’avère qu’il n’y a pas grand chose qui me manquerait. Et s’il reste peu de choses à la fois indispensables et qui deviennent payantes, alors ce sera tout à fait possible.
Certaines ressources, parmi les plus intéressantes, sont justement l’essence d’internet, par exemple des sites d’universitaires, avec quelques ko de données texte, hébergés par les universités ou des abonnements à 2€/an. Des “blogueurs” qui ne dépendent de personne. Des sites de dev/softs/services qui vivent sur leurs offres premium sans afficher de pub…
Et même de la presse en ligne avec abonnement " />
A l’inverse j’ai cessé de fréquenter certains gros sites, plus ou moins devenus des références dans leur secteurs, parce qu’avec l’augmentation de leur trafic et de leurs activités sont arrivés la pub en masse, les partenariats, puis des soupçons de collusions, et finalement de la modération sur leurs forums pour calmer les débats sur le sujet. Bref, de l’“internet gratuit” tant qu’on accepte un discours biaisé par la dépendance économique. (parfois malgré des éditorialistes passionnés et sincères)
Cela dit il n’y a pas des gentils (à part NXI " /> ) et des méchants, beaucoup sont dans une zone grise ou compliquée, restons mesurés.
Le
25/05/2018 à
07h
26
Stel a écrit :
Le web c’est pas que des grosses boites. C’est aussi des pme, c’est aussi des TPE, parfois juste 2 personnes, c’est aussi des gars tout seul dans leur chambre. Tout ces gens n’ont pas forcement de service juridique et encore moins les moyen de comprendre cette usine à gaz, de mettre en place les outils adaptés, et encore moins de savoir rédigé des CGU correctement.
Le web ca se résume pas à 2⁄3 boites qui font de l’optimisation fiscale par milliard et de la revente de bigdata, le web c’est bien plus que ca, et le RGPD c’est une usine à gaz de paperasseries et de complexité qui touche tout le monde.
Si tu restreins aux boites qui collectent des données sur les utilisateurs, ça touche moins de monde non?
Ca touche même beaucoup moins de monde non?
Et puis le RGPD ne touche pas que le web hein, ça concerne les services infos.
Ca pose des limites au fichage privé, y’a sûrement des trucs imparfaits dedans, mais il était temps. Se plaindre qu’un business souffre d’un règlement que toute entreprise aurait dû se fixer moralement plus tôt, c’est mettre l’économie bien au dessus de l’éthique, c’est dommage.
Le
24/05/2018 à
14h
47
Il y a des coûts et des complications, évidemment, mais quand on entend certaines boites ayant de grosses équipes web et dev expliquer que c’est vraiment trop lourd à implémenter, en étant prévenu y’a déjà pas mal de temps, c’est un peu ridicule.
Y’a pas mal de cas où ça doit être tout simplement volontaire de ne pas s’y conformer… (pas par méchanceté mais tout simplement remise en cause du modèle éco)
C’est un standard international de tout faire en anglais, notamment car l’intégralité des mots clés de quasi tous les languages sont en Anglais.
Justement, je trouve ça hyper lisible d’avoir les variables et méthodes en français, y’a pas de confusion, on repère tout de suite ce qui appartient à une lib ou au langage. Mais ça c’est une question de goût. " />
En général, oui, on code en anglais. (en tout cas au boulot ou dès qu’on envisage de partager son code)
Le
22/05/2018 à
07h
32
Baradhur a écrit :
Y’a que moi que ca pique les yeux de voir du code source en Francais? Voir du “voeuxClasses.add(v)” ca me fait rire.
Pour du code destiné uniquement à la France, avec des termes métiers spécifiques à la France, et sûrement une partie des lecteurs non anglophones, ça me paraît un choix raisonnable au contraire. A moins qu’il faille délocaliser tout en Inde ensuite, je ne sais pas si c’est prévu.
Commencer à traduire voeux, ou pire “lycée” par “college”, c’est la porte ouverte à un joyeux bazar.
Bon, je n’ai ni compte Facebook, ni compte Twitter…
J’ai pensé à plusieurs reprises m’en ouvrir un, mais là, ça me refroidit, et pas qu’un peu.
Et ça fait plus de vingt ans que l’on dit que la centralisation sur le net, c’est le mal ! Reste-il encore des gens qui en doutent après tout cela ?
Je vois pas trop le rapport avec la centralisation, puisque justement, on peut:
ne pas avoir de compte facebook, ou twitter, ou ni l’un ni l’autre,
avoir des comptes facebook et twitter sans avoir de login/mdp commun, et en faisant attention à ne pas avoir trop d’infos qui se recoupent.
Après je suis assez d’accord sur le fait que multiplier les comptes est assez lourd (j’ai pas mal de comptes rézos sociaux ou assimilables, parfois par choix, souvent par obligation pro ou loisir). Et que la centralisation simplifie cette lourdeur (par exemple “connectez vous avec Google”) mais multiplie les risques.
Ce que je trouve de pire c’est l’individualisation forcenée, comme facebook qui demande des comptes persos même pour les développeurs. Tout ça manque de pratiques sécurisées et respectueuses…
Le “alors” porte sur le moment de l’actualisation. Et effectivement, aucun justificatif de recherche d’emploi n’est demandé à ce moment là.
Ah oui effectivement.
Mais bon du coup c’est vraiment du vent: “On demande des justificatifs aux chômeurs, mais pas lors de leur actualisation”… Comme si le demander le 3 ou le 10 du mois ça changeait quelque chose. C’est uniquement pour faire croire qu’actuellement ils ne sont pas suivis.
Le
02/05/2018 à
11h
47
“Aucun justificatif particulier ne leur est alors demandé.”
Bizarre ça, j’ai déjà dû remplir des formulaires quand j’étais au chômage, avec la liste des entreprises contactés, les démarches effectuées…
Pareil quand des offres sont envoyés, il faut donner suite.
Peut-être que les sanctions sont inexistantes ou qu’il n’y a pas “assez” de chômeurs concernés, mais dire que rien n’est demandé…?
Alors ça je suis bien d’accord sur le problème, notamment pour les oeuvres musicales, de l’incontournabilité de la protection.
Cela dit c’est un sujet assez complexe, l’état protégeant généralement tout le monde de la même manière. On interdit par exemple de vendre son sang ou ses organes, et ça doit s’appliquer à tous, sous peine de pénaliser ceux qui n’ont pas le choix de le faire. Bon c’est un exemple un peu extrême " /> Mais l’idée de la mutualisation des droits est là. On peut aussi citer les bluesmen sur lesquels des studios ont fait des millions de \( après les avoir enregistrés pour 5\). Ok ils avaient signé le contrat…
Et ça n’empêche de trouver que les AD (les gros), sociétés de collectes ou taxeurs pour copie privée abusent de leurs droits ou proposent souvent des solutions pourries.
Mais bon dans le cas présent visiblement le photographe n’avait pas mis sa photo en copyleft ou CC ou je ne sais quoi.
Le
26/04/2018 à
13h
15
Tandhruil a écrit :
Personnellement, la notion de “culture d’état” ça me fait un peu flipper quand même…
Je citais un modèle, mais je ne le défends pas forcément. Il y a des périodes historiques où les artistes (dont beaucoup qu’on admire aujourd’hui) ne vivaient que du mécénat étatique…
Ce n’est évidemment pas souhaitable, surtout si on tient à la liberté de critique social via l’art. Mais les alternatives souvent évoquées, comme le mécénat privé (viens danser avec Danone) ou le culte de l’artiste pauvre (le tableau de ce sdf va si bien à côté de ma TV 105cm), ne sont pas terribles non plus.
Le
26/04/2018 à
12h
44
127.0.0.1 a écrit :
Par contre j’ai un problème avec les artistes qui vendent seulement un droit restreint de voir/utiliser leur oeuvre, tout en conservant la propriété de l’oeuvre afin de re-re-revendre toute leur vie (et celles de leurs descendants) d’autres droits restreints.
Le droit d’auteur c’est pas loin d’un combo DRM + Brevet + Héritage.
Du coup si tu mets six mois à enregistrer un album par exemple, faut le vendre une fois 9,90€ ou une fois 20.000€?
Parce que tu trouves que le vendre plusieurs fois 9,90 c’est honteux, mais ça me parait le plus équilibré non?
On raisonne dans un certain système économique, qui impose aux gens la rentabilité. Avec des trucs comme la culture d’état ou le revenu universel, on pourrait avoir d’autres réflexions.
Le
26/04/2018 à
12h
37
tpeg5stan a écrit :
Faire signer un mineur en l’absence de ses parents ? " />
Sur des concepts que 80+ % des gens de son âge ne comprennent pas ? " />
Signer une charte comme quoi tu respectes la loi ?" />
Le n’importe quoi " />
Je leur ai fait une petite lettre leur demandant combien d’enfants et de parents savaient ce qu’était une licence GPL. " />
Le
26/04/2018 à
12h
00
127.0.0.1 a écrit :
Offre/Demande.
Si le photographe veut faire payer trrèèèèès cher l’abandon de ses droits, c’est son problème. Il vendra moins de cliché, mais il les vendra plus cher. A lui de voir s’il travaille pour l’art ou pour manger.
Ah donc, dans le cas qui nous intéresse le photographe n’a pas abandonné ses droits, a priori.
(et dénigrer les gens qui veulent faire de l’art et manger, c’est mal. Les artistes qui ont renoncé à manger sont morts jeunes et n’ont pas produit grand chose)
Jarodd a écrit :
Elle le peut déjà, vu qu’il existe des milliers de sites web basés sur du code libre. C’est même tout l’intérêt.
Tout comme il existe aussi des centaines de livres qui présentent du code, notamment à des fins d’apprentissagse dudit code. Dont une bonne partie diffusés aussi gratuitement, voire librement, donc à but éducatif et sans intérêt lucratif.
Donc l’école ne devrait mettre en ligne que des photos libres de droit, non? (ou faire les démarches pour avoir les droits)
Le
26/04/2018 à
11h
33
crocodudule a écrit :
Il faudra aussi qu’à l’inverse de celui de la photo de Cordoue, les photographes s’interrogent sur l’intérêt d’attaquer une école qui dans le cadre d’un objectif éducatif et sans intérêt lucratif, utilise à titre d’accessoire une photo (interchangeable avec toute autre pour avoir parcouru le portfolio du “photographe”) et donne un peu de notoriété à un illustre inconnu en citant la source faute d’avoir pu trouver l’auteur en l’absence de toute mention.
Heureux d’ailleurs que les conclusions de l’Avocat Général aillent dans le sens d’une telle exception au droit d’auteur.
Pour l’intérêt d’attaquer une école, c’est sûr que c’est bof. D’ailleurs c’est l’intérêt d’un tribunal, il faut ajouter un mesure humaine à la loi. (rappel à la loi, euro symbolique…) Ca permet de ne pas permettre n’importe quoi dans un cadre général tout en adaptant les conséquences aux cas plus discutables..
Pour la notoriété, c’est un argument assez foireux, 95% de la population bosserait gratos pour se faire un nom…
Le
26/04/2018 à
10h
11
crocodudule a écrit :
On est d’accord, ça ou encore ils souhaitent créer une mini base des travaux des élèves destinées auX écoleS, une sorte de wiki-écolier. Bref l’intérêt pédagogique ou plus précisément éducatif me semble évident aussi.
S’ils se lancent dans un projet de cette envergure, il va falloir qu’ils se renseignent effectivement sur ce qu’ils ont le doit de faire. Et réfléchissent encore une fois à l’accès à cette base/wiki.
Le
26/04/2018 à
10h
07
Jarodd a écrit :
Diffuser un exposé sur le site de l’école, à part dans un but pédagogique, je ne vois pas… Probablement pour que les autres élèves (pas forcément dans la même classe) s’instruisent, voient le travail des autres, en discutent, le commentent, … Ou que les parents voient ce que font leurs gosses, c’est peut-être un travail préparatoire à une excursion en Andalousie ?
En tout cas personne ne parle d’argent là dedans (à part le photographe), donc dire que cela n’a aucune valeur pédagogique, j’en doute fortement, c’est une affirmation basée sur rien.
Encore une fois, l’accés peut être restreint. Il y a déjà des systèmes en place, comme je le disais. Les documents mis à dispo de mon fils le sont tous via une connexion. (et les parents ont aussi leur propre identifiant)
Les solutions existent et sont mises en place. Je ne vois pas pourquoi l’école pourrait diffuser publiquement des contenus qui ne lui appartiennent pas, à moins qu’ils se retranchent derrière les mêmes arguments que Youtube et autres, qu’ils ne sont que des fournisseurs de services, et rendent responsables les élèves des abus.
Dans ce cas je pense qu’il s’agit juste d’inattention ou d’incompétence. Mais un précédent ferait que toute oeuvre étudiée ou utilisée en classe deviendrait libre de droit, ce serait un peu chaud.
Le
26/04/2018 à
09h
41
Jarodd a écrit :
Donc sur quoi te bases-tu pour affirmer que cela n’a aucun but pédagogique ?
Parce que je n’y vois aucun but pédagogique, mais peut-être peux-tu m’éclairer?
L’élève a fait son boulot, l’enseignant ses commentaires, c’est un exposé donc les autres élèves l’ont vu, il peut être affiché dans l’école ou mis à dispo dans Pronote pour l’établissement…
Le site de l’école… non, je vois pas.
A part apprendre aux élèves, effectivement, qu’on ne peut pas publier tout ce qu’on trouve partout. " />
Le
26/04/2018 à
09h
37
127.0.0.1 a écrit :
Et tout le problème c’est qu’il a parfaitement raison… " />
Le droit qu’on accorde aux auteurs n’est plus du tout en adéquation avec les usages des oeuvres.
Une diffusion sur Internet équivaut à autoriser sans restriction une reproduction de l’oeuvre en milliards d’exemplaires, rendant par là même caduque le droit pour l’auteur à s’opposer à la reproduction de l’oeuvre.
Donc un photographe doit systématiquement facturer un usage illimité de sa photo, comme ça il aura été payé pour tous les usages pouvant en être fait… Ca va faire cher le cliché.
Le
26/04/2018 à
09h
28
Jarodd a écrit :
Tiens, ça c’est une idée qu’elle est bonne ! Faire payer les exposés, les devoirs, les rédactions ! Ben oui, les gamins sont des auteurs ! " />
Parce qu’une école n’est pas un lieu de savoirs et d’apprentissage, c’est une entreprise qui fait commerce des connaissances qu’elle prodigue " /> Il faut bien préparer les gamins à comprendre que tout est payant, que tout a une valeur marchande, et qu’ils sont là pour tirer profit de tout. Et ensuite, ils iront postuler à la SACEM ou au ministère de la Culture " />
goom a écrit :
Ce qui est intéressant, au delà de cette problématique, c’est qu’on va apprendre aux enfants à citer les sources, à aller chercher qui est l’auteur d’une photo, d’une vidéo, d’un dessin, de se demander s’ils peuvent utiliser tout ça pour illustrer un exposé, bref ils vont être très bons en droit d’auteur mais on se contrefichera du contenu même de l’exposé, on se fichera de l’importance de Cordoue dans l’histoire, des richesses de Cordoue, on se fichera de savoir si ça donne envie aux élèves d’en savoir plus sur cette partie de l’histoire de l’Espagne, on se fichera de savoir si l’exposé a permis aux élèves de travailler ensemble de mieux se connaître.
Non, on se demandera juste si on a bien respecté le droit d’auteur ! Triste monde …
Heu… vous vous gourrez de combat là. Le problème n’est pas l’usage par l’élève, mais la publication par l’école, qui n’a aucun but pédagogique.
Je crois que le photographe ne s’en prend ni à l’enseignant, ni à l’élève, ni à l’exposé. (et heureusement)
Le
26/04/2018 à
09h
04
Sans compter qu’en primaire l’école avait fait signé, à mon fils de 9 ans, dans le cadre de l’utilisation d’internet, une charte demandant qu’il respecte la propriété intellectuelle. " />
Le
26/04/2018 à
09h
02
Jarodd a écrit :
“Si une entreprise (dans ce cas une école)”
Tu es sérieux là ? Tu considères qu’une école qui publie l’exposé d’un élève est à considérer au même plan qu’une entreprise commerciale ? Ca signifie quoi, l’école “se met en valeur”, tu crois qu’elle va vendre les exposés des élèves pour se faire de l’argent ? Ou qu’elle aura une meilleure réputation, qui lui amènera de meilleurs élèves ?
Quelle tristesse de penser ainsi " />
Hum, les parents sont souvent incité à signer une autorisation de publication des photos de leurs enfants, faites dans le cadre des activités d’une école ou d”un centre/club de loisir, “en vue de la promotion des activités…” etc. Ok il s’agit de droit à l’image (de l’enfant) et pas de droit de l’image (du photographe), mais généralement c’est tourné ainsi.
Une application concrète et habituelle? Le journal municipal, certes informatif, mais aussi outil de propagande politique. Celui de ma commune est bourré de photos d’enfants et de travaux réalisés par les assocs et écoles de la ville, pour promouvoir notre belle jeunesse et les budgets qui y sont consacrés.
Ok, on peut distinguer les usages et les conséquences morales entre école et entreprise, mais à partir de quand on opère le distinguo?
Et puis si ce n’est pas pour se faire de la pub, l’école peut mettre l’exposé en accès restreint élève/parents. Dans mon cas nous avons des accès controlés, pour le travail fait à l’école comme pour les blogs de voyages scolaires.
On a quand même une petite collision entre données personnelles et open data là…
Si une analyse des masses de données permet de reconstituer l’emploi du temps d’un avocat sur 10ans, ça ne concerne plus la justice mais l’individu.
Je l’ai vécu des années, avec un cas beaucoup moins intrusif, car en temps que technicien du cinéma tous les employeurs allaient consulter l’imdb pour avoir notre CV en ligne. Bien géré, c’était souvent un avantage, mais il était parfois désagréable d’être exposé à tout un chacun par des données qu’on ne maîtrise pas totalement. (en principe on ne parle pas de TOUS ses projets à un employeur, ne serait-ce que par concision/clarté)
Là ça concerne des données avec un réel intérêt de publication, mais ça étend, d’une certaine façon, la surveillance généralisée, de manière directe (pour les personnes jugées) ou indirecte (pour les parties civiles, les professionnels…).
Mais si vous me demandez de quelle manière idéal on peut concilier information nécessaire et la protection des individus… je sais pô " />
Nan mais je comprends bien le concept commercial " />
C’est juste que bon… je ne vois pas trop la différence entre avoir son infra et ne pas l’avoir, si on n’a pas le droit d’y toucher. En fait c’est le double discours qui me gène: “nous avons notre propre infra, c’est une garantie” qui vient clasher avec “on peut pas y toucher”.
Edith: je répondais à au dessus du post de gchampeau, qui justement répond en partie à mon interrogation.
Le
23/04/2018 à
17h
10
SebGF a écrit :
C’est du matos spécialisé et maintenu par son constructeur, une pratique courante dans ce genre de cas. (souvenir d’un tech IBM qui s’était gouré de baie lors d’une intervention et a arrêté l’active et non la stand by… un chouette week end " /> )
Qwant possède et exploite l’infra, mais il permet aussi à son constructeur d’en assurer l’infogérence.
Qu’il permette au constructeur d’en assurer l’infogérance ok. Mais que le constructeur ne lui permette pas de redémarrer son matos… Pour moi c’est de la location. Je vois pas trop comment on peut “posséder” un truc qui disparait si le presta fait faillite ou rompt le contrat.
Que cela se fasse et que ce soit une bonne solution je veux bien l’admettre. Mais j’ai un souci avec “notre propre infra”, je ne vois pas trop la différence avec “pas notre propre infra”, du coup.
Le
23/04/2018 à
16h
27
Je suis pas trop calé sur ce sujet, mais j’ai du mal à comprendre comment on peut “faire son infrastructure” et ne pas pouvoir la redémarrer.
Il garantissent la vie privée mais n’ont pas d’accès physique à leur machine, et d’autres l’ont… ok c’est chiffré, mais en cas de conflit juridique, qui a accès aux machines?
Le sous entendu doit être que leur presta n’est pas un GAFAM, mais à part ça?
Ce qui sera chouette avec la biométrie, c’est que si tu es piraté tu n’auras plus le droit à rien…
Le
20/04/2018 à
08h
42
revker a écrit :
Autant je suis pour le fait de le signaler à la CNIL ou à l’éditeur du site, autant je ne vois pas pourquoi j’irais balancer cette information à NXI. Quel est le but ? Avoir une base de données des sites à éviter ?
La culture du secret, ça marchait dans les années 60.
Je vois pas ce qu’un éditeur va apprendre quand on lui explique le fonctionnement de son site. Quant à Naval group dont je parle, mon signalement à l’anssi date de plusieurs semaines, ils n’ont qu’à réagir, la boite se vante d’être spécialistes en sécu info…
Tant que tu mets pas le nez des gens dans leur caca, ils te disent que le parfum est très agréable.
Le
20/04/2018 à
07h
26
Il faut faire encore plus de pub à ces sites.
J’ai reçu il y a quelques semaine login+mdp en clair de la part de Naval Grouphttps://www.naval-group.com/fr/, suite à un contact 18mois plus tôt. Je l’ai signalé à l’anssi mais pas de réponse " />
Ma femme a reçu son mdp en clair de la part de Pôle Emploi, datant d’une inscription il y a 5 ans…
Comment demander aux assocs ou aux “petits” sites de gérer correctement ces données quand les mastodontes déconnent à plein tube???
Une société française peut très bien héberger ses données à l’étranger et à l’inverse Youtube pourrait très bien garantir sur les données stockées le sont en France, les deux ne sont pas corrélés.
Oui tu as raison il ne faut pas tout mélanger. " />
Cela dit y’a quand même une préférence nationale dans l’hébergement " />
Le
19/04/2018 à
12h
08
ErGo_404 a écrit :
La loi n’impose-t-elle pas justement qu’il n’y ait pas de préférence nationale ?
Concernant les données personnelles?
Le
18/04/2018 à
19h
45
carbier a écrit :
quelle est la plus value à savoir que 3 mois par an tous les français vont sur le site des impots pour remplir leur déclaration ?
Rien que ça c’est marrant " />
Dans une famille, les parents et les enfants vont tous aller sur le site des impôts, chacun leur tour? Je pense (peut-être me trompe-je…) que non, pourtant “ils sont tous français”. Si une partie seulement des internautes y va, il y a une information à en tirer. (au choix, nationalité, expatriation, étiquette chef de famille, majeur…)
Certes, cette info te semble négligeable. Sauf que c’est cette info (parmi d’autres) qui permet à Youtube de proposer de l’hébergement gratuit et des serveurs performants. Elle ne doit donc pas être si négligeable.
Le
18/04/2018 à
19h
33
carbier a écrit :
Effectivement il y a besoin de machine learning pour savoir que tous les ans les contribuables remplissent une déclaration d’impots (même les non imposables).
Priceless
La liste des contribuables (j’attends toujours un lien avec une liste publique d’ailleurs) est une donnée pouvant alimenter des bases ou des algos, pas un résultat.
L’exemple le plus simple, c’est de savoir où les détenteurs de compte google déclarent leurs impôts… C’est une info si évidente à trouver, sans le site du ministère?
707 commentaires
À Paris, porte-clefs connecté obligatoire pour les élèves d’un collège-lycée
23/07/2018
Le 23/07/2018 à 12h 26
J’espère que cette tentative va échouer lamentablement. Genre destruction massive des portes clefs.
Merci les startups disruptives, les fondateurs ont tellement séché l’école qu’ils n’ont pas lu 1984?
Concours des 15 ans : il vous reste jusqu’à demain soir pour participer et tenter votre chance
13/07/2018
Le 12/07/2018 à 07h 16
Je remets un petit com’ en consultant le site ce matin au boulot, pour décrasser les neurones et me tenir un peu au courant.
Sait-on jamais, même si en principe ça n’augmente pas mes chances, sur un malentendu…
Le 06/07/2018 à 09h 31
J’aime pas les concours, mais bon, il faut faire un effort pour un nouveau PC " />
NextInpact, c’est plutôt récent pour moi, et ça m’a accompagné lors de ma reconversion dans l’informatique. C’est une source utile pour suivre l’évolution de la société, mais aussi, je ne pensais pas à ce point là, un bon sujet de discussion lors des entretiens quand on parle de veille!
C’est aussi des commentaires largement plus intéressants qu’ailleurs.
Mais maintenant que j’ai un contrat vais-je rester abonné? " />
Le Sénat refuse d’interdire les publicités pour les aliments gras ou sucrés
02/07/2018
Le 03/07/2018 à 07h 47
Le 03/07/2018 à 07h 12
Les intox du gouvernement pour raboter le registre de lobbyistes
28/06/2018
Le 28/06/2018 à 08h 13
il est temps d’utiliser le Pastafarisme pour réduire ces débats à ce qu’ils valent.
Une sénatrice PS veut une suspension automatique des contenus illicites en ligne
19/06/2018
Le 20/06/2018 à 08h 08
Le 19/06/2018 à 17h 19
Le 19/06/2018 à 12h 19
durthu a écrit :
Qu’on donne des moyens à la justice d’agir rapidement pour ce genre de problèmes (création de postes, …)
et qu’on ne laisse pas les intermédiaires le choix de ce qui est licite ou non.
Alors oui, et je ne soutiens pas la proposition de cette élue. (automatisme=danger)
Par contre j’ai vécu un cas où nous étions plusieurs à signaler des appels au viol et au meurtre à l’encontre d’un mineur (qui n’avait pas de compte) sur Facebook. J’ai attendu 48h pour que Facebook réponde que “les propos n’enfreignaient pas la charte”. Pourtant ils étaient explicites et publics (pas besoin d’être “ami” pour les lire). En 24h la victime a vu son identité révélée à la suite des commentaires appelant à la violence. Bref, moralement et légalement c’était totalement hors des clous.
Il a fallu 1 semaine pour que la conversation soit supprimée suite à diverses interventions (dépôt de plainte etc.). C’est très court pour la justice, et suffisamment long pour causer d’énormes dommages.
Y-a-t-il une solution à ce genre de comportement, à part une responsabilité de l’hébergeur?
(Laisser les gens s’organiser pour commettre des crimes? Demander les coordonnées de tous les participants et les trainer en justice 6 mois après? Engager des gros bras pour menacer le détenteur du compte à l’origine des attaques? Embaucher un hacker pour supprimer son compte? Interdire les réseaux sociaux non modérés pré-publication?)
État d’Internet : l’Arcep veut chambouler les mesures de débits, vers un IPv6 à deux vitesses
06/06/2018
Le 06/06/2018 à 14h 44
Interdiction du portable à l’école : vers une extension aux tablettes et montres connectées
31/05/2018
Le 01/06/2018 à 09h 06
Le 01/06/2018 à 08h 08
Le 31/05/2018 à 15h 24
Le parcours du combattant pour nettoyer sa vie numérique
29/05/2018
Le 29/05/2018 à 16h 39
Merci des précisions!
Le 29/05/2018 à 16h 07
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Le 28/05/2018 à 14h 30
Ces services qui jettent l’éponge face au RGPD
24/05/2018
Le 28/05/2018 à 08h 37
Le 26/05/2018 à 15h 39
Le 25/05/2018 à 07h 26
Le 24/05/2018 à 14h 47
Il y a des coûts et des complications, évidemment, mais quand on entend certaines boites ayant de grosses équipes web et dev expliquer que c’est vraiment trop lourd à implémenter, en étant prévenu y’a déjà pas mal de temps, c’est un peu ridicule.
Y’a pas mal de cas où ça doit être tout simplement volontaire de ne pas s’y conformer… (pas par méchanceté mais tout simplement remise en cause du modèle éco)
Le gouvernement ouvre le code source de Parcoursup, mais pas ses algorithmes « locaux »
21/05/2018
Le 22/05/2018 à 14h 56
Le 22/05/2018 à 07h 32
Changez votre mot de passe Twitter, il a sans doute été enregistré en clair dans les logs
04/05/2018
Le 04/05/2018 à 07h 32
Dès 2019, certains chômeurs devront détailler leurs recherches dans un « journal de bord numérique »
02/05/2018
Le 02/05/2018 à 12h 30
Le 02/05/2018 à 11h 47
“Aucun justificatif particulier ne leur est alors demandé.”
Bizarre ça, j’ai déjà dû remplir des formulaires quand j’étais au chômage, avec la liste des entreprises contactés, les démarches effectuées…
Pareil quand des offres sont envoyés, il faut donner suite.
Peut-être que les sanctions sont inexistantes ou qu’il n’y a pas “assez” de chômeurs concernés, mais dire que rien n’est demandé…?
Un exposé scolaire diffusé en ligne reprend une photo sans autorisation : contrefaçon ou pas ?
26/04/2018
Le 26/04/2018 à 15h 51
Le 26/04/2018 à 13h 15
Le 26/04/2018 à 12h 44
Le 26/04/2018 à 12h 37
Le 26/04/2018 à 12h 00
Le 26/04/2018 à 11h 33
Le 26/04/2018 à 10h 11
Le 26/04/2018 à 10h 07
Le 26/04/2018 à 09h 41
Le 26/04/2018 à 09h 37
Le 26/04/2018 à 09h 28
Le 26/04/2018 à 09h 04
Sans compter qu’en primaire l’école avait fait signé, à mon fils de 9 ans, dans le cadre de l’utilisation d’internet, une charte demandant qu’il respecte la propriété intellectuelle. " />
Le 26/04/2018 à 09h 02
Open Data : le gouvernement veut imposer une large anonymisation des décisions de justice
25/04/2018
Le 26/04/2018 à 07h 32
On a quand même une petite collision entre données personnelles et open data là…
Si une analyse des masses de données permet de reconstituer l’emploi du temps d’un avocat sur 10ans, ça ne concerne plus la justice mais l’individu.
Je l’ai vécu des années, avec un cas beaucoup moins intrusif, car en temps que technicien du cinéma tous les employeurs allaient consulter l’imdb pour avoir notre CV en ligne. Bien géré, c’était souvent un avantage, mais il était parfois désagréable d’être exposé à tout un chacun par des données qu’on ne maîtrise pas totalement. (en principe on ne parle pas de TOUS ses projets à un employeur, ne serait-ce que par concision/clarté)
Là ça concerne des données avec un réel intérêt de publication, mais ça étend, d’une certaine façon, la surveillance généralisée, de manière directe (pour les personnes jugées) ou indirecte (pour les parties civiles, les professionnels…).
Mais si vous me demandez de quelle manière idéal on peut concilier information nécessaire et la protection des individus… je sais pô " />
Réorganisation, Arcep, loi Bichet du numérique : les pistes pour une autre distribution de la presse
25/04/2018
Le 25/04/2018 à 19h 15
Très intéressant!
Panne de Qwant : Éric Léandri nous explique les causes et les changements à venir
23/04/2018
Le 23/04/2018 à 18h 39
Nan mais je comprends bien le concept commercial " />
C’est juste que bon… je ne vois pas trop la différence entre avoir son infra et ne pas l’avoir, si on n’a pas le droit d’y toucher. En fait c’est le double discours qui me gène: “nous avons notre propre infra, c’est une garantie” qui vient clasher avec “on peut pas y toucher”.
Edith: je répondais à au dessus du post de gchampeau, qui justement répond en partie à mon interrogation.
Le 23/04/2018 à 17h 10
Le 23/04/2018 à 16h 27
Je suis pas trop calé sur ce sujet, mais j’ai du mal à comprendre comment on peut “faire son infrastructure” et ne pas pouvoir la redémarrer.
Il garantissent la vie privée mais n’ont pas d’accès physique à leur machine, et d’autres l’ont… ok c’est chiffré, mais en cas de conflit juridique, qui a accès aux machines?
Le sous entendu doit être que leur presta n’est pas un GAFAM, mais à part ça?
Les Échos stocke le mot de passe de ses utilisateurs en clair, mais ça va changer
19/04/2018
Le 20/04/2018 à 16h 07
Ce qui sera chouette avec la biométrie, c’est que si tu es piraté tu n’auras plus le droit à rien…
Le 20/04/2018 à 08h 42
Le 20/04/2018 à 07h 26
Il faut faire encore plus de pub à ces sites.
J’ai reçu il y a quelques semaine login+mdp en clair de la part de Naval Grouphttps://www.naval-group.com/fr/, suite à un contact 18mois plus tôt. Je l’ai signalé à l’anssi mais pas de réponse " />
Ma femme a reçu son mdp en clair de la part de Pôle Emploi, datant d’une inscription il y a 5 ans…
Comment demander aux assocs ou aux “petits” sites de gérer correctement ces données quand les mastodontes déconnent à plein tube???
Vidéo YouTube sur le site des impôts : une lecture à nouveau obligatoire… et automatique
18/04/2018
Le 20/04/2018 à 11h 42
Le 19/04/2018 à 12h 08
Le 18/04/2018 à 19h 45
Le 18/04/2018 à 19h 33