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Gnppn

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596 commentaires

Le 19/10/2018 à 10h 23

Ah j’ai mal compris. Aucune idée pour l’AppCenter, désolé.

Le 19/10/2018 à 10h 12

Il suffit d’entrer 0 dollar :)

Le 17/10/2018 à 11h 36

Google ne détaille pas la liste des applications concernées. Mais le Play Store est une Google App, donc il est en principe inclus dans la préinstallation payante. Il n’est pas fourni séparément.

Le 16/10/2018 à 15h 11

C’est 41 Tb/s de capacité mondiale, la totalité n’est clairement pas utilisée (il y a toujours une marge pour anticiper la croissance du trafic en réseau).



 Si le BND obtient son accès au PoP DE-CIX de Francfort, ce ne sera de toute manière qu’une fraction de ce chiffre. Sur les dernières 48 heures, le pic de trafic était à près de 6 Tb/s.

Le 05/10/2018 à 21h 03

Le dossier néerlandais (au moins lui) est quand même fourni. Après, qu’on le croie ou non…

Le 20/09/2018 à 12h 50

Je ne l’ai pas précisé mais oui, c’est taillé pour être réactif pour l’utilisateur malgré les couches de sécurité.

Le 14/09/2018 à 09h 07

Le câble coaxial, présenté un temps comme fibre par SFR :)

Le 30/08/2018 à 10h 26

Brève corrigée. La mention de Bouygues Telecom était erronée, il n’est pas annoncé sur le RIP AuvergneTHD.

Le 19/07/2018 à 09h 51

<img data-src=" />

Le 19/07/2018 à 09h 08

On me dit que le point est unique physiquement, mais je n’en ai pas la certitude. Ca peut être un point unique “logique”, je n’en sais pas plus pour le moment.



Comme je l’ai écrit, la qualité de service est la limite des offres FTTH professionnelles, d’où le fait qu’on parle d’offres professionnelles et non “pour entreprises”, qui implique une garantie de temps de rétablissement de 4 heures… Ce qui serait très difficile en FTTH pro, selon les opérateurs avec qui je parle.

Le 19/07/2018 à 08h 42

En gros, le FAI s’interconnecte avec ByTel via un point unique et loue chaque ligne à Bouygues Telecom, qui se charge de toute la technique sur son réseau. Le dernier effort pour le FAI, c’est de fournir sa box à l’abonné (en la configurant bien).



Il n’y a pas d’histoire de nœud de raccordement ou autre : le FAI collecte le trafic de ses abonnés “bitstream ByTel” sur un point unique, pour toute la France, et derrière il les connecte à Internet via son propre réseau, comme un client en propre.

Le 19/07/2018 à 07h 57

Vu qu’il s’agit du réseau grand public mutualisé, ce sera très sûrement une restriction juridique (je ne sais pas si les boites unipersonnelles y auront accès). Et je définis bien bitstream dans la deuxième partie.

Le 19/07/2018 à 09h 21

Parce que je ne vois pas l’intérêt de me lancer dans ce débat sur “une entité pour tout faire”. La fibre a d’abord été lancée par les opérateurs et les collectivités, avant toute décision nationale (le plan est venu après). L’État, de son aveu, n’aurait pas eu les moyens de lâcher les 20 milliards budgettés sur les réseaux publics et privés d’ici 2022.




 Donc je n'ai pas d'intérêt à me  hasarder là sur des questions comme "Et si FT était resté public sans   concurrence ?" ou "Une entité seule aurait-elle mieux fonctionné ?". Je  comprends ce que vous relevez, je suis le premier à avoir ce genre de  discussion avec les concernés, mais à part spéculer, je n'ai rien de  concret à fournir ici.

Le 19/07/2018 à 07h 34

Ça a fini devant l’Arcep et les tribunaux et ça a effectivement mené à des changements techniques sur le réseau.

Le 19/07/2018 à 07h 07







carbier a écrit :



Le problème ici c’est que le fibrage dépend du bon vouloir d’un opérateur privé (quand bien même il y aurait mutualisation) qui change de plan et d’avis tous les 6 mois en fonction de ses résultats opérationnels





Ce qui est faux, surtout depuis l’arrivée des engagements L33-13. Il y a eu une période de flottement à ce niveau, mais ça rentre dans l’ordre, justement parce que l’État serre (enfin) la vis là-dessus. Et le plan France THD, qui existe depuis cinq ans, consiste justement à planifier et coordonner les déploiements sur tout le territoire ; avec plus ou moins de bonheur certes, comme je le chronique en permanence.


Le 18/07/2018 à 19h 05

Selon les producteurs et industriels (InfraNum pour ces derniers), c’est surtout qu’au début des années 2000, les producteurs de fibre ont dimensionné leurs usines pour le pic de production. Ils s’en sont rapidement mordus les doigts quand la demande a baissé (ce qui arrivera après les plans nationaux actuels).



&nbsp;Donc là, ils dimensionneraient leurs outils pour la vitesse de croisière, quitte à avoir un moment (plus ou moins long) où ça coince. Ce n’est pas tant une “vengeance” que de la&nbsp; prévision de fabricants échaudés.



&nbsp;Et maintenant que la production est mondialisée, avec plus de la moitié de la fibre engloutie par la Chine (cf ce papier), il faut trouver le bon producteur en France ou à l’étranger. Comme le dit l’Avicca, les bonnes adresses commencent à se connaître.

Le 18/07/2018 à 16h 53

Je ne discuterai pas dans le détail, mais cette vision d’un France Télécom qui aurait tout bien fait, vite, et d’une situation actuelle catastrophique est caricaturale. Pareil pour les comparaisons internationales, où on ne donne qu’une vision générale sans voir tout ce qui rate dans le détail.



Orange, seul, n’aurait pas forcément eu les reins assez solide pour tout fibrer rapidement. Le coût pour les clients ne seraient sûrement pas les mêmes et, surtout, actuellement peu de décisions sur la fibre sont prises sans que l’opérateur historique n’y jette son œil en amont.



Le modèle actuel a ses défauts, comme la situation en AMII pendant trois ans et celui exposé dans l’article, mais jeter le bébé avec l’eau du bain ne sert pas à grand-chose. Surtout quand on arrive globalement à avoir un seul réseau à chaque endroit, ouvert et mutualisé, et que les coûts de déploiement baissent constamment.



N’oublions pas, non plus, que la fibre est loin d’être un objectif aussi important partout ailleurs. La France est un grand pays avec un habitat toujours bien dispersé, donc oui il y a des problèmes. Le pilotage n’est pas parfait, non plus. Mais est-ce qu’on aurait fait mieux autrement ? On ne peut rien affirmer avec certitude.

Le 06/07/2018 à 17h 46

Bien vu, il est ex-porte parole, c’est corrigé. <img data-src=" />

Le 03/07/2018 à 10h 22







Mr.Nox a écrit :



Et sinon, c’est hack dans le vrai sens du terme ou le truc marketing utilisé pour parler de piratage et qui n’a strictement rien à voir ?









dylem29 a écrit :



Je penche pour la deuxième position. <img data-src=" />





On parle vraiment de bidouille et de sécurité informatique ici ;)


Le 30/06/2018 à 08h 53

Mes connaissances des dinos… animaux préhistoriques ont fondu depuis mes 6 ans. C’est corrigé. <img data-src=" />

Le 30/06/2018 à 07h 46

Comme écrit dans l’article, SFR compterait contourner les copropriétés et les fibres mutualisées verticales. Ce qui crée des problèmes concrets de déploiement et maintenance, des exceptions (tel immeuble a-t-il été traité par SFR ? Avant, après la pose de la fibre mutualisée ? Orange a-t-il suivi le chemin via les conduite du cuivre ?) et des tensions avec les propriétaires (à long terme). Ce n’est pas rationnel, justement, selon l’Arcep.

Le 29/06/2018 à 14h 52

En principe, non, ce ne sera pas accessible.

Le 29/06/2018 à 14h 15

Modernisation de son réseau, indépendance (donc maîtrise en cas de problème) et éventuellement proposer la fibre plus vite que les concurrents dans l’immeuble en question.

Le 26/06/2018 à 12h 18

Le risque est une concurrence sur une infrastructure qui, dans les zones rurales notamment, a déjà assez de mal à se financer seule. Si un opérateur privé s’attaque aux zones couvertes par des réseaux publics, par exemple dans ses communes les plus rentables, il y a un risque d’asphixie.

Le 26/06/2018 à 07h 46


  • Pour continuer : même si les RIP sont déjà fibrés, il faut bien toujours une validation concrète, après demande des collectivités. Cela n’amènerait de toute façon rien en termes de commercialisation. Ce n’est pas parce qu’une zone est déclarée fibrée que les OCEN y viendront. Les accords opérateurs de RIP-OCEN se jouent au niveau national, en fonction de l’intérêt de s’interconnecter (en gros, combien de lignes tel opérateur doit gérer) et des contraintes techniques concrètes.

Le 26/06/2018 à 07h 43


  • On ne peut pas déclarer d’office les RIP en zones fibrées, tout simplement parce qu’il faut que le réseau soit effectivement déployé. D’autant que le réseau cuivre ne sert pas qu’à l’ADSL/VDSL, mais à d’autres services qu’il faut basculer sur la fibre, ce qui peut prendre du temps.

    &nbsp;De toute manière, il faudrait que l’Etat redonne du sens à la zone fibrée, après le vidage de l’Arcep, la réduisant à un simple prospectus. C’est là que la PPL Chaize peut être intéressante.





    • L’affaiblissement des RIP est un risque mais, dans la mesure où les collectivités choisissent les zones à mettre en jeu, c’est leur responsabilité de bien choisir.


Le 19/06/2018 à 17h 55

YouTube Premium est le nouveau YouTube Red, ça le remplace.

Le 19/06/2018 à 13h 38

<img data-src=" />

Le 14/06/2018 à 20h 21

Pour répondre :





  • C’est bien le sens de ce qui est dit dans l’article

  • Le tableau a été reprécisé, il évoque le réglage de l’agencement de l’interface par flux ou catégorie, ce que certains outils proposent, d’autres non

  • C’est noté :)

Le 12/06/2018 à 08h 57

Après discussion avec Alexandre Alapetite, l’option existe effectivement au fond (du fond) des paramètres de chaque flux, accessible via l’icône d’engrenage dans la liste des abonnements. La fonction est volontairement cachée par ses développeurs, pour des raisons “idéologiques”.



&nbsp;Il faut indiquer manuellement le bloc HTML du contenu, pour chacun. J’ai corrigé le tableau.

Le 12/06/2018 à 08h 49

Comme indiqué dans l’article, le but n’était pas d’absolument tous les mentionner. J’en avais pour l’année dans ce cas.

Le 12/06/2018 à 07h 46

Oui ça a été corrigé pour le thème sombre, comme indiqué. :) Pour le contenu original, FreshRSS ne le récupère pas après mes (nombreux) essais, sur une installation perso et sur Chère de Prince. C’est effectivement mentionné dans la documentation, mais impossible de trouver l’option dans le logiciel ou de constater son application. Je contacte les développeurs pour en parler. En attendant, je maintiens que l’option n’est pas présente/visible.

Le 11/06/2018 à 18h 42

Vraiment cool d’avoir pris du Material Design <img data-src=" />

Le 11/06/2018 à 15h 49

Par “App Android” ou “App iOS”, j’entends une application officielle ou directement adoubée par les développeurs. Le cas que tu mentionnes est dans la case “API”. :)



Et, oui, il faut installer Nextcloud pour accéder à l’application News.

Le 11/06/2018 à 15h 47

Merci encore, ce service m’aura tout fait. J’ai pourtant fouillé les menus et options pour être certain de tout avoir… Ça m’apprendra. De même que l’extension Firefox m’avait échappé dans le dépôt de Mozilla.



&nbsp;Le tableau est corrigé pour ces éléments. Je place le thème sombre en Plugin, vu qu’il faut l’extension Stylish pour l’appliquer.

Le 11/06/2018 à 15h 14

Le premier qui me vient en tête est Netvibes.

Le 11/06/2018 à 15h 11

Je viens de vérifier dans les fichiers et effectivement, il y est. Il ne m’était pas apparu dans les paramètres, my bad. Le tableau est corrigé. <img data-src=" />

Le 14/06/2018 à 13h 14

Dans notre discussion, il m’a bien précisé qu’il considère les start-ups comme un modèle viable et valide, mais pas pour ce projet. :)

Le 06/06/2018 à 14h 40

Réponse rapide : bof. La congestion sur la vidéo et le “surcoût client final” ont été brandis par Free et Orange il y a quelques années, quand la neutralité du Net n’était pas encore dans la loi. À l’époque, OVH disait que ces menaces sur les réseaux étaient des épouvantails sans fondement.



Aujourd’hui, le peering direct gagne en ampleur et les FAI et fournisseurs de services savent très bien s’entendre quand il faut, même si Free bataille dur, ce qui est légitime. D’autant que personne ne va au règlement de différend devant l’Arcep et que le dernier cas devant l’Autorité de la concurrence (Orange-Cogent) a posé une jurisprudence qui a calmé tout le monde (un FAI peut réclamer paiement pour redimensionner une interconnexion).

Le 06/06/2018 à 14h 08

Reformulé la phrase. En gros, l’Arcep dit que chaque écosystème logiciel sur smartphone ou objet connecté limite le choix des utilisateurs, par exemple en imposant un service par défaut ou en refusant certains services sur la boutique officielle.

Le 02/06/2018 à 09h 05

Merci pour le retour. C’est effectivement corrigé pour l’interface et les newsletters. J’ai oublié les options “Style” et la fonction newsletters&nbsp; à la rédaction de l’article…&nbsp;<img data-src=" />




Ceci dit, je continue de trouver que derrière la profusion apparente d'options pour l'interface, il manque toujours des choses habituelles, comme des thèmes d'autres couleurs, le centrage du contenu ou la possibilité de vraiment l'alléger visuellement (en supprimant certains menus contextuels ou la barre à chaque flux/entrée).

Le 01/06/2018 à 13h 54

C’est annoncé dans la documentation web, que je suis allé fouiller pour comprendre cette collecte de données. Ce n’est pas annoncé en termes clairs à l’ouverture de Mail.

Le 01/06/2018 à 11h 04

Pour avoir configuré plusieurs comptes ces derniers jours sur iOS et le web, ce n’est pas affiché dans la configuration initiale. Il faut bien se rendre dans les paramètres iCloud de chaque appareil pour le voir.

Le 01/06/2018 à 10h 45

L’article a été mis à jour.



L’interrupteur fautif est celui des Contacts dans les paramètres iCloud de chaque appareil. Comme tous les autres interrupteurs, il est activé par défaut et, même s’il est désactivé la plupart du temps, il suffit de le cocher une fois pour que tous les destinataires de mails stockés dans l’appareil soient envoyés à Apple. Le couper ne change rien aux données déjà en ligne.

Le 31/05/2018 à 11h 04







crocodudule a écrit :



On est pas aidé et ça vient de la CNIL en plus… C’est même désolant d’avoir reçu une telle réponse, déjà que j’avais une image déplorable de cette Commission, là c’est <img data-src=" />






 Histoire que ce soit public : j'ai vu la CNIL hier, on m'a confirmé que Spotify est dans son droit en me demandant un titre d'identité. Ceci dit, l'inéquité de requis entre le dépôt de données et l'accès semble bien être comprise comme un problème.      

&nbsp;





crocodudule a écrit :



tu dois en avoir plein le dos, mais maintenant que le RGPD est applicable, ça serait bien que tu renouvelles ta demande et sans pièce d’identité voir si la CNIL a intégré…






J'ai fait ma pause, je prépare un tour de requêtes dans les prochaines semaines, pour les sites que j'aurais manqué et pour accéder à mes données chez d'autres.    



&nbsp;





Oliewan a écrit :



La puissance du dark design dans toute sa splendeur…






Il y a une part de dark patterns, mais ce n'est pas le cœur du problème pour moi. Je suis intimement convaincu que c'est un profond je-m'en-foutisme sur la protection des données personnelles et l'accès par les utilisateurs qui est en cause.      






Rappelons-nous que les organismes publics et privés ont mis une éternité à comprendre les enjeux de cybersécurité (en général et sur les données perso), à force de scandales. Aujourd'hui, c'est bien intégré, et on commence à voir des sociétés passer d'une vision "C'est une obligation, ça coûte des sous, c'est chiant" à "OK y a peut-être moyen d'en tirer un bénéfice commercial".      






Le RGPD et ses 4 % de CA tombent comme un coup de massue sur la vie privée (et l'accès aux données), comme les fuites de Target, Yahoo, eHarmony et compagnie sur la sécurité. Là, "c'est chiant, ça tue l'innovation" tout ça. Dans quelques années, je suis certain que la plupart des entreprises y auront trouvé leur intérêt commercial, avec le RGPD comme base de base. C'est la volonté derrière le règlement, et àmha c'est parfaitement valide.   



&nbsp;





Kazer2.0 a écrit :



Après toujours des process différents en fonction des sites / comptes. Certains tu as un bouton, d’autre il suffit d’ouvrir un ticket support et d’autre un simple mail avec quelques informations (plus ou moins perso).






 C'est effectivement ce que je dis dans l'article. Et encore, je n'aurais sûrement pas fait de papier si c'était aussi simple.

Le 29/05/2018 à 15h 44

Je me suis basé sur les courriers fournis par la CNIL, tout simplement. Je n’ai pas toujours eu besoin d’invoquer la loi CNIL ceci dit.

Le 29/05/2018 à 15h 13

Je n’ai pas mis le début de la liste par hasard.&nbsp;<img data-src=" />

Le 29/05/2018 à 12h 52

Non, j’ai constaté une baisse directe. En gros, avant, en vidant toutes les deux, trois semaines mes spams, j’en avais environ 800900 en permanence. Peu après le début de l’expérience, ma boite spam était tout simplement vide, pour ne plus se remplir.



&nbsp;Je valide pour l’idée du cumul d’expériences :)

Le 29/05/2018 à 12h 37

Là c’est ProtonMail, qui redirige tous les “[email protected]” vers “[email protected]”, sans avoir à créer manuellement d’alias (ou “extension d’adresse” comme le dit zeguigui).

Le 29/05/2018 à 12h 25







bansan a écrit :



J’applaudis l’initiative en tout cas. Ça m’intéresse la feuille Excel ^^






Merci ! Je garde la feuille Excel, j'évite de communiquer la liste complète des sites sur lesquels je suis inscrit.&nbsp;:D  





&nbsp;



jo-hell a écrit :



Merci pour l’astuce de l’alias, je ne connaissait pas !&nbsp;



&nbsp;

De mémoire oui, ça vient après la partie “fixe” avant l’arobase. Donc c’est toujours effaçable par quelqu’un d’un peu malin. Je sais que ça fonctionne avec Exchange et ProtonMail.