Et ce que Free veut, c’est que Netflix lui file 30%, comme Canal, pour le droit d’avoir son application sur la Freebox TV, plutôt que 12% comme ce que Netflix paie les autres!
La preuve qu’à un moment, le problème finit par déborder sur Internet même !
(Et il y n’y aurait pas ce problème si les FAI n’étaient pas en situation de monopole effectif en tant que fournisseur de “boxTV” chez leurs abonnés Internet!)
Le
21/02/2018 à
16h
38
P.S.: Je n’ai pas suffisamment insisté sur le fait que les FAI, avec leur matériel non seulement “par défaut”, mais aussi souvent forcé, ne permettent pas à un marché de “box TV” d’émarger, et qu’ils priorisent par la nature même des box TV le contenu qui y est affiché.
Ceciest (presque) exactement ce qui se passe sur leurs box TV.
Le
21/02/2018 à
16h
23
Pourquoi Free s’arrogerait-t-il le droit de prélever 30% de l’abonnement Netflix d’un internaute lorsque ce dernier s’abonne par l’intermédiaire d’un ordinateur nommé Freebox TV (que l’internaute n’a même pas le droit d’acheter), alors qu’il n’aurait que dalle si l’internaute utilise un autre ordinateur?
Le
21/02/2018 à
16h
17
Les données de la chaîne en question ne transitent-ils pas par Internet?
De plus, la neutralité du Net essaie de rendre inoffensifs les conflits d’intérêts d’un FAI étant aussi un fournisseur de contenu.
Conflits qu’on voit ici, mais aussi dans le cas Free vs Netflix.
Il me semble que le plus simple est d’aller plus loin et d’interdire aux FAI d’avoir un tel conflit d’intérêts.
(On n’en est plus à la sortie de la Freebox, qu’est ce qu’un tel conflit d’intérêts apporte à la société?)
Le
21/02/2018 à
15h
52
Quel est le sentiment des gouvernements successifs par rapport à la neutralité du Net?
S’il est positif, comment se fait-il que les télécoms aient encore le droit de proposer des services audiovisuels ? (dans ce cas particulier, des “box TV”)
Le flux continu fait aujourd’hui l’objet de débats quant à son statut juridique et à sa légalité, malgré le développement considérable qu’il connaît depuis quelques années ainsi que la progression de la consommation de musique en ligne sans téléchargement qu’il a engendrée.En effet, le silence législatif concernant le sujet a mené à certaines tentatives jurisprudentielles pour clarifier le régime juridique applicable au flux continu, mais celui-ci pose toujours des problèmes relatifs au respect du droit d’auteur, notamment à travers le droit de représentation d’un auteur.Comme le dispose l’article L.122-1 du Code de la Propriété Intellectuelle, « le droit d’exploitation appartenant à l’auteur comprend le droit de représentation et le droit de reproduction ».D’après l’article L.122-2 du Code de la Propriété Intellectuelle, « la représentation consiste dans la communication de l’œuvre au public par un procédé quelconque, et notamment : 1° Par récitation publique, exécution lyrique, représentation dramatique, présentation publique, projection publique et transmission dans un lieu public de l’œuvre télédiffusée ; 2° Par télédiffusion. La télédiffusion s’entend de la diffusion par tout procédé de télécommunication de sons, d’images, de documents, de données et de messages de toute nature. Est assimilée à une représentation l’émission d’une œuvre vers un satellite. »Or, le flux continu peut être défini comme un procédé de représentation d’une œuvre via une télédiffusion par support numérique. Ainsi, pour être légal, il nécessite un accord préalable de l’auteur de l’œuvre pour sa diffusion, à travers le droit de représentation qui lui appartient.Ensuite, l’article L.122-3 du Code de la Propriété Intellectuelle pose le principe selon lequel « La reproduction consiste dans la fixation matérielle de l’œuvre par tous procédés qui permettent de la communiquer au public d’une manière indirecte. Elle peut s’effectuer notamment par imprimerie, dessin, gravure, photographie, moulage et tout procédé des arts graphiques et plastiques, enregistrement mécanique, cinématographique ou magnétique (…). »Toutefois, le flux continu se caractérise principalement par le fait que le fichier diffusé sur le site source n’est en principe pas stocké définitivement sur le disque dur de l’ordinateur du destinataire, mais seulement de façon temporaire dans la mémoire vive de son ordinateur. Par conséquent, le droit de reproduction doit être écarté des moyens de protection envisageables d’un auteur contre la mise en ligne de son œuvre sur un site de lecture directe. En effet, la reproduction temporaire dans la mémoire vive d’un ordinateur répond aux exceptions au droit de reproduction prévues par l’article L.122-5 du Code de Propriété Intellectuelle.D’après ce dernier, « Lorsque l’œuvre a été divulguée, l’auteur ne peut interdire :(…) 6° La reproduction provisoire présentant un caractère transitoire ou accessoire, lorsqu’elle est une partie intégrante et essentielle d’un procédé technique et qu’elle a pour unique objet de permettre l’utilisation licite de l’œuvre ou sa transmission entre tiers par la voie d’un réseau faisant appel à un intermédiaire ; toutefois, cette reproduction provisoire qui ne peut porter que sur des œuvres autres que les logiciels et les bases de données ne doit pas avoir de valeur économique propre.Toutefois, l’œuvre est reproduite sur le serveur du fournisseur de service et, à ce titre, une autorisation de l’auteur doit être obtenue. »
Je noterais que la situation est bien moins claire lorsque la technique employé est du téléchargement/streaming progressif (YouTube?) plutôt que du flux/streaming continu/direct !
Le
21/02/2018 à
11h
38
Je suppose que du point de vue légal le terme streaming (ou même “flux”) n’existe tout simplement pas?
Du point de vue technique, c’est vrai que ce n’est pas évident :
Il me semble qu’une distinction peut effectivement être faite entre d’une part :
- les protocoles de transmission de téléchargement (progressif ou pas) dont la priorité est de télécharger des données à l’identique en un temps inconnu (HTTP, FTP, torrent (Popcorn Time!)) ;
- et d’autre part les protocoles de flux qui vont dégrader la “qualité” de l’information pour des flux d’informations liés à un certain débit temporel, afin de minimiser les coupures de flux (RTSP).
D’un côte YouTube aurait utilisé un lecteur vidéo Flash utilisant du téléchargement progressif, ce qui pourrait expliquer pourquoi on y voyait une barre de téléchargement en cours de lecture, et aussi pourquoi la manière la plus simple pour copier la vidéo YouTube qu’on venait de voir était tout simplement de la copier depuis le dossier temporaire du navigateur.
D’un autre côté le lecteur Flash en question aurait utilisé le protocole RTSP (par paquets UDP) pour télécharger le flux en question, ce qui pourrait expliquer la capacité de la qualité de la vidéo à s’adapter à la bande passante?
Donc une combinaison des deux?
(Ce n’est pas clair pour moi non plus si la vidéo en HTML5 est du flux direct ou du téléchargement progressif… ou les deux??)
Voir aussi cette description de la vidéo en HTML5 qui fait la différence entre “HTTP Progressive streaming also known as progressive downloading” et “HTTP Live Streaming”
—-
Une autre distinction possible est le fait de garder ou pas le fichier téléchargé dans le stockage à long terme de l’ordinateur (même temporairement), ou juste dans les mémoires (temporaires parce que vidées quand le courant est coupé). CF l’article évoqué précédemment.
(Mais du coup, je suppose que donc YouTube (et Netflix?) ne seraient PAS du streaming?)
Il me semble si la loi voulait essayer de s’appuyer sur la technique, elle pourrait commencer par là…
Je comptais justement contacter ma CAF à ce propos…
(Merci pour votre travail sur le sujet!)
Comment mieux faire passer le message qu’on aurait surtout besoin d’informations sur le calcul sur lequel se baseraient des décisions futures prises par l’administration suite à un changement de situation ?
Il semblerait que la communication de l’algorithme en entier soit nécessaire dans pas mal de cas, et pas seulement la partie de l’algorithme servant à calculer une décision passée.
Mais cela semble compliqué à mettre en oeuvre pour les administrations où ces calculs pour prise de décision rassemblent plus à une usine à gaz !
(Bah, d’un autre côté je ne vois pas pourquoi c’est les citoyens qui en feraient les frais, les administrations n’ont qu’a se plaindre aux législateurs que leurs lois sont inapplicables au regard de la complexité et des moyens alloués ! )
“En complément à ce dispositif, le code source du logiciel utilisé pour ces calculs est en principe « communicable », lui aussi, sur demande. Mais ce type de fichier s’adresse quasi exclusivement aux informaticiens chevronnés, qui sauront interpréter ce document administratif (au sens de la loi).“Même si j’ai du mal à me voir comme un “informaticien chevronné” (quoique, au vu de la compétence de la population générale, je suppose que j’en suis un??), j’aurais bien aimé jeter un coup d’œil au code source du logiciel de prise de décision de ma CAF !Quelles sont les procédures à suivre?Quelqu’un à déjà réussi à obtenir ces informations?
“Vous en voulez d’autres ? La quête de la vie extraterrestre revenant dans chaque article sur les exoplanètes : il est en effet bien plus vendeur de parler d’une « possibilité de trouver de la vie », que d’une « éventuelle présence d’eau ».
Un billard à trois bandes associant diverses idées. Sur Terre, l’eau est ainsi un des ingrédients de la vie. Il y a possibilité de trouver de l’eau sur cette planète, donc de la vie. CQFD. On pourrait donc tout aussi bien titrer sur la possibilité de trouver des planches de surfs ou des bateaux. Pour rappel, la présence d’eau (sous n’importe quelle forme) ne veut pas dire que la vie s’y développe obligatoirement (voir l’exemple de Mars).”
—-
Il y a bien quelqu’un qui a fabriqué ces planches de surf / bateaux ! ;)
J'adhère de manière générale à l'article, mais il me semble que ce reproche est un mauvais example, qui jette le bébé avec l'eau (hihi) du bain :
On a des forts soupçons que la présence stable de l'eau liquide soit essentielle à l'apparition de la vie (du moins, telle que l'on la connait).
Et les deux critères soulignés sont essentiels : l'eau est liquide à la bonne température et avec une bonne densité pour créer un environnement très propice aux réactions chimiques (qui permettent à des systèmes dissipatifs complexes et stables de se former).
(Il y a aussi la curieuse aberration que l'eau est la plus dense à 4°C (en tout cas sous la pression de 1 atmosphere), ce qui fait que la glace flotte, qui forme une couche préservant la chaleur, et qui participe à la stabilité du système.)
Et ce qui est excitant avec le tout nouveau domaine de l'étude des exoplanètes, c'est que même avec des données très pauvres on peut spéculer sur le fait si l'exoplanète en question peut potentiellement avoir de l'eau liquide à la surface (et donc potentiellement de la vie!) - surtout que l'on a la chance d'avoir dans notre système Solaire en Mars et Venus deux contre-exemples de ce qui se passe si on s'écarte un peu trop de l'équilibre précaire nécessaire.
Il me semble que le problème qu'évoque l'article, est en fait l'incompatibilité fondamentale entre la méthode scientifique et la manière dont les êtres humains appréhendent le monde : c'est à dire à travers des histoires, récits, mythes (qui se basent eux, plutôt sur le déjà vécu et l'émotion).
Et le récit qu'un chercheur se construit lors de ses travaux est difficilement communicable au public lambda (qui, lui, a peu de chance d'avoir intégré la méthode scientifique)... surtout dans un court article de journal !
Et de raccrocher l'étude des exoplanètes à la potentielle présence d'eau (liquide - ce qui est sous entendu en français) à la potentielle présence de la vie me semble être un plutôt bon exemple de récit essayant d'intéresser le public général à la recherche scientifique !
(à cause de fort liens entre les trois évoqués précédemment)
(En tant que mauvais exemple de récit, j'utiliserais l'"Adolescent délinquant expert en climat" qu'a lié tmtisfree, qui se prétend rationnel, avec des "audits citoyens" et moult citations, mais qui n'hésite pas une seconde à anthropomorphiser le GIEC, jusqu'au titre et à la couverture, dans, visiblement, un but de dénigrement partisan (plutôt que de critique bienveillante) pour nous donner une image d'incompétence avant même la lecture du livre.)
La concurrence n’est jamais parfaite, mais là c’est un peu l’hôpital qui se fout de la charité, on a des télécoms parmi les moins chers au monde (et la pression que Free (et un peu les autres) ont mis au niveau de la concurrence doit y être pour beaucoup).
Tu n’as qu’a voir ce que les américains pensent de leur télécoms :
(D’ailleurs, le fait que chez nous ils soient alignés au niveau tarif, est justement un signe qu’il y a eu concurrence, si tu n’avais pas le choix de changer d’opérateur fixe là ou tu habites, il risquerait d’y avoir de sacrées différences entre une ville et une autre !)
Le
10/02/2018 à
14h
42
Commentaire_supprime a écrit :
Par contre, les forfaits avec Internet et un quota de… 50 Mo, je trouve que c’est du foutage de gueule, même sur les forfaits 2€. Une douzaine de courriels et adieu les 50 Mo…
Syma propose 1 Go pour 2 € avec 2h d’appels et SMS/MMS illimités, c’est déjà un peu plus utilisable.
Oui, enfin, quand Free s’est lancé dans la téléphonie mobile en 2012, le forfait à 2€ (pour 1h de voix et 60 textos) était surtout prévu pour contrer le forfait RSA “40 min d’appel + 40SMS pour 10€/mois” (et pas de données?) de la concurrence.
Malheureusement, l’arrivée de Free à détruit les MVNO intermédiaires, comme Zero Forfait proposant 0,5 Go pour seulement 10€/mois… (je rappelle que à l’époque le fair use était seulement à 3Go/mois pour le forfait de Free à 20€/mois…)
Mais par contre il fallait faire attention au hors-forfait chez Zero Forfait à 500€/Go !
Et c’est en hors-forfait que le forfait Free à 2€ était champion toutes catégories !
Avec, à sa sortie en 2012 Internet (en option) à seulement 60€/Go (100€/Go pour les premiers 0,02 Go),
le rendant utilisable comme dépannage quand hors de portée de WiFi pour ceux qui avaient un smartphone et savaient s’en servir
(et ceux qui ne savaient pas s’en servir n’avaient généralement pas un smartphone à l’époque)
et à seulement 0,01€/texto
mais surtout à seulement 3€/heure pour la voix (contre ~24€/heure chez les grands opérateurs)
Je n’ai jamais compris d’ailleurs pourquoi Free n’a pas insisté sur ce côté “on est huit fois moins cher que la concurrence en hors-forfait” !
zefling a écrit :Quelle est l’importance du public ?
Quelle est l’importance du public ?
C’est lui qui paie (en général?).
zefling a écrit :
Bha, y’a des séries produites par des studios japonais et des séries produites par des studios américains. Oui après 100% c’est de plus en plus rare, une partie de production est souvent externalisé dans des pays ou c’est moins cher.
Je me suis mal exprimé. Je voulais dire, il y a t’il vraiment un budget “type” pour les séries (qu’elles soient américaines ou japonaises)?
Le
11/02/2018 à
13h
12
zefling a écrit :
Personnellement, ce qui m’impressionne c’est de voir la différence de budget entre une série japonaise et américaine, c’est souvent un facteur 10 (voir plus) pour un épisode.
Dans quel sens?
Quel est le public visé? (En nombre et en pouvoir d’achat?)
Il y a t’il vraiment une série “type” (américaine ou japonaise)?
Une même série ne peut-elle pas avoir son budget exploser au fil du temps? (Je crois que c’est le cas pour Game of Thrones?)
Firefox et Opera supporte celles demandant des sidebars (merci, MERCI. Tree Style Tabs, te revoilà !) alors que Chrome l’interdit (pas de Tree Tabs ? boouuuhhhh), etc. alors bon…
mais, MAIS. Tree Style Tabs va pouvoir remplacer feu Tab Groups !?
je vais pouvoir passer à Firefox 57!?
merci, MERCI !!!
Le
08/02/2018 à
06h
44
Apple doivent encore être échaudés par leur tentative ratée d’utiliser des applications Web en tant que base d’applications pour les iPhones…
D’ailleurs des applications Web (qui vont bien plus souvent nécessiter une connexion Internet pour pouvoir fonctionner que des applications locales) ont du coup bien plus de sens sur des ordinateurs fixes que mobiles !
Bah au moins j’ai fini par avoir la fibre chez SFR pour 28€/mois.
Ce qui fait 13€/mois en moins pendant un an par rapport à leur tarif normal de l’époque.
Et ils m’ont même renouvelé la promo pendant encore un an quelques mois en avance
(ils ont dû s’inquièter que je parte ailleurs, avec raison car il faut dire que Free m’avaient appelés en été pour me proposer de passer chez eux avec une promotion conséquente… mais j’étais trop occupé à ce moment-là pour m’en charger
ou alors ils ont eu marre que je les appelle deux fois par semaine pendant 6 mois pour régler mon problème)
Je serais bien parti de chez eux, mais j’ai autre chose à faire…
Par contre entre le Wi-Fi en ce moment qui déconne à mort (et le routeur nb6 n’a pas le 5Ghz),
et SFR qui m’ennuie parce que plus d’un an après que je leur ai interdit le prélèvement automatique, ils s’en sont finalement rendus compte!
(et ils ne proposent pas le paiement par virement, du coup c’est “à la main” par carte bancaire tous les mois… pour lequel le paiement n’est même pas sécurisé!)
Je sens qu’ils vont enfin finir de me forcer à résilier !
Le
03/02/2018 à
16h
07
Mais le prix “régulier” veut-il encore dire quelque chose?
Oh, non, SFR est loin devant pour ce qui concerne inefficacité de leur SAV !
J’ai eu ça aussi, oufti il y a déjà “longtemps”
Je ne me souviens plus de tous les détails mais en gros
Te créer un compte feedly (j’ai utilisé une adresse mail différente de mon compte google)
Dans ton profile feedly (option logins) ajouter ton compte google
Avec gReader te connecter avec ton compte feedly (feedly cloud => connexion => continue with feedly => email + mot de passe créés au point 1)
Merci beaucoup, je ne sais pas pourquoi je n’ai pas pensé à essayer ça, j’essaierai…
raphke a écrit :
Ah murt je ne sais pas donner une réponse complète avec les réponses proposées
Service en ligne: Feedly Pro
et comme il n’y a pas de mode hors ligne (et que je n’ai pas X téras sur mon forfait data pour mon smartphone)
Application locale: gReader Pro (lié au compte Feedly)
Oui, il faut dire que j’ai dû probablement commencer les flux RSS avec Opera Mini, à la préhistoire des smartphones, quand les données coûtaient 1 000 à 10 000 fois plus cher que maintenant!
( 1€/Mo, et j’étais super content, jusqu’à ce qu’Orange change mon forfait mobile de force, et me fasse passer à 0,50€/minute ou connection ce qui a fait exploser le prix de mon forfait ! )
Mais je ne comprends toujours pas pourquoi les développeurs des applications mobiles pour smartphones ne prévoient que très rarement que leur applications puissent fonctionner hors ligne, car même aujourd’hui des coupures ou un réseau lent ça arrive fréquemment même en grande ville, sans parler de la campagne !
Le
31/01/2018 à
21h
00
Nozalys a écrit :
Merci pour ces quelques explications " />
et pour ces quelques exemples de blogs
En effet, ce fil de commentaires est une mine d’or !
" />" />" />
Le
31/01/2018 à
13h
45
Quelqu’un sait comment se connecter maintenant à Feedly à travers son compte Google avec gReader Pro sur Android ?
J’ai maintenant ce message d’erreur :
“Error: disallowed_useragent
This user-agent is not permitted to make an OAuth authorization request to Google as it is classified as an embedded user-agent (also known as a web-view). Per our policy, only browsers are permitted to make authorization requests to Google. We offer several libraries and samples for native apps to perform authorization requests in the browser.”
Oui, j’aurais dû insister là-dessus - ces approches peuvent (et doivent?) être complémentaires :
D’un côté un abonnement avec transfert “direct” de fonds pour les créateurs (presse ou autre : cf Patreon) qu’on apprécie beaucoup,
D’un autre côté des initiatives de type Flattr 2.0 pour les micro-paiements sur les autres sites (du genre un tutoriel sur un site qu’on aurait consulté qu’une fois),
qui non seulement ne nous pollueraient pas le cerveau comme le fait la publicité,
mais en plus en théorie devraient coûter moins cher comme intermédiaires !
(Pas eu le temps de rajouter à mon commentaire précédent :
Plus de détails sur comment Flattr 2.0 fonctionne (par un tiers) :
(En grande partie parce que les frais bancaires en plus de l’abonnement risqueraient d’être rapidement élevés, surtout pour les sites hors de l’Union Européenne!)
Mais heureusement, il existe d’autres alternatives que la publicité pour ce genre de micro-paiements :
avec Flattr 2.0 prend l’apparence d’un greffon de navigateur, qui espionne quels sites l’utilisateur visite, et à quel point il interagit avec eux, et envoie ensuite ces données à Flattr pour qu’ils sachent comment au mieux répartir l’argent de l’abonnement :
(Ca a l’air de faire un peu peur dit comme ça, mais, d’une part le code en question est open source, pas mal de précautions sont prises pour respecter la confidentialité; et d’autre part, si ce n’était pas évident, et même si ce n’est pas un argument qui a beaucoup de poids, Google et Facebook font bien pire !)
Oui, “planquer la merde sous le tapis” ça ne date pas d’hier et on pourrait citer bien d’autres exemples (l’amiante par exemple). Mais je ne vois en quoi “une merde sous le tapis” devrait rendre plus acceptable “une autre merde sous le tapis”.
La politique du “Y’a pire ailleurs” est une très mauvaise chose tendant à faire de plus en plus accepter ce qui ne devrait jamais l’être.
Qu’est ce qui te fait penser que j’ai voulu dire ça?
latlanh a écrit :
Attendez, on est tous d’accord, si c’est gratuit c’est que c’est toi la marchandise.
MAIS quel différence entre ce que fait Facebook et ce que fait google?
Non parce que c’est beau de taper sur FB parce que vous ne l’aimez pas, mais google fait la même chose, et ce ne sont pas les seuls….
Je vois pas bien l’intérêt de critiquer une boite qui fait de l’argent…
Les gens qui utilisent FB y gagne quelque chose non? Sinon ils ne seraient plus sur FB.
Et si le fait d’avoir des pub et que leur info soient revendu ils n’en avaient rien a faire, quel serai le pb?
gavroche69 a écrit :
Même remarque, je ne vois pas en quoi les excès de Google rendent plus acceptables ceux de FB… " />
Bah, déjà, on est en train de commenter un article qui parle spécifiquement de Facebook.
Mais c’est vrai que en tant qu’autre agence publicitaire monopolistique transnationale, Google souffre de mêmes travers.
Par contre, c’est aussi pour ça que j’ai pris l’exemple de l’industrie du tabac pour la comparer à Facebook :
ne pas utiliser Google (Le moteur de recherche) est bien moins socialement handicapant que ne pas utiliser Facebook !
P.-S.: Et voilà, 3 heures de perdues…
Le
02/02/2018 à
10h
29
joma74fr a écrit :
« Nos applis sont irrésistibles, elles captent toute notre attention. Elles ont le don de jouer avec nos émotions et de nous rendre addicts. La plupart des applications telles que Facebook, Twitter mais aussi l’autoplay de Netflix, nous manipulent pour mieux nous retenir. Leur objectif premier : grignoter notre emploi du temps plutôt que de nous aider vraiment.
À quand des applis plus éthiques, moins chronophages ? »
En effet, la preuve - j'ai perdu deux heures de mon temps ce matin à lire comment Facebook fait perdre leur temps aux gens !
Oh merde… peut-être qu’il y a une ironie dans cette histoire et je devrais plutôt me mettre au trava- ooh, un lien Slashdot par Graphico !
Le
02/02/2018 à
10h
24
gavroche69 a écrit :
Peut-être simplement parce qu’ils jouent sur l’ignorance des utilisateurs qui ne sont pas forcément conscients qu’ils sont “vendus” comme une vulgaire marchandise ?
Certes, ça ne dédouane pas entièrement ces utilisateurs mais sur le plan éthique c’est pas vraiment un modèle…
Surtout quand les responsables clament haut et fort qu’ils ne pensent qu’au “bien-être” de leurs clients.
Maintenant on peut aussi trouver normal que tous les moyens sont bons pour faire des montagnes de fric et qu’il n’y a rien de mal à ça.
C’est d’ailleurs un principe qui semble de plus en plus admis par les temps qui courent mais on est pas obligé d’être d’accord avec ça.
Oui - il y a une cinquantaine d’années, l’industrie du tabac n’était-elle pas dans une situation similaire?
Avec les dangers de fumer étant considérés comme négligeables sur la santé,
et en plus le fait de fumer étant vu comme socialement désirable,
voire même des fois obligatoire pour s’intégrer socialement au travail ?
(que ce soit de manière active, ou passive en respirant la fumée des autres lors de la pause)
L’argent n’est pas “aspiré”, il est volontairement échangé contre d’autres biens/services qui ont une valeur plus élevée (par définition, sinon on n’aurait pas fait d’échange).
Pas forcement car la valeur réelle est souvent inconnue pour au moins une des deux parties car il y a en général un déséquilibre informationnel (qui a tendance à avantager la partie la plus riche). C’est une des boucles de rétroaction positives.
tmtisfree a écrit :
Plus de 97% de la valeur économique produite et sociétalement utile est captée par la société elle-même, c’est à dire que les entrepreneurs/artisans/etc. ne captent que 2 à 3% de ce qu’ils produisent. Une sacré inégalité…
Il va falloir que tu donnes une explication plus étendue (et que tu dise d’où tu sors ces chiffres) car cette phrase ne semble avoir aucun sens - la société (dont les entrepreneurs/artisans/etc. font partie), par définition, ne produit-elle pas et ne capte-elle pas 100% de la valeur?
tmtisfree a écrit :
Il n’existe que des monopoles artificiels, créés par les gouvernements. On n’a aucun exemple de monopole naturel.
Intéressant, donc la position dominante de Microsoft, pour laquelle il a été condamné par l’Union Européenne, a peut-être été crée par l’UE elle-même? Quid des positions dominantes des GAFA? De Steam (plus une monopsonie, certes)? De la Standard Oil?
tmtisfree a écrit :
R. Coase a montré que la plupart de ces externalités n’existaient pas quand les droits de propriétés sont suffisamment définis. Pour les rares cas où ces droits ne peuvent pas être définis simplement (typiquement pollution), les analyses coût/bénéfice montre que le marché est encore capable de mieux faire moins cher et plus rapidement que la régulation/intervention étatique.
Des exemples historiques concrets ?
Parce que j’ai l’impression que c’est le genre de théories économiques qui assument des conditions qui n’existent que très rarement dans la vie réelle !
En théorie, l’abolition de la propriété privée était sensée libérer l’homme de l’aliénation… mais l’histoire a montré que la tentative de mise en pratique de cette théorie par les communistes a plutôt donné les effets inverses !
Le
31/01/2018 à
22h
02
anagrys a écrit :
La toxicité du glyphosate est plus faible que celle de l’acide acétique (en vente libre dans tous les supermarchés) , la caféine (idem), l’éthanol (présent en grande quantité mais à la consommation réglementée)
D’après le classement du CIRC il est considéré comme moins cancérigène que la charcuterie, la viandre grillée ou quelques produits que j’ai cité plus haut.
Peut-être, mais tous ces produits ne sont pas massivement répandus sur les exploitations agricoles…
Le
31/01/2018 à
22h
00
tpeg5stan a écrit :
du coup je reprends ta métaphore douteuse, mais si jamais tout le monde a le label « aryen », sauf deux ou trois « indésirables », tu crois qu’il va leur arriver quoi ?
Dans un domaine plus sérieux, les pellets pour les poëles à granulés de bois ont des normes, notamment Din+ allemande et ENplus européenne. Au début, forcément, seuls quelques sachets avaient l’appellation, aujourd’hui il est inconcevable d’acheter un produit sans ce label. Les normes qualité ont souvent tendance à s’imposer et à exclure les produits ne l’ayant pas.
Mais est-ce forcement une mauvaise chose?
Je n’aurais peut-être pas dû m’aventurer sur le terrain des Nazis, la stigmatisation d’une partie de la population est un problème politique et éthique épineux…
Pour ce qui concerne des produits, un concurrent ne respectant pas le label mais beaucoup moins cher n’aurait-il pas une chance?
Il y a aussi souvent une compétition entre labels, qu’en est-il de ceux qui disparaissent car non économiquement viables?
Le
31/01/2018 à
21h
46
Magyar a écrit :
Aujourd’hui beaucoup de monde à un adblock. Mais encore une fois, un adblock ne bloque que les pub, et non les traqueurs. Cela à même un effet pervers, puisque les adblock au finale suppriment la seule partie visible de l’iceberg.
Ca dépend des bloqueurs de pubs… Par exemple, je peux dire à uMatrix de bloquer tous les cookies et/ou scripts du site en question… (ou des serveurs tiers qui se chargent à mon arrivée sur le site):
L’utilisation même du terme “pouvoir” par l’auteur dénote sa totale incompréhension du mécanisme à la base de l’économie : l’échange est volontaire et mutuellement bénéfique, sinon par définition il n’aurait pas lieu. Le seul pourvoir est entre les mains du client : il vote avec son porte-monnaie. C’est le seul système électif qui soit juste, fiable et qui garantisse (du fait du grand nombre d’intervenants) que les offrants “se tiennent à carreau” (c’est à dire offre le meilleur service/produit possible).
Laisse-moi rire…
Le pouvoir économique ça n’existerait pas? (Pourquoi vouloir évacuer ce terme ?)
Le marché libre d’un système capitaliste un système électif juste? Alors que les “votes” dépendent de l’argent dépensé? Et que l’argent est aspiré vers le haut, vers ceux qui sont déjà les plus riches? Une boucle de rétroaction positive, qui d’ailleurs sans régulation crée rapidement des monopoles ou des cartels et détruit le marché libre en question?
Et les offrants n’ont aucune raison de se tenir à carreau pour ce qui concerne les externalités négatives (pollution dont ils ne souffrent pas ou peu, etc.)
tmtisfree a écrit :
Ce qui est parfaitement ridicule comme restriction, et la raison pour laquelle cet écran de fumée est inutile à ce niveau : les données et leur libre circulation sont bien plus en danger par ceux (les États) qui tentent d’imposer ces pseudo-réglementations fumeuses.
C’est incroyable le nombre de gogos qui tombent dans le panneau.
Tu aurais des exemples de ces dangers dans les démocraties sociales ?
Parce que au niveau des FAI, on sait déjà ce que ça peut donner sans régulations !
N’y aurait-il pas une différence significative entre créer un label “aryen élevé en plein air” (désolé) (même réglementé par la loi) et forcer par la loi tous les juifs (et autres “indésirables”) à porter un signe distinctif ?
AMHA, les labels (que ce soit cette initiative ou les bio) sont une bonne solution tant qu’il n’y a pas consensus très majoritaire sur les valeurs qu’ils représentent, car ils sont un cran en dessous au niveau “dirigisme” par rapport à une réglementation pénalisant toute non-conformité au label devenu loi.
Et d’un autre côté, la neutralité du Net (qui agit surtout au niveau des FAI, pas des sites) est un bon exemple de réglementation - restreindre le marché libre s’avère souvent nécessaire…
(D’ailleurs tu avais dénigré les élections - qui ont, oui, permis d’amener Hitler au pouvoir - mais difficile de trouver des systèmes politiques moins dirigistes !)
Personne ne peut connaitre en détail le fonctionnement de tout ce qui l’entoure, les réglementations et les labels permettent d’avoir une certaine confiance (qui peut bien sûr être abusée de temps en temps), alors que ce qui est invisible, ne peut, par définition, déranger.
Le
30/01/2018 à
06h
38
Mais est-ce que c’était une alternative Framasoft ?
(Et pourquoi est-ce que NextInpact ne précise pas la source de l’image ?)
* Plateformes techniquement verrouillés pour retrouver un marché fermé - “labellisé” comme celui des décodeurs sat - via notamment les DRM Google (WideVine) et autres (incompatibles & concurrents) , qui permet de se créer un marché biface très très lucratif mais au détriment non seulement du choix des usagers , mais aussi de la pérennité (ex : Les “tv connectés” dont certaines applis ne marchent suite à des changements d’implémentation, sans suivi de la part des fabricants , j’ai des exemples chez sony & samsung au moins). Netflix est un bon exemple de ça aussi C’est quelque chose qui n’existe pas autant dans le monde musical.
Avant, je m’inquiétais de la spécificité des films et séries, qui ne sont en général vus qu’une fois - contrairement à la musique, les jeux vidéos (et même les livres qu’on ne lit généralement pas d’une traite)…
Mais depuis que Netflix et consorts ont forcé la main au W3C pour standardiser les menottes numériques sur la Toile, ils peuvent aller se faire voir !
(Mais peut-être qu’une autre époque y sera plus favorable?)
Le
31/01/2018 à
18h
16
tpeg5stan a écrit :
Plus sérieusement, c’est vrai que le torrent n’est plus ce vers quoi va se tourner spontanément le pirate du dimanche, le streaming a de plus en plus la cote, de ce que j’ai été en mesure de constater.Comment faire pour lutter contre est une autre histoire… Quant à la valorisation de l’offre légale, lol.
Tu peux aussi faire du streaming par torrent, voir Popcorn Time et Project Butter.
Et ça se fait de manière transparente pour l’utilisateur… ce qui peut poser un problème quand on sait que les systèmes pair à pair sont bases sur le partage ! - d’où peut être bientôt une solution comme Flixxo,
qui permettrait de rémunérer (entre autres) ceux qui seedent :
Ah oui, je me disais aussi que c’était curieux qu’un gestionnaire de paquets n’existait toujours pas sous Windows !
En fait il y en a bien !
Alors pourquoi est-ce que les développeurs Windows ne semblent pas l’utiliser ?
Est-ce parce que Microsoft ne l’a pas mis en avant?
(Ce qui se comprend si le but de Microsoft c’est de se débarrasser de Windows au profit de la Tuile où ils raflent ~30% des revenus…)
Le
25/01/2018 à
22h
03
Exactement : ce qui a permis à Steam de rester populaire et de se lancer dans la vente de jeux tiers, (et à Valve d’arrêter de faire des jeux), c’est qu’il avait un système de mises à jour automatique bien pratique… ce que Windows (au contraire de Linux ?) n’avait pas (et n’a toujours pas !)
Le
25/01/2018 à
15h
57
Excellent ! C’est exactement ce que je cherchais il y a quelques années… quand j’avais encore le temps pour les jeux vidéos ! :‘(
P.-S.: Qu’ en est-il pour le support des magasins de jeux de réalité virtuelle, tels Oculus et Viveport ?
Quelqu’un sait comment se connecter maintenant à Feedly à travers son compte Google avec gReader Pro sur Android ?
J’ai maintenant ce message d’erreur :
“Error: disallowed_useragent
This user-agent is not permitted to make an OAuth authorization request to Google as it is classified as an embedded user-agent (also known as a web-view). Per our policy, only browsers are permitted to make authorization requests to Google. We offer several libraries and samples for native apps to perform authorization requests in the browser.”
Avant que le RFID ne se généralise il a aussi fallu régler des problèmes de ce type, et au début c’était aussi de la science fiction de se dire qu’on pouvait lire et transmettre des informations sans fil vers un tag complètement passif.
Ouais, enfin des appareils de ce genre (quoique analogiques), ça remonte à bien plus longtemps !
EDIT : Bordel, ça serait pas la moindre des choses que l’éditeur de commentaires soit vraiment WYSIWYG et n’enlève pas arbitrairement les saut de ligne et/ou le gras et les italiques?
Commentaire_supprime a écrit :
“
Quelqu’un avait posté des liens ici avec l’explication technique, s’il veut les remettre, il est le bienvenu. ”
“Quelqu’un”… (il faut suivre un peu…)
“les membres du cartel avaient des amendes si leurs ampoules duraient trop longtemps !”
“Source ? ”
" />
Donc en fait non seulement tu ne suis pas, mais tu n’a même pas vu le documentaire dont on parle?
“D’ailleurs, les ampoules de la concurrence hors cartel Phoebus n’ont jamais duré plus de 1000 heures de fonctionnement, pour des raisons bien évidemment techniques.”
D’après le documentaire, quand le cartel fut fondé, les fabricants annonçaient des durées de vie de 2500 heures. (et en bons publicitaires, insistaient en même temps sur la longue durée de vie ET efficacité)
joma74fr a écrit :
Le terme “amende” me semble un peu fort. J’imagine aisément que leur accord comportait des pénalités, mais ce n’est pas très différent de n’importe quel partenariat commercial.
“fine” se traduit bien par “amende” en français.
On voit sur le tableau de mai 1929 qu’ils payaient une amende en dessous de 800 heures et au-dessus de 1500
(les amendes en dépassement semblent être bien plus fortes qu’en manque : 5 francs / mille ampoules vendues pour 600-800 heures et 1550-1560 heures ;
Philips avaient proposé une amende de 20 francs / mille ampoules vendues pou 1350-1500 heures et 50 francs / mille ampoules vendues pour 1500-2000 heures)
P.S.: Je vois que megabigbug m’a “ninja” (le temps que j’écrive cette réponse) et a trouvé une troisième source d’informations… (que je ne suis pas encore allé voir - mais il y a des fortes chances que les trois se basent sur le même tableau…)
“
Quand Apple fait la même chose avec ses batteries en ralentissant le fonctionnement des iPhone anciens par des modifications logiciel, Apple n’oblige pas ses concurrents Android à faire de même : un appareil Android ancien fonctionne sans ralentir, il dysfonctionne peut-être de temps à autres. ”
En effet, mon Nexus 5 s’est mis a mieux fonctionner avec les mises à jour les années après sa sortie (tant qu’il y en avait…).
“D’ailleurs pourquoi Apple n’a pas informé ses clients dans les notices d’emploi de ses appareils ? Pourquoi un iPhone ancien devrait ralentir par l’action volontaire du fabricant plutôt que de voir des applications se fermer inopinément ?”
Parce que la philosophie d’Apple, c’est “ne vous tracassez pas, on s’occupe de tout”.
Sauf qu’ils se sont bien ratés ce coup-ci…
ce qui ne leur ressemble pas trop d’ailleurs !
il y a des rumeurs qui courent comme quoi il y a eu des défauts dans la fabrication des batteries des iPhones 6 -
et qu’Apple ne voulant pas y attirer l’attention, a donc d’une part :
- banni les applications qui permettaient de mesurer l’état de la batterie, et d’autre part :
- mis en place cette modification
(qui d’ailleurs, bien implémentée, avec l’utilisateur au courant, serait probablement une bonne chose!)
Avec toutes les procédures judiciaires qui leur tournent autour, on en saura avec un peu de chance un peu plus sur ces spéculations…
And any company that broke the cartel was threatened with fines.
It’s incredible because, actually, when you look at the rules that have been written down.
This is called “basis of fining”: it says if it lasts 20 hours more, you’ll be paying so much money. 50 hours more, a higher amount.
Merci beaucoup, mais ce journaliste…
D’abord il ne regarde pas le bon côté du graphique
(qui concerne les propositions de Philips, et pas les amendes finalement adoptées)
et ensuite 20/50/75 ce n’est pas les heures en plus,
c’est le tarif des amendes !!
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(en francs suisses, par 1000 ampoules vendues -
ça serait intéressant de traduire ça en € 2018 d’ailleurs, ainsi que le prix/profit sur les ampoules…)
(pitié, dites-moi que c’est moi qui n’ai pas bien compris, plutôt que ce soit les journalistes de la BBC qui soient incompétents !?
J’étais tenté par regarder le reste du documentaire, mais là…)
OlivierJ a écrit :
N’importe quoi.
« Delaigue est un économiste français, ancien élève de l’École normale supérieure de Cachan, agrégé d’économie et de gestion, professeur à l’École spéciale militaire de Saint-Cyr et professeur d’économie à l’université Lille 1. »
Oui, j’avais mal interprété le commentaire de joma74fr…
C’est encore pire s’il est normalien… je commence à comprendre les critiques sur les grandes écoles en France (même si j’espérais que les ENS sortent du lot - ou c’est juste un problème avec les économistes?)
“Les autres sont d’un meilleur niveau, mais je ne peux m’empêcher de penser qu’il s’agit de rationalisations :
comme par hasard ils ne parlent pas du passage du documentaire où on voit que le cartel de Phoebus infligeait des amendes à ceux de ses membres dont les ampoules dépasseraient un certain nombre d’heures.”
Double “LOL”.
ben oui excuse-les d’être rationnels, face au n’importe quoi du docu.
“Rationalisation” dans le sens d’utiliser la logique pour trouver des excuses, des faits, des arguments qui supportent notre point de vue (ou qui justifient nos actions), sans considérer suffisamment d’autres faits, arguments et points de vue.
“2) “comme par hasard”, la jolie phrase complotiste… Ben oui c’est pas la question. ”
Ah si, c’est justement la question !
Toi non plus tu n’a pas regardé le documentaire?
“Il y a bien eu un complot parmi les fabricants d’ampoules, et ils ont même été condamnés pour ça (le fait qu’ils aient été au final condamnés pour l’entente sur les prix plutôt qu’une entente sur autre chose - comme la durée de vie des ampoules - n’a pas d’importance au vu de la preuve des amendes précédemment citée).”
“Oui, pour une fois il y a eu une forme de complot, décelé manifestement. Et ton ” n’a pas d’importance “, ben si justement ! ”
La justice n’est pas parfaite. Elle n’avait peut être pas la possibilité de les condamner pour ça.
Mais si cet élément ne vous convainc pas, on peut le négliger.
“l’obsolescence programmée est au cœur de la société de consommation”
“NON.
Relis les articles bon sang.”
Et toi, les a-tu lu avec attention?
Quelques citations de ton deuxième lien :
“Pour d’autres, la notion recouvre un domaine plus large correspondant à la définition de la wikipédia anglophone : “policy of planning or designing a product with a limited useful life, so it will become obsolete, that is, unfashionable or no longer functional after a certain period of time.” Cette définition “large” inclut d’autres types d’obsolescence concernant des aspects partiellement liés au comportement des consommateurs (comme l’obsolescence esthétique, la mode), au business model du produit (vendre de l’encre plutôt que des imprimantes par exemple), ou carrément aux sauts technologiques.
Il est clair que l’obsolescence au sens large existe : rien que là sous mes yeux il y a deux laptops, une mini-chaîne, deux appareils photo numériques et trois téléphones portables non utilisés depuis des mois, en état de marche ou réparables “facilement”. Mon galetas regorge de livres comme “Programmer en Portal” ou “la Bible de Windows 3.1”. Et les armoires de mes filles contiennent encore quelques fringues de l’année passée, immettables cette année parait-il.
Mais cette obsolescence est-elle programmée, au sens strict ?”
“Conclusion.
L’obsolescence au sens large existe manifestement, mais je ne suis toujours pas convaincu qu’elle soit “programmée”, au sens strict. ”
2show7 a écrit :
Je vois que pour l’obsolescence programmée, vous gardez chacun votre position (dans un sens comme dans l’autre).
Bah, comment veux-tu qu’il y ait un débat constructif
quand l’une des parties en présence,
s’acharne à attaquer une définition que l’autre partie ne soutient pas de manière générale,
et en plus ignore les arguments que l’autre donne pour les cas particuliers de cette définition?
(arguments présentés dans le lien que donne l’article de NextInpact !)
Bonjour l’esprit critique (en prenant la définition de Commentaire_supprime) !
(Et en plus elle semble refiler des liens vers d’autres arguments sans même les avoir lus avec attention / ne lit pas avec attention les arguments dans les liens qu’un membre de la partie a donné !)
Ça frise le troll…
Les pires ennemis de la rationalité / esprit critique / zététique, c’est ses apôtres qui ont visiblement raté une partie de la formation, et qui, dans leur ferveur religieuse (ou sentiment mal-placé de puissance) en emploient les connaissances sans disposer d’une humilité ou sagesse suffisante…
Commentaire_supprime a écrit :
Un de mes potes à qui j’ai parlé de cette info m’a dit que les normes sur les ampoules électriques établies par le GOST soviétique (leur organisme de normalisation) en 1931 pour les appareils électriques grand public imposait lui aussi une durée de 1000 heures… Sachant que l’URSS a été une économie de pénurie jusqu’à sa disparition fin 1991, si cette durée avait été choisie pour des raisons commerciales à l’Ouest, elle aurait été forcément supérieures pour les ampoules soviétiques : moins à produire, moins de matières premières utilisées, et des travailleurs employés ailleurs.
Mais non, les ampoules en URSS duraient 1000 heures, comme à l’Ouest… Si c’est pas un choix purement technique, je suis danseuse étoile au Bolchoï.
Très intéressant, mais… source?
Commentaire_supprime a écrit :
Source pour l’amende ?
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Commentaire_supprime a écrit :
Sachant que Sylvania, le concurrent du cartel Phoebus qui leur a piqué des parts de marché en vendant la même chose qu’eux trois fois moins cher, avait des ampoules qui avaient la même durée de vie.
Source ?
Commentaire_supprime a écrit :
C’est pas une limite de qualité maximale sombre idiot, c’est un COMPROMIS TECHNIQUE déterminé et choisi avec les LIMITATIONS de la technologie DISPONIBLE À L’ÉPOQUE. Ça rentre, la réalité ?
Le “sombre idiot”
(idiot ou troll?), ça a surtout l’air d’être toi dans l’histoire…
Je crois que la plupart des commentateurs dans ce fil de discussion ont compris cette histoire de compromis technique bien avant toi :
Commentaire_supprime a écrit :
Au passage, petite correction technique.
La durée de vie de 1000 heures est un compromis surtout en termes d’efficacité énergétique de l’ampoule. On peut faire durer l’ampoule plus longtemps, mais, par watt consommé, elle produira plus de chaleur et moins de lumière, impliquant qu’à puissance d’éclairage équivalente, elle consommera plus d’électricité.
Donc, il y a un point optimum entre la durée de vie et l’efficacité énergétique d’une ampoule qui est de 1000 heures de durée de vie, CQFD.
CQFD
Mais ceci n’a (je crois que c’est aussi le cas pour les autres, je ne parle que pour moi) jamais été le vrai point du débat…
Les vieux tombent souvent malades (et constituent donc une part importante des gens malades).
Donc la santé est un marché porteur à multiples points de vue pour La Poste.
(ça ne va pas être terrible pour les vieux quand/si les facteurs vont être remplacés par des drones/robots, mais bon, je suppose que La Poste va prévoir un service “plus” pour ceux qui voudront des “vrais facteurs”, facturé en conséquence, bien sûr!)
Ouais, tiens, si jamais ils font une application dédiée, il vont être forcés de demander l’autorisation à Apple pour la publier dans le magasin d’applications? (parce que pas moyen de l’installer autrement?)
589 commentaires
Conflit avec TF1 : la CFE-CGC d’Orange entre dans la danse
21/02/2018
Le 21/02/2018 à 16h 42
Et ce que Free veut, c’est que Netflix lui file 30%, comme Canal, pour le droit d’avoir son application sur la Freebox TV, plutôt que 12% comme ce que Netflix paie les autres!
La preuve qu’à un moment, le problème finit par déborder sur Internet même !
(Et il y n’y aurait pas ce problème si les FAI n’étaient pas en situation de monopole effectif en tant que fournisseur de “boxTV” chez leurs abonnés Internet!)
Le 21/02/2018 à 16h 38
P.S.: Je n’ai pas suffisamment insisté sur le fait que les FAI, avec leur matériel non seulement “par défaut”, mais aussi souvent forcé, ne permettent pas à un marché de “box TV” d’émarger, et qu’ils priorisent par la nature même des box TV le contenu qui y est affiché.
Ceciest (presque) exactement ce qui se passe sur leurs box TV.
Le 21/02/2018 à 16h 23
Pourquoi Free s’arrogerait-t-il le droit de prélever 30% de l’abonnement Netflix d’un internaute lorsque ce dernier s’abonne par l’intermédiaire d’un ordinateur nommé Freebox TV (que l’internaute n’a même pas le droit d’acheter), alors qu’il n’aurait que dalle si l’internaute utilise un autre ordinateur?
Le 21/02/2018 à 16h 17
Les données de la chaîne en question ne transitent-ils pas par Internet?
De plus, la neutralité du Net essaie de rendre inoffensifs les conflits d’intérêts d’un FAI étant aussi un fournisseur de contenu.
Conflits qu’on voit ici, mais aussi dans le cas Free vs Netflix.
Il me semble que le plus simple est d’aller plus loin et d’interdire aux FAI d’avoir un tel conflit d’intérêts.
(On n’en est plus à la sortie de la Freebox, qu’est ce qu’un tel conflit d’intérêts apporte à la société?)
Le 21/02/2018 à 15h 52
Quel est le sentiment des gouvernements successifs par rapport à la neutralité du Net?
S’il est positif, comment se fait-il que les télécoms aient encore le droit de proposer des services audiovisuels ? (dans ce cas particulier, des “box TV”)
Pour les majors, le stream ripping peut relever de la copie privée (et sa rémunération)
19/02/2018
Le 21/02/2018 à 12h 24
P.S.:
P.P.S.: Merci, encore, au logiciel de NextINpact, d’avoir encore bousillé ma mise en page et le gras/italique/souligné…
(autand d’aller voir dirèctement mon lien maintenant…)
Le flux continu fait aujourd’hui l’objet de débats quant à son statut juridique et à sa légalité, malgré le développement considérable qu’il connaît depuis quelques années ainsi que la progression de la consommation de musique en ligne sans téléchargement qu’il a engendrée.En effet, le silence législatif concernant le sujet a mené à certaines tentatives jurisprudentielles pour clarifier le régime juridique applicable au flux continu, mais celui-ci pose toujours des problèmes relatifs au respect du droit d’auteur, notamment à travers le droit de représentation d’un auteur.Comme le dispose l’article L.122-1 du Code de la Propriété Intellectuelle, « le droit d’exploitation appartenant à l’auteur comprend le droit de représentation et le droit de reproduction ».D’après l’article L.122-2 du Code de la Propriété Intellectuelle, « la représentation consiste dans la communication de l’œuvre au public par un procédé quelconque, et notamment : 1° Par récitation publique, exécution lyrique, représentation dramatique, présentation publique, projection publique et transmission dans un lieu public de l’œuvre télédiffusée ; 2° Par télédiffusion. La télédiffusion s’entend de la diffusion par tout procédé de télécommunication de sons, d’images, de documents, de données et de messages de toute nature. Est assimilée à une représentation l’émission d’une œuvre vers un satellite. »Or, le flux continu peut être défini comme un procédé de représentation d’une œuvre via une télédiffusion par support numérique. Ainsi, pour être légal, il nécessite un accord préalable de l’auteur de l’œuvre pour sa diffusion, à travers le droit de représentation qui lui appartient.Ensuite, l’article L.122-3 du Code de la Propriété Intellectuelle pose le principe selon lequel « La reproduction consiste dans la fixation matérielle de l’œuvre par tous procédés qui permettent de la communiquer au public d’une manière indirecte. Elle peut s’effectuer notamment par imprimerie, dessin, gravure, photographie, moulage et tout procédé des arts graphiques et plastiques, enregistrement mécanique, cinématographique ou magnétique (…). »Toutefois, le flux continu se caractérise principalement par le fait que le fichier diffusé sur le site source n’est en principe pas stocké définitivement sur le disque dur de l’ordinateur du destinataire, mais seulement de façon temporaire dans la mémoire vive de son ordinateur. Par conséquent, le droit de reproduction doit être écarté des moyens de protection envisageables d’un auteur contre la mise en ligne de son œuvre sur un site de lecture directe. En effet, la reproduction temporaire dans la mémoire vive d’un ordinateur répond aux exceptions au droit de reproduction prévues par l’article L.122-5 du Code de Propriété Intellectuelle.D’après ce dernier, « Lorsque l’œuvre a été divulguée, l’auteur ne peut interdire :(…) 6° La reproduction provisoire présentant un caractère transitoire ou accessoire, lorsqu’elle est une partie intégrante et essentielle d’un procédé technique et qu’elle a pour unique objet de permettre l’utilisation licite de l’œuvre ou sa transmission entre tiers par la voie d’un réseau faisant appel à un intermédiaire ; toutefois, cette reproduction provisoire qui ne peut porter que sur des œuvres autres que les logiciels et les bases de données ne doit pas avoir de valeur économique propre.Toutefois, l’œuvre est reproduite sur le serveur du fournisseur de service et, à ce titre, une autorisation de l’auteur doit être obtenue. »
Je noterais que la situation est bien moins claire lorsque la technique employé est du téléchargement/streaming progressif (YouTube?) plutôt que du flux/streaming continu/direct !
Le 21/02/2018 à 11h 38
Je suppose que du point de vue légal le terme streaming (ou même “flux”) n’existe tout simplement pas?
Du point de vue technique, c’est vrai que ce n’est pas évident :
Il me semble qu’une distinction peut effectivement être faite entre d’une part :
- les protocoles de transmission de téléchargement (progressif ou pas) dont la priorité est de télécharger des données à l’identique en un temps inconnu (HTTP, FTP, torrent (Popcorn Time!)) ;
- et d’autre part les protocoles de flux qui vont dégrader la “qualité” de l’information pour des flux d’informations liés à un certain débit temporel, afin de minimiser les coupures de flux (RTSP).
Mais en fait le découpage n’est en fait pas si clair, j’ai un doute à propos de YouTube (avant les passage de Flash en HTML5 en 2015?) :
Donc une combinaison des deux?
(Ce n’est pas clair pour moi non plus si la vidéo en HTML5 est du flux direct ou du téléchargement progressif… ou les deux??)
Voir aussi cette description de la vidéo en HTML5 qui fait la différence entre “HTTP Progressive streaming also known as progressive downloading” et “HTTP Live Streaming”
—-
Une autre distinction possible est le fait de garder ou pas le fichier téléchargé dans le stockage à long terme de l’ordinateur (même temporairement), ou juste dans les mémoires (temporaires parce que vidées quand le courant est coupé). CF l’article évoqué précédemment.
(Mais du coup, je suppose que donc YouTube (et Netflix?) ne seraient PAS du streaming?)
Il me semble si la loi voulait essayer de s’appuyer sur la technique, elle pourrait commencer par là…
Mais même ici, une forme de confusion est possible, surtout si on se retrouve (de manière non-marginale) dans le futur avec des dispositifs pouvant servir à l’envi de mémoire ou de stockage!
Transparence des algorithmes publics : après les coups tordus, aux citoyens de prendre l’initiative
19/02/2018
Le 20/02/2018 à 09h 22
Je comptais justement contacter ma CAF à ce propos…
(Merci pour votre travail sur le sujet!)
Comment mieux faire passer le message qu’on aurait surtout besoin d’informations sur le calcul sur lequel se baseraient des décisions futures prises par l’administration suite à un changement de situation ?
Il semblerait que la communication de l’algorithme en entier soit nécessaire dans pas mal de cas, et pas seulement la partie de l’algorithme servant à calculer une décision passée.
Mais cela semble compliqué à mettre en oeuvre pour les administrations où ces calculs pour prise de décision rassemblent plus à une usine à gaz !
(Bah, d’un autre côté je ne vois pas pourquoi c’est les citoyens qui en feraient les frais, les administrations n’ont qu’a se plaindre aux législateurs que leurs lois sont inapplicables au regard de la complexité et des moyens alloués ! )
“En complément à ce dispositif, le code source du logiciel utilisé pour ces calculs est en principe « communicable », lui aussi, sur demande. Mais ce type de fichier s’adresse quasi exclusivement aux informaticiens chevronnés, qui sauront interpréter ce document administratif (au sens de la loi).“Même si j’ai du mal à me voir comme un “informaticien chevronné” (quoique, au vu de la compétence de la population générale, je suppose que j’en suis un??), j’aurais bien aimé jeter un coup d’œil au code source du logiciel de prise de décision de ma CAF !Quelles sont les procédures à suivre?Quelqu’un à déjà réussi à obtenir ces informations?
De la cape d’invisibilité à SpaceX, la malheureuse « peopolisation » de l’actualité scientifique
12/02/2018
Le 18/02/2018 à 13h 23
“Vous en voulez d’autres ? La quête de la vie extraterrestre revenant dans chaque article sur les exoplanètes : il est en effet bien plus vendeur de parler d’une « possibilité de trouver de la vie », que d’une « éventuelle présence d’eau ».
Un billard à trois bandes associant diverses idées. Sur Terre, l’eau est ainsi un des ingrédients de la vie. Il y a possibilité de trouver de l’eau sur cette planète, donc de la vie. CQFD. On pourrait donc tout aussi bien titrer sur la possibilité de trouver des planches de surfs ou des bateaux. Pour rappel, la présence d’eau (sous n’importe quelle forme) ne veut pas dire que la vie s’y développe obligatoirement (voir l’exemple de Mars).”
—-
Il y a bien quelqu’un qui a fabriqué ces planches de surf / bateaux ! ;)
Guerre FAI/chaînes de TV : comment Captvty peut vous sauver la mise
05/04/2019
Le 14/02/2018 à 23h 04
Merci pour cet article !
“Malheureusement, aucun moteur de recherche n’a été implémenté. “ La version 3 alpha en a un… mais qui, il me semble, présente quelques bugs?
AMD Raven Ridge : ce qu’il faut retenir des APU « Desktop » avec Radeon RX Vega intégrée
12/02/2018
Le 12/02/2018 à 20h 35
Sérieusement, je n’ai jamais vu un logiciel de commentaires aussi mal fait que celui de NextINpact sur un site ayant rapport aux NTIC !
Bon d’accord, un éditeur WYSIWYG c’est dur à faire, mais tout de même !
2ème essai :
“avec gestion du DRM PlayReady 3”Hmm, ça ne me plaît pas ça..https://www.pcworld.com/article/2908089/all-about-playready-30-microsofts-secret… rapport avec ceci ?
Next INpactEst-ce comparable à l’Intel Management Engine?
https://www.alexrad.me/discourse/why-rosyna-cant-take-a-movie-screenshot.html
Récemment :
https://boingboing.net/2018/01/13/admin-admin.html
Le 12/02/2018 à 20h 28
“avec gestion du DRM PlayReady 3”Hmm, ça ne me plaît pas ça..https://www.pcworld.com/article/2908089/all-about-playready-30-microsofts-secret… rapport avec  Next INpact?
Est-ce comparable à l’Intel Management Engine https://www.alexrad.me/discourse/why-rosyna-cant-take-a-movie-screenshot.html
https://boingboing.net/2018/01/13/admin-admin.html
Orange : un forfait « entièrement illimité » en Belgique… qui ne pourrait pas exister en France
08/02/2018
Le 11/02/2018 à 16h 53
Hmm, je vois ce que tu veux dire mais je ne suis pas totalement convaincu qu’on peut séparer totalement cette tactique de la situation de concurrence…
Aurais-tu des exemples de ce genre pratique dans une situation de monopole?
(Steam m’est venu en tête, mais d’un autre côté ne serait-ce justement pas ce qui lui a permis de passer en situation de “monopole” ?)
Le 11/02/2018 à 16h 40
Non?
Le 11/02/2018 à 12h 15
Le 11/02/2018 à 11h 51
La concurrence n’est jamais parfaite, mais là c’est un peu l’hôpital qui se fout de la charité, on a des télécoms parmi les moins chers au monde (et la pression que Free (et un peu les autres) ont mis au niveau de la concurrence doit y être pour beaucoup).
Tu n’as qu’a voir ce que les américains pensent de leur télécoms :
YouTube
(D’ailleurs, le fait que chez nous ils soient alignés au niveau tarif, est justement un signe qu’il y a eu concurrence, si tu n’avais pas le choix de changer d’opérateur fixe là ou tu habites, il risquerait d’y avoir de sacrées différences entre une ville et une autre !)
Le 10/02/2018 à 14h 42
VLC 3.0 : la version finale disponible pour de nombreuses plateformes
09/02/2018
Le 11/02/2018 à 16h 44
Le 11/02/2018 à 13h 12
Microsoft ouvre grand les portes de Windows 10 aux Progressive Web Apps
07/02/2018
Le 11/02/2018 à 13h 18
Le 08/02/2018 à 06h 44
Apple doivent encore être échaudés par leur tentative ratée d’utiliser des applications Web en tant que base d’applications pour les iPhones…
D’ailleurs des applications Web (qui vont bien plus souvent nécessiter une connexion Internet pour pouvoir fonctionner que des applications locales) ont du coup bien plus de sens sur des ordinateurs fixes que mobiles !
En justice, SFR perd contre Orange sur la répartition du déploiement de la fibre
02/02/2018
Le 07/02/2018 à 17h 36
Bah au moins j’ai fini par avoir la fibre chez SFR pour 28€/mois.
Ce qui fait 13€/mois en moins pendant un an par rapport à leur tarif normal de l’époque.
Et ils m’ont même renouvelé la promo pendant encore un an quelques mois en avance
(ils ont dû s’inquièter que je parte ailleurs, avec raison car il faut dire que Free m’avaient appelés en été pour me proposer de passer chez eux avec une promotion conséquente… mais j’étais trop occupé à ce moment-là pour m’en charger
Je serais bien parti de chez eux, mais j’ai autre chose à faire…
Par contre entre le Wi-Fi en ce moment qui déconne à mort (et le routeur nb6 n’a pas le 5Ghz),
et SFR qui m’ennuie parce que plus d’un an après que je leur ai interdit le prélèvement automatique, ils s’en sont finalement rendus compte!
(et ils ne proposent pas le paiement par virement, du coup c’est “à la main” par carte bancaire tous les mois… pour lequel le paiement n’est même pas sécurisé!)
Le 03/02/2018 à 16h 07
Mais le prix “régulier” veut-il encore dire quelque chose?
Oh, non, SFR est loin devant pour ce qui concerne inefficacité de leur SAV !
https://www.lesnumeriques.com/mobilite/sfr-38-pourcent-clients-insatisfaits-selo…
Et ça fait quelques années que ça dure…
https://www.lesnumeriques.com/mobilite/60-millions-consommateurs-decerne-son-cac…
J’en ai d’ailleurs fait moi-même l’expérience !
 https://forum.hardware.fr/forum2.php?post=27722&cat=22&config=hf…
[Sondage] Utilisez-vous toujours des flux RSS pour vous informer ?
31/01/2018
Le 06/02/2018 à 20h 27
Le 31/01/2018 à 21h 00
Le 31/01/2018 à 13h 45
Quelqu’un sait comment se connecter maintenant à Feedly à travers son compte Google avec gReader Pro sur Android ?
J’ai maintenant ce message d’erreur :
“Error: disallowed_useragent
This user-agent is not permitted to make an OAuth authorization request to Google as it is classified as an embedded user-agent (also known as a web-view). Per our policy, only browsers are permitted to make authorization requests to Google. We offer several libraries and samples for native apps to perform authorization requests in the browser.”
Facebook change d’algorithme, des médias paniquent : à quand une réelle prise de conscience ?
02/02/2018
Le 02/02/2018 à 12h 12
Oui, j’aurais dû insister là-dessus - ces approches peuvent (et doivent?) être complémentaires :
D’un côté un abonnement avec transfert “direct” de fonds pour les créateurs (presse ou autre : cf Patreon) qu’on apprécie beaucoup,
D’un autre côté des initiatives de type Flattr 2.0 pour les micro-paiements sur les autres sites (du genre un tutoriel sur un site qu’on aurait consulté qu’une fois),
qui non seulement ne nous pollueraient pas le cerveau comme le fait la publicité,
mais en plus en théorie devraient coûter moins cher comme intermédiaires !
(Pas eu le temps de rajouter à mon commentaire précédent :
Plus de détails sur comment Flattr 2.0 fonctionne (par un tiers) :
https://www.ctrl.blog/entry/flattr2 (eng)
(avec notamment une comparaison des frais impliqués avec Patreon - avant le scandale des frais pour les plus faibles payements sur Patreon )
Et sur leur blog officiel :
https://blog.flattr.com/2017/10/the-flattr-relaunch-what-to-expect/ )
Le 02/02/2018 à 11h 50
Oui, enfin, je ne vais pas non plus m’amuser à m’abonner à tous les sites que je visite non plus !
(En grande partie parce que les frais bancaires en plus de l’abonnement risqueraient d’être rapidement élevés, surtout pour les sites hors de l’Union Européenne!)
Mais heureusement, il existe d’autres alternatives que la publicité pour ce genre de micro-paiements :
Par exemple Eyeo (Adblock Plus) a récemment racheté Flattr , (dont je vois que NextInpact en avait déjà parlé) et a lancé Flattr 2.0 :
https://www.lesnumeriques.com/vie-du-net/flattr-2-0-extension-qui-veut-aider-sit…
Qui, plutôt que de demander aux développeurs web d’intégrer des boutons de partout sur leurs sites
(ça, c’est que pour Facebook et Twitter, pas pour des gueux comme Flattr !),
initiative dont on peut tracer le clou final dans le cercueilau refus de Twitter de donner l’accès à Flattr à leur API,
avec Flattr 2.0 prend l’apparence d’un greffon de navigateur, qui espionne quels sites l’utilisateur visite, et à quel point il interagit avec eux, et envoie ensuite ces données à Flattr pour qu’ils sachent comment au mieux répartir l’argent de l’abonnement :
https://www.engadget.com/2017/10/24/adblock-plus-relaunches-flattr/
(Ca a l’air de faire un peu peur dit comme ça, mais, d’une part le code en question est open source, pas mal de précautions sont prises pour respecter la confidentialité; et d’autre part, si ce n’était pas évident, et même si ce n’est pas un argument qui a beaucoup de poids, Google et Facebook font bien pire !)
Le 02/02/2018 à 11h 14
Bon, ben c’est parti pour 4 heures…
Next Inpact, vous n’avez pas honte de mettre des articles intéressants de bon matin!!? (Ah, euh oups, on me signale qu’il est déjà midi…)
Facebook : 16 milliards de dollars de bénéfices en 2017
01/02/2018
Le 02/02/2018 à 11h 01
Le 02/02/2018 à 10h 29
Le 02/02/2018 à 10h 24
Faut-il créer un label « Internet bio » permettant aux services respectueux de faire la différence ?
29/01/2018
Le 01/02/2018 à 21h 43
Le 31/01/2018 à 22h 02
Le 31/01/2018 à 22h 00
Le 31/01/2018 à 21h 46
Le 31/01/2018 à 21h 42
Le 30/01/2018 à 22h 16
N’y aurait-il pas une différence significative entre créer un label “aryen élevé en plein air” (désolé) (même réglementé par la loi) et forcer par la loi tous les juifs (et autres “indésirables”) à porter un signe distinctif ?
AMHA, les labels (que ce soit cette initiative ou les bio) sont une bonne solution tant qu’il n’y a pas consensus très majoritaire sur les valeurs qu’ils représentent, car ils sont un cran en dessous au niveau “dirigisme” par rapport à une réglementation pénalisant toute non-conformité au label devenu loi.
Et d’un autre côté, la neutralité du Net (qui agit surtout au niveau des FAI, pas des sites) est un bon exemple de réglementation - restreindre le marché libre s’avère souvent nécessaire…
(D’ailleurs tu avais dénigré les élections - qui ont, oui, permis d’amener Hitler au pouvoir - mais difficile de trouver des systèmes politiques moins dirigistes !)
Personne ne peut connaitre en détail le fonctionnement de tout ce qui l’entoure, les réglementations et les labels permettent d’avoir une certaine confiance (qui peut bien sûr être abusée de temps en temps), alors que ce qui est invisible, ne peut, par définition, déranger.
Le 30/01/2018 à 06h 38
Mais est-ce que c’était une alternative Framasoft ?
(Et pourquoi est-ce que NextInpact ne précise pas la source de l’image ?)
Hadopi : selon Françoise Nyssen, il y a urgence à réformer la riposte graduée
31/01/2018
Le 31/01/2018 à 20h 26
Le 31/01/2018 à 18h 16
Playnite, un gestionnaire libre de jeux PC pour les rassembler tous
25/01/2018
Le 31/01/2018 à 17h 48
Ah oui, je me disais aussi que c’était curieux qu’un gestionnaire de paquets n’existait toujours pas sous Windows !
En fait il y en a bien !
Alors pourquoi est-ce que les développeurs Windows ne semblent pas l’utiliser ?
Est-ce parce que Microsoft ne l’a pas mis en avant?
(Ce qui se comprend si le but de Microsoft c’est de se débarrasser de Windows au profit de la Tuile où ils raflent ~30% des revenus…)
Le 25/01/2018 à 22h 03
Exactement : ce qui a permis à Steam de rester populaire et de se lancer dans la vente de jeux tiers, (et à Valve d’arrêter de faire des jeux), c’est qu’il avait un système de mises à jour automatique bien pratique… ce que Windows (au contraire de Linux ?) n’avait pas (et n’a toujours pas !)
Le 25/01/2018 à 15h 57
Excellent ! C’est exactement ce que je cherchais il y a quelques années… quand j’avais encore le temps pour les jeux vidéos ! :‘(
P.-S.: Qu’ en est-il pour le support des magasins de jeux de réalité virtuelle, tels Oculus et Viveport ?
Avec sa nouvelle version, le lecteur RSS libre Miniflux joue la carte du long terme
30/01/2018
Le 30/01/2018 à 19h 45
Quelqu’un sait comment se connecter maintenant à Feedly à travers son compte Google avec gReader Pro sur Android ?
J’ai maintenant ce message d’erreur :
“Error: disallowed_useragent
This user-agent is not permitted to make an OAuth authorization request to Google as it is classified as an embedded user-agent (also known as a web-view). Per our policy, only browsers are permitted to make authorization requests to Google. We offer several libraries and samples for native apps to perform authorization requests in the browser.”
Des communications sans fil « sans émettre une seule onde de plus » chez Orange
25/01/2018
Le 25/01/2018 à 22h 31
Pebble : les services fonctionneront jusqu’au 30 juin, Fitbit donnera ensuite le coup de grâce
25/01/2018
Le 25/01/2018 à 16h 41
Il existerait des solutions pour “libérer” les Pebblenautes :
Ars Technica
#Replay : addiction aux smartphones, pouvoirs du sucre et myopie
19/01/2018
Le 24/01/2018 à 21h 00
EDIT : Bordel, ça serait pas la moindre des choses que l’éditeur de commentaires soit vraiment WYSIWYG et n’enlève pas arbitrairement les saut de ligne et/ou le gras et les italiques?
La Poste au CES : carnet de santé numérique, vélo connecté avec « missions », porte-monnaie NFC
16/01/2018
Le 21/01/2018 à 21h 16
Plus de 300 tablettes fournies aux députés dans le cadre de la dématérialisation des amendements
19/01/2018
Le 21/01/2018 à 21h 04
Ouais, tiens, si jamais ils font une application dédiée, il vont être forcés de demander l’autorisation à Apple pour la publier dans le magasin d’applications? (parce que pas moyen de l’installer autrement?)
Ça la fout mal (pour le principe)…