votre avatar

anonyme_7c080d0b57a30a99451672cfc228f71f

est avec nous depuis le 19 février 2018 ❤️

2520 commentaires

Le 12/05/2018 à 21h 03

Mastodon ou Peertube ne se démocratiseront pas contre Twitter Facebook Youtube, comme aurait pu le faire Google+, mais à côté. Ce sont des outils semblables au mail ou au SMS. Alors que Twitter Facebook Youtube sont des médias à l’instar de la télévision, de la radio, de la presse. Le malheur pour Mastodon et Peertube est que les médias sociaux font à la fois office de média de diffusion, à la fois office de messagerie (plus ou moins) privée.



Ça me fait penser que dans les années 1970-80-90, les émissions TV communiquaient avec les téléspectateurs par courrier postal (les jeux-concours, le courrier des spectateurs, etc). Puis dans les années 1990-2000, elles communiquaient par SMS et serveur vocal. Maintenant elles reçoivent des tweets et des like. Mais pourquoi, dans un avenir proche, TF1 ou FranceTV ne développeraient pas leur propre plateforme Mastodon ? Pourquoi l’Eurovision (par exemple) ne diffuserait pas son Live sur sa propre plateforme Peertube plutôt que Youtube ?

Le 12/05/2018 à 17h 14

Je me plais à penser qu’ils sont plutôt plusieurs rédigeant des commentaires à partir d’un seul et même compte. Cette manie de parler parfois au masculin, parfois au féminin… Ils sont même peut-être plusieurs dans sa tête ??

Le 12/05/2018 à 17h 08

C’est pas impossible. Vu son emphase habituelle, il est bien capable de faire des dialogues avec lui-même. Et à chaque fois, les discussions finissent en parlant de lui-même. Et comme il aime qu’on parle de lui, on va lui faire plaisir une fois de plus…

Le 12/05/2018 à 13h 38

Pourtant, TMC respecte la législation française sur la pornographie, contrairement à des sites web largement connus du grand public, notamment des publics ados et pré-ados (et pas uniquement les sites spécialisés dans cette thématique porno).

Le 12/05/2018 à 13h 35

Vous en avez d’ailleurs une illustration dans cette « contre-enquête sur les anti-douleurs » d’ARTE.



NB: pour une personne normalement constituée, il va falloir faire fort pour mourir avec de l’eau, au pire on risque d’être très malade, pas de mourir. Préférez l’abus de tabac ou d’alcool, ce sera un peu plus rapide.

Le 12/05/2018 à 09h 03

Merci de l’avoir relancé. On va enfin pouvoir profiter de son avis agro-patronal.&nbsp;<img data-src=" />

Le 11/05/2018 à 19h 18

« En parallèle, Arte lance une séquence sexualité, avec une série de documentaires thématiques.&nbsp;(…)&nbsp;« Sexe et amour 3.0 »&nbsp;explore les&nbsp;nouvelles formes d’amour jusqu’au 5 août. »&nbsp;&nbsp;

&nbsp;

&nbsp;On vit vraiment une époque formidable.&nbsp;<img data-src=" />

Le 11/05/2018 à 18h 55

Actuellement, la pornographie sur le web, c’est le Far West : open bar + contenus “fast food”. On se croirait presque dans la série TV “Westworld” où tout est permis pour les visiteurs. Mais que fait la police !

Le 11/05/2018 à 16h 38

« En 68, il fallait effectivement fermer la télé pour ouvrir les yeux. Pour Sonia Devillers, aujourd’hui, c’est l’inverse : le service public audiovisuel, dont le financement est menacé, est un trésor dont nous devons prendre conscience, et que nous devons aider à sauver. » - par @Sonia_Devillers - #utopies68 



Le 12/05/2018 à 16h 30

«Concrètement, R. Kelly ne disparaît pas de Spotify. Ses morceaux seront toujours écoutables, mais ils n’apparaîtront plus dans les playlists générées par la plateforme, ni dans les propositions faites aux utilisateurs sur la base d’algorithmes.»  Ensuite, oui, on ne peut pas reprocher un choix éditorial. Cependant, on peut reprocher l’intention qui motive ce choix. Facebook interdit les poitrines féminines à cause de la morale (protestante Nord-américaine). Spotify interdit un artiste violent avec les femmes à cause de la morale (protestante féministe de la Suède). Chacun ses tabous, chacun ses valeurs, chacun ses choix artistiques. Et qu’un distributeur de contenus (plus généralement, un commerçant) impose sa morale, on appelle ça de la censure (quand un État s’arroge le droit de faire ce genre de chose, on trouve ça insupportable, ici ça devrait être pareil ÀMHA).

Le 12/05/2018 à 07h 17

«&nbsp;&nbsp;«&nbsp;Même si nous ne croyons pas en la censure pour le comportement d’un artiste ou créateur, nous voulons que nos décisions éditoriales reflètent nos valeurs&nbsp;» écrit l’entreprise.&nbsp;»



&nbsp;Je suis content d’apprendre que Spotify prend des “décisions éditoriales”.&nbsp;Moi qui pensait qu’il s’agissait de sélection personnalisée par algorithme dans un catalogue restreint par les Majors de la musique uniquement… Comme quoi, la tactique des bulles de filtre et les recommandations pour nourrir un algorithme-glouton, ça a ses limites.

Le 12/05/2018 à 09h 47

Quand on se fait prendre, automatiquement:





  • on nie la chose,&nbsp;

  • on accuse autrui du même méfait commis, “c’est celui qui dit qui est” comme disent les enfants,

  • on regrette la calomnie, le complot dont on est victime.



    Bref, on défend sa réputation jusqu’à ce que la justice passe (si elle passe).

Le 11/05/2018 à 13h 15







PercevalIO a écrit :



Bon c’est de la comm de première, mais je fais bien plus confiance à Niel qu’à Leclerc en tant que chef d’entreprise avec un peu d’égard pour son activité et ses employés. Et puis on est quand même pas au niveau de la bollore… Une charte éthique serait aussi crédible que Total misant sur l’huile de friture comme carburant 😃





En même temps, engager la confiance d’un public, c’est l’objectif de la com’… dont acte.


Le 11/05/2018 à 13h 01





  • Le mot innovation est galvaudé comme le mot disruptif. On utilise ces termes à toutes les sauces au lieu d’utiliser des expressions plus concrètes adaptées au contexte auxquelles on les applique : par exemples “rupture technologique” ou “fonction novatrice”. Free ou Orange ou autres utilisent de la même manière ces mots qui sont employés hors-contexte pour permettre à n’importe qui d’y placer la réalité qu’il/elle a envie d’y voir.

  • La transparence ne fait pas partie des valeurs du Groupe ILIAD, certainement pas (ou alors qu’on m’explique le contexte particulier dans lequel elle s’applique chez Iliad). Les télécoms est un des secteurs d’activité les plus fermés et les plus obscurs qui soient, le “no comment” et la confidentialité étant le réflexe le plus habituel dans les télécoms.

  • Pour le reste, comme n’importe qui, je dis ce que je veux, de la même façon que je reconnais au président d’Iliad le droit de dire ce qu’il veut.



Le 11/05/2018 à 09h 35

« Les valeurs du Groupe ILIAD ont toujours été et reposent plus que jamais sur la confiance, la transparence, la simplicité, l’innovation. » (“Le mot du président”&nbsp;site Ethique & conformité d’Iliad)





  • la confiance : possible

  • la transparence : bullshit

  • la simplicité : done

  • l’innovation : “c’est nouveau, c’est fun”



    On a supprimé le CHSCT des entreprises, mais maintenant, on a un déontologue dans les entreprises… même au groupe La Poste. Et ça fait partie de “l’ADN” ou de la “culture” de (notre) entreprise. C’est formidable !

Le 11/05/2018 à 12h 42







PercevalIO a écrit :



Mais je comprends pas pourquoi l’auteur de cette brève utilise une méthode d’exécution typiquement française pour illustrer la mise à mort de la neutralité du net alors que les états unis, seuls responsables de cette connerie de première, sont aussi très très inventifs sur ce point…





Peut-être une allusion à l’Épée de Damoclès qui menace de s’abattre sur la tête des Européens ?


Le 11/05/2018 à 10h 26







FunnyD a écrit :



Vivement que cette entrave à l’innovation disparaisse à son tour en france






 avantage : plus besoin de faire payer l'impôt aux GAFA, aux NATU, il suffirait d'imposer les OBIA (Orange Bouygues Iliad Altice).

Le 11/05/2018 à 10h 23

“Mon nom est Patrick Drahi&nbsp;Altice USA et j’approuve cette brève.”&nbsp;

Le 11/05/2018 à 10h 49

Bien vu. C’est pour ça qu’un secteur d’activité comme les télécoms est soumis à une régulation de l’État (même si les normes sont bien souvent créées par des groupes multinationaux… comme Orange).

Le 11/05/2018 à 10h 40

Obliger son partenaire commercial à utiliser une norme plutôt qu’une autre, ce n’est pas normal. (interopérabilité, redondance des réseaux)



NB: notez le jeu de mot qui forme un pléonasme dans la phrase.&nbsp;&nbsp;<img data-src=" />

Le 09/05/2018 à 18h 16







GTO a écrit :



… à comparer Opéra (que j’utilise aussi) est bien plus léger à utiliser, le seul bémol c’est les extensions qu’on ne trouve pas dessus (je reste sur Firefox uniquement pour les extensions).





Pour information, les extensions du Google Chrome Web Store peuvent être installées sur Opera grâce à une extension d’Opera :&nbsp;https://addons.opera.com/fr/extensions/details/install-chrome-extensions/


Le 09/05/2018 à 18h 02

Exact. Perso, j’aime le changement de couleur de Vivaldi suivant le site web visité, et la facilité à paramétrer les réglages, malgré quelques difficultés de chargement de pages de temps à autres. Mais je préfère le rendu des pages avec Firefox ou avec Edge, qui sont malheureusement des sosies de Chrome quant à l’ergonomie simplifiée et intégrée à des services “maison”. Le problème de Mozilla, c’est d’avoir renoncé aux paramètres nombreux et transparents vis-à-vis de l’utilisateur (je trouve ça dommage et décevant pour une organisation qui promeut “le respect de la vie privée”).

Le 09/05/2018 à 16h 49

ça n’allongera rien du tout car ça servira à affirmer que cette réforme constitutionnelle permet de “réelles” avancées “démocratiques” à la Ve République et à justifier la nécessaire réduction : du temps des débats à l’Assemblée Nationale - du nombre de navettes entre l’AN et le Sénat - du nombre des amendements des parlementaires…

Le 09/05/2018 à 14h 58

Et qui siègeraient à la Chambre de la société civile ? Les mêmes qu’au CESE actuel (en moins nombreux et les 60 désignés par le Gouvernement en moins), j’imagine ? En fait, on ne change rien, ou si peu… un peu comme les 15-20% de proportionnelle pour choisir nos chers/chères député(e)s de l’Assemblée Nationale.

Le 09/05/2018 à 13h 01

On sent que la justice va avoir du boulot à revendre (cf la réforme de la justice)… Mais après tout, le principal n’est-il pas le #NameAndShame ?

Le 09/05/2018 à 11h 04

Ce qui est sûr, c’est que le Minitel et le Télétel ont bien été inventés par le Cnet et l’administration des télécommunications… parce que bon… même Android (qui était une start-up) s’est faite racheter par Google. ;-)

Le 09/05/2018 à 05h 01







Mr.Nox a écrit :



Apple n’a rien démocratisé, c’est surtout les médias qui “oublient” rapidement de souligner le fait que Apple n’a pas inventé tel ou tel feature. Le grand public, qu’il se renseigne ou non, n’ira pas plus loin que des journalistes qui eux même ne font pas bien leur boulot.



Si demain on te répète en boucle que tel constructeur a inventé tel truc, à force de l’entendre, tu finis pas le prendre pour argent comptant. Et lorsque c’est Apple, c’est souvent très élogieux, ça marque.









Mr.Nox a écrit :



Pour continuer mon commentaire du dessus avec un exemple simple, les nouveaux gestes de iOS. Bien intégré, il faut le reconnaître et présenté comme du jamais vu… Sauf que tu retournes en 2013 avec un Blackberry Z10 et tu vois d’ou sortent les gestes en grande partie.





Quand un constructeur vend des millions d’appareils et qu’il provoque l’adoption d’un nouveau mode d’utilisation, on peut dire qu’il a démocratisé la chose. Cela-dit, oui, les grands médias généralistes ne s’intéressent qu’à ce qui se compte en millions et qui rapporte de l’argent et ils sont indifférents à savoir si tel industriel a a été le précurseur à mettre sur le marché tel procédé ou telle fonction singulière. C’est d’ailleurs le point fort du marketing d’Apple ou de Samsung (bien que Samsung reste très dépendant des services Google que proposent d’autres constructeurs).


Le 09/05/2018 à 04h 48

Avec Android, pour avoir des mises à niveau, il faut acheter un “flagship” et surtout ne pas faire confiance au marketing des terminaux en rebranding chinois ou à celui des terminaux vendus par les opérateurs mobile.&nbsp;

Le 08/05/2018 à 18h 02

“encoche” ou “notch” : ce qui permet au smartphone d’avoir un écran sans bord tout en gardant les capteurs en façade avant.

Le 08/05/2018 à 17h 13

Bon courage pour faire une synthèse de quinze pages en 2-3 graphiques. C’est BFMTV qui fait des graphiques synthétiques. Perso, je préfère passer 4 minutes à lire un article Next inpact.

Le 08/05/2018 à 09h 51

Dans ce cas, pourquoi ne pas lire l’observatoire des services mobiles&nbsp;lui-même ?

Le 08/05/2018 à 14h 24

«&nbsp;La Timeline est l’une des nouveautés majeures de la récente&nbsp;April Update, dont la distribution automatique commencera d’ailleurs demain.&nbsp;»&nbsp;(article Next inpact, 1ère phrase de la 1ère partie). Suivre ensuite le lien hypertexte et lire la 2e partie de ce 2d article intitulée «&nbsp;Timeline : reprendre les activités des jours précédents »&nbsp;(notamment le texte en dessous des 2 copies d’écran). Personnellement, ça me fait penser à peu près à la liste des applications ouvertes dans Android et à la liste des activités du compte Google qui auraient fusionné.

Le 08/05/2018 à 09h 07

Le contexte est tout de même important quand on veut éviter le syndrome de la “petite phrase” trop facile à reprendre dans les médias (sociaux ou traditionnels). En même temps, il faut avouer que E.Macron s’adresse plus aux CSP+ et aux “premiers de cordée” qui ne sont pas empreints de nihilisme (terme utilisé par lui-même dans le documentaire de son anniversaire à l’Élysée diffusé hier soir sur France3), mais qui préfèrent une certaine forme de conservatisme grand bourgeois (oui, parce que l’expression “petit bourgeois” semble être déshonorante et semble avoir remplacé la “petite noblesse” de l’Ancien Régime dans les mots de E.Macron exprimés dans ce documentaire - référence à la théorie des classes de Karl Marx dont on fête également l’anniversaire puisqu’il est né en mai 1818).



NB: documentaire à (re)voir sur france.tv tellement épique et tellement révélateur

Le 08/05/2018 à 08h 52

La 3e image est inadmissible : mettre sur un pied d’égalité l’entrepreneur Mark Zuckerberg avec le criminel Julian Assange est vraiment un procédé décevant. <img data-src=" />



NB: en vérité, il y a beaucoup de choses à dire de cette image… le contrôle des données personnelles, la transparence des données publiques, la rupture numérique dans les relations sociales et consuméristes (je n’aime pas le terme disruption: trop connoté, trop restrictif).

Le 08/05/2018 à 06h 30

Voilà qu’on se trouve à faire du commentaire de discours présidentiel. Qu’un Président de la République caricature la position de ses adversaires, certes avec un talent littéraire notable, n’est tout de même pas d’une importance cruciale dans la vie des pauvres personnes que nous sommes, si ? … je parle pour moi : perso, je ne suis pas militant politique. En tout cas, il est intéressant qu’une caricature de Flock rencontre une caricature de Macron, c’est tragi-cocasse. <img data-src=" />

Le 07/05/2018 à 19h 58







Stel a écrit :



Tes arguments là, c’est comme si t’essayais d’expliquer à un mec qui a le mal du transport que toi t’as pas de problème alors ca veut dire que c’est dans sa tête, et que d’ici 1h30 il sera habitué il ne sera plus malade.





Je ne vous explique pas la vie, Je vous donne mon avis. S’il ne vous intéresse pas, c’est tant pis pour moi. Je passe à autre chose.







Stel a écrit :



Le problème n’a rien à voir avec la durée du trailer ou du film, mais alors VRAIMENT rien à voir.

Je t’invite à te renseigner sur ce qu’est la vallée dérangeante :

fr.wikipedia.org WikipediaC’est intéressant… Si vous en aviez parlé plus tôt, ça aurait été plutôt pratique. Vous parliez d’une réalité généraliste, alors qu’en fait, vous faisiez appel à une référence que le grand public (dont je fais partie) n’a aucunement conscience : ce n’est pas une réalité pour tout le monde, c’est une réalité de roboticien-scientifique (et ce n’est pas une insulte, si il y avait besoin de le préciser).


Le 07/05/2018 à 16h 20

Dans le secteur privé, un cadre peut avoir, dans son contrat de travail, une clause de non-concurrence qui prévoit certaines interdictions dans le cas où celui-ci quitte son emploi pour occuper éventuellement un poste qui pourrait nuire aux intérêts de l’entreprise. Mais, là, on ne parle pas de conflit d’intérêts, mais plutôt de « protection des intérêts légitimes de l’entreprise ».

Le 07/05/2018 à 16h 05







Zerdligham a écrit :





Dans le cas de ce monsieur, je ne sais pas quelle décision en faveur d’Amazon le fait soupçonner de conflit d’intérêt. …





« Qu’est-ce qu’un conflit d’intérêts ? - L’article 2 de la loi du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique définit pour la première fois la notion de « conflit d’intérêts » comme « toute situation d’interférence entre un intérêt public et des intérêts publics ou privés qui est de nature à influencer ou paraître influencer l’exercice indépendant, impartial et objectif d’une fonction ». - Cette définition met en évidence 3 critères d’un conflit d’intérêts : […] » Un conflit d’intérêt n’est donc pas un acte qui aurait été commis. Un conflit d’intérêt est la constatation d’une situation dans laquelle des intérêts divergents placent l’individu en question dans une situation de faire, bon gré mal gré, un choix de loyauté envers une organisation plutôt qu’une autre parmi celles qui l’emploient (ou l’ont employé ou vont l’employer).


Le 07/05/2018 à 12h 17







CryoGen a écrit :



J’ai beau relire, je ne comprend pas où tu veux en venir.

Un homme doit être enfermé à vie dès lors qu’il a eu un poste clé dans l’administration ??

Déjà qu’on reproche à notre gouvernement de ne pas être à jour quand ca concerne le numérique, si en plus il ne peut plus recruter dans le privé…





La corruption et les conflits d’intérêts existent aussi. Que la puissance publique protège ses intérêts et conserve sa légitimité auprès de l’ensemble des administrés est un sujet important. Or, comme dit Crocodudule, ici on nous vend de la transparence, on nous vend du rêve. Mais sans véritables obligations contrôlées émanant de cette commission chargée de valider ce transfert d’un responsable de l’administration publique vers une multinationale privée, cette opération ne sert qu’à valider un recrutement auprès de l’opinion publique (faire passer la pillule sans véritable effet).


Le 07/05/2018 à 12h 05

à partir du moment où ces anciens élèves de grandes écoles publiques respectent leur engagement de servir l’État pendant 10 ans au moins, où est le problème d’aller travailler dans le secteur privé ensuite ?

Le 05/05/2018 à 17h 42







Antwan a écrit :





Et au passage l’obtention d’un IBAN en FR76 est une broutille comparée à la crasse opérationnelle (fermeture du lundi, assignation d’un “mon conseiller” et ses vacances, “mesures de sécurité” hérétiques type ajout d’un RIB qui prend 48h, etc.) auquel ces anciennes banques françaises doivent faire face.





Si c’est une broutille, alors je m’incline.







Antwan a écrit :



@Radiathor



N26 nain de paiement? A comparer avec C-Zam et Eko <img data-src=" />



C’est pas en se focalisant sur le marché français protectionniste au possible (paylib, carte bleue, etc) que ces petites sous-marques confidentielles vont percer. N26 va se lancer aux US dans moins d’un an, ils fêteront leur millionième client bien avant que tu puisses dire ouf.







Que les banques françaises fassent du “protectionnisme” sur leur marché domestique, le contraire serait étonnant : elles ne vont pas détruire tout un écosystème logistique et de ressources humaines au motif que N26 et Revolut ont réussi à obtenir quelques centaines de milliers de clients en France (en espérant que ce sont des clients qui utilisent N26 comme banque principale). En revanche, sur des marchés étrangers de la banque de détail, elles se montrent un peu plus agressives. C’est idiot de réduire les banques françaises à Eko et C-Zam, elles ont des millions de clients en France qui rapportent unitairement beaucoup plus qu’un client N26.



NB: c’est malheureux d’être obligé de se faire passer pour un défenseur des banques françaises, alors qu’on a juste envie de dire que N26, Revolut, etc sont loin d’inonder, à elles toutes, le marché (et pas uniquement le marché franco-français).


Le 05/05/2018 à 12h 07

En même temps, flooder un fil de commentaires a toujours été le sport des militants 2.0 de causes aussi diverses qu’une campagne électorale ou que la réputation d’une marque commerciale ou le lobbying pro-ceci/anti-cela (quand ce n’est pas uniquement un enjeux purement personnel: hédoniste ou épicurien).

Le 05/05/2018 à 11h 36

Mon commentaire ne se voulait pas exhaustif. D’ailleurs le règlement européen que vous citez traite uniquement du label bio européen, contrairement à l’article de 60 Millions de Consommateurs.

Le 05/05/2018 à 05h 29

Un salutaire rappel du cahier des charges de labels bio par https://www.60millions-mag.com/2011/01/05/quel-label-bio-se-fier-8052

Le 04/05/2018 à 18h 33

C’est dommage, il y a du Larry Lessig à l’intérieur.&nbsp;<img data-src=" />

&nbsp;

NB:&nbsp;Lawrence «&nbsp;Larry&nbsp;» Lessig&nbsp;«&nbsp;Spécialiste de&nbsp;droit constitutionnel&nbsp;et de droit de la&nbsp;propriété intellectuelle, il est un défenseur réputé de la liberté sur&nbsp;Internet&nbsp;et s’oppose à une interprétation extensive du&nbsp;droit d’auteur&nbsp;qui porte atteinte au potentiel de création et aux échanges en ligne. Il est l’une des voix les plus écoutées dans les débats sur les limites du droit d’auteur et sur le développement mondial de l’Internet. Il est fondateur et président du conseil d’administration de l’organisation&nbsp;Creative Commons.&nbsp;»&nbsp;

Le 05/05/2018 à 11h 18

Nonobstant l’intérêt de lire le livre que vous citez, vous fustigez les médias mainstream et vous citez ce livre dont l’auteur est un polémiste qui officie justement dans ces médias là : groupe Figaro, groupe M6 (RTL, Paris Première). À croire que seule la polémique vous attire, plutôt que les idées mêmes du livre.

Le 04/05/2018 à 19h 58

Il faut encore que des gens investissent dans des actions Xiaomi pour ce montant là. Si l’introduction en Bourse n’a pas le succès prévu, la valorisation pourrait être beaucoup moins importante.

Le 04/05/2018 à 10h 08







SebGF a écrit :



Il y a encore effectivement beaucoup de M2M pratiqué sur le GPRS, raison pour laquelle l’Europe a été moins agressive que les USA et l’Asie sur les objectifs d’arrêt du réseau.







Il faut dire aussi, qu’aux USA, l’aménagement du territoire n’est pas un sujet aussi fort qu’en UE. Outre-Atlantique, c’est plutôt la méthode du forcing : l’entreprise met le paquet et on voit si ça passe ou si ça casse.


Le 04/05/2018 à 10h 03

Il faut dire que la grande majorité des fréquences 2G ont déjà été réattribuées pour la 4G. Le réseau 2G subsiste car il est le plus étendu sur le territoire avec quelques zones blanches résiduelles. Un réseau étendu, c’est utile quand on se préoccupe d’aménagement du territoire.