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2520 commentaires

Le 08/10/2018 à 15h 46

L’économie n’est pas tout dans la vie sociale (quelque soit la théorie économique qui tend à s’appliquer dans la Société). Il y a des principes fondamentaux qui autorisent les individus à avoir des droits. En tout cas, on peut être pour la liberté économique et être pour la liberté d’expression. Par exemple, un individu peut être propriétaire d’un journal ou d’un magazine, mais il ne peut pas dicter à un journaliste ou à une rédaction ce qu’il/elle doit écrire. Mais ça reste des principes (ce ne sont pas des règles, et encore moins des faits réels).

Le 08/10/2018 à 14h 00







barthous a écrit :



Je trouve les critiques trop virulentes.



  Air France n'est pas un FAI, il propose un service commercial sur la base qui l'arrange.        

Et quoi qu'on en dise Messenger, Whatsapp, iMessage représentent certainement une très grosse proportion du marché des messageries sur IP, rien de surprenant donc.











recoding a écrit :



Oui y’a un moment ça devient étrange, autant interdire tout type de partenariat entre deux boîtes…



 ...








   La question mérite d'être posée : est-ce que le wifi public  d'un commerçant (un restaurant, un voyagiste, etc) doit forcément être  considéré comme un accès à internet ou peut-il être considéré comme un  service accessoire à la prestation (le repas, le voyage, etc).        






  L'enjeux  est important si on considère le développement de l'IoT (internet des  objets) et des plateformes (l'Arcep semble d'ailleurs favorable à la  régulation des terminaux et des plateformes).       





 Et subsidiairement, je trouverais rigolo que l’Arcep (l’État) qualifie Air France Connect d’accès à internet, ça pourrait obliger chaque fournisseur du moindre service de communication à offrir un véritable service de télécommunication.


Le 08/10/2018 à 13h 56







recoding a écrit :



… Et puis bon les compagnies qui proposent des journaux/magazines à l’embarquement sont-elles contraintes à une neutralité du panel de titres?







 On parle de neutralité du net, on ne parle pas de pluralité de la presse.


Le 07/10/2018 à 11h 49

Oui, c’est dommage, mais c’est du Orange authentique (offres de services différentiées). Les offres grand public Livebox ne sont visiblement pas prévues pour connecter des serveurs. Personnellement, je change de FAI tous les 3 ou 4 ans généralement, et Orange est trop cher pour moi (je m’étais quand même abonné à Orange en 2015 pour profiter du VDSL et finalement j’ai abandonné au bout de 9 mois, pour de l’ADSL à 23€ par mois).

Le 07/10/2018 à 06h 23

d’après https://vulgumtechus.com/IP_fixe_sur_Livebox_Orange il suffirait d’activer IPv6 de la Livebox pour que IPv4 reste fixe. Et d’après la FIS Livebox, “en cas d’IP fixe, le débit descendant est jusqu’à 300 Mbit/s.” J’imagine que c’est lié car je lis souvent que les débits en IPv6 sont moins performants que les débits en IPv4. Si cette astuce fonctionne, elle ne plaira donc pas forcément à tout le monde pour autant.

Le 05/10/2018 à 16h 48

Ce n’était pas la peine d’écrire ce pavé, j’avais bien compris votre propos précédemment.



 







SartMatt a écrit :





Et c’est pareil pour ton VDSL (les CGV sont les mêmes pour toutes les technologies d’accès). À moins que tu ais eu une offre pro bien spécifique (auquel cas, c’est quand même un peu hors sujet), tes 50 Mbits/s, ils n’étaient en aucun cas garantis, si un jour tu avais synchronisé à 45 Mbit/s au lieu de 50, Orange n’aurait rompu aucun engagement. Et si ton NRA n’avait été raccordé au reste du réseau qu’avec un lien 10 Mbit/s, ils n’auraient pas non plus rompu leur engagement, puisque les 50 Mbit/s c’est juste le débit entre toi et le NRA… Tout ce que disent les CGV concernant les débits en VDSL, c’est que le débit est “en général de 1 à 15 Mbit/s” et peut “être compris entre 15 et 50 Mbit/s sur les lignes les plus courtes”. Aucun engagement à fournir 50 Mbit/s. Cf la même capture : https://imgur.com/a/5yW1kZY







Ce passage est limite condescendant, si ce n’était que vous faites du hors-sujet. Je sais faire la différence entre une FIS, des CGV et des conditions spécifiques au contrat. Encore une fois, vous vous répétez comme si je n’avais pas compris ce que vous affirmez. C’est pas parce que je ne suis pas d’accord avec vous qu’il faut me répéter les choses pour que ça rentre. Ca ne vous rend pas plus crédible ou audible, bien au contraire. Moi, non plus je n’ai pas changer d’avis et je vous souhaite une bonne fin de semaine.


Le 05/10/2018 à 06h 07







OB a écrit :



 Techniquement tu peux “forcer” l’un des clients à 100Mbps (ou autre débit) garanti - simplement les autres clients se partageront le reste du débit de l’arbre.

Idem sur les collecte (en amont du NRA/NRO) , c’est comme ça que marchent les CELAN (Si par ex tu commandes une CELAN 200Mbps sur un lien giga, ben en instantané tu les aura - et tant pis pour les 1000 clients qui se partagerons les 800mbps qui reste sur le lien.







Concernant la 1ère phrase, les gens diront que le FAI fait du bridage. Concernant la 2e phrase, c’est de la QoS ou de la gestion de réseau. Pourtant dans les 2 cas, l’opérateur peut faire tout et n’importe quoi, la différence est simplement que dans un cas, le client voit tout, dans l’autre, le client voit rien mais c’est pas grave (sic). Quand on aura compris que la transparence est nécessaire pour que la neutralité du net soit respectée (au lieu de vomir sur des offres commerciales de débits différentiés), on aura fait un grand pas en faveur des usages sains et vraiment utiles d’internet par le grand public.


Le 05/10/2018 à 05h 46







SartMatt a écrit :






    Et derrière ce changement de terminologie, il n'y a en fait sans doute aucun changement technique.








 Encore heureux, il s'agit d'un engagement contractuel. S'il fallait changer toute une infrastructure quand une entreprise change ses obligations contractuelles, ce serait complètement irrationnel : il faut savoir faire la différence entre la qualité d'une infrastructure et la qualité d'un service qui repose sur cette même infra.       






  





SartMatt a écrit :






    D'ailleurs, je peux t'assurer que même en testant vers un serveur hébergé par Orange et situé pas loin de chez moi, selon les heures j'avais pas toujours 500 Mbit/s sur mon offre "minimum 500 Mbit/s". Surtout dans mon ancien logement (gros immeuble de plus de 200 logements, donc on était sans doute pas loin du maximum d'abonnés sur l'arbre).          

...








 Il fallait faire une réclamation, voire aller en justice, si c'est si important pour vous : Orange indiquait bien "débit minimum". Personnellement, dans mon offre VDSL (année 2015/2016), Orange m'apportait contractuellement 50Mb/s (sur une ligne de 400m jusqu'au NRA).        






 On ne parle pas d'un publicité, on parle d'un engagement contractuel que j'ai signé (avec un stylo) en double exemplaire. Pour une offre grand public, il n'y a que Orange qui a été capable de réaliser ce type de contrat. Après, si le fournisseur ne tient pas ses engagements, il faut réclamer quand on se sent pénalisé (ou pris pour un imbécile).       

 

 





SartMatt a écrit :






    Donc ce qu'il faut voir avec ce passage de "minimum 500 Mbit/s" à "jusqu'à 1 Gbit/s", ce n'est pas la fin d'un débit garanti de 500 Mbit/s, qui n'a jamais existé. C'est simplement une plus grande honnêteté dans la communication : les abonnés sont connectés à un arbre GPON configuré pour permettre à chaque abonné d'atteindre 1 Gbit/s en crête, mais sans aucune garantie sur la tenue de ce débit, en fonction de la charge sur le réseau (en pratique, comme il est rare que tout le monde télécharge à fond en même temps, un Speedtest vers un serveur suffisamment rapide donnera quasiment toujours un débit supérieur à 900 Mbit/s).          

...







  L’explication du remplacement de l’expression “débit minimum 500Mb/s” par “jusqu’à 1Gb/s” ne serait-elle pas justifiée par cela justement ?

 Vu qu’il y a de plus en plus de clients utilisant la fibre (GPON), Orange réduit ses obligations contractuelles (dont le FAI se servait pour se distinguer des offres rivales ou pour se donner une image qualitative supérieure). Ca me semble un peu plus crédible que votre explication qui nie complètement la nature des contreparties que renferment un contrat (même si un gros fournisseur comme Orange, se départit généralement très facilement de ses obligations légales ou contractuelles).




  





SartMatt a écrit :






    Ensuite, quand bien même le 500 Mbit/s aurait été "garantis", cette garantie, elle est au mieux entre ta box et le NRO. Au delà, là encore, c'est impossible de garantir le débit. Parce que les liaisons vers le reste du réseau sont largement insuffisantes pour le garantir.          

...








  Merci d'expliquer le fonctionnement d'internet, mais  il suffit de lire son contrat qui explique très explicitement à quoi le FAI s'engage.       






         







SartMatt a écrit :



Ils n’ont jamais été garantis.




    Ne serait ce que pour des raisons technologiques (choix du GPON plutôt que de la fibre P2P), c'est impossible pour Orange de garantir 500 Mbit/s à tous les clients. Même 100 Mbit/s c'est impossible. Parce que sur un arbre GPON, ils mettent jusqu'à 64 abonnés. Et un arbre GPON, il fait 2.4 Gbit/s en download et 1.2 Gbit/s en upload (parfois 2.4 Gbit/s en upload également)... Je te laisse faire le calcul, tu verras qu'en pratique ils ne peuvent même pas garantir 50 Mbits/s à chaque client...          

...








  Un réseau se dimensionne en fonction des besoins. Notamment concernant un réseau de distribution local, il est tout à fait possible de garantir un débit minimum. En particulier, les premiers clients Orange bénéficiant de la fibre (que Orange déploie véritablement seulement depuis 2014) n'était pas si nombreux que ça aurait exigé que Orange choisisse entre saturer son réseau (donc ne pas remplir ses obligations contractuelles).       






 Bref, personnellement, même si je n'aime pas le prix des offres Orange, je pense que l'expression "débit minimum 500Mb/s" était autrement plus honnête que "débit jusqu'à 1Gb/s" qui n'engage strictement à rien... Enfin si... s'agissant de Très Haut Débit, le débit minimum est de 30Mb/s. La belle affaire !

Le 04/10/2018 à 14h 25







Tohrnoriac a écrit :



Si ton appart est fibré alors que tu y est déjà, tu as le choix de rester en Adsl ou passer à la fibre.



    Si il y a la fibre quand tu emménage, tu n'as pas d'autre choix que de prendre la fibre          

C'est ce que m'avait dit le technicien quand il est venu la mettre chez moi l'année dernière

...











Antwan a écrit :



Non c’est impossible. Exemple, je suis chez SFR, je veux m’abonner chez Orange, je ne peux souscrire qu’à l’offre fibre si je suis éligible fibre (cela s’appelle les “zone 100% fibre” qui sont de plus en plus courantes).






    On a toujours le droit de revenir à l'Adsl (quand on est raccordé au réseau cuivre, dans un immeuble ancien), mais quand un FAI propose ses offres "fibre" dans une habitation fibrée, généralement, il ne propose pas ses offres Adsl (le client potentiel est obligé de souscrire une offre "fibre"). Donc si le client veut absolument souscrire une offre Adsl, il peut toujours s'adresser à un FAI non-raccordé "fibre" parmi les 4 gros, ou à un petit FAI comme OVH, Coriolis, FDN, ...

Le 04/10/2018 à 07h 19

Les décodeurs TV sont plus petits, il était temps. Merci Bbox Miami <img data-src=" />

Le 06/10/2018 à 18h 57

Je ne comprends pas bien ce débat… si les fonctionnaires sont suspects d’influence illégitime sur la réglementation européenne, alors que dire des traducteurs et interprètes, puisqu’il y a 24 langues officielles dans l’Union européenne ?



&nbsp;C’est comme si on accusait les ouvriers et les ingénieurs d’une usine d’influer sur les qualités d’un produit au lieu de rendre responsable le conseil d’administration de l’entreprise. J’ai l’impression qu’on nage dans une suspicion déraisonnable. C’est quoi le problème en fait ? Vous voudriez qu’on élise toute l’administration d’une institution ?

Le 03/10/2018 à 14h 36







yvan a écrit :



On peut être plein d’arrières pensées et dogmatique et ne pas être 100% dans le faux… je parlais du fond, ça ne signifie pas que je partage le reste des opinions de la personne. <img data-src=" />






  Moi non plus, je n'ai pas dit que hansi ne disait que des bêtises, mais les biais de ses affirmations sont nombreux et ses affirmations sont binaires (élus "achetés", "trahison"). Pareil pour l'expression "parlement fantoche" qui est inexacte : le Parlement européen vote le budget européen, participe au pouvoir législatif et approuve la nomination des commissaires européens. Il faut rappeller que l'UE est une union d'Etats-membres. Ce n'est pas un Etat représentant des citoyens mais plutôt une organisation qui rassemble des d'Etats.        

&nbsp;







yvan a écrit :



Ca dépend sur quel sujet. Sur les questions de justice européenne ou de normes de qualité, sanitaires etc. oui. Sur la gouvernance économique et militarodiplomatique (c.a.d. l’essentiel) je ne trouve pas.






  la défense ne fait pas partie des compétences de l'UE, malheureusement. Pour le reste, je ne vais pas me répéter mais question transparence et corruption, l’État a plutôt des leçons à prendre et devrait s'inspirer des pratiques qui ont cours dans les institutions européennes. A ce propros, je conseillerais l'essai qui vient de paraître écrit par Catherine Le Gall et Denis Robert (journalistes d'investigation, spécialisés dans la corruption des multinationales).        

&nbsp;

&nbsp;





yvan a écrit :



C’est un parlement moins fantoche depuis qu’a été gravé dans le marbre le principe d’une gouvernance économique de type capitaliste libéral (pour la droite) ou ordolibérale (pour la gauche) … (les esprits chagrins diraient depuis que l’essentiel de ce qui doit échapper aux élections est sauf donc ça y est on peut laisser les neuneus aller aux urnes). Mais ça reste un parlement sans initiative légale et au vote purement consultatif sur plein de sujets.



   Il est vrai qu'avant le traité européen c'était sur tous les sujets... et on entendait déjà dire que "non mais c'est réducteur" quand on osait critiquer l'europe  :langue: &nbsp;








  Comme dit plus haut, le parlement européen vote le budget de l'UE et vote des amendements. le RGPD a été écrit en grande partie par le Parlement européen. And last but not least, le Parlement européen représente les citoyens européens et permet d'ouvrir des débats et d’interpeller les commissaires et les chefs d'Etat (J-C.Juncker - E.Macron). Il y a certes des compétences législatives qui échappent au Parlement européen et qui sont du ressort exclusif du Conseil de l'UE (les ministres des États-membres), malheureusement... ou pas si on considère que l'UE est une association d'Etat et ne représente pas les citoyens.

Le 02/10/2018 à 19h 10







yvan a écrit :



Les deux, et sinon l’instance décisionnaire en Europe ce n’est pas le parlement qui est un parlement fantoche.



    C'est soit la commission soit le conseil donc bien des responsables politiques. ...








   Le pouvoir législatif européen est partagé entrele Conseil de l'UE et le Parlement européen. S'il y a quelque chose à redire dans les institutions européennes, ce serait plutôt au niveau du Conseil européen (les chefs d’États) et du Conseil de l'UE (les ministres, l'exécutif de chaque État-membre) : les exécutifs des États-membres&nbsp; disposent donc à la fois de dispositions exécutives (partagées avec la Commission européenne, nommée par le Conseil européen) et de dispositions législatives.    La "Gouvernance" est irréprochable, mais question séparation des pouvoirs, on a vu mieux.      






   C'est un peu réducteur de parler de "parlement fantoche", il faudrait plutôt dire que l'UE n'est pas un État fédéral, mais un ensemble d’États qui décident ensemble (et qui ont de plus en plus de mal à s'entendre à 28 dans ces institutions bancales).         






   &nbsp;         







yvan a écrit :






    Il y a bien un problème de double discours et de corruption en Europe.          

...








    Il y a sûrement plus de corruption au sein du gouvernement français qu'au sein des institutions européennes, vue la transparence exigée au sein de l'UE comparée à la culture politique parisienne.         






   &nbsp;         







yvan a écrit :






    Son commentaire n'est ni idiot (je pense que c'est toi qui connais mal le fonctionnement européen) ni si caricatural que ça (même si en quelques lignes le raccourci est vite venu).








    hansi est un anti-fédéraliste et un souverainiste qui&nbsp; pense que la France est un grand pays. Evidemment, il ne va pas dire que l'UE comporte des avantages.

Le 02/10/2018 à 07h 52







Agikyw a écrit :



Il n’est pas de ton avis donc c’est un connard ? Je ne sais pas trop ce que je devrais dire à ton sujet alors.




Bien que la forme de son commentaire soit catastrophique, il pose des questions de fond intéressantes. George Soros est connu pour pousser ses idées politiques à travers des dons (un lobby donc) et je préfèrerai largement un fonctionnement plus sain avec de multiples donneurs (à la Next Inpact).      

...








Non, il n'y a pas que "la forme" de catastrophique dans ce commentaire. Les lieux communs qui y sont exprimés relèvent du préjugé malsain.      





&nbsp;En l’occurrence dans la phrase qui parle de George Soros.&nbsp; Je cite : “n’oubliez pas le sulfureux milliardaire Georges Soros, rien que pour ça cette association devrait disparaitre”. Arrêtez-moi si je me trompe. C’est donc être sulfureux que d’être milliardaire ? Et après avoir reproché à Jérémie Zimmermann de mentir en parlant de burn-out, après avoir conspué le statut d’association, je vais dire le fond de son commentaire n’en mène pas large, vraiment pas. Et les sous-entendus nauséeux à propos des 2 personnes cités, sont au mieux un procès d’intention en raison de leur nom (on aura compris: argent, influence, complot sont les préjugés que véhiculent, depuis près de deux siècles, les courants antisémites).&nbsp;



Et concernant votre argument qui me semble un peu plus réfléchi que ceux de 0ff, je rappelle que LQDN est un lobby (un groupe de pression). Ce n’est pas un gros mot “lobby”. Cela dit, qu’un donateur soit trop important dans les recettes d’une association rend cette association fortement dépendante de cette personne. Effectivement, ça peut poser problème, mais ce n’est pas complètement rédibitoire non plus.


Le 01/10/2018 à 21h 32







gogo77 a écrit :



À lire les commentaires on croirait que quelqu’un est mort <img data-src=" />





Il est mort ! Il est mort le Soleil quand tu m’as quitté !


Le 01/10/2018 à 21h 31







0ff a écrit :



Un burn-out pour un membre d’une assoc ? MDRRR ! Qu’est-ce que je suis en train de lire ?







oh! la belle généralité toute en finesse comme je les aime.


Le 01/10/2018 à 15h 51

Ah! le bonheur des AG ! C’est sûr qu’à moins de 10 personnes dans la salle, on s’entend mieux.



NB: quid de l’anarchisme ou de l’autogestion sur la base de ce cas pratique ?

Le 06/10/2018 à 16h 04

Quelle est la différence entre les gammes “Mi” “Redmi” “Pocophone ?

Le 05/10/2018 à 23h 52

– in… in… infox!!

– à tes souhaits.

Le 05/10/2018 à 11h 29

info ou intox?” demande Thierry Ardisson.

“infox” répond la commission d’enrichissement de la langue française.

Depuis, Thierry Ardisson a envoyé la facture pour ce nouveau terme administratif qui gouverne tous les autres.

Le 05/10/2018 à 13h 51

Si vous pouviez développer vos solutions, ça m’intéresse. Sinon votre commentaire m’a l’air de ressembler à tous ces commentaires fréquents dans le web 2.0 : on étale ses préjugés, ses ressentiments et son indignation pour tout et n’importe quoi en quelques minutes de façon péremptoire et sans rien apporter de nouveau.



Comme je l’ai dit précédemment sur ce fil de commentaires, je ne sais pas ce que souhaite faire Google, mais je ne vois pas le mal à diversifier les profils de candidats, surtout pour des podcasts. C’est vous qui utilisez l’expression “discrimination positive”. L’universalisme est un joli dogme qui vaut bien celui du communautarisme.

Le 05/10/2018 à 13h 45







Sirodo a écrit :






 Mais comme je le disais, mon discours ne semble plus être avoir la cote, du coup je vais continuer de sélectionner mon médecin, mon mécano, mon youtubeur ou mon représentant politique sur la base de ses idées ou de son talent/qualité de prestation, pas sur sur des critères génétiques visibles, mais je ferais ça discrètement, promis.







Il n’est pas question de racisme. Là, vous parlez d’un autre sujet. Encore heureux que vous choisissez vos prestataires selon des critères de qualités professionnelles. En tout cas, je vous le souhaite. D’ailleurs, la honte ou la fierté n’a rien à voir là dedans : cette dernière phrase est inepte.



&nbsp;





Sirodo a écrit :



…&nbsp;



 Promouvoir quelqu'un sur la couleur de peau ou le fait que son appareil reproductif est aussi intéressant que de sélectionner quelqu'un&nbsp; parce qu'il est roux, gaucher, bisexuel, chauve ou que sais-je encore pour me faire entendre des podcasts: cela n'a aucun lien avec la qualité de leur prestation.       

...







Dans la Société, il y a plein de gens différents qui ne fréquentent pas les mêmes milieux, qui n’ont pas accès aux mêmes réseaux, etc. Parmi ces gens, il y en a quelques-uns qui feraient un travail différent si on leur permet de se former et de développer des compétences. Rien n’est figé dans l’enseignement, tout se transmet et s’additionne. La caricature que vous présentez dans ce paragraphe, j’ose penser que vous n’y croyez pas sincèrement. Mais vous ne serez pas obligé d’écouter les podcasts de Google, ce sera un moindre mal pour vous.



&nbsp;



Sirodo a écrit :



Premièrement, il y a des personnes de couleur et des femmes dans les villes occidentales, je dirais même plus que dans les campagnes.



 Deuxièmement, la diversité la plus importante, c'est celle des idées, et ce n'est pas ce que google défend ici.       









Et les idées sont cultivées comment si ce n’est par l’augmentation de la diversité et par la rencontre de personnes vivant dans des milieux différents ? Cultiver l’entre-soi n’a jamais développé la diversité des idées.



Cela-dit, je ne sais pas ce que souhaite réellement faire Google avec ses podcasts. Vous avez l’air d’avoir des infos. Ca m’intéresse que vous m’expliquiez ce que “défend” Google ici ?


Le 05/10/2018 à 10h 23

D’ailleurs, Science po Paris ouvre régulièrement une partie de ses places à des candidats qui n’auraient pas l’opportunité de postuler à la sélection “classique” mais qui ont du potentiel:&nbsp;https://www.sciencespo.fr/à-propos/une-université-ouverte-à-tous

Le 05/10/2018 à 09h 56

Justement, comme les podcasts sont l’apanage des urbains occidentaux et que Google Podcasts App a vocation à diffuser une diversité de choix venant du monde entier, il est utile d’atténuer ce biais sociologique en adaptant la sélection des candidats podcasteurs à des profils différents.



Autrement-dit, parler de “meilleurs talents” (d’ailleurs, qu’est-ce que le talent?), c’est promouvoir le mérite qui est une inventionde ceux qui détiennent le pouvoir : la caste des gens déjà en place et qui refuse de promouvoir des “talents” émergents qui pourraient changer l’ordre établi.

Le 04/10/2018 à 21h 09







TheKillerOfComputer a écrit :



Même sans y être intéressé, il suffit qu’elles passent… Les gens vont faire autre chose mais le cerveau écoutera quand même. L’important n’est pas vraiment de montrer les nouveaux produits à la masse, mais de rappeler l’existence de la marque. Il suffit de voir les publicités Dyson par exemple.









sephirostoy a écrit :



A part les gens qui en vivent, il y a vraiment des gens qui sont intéressés et / ou trouvent utiles les pubs ? Cette idée même m’est totalement inconcevable.





Vu les audiences de TF1, JC Decaux, Facebook et Google, les gens, même s’ils ne sont pas spécialement intéressés, sont indubitablement accros à la publicité. D’ailleurs, pour compléter la réponse de TheKillerOfComputer, la publicité commence sur l’emballage du produit que les gens achètent dans le supermarché. Tout le reste n’est que de la présence de marque dans le quotidien des gens, de l’affichage pour être assimilé comme une idée positive et apprivoisée de longue date.


Le 04/10/2018 à 20h 48

En lisant Wikipedia, j’apprends à l’instant que Aurore Bergé serait, me dit-on, la fille de la voix de doublage de Sylvester Stallone, et sa mère serait la voix de doublage d’un personnage de “Amour, Gloire et Beauté”. Je comprends un peu mieuxd’où vientsa vocation politique.

Le 04/10/2018 à 20h 44

Se faire élire sur une étiquette est relativement facile quand on fait partie de la majorité présidentielle qui vient d’être choisie quelques semaines auparavant. Et il y a bien pire que Aurore Bergé en terme de comportement d’élu à l’Assemblée nationale (hors toute considération d’opinion politique). Notamment en terme de rhétorique foireuse, il n’y a pas pire qu’un énarque (qui est formé spécifiquement au discours publique).

Le 04/10/2018 à 16h 34

BFM Paris is the new Youtube of smartTV.

Le 04/10/2018 à 16h 18

Et là… J’ai éteint la télé, ça rend maboule.” (Bruno Salomone - Boulas)

Le 04/10/2018 à 10h 30

“Mars ou crève”. Cette fois c’est la bonne ! Hop! Hop! Hop! On réforme !

Le 03/10/2018 à 19h 10







shadowfox a écrit :



Laaarson, je vais te faire bobooooo !









PercevalIO a écrit :



Hélas, le doubleur des méchants est décédé (je ne sais les son nom par contre…) . …





&nbsp; Maurice Sarfati


Le 03/10/2018 à 10h 08

PSA est déjà une entreprise presque chinoise et Renault est une entreprise presque nippone. Un peu qu’il y a de quoi être inquiet.

Le 03/10/2018 à 09h 42







ajangot a écrit :



Je ne comprends toujours pas comment on peut chiffrer des frais d’incidents pour un compte bancaire sachant que c’est des machines qui effectuent les transactions, à la rigueur je peux comprendre les agios mais des frais à chaque transaction sans justification des couts réels, non!!






      En vérité, même si c'est automatisé, il y a quand même une administration commerciale à faire tourner (des coûts fixes). Il y a bien sûr un réflexe très opportuniste de la part des banques françaises (qu'on peut légitimement dénoncer en tant que consommateur), mais il y a aussi une organisation très "XXe Siècle" des banques "traditionnelles" qui justifie ces frais. Attention, je ne suis pas en train de défendre les grands réseaux bancaires français, je dis seulement une réalité qui est que la banque de détail a, actuellement, à peine amorcé sa transition numérique et fait face actuellement à une dérégulation du secteur bancaire qu'elle n'a pas su ou pu anticiper (suppression d'effectifs, réorganisation, investissements dans les systèmes informatiques, etc). J'ajoute qu'en France, il n'y a que 5 ou 6 gros groupes bancaires qui sont des colosses solides par la capitalisation, mais fragiles par le manque de réactivité que cela implique face à l'émergence de nouveaux rivaux qui offrent des services différents ou plus efficaces en terme d'offre commerciale.

Le 02/10/2018 à 09h 57

J’aimais bien la sélection par critères en en-tête de la liste des produits. Le nouveau site ressemble à ce qui se fait partout, même si graphiquement c’est plutôt bien.

Le 01/10/2018 à 20h 41

Putain il a quitté le floutage!” (index 1:34 de la vidéo)

Le 01/10/2018 à 17h 08

oui, je suis bien d’accord, je pensais qu’il était évident que mon commentaire parlait de la culture US et des opinions des électeurs US. Si j’avais parlé de la diplomatie US, je l’aurais évidemment précisé, vu que je répondais à odoc qui parlait du fait d’être élu et de l’aspect démocratique des décisions de D. Trump face à la décision de l’État de Californie.



&nbsp;      

cf. ma réponse #4à Norde ci-dessus, et accessoirementmon commentairesous l'article de vendredi dernier intitulé "Directive droit d'auteur : la gymnastique dangereuse de la Quadrature du Net"

Le 01/10/2018 à 13h 23







odoc a écrit :



Le fait d’être élu ne donne pas des droits divins non plus.




 1)  Trump a pris cette décision sans concertation et uniquement pour faire plaisir à ses amis et non pour l'intérêt général       






 2) Niveau démocratie, on peut aussi indiquer que le gouverneur de Californie et son assemblée ont également été élus, mais au suffrage direct, donc théoriquement ils sont plus représentatifs et donc plus légitimes qu'une décision prise par Trump qui a été élu au suffrage indirect tout en ayant perdu sur le plan du nombre de voix.








 1) Obama a favorisé pour les mêmes raisons la Neutralité du Net pour faire plaisir aux multinationales de l'économie du numérique : Trump nomme un ennemi de la neutralité du Net à la tête de la FCC (Next inpact - 24/01/2017). Cela sans compter qu'aux USA, la liberté économique est une vertue. Et engager l’État dans une régulation d'un secteur économique est très mal vu par une partie de la population (l'électorat classique du parti républicain), même si c'est aux bénéfices des consommateurs. L'Etat fédéral a toujours préféré les lois anti-trust qui découpent régionalement un acteur en situation de monopole que de prévenir le risque d'une domination économique d'un acteur sur l'ensemble de l'économie (cas de Standard Oil de Rockfeller, cas de AT&amp;T).      






2) On peut... mais les institutions aux USA sont ainsi faites que l’État fédéral a des prérogatives qui ne sont pas celles d'un État intégré aux Etats-unis d'Amérique.

Le 01/10/2018 à 13h 13







Jarodd a écrit :



Et donc ?

La FCC suit l’avis de Trump, il paraît qu’il a été élu

démocratiquement. Il faudrait donc rétablir la neutralité sur ce seul

fait, “on n’est pas contents” ? Dans ce cas il y aurait des millions

d’américains mécontents aussi <img data-src=" />





ça me fait penser que les USA se divisent en 2 groupes d’États depuis la guerre de sécession :





  • les États du Nord et de l’Est (les 13 colonies primaires et les Etats les plus industrialisés)

  • les Etats du Sud et les anciens territoires de l’Ouest (la ruée vers l’or, les derniers territoires “sauvages” et les anciens états espagnols Nord-américains)



    &nbsp;Et, je suis bien d’accord, légalement, la neutralité du net concerne l’État fédéral car c’est un enjeux qui dépasse les frontières de l’État de Californie.


Le 01/10/2018 à 12h 58







Norde a écrit :



Pas sur, ce n’était pas une promesse de campagne (même si c’était prévisible vu l’avis de Trump sur le sujet).



       &nbsp; ...








  Le parti républicain, et D.Trump en particulier, n'ont jamais caché leur vision d'une économie sans régulation à l'intérieur des frontières nationales : La neutralité du Net risque une année 2017 difficile aux États-Unis&nbsp; (Nextinpact - 21/12/2016)      

&nbsp;

D'ailleurs, on peut facilement se rendre compte que les géants du web étaient des grands financeurs des deux campagnes électorales d'Obama, alors que l'administration Trump est plutôt influencée par les câblo-opérateurs.

Le 01/10/2018 à 13h 33

Sûrement, pourtant c’est un terme qui est utilisé dans l’article et que visiblement il fallait expliciter. Dont acte.

Le 01/10/2018 à 12h 43







Kevsler a écrit :






  'Fin bref... J'trouve qu'il y a plus choquant dans ce sombre torchon que le sujet de l'harmonisation des lois.








  Pourtant, ce qu'on appelle "l'extraterritorialité du droit européen" est un point fondamental du RGPD car on ne prend pas en compte le siège social de l'entreprise qui collecte et traite des données personnelles, mais la résidence de l'utilisateur qui consent à confier ses données personnelles à un tiers. Ceci dans le but de supprimer toute vélléité d'un collecteur de données personnelles de se soustraire au réglement européen (l'argument facile qui consistait à considérer que les données étant expatriées hors UE ne tient plus).

Le 01/10/2018 à 07h 36







bayartb a écrit :





Se réfugier derrière un algorithme, c’est tricher. Quand Facebook écrit l’algo qui va trier une timeline, le tri résultant n’est pas choisi en fonction d’un paramétrage de l’utilisateur (comme dans un lecteur de flux RSS où je choisirai l’ordre d’affichage des articles selon mes critères d’utilisateur final), mais en fonction de critères qui servent essentiellement les intérêts de Facebook. L’effet de ça est diffus, mais certain. C’est la mise en avant des contenus qui clashent, parce qu’ils créent de l’engagement de la part de l’utilisateur, et donc augmentent la quantité de cerveau disponible qu’on peut vendre au publicitaire.



Quelle est la nature exacte de ces outils ? Compliqué à dire. Éditeur, c’est peu adapté. Par exemple parce qu’ils ne valident pas les contenus un par un avant publication, et que donc les tenir responsable des injures et des difamation, au sens de la loi de 1881, c’est délicat. Héberger, c’est peu adapté. Ils jouent un rôle très actif dans ce qui est diffusé, toutes les affaires récentes le montrent. Et leur position hyper-centrale leur donne un pouvoir de nuisance colossal. Twitter, ce n’est pas une instance Mastodon en plus gros. C’est autre chose. Sa nature est différente. Et sa taille joue, dans la définition de la nature de l’objet.



Typiquement, la taille et la centralisation devraient avoir des conséquences en matière de protection de la liberté d’expression.&nbsp; En effet, se faire censurer sur une instance Mastodon, c’est quelque chose de relativement faible, le fediverse est composé de ~4000 serveurs, être malvenu et maltraité sur un de ces serveurs porte moins à conséquence qu’être malvenu et maltraité par un système entièrement centralisé. La centralisation crée la toute-puissance du point central. Et la toute-puissance associée à une taille surhumaine, ça ne peut pas être sans conséquence.



...











Quiproquo a écrit :



Sur le fond je suis d’accord avec LQDN&nbsp;: Facebook (par exemple, mais c’est vrai de Youtube) n’est pas un hébergeur, il filtre, agrège, utilise les publications de l’utilisateur pour produire du contenu. Cela n’a rien à voir avec Wikimedia (pour prendre un autre géant du Web), qui lui laisse aux utilisateurs le soin d’assumer les rôles de rédacteur, éditeur…



… Aux associations de consommateurs de monter aux créneaux pour défendre les droits des consommateurs* si elles estiment que leurs droits ne sont pas respectés, tandis que la Quadrature défend les acteurs (qui peuvent être les mêmes).





* Pour moi, publier un tweet n’est pas produire du contenu, mais consommer le produit Tweeter, l’effet du tweet étant plus de nourrir la machine à monter en épingle que de diffuser un message. Ça ne va pas dans le sens de l’équipe, Tweeter étant rapidement devenu l’opium des journalistes, mais qui aime bien châtie bien.





Pour ma part, je suis d’accord avec LQDN dans le sens où je pense que la décentralisation est une bonne chose car c’est l’essence d’internet. Cependant, à mon humble avis, j’imagine des plateformes centralisées (ex: Facebook ou Twitter) comme des services de “broadcasting” ou de publication (des médias, des opérateurs de

communication et de publication), alors que j’imagine une instance Mastodon comme un outil ou un service d’intérêt public à l’instar d’un service mail.



&nbsp;Autrement-dit, si j’exagère (légèrement) pour être plus explicite, je pense que Facebook pourrait facilement être régulé par le CSA, alors que Mastondon devrait être régulé par l’Arcep (si besoin était de réguler ces services). Car Facebook ou Google News (qui font de l’éditorialisation automatisée) s’apparentent plus à un journal d’annonces à l’instar de leboncoin.fr qu’à un service postal ou de télécommunications. Mais je sens qu’on va m’objecter que Whatsapp ou Skype ou Facebook messenger rendent (entre autres) des services de télécommunications.


Le 29/09/2018 à 06h 18

« T’as eu l’impression de pointer du doigts des méchants de James Bond?) »



Je ne pointe personne du doigt, je propose simplement mon point de vue. Au pire ai-je pointé du doigt un problème de l’UE.



&nbsp;

« car un état régalien efficace c’est le caractère NUMERO UN du libéralisme ! Les libéraux ne sont pas des anarchistes… Donc vraiment tu te trompes pas de sujets, mais de combattants. »



&nbsp;Et vous, vous vous trompez sur mes intentions car c’est exactement ce que je dénonce dans mon commentaire précédent : je dis qu’il n’y a pas d’État régalien qui dirige l’UE, il n’y a pas de fiscalité européenne, et c’est un gros problème.





« “mi chemin entre néolibéralisme et absence d’État régalien efficace”



 Voilà ce qui arrive quand on a pas vérifié la définition des mots, on dit tout et son contraire en une seule phrase.       






 C'est vraiment dommage car les trois premiers paragraphes étaient très intéressants et j'aurai bien rebondi. Une analyse je pense pertinente  qui amène a une conclusion qui a juste raisonné comme "What the.. hein.. mais HEIN ??!" »  





C’est un constat que je fais ici, ce n’est pas une conclusion : à vouloir faire du néolibéralisme sans Etat, et d’autant plus face au capitalisme autoritaire chinois et au capitalisme conquérant d’outre-atlantique, le néo-libéralisme intégral de l’UE ne joue pas avec les mêmes règles : l’UE pourra bien réguler ce qu’elle veut sur son territoire, elle pourra toujours faire des enquêtes d’abus de position dominante sur son marché commun, le patrimoine des entreprises européennes vont quand même être, morceau par morceau, récupéré par les USA ou la Chine (Alstom, et aussi Peugeot, EDF,… sont déjà des exemples pour ce qui est de la France).





« “néo-libéralisme intégral en vogue en UE.” INTEGRAL, VRAIMENT, genre comme dans on fait ce qu’on veut en Europe dans la sphère économique par exemple »



Non, je dis “néo-libéralisme” car c’est la théorie économique qui inspira le Monde après le keynésianisme et les “30 Glorieuses”, et je dis “intégral” en comparaison avec le “capitalisme autoritaire” de la Chine et le “libéralisme conquérant” des États-unis. Je pensais que cette expression était compréhensible après avoir écrit que la mondialisation avait changée et après avoir écrit que D.Trump avait une stratégie industrielle particulière.

Le 28/09/2018 à 19h 33

Le problème que je vois à cette directive “copyright” ou “droit d’auteur” est que l’UE ne s’attaque pas au vrai problème sous-jacent : la fiscalité européenne. L’UE est très forte pour réguler les marchés économiques, sauf que la mondialisation a changé, notamment avec la politique mise en oeuvre par D.Trump.




&nbsp;D.Trump est en train de mettre en place une stratégie de relocalisation de l'industrie. L'UE et la France se laissent dépecer en lambeaux : par exemple, dans le #Replay de Next inpact d'aujourd'hui, il y a un débat LCP "Droit de Suite" qui traite de l'échec Alstom et des conséquences de sa revente à GE. Comme GE, les géants du web sont en train, lentement mais sûrement, de s'accaparer le patrimoine des européens, dont les données personnelles très lucratives des résidents européens.       






&nbsp;Le RGPD a été un début de réponse salutaire, mais force est de constater que sans une fiscalité européenne, l'UE part à la déroute : le Brexit, les nationalistes au pouvoir en Italie (avec la Hongrie et la Pologne), l'Allemagne qui protège ses exportations, la France qui suit l'Allemagne en laissant augmenter son chômage et sa dette publique, ... Tout ça va finir par une atomisation de l'UE et de l'euro si une fiscalité européenne n'est pas mise en place rapidement.       






&nbsp;Les Géants du web ont beau jeu de profiter du néo-libéralisme intégral en vogue en UE. J'écoutais, aujourd'hui,le président de Qwant sur BFMTVse plaindre du choix de Renault d'utiliser Google dans ses voitures. AMHA, si la France et l'UE continuent dans cette absence de politique économique volontariste, à mi chemin entre néolibéralisme et absence d’État régalien efficace (au niveau européen ou au niveau national), on pourra toujours définir Google search, Whatsapp et Twitter comme on veut (plateforme, hébergeur, éditeur ou exploitant d'IoT), l'UE sera "dispersée façon puzzle" (dixit M.Audiard) en un clin d'oeil, sans qu'on y prenne garde.

Le 01/10/2018 à 06h 22







boogieplayer a écrit :



Rha putain. J’ai l’une des mes sociétés chez qonto, justement pour échapper aux gros graisseux de la banque.



Merde !





Moi, je fais pareil avec mes opérateurs mobile et, il y a quelques années, Simyo s’est fait racheté par Bouygues Télécom. :-/&nbsp; Aujourd’hui, je suis chez Prixtel et Syma, pour le moment, ils tiennent le coup tous les deux.


Le 28/09/2018 à 19h 55







odoc a écrit :







  1. c’est le même niveau d’arnaque que l’homéopathie, sauf exception dans les pays dit riches

    …&nbsp;



    &nbsp;

    à la différence que l’excès de vitamines peut possiblement être néfaste alors que homéopathie n’a que des effets bénéfiques est sans danger. <img data-src=" />


Le 28/09/2018 à 00h 40







Freud a écrit :






 Il y a eu bien pire : il y a presque 15 ans, PCInpact avait organisé un concours, puis estimé que tous les participants qui avaient une adresse IP commune étaient des tricheurs, et publié leurs noms (ou pseudos? Je ne sais plus) suivis de "Tricheur!" dans une news. Se faire chevalier blanc de la protection des données après ça, c'est un peu gros (bon, l'eau a coulé sous les ponts depuis, c'est vrai).








 Sauf erreur de ma part, révéler l'identité d'un pseudonyme , d'une IP n'est pas forcément condamnable : ça me rappelle l'affaire de Denis Robert qui avait "outé" (révélé) l'identité de twittos qui tenaient des propos haineux pendant les débats de la loi Travail. Chacun assume ses propres actes, l'anonymat est très relatif sur le web.

Le 27/09/2018 à 20h 28

Moi, dans les années 2000 et début 2010, je lisais plutôt Le Point (papier), “ça m’intéresse” (papier), Ratiatum/Numerama, Degroupnews, Quechoisir et Arretsurimages. Aujourd’hui, je lis Nextinpact, Twitter, Facebook et 60millions-mag : comme quoi, le web a bien changé… Moi aussi.

Le 27/09/2018 à 20h 18

Je vous parle d’un temps que les moins de 20 ansne peuvent pas connaître

Les temps changent

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Tout ça pour dire que le web devient la norme en terme de support d’information en remplacement du support papier, et aussi de la radio et de la TV. Le web n’est plus une “zone de non droit” publicitaire, car maintenant le web publicitaire appartient aux géants de l’internet. Il faut bien payer les journalistes, alors on fait comment dans notre système néo-libéral ? Le consommateur paie, d’autant qu’aujourd’hui, l’abonnement est devenu la norme au lieu de l’achat unitaire.

Le 27/09/2018 à 14h 09

Il y a tout de même des freins à l’usage d’une banque en ligne : 1- il faut correspondre aux conditions (explicites aux CGU et implicites: une banque peut refuser un client sans motif), 2- les changements tarifaires: j’ai moi-même quitté ING Bank en 2015 suite au changement radical de conditions générales, 3- il existe un public qui préfère parler à un humain qu’à une machine (même s’il faut reconnaître que les agences bancaires actuelles sont plus remplies de guichets automatiques que de vrais conseillers).



&nbsp;Et dernier point qui découle du dernier point, 4- Même si les banques à réseau “physique” abusent de leur omniprésence, les banques en ligne sont loin d’offrir l’ensemble des services bancaires d’une banque physique et surtout avec la souplesse et l’accompagnement qui sont parfois appréciables pour beaucoup de clients (négociation de contrat d’assurance-vie, de prêt immobilier, etc), qui est parfois préféré à un vulgaire algorithme sur une interface graphique (mais chacun ses préférences selon la situation et selon sa personnalité).