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Cumbalero

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3956 commentaires

Le 10/05/2020 à 06h 26

“d’un client”. Un particulier de surcroît.

Le 09/05/2020 à 14h 34







Rastabib a écrit :



C’est l’excès de transparence qui dans ce cas est néfaste au produit.







C’est un point de vue: tu as le droit de préférer Kaa (cf le Livre de la jungle) qui te chante d’avoir confiance, avec des CGUs bien plus longues à lire qu’une liste des 700 admins.


Le 10/05/2020 à 06h 16







wanou2 a écrit :



Qu’il soit producteur intégré ou juste producteur délégué ça ne change rien.







Je parlais des accords de distribution exclusive et des achats de droits de produits sans qu’ils n’aient été de près ou de loin producteurs; ils ne sont là que distributeurs.



Les “programmes originaux Netflix” c’est autre chose, en outre on les trouve ailleurs que sur Netflix pour certains, House of Cards, programme 100% Netflix dans sa production a notamment été diffusé sur Canal en France.



C’est le cas sur toutes les plateformes, et c’est l’origine de nombreux commentaires dès que le catalogue évolue.


Le 09/05/2020 à 14h 26







wanou2 a écrit :



Tu crois sincèrement que Netflix n’a pas les moyens de produire tout seul ?







Beaucoup de “programmes exclusifs Netflix” ne sont que des achats avec exclusivité des droits de diffusion, pas des productions. Netflix comme les autres. La part réelle des plateformes dans des créations originales n’est pas si importante qu’elles voudraient nous le vendre.



Et si c’est pour nous sortir “Marseille”, c’est pas plus mal parfois <img data-src=" />


Le 09/05/2020 à 13h 56







ndjpoye a écrit :



Donc entre financer ces choses-là (ce qui n’incluent pas tous les petits ou grand festival), et des série sTF1/NetFlix qui trouvent leur public, je préfère le second.







Le problème que je vois c’est quand le second vient polluer le premier.



Par exemple, il me semble que les 2 premières saisons de Black mirror sont bien meilleures que les suivantes. La différence entre les 2 est que Netflix est devenu producteur. La série a alors perdu la touche britannique qui apportait beaucoup.


Le 07/05/2020 à 11h 46

Scam.

Tout est dans le nom.

Le 10/05/2020 à 05h 59







patos a écrit :



Le problème, c’est qu’avec la Fibre* de SFR,  les voleurs croient que ça vaut de l’argent.







Il ne s’agit pas ici de vol, mais de bête malveillance, sinon des tronçons seraient manquant et il ne serait pas possible de “simplement” ressouder les fibres en place quand il y a assez de mou pour le faire.


Le 09/05/2020 à 14h 20







Stel a écrit :



Je comprend rien a cette histoire, qui peut bien être contre la fibre optique ? Je savais même pas qu il y avait un débat.







Les vandales n’ont d’autre motivation que leur bêtise.


Le 09/05/2020 à 14h 37

Une belle loi à la gomme comme la loi anti fake news de 2018 qui nous protège tellement que le gouvernement nous a pondu “desinfox Coronavirus” pour nous expliquer comment penser.

Le 09/05/2020 à 14h 12

La 3, c’est tellement ça !

Et s’il n’y avait que MS… “Ma classe à la maison”, commandé à Blackboard, hébergé par Amazon est un autre exemple.

Le 09/05/2020 à 13h 43







Quiproquo a écrit :



Je te propose d’aller donner des cours de législation aux futurs professionnels de santé, ce qu’on leur enseigne actuellement est manifestement faux puisqu’aux antipodes de ce que tu professes.







Je dis simplement ce que sont les faits. Le lien entre le médecin qui prescrit et les soignants qui interviennent c’est l’ordonnance, sur laquelle n’apparaît pas la pathologie mais une prescription d’actes à réaliser.



Et je maintiens que ça ne changerait absolument rien dans les gestes qu’ils doivent accomplir. Pas plus l’infirmier qui vient prélever N tubes de sang à transmettre à tel laboratoire que l’ambulancier qui doit venir la chercher pour la conduire à la consultation de tel hôpital, ou l’aide soignant qui l’assiste dans sa toilette.


Le 07/05/2020 à 11h 29







carbier a écrit :



C’est pour cela que suite aux discussions que j’ai avec eux (pas qu’en ce moment d’ailleurs), tes affirmations me font doucement rigoler.







Rigolons ensemble si tu veux bien.



D’une région à l’autre, la situation n’est pas la même.



D’une ville à l’autre dans une région, la situation n’est pas la même.



D’un établissement à l’autre dans la même ville, la situation n’est pas la même.



Et veux me parler “des urgences”. Les urgences n’ont pas attendu cette épidémie pour être un lieu de risque important pour les soignants. Et depuis que le gouvernement a bien voulu admettre que nous sommes en situation épidémique, le premier des messages a été de ne pas aller aux urgences si on soupçonne une contagion au Covid-19.



Le tout avec des confusions comme un ambulancier et un pompier… J’ai pris 3 fois l’ambulance ces 3 derniers mois dont une fois pour moi, dans le cadre de mon suivi post don de moelle, les autres pour accompagner ma mère, qui va au minimum une fois par semaine à l’hôpital pour des soins. L’ambulancier sait les 4 choses qui déterminent sa feuille de route: le type de transport (si c’est un transport couché il faut 2 ambulanciers), le point de départ et le point d’arrivée, a-t-il le droit de charger un autre client qui serait sur la route (une pratique fort courante).



De la même façon, les infirmiers qui viennent quasiment quotidiennement ne sont au courant que de l’ordonnance, en gros le nombre de tubes à prélever.



En savoir plus n’aiderait en rien à leur mission, c’est aussi simple que cela.


Le 07/05/2020 à 11h 11







Quiproquo a écrit :



Encore une erreur. Une personne qui en reconnait une autre dans une situation de soin







Et c’est moi qui suis comme Carbier… Si je vois Macron dans une chambre ouverte, je suis censé en déduire non seulement qu’il est malade, mais en plus sa pathologie?



Tu as bien choisi ton pseudo dis-donc.


Le 06/05/2020 à 07h 46







Quiproquo a écrit :



C’est une condition ni nécessaire ni suffisante.







C’est une condition absolument nécessaire.







Quiproquo a écrit :



Je n’ai jamais dit le contraire, je ne sais pas d’où tu sors ça !







Quand tu dis ça, par exemple:

“Le fait que ces personnes ne soient pas des professionnels de santé n’a aucune incidence sur le secret médical”







Quiproquo a écrit :



Je remarque que tu as habilement éludé mon exemple du réparateur dans le service d’archivage pour te casser les dents sur le cas plus retors de l’homme de ménage. <img data-src=" />







Ton affirmation était erronée: “l’homme de ménage de ton médecin traitant est soumis au secret médical alors qu’il n’est pas professionnel de santé”. Il est lié par une autre forme de secret professionnel qui n’est pas le secret médical.



Il en est de même pour toute personne faisant une information technique sur un système contenant des données confidentielles qu’elles soient médicales ou liées à un autre type de confidentialité. N’importe quel administrateur de messagerie est par exemple lié par une clause de confidentialité et même sans secret particulier lié à l’activité de ce qu’il y a sur le système dont il a la responsabilité, la confidentialité des correspondances est garanti par la loi.



Il n’y a pas que le secret médical qui impose la confidentialité, tout simplement. Dans le passage que cite Zone Démilitarisée, il est fait mention de secret médical, puis plus bas de secret professionnel liant les personnels non médicaux.









Quiproquo a écrit :



Un autre pour la route : qu’est-ce qui interdit au coursier d’une entreprise de livraison qui reconnait Emmanuel Macron en passant devant la porte ouverte d’une chambre d’un service d’urologie d’en parler au bar du coin avec ses potes ?







Rien. Absolument rien. Qu’il s’agisse de Macron ou de mon petit frère, d’ailleurs.

Mais par quel miracle quelqu’un qui passe dans un couloir aurait connaissance de la pathologie d’un patient?


Le 06/05/2020 à 07h 12







carbier a écrit :



Tu es allé aux urgences récemment ?







Tu es allé dans un hôpital ces 3 derniers mois? Tu as été en contact avec combien de soignants?



Encore une fois: c’est mon quotidien.


Le 06/05/2020 à 07h 10







carbier a écrit :



Je vais arrêter ce dialogue de sourds très amusant mais relis mon passage et dis moi où j’ai parlé de secret médical ?

Je donnais un exemple concret où des personnels non soignants pouvaient être au courant de ton état de santé.







Tu disais n’importe quoi, pour changer.







carbier a écrit :



Pour finir même si c’est restreint, des professionnels de santé peuvent s’échanger des information sur ta santé si c’est nécessaire et contrairement à ce que tu as affirmé.







C’est ce que j’ai mis en gras et souligné, tellement c’est contraire à ce que j’ai affirmé.







carbier a écrit :



Et tant mieux d’ailleurs qu’un ambulancier échange avec une infirmière sur l’évolution de ton état pendant le transport, même si ta pathologie n’a pas encore été clairement définie (un exemple parmi d’autres).







Encore une fois, tu dis n’importe quoi. L’ambulancier par exemple n’a qu’une chose à savoir: où conduire et éventuellement des précautions particulières à prendre, en aucun cas des détails sur la pathologie du patient transporté.


Le 05/05/2020 à 13h 01







carbier a écrit :



<img data-src=" />

Décidément tu adores tronquer les phrases pour leur faire dire ce qui t’arrange <img data-src=" />







Tu mélanges tout et n’importe quoi. La santé au travail, la prise en charge à l’hôpital, le secret médical.



Reprenons le pasage que tu cites:



Toutefois, les professionnels de santé qui participent à la prise en charge d’un patient peuvent échanger des informations médicales.



Uniquement ceux qui y participent (et uniquement des professionnels de santé)



Ces informations doivent être nécessaires à la continuité des soins, à la prévention et au suivi médico-social et social du patient.



C’est donc restreint à ce qui est indispensable, bien loin de tes délires.


Le 05/05/2020 à 12h 57







carbier a écrit :



Ayant des ailes entières d’hopitaux dédiées uniquement au COVID, je doute qu’un personnel soignant ou non d’un hopital n’ait pas connaissance de ton état s’il est amené à travailler dans cette aile.







Il faudrait donc connaître son diagnostic avant d’aller aux urgences, c’est formidable ce qui se passe dans ta tête. Et non, le personnel non soignant n’a pas connaissance d’informations médicales, pas plus que tout le personnel soignant, ces informations sont connues des seuls soignants s’occupant de toi.


Le 05/05/2020 à 12h 50







carbier a écrit :



Sinon le post de Zone démilitarisée est en complète contradiction avec tes affirmations <img data-src=" />







Je voudrais bien savoir quel passage.







carbier a écrit :



Concernant le COVID un salarié peut se faire licencier s’il vient travailler en l’ayant contracté et en cachant son état, voire même s’il vient travailler en étant simplement un cas potentiel







Le Covid-19 ne change absolument rien au secret médical, ce n’est pas à ton médecin de téléphoner à ton employeur. Encore une fois, tu devrais lire aussi ce que tu postes en référence. L’employeur peut demander un avis de la médecine du travail, mais celle-ci ne donnera pas la moindre information de santé, elle pourra éventuellement déclarer le salarié inapte à tel ou tel poste. Que ce soit relatif au Covid, la peste ou un syndrome du canal carpien. Il en est de même pour les arrêts-maladie.



De la même façon que si ta compagne ou ton compagnon te refile une IST en connaissance de cause, c’est sa responsabilité, y compris pénale. Pour autant, son médecin n’a pas à te communiquer quoi que ce soit.


Le 05/05/2020 à 11h 29

Je lis tes réponses.

“toutes les personnes en contact avec un malade potentiel”, c’est toi qui l’as écrit.



A la différence de toi, et c’est ce qui me permet d’employer l’indicatif, je parle de ce que je sais. En l’occurrence, c’est mon quotidien. Tu veux peut-être me l’expliquer ?

Le 05/05/2020 à 11h 27

Et je vais compléter pour Carbier (qui parle toujours sans savoir): tant que ma mère ne m’avait pas désigné par écrit comme personne de confiance, et alors que nous vivons sous le même toit, toute communication de la moindre information médicale vers moi était tout simplement illégale.

Le 05/05/2020 à 11h 03







carbier a écrit :



Tu veux dire que dans le cadre d’une maladie infectieuse et inconnue comme le COVID, les ambulanciers, les aides soignants, les brancardiers et toutes les personnes en contact avec un malade potentiel ne sont pas au courant ?

Permet moi d’avoir quelques doutes…







Encore une fois, tu n’as pas lu, mais tu réponds.



Et non, toutes les personnes en contact avec un malade potentiel (c’est à dire n’importe quel quidam) n’a pas à avoir accès à des données médicales. Sinon, puisque tu es patient potentiel, je veux ton dossier médical complet. Ici et maintenant.


Le 05/05/2020 à 05h 20







Quiproquo a écrit :



Là, on va donner à des professionnels bien déterminés un accès à des données de santé très délimitées. Exactement comme quand tu franchis les portes d’un hôpital pour y recevoir des soins







Ce n’est pas le comptable de l’hôpital qui te prend en charge, ni le préposé au courrier: ce sont des soignants. De plus, être soignant est loin d’être une condition suffisante pour la divulgation d’une information: il y a des médecins dans les compagnies d’assurance, fort heureusement ton médecin n’a pas le droit de divulguer quoi que ce soit par exemple.



Et non, l’homme de ménage de mon médecin n’est pas soumis au secret médical, il n’a pas accès au secret médical, tout simplement.



Je vais même plus loin en te donnant un exemple précis: les aides soignants qui viennent assister ma mère dans sa toilette ne connaissent pas le détail de sa maladie. Les infirmiers qui viennent faire des prises de sang n’ont pas accès aux résultats, ils doivent juste savoir combien de tubes et de quelle volume. Les ambulanciers qui la conduisent très régulièrement à l’hôpital non plus. Ce qu’ils savent, c’est ce que ma mère leur en a dit.



Le secret médical fait partie des secrets professionnels, contrairement à ce que tu dis.


Le 07/05/2020 à 11h 49

Sarko en avait rêvé, Estrosi va l’adopter.

Le 05/05/2020 à 11h 03

Ou prenez des cours de twerk <img data-src=" />

Le 05/05/2020 à 04h 54

Montrer son cul à la caméra est certainement plus efficace.

Le 03/05/2020 à 13h 00







OlivierJ a écrit :



Pour le nombre de lits je n’ai pas vérifié







Tu as dit triplé. Puis dit que tu n’avis pas donné de chiffre, et maintenant que tu n’en sais foutre rien.







OlivierJ a écrit :



Concernant l’augmentation des budgets santés, c’est tout à fait véridique et vérifiable.







Bla bla bla. Quand on ajoute des postes d’administrateurs au détriment des soignants, on augmente artificiellement le budget. Quand on inclut dans ce budget les rattrapages des dotations des années précédentes jamais versées (sans pour autant les verser!), il augmente. Quand on inclut dans ce budget des opérations immobilières qui en étaient exclues, on l’augmente artificiellement.



Tu as lu ce que tu postes? Si ce truc de petits comptables sans envergure à la Macron avait le moindre sens, les États Unis seraient cités comme exemplaire pour leur système de soins.



Je parle du nombre de lits et de soignants. Quand les dernières lois de programmation se donnent un objectif de 70% d’ambulatoire pour 2022 et un accroissement de la concentration des structures de soin (je traduis: de fermetures d’établissements).



Les manifestations de soignants dénonçant cet état de fait depuis des années, je les invente? Toit, ce que tu as à répondre c’est un triplement (nan en fait tu ne l’as pas dit ou nan en fait tu ne sais pas) du nombre de lits.


Le 03/05/2020 à 12h 36







carbier a écrit :



Il y a eu un décret concernant l’appli ?







Quand ai-je dit ça?

Heureux d’apprendre ce fait établi.







carbier a écrit :



Quant à mes supputations il suffit de lire ton historique. Historique intéressant montrant l’emploi permanent du conditionnel







Si tu avais un seul exemple… Mais c’est du même niveau que pour les données médicales que l’État détient me concernant, tu es incapable de donner le moindre élément puisque tout ça ne relève que de ton délire. C’est comme sur ce qu’est une ARS, tu ne sais qu’afficher ton ignorance à chaque message.


Le 02/05/2020 à 16h 53







OlivierJ a écrit :



En quoi les décrets (fonctionnement normal de ce pays, on publie des décrets, rien de nouveau) posent un problème ?







Je ne parle pas de décrets d’application de lois votées par le Parlement, mais de gouverner par décret, ce qui contourne les voies démocratiques, alors que tu parles de débat.







OlivierJ a écrit :



Et là on est en état d’urgence sanitaire, pas en état d’urgence (tout court) ; là aussi, c’est prévu par nos lois.







L’“état d’urgence sanitaire”? Un régime d’exception qui n’a pas été prévu dans la Constitution. Je voudrais donc savoir à quelles lois tu fais allusion. C’est simplement une verrue de plus de ce qu’est la 5ème République et la concentration de tous les pouvoirs dans les mains d’un seul homme. C’est au même niveau d’Orban qui se fait voter les pleins pouvoirs pour mieux lutter contre un virus. Mais Orban, c’est mal, c’est un vilain populiste qui veut contourner la démocratie.







OlivierJ a écrit :



De quels chiffres tu parles précisément ? Je n’ai donné aucun chiffre.







Tu as parlé de “tripler” le nombre de lits en réa, de l’augmentation permanente du budget de la santé… au minimum ce sont des approximations bizarres. Dans les faits, ce sont de réelles contre-vérités.


Le 02/05/2020 à 16h 37







ProFesseur Onizuka a écrit :



(= TOUT privatisé imposé par l’UE), rien ne changera <img data-src=" />







Ah, l’UE… mais de quoi parles-tu? De la Commission? Du Parlement? Du Conseil? Ces 3 institutions sont-elles anti-démocratiques selon toi?



Quelles sont les compétences de l’UE en matière de santé publique? aucune. Et quand bien-même: un des principe qui régit les institutions est le principe de subsidiarité. Un concept qui est difficile à appréhender en France puisque basé sur le partage des responsabilités au sein d’une fédération.



L’UE, comme tu en parles, ce n’est que l’écran de fumée utilisé par les politiques pour masquer leur incompétence. Je te rappelle que rien de ce qui peut émaner de la Commission (probablement l’institution que tu vises) n’existe tant qu’il n’est pas ratifié par les parlements au niveau national.


Le 02/05/2020 à 16h 30







carbier a écrit :



Mon pauvre, il y aurait vote à l’AN que tu crierais au déni de démocratie quand même.







Encore du conditionnel et des supputations imbéciles. Il n’y a eu aucune consultation du Parlement, que des décrets. Ça ce sont des faits et j’utilise l’indicatif.



J’attends toujours de savoir quelle donnée médicale me concernant l’État connaîtrait, un de tes délires, il n’y a pas d’autre mot pour qualifier une telle ineptie. Ou quand j’aurais utilisé “potentiellement”.


Le 02/05/2020 à 16h 07







OlivierJ a écrit :



La France est assez centralisée, mais de dire qu’il n’y a pas de débat public, faut pas déconner.







Décrets, “état d’urgence”. Et vote consultatif à l’AN. Rien que de l’enfumage, comme les chiffres (ou ce qui veut y ressembler) que tu donnes, ou ton euphémisme “assez” centralisée. Hyper centralisée. La constitution de la Vème République n’a jamais eu d’autre objectif.


Le 02/05/2020 à 15h 31







carbier a écrit :



Excellent argument.







Il n’y a aucun débat, aucune discussion à l’assemblée.

Tu sais ce qu’est un décret?


Le 02/05/2020 à 15h 30







carbier a écrit :



Le principal c’est que tu en sois sur.

Un peu comme tu es sur des dérives potentielles d’une telle appli.







Je te demande une preuve de ce que tu avances, à savoir que l’État a des informations concernant ma santé.



Et encore une fois, tu ne réponds pas, et tu utilises le terme “potentiellement” que je n’emploie pas.


Le 02/05/2020 à 15h 28







carbier a écrit :



Vu qu’ils ont reporté la discussion à l’assemblée,







Foutaises.


Le 02/05/2020 à 14h 37







carbier a écrit :



CPAM ou CNAM si tu préfères.







Tu es formidable: je te demande un exemple d’une information médicale me concernant que l’État pourrait connaître, tu réponds en nous disant que tu ignores ce qu’est la Sécurité Sociale.



L’État ne sait même pas quels vaccins j’aurais pu recevoir durant mon service militaire.







carbier a écrit :



Après il y a un mot qui tu utilises beaucoup et qui a du t’échapper dans ce que j’ai écrit: potentiellement.







Je parle de faits et à l’indicatif.

Nombre de fois où j’ai utilisé le mot “potentiellement” sur ce fil (ce que chacun peut vérifier): zéro. Ce qui selon toi est “beaucoup”. Quand je dis que tu n’es pas foutu de bâtir un argument…


Le 02/05/2020 à 11h 28







carbier a écrit :



C’est sur que l’Etat a besoin de cette appli pour avoir potentiellement des infos sur ton état de santé. <img data-src=" />







Comme ? Juste un exemple.



Je demande, mais c’est simplement parce que j’aime rire et que tu te ridiculises à chaque fois. Redis-moi ce que sont les ARS, déjà? Ca vaut toutes les rediffusions des films de de Funès.



Et qui parle de l’État, encore une fois, si ce n’est toi? Le BT est largement utilisé par de nombreuses entreprises pour analyser ton comportement en magasin, sans compter que le déploiement d’une telle appli s’appuierait sur Google et Apple.



Et si tu relis ce que j’écris, concernant ma localisation dans les transport, je dis que je trouve que c’est un compromis acceptable (je suis incroyablement plus réservé sur la vidéo surveillance) vis à vis du service rendu. Là, l’appli ne rendrait absolument aucun service. Tu as lu l’article au moins? C’est juste un argument de plus dans la longue liste.


Le 02/05/2020 à 09h 23







carbier a écrit :



Je suis sur que si l’Etat disait développer une flotte de voitures autonomes avec suivi, géolocalisations et mise à jour OTA de celles-ci tu serais le premier à crier partout au complot et à Big Brother.







Tes présomptions sont aussi ridicules que la construction de ce que tu penses être un argumentaire.



Si au moins tu avais lu ce que j’écris. J’utilise déjà des véhicules autonomes (depuis 1983), et toutes mes utilisations sont déjà tracées. Par qui? Par une société d’économie mixte partagée entre la Métropole et la SNCF, c’est à dire 2 structures qu’on peut tout à fait considérer comme étatiques. Ce qui est aussi le cas quand tu fais le contrôle technique de ta bagnole ou que tu stationnes sur la voie publique. Mais toi, tu files aussi ce genre de données à un assureur, à un garagiste, à un logiciel de navigation… Et j’ai bien moins confiance dans ces structures privées qu’en l’État.



L’État sait déjà où j’habite, où je bosse et comment je me déplace, le simple fait qu’il n’existe aucun véhicule immatriculé à mon nom, avant même mon abonnement à un réseau de transports publics, lui dit.



L’État n’a pas, par contre, et pas plus que toute structure non liée au secret médical, à détenir la moindre information sur ma santé. Libre à toi de ne pas souhaiter faire ce distinguo.


Le 02/05/2020 à 09h 03







tazvld a écrit :



Les opérateur téléphonique pourrait tout à fait te fournir une connexion sans fil sans avoir à conserver où tu t’es connecter. Cette conservation de données n’est pas une contrainte technique.







C’est d’une part une contrainte légale, d’autre part une donnée indispensable pour connaître les besoins de maintenance et de déploiement des réseaux. C’est également nécessaire à la facturation.



De mon point de vue, ce n’est pas l’existence de cette donnée qui est problématique mais ce qui peut en être fait et par qui. Et encore une fois, personne ne t’oblige à avoir un abonnement cellulaire.


Le 02/05/2020 à 06h 45







vizir67 a écrit :



Et aussi cet enthousiasme que suscitent les voitures autonomes qui arriveront un jour…







Ca ne sera pas pire que la bagnole individuelle, dont je te rappelle qu’elles sont toutes identifiées ne serait-ce que par leur plaque minéralogique scannée plusieurs fois par jour, dont tu entres le numéro sur des bornes pour pouvoir stationner dans l’espace public, et pour laquelle tu livres déjà un grand nombre d’informations à tout un tas d’acteurs. A chaque fois que tu fais le plein, que tu fais le CT, que tu l’assures…



La voiture autonome c’est un mot générique pour dire tout et n’importe quoi. Si c’est, et c’est ce que je souhaite, un moyen de compléter l’offre de transports publics, en quoi ça sera différent de ce qui existe déjà? Je badge à l’entrée du bus, du métro… et suis en permanence filmé. J’ai pas dit que ça me plaît, mais je trouve que c’est un compromis acceptable car il me permet une liberté de déplacements que je n’aurais pas autrement. La bagnole autonome individuelle, ça n’a juste aucun sens, si ce n’est qu’enrichir ce guignol de Musk.


Le 02/05/2020 à 06h 38







vizir67 a écrit :



surtout que quand on voit la ‘carte des départements’ (14 en “rouge”, ET 34 en “vert”)




  • est-ce, bien utile, de confiner (2 mois) TOUTE la ‘France’ ?

  • pareil pour la réouverture des : restaurants, bars, cinémas, musées, etc… <img data-src=" />







    C’est justement pour limiter la propagation du virus que le confinement a entre autres été fait, non? Au moins sur ce point, il y a eu une réussite.



    Pour ce qui est de la réouverture des restos, c’est là qu’on va rigoler. On va pouvoir retourner au taf, mais on va manger où? Si je prends l’exemple de mon job, on a une salle de pause de 20m² avec 2 micro-ondes pour une petite centaine de personnes. C’est pas une appli à 2 sous qui va changer quoi que ce soit à cet état de fait. Surtout que je vais au taf en transports en commun. Les “gestes barrière” dans le métro, on va rigoler. Perso, je vais rester en télé-travail, et je suis bien conscient de ce privilège.


Le 02/05/2020 à 06h 31







tazvld a écrit :



Dès lors que tu te connecte au réseau mobile, t’es fliqué, on peut savoir où ton téléphone s’est connecté, et avec qui tu as communiqué (relevé téléphonique).







C’est une contrainte technique pour accéder au service. Tu es libre de ne pas avoir de téléphone, de l’allumer ou l’éteindre et du choix de l’opérateur.



Ton raccourci revient à dire que tu es fliqué par ton boulanger qui connaît tes habitudes de consommation de pain.


Le 02/05/2020 à 07h 55







SebGF a écrit :



Définition du terme : Qui s’impose avec le caractère d’une obligation, qu’il faut absolument satisfaire : Besoins impérieux.







C’est tout à fait flou. Tu oublies dans la définition que tu cites l’autre acception. Autoritaire voire tyrannique. C’est à dire tout à fait arbitraire. Tu dis toi-même que ce sera à la seule appréciation de l’agent qui contrôlera.









SebGF a écrit :



Chaque besoin peut être potentiellement différent (les articles expliquant le principe dans la presse parlent par exemple de garde d’enfant partagée, aller aux soins d’un proche, motif professionnel, etc), c’est impossible d’écrire un décret les couvrant absolument tous.







Entre une liste exhaustive et un terme tellement vague qu’il faut que des journalistes en débattent, il y a bien des possibilités. On pourrait préciser des domaines, comme le médical ou le juridique (auquel cas la résidence partagée des enfants est couverte), par exemple. Aller voir mémé qui s’ennuie à mourir, c’est une nécessité absolue? Je vis avec ma mère qui est gravement malade, aller passer 3h à la mer (ou en forêt, c’est aussi interdit) pour ne pas péter un câble après 6 semaines de huis-clos, j’ai le droit de dire que c’est un besoin impérieux?


Le 02/05/2020 à 06h 55

Vouloir remplacer le JO par Twitter, voilà où ils en sont.

Le 02/05/2020 à 06h 54







SebGF a écrit :



Un motif impérieux est un déplacement dont la nécessité ne saurait être remise en cause.







C’est formidable cette incapacité de nos gouvernants à être incapables d’ouvrir un dictionnaire et de choisir des termes laissant moins de place à l’interprétation individuelle. On reste dans le flou.







SebGF a écrit :



Le motif reste à l’appréciation de l’agent qui émet le procès verbal, mais en cas de contestation la procédure reste toujours la même : ne pas payer la contravention et contester.







On va donc être dans l’arbitraire le plus total et il est impossible de contester quoi que ce soit sans avoir consigné la somme correspondant au paiement de l’infraction, ce qui est un manquement grave à la présomption d’innocence.


Le 02/05/2020 à 07h 02

On peut avoir l’argument des ayant droits de “Au théâtre ce soir” par exemple? Financé par la redevance et les subventions, je considère que c’est du domaine public.



Perso, j’aurais plutôt ponctionné ce que l’État donne à ces crevards pour alimenter les caisses des intermittents.

Le 25/04/2020 à 18h 45

Les “zones préservées” ont déjà servi de tampon quand les services des “zones les plus touchées” au plus fort de la montée en puissance de l’épidémie avaient un risque de saturation, sans mettre les populations en danger. Pourquoi ne pourraient-elles plus le faire? (et ça a concerné combien de patients en fait?)



Dans les zones “les plus touchées”, on récupère doucement des capacités à accueillir de nouveaux patients et c’est ce qui permet d’envisager le dé-confinement. Mais pourquoi vouloir passer du tout ou rien ou presque sur l’ensemble du territoire? Ces zones les plus touchées sont toujours celles dans lesquelles circule le plus le virus et globalement l’ouest reste plutôt épargné. C’est un délire de ma part de considérer que s’il y a moins de malades, c’est que le virus est moins présent et qu’il y a moins de risque pour leurs habitants? Et dans ce cas, pourquoi devraient-ils être contraints aux mêmes règles strictes?



La réalité est de toutes façons en train de rattraper les volontés politiques. Dans les zones urbaines, densément peuplées, la question de la réouverture des école se pose et finalement le gouvernement compte sur les collectivités locales, tant méprisées, pour organiser le bazar.



De fait, nous ne serons pas égaux sur nos possibilités le 11 mai. Alors pourquoi insister à vouloir imposer les mêmes règles partout?



Cette situation est d’autant plus incompréhensible que, et je vais rester sur un plan purement médical, la loi s’accommode très bien de discriminations qui elles sont tout à fait arbitraires. Le don de sang est un exemple.



Quand on trouve un traitement, un vaccin, il est d’abord proposé à ceux identifiés comme à risque. Pourquoi le confinement, qui est une mesure sanitaire (selon l’article 3 du décret du 23 mars 2020) devrait être imposé à tous? Si 2 clients d’un restos font une intoxication, tu fermes tous les restos de la ville?



Un peu de cohérence, c’est trop demander?

Le 25/04/2020 à 17h 34







vizir67 a écrit :



( chloroquine ) je viens de découvrir son prix : 0.50 Euros le cachet !











ndjpoye a écrit :



(agrafe) 0,45€ les 1000, je prends la tête <img data-src=" />







Kamoulox.

Et pas le droit de retoucher son père !


Le 25/04/2020 à 17h 26







Quiproquo a écrit :



C’est bien de tester les gens qui ont de la fièvre







Je n’ai jamais dit ça.



Juste que plutôt que la grande loterie de tester au hasard, introduire un élément un peu factuel (la fièvre pouvant en être un) me semble (et j’ai bien insisté sur ce terme) plus pertinent.



Tester aléatoirement n’a tout simplement aucun sens. Un francilien qui prend les transports en commun a incroyablement plus de probabilité de côtoyer le virus qu’un limousin qui n’a de toutes façons pas accès aux transports en commun.



Seulement voilà, on confond égalité et égalitarisme. Macron dans son grand esprit jacobin refuse par principe de foutre la paix aux limousins et de tester plutôt les franciliens. Parce que dans son esprit étriqué, on est tous pareils. Comme pour la retraite. Les soignants (ma mère avec qui je vis en a besoin plusieurs fois par jour, tous les jours) comme les ingénieurs en informatique (je le suis, en télétravail 40h/semaine, et ravi du confinement: plus de 20 ans que j’attendais de télétravailler!). Tous pareils. Alors il faudrait tester de la même façon les ingénieurs en informatique du Limousin et les “employés de libre service” franciliens.



Tout ça c’était pour dire quoi au départ? Ah oui, qu’une appli à la con ne servirait à rien, même si on prenait en compte la réalité de ce qu’implique le traçage et qu’on l’acceptait (en prime, je ne l’accepte pas).



La seule vraie réalité pour ceux qui ont les pieds sur Terre est qu’il faut veiller à ce que les services puissent accueillir toute les personnes qui auraient besoin de soin, c’est d’ailleurs le seul point sur lequel on ne nous a pas menti (même si la réalité est un manque de moyens en France). Alors si les services de santé du Limousin sont au tiers (ou vides) de leur capacité quand ceux de Lorraine, d’Île de France ou d’ailleurs ne peuvent envisager une “2eme vague”, on lâche les Limousins (et les Charentais, faut pas déconner), mais on garde les Metzins, les Parisiens, les Lyonnais et les Lillois (oui, surtout les Lillois!) bien au chaud à la maison le temps que ça se calme. Et on empêche les Lillois d’aller contaminer les Limousins (ou les Ibizans) en TGV ou en avion.



Merde, tout le contraire de ce qui est annoncé, voire déjà commencé.


Le 25/04/2020 à 16h 41







serpolet a écrit :



Voir Flock !







Yes! J’aurais du dire “vivement samedi!”