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levieuxtoby

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376 commentaires

Le 09/02/2016 à 19h 40







tmtisfree a écrit :



La « main invisible » qui la crée est ce qu’on appelle de nos jours un phénomène émergent (une propriété des systèmes adaptatifs complexes). On a un peu évolué depuis Marx.







Oui on a évolué. Est-ce qu’on a pour autant progressé…







tmtisfree a écrit :



Le libre-échange pré-date historiquement toute forme d’institution collective ou productive (agriculture comprise), alors tu repassera pour trouver un phénomène plus naturel que cela dans les affaires humaines.





Oui, le commerce est vieux comme le monde et il a connu un sacré nombre de formes depuis, sans que pour autant cela change sa nature de construction sociale. Le capitalisme financiarisé en revanche, est relativement récent et ses lois n’ont rien de naturel. On ne le trouve pas à l’état naturel. Ancien =/= naturel.









tmtisfree a écrit :



Le travail ne produit rien sans un agent économique qui a pensé précédemment le produit/service qui justifie le travail, et du capital pour financer l’opération.







Un « agent économique », autrement dit : un travailleur. Tu mets la charrue avant les bœufs. Si quelqu’un veut entreprendre quelque chose et qu’il n’a pas ce qu’il faut pour le faire seul, il est bien obligé de s’associer, ou d’inféoder ( = salarier) d’autres personnes, qu’il ait un capital ou pas. Sa possession de capital n’a toujours pas créé de richesse.







tmtisfree a écrit :



Je ne sais pas ce que c’est qu’un « économiste très modérément à gauche ». Je lis des économistes dont les travaux respectent les critères scientifiques de base (cohérence, reproductibilité, etc). Je laisse les idéologies aux idéologues.





Je pensais à Piketty pour l’exemple là. Mais là encore, tu montres ta vision réductrice de l’économie : elle serait une science dure, dont il s’agirait de découvrir la législation, à la façon qu’ont les physiciens d’explorer les lois du réél. Manque de pot, l’économie est aussi une science sociale.









tmtisfree a écrit :



Les États, gouvernements et politiciens sont bien heureux de tripatouiller la planche à billet et les taux d’intérêt en permanence depuis 1970 pour fidéliser leur clientèle actuelle en endettant à mort les générations futures, et là bizarrement personne pour défendre ces dernières : « on ne mord pas la main qui te nourrit » est la devise quand on est sagement à l’auge commune. Pour l’État et ses parasites, charité bien ordonnée commence par eux-mêmes. Une telle hypocrisie est à vomir. Et ça vient donner des leçons.







S’ils tripatouillaient vraiment la planche à monnaie, la dette ne leur ferait pas peur. Pas de pot, on a décidé que les banques centrales devraient être indépendantes. Total, elles édictent des critères absurdes, plongeant les économies des États dans le rouge.


Le 09/02/2016 à 17h 13







tmtisfree a écrit :



Tu sais bien que cela ne va pas dans le sens de l’Histoire : on ne crée pas de la richesse en l’inhibant mais en favorisant son accès, c’est à dire en abaissant son coût d’accès. Qu’est-ce que n’importe quel milliardaire possède et que tu n’as pas et pas besoin ? Essentiellement rien, ce qui n’existait pas il y a cent ans est maintenant disponible pour tous à un prix modique. Toi et lui êtes donc à égalité de consommation grâce au meilleur système collectif d’égalisation naturelle par le haut qui existe : le marché libre. L’accès à la consommation est un bon indicateur d’égalité (et pas le niveau absolu de richesse). QED.







Waouh. À ce niveau-là, c’est presque de l’art. Toute la vulgate droitière condensée en quelques phrases. Belle découverte. Tout y passe, la main invisible et naturelle du marché, la confusion libéralisme-progrès technique, et l’habituel renversement des sources de richesses, avec toujours en toile de fond cette impensée dans l’analyse : la négligence de toute considération sociale.



Le libre-échange n’a rien de naturel ou d’allant-de-soi, c’est une construction sociale.

Il est assez facile de découpler les progrès techniques qui ont vu l’amélioration des conditions de vie des politiques économiques (surtout quand on prend la peine de voir à quel point les innovations majeures ont été financées par des fonds publics…).

Ça n’est pas la richesse qui créé le travail, mais bien l’inverse. On créé de la richesse en travaillant. On se sent bête en disant ça, mais le travail ne coûte rien, c’est l’unique producteur de richesse.



Maintenant on va pas te demander de lire les travaux d’économistes ne serait-ce que très modérément à gauche qui montrent que l’optimum économique peut être atteint, du moment qu’on se torche gentiment avec le volet social.









tmtisfree a écrit :



Avec près de 60% du PIB englouti par lui et ses sbires pour son fonctionnement







Les libéraux post-2008 ont un culot qui n’a d’égal que leur cynisme, merci d’en donner la preuve. L’engloutissement que tu mentionnes est le point culminant de 40 années de dérégulations, à niveau largement pire que le célèbre krach de 29. Trop bons, trop cons, les contribuables épongent gentiment les pertes de la spéculation financières, mais abracadabrah, tout ceci n’est que mauvaise gestion d’énarques. Respirons un grand coup et rions jaune.


Le 26/01/2016 à 12h 32

Oui enfin le ministère de l’information époque Alain Peyrefitte, il a été bien supplanté actuellement. Plus besoin pour les politiques d’avoir une tête dans le gouvernement qui dirige les informations… il suffit pour eux d’en parler à leur conjoint(e) le soir au diner…

Le 26/01/2016 à 12h 27

Puisque tu vas sur ce terrain là, démontrons le grand pouvoir élastique de la notion de terrorisme : pour le gouvernement français de l’époque, les terroristes étaient les résistants.

Le 21/01/2016 à 12h 19

Au temps pour moi…

Le 21/01/2016 à 10h 17







YesWeekEnd a écrit :



neutre et objectif..







La neutralité et l’objectivité sont des chimères…


Le 21/01/2016 à 09h 09

En plus de ça, le PS ne mène absolument pas une politique socialiste… Là, la seule chose qui les différencie d’avant c’est le mariage pour tous et peut-être la prise en compte des trimestres d’apprentissage pour le départ en retraite.

Le 18/01/2016 à 14h 51

« » æ œ ?

Sans insertion ou code, juste Alt Gr.

Le 13/01/2016 à 13h 02







GARFIELD3 a écrit :



Je connais pas le nombre de juge anti terrorisme mais “il est fort à parier” que c’est loin très loin d’être suffisant.







On est bien d’accord et c’est ça qui devrait être la priorité, pas gonfler le pouvoir (déjà grand) des forces de police.







GARFIELD3 a écrit :



le fait de constater une infraction délictuelle ou criminelle éloigner de la première enquête dont vous faites l’objet n’est pas proscrite par l’état de droit dans lequel vous vivez elle en fait partie intégrante.







Y’a maldonne, désolé si je me suis mal exprimé. Si les personnes incriminées ont quelque chose à se reprocher, qu’on fasse une enquête et qu’on suive la procédure normale. Ici on a détourné le motif de terrorisme pour s’attaquer à des gens qui n’ont rien à voir avec le terrorisme. Les personnes touchées ne l’ont pas été par ricochet d’une enquête anti-terroriste. Ou alors il faudra m’expliquer ce que des producteurs de légumes du périgord ont à voir avec la filière djihadiste belge. Cela étant, on a (ou devrait avoir) tout le recul de l’Histoire pour montrer à quel point la notion de terroriste est élastique.







GARFIELD3 a écrit :



Vous voulez comparez avant et après le 13/11/2015? Avant on avait jamais fait face à de multiples attentats simultanés sur le territoire après on à eu quelques 130 morts. Avant on était dans l’action après dans la réaction Bref pour moi deux états différents avec des résultats différents mais ça reste mon avis. Je suis pas contre les bilans chiffrés mais encore faut il y mettre toutes les explications et tous les points de vue.







Je veux comparer l’efficacité (qu’il faudrait définir) avant et après. Les chiffres ont l’air impressionnants (plusieurs milliers de perquisitions par exemple), mais comme on ne sait pas quelle est la moyenne pour une même période, difficile d’en savoir plus.







GARFIELD3 a écrit :



Par exemple comme je l’ai dit dans les bilans chiffrés tout le monde se prend à plaisir à montrer les défauts de l’état d’urgence, les privations de liberté mais j’ai jamais vu personne évoqué le nombre de vie qui ont pu être sauvé pas une seule fois? N’est ce pas le pas le premier but de l’état d’urgence conférer des pouvoirs exceptionnels aux fdo pour interpeller les auteurs et prévenir d’autres attentats et futures victimes!A croire que les bilans sont à charge ou alors on estime que c’est peanuts.







Mais encore heureux qu’on montre les défauts de l’état d’urgence ! Je pense que tout le monde ici défend la lutte anti-terroriste, seulement cette lutte de doit pas se faire à n’importe quel prix. Et c’est pas comme si on avait pas un exemple relativement récent à portée de main. Un prétendu pragmatisme voudrait qu’il faille abandonner les libertés individuelles pour être efficace contre le terrorisme.

Le deuxième point, c’est que c’est notre ministre de l’Intérieur qui brandit ces chiffres pour « prouver » son action. Dont acte, on juge son travail selon ses critères (on pourrait discuter de la pertinence de ces seuls indicateurs chiffrés). En l’occurrence le bilan plaide pas franchement sa faveur.







GARFIELD3 a écrit :



C’est quand on est mal informé ou qu’on s’est mal informé qu’on prend les mauvaises décisions. Les politiciens bons ou mauvais ne sont que le reflets des gens qui les ont élus.







Cette défense là est un peu facile. Je ne nie pas la responsabilité de chacun, loin de là. On pourrait paraphraser George Carlin (et je te rejoins là-dessus) qui disait qu’on se plaint de nos politiques, mais enchainait en disant qu’ils sont ce qu’on a de mieux à offrir, qu’ils sont notre reflet. Seulement là, tu supposes qu’actuellement les conditions sont réunies pour avoir un débat apaisé entre personnes bien informées. En plaçant le curseur au niveau individuel, ça ne marchera pas, on évite toutes les raisons sociales qui font que le débat contradictoire ne peut avoir lieu sainement aujourd’hui.


Le 13/01/2016 à 09h 13







GARFIELD3 a écrit :



Quand je disais établi c’est pour signifier “pas créer” à la dernière minute pour se retrouver dans le  cas que vous évoquer  à savoir créer quelque chose dans l’émotionnelle non réfléchi avec des conséquences encore pire.







En effet, il faut rendre à César, etc. : ça c’est le projet de loi anti-terroriste.







GARFIELD3 a écrit :



Et ici on avait tout sauf du temps pour pondre quelque chose de peaufiner pour être ensuite voter et ensuite mis en application.

[…]

vous perdez de vue encore l’élément numéro 1 : Le temps. On est dans la réaction si on peut débloquer des moyens matériels  ”facilement” je vous laisse imaginez le temps qu’il faut pour trouver et former des moyens humains et c’est pas en deux mois que vous formez des enquêteurs  dans la lutte terrorisme

[…]

Alors on fait quoi si on pas le juge anti terroriste que vous réclamez  pour répondre à une demande de perquisition  on fait appel à un juge de proximité qui n’aura ni les compétences ni les connaissances pour prendre ce genre de décision?







Une vraie question à laquelle j’ai pas encore vu d’éléments convaincants pour répondre à la positive, c’est : avait-on besoin d’entrer en état d’urgence pour mener à bien l’enquête sur les attentats de novembre ? Je suis convaincu que non.

Quant au juge anti-terroriste, il y a fort à parier que sa priorité aurait basculé sur cette enquête, non ?







GARFIELD3 a écrit :



faire croire, ou croire que si “il y a autant d’erreurs” c’est parce que il y a pas de juge, c’est la faute de l’état d’urgence.







Non, tout ce que je dis avec cet exemple (mais y’en a d’autres hein), c’est qu’il y a un certain nombre de procédures (perquisitions, assignations à résidence) pour des sujets aussi éloignés que possible des attentats de novembre qui n’auraient pas pu avoir lieu dans un état de droit (état dont nous fait sortir l’état d’urgence, rappelons-le).







GARFIELD3 a écrit :



Non parce que quand je vois comment on jette le nombre de perquisitions sans en expliquer le fonctionnement et qu’en plus derrière certains les brandissent comme si ils avaient tout compris…







Je ne sais plus qui dans un autre article réclamait les chiffres hors état d’urgence, ça serait un bon point de comparaison. En revanche, sur des sujets relatifs aux droits, aux libertés des citoyens, faire un bilan chiffré comme ça, ça paraît primordial. Le coût symbolique et effectif de l’état d’urgence peut se comprendre s’il y a des résultats qu’on aurait pas eus en temps normal. Et là, c’est tout de suite moins évident le gain objectif lié à l’état d’urgence.







GARFIELD3 a écrit :



Le manque de moyen que vous décriez est de la responsabilité des politiques certes, mais eux mêmes ont été élus par les citoyens. Désolé de dire ça mais si on en est arrivé là c’est aussi la faute d’une bonne partie des gens qui crient au scandale aujourd’hui.







C’est aussi au politique de tenir la barque. Si on s’en tient à ce raisonnement, on aurait jamais du supprimer la peine de mort. Remarque, c’est peut-être ton avis, je n’en sais rien, mais si on s’en tient à cet argument, on aurait jamais progressé comme ça.

Ça suppose aussi que notre société permette à chaque citoyen d’avoir une opinion informée sur le sujet (on a pas dit de faire de chacun un spécialiste), de soutenir des candidats en connaissance de cause. Là, je pense qu’on est tous un peu trop ignorant de comment nos institutions fonctionnent. C’est aussi une responsabilité personnelle, certes, mais pas seulement, et pas principalement.


Le 12/01/2016 à 12h 08







GARFIELD3 a écrit :



Et quant à la solution du juge on devine que vous ignorer comment fonctionne la justice et n’avez pas compris le pourquoi de l’état d’urgence.







Détrompe-toi. L’état d’urgence répond à deux objectifs : 1. faire croire que le gouvernement prend des mesures adaptées et ne reste pas les bras croisés ; 2. contourner le contrôle de la justice.







GARFIELD3 a écrit :



un régime dérogatoire déja établi







Bien sûr qu’il était déjà établi, et c’était déjà un scandale. Rappelons que l’état d’urgence a été créé pendant la guerre d’Algérie comme ersatz de l’état de siège qui aurait transféré le pouvoir aux militaires d’alors.











GARFIELD3 a écrit :



Et pour reprendre vos propos les fdo sont pas là pour faire chier le peuple et je vous rappelle que c’était les premiers sur place lors des attentats de Paris et donc les premiers a risquer leur vie.







Merci pour le procès d’intention. Qui ici prétend que les forces de l’ordre ne risquent pas leurs vies, ou que leur travail est inutile ? Personne. La seule objection concerne le retrait de leur action du contrôle de la justice. Ce qui est fondamental pour le respect des droits et des libertés. On veut travailler contre le terrorisme ? C’est très bien, mais alors il faut prendre des décisions réfléchies, en-dehors de toute réaction émotionnelle, au contraire des projets de lois d’urgence actuellement débattus. On pourrait développer le réseau judiciaire anti-terroriste dans toute la France. Quand on voit le peu de juges anti-terroristes actuellement, il y a là quelque chose de l’ordre de la pétition de principe : le pouvoir judiciaire qu’on refuse à renforcer est donc jugé trop faible et entravant l’action des forces de l’ordre, on l’écarte du circuit.







GARFIELD3 a écrit :



sans regarder le fond . Concrètement ceux qui qualifie de fiasco le bilan se contente de dire oulala plusieurs milliers de perquisitions, quelques centaines de mise en résidence surveiller et seulement 3 ou 4 personnes interpeller…..







Allons-y, regardons le fond. Sans revenir sur la soustraction du contrôle judiciaire, les projets de loi en débat actuellement, et les dispositifs spéciaux (que l’on veut inscrire dans la constitution pour qu’ils n’aient plus rien d’exceptionnels, rappelons-le), instaurent une vision de la justice basée sur la suspicion en lieu et place d’une justice basée sur l’accusation via les preuves. On pense que certaines personnes « par leur comportement, leurs fréquentations, leurs propos » (issu du texte sur l’état d’urgence), alors on les assigne à résidence. Dont acte, on assigne à résidence des citoyens suspectés d’avoir été à une manifestation contre le projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. C’est un exemple parmi d’autres, exemples que tu balayes d’un revers de la main.


Le 12/01/2016 à 09h 18







GARFIELD3 a écrit :



Amen!

L’etat d’urgence est sensé permettre aux fdo de faire ce qu’il font d’habitude beaucoup plus rapidement et de pouvoir intervenir à toute heure ce qui a permis d’empêcher une autre cellule active de commettre de nouveaux attentat ! ( désolé je répète )







Le principal problème c’est que ces mesures se font au mépris du volet judiciaire ! C’est quelque chose de fondamentalement grave, c’est incroyable que tu ne veuille pas voir ça. Un juge, c’est pas là pour faire chier le peuple. C’est un garant du respect des libertés et des droits (entre autres choses).

Là, au lieu d’améliorer les moyens humains pour la police et la justice, on donne plus de pouvoir au premier en court-circuitant le second. Et on veut nous faire croire que c’est un bien ?


Le 11/01/2016 à 14h 55

Et aussi sans contrôle judiciaire… Mais bon… Ça fait plus de 10 ans que les gouvernements essaient de réduire le judiciaire à peau de chagrin. Et là on arrive avec des gros sabots, on renforce la police (et encore pour les moyens humains c’est plus proche de l’effet d’annonce qu’autre chose), mais on ne fait rien pour donner plus de moyens humains au volet judiciaire.

En résumé : de l’effet d’annonce, une efficacité à long terme proche du néant, en contrepartie d’une diminution sévère des libertés individuelles et l’augmentation des pouvoirs de la police. On a bien avancé, merci pour rien.

Le 12/01/2016 à 10h 13

C’est super dur (et snob) ce que tu dis là. La littérature dite de genre, c’est pas une sous-espèce de littérature hein.

Le 11/01/2016 à 16h 32

Du coup on fait quoi, on fout à la poubelle toute la littérature de genre ?

(je grossis le trait à dessein)

Le 11/01/2016 à 16h 30

On est pas d’accord là-dessus.

Le 11/01/2016 à 15h 48







tazvld a écrit :



Le scénario n’est pas non plus un truc de dingue. Ca ne casse pas 3 pattes à un canard.







Faudrait pas confondre l’histoire qui est racontée de la façon dont elle est racontée. Un scénario c’est plus ce deuxième aspect. Beaucoup d’œuvres marquantes (ciné, BD, livres) ne racontent pas grand chose de spécial, si tu en fais le résumé. L’intérêt réside dans la façon de le raconter. Et là, à chaque fois à l’époque de leur sortie, les précédents épisodes d’Half-Life ont bien montré leur intérêt. Personnellement, j’ai un souvenir de la séquence d’ouverture du premier Half-Life.. wow, on avait vraiment la sensation d’être en face de quelque chose de nouveau. On pourra discuter que c’est paradoxal qu’une phase de non-jeu soit aussi marquante… pour un jeu, mais envoyer sur les roses le scénario d’Half-Life, c’est un peu exagérer.


Le 07/01/2016 à 14h 30







MuadJC a écrit :



Le risque existe toujours. Mais c’est tout à fait différent d’avoir des gardes du corps (plus précisément des policiers) pendant 10 ans. Le degré est quand même un minimum différent ;)







Oui en l’occurrence pour Charb et consorts la menace était clairement identifiée. Pour le 13 novembre en revanche, ça procède majoritairement de la réplique de l’implication des forces françaises en Syrie. Ça fait bizarre (euphémisme), mais quand on entre en guerre c’est le jeu…


Le 07/01/2016 à 14h 18







Pochi a écrit :



A moins de vivre dans une grotte depuis plusieurs mois/année, on sait qu’il y a une menace, certes moins précise que pour Charlie, mais menace quand même.







C’est-à-dire qu’à moins d’avoir loupé ce principe élémentaire de la guerre, c’est que quand tu tapes sur un ennemi, les possibilités qu’il réplique sont non nulles hein.


Le 06/01/2016 à 12h 57

Un des problèmes majeurs est pourtant au niveau du contrôle. L’organe de contrôle habituel ( = la justice) est quasiment complètement omis de ces lois sécuritaires : contrôles sans supervision judiciaire, surveillance sans supervision judiciaire, etc.

On a souvent parlé de N. Sarkozy comme grand pourfendeur du pouvoir judiciaire, mais là, le gouvernement actuel le bat sans hésitation (même si heureusement qu’on a la garde des Sceaux qu’on a sinon ce serait pire encore).

Le 06/01/2016 à 12h 00

Triste époque où on remplace une justice qui se base sur des preuves et un cadre juridique bien délimité par une justice basée sur la suspicion. On aura donc un dispositif qui, pour reprendre les mots de notre ministre de l’Intérieur, « permet de suivre le comportement de gens qui n’ont commis aucune infraction pénale, mais qui peuvent en commettre une ».

Le coté science-fiction en moins, Minority Report est à nos portes. Quel visionnaire ce P. K. Dick.

Le 04/01/2016 à 10h 42







flobipro a écrit :



note : le streaming Hi-res 24 bits fonctionne uniquement pour les abonnées “sublime” , la version Hi-fi ne convient tres bien







Quel intérêt d’avoir une dynamique audio codée sur 24 bits par rapport à 16 bits ? Sauf de très très très très rares exceptions (du type oreilles anormalement sensibles), ça n’est pas utile. Le 24 bits est surtout utilisé en production pour des raisons de traitement du son, mais sur le produit fini, l’utilité est proche du néant.


Le 17/12/2015 à 09h 45

Il y a eu un dossier dans le Canard PC Hardware 17 sur les cartes mères. Malgré que ça ait été publié il y a deux ans, les conclusions restent valables : sauf cas spécifiques (overclocking, connectique type thunderbolt, etc.), plus besoin de mettre plus de 150€ dans une carte mère. Le mot important ici c’est spécifique : pour l’écrasante majorité des utilisations, même pour une machine haut de gamme, pas besoin de mettre plus.

La faute au fait que de moins en moins de fonctions sont gérées par la carte mère, et transférées sur le processeur.

Le 26/11/2015 à 09h 29

C’est quoi ta définition de l’anarchisme ? La définition commune assimile l’anarchisme au bordel ambiant, alors que les anarchistes ne prônent pas un bordel, ils sont simplement opposés au concept de hiérarchie.

Mais bon, plus facile de faire des raccourcis pour discréditer une philosophie donnée que de tenter de comprendre.









neokoplex a écrit :



Le problème est quel est ta définition du fascisme. Tu devrais regarder, être de gauche, c’est ce qui s’en rapproche le plus.







Ça serait un troll que ça serait drôle. Là, c’est juste une absurdité sans nom de dire ça.







neokoplex a écrit :



Le bon sens voudrait que l’on soit de droite sociale. En gros libérale avec des gardes fous pour les plus pauvres et pas le contraire, à savoir on empêche l’enrichissement de quelques un tout en maintenant l’ensemble en bas e l’échelle.







Bah, c’est une bonne définition du PS ça, non ?


Le 16/11/2015 à 08h 50







parnetiel a écrit :



D’ailleurs c’est toujours très sympa de faire constater aux donneurs de leçons du dimanche que Android la seule “distribution linux” qui ait un tant soit peu percée soit justement pas open source et aussi l’OS le plus éthiquement répréhensible de toute l’histoire de l’informatique!!







Sauf qu’en l’occurrence, Android bien que non libre est code ouvert (probablement pas certaines surcouches ça et là propres à certains constructeurs). Et quand bien même il le serait, c’est pas la propriété d’être code ouvert ou non qui détermine le succès d’un logiciel. C’est à la fois les fonctionnalités, et les moyens derrière en termes de budget. Tu mets de la causalité là où il n’y en a vraisemblablement pas.


Le 14/11/2015 à 11h 15







parnetiel a écrit :



les responsabilités de l’échec des distros gnu sont surement bien plus de leur propres faits que ce que beaucoup ici veulent bien croire…







Merci CaptainObivous : avec une entreprise comme Google au cul (donc avec toute la puissance en matières de moyens que ça représente), linux sur mobile réussit là où tout au plus des petites fondations (quand il y en a) ont échoué avec le linux desktop…



Tout ça n’enlevant rien à l’analyse de methos1435 quant à l’offre logicielle propre à un OS, c’est là que se situe le nerf de la guerre (parce que niveau fonctionnalités des OS, ils sont tous avec à peu près les mêmes fonctions aujourd’hui).


Le 13/11/2015 à 09h 11

Ces critiques envers l’Union européenne sont légitimes, mais j’ai envie de dire : quel rapport ? Si on utilise cet argument, alors autant déposer les clés des décisions dans un coffre en attendant que le problème soit réglé.

Oui, des préoccupations logicielles sont ridicules comparées à la misère humaine. Cela étant, ça mange pas de pain de se poser la question, et c’est pas ça qui va ralentir la résolution du problème des migrants/réfugiés.

Le 12/11/2015 à 16h 54







zangdor a écrit :



Comme dit par une personne avant moi, favoriser l’OpenSource parce c’est de l’OpenSource, ça dévalorise le produit. Sauf si le besoin oblige clairement à passer par du libre.







Tout dépend de ton point de vue. À mon sens, le principe même du code ouvert peut être une fin en soi. Il est pas question de se placer dans une pseudo-opposition entre libre et propriétaire (technique du faux dilemme), ça a déjà été dit (avec plus ou moins de tact) dans ce fil de discussion, c’est plus des fonctionnements complémentaires. (Bien qu’on pourrait revenir sur des raisonnements du type propriétaire = productif et libre = gratuit qui semblent être légion.)

Envoyer un message en faveur du libre, pour quelle autre raison que pour la symbolique du bien qui appartiendrait à la communauté ? On est d’accord que c’est un principe et pas forcément un fait vérifiable à tous les instants ou tous les échelons de la pratique. Mais s’il n’y a plus de symboles dans l’action politique, au secours.

Tout ça n’empêche pas que le pragmatisme guide les choix de telle ou telle solution logicielle, ça ne change rien au bien-fondé de ce genre de remarques.


Le 12/11/2015 à 13h 35







jinge a écrit :



Ca ne paye pas les développeurs non plus. C’est bien le bénévolat, mais c’est pas avec ça qu’on paye une retraite :)









Ricard a écrit :



C’est d’ailleurs pour ça que les bénévoles on un “vrai” travail à côté.<img data-src=" />







Mais là c’est un problème de définition : dans notre société actuelle on ne donne de valeur qu’au travail via le salaire. Il faudrait découpler les deux. Un bénévole qui contribue à un logiciel libre, c’est du travail.







parnetiel a écrit :



les forks à rallonge sont une idiotie commerciale sans nom qui ne fait que paumer toujours plus les gens, que le retard en matière d’ergonomie a très longtemps été imbitable, que le dogmatisme et les guerres de clochers intestines ont souvent empêché la naissance d’une bibliothèque de logiciels en capacité d’attirer le plus grand nombre







Le vent tourne, cela dit. Vu de loin, et avec toutes les précautions nécessaires, ça fait on va dire une dizaine d’années qu’il y a des initiatives pour contrer ça. Ubuntu en est un exemple. Peut-être qu’il ne plait pas à tous les libristes pour certains choix, et pour son orientation grand public (mais c’est pas la question). On peut aussi citer l’impulsion derrière les dernières versions de Gnome 3, qui vise à fournir une proposition logicielle cohérente (il suffit d’aller jeter un œil à la base de données sur le site de Gnome, où les designs d’autres applications majeures alimentent la discussion et les choix de design). L’arrivée d’Android et, on verra bien ce que ça donne par la suite, les potentialités ouvertes par des SteamOS par exemple y contribuent aussi. Pas parfait ? Sans doute. Mais ça change et ça serait pas mal de pas se baser sur un état de la communauté qui date d’il y a 15 ans. Et dans « l’autre camp » les lignes bougent et sont beaucoup moins rigides qu’à l’époque.







parnetiel a écrit :



Mais sinon, bien sûr que si Linux en est toujours là, c’est sûrement pas d’abord à cause de sa totale incapacité à correspondre aux besoins des consommateurs et des règles du commerce, voire même des réalités de ce monde







Ça serait nier des aspects de marketing, pour lesquels il y a dyssymétrie entre le libre et le propriétaire. La sociologie et la psychologie ont bien montré que les besoins des consommateurs sont assez malléables. Ça ne veut pas dire que tout libre arbitre et volonté n’existe pas, mais qu’on peut bien forcer le trait. On pourrait lorgner du côté d’Apple pour donner un exemple : il y a une part de réussite liée à des aspects fonctionnels, mais il y a aussi une grosse puissance marketing derrière. Un soutien dans la législation pour le logiciel libre pourrait permettre de rééquilibrer le déficit de ce côté là ? En supposant que ça soit fait intelligemment (et là, c’est pas gagné…).


Le 13/11/2015 à 17h 51

En outre, la Cour des comptes donne un avis qui n’est pas neutre, puisqu’il s’inscrit dans une idéologie assez simple : désosser l’État (pour le dire prosaïquement).

Le 13/11/2015 à 17h 40

Non, ça marche pas dans les deux sens, ce que ça dit c’est que quand tu avances quelque chose, c’est à toi d’apporter les preuves, pas à ton contradicteur.

Le 13/11/2015 à 14h 21







DotNerk a écrit :



Tu as des chiffres prouvant le contraire <img data-src=" />







http://cortecs.org/materiel/moisissures-argumentatives/#12._Le_renversement_de_l…



« Prouve-moi que le monstre du Loch Ness n’existe pas »…


Le 12/11/2015 à 17h 54







Ricard a écrit :



Les taxes… les cancer de la société française. LA réponse à tout, quand on a pas d’idée, ni de courage.







youtu.be YouTube


Le 12/11/2015 à 08h 46

lol…

Me semble pas que joma74fr était aussi binaire que ça. Parce qu’on pourrait tout aussi bien inverser ta phrase. Le fait est que : ça dépend, et qu’il n’y a pas de vérité générale dans un sens comme dans l’autre.

Le 11/11/2015 à 11h 21







Lnely a écrit :



Deezer va couler tot ou tard







On va citer ce bon vieux Keynes : « à long terme nous serons tous morts ».


Le 11/11/2015 à 11h 20

Perso je pense que le rabotage de la dynamique, il peut avoir lieu pour tous les supports. Y’a une confusion entre l’évolution du support (vinyl ou cassette, CD, MP3) et l’évolution des pratiques des studios : la plupart des vinyls de l’époque (60-70) sont plus musicaux parce que le mixage et le mastering étaient plus musicaux. Après c’est beaucoup moins vrai tout ça pour les milieux musicaux en-dehors du mainstream.

Le 10/11/2015 à 22h 40







white_tentacle a écrit :



Je sais que c’est à la mode depuis le milieu des années 90 de supprimer toute dynamique dans la musique, mais jusqu’à présent, personne ne m’a cité d’exemples concrets d’enregistrements où le HD était réellement différent du CD (masterisé différemment). Il paraît que pas mal d’enregistrements dispos sur qobuz étaient des upsampling du CD… (pas la faute de Qobuz, mais des maisons de disques pour le coup)







On peut citer le dernier album de Daft Punk qui a eu plusieurs masters selon le support visé (CD, MP3 probablement d’autres). Après c’est pas forcément le groupe qui a la plus grande variation en termes de dynamiques, mais ça montre bien que ça se fait. Est-ce que c’est la majorité des cas, je ne pense pas. Même si dans l’absolu, masteriser en prenant en compte les types d’écoute qu’il va y avoir c’est loin d’être bête.







white_tentacle a écrit :



même si on ferait passer le produit standard pour du premium car on a dégradé le produit…







Une tendance largement partagée par une très large gamme de produits (qui a dit jeux vidéos ? logiciels freemium ? produits agroalims ?)… Vive le marketing !


Le 10/11/2015 à 18h 33







Franchouillard a écrit :



un réel plus sur le classique et le jazz (je le reconnais, cela limite fortement la quantité de clients concernés).







Ah bon ? C’est surprenant je trouve. Si on compare au rock, tu as quand même moins de chance de te faire compresser la dynamique comme un gros sac au moment de masteriser pour le CD, et, du coup, il y aurait moins de différence entre le master studio et le CD.


Le 10/11/2015 à 17h 31







pithiviers a écrit :



Brillant les commentaires. Donc en gros, comme la majorité des gens n’ont pas besoins de fichiers audios encodés à plus de 256kbps, la minorité qui souhaitent écouter sa musique dans une qualité similaire à ce qui existait il y a plus ou moins 30 ans doit juste aller se faire voir et se contenter comme tout le monde de mp3? 



Vu que plus de gens vont manger au macdo que dans les restos étoilés, je propose aussi de fermer tous les restos étoilés vu que ce sont des marchés de niches.







Non, c’est une chance de pouvoir avoir des sites de DL légal pour du lossless, qui plus est d’avoir accès aux masters. En revanche, augmenter l’échantillonnage et la plage dynamique dans des proportions utiles uniquement à une petite frange de professionnels (et avec la question de la finalité en plus), c’est juste du marketing audiophile. Pour la plupart des installations, du FLAC 1644.1 c’est une qualité maximale. On pourrait dire que même du MP3 320 serait un maximum nécessaire…


Le 10/11/2015 à 16h 55

Tout dépend, il existe aussi des masters CD qui restent musicaux hein.

Le 10/11/2015 à 16h 28







inextenza a écrit :



L’intérêt n’est pas dans le sur-échantillonnage, il est sur le fait que ce sont des master studio… donc… qui ne se prend pas (enfin, moins) un gros coup de loudness dans la tronche comme ce qu’on retrouve sur un CD.



Et là, sisi, il y a une différence sensible ;)







Oui, on est d’accord, et c’est une chance de pouvoir avoir ça (c’est pour moi le seul avantage à chercher des anciens vinyls : bénéficier d’un master qui soit plus musical que les remasters CD actuels). Mais en l’occurrence la différence de qualité de son n’est pas due à un sur-échantillonnage ou à une plus grande plage de dynamique, c’est juste dû au traitement du son qui est différent.


Le 10/11/2015 à 16h 24







tybreizh a écrit :



J’indiquais bien une différence entre CD et FLAC issu de master, quelque soit l’échantillonage.







Pour les gros studios, et les grosses productions, souvent il y a un master qui sert de base à des masters ayant des applications spécifiques : CD, lossy, vinyl, etc. C’est normal qu’il y ait une différence de son dans ces cas là, elle ne tient pas au FLAC, qui ne compresse pas plus que le WAV, mais à une différence de traitement du son. Une même source 1644 issue du CD ou sur FLAC lue sur le même matériel, ça sera exactement pareil.

Pour les mixs / masters faits en analogique, la différence entre le master final et le master CD tiendra à la qualité (et à la neutralité sonore) du convertisseur analogique-numérique.

Du coup soit il me manque une info, soit j’ai pas compris où tu voulais en venir :)







tybreizh a écrit :



Pour la différence entre FLAC 1644 et 2488 issus de masters, un débat a agité le microcosme de la Hi-Fi suite à un article du monde sur le sujet, pour ma part, à moins d’avoir un système Hi-Fi de (très) haut niveau et des oreilles très habituées, je ne pense pas qu’il soit possible d’entendre de différence, donc non, je ne te traiterai pas de sceptique :wink:







Sauf à avoir une oreille exceptionnelle (ce qui existe, bien sûr), la plage dynamique et l’échantillonnage du 2488 dépassent de très loin les capacités de l’oreille humaine. Et, admettons qu’on puisse entendre la différence, elle devrait être perceptible dans un environnement adapté et hautement irréaliste par rapport aux conditions d’écoute de tout le monde (si ton gain en dynamique est inférieur au bruit ambiant dans lequel tu réalises ton écoutes, percevoir la différence…).

Bosser en 2488 ça se justifie par le travail en amont avec les traitements audio effectués qui gagnent en qualité avec une plus grande dynamique. Garder ça pour l’écoute, si ça satisfait les égos et provoque des biais de perception, soit, mais c’est juste une perte de place sur les disques durs.


Le 10/11/2015 à 16h 07







tybreizh a écrit :



qui pourront entendre une réelle différence entre un CD (1644) et du FLAC (1644, 2488 ou plus) issus directement des Masters







Traite moi de sceptique si tu veux, mais je serais curieux d’avoir les résultats de tests ABX entre 1644 et 2488, sur plusieurs personnes et même sur un matériel haut de gamme… Même en étant éduqué à repérer les artefacts, j’ai du mal à concevoir qu’il y ait une différence perceptible par l’oreille humaine.


Le 28/10/2015 à 12h 34

Zut à la fin, y’en a marre de l’égalitarisme ! <img data-src=" />

Le 28/10/2015 à 08h 59







Stel a écrit :



Depuis que MOIJE est au pouvoir c’est augmentation sur augmentation. Impots taxes, tout y passe c’est juste affolant. J’ai personnelement une augmentation très forte de mes impôts chaque année. ( pas quelques euros, je parle de plusieurs centaines )



Si tu n’est pas au courant de toute ces augmentation c’est parce que tu n’est sans doute pas concerné , soit tu vis du RSI, chomeur, étudiant, ou célibataire sans enfant.

 

Dans ce cas la continue à voter socialo, quand tu gagnera correctement ta vie(avec des journée à ralonge hein, je parle pas de vivre sur rente de papa maman) tu comprend ce que c’est que se faire VOLER et t’aura un autre discours.

C’est toujours plus facile quand on est pas concerné, et encore plus facile quand on bénéficie d’aide au lieu de payer pour les autres.



Et tu parlera aussi de tes “ reduction d’impots ” à tous les retraité qui se sont mis à payer des impôts du jour au lendemain.



Enfin, avant de faire un discours anti-riche , tu me dira qui paiera les impôts quand tout le monde se sera barré à cause de tout ces abus ?? qui a ton avis ????



http://www.latribune.fr/economie/france/les-hauts-revenus-s-expatrient-de-plus-e…

 

Donc ta leçon de vie, tu te la garde.







Oh, il est fâché tout rouge Stel. Respire par le nez, ça va bien se passer. Et surtout, ne fais pas d’hypothèses a priori sur ce que je fais ou ne fais pas (je ne vote pas socialo par exemple). Des impôts j’en paye, et je considère que c’est une bonne chose (si je n’en payais pas ça voudrait dire que je serais salement pauvre). Ensuite, ne me prête des discours « à gros sabots » que je n’ai pas. Je suis parfaitement conscient qu’il y a une pression ressentie, notamment pour les couches moyennes de la société. Et ma critique est exactementà ce niveau là : l’injustice de la répartition des impôts. Citons un exemple bien connu : en proportions (c’est ce qui compte), Liliane Bettencourt paye beaucoup moins d’impôts sur le revenu que la famille lambda. Si ça c’est pas de l’injustice sociale, je sais pas ce que c’est.







sr17 a écrit :



Comme la plupart des gens, tu ne considère que les impôts directs : tu ne connait pas l’ensemble des sources de prélèvement de l’état qui sont nombreuses et variées. Et surtout bien cachées du citoyen lambda qui n’est pas expert en la matière.



Beaucoup se font d’ailleurs par le biais des entreprises qui répercutent des prélèvement à la source sur le prix de produits que tu achètes. La TVA, les charges sociales et la TIPP sont un exemple, mais il y en a une pléthore.



Ce qui importe, c’est bien sûr le total. Et ce total n’a fait qu’augmenter en France depuis la seconde guerre mondiale pour atteindre un niveau record par rapport à la plupart des pays du monde.







Ben non, je vis dans une caverne, je sais pas ce que sont les impôts indirects et les taxes.

Au passage ce ne sont pas des « charges sociales » mais des cotisations sociales. Mais je comprends bien l’énervement, d’un côté on prélève des sommes pour alimenter les finances, et de l’autre on passe son temps à désosser les structures de l’État.

Cela dit, c’est pas moi qui le dit, il y a un vieux rapport d’une commission parlementaire dirigée à l’époque par l’UMP qui faisait remarquer que, si on avait conservé la grille d’imposition du début des années 1990, le fameux déficit public serait réduit à peau de chagrin. Mais continuons à faire peser le manque de rentrées sur les plus petits (particuliers comme entreprises), c’est terrible, les gens ne se plaignent pas de la répartition mais du système lui-même sans aucune forme de discernement, c’est tout bénef.


Le 27/10/2015 à 17h 05







Stel a écrit :



C’est la pause fiscale on vous dit.



Les c*Ns ne se rendront pas compte qu’en fait ca augmente, les socialo font bonne figure.







Ça me fait doucement rigoler ce genre de remarques, qui interviennent en 2015, après 40 ans d’attaques sur le principe d’impôt qui ont vu le niveau d’impôts et de taxes diminuer drastiquement. Certes surtout au profit des gros portefeuilles. Tout ça pour maintenant faire croire que si y’a plus assez d’eau dans la baignoire, c’est qu’il faut réduire le trou. Alors qu’il suffit d’ouvrir un peu plus le robinet.

Plutôt que de faire une critique bas-du-front du principe de taxe, je sais pas, on pourrait imaginer une critique de sa répartition, qui après avoir fait couler les pauvres s’attaque aux couches moyennes ? Mais nan, les socialos sont des irresponsables.


Le 27/10/2015 à 16h 59

44% d’augmentation. Les pourcentages de variation sur des quantités très faibles, ça génère toujours des variations relatives énormes, alors que dans l’absolu, la variation est pas si importante que ça.

Après, la FFT est là pour tenir ce rôle : pleurnicher défendre ses intérêts.

Le 27/10/2015 à 17h 08







YohAsAkUrA a écrit :



oui il y’a toujours comme je l’ai dit des cas très spécifiques ou on l’utilise toujours (surtout a cause du branchement en cascade). ça n’empèche pas que c’est un flop.







Blah blah blah. Ça n’a peut-être pas eu la pénétration grand public escomptée, à cause de tarifications que tu as déjà citées. En revanche, sites internet appelant ça un flop ou pas, ça n’enlève rien au fait que c’est un standard encore d’actualité dans certains milieux professionnels. Que le FW ait été présenté comme le messie et ce soit mangé un mur auprès du grand public, malgré une supériorité technique qui explique son adoption auprès des professionnels, certes. Si tu ne veux pas faire la distinction entre les deux utilisations, tant pis pour toi, j’ai pas d’actions pour le firewire non plus.







YohAsAkUrA a écrit :



j’ai parlé d’usb 3.1 toute a l’heure et non pas d’usb 3… d’un point de vue technique l’usb 3.1 ne peut pas être moins stable que le TB car ils fonctionnent sur le même principe… lignes pci express directes.



 sur un SSD en TB3 qui coute 200€ , tu te vois ajouter entre 100€ et 150€ au prix rien qu’a cause de la licence TB3… a 350€ le disque TB3 contre 200€ le disque usb 3.1 … a mon avis, y’a pas besoin de faire bac +5 pour imaginer le resultat…







Ben, j’ai jamais mélangé Thunderbolt et FireWire. Les mêmes causes entrainant les mêmes conséquences, y’a de fortes chances pour que ça se prenne un bouillon. (En disant USB 3 je pensais aux générations supérieures à l’USB 2.)


Le 27/10/2015 à 16h 01







YohAsAkUrA a écrit :



on peut pas nier que le firewire est un flop…la sortie de l’usb2.0 l’a d’ailleur bien envoyé au tappis… même si aujourd’hui une poignée de personnes l’utiliseraient encore…



 [...]         



tout comme le firewire a l’epoque…

et ces debits peuvent largement être atteints via de l’usb 3.1.



 [...]       



Tout comme je l’ai dis a la sortie du FW400 puis du FW800 a la veille du passage a l’USB2.0 c’est une technologie de niche qui na va jamais marcher :/ (et a l’epoque on m’a bien ris au nez aussi mais voila ce qu’il en est en réalité)







Mais oui, ça a été un flop… Sois-en convaincu si tu veux, et continue d’étaler ta connaissance partielle du sujet.

Au reste, il n’y a pas que le débit qui compte c’est pas un concours de qui a la plus grosse… Les problématiques de latence, les possibilité de chainage d’appareils, etc., autant de lacunes que l’USB a mis du temps à combler et qui en ont fait une interface très répandue chez les professionnels (et les amateurs) dans l’audio-visuel (qui ne se limite pas aux seules caméras…).

L’USB 3 est plein de promesses, et c’est tant mieux, plus répandu, moins cher, etc. ! En revanche comparer des technologies qui ont une décennie d’écart, c’est pas un peu malhonnête ?



Edit: grillé par Guinnness.


Le 27/10/2015 à 10h 34







YohAsAkUrA a écrit :



ça me rapelle l’epoque du FireWire qui a n’a rien fait d’autre qu’un gros flop apars chez les fanboy apple…







C’est quand même encore utilisé très largement dans le milieu audiovisuel (pro comme amateur). Mais c’est vrai, pourquoi chercher plus loin que le bout de son nez…