votre avatar

sr17

est avec nous depuis le 26 décembre 2005 ❤️

4322 commentaires

Le 27/10/2016 à 19h 47







renaud07 a écrit :



Un p’tit piratage et c’est réglé ? Perso j’ai toujours vu au moins un logiciel piraté dans une boite, il paraîtrait même que c’est monnaie courante.







Et en cas de contrôle du BSA, tu prends un max de pognon dans l’os et une potentielle condamnation. <img data-src=" />



Simple question de temps avant que ça n’arrive. Il faut savoir que la dénonciation pour logiciels piratés, c’est le “coup de pute” N°1 entre concurrents dans les professions du numérique <img data-src=" />



Donc tout simplement une très mauvaise idée qui peut te mener tout droit à la faillite.



Quand on monte une affaire, les logiciels piratés sont la première chose à éviter.



Désolé pour ceux qui ont pris de mauvaises habitudes quand ils étaient ado…


Le 26/10/2016 à 21h 43







teddyalbina a écrit :



La NSA ajoute pas mal de truc dans Linux en fait, et bah personne n’est capable de dire quelle sont les implications réel simplement parce qu’à partir d’un moment la complexité du code rend son analyse impossible.







Faux.



D’abord, il y a quantité des personnes qui savent très bien relire et analyser du code en C.



Ensuite, la communauté du logiciel libre est logiquement très méfiante vis a vis de code qui proviendrait de la NSA.





Surtout en codant des OS avec des langages à effet de bord et non déterministe comme C/C++. La seule façon d’avoir un OS sécurisé et de laisse tomber quasi complètement les archi moisie des années 70 et de tout repenser de 0, en utilisant des processus scellés, des contrats signés, en interdisant la mémoire partagée etc. En isolant, les applis dans des micro VM.



Tu peux regarder les sources de Singularity pour ça OS expérimentale de MS sur le sujet. Ou encore Barelfish.





Pourquoi personne ne fait tout cela ? Tout simplement parce que ça se payerait cher sur le plan des performances.



Cela fait des décennies qu’on pense que les micro noyaux et services isolés seront peut être le futur. Mais des expériences comme Hurd n’ont pas eu le succès escompté. Trop lent…



Quand aux langages “sécurisés”, autrement dit avec “bound checking” tels que Java ou C#, ils ont un coût en performances et ne permettent pas pour autant d’éviter toute faille.



En dehors des services hautement sensibles, personne n’est prêt à abandonner la performance pour plus de sécurité.



Si on veut réellement faire quelque chose pour la sécurité, c’est beaucoup plus simple que d’inventer de nouveaux os ou concept compliqués : il faut que tout appareil connecté au web soit mis à jour en temps réel. Par exemple, les smartphones sous Android qui ont une base Linux devraient pouvoir recevoir des correctifs quotidiennement comme toutes les bonnes distributions.


Le 24/10/2016 à 21h 58







wanou2 a écrit :



Tu as aussi le problème de la plateforme utilisée dans les téléphones portables. De ce que j’ai cru comprendre une plateforme arm est absolument incompatible avec une autre plateforme arm et les concepteurs ne proposent pas de noyaux compatibles dans le temps.







Deux PC qui ont des composants complètement différents sont dans la même situation.



Sauf qu’il y a un bios/uefi qui joue le rôle de couche d’abstraction matérielle. Au moins le temps pour l’Os de pouvoir booter et de trouver des drivers plus adéquats.



Après, le fait que la compatibilité des PC soit érigée en norme permet effectivement de respecter une certaine normalisation sur le plan du matériel.



Le tort de Google en lançant Android a été de ne pas définir de standard de compatibilité au départ.



Et il n’est pas sûr que quelqu’un arrive à remédier à la situation maintenant.



A long terme, cela pourrait entraîner l’échec des plateforme ARM et le retour d’intel, du x86 et de l’architecture du PC pour les mobiles.


Le 23/10/2016 à 21h 12







Patch a écrit :



Pquoi tu veux mettre le disque dur dans une crypte? <img data-src=" />







C’est plus efficace que de mettre une capote dessus <img data-src=" />


Le 23/10/2016 à 21h 11







-Stephane- a écrit :



La seule mesure de sécurité qu’apporte le libre c’est dans le déploiement plus rapide de correctifs.

Avec un logiciel libre on peut déployer un correctif avant même les mainteneurs du projet (c’est impossible avec un logiciel propriétaire).

C’est d’ailleurs souvent ce que font les distributions.

Le libre c’est aussi la seule solution face à obsolescence programmée. Un logiciel libre peut-être corrigé même lorsqu’il a été abandonné par ses auteurs.

Tous les logiciels comportent des bugs qui peuvent potentiellement devenir des failles (c’était le cas de ce bug sur Linux qui à l’origine n’était pas identifié comme une faille).

Personnellement je me sentirais toujours plus en sécurité sur des softs pour lesquels je sais que je peux “les réparer” en cas de besoin, plutôt que sur un soft pour lequel je serais à la merci de ses créateurs.







Il y a aussi plus de gens qui lisent le code d’un logiciel libre. Et contrairement à ce que certains affirment sans connaitre, ce n’est pas du tout une légende.





Le 23/10/2016 à 20h 12







trekker92 a écrit :



le probleme n’est pas google

google est le premier a rendre disponible les mises à jour de son os android

le probleme est le nombre d’appareils à prendre en charge, est à la charge complete du fabricant (comme mac/iphone, pour apple) contrairement à un modele comme windows ou tout est à charge de microsoft pour simplifier.



ainsi, en connaissance de cause, je sais que mon zte blade s, déjà obsolete mais toujours sur les rails, que ma tablette lenovo, dans cinq ans, ne toucheront évidemment plus les mises à jour :

tant pis, j’ai compris que libre ou non libre l’enjeu reste le meme :

black hat, marché noir ou NSA (oui ca rime), tous peuvent avoir un droit de séjour illicite dans mon appareil, donc je ne met rien de sensible dedans. Le matelas est plus sécurisé la dessus.



ou est ce que je veux en venir?

depuis cette mode de l’ultra-connecté par le haut débit fixe et mobile, les utilisateurs n’ont pas pris conscience à réfléchir à la confiance à accorder à ces appareils, ils préfèrent taper sur un responsable (éditeur, développeur..) plutot que de s’abstenir, de se modérer afin d’éviter les conséquences d’une fuite de données personnelles.







Malheureusement, c’est bien la conception d’Android qui est responsable du problème.



Au lieu d’implémenter une solution de type Bios/UEFI et de définir un standard de compatibilité comme sur les PC avec gestion centralisée des drivers, ils ont utilisé un simple bootloader, ce qui oblige les fabricants a faire une version custom de l’os par modèle de machine. Et cela rends les mises à jour très difficiles…



Google a beau mettre à jour son OS, le travail que les fabricants doivent effectuer pour les répercuter sur leurs appareils est beaucoup trop important.



Cela explique le faible nombre de mises à jour et la durée de support limitée alors qu’une bonne distribution Linux sur PC reçoit quotidiennement des correctifs et qu’un PC peut recevoir de nouveaux Os pendant plus de 10 ans…


Le 22/10/2016 à 01h 13







js2082 a écrit :



Je ne comprendrais jamais comment il peut y avoir autant de failles dans un système informatique.



 Si je suis bien, ces failles sont causées:

 - soit par des erreurs dans l’écriture du code: dans ce cas, c’est juste par qu’on s’est retrouvé avec un codeur qui sait pas écrire (le genre de chose qui peut se corriger avec de la rigueur)




  • soit par une organisation des processus mal fichus ou pensés de façon incomplète: dans ce cas, le travail est à finir.

     

    Du coup, j’ai du mal à comprendre comment un système ne peut pas ne pas devenir infaillible.







    Malheureusement, le meilleur codeur du monde produit quand même des bugs.



    La perfection n’existe pas dans le travail humain.


Le 25/10/2016 à 22h 36







127.0.0.1 a écrit :



Login unique (SSO) pour l’accès PC, bureautique, messagerie, stockage réseau, intranet, proxy internet et vpn.



Dans un état où les fonctionnaires vont et viennent, changent de mission/poste, sont absents, mutés, se marient/divorcent… bref vont passer toute leur vie active, c’est un confort d’avoir un seul compte à créer/configurer/re-configurer/verrouiller.



Alors c’est surement possible sous linux, mais avec son pléthorique écosystème logiciel disparate ca demande de l’huile de coude. En tous cas, c’est moins facile qu’en environnement 100% Ms où c’est pratiquement “out-of-the-box”.







De l’huile de coude ?



Avec tout ce que le libre fait économiser en licence, ça permet aussi de dépenser un peu d’argent en services. Et de faire travailler des français de surcroît…



Et attention aux idées reçues. Payer un progiciel très cher ne veut pas dire pour autant qu’il collera à 100% à tous vos besoins.



Celui qui peut coller à tous les besoins, c’est le logiciel libre pour la simple raison qu’il est totalement “customisable” à 100%.



Payer du développement plutôt que de payer des licences est une logique qui se tient.



D’autant qu’avec le libre, on peut facilement mutualiser les développements avec d’autres nations.


Le 25/10/2016 à 22h 09







trekker92 a écrit :





franchement passer un ministere sous linux sans au moins entre cinq ans et dix ans de R/D couteuse et très onéreuse, c’est de l’inconscience absolue.







Si vous voulez parler de coût, savez vous ce qui fait gagner de l’argent en informatique ?



Je vous le donne en mille : c’est la réutilisation du travail déjà fait.



Parce qu’avec l’informatique le coût de duplication est nul, la réutilisation du travail revet une importance capitale.



La logique du logiciel propriétaire bride et décourage la mise en commun et la réutilisation du code.



La logique du logiciel libre encourage et surmultiplie la mise en commun et la réutilisation du code.



C’est la raison pour laquelle la logique du logiciel libre est génératrice de monstrueuses économies à long terme.



Si un Os comme Linux est gratuit et que ses concurrents propriétaires sont payants, ce n’est pas un hasard.



Le monde de la nouvelle économie a bien compris tout cela.


Le 25/10/2016 à 22h 00







trekker92 a écrit :



linux c’est bien. Pour un usage particulier.

Le probleme, c’est que quand on a essayé de bosser exclusivement avec des logiciels libres en entreprise, on en…pleure







Tiens, c’est marrant. Nous c’est plutôt avec les logiciels propriétaires qu’on pleure.



Combien de fois on a perdu du temps pour contourner des bugs dans des logiciels fermés qu’il aurait suffit de corriger si seulement on avait eu le code source…



Et je ne compte pas les prises de tête avec la gestion des licences, les dispositifs anti piratages, les évolutions imposées, etc…



Franchement, je suis bien content d’avoir fait le choix de laisser tomber le propriétaire pour être débarrassé de tout ça.



Le libre, c’est souvent mieux en plus d’être moins cher. Et le monde de la nouvelle économie l’a bien compris.


Le 25/10/2016 à 21h 50







tpeg5stan a écrit :



Euh on parle pas d’une boîte lambda sans enjeu critique, où pour le coup je suis plutôt d’accord, on parle du ministère de la guerre qui est censé  bombarder des civils assurer la sécurité du pays, et pour cela utiliser des armes fiables et de qualité.

 

Si ton fusil d’assaut te pète dans les mains sur le front , tu passes le fabricant en cour martiale.

Si ton SI critique bogue en temps de guerre (cf. la cyberguerre en Estonie en 2007 où le pays a été complètement paralysé à cause d’une attaque russe non revendiquée), tu vas dire quoi quand les tanks arrivent à ta porte alors que tu cherches encore à faire remarcher ton missile piraté ?



La cyberguerre n’est pas un délire de tinfoil hat, c’est une réalité. Donc non, de même que les armées ont le devoir de mettre le maximum qu’elles savent faire en œuvre pour nous protéger, les fournisseurs de l’armée doivent faire un produit avant tout fiable, et ensuite commode, pratique ou je ne sais nin.







Je pense qu’il y a en France une “élite” qui soutient l’idée que la France devienne un vassal des USA.



La France n’est pas rentrée dans l’OTAN pour rien…


Le 25/10/2016 à 21h 42







trekker92 a écrit :



pas un probleme




  • pas un sujet







    Je ne partage pas votre avis. Ce n’est pas en faisant n’importe quoi avec une vision a court terme qu’on construit l’avenir d’un pays.


Le 25/10/2016 à 21h 32







Zappi a écrit :



S’est quoi s’est trolls bas de gamme anti solution libres.

Je bosse en tant que prestataire dans un ministère les grosses applis sensible tournent avec des solution libres et du redhat pour les server.

Quand au libre qui ne crée pas d’emploi allez demander à une grosse esn spécialisé dans le libre smile







Je dirais même plus, du trollage bas de gamme à base de gros poncifs et d’énormes clichés.



Quand on a bossé avec des logiciels libres, on en rigole…


Le 25/10/2016 à 21h 22







wheelman a écrit :



La vision d’un politique n’est plus l’intérêt du pays à long terme, mais sa réélection à la prochaine élection! Et les contraintes financières passent avant les contraintes de sécurité ( contrairement à ce qu’a raconter le président devant le congrès à Versailles après l’attentat du 13 Novembre). <img data-src=" />







J’y vois surtout une politique sans ambition et sans vision d’avenir qui mène doucement mais surement notre pays vers la faillite économique et une inéluctable vassalisation.


Le 25/10/2016 à 21h 16









trekker92 a écrit :





les progiciels ont besoin de windows aujourd’hui, dans quarante ans ca n’aura surtout pas changé : la portabilité vers linux n’est et ne sera que pure perte, ils sont pas la pour faire de l’emploi.

(et c’est opas du ressort de l’état de faire le portage, c’est de l’investissement d’acteurs privés qui te diront toujours non =) =) )







Avec cette mentalité, on consacre la domination de l’industrie américaine et leur hégémonie industrielle pour les siècles à venir.



Ce n’est pas l’avenir que je veux pour mes enfants.



Et au cas ou vous l’ignorez, il existe un nombre certain nombre de pays qui ont décidé de se tourner vers le libre pour sortir de la dépendance aux logiciels propriétaire américains.



La France à très mal choisi son camp.





Le 25/10/2016 à 20h 30



« la circulaire précitée n’a (…) pas pour objet d’inciter les ministères à accroître l’usage des logiciels libres au détriment des logiciels propriétaires, mais à les considérer comme des solutions envisageables, au même titre que les autres ».





Je trouve que c’est une vision à court terme qui ne prends en compte ni la notion d’indépendance de la France, ni l’avenir de l’industrie informatique en France.



Je pense que le général de Gaulle aurait vu les choses autrement…




Le 24/10/2016 à 22h 18

Le problème de la lutte contre la fraude, c’est que cela peut finir par couter plus cher que les fraudes elle même.



Les politiques, particulièrement ceux de droite ont des idées complètement dépassées.



Des idées plus modernes :



-Créer un système plus difficile à frauder. Par exemple, un revenu citoyen inconditionnel qui remplace de nombreuses petites aides conditionnées par des critères difficiles à certifier…



-Résoudre les problèmes de pauvreté qui poussent des pauvres à la fraude.



-Moderniser la fiscalité qui poussent les riches à la fraude en plus de couter très cher à la collecte. Par exemple, supprimer l’impot sur le revenu, la TVA, la CSG pour les remplacer par de l’émission monétaire continue = impot par dévaluation continue.


Le 24/10/2016 à 21h 30







Sideroxylon a écrit :



Il semble que ton expérience millénaire n’ait pas besoin d’être remise en question. Tu as déjà vécu l’ensemble de situations possibles et tu es arrivé à cette conclusion: ne proposer que du libre!



Normal pour un vrai professionnel!

 

Pense juste à cela si je peux me permettre:





  • Red Hat, Microsoft et Oracle ne se sont jamais aussi bien portés

  • Le libre existe depuis 20 ans







    Souvenez vous que dans l’histoire de l’informatique, il y a existé quantité de “géants” qui semblaient très bien se porter, que la plupart des gens croyaient très solides…. et qui furent pourtant balayés de manière brutale faute d’avoir pris le bon virage en temps et en heure.



    Que le monde du logiciel propriétaire reste encore alimenté pour un temps par l’inertie au changement des grandes entreprises qui compte tant de DSI vieillissant qui n’ont plus touché à la technique depuis au moins 20 ans et qui préfèrent jouer la sécurité pour leur carrière en jouant la continuité et rester dans une logique qu’ils connaissent, c’est dans l’ordre des choses.



    Mais il est aussi dans l’ordre des choses que le logiciel libre s’impose inéluctablement. Parce qu’il est impossible pour le monde du logiciel propriétaire de lutter contre la puissance et les arguments du logiciel libre.



    Il y a ceux qui n’ont pas bien analysé ce phénomène et pensent que le logiciel libre s’arrête à des arguments politico-phillosophico-militants fumeux…



    Et il y a ceux qui ont compris que la puissance de l’informatique est dans la réutilisation du code : construire plus haut au lieu de reconstruire sans cesse la base. Une logique qui est surmultipliée par le logiciel libre alors qu’elle est totalement bridée par le logiciel propriétaire. C’est précisément ce qui confère au logiciel libre un avantage économique majeur contre lequel le logiciel propriétaire n’a absolument aucune chance de pouvoir lutter sur le long terme. Et ce n’est pas tout…



    De nombreux signes d’ouverture vers le libre montrent que les entreprises qui produisent du logiciel propriétaire savent ce qu’il en est. Elles perçoivent bien toutes les batailles que le logiciel libre a déjà remporté malgré son jeune age.



    Linux a déjà quasiment exterminé tous les UNIX propriétaires. Les logiciels libres ont investi toute la base du fonctionnement des réseaux, des appareils, des box, des routeurs, des infrastructures.



    Certes, le basculement sera encore long. Mais quand on sait dans quel sens penche la nouvelle économie, on sait que peu importe le temps que durera la bataille, elle est tout simplement jouée d’avance.


Le 21/10/2016 à 17h 01







Sideroxylon a écrit :



Je ne sais pas dans quel secteur tu trouvailles, je suis pour ma part dans une société de service informatique.



Face à un client,  tu as une expression du besoin et un logiciel qui y répond avec un cout en face.



Si tu commences à restreindre  ton catalogue de réponse à base de critères philosophiques, que tu penses qu’un logiciel libre sera toujours la meilleure solution, je pense que tu vas dans le mauvais sens.



C’est à ton client de pondérer ces critères pour comparer des offres, pas à toi.







Je dit que dans quelques années, tu changera d’avis, le temps de connaitre certaines situations.



Dans le monde des vrai professionnels, on ne se contente pas de vendre un logiciel, les clients veulent des solutions avec conseil et intégration et suivi à long terme. Ils te payent cher pour trouver des solutions et ils veulent que ça fonctionne.



Et ça se voit que tu n’as encore jamais été emmerdé par un bug dans un logiciel propriétaire et face à un éditeur tellement gros qu’il n’en a rien à foutre de ton entreprise paumée dans un coin du tiers monde.



Ou par une fonctionnalité que tu ne peux pas implémenter faute de pouvoir modifier le logiciel.



Ou par un éditeur qui fait faillite et se moque totalement des pauvres SS2I qui vont devoir gérer ça.



Ou par des protections anti copies qui te compliquent singulièrement un dépannage en urgence… alors que t’as payé le soft une fortune…



Tout cela, moi je l’ai connu dans mon métier.



Dans tout ces cas, c’est toi qui est dans la merde. Les clients te payent pour leur trouver des solutions, ils veulent logiquement que tu assume ce que tu as vendu, pas écouter des justificatifs.



Pour ma part, j’ai abandonné le logiciel propriétaire, non pas pour des raisons philosophiques, mais pour de vraies raisons pratiques : ras le bol d’avoir à gérer le SAV de certains logiciels en plus de payer les licences très cher…



J’ajouterais que la gratuité des logiciels libres, ça fait des solutions plus compétitives. Mais aussi, moins de licences à payer, ça fait plus d’argent pour le travail d’intégration.



Ce n’est pas un hasard si les logiciels libres se développent principalement par le secteur professionnel.



Rappelons au passage que le gros de la nouvelle économie est fondé la dessus. La encore, ce n’est pas un hasard.


Le 20/10/2016 à 20h 49







Sideroxylon a écrit :



SAP ou Open ERP, n’importe quel ERP, c’est l’intégrateur qui a la part la plus significative dans la réussite de l’implémentation du produit.



Quel risque a utiliser VMware ==&gt; Aucun

Quel risque à utiliser KVM ==&gt; Difficile à pondérer



Donc en général, tu payes pour la tranquillité dans le cadre d’un ministère pour lequel l’informatique n’est qu’un support à la production.



Après si tu t’appelles OVH, tu vas forcement réfléchir différemment.



Je ne comprends toujours pas pourquoi on oppose libre et proprio, chaque problématique ayant une solution qui peut être libre ou ne pas l’être.



Pourquoi vouloir dire que l’ensemble des besoins seront mieux couverts par du libre?







Pas d’accord du tout.



Visiblement, tu ne perçoit pas les avantages intrinsèques du logiciel libre.



D’abord, tu parle de risque. Rappelons que dans le logiciel propriétaire, l’éditeur est le seul décideur de l’avenir d’un logiciel. Les logiciels libres sont bien la voie du moindre risque à long terme.



Le logiciel libre offre quelque chose de primordial que le propriétaire n’offre pas : l’indépendance.



Les logiciels libres permettent à l’utilisateur de s’émanciper de la dépendance que crée le logiciel.



Sur le plan technique, le logiciel libre offre également de nombreuses possibilités que le logiciel propriétaire ne permet pas : personnaliser et améliorer les logiciels pour qu’ils s’adaptent mieux à son usage, déverminer les problèmes sans dépendre du bon vouloir de l’éditeur.



Oui, le fait est qu’un logiciel apporte de nombreux avantages du simple fait qu’il soit libre. C’est pour cette raison qu’il est pertinent de favoriser cette voie. C’est dans l’intérêt stratégique de notre pays.


Le 19/10/2016 à 22h 11







Patch a écrit :



Tout dépend de la licence.

Apple vend (vendait) MacOS, qui est pourtant sous licence libre (BSD). Et je n’ai pas encore vu de fork gratuit jusqu’à présent…







Regarde ce qui est libre dans MacOs, tu comprendra pourquoi…















Le 19/10/2016 à 21h 52







doom_Oo7 a écrit :



C’est pourtant ce que font Red Hat, Ardour, Synaptics…







J’ai dit que c’était anecdotique, pas que ça n’existe pas.



Concrètement, sur le nombre de logiciels libres existant, ils sont une toute petite minorité.



D’ailleurs, payant, il faut vraiment le dire très vite.



Pour RedHat, n’oublions pas qu’il y a Centos.



Quand à Ardour, il est présent gratuitement dans les dépôts de la plupart des distributions… pas certain qu’il y ait grand monde qui sait que son éditeur le vends.


Le 19/10/2016 à 17h 41







fred42 a écrit :



Je ne suis pas d’accord.

On peut vendre des logiciels libres.



Edit : d’ailleurs Richard Stallman vendait EMACS.







En théorie, oui, mais dans la pratique, non.



Effectivement, rien ne t’interdit de vendre un logiciel libre. C’est totalement permis, même avec la licence GPL.



Le problème, c’est que si ta licence est une licence libre, tu ne pourra pas interdire à l’acheteur de le redistribuer gratuitement.



Cela aboutit en pratique au fait qu’il y aura toujours quelqu’un pour le redistribuer gratuitement… et légalement.



En pratique, il est donc très rare qu’un éditeur de logiciels libres distribue ses logiciels autrement que gratuitement(cela existe cependant, mais c’est anecdotique) car dans la majorité des cas, cela serait contre productif.



Ne pas distribuer ses logiciels gratuitement pourrait créer un énorme risque de fork dans le mesure ou celui qui le redistribuera gratuitement deviendra rapidement et facilement plus populaire que l’éditeur d’origine.

En revanche, il est plus simple de vendre des modifications ponctuelles à ceux qui en auraient besoin.


Le 19/10/2016 à 17h 10







bobbyto a écrit :





Ensuite, ce n’est pas parceque c’est libre qu’il n’y a pas de maintenance à payer pour avoir du support de l’éditeur, éditeur qui n’est pas forcément français. Genre du nuxeo sans maintenance, je ne sais ce que ca vaut.









Sauf que le fait de souscrire un contrat de support avec l’éditeur d’un logiciel n’est pas du tout une fatalité avec les logiciels libres.



Du fait de leur code ouvert, l’éditeur d’un logiciel n’est pas le seul à pouvoir comprendre son fonctionnement, diagnostiquer des problèmes, corriger des bugs ou ajouter des fonctionnalités.



Par exemple, Red Hat vends du support sur des solutions qui sont composées de nombreux logiciels qu’ils n’ont pourtant pas écrit.



En fait, tout est question de développement d’expertise. Et c’est bien en nourrissant cette expertise sur le sol français et par le biais de sociétés de service française qu’on créera une industrie sur notre sol.


Le 19/10/2016 à 16h 52



En 2015, 224 000 euros de logiciels libres pour le ministère de l’Agriculture





Je ne suis pas d’accord avec le titre pour la simple raison que les logiciels libres sont gratuits.



Donc les sommes dont il est question qui correspondent à du service informatique lié à l’exploitation des logiciels et des machines qui représentent tout ce qu’on veut… sauf le prix des logiciels libres.



Le prix d’un logiciel et son coût total d’exploitation sont deux choses totalement différentes.

Le 24/10/2016 à 20h 21



Les objets connectés sont-ils assez sécurisés ?





Faire des objets connectés, c’est visiblement devenu la grande mode du moment chez ceux qui sortent d’une école commerciale.



Le jeu c’est de mettre sur le marché le plus vite possible des produits. Les techniciens qui répondent à leurs appels d’offre pour concevoir les objets sont payés au lance pierre. Tout est pensé à court terme, les objectifs ne vont pas plus loin que de mettre des produits dans les rayon.



Des appareils qui contiennent du logiciel qui ne sera jamais mis à jour, c’est devenu presque la norme.



Pour ma part, cela fait des années que je tire la sonnette d’alarme en voyant cette bombe à retardement grossir sous nos yeux et dans l’indifférence générale.



Il était évident qu’un beau matin le monde de l’internet se réveillerait avec des sueurs froides.





Cet article est exceptionnellement en accès libre pour 24 heures, il sera ensuite réservé à nos abonnés Premium pendant 1 mois.





C’est vraiment une très mauvaise idée.



Mais ça serait une perte de temps de vous l’expliquer. Vous comprendrez avec le temps…

Le 23/10/2016 à 22h 29







Reghr a écrit :



J’ai remarqué un truc bizarre, largage du parachute et bouclier arrière à 4000 m au lieu de 1200 m, hors 4000 pieds = 1200 m.

Le programme d’atterrissage ne calculait-il pas en pieds quand l’altimètre indiquait des mètres ?

Une erreur de ce type a bien coûté la vie au 1er vol d’Ariane 5.

Hypothèse à priori farfelue mais saura-t-on jamais la vérité ?

Le jour où les anglo-saxons adopteront le système obligatoire des mesures internationales, nous aurons fait un grand pas dans la compréhension entre humains.







Personnellement, je ne suis pas pour la dictature mondiale d’une prétendue “entité internationale” derrière laquelle on trouvera toujours quelques personnes qui décident “pour le bien de tous”.



Il y a qu’a voir ce qu’ils ont fait des unités informatique et le bordel que c’est depuis.



Une norme doit s’imposer par le consensus, non par l’obligation.



Cela étant dit, je pense que les anglo-saxons devraient quand même réaliser que leur système de mesure est plein de défauts et obsolète en plus d’être source de confusion. Ce serait peut être une bonne idée de ranger pour une fois leur ego de côté pour adopter les unités métriques.


Le 22/10/2016 à 18h 52







Obidoub a écrit :



Je regrette de constater une fois de plus que nous vivons dans un monde où chacun ramène son grain de sel pour critiquer, enfoncer, voire donner un coup de savate en usant de termes techniques qu’ils ne maîtrisent visiblement pas.  L’ESA c’est pas une bande de guignols, ils ont posé Huygens sur Titan, Philae sur Churyumov-Gerasimenko (et le prochain qui dit que c’était un échec a tort et devra essayer de faire 50% de la mission sur KSP), et ont déjà envoyé des orbiteurs autour de Venus et Mars.







Certes, le fait est qu’ils sont compétents…



Mais cela ne doit pas empêcher de s’interroger sur les échecs. Parce qu’a chacun, on trouve des problèmes de fiabilité sur certains éléments clé et pas de redondance pour y pallier.



Je me demande s’il n’y a pas globalement un problème de manque de culture de la fiabilité et de pragmatisme dans la formation des ingénieurs de nos jours.



Il est possible aussi que les solutions retenues manquent de simplicité, ce qui est un problème que l’on rencontre partout.


Le 22/10/2016 à 18h 35







metaphore54 a écrit :



Ce n’est pas grave, la prochaine fois l’Europe fera mieux.







Si elle existe encore… <img data-src=" />


Le 22/10/2016 à 18h 30







tiret a écrit :



Si ça peut permettre de faire de JS un bon langage pourquoi pas. Le souci est qu’il est tellement broken by design que ça va être très dur… le langage a été conçu pour faire clignoter des boutons sur des pages web, pas pour des projets sérieux. C’est une des raisons pour lesquelles il a été torché en deux semaines cad rien pour un langage. Et c’est pour ça que :

‘5’ + 3 = 53

Et

‘5’ - 3 = 2

… en js







Disons qu’il y a certains points qui peuvent toujours être améliorés. Mais pour d’autres, c’est impossible car ils tiennent à des caractéristiques intrinsèques et profondes du langage. Si on voulait les modifier, les logiciels devraient subir une réécriture totale.



Comme tu le dit, c’est un langage qui a été écrit sur un coin de table et qui n’avait pas de grandes prétentions à la base. L’erreur, c’est de pousser son usage à l’écriture d’applications, ce pour quoi il ce langage n’est pas fait.



Cela montre bien le drame de l’informatique actuelle qui repose de plus en plus sur de mauvaises bases techniques parce que les informaticiens d’aujourd’hui sont entièrement “larbinisés” et n’ont plus aucun regard critique ni le moindre pouvoir de décision sur les outils qu’ils utilisent.


Le 20/10/2016 à 18h 55







Furanku a écrit :



Ca reste la même problématique : Javascript n’a pas été conçu pour ça, et ça se ressent dans les perf.

Node, React, Angular, etc c’est bien beau. On utilise d’ailleurs ce dernier au boulot. Mais ça reste une exploitation du JS qui n’a rien à voir avec ce pour quoi il a été créé.



Dans le même exemple je prends : PHP.

Il aura fallut attendre la version 5 et l’arrivée de gros frameworks (Zend, Symfony) pour mettre du clair là-dedans. Et là la version 7 ajoute enfin plus de typage et autres concepts qu’il lui manquait.



Je veux dire par là que l’adoption par la masse ne signifie pas le bon usage d’un langage.

Et pourtant je suis un dev PHP. Reste que quand je vois d’autres langages comme Python ou Ruby, ceux-ci offrent des choses qui manquent encore à PHP (même s’il a rattrapé son retard sur beaucoup de points).



Évitons de faire la même erreur avec JS :)

Mais là ça commence aussi par un usage plus adapté du langage par les dev.







Tout à fait.



Le problème de Javascript, c’est que les caractéristiques dynamiques de ce langage ainsi que le typage faible sont un obstacle à l’optimisation. Donc c’est une tare intrinsèque et insoluble.



Et oui, c’est bien de vouloir créer de la nouveauté, mais si on oublie les raisons pour lesquelles les langages traditionnels se sont dirigés vers certains choix, il ne faut pas s’étonner d’en subir les inconvénients.


Le 20/10/2016 à 23h 36



mais Fedora 26 devrait supporter l’architecture AArch64 du Raspberry Pi 3





Quand on compile en 64 bits, les pointeurs et de nombreuses données voient leur taille doubler.



Pas une très bonne idée sur un appareil disposant d’une très faible quantité de RAM et d’une bande passante mémoire limitée.



Rappelons que le principal intérêt du 64 bits est de passer la limitation à 4Go de l’espace d’adressage. Sur un appareil qui dispose à peine d’un Go, c’est inutile, voire nuisible.

Le 20/10/2016 à 23h 19







stephane.p a écrit :



J’aimerais bien essayer ces cartons VR, mais impossible d’en trouver pour une tablette, la Nexus 9. Oui, c’est grand, mais c’est mon seul périph android avec un bon écran.







Je te rassure, avec une tablette, c’est possible aussi.



Il te faudra juste trouver un moyen d’augmenter l’écart entre tes deux yeux. <img data-src=" />


Le 20/10/2016 à 20h 19







Jarodd a écrit :



Interdire les PPP alors que tu dis toi-même que les municipalités ne peuvent pas le faire elles-même ? Dans ce cas il n’y aurait plus aucun nvestissement d’envergure.







Il faut comprendre ce que j’ai dit. Ce que les municipalités ne peuvent pas faire, c’est gérer les énormes contrats qui sont pratiqués dans ces PPP. D’un côté une municipalité, de l’autre une grosse entreprise privée avec son armée de juriste spécialisés. Le jeu ne sera jamais équilibré…



Et si une municipalité n’est pas en mesure de gérer un projet ni de trouver les financements, c’est peut être parce que c’est un projet pharaonique dans lequel elle ne devrait pas se lancer…



L’interdiction des PPP éviterait a des villages de se retrouver endettés sur des sommes incroyables pour des infrastructures invraisemblables dont le besoin était contestable.





Le PPP est là pour qu’elles pusisent profter de l’expertise des privés.





Pour qu’une expertise ait la moindre pertinence, il faut qu’elle soit indépendante.



Que peut t’on attendre d’une entreprise avec laquelle on traite un contrat et qui est par définition juge et partie ? Il est évident que son “expertise” sera vraisemblablement orienté vers ses propres intérêts…


Le 19/10/2016 à 19h 36







Jarodd a écrit :



Sur le PPP, ma femme connaît le sujet puisqu’elle en fait régulièrement. D’après elle ils ont fait des approximations (surtout le mec interviewé dans le vestiaire), avec des effets de style (un contrat + annexes de plus de 1000 pages c’est très courant), mais au moins l’émission a permis aux gens de savoir que ce type de contrat existait. D’après elle, pour elle un financement 100% public du stade, ça n’aurait pas forcément été moins cher. Il y a toujours des retards donc des allonges budgétaires, mais dans l’ensemble ça reste plus facile pour le privé qu’avec un financement public, où les budgets sont plus contrôlés (l’opposition dans les conseils municipaux), soumis aux dates des élections, et où les pots-de-vins sont plus difficilement cachés…



Surtout, ce qu’il faut dénoncer c’est la démesure du stade, quel que soit le financement. C’est la façon d’Estrosi d’entrer dans l’histoire, une fois mort il aura sa statue à l’entrée… Après, Vinci (et Bouygues ou Eiffage, puisqu’ils ont tous ces marchés) auraient bien tort de ce priver, surtout vu les copinages (inutile de rappeler les liens entre Bouygues et Sarko…).







L’ennui, c’est que de tels contrats sont des monstres de complexité et demandent une expertise juridique et technique énorme. Je doute sincèrement de la capacité des municipalités face à cela.



Sinon, je pense que la cour des comptes doit avoir l’habitude de voir ce genre de contrat, donc s’ils disent quelque chose, ça n’est probablement pas pour rien.



Sur le fond, je pense que les PPP sont un très mauvais système à plus d’un titre et l’on devrait tout simplement les interdire.


Le 19/10/2016 à 18h 16







Pavlov a écrit :



Je viens de voir l’émission en replay, ça racole sec….

Je ne sais pas sur le fond, mais on dirait de la soupe pour tout petit QI.







Peut être ne faut t’il pas surestimer l’intelligence du téléspectateur moyen. <img data-src=" />





Le 19/10/2016 à 17h 24







joma74fr a écrit :



De toute manière, la France fait partie intégrante de l’OTAN, il faut bien utiliser les mêmes outils pour assurer une interopérabilité des systèmes entre les différentes armées nationales. Est-ce que les armées des autres membres de l’OTAN n’ont pas de contrat avec Microsoft ?







Si on suit ce raisonnement, on devrait aussi acheter les avions de combat américains, l’armement américain, les véhicules américains.



D’ailleurs, le fait de rentrer dans l’OTAN a un moment ou l’Europe aurait du songer à construire sa propre défense était un non sens total.



C’est ce genre d’ineptie qui a largement contribué à faire échouer la construction européenne.



Parce que la vraie réalité, c’est qu’on ne pourra jamais rien construire en Europe avec tout ces pays vassaux des USA…


Le 19/10/2016 à 00h 18







MrGeekArt a écrit :



On vend la caravane, et on achète une poubelle design.







http://www.ubergizmo.com/2014/01/hackintosh-mac-pro-made-from-a-real-trash-can/


Le 19/10/2016 à 00h 16







JuS a écrit :



Pour le fait que ce soit cher, c’est juste parce que c’est propriétaire. Si quelqu’un pouvait développer un format standard (comme pour les formats atx, itx … par exemple) de boitier empilable “plug-and-play” , pas forcement rond d’ailleurs … je dis que ça pourrait plaire et pas forcement qu’a mme michu.







En même temps, un ordinateur, c’est avant tout un objet technique et fonctionnel.



L’esthétique doit se plier aux contraintes de la technique. L’inverse est une dérive intellectuelle.



J’ai connu des personnes chez qui l’esthétique virait à l’obsession. Et ça leur rendait la vie très compliquée (et chère) pour rien…





Le 18/10/2016 à 19h 24







FRANCKYIV a écrit :



Une question (qui n’a rien d’un troll) :



La dernière version d’Ubuntu possède un kernel 4.8.0.



Est-il buggué comme indiqué dans cette news :



Adresse Web :

http://www.generation-nt.com/linux-noyau-correction-torvalds-actualite-1934202.h…



?







Sur Ubuntu, les Kernel reçoivent des correctifs très souvent.



La réactivité des équipes est telle que quand une information sur un problème arrive à tes oreilles, c’est que les patchs sont le plus souvent déjà appliqués sur les kernels qui sont dans les dépots.





Le 18/10/2016 à 18h 39







Haemy a écrit :



Installation d’ubuntu

1ère tentative: Problème avec une perte de signal d’écran après grub.. résolu avec nomodeset..que bien sur les novices total connaissent..

2ème tentative: Freeze de l’installateur lorsque qu’il demande si je veux vraiment utiliser l’uefi.

3ème tentative: crash de l’interface unity, perte de ma session…

Puis j’ai installé Archlinux et tout roule du 1er coup.







Pour faire tourner Linux sans problème, il faut choisir un minimum son matos à l’achat.



Le matos qui est vendu avec Windows est certifié pour Windows par le fabricant et tous les problèmes de mise au point sont réglés au moment de l’installation.



De la même façon, si tu veux du matos qui fait tourner Linux au mieux, il faut du matos certifié Linux, ou tout le moins dont la compatibilité est vérifiée par la communauté.



Pour ma part, je ne rencontre jamais de gros problème avec Ubuntu. Et ce n’est pas un hasard, je choisit mon matériel avec soin autant qu’il soit possible.



Je sais qu’il peut être tentant d’acheter son matos et de se dire que l’Os doit se démerder avec. Mais il faut être réaliste, la diversité des matériels sur PC est énorme. Et même les grands constructeurs n’hésitent pas à intégrer des circuits exotiques pour réduire les couts.


Le 18/10/2016 à 16h 50







CUlater a écrit :



Bah non, j’ai rien oublié vu que tous les faits que je décris ont été vérifiés, contrairement aux tiens. Mais vu que t’as l’air bien copain-copain avec les crétins qui sont censés protéger la population, peut-être pourras-tu étayer tes souvenirs de viols de “chiwawa” (aïe mes yeux).

 

Et si le droit de manifestation n’est pas autorisé, il y a d’autres moyens de montrer son soutien et mécontentement. Par exemple en faisant correctement son boulot pour une fois.



Quand ce sont d’autres corps de métiers qui font du zèle pendant les manifs tes potes balancent des flashballs et des fumigènes. Et quand ce sont les poulets qui font du zèle, y’a qui en face pour les calmer, hein?

Alors s’ils sont pas capables d’être droit dans leurs bottes, alors qu’ils sont censés montrer l’exemple, qu’ils demandent pas aux autres de suivre des codes qu’ils ne respectent même pas.



Et si j’ai un discours allergique à ces débiles, c’est justement que j’ai rien à me reprocher, et qu’à chaque rencontre avec eux, à défaut de pouvoir me reprocher quelque chose, ils me faisaient chier inutilement pensant me faire craquer, en se prenant pour des dieux avec des menottes à la place des c*lles.



Mais comme prochainement (pour en revenir au sujet), les interventions vont être filmées, on va voir s’ils restent aussi longtemps à tester ma patience plutôt que faire ce pourquoi je les paie avec mes impôts.







Le problème de tout métier “à pouvoir”, c’est qu’ils ont parfois tendance à attirer des personnes qui ont de très mauvaises motivations : sadiques et autres pervers recherchant la domination, etc. Les tests psychologiques ne détectent pas toujours ces profils, tout particulièrement ceux qui ont appris à le cacher.



Malheureusement, même si ce type de personne ne représente qu’une petite partie des effectifs, ils peuvent faire de très gros dégâts : leur attitude va créer de la haine dans la population, tout particulièrement chez les jeunes.



C’est pourquoi garantir que les forces de l’ordre sont absolument irréprochables doit être une priorité, et cela dans leur propre intérêt.



Je pense par ailleurs qu’ils devraient être mieux formés. Par exemple recevoir une bonne formation dans les arts martiaux pour savoir maîtriser les personnes sans causer de dégâts physiques (ce qu’on voit dans les reportages montre qu’il y a du travail…). Etre assistés par des psychologues comportementalistes pour avoir la bonne attitude face à des jeunes pour susciter le respect, etc.



Mais surtout, notre société doit cesser d’attendre de la police qu’ils soient la solution à tous les problèmes de société.


Le 18/10/2016 à 16h 26







tazvld a écrit :



Mais en attendant des robots flics partout, les agents restent des humains. Et comme tous humains, il peuvent être mal luné, être sur les nerf… ou être juste con.

Quid de l’oeuf ou de la poule, mais aussi à force de se faire craché à la gueule, tu ne risques pas d’être agréable.

Il sont aussi pris entre le marteau et l’enclume, avec des politiques qui tendent à faire du tout répressif que tu préventif.

Je ne parle pas de la vie de famille, où là famille subit beaucoup le métier du mari (article sur le couple en gendarmerie). Avec l’état d’urgence qui dure, les heures s’accumulent, si ce n’est pas le flic qui craque le premier, il ne faut pas oublier que la famille subit aussi.

Après, effectivement, donner du pouvoir à un Homme, ça lui montera à la tête.

Avec tout ça on a au final un cocktail explosif. Tu as beau avoir passer un test de psychologie à l’entrée, il y a un moment donné les nerf crack. Il suffit de regarder letaux de suicide dans la police et la gendarmerie pour se rendre compte que ces institutions, humainement parlant a tendance à être déplorable.



Je ne dis pas que les forces de l’ordre sont toutes blanches, qu’il faille tout leur pardonner. Bien au contraire, je suis pour être sévère lors de leur écart. Mais il faut aussi tenir compte que derrière un uniforme, il y a un humain qui en chie. Alors qu’il est important d’éviter que ces mecs craquent, rien n’est fait dans ce sens. Non, on va leur cracher de plus gros mollard à la gueule et on va bien s’assurer qu’ils soient là pour se les prendre !







Tout à fait.



Le problème de la Police, c’est qu’ils sont devenu la baguette magique des politiques pour contenir à bon compte tous les problèmes de société.



C’est tellement plus facile d’envoyer la police et de faire du discours sécuritaire que de régler les problèmes de société comme le chômage, la précarité, la pauvreté, l’absence totale de débouchés pour les jeunes.



L’explosion massive de la délinquance et de l’islamisme était prévisible depuis bien longtemps.



Quand je vois la police manifester, je me dit qu’enfin ils ont compris qu’ils font partie de ceux qui se font avoir. Ils reçoivent les coups pour faire perdurer l’immobilité du système et l’ordre établi.



Le 18/10/2016 à 16h 20







Romaindu83 a écrit :



…  

2- Navré, mais la qualité d’un film, d’une série ou d’un divertissement, que cela soit sur le fond et sur la forme, est bien une affaire de goût et de couleurs.









La qualité exécrable de la production française actuelle ne s’explique pas par une question de gout.



Le manque flagrant de travail dans le scénario, la mise en scène et le jeu des acteurs est criant par rapport aux productions américaines, mais aussi par rapport au cinéma français d’il y a 30 ou 40 ans.



Plutôt que de subventionner ça, on ferait mieux de tout supprimer et de créer un revenu citoyen. Au moins, ceux qui n’ont pas d’inspiration resteront couché…


Le 17/10/2016 à 19h 09







Romaindu83 a écrit :





Je tiens à préciser, à nouveau, que la redevance audiovisuelle française est une des moins élevées en Europe. En 2015, elle était de 200 € au Royaume-Uni, de 215 € en Allemagne, de 232 € en Suède ou encore de 433 € en Suisse.

….







Avant de comparer les chiffres, peut être serait t’il pertinent de s’enquérir du le salaire moyen en suisse <img data-src=" />



Différents systèmes, différentes monnaies, différents niveau de taxation. Les comparaisons en conversion monétaire directe n’apportent jamais une conclusion juste…


Le 17/10/2016 à 18h 28

Encore une taxe qui va augmenter régulièrement avec le temps.



Un beau matin, on s’apercevra qu’une bonne partie des français auront du mal à payer leur abonnement internet et que cette situation crée une fracture sociale et des millions de jeunes qui sont sacrifiés.



Alors on décidera de créer des aides… qui coûteront une fortune en frais de gestion.



Puis on accusera les pauvres de profiter des aides et de foutre en l’air le système.


Le 18/10/2016 à 00h 42







127.0.0.1 a écrit :



idées nouvelles, idées nouvelles… Elle propose juste une “boite à suggestion”.



Bref, un attrape-couillon pour étouffer les rebellions: si t’es pas content, si tu veux tout changer… alors met un message dans la boite à suggestion. Et la direction l’assemblée étudiera ta proposition.







Je ne parlais pas de cette idée la, mais des autres qu’elle a évoqué pendant sa campagne.



Rien que d’oser parler de revenu citoyen dans une primaire de la droite, il faut avoir du courage.



Sans être naïf, j’apprécie quand même plus ses idées que les “tournant sécuritaire total” de certains autres.


Le 17/10/2016 à 18h 58







jackjack2 a écrit :



Bla bla je veux être madame 15% pour bien me placer dans le gouv de Sarko/Juppé

 

On se rappelle de ce que tu as fait quant tu étais aux manettes chère NKM







Certes, mais on peut au moins lui reconnaître d’avoir été la seule à apporter des idées nouvelles pendant que les autres se perdaient dans la facilité de la surenchère sécuritaire et les diatribes anti “assistanat”.



Bref, elle a le mérite d’avoir été la moins pire du lot…



Le 17/10/2016 à 21h 03







jpaul a écrit :



Il s’agit d’apprendre les rudiments de la programmation à des enfants, pas d’utiliser ça pour écrire des applications.







On peut apprendre ces même rudiments avec un vrai langage. On évite ainsi toute perte de temps.



Rappelons que l’utilité de la programmation, c’est justement d’écrire des applications pour résoudre des problèmes. Et les vrais langages sont les mieux placés pour ça…



Si l’on se contente d’initiations abstraites sans démontrer l’utilité concrète de la programmation dans la scolarité même de ces jeunes, non seulement ils auront vite oublié, mais ils arriveront à la conclusion que tout cela n’est pas vraiment utile. <img data-src=" />


Le 17/10/2016 à 18h 48

Pour ce que valait le débat sur la primaire de la droite…



Quand ils n’étaient pas dans la surenchère à l’extrémisme sécuritaire, c’était à celui qui serait le plus dur avec les chômeurs.



Finalement, il n’y a que NKM qui semblait avoir autre chose à proposer que des idées d’une autre époque.



Si vous ne vouliez pas revoter pour François Hollande, rassurez vous… la droite vous fera changer d’avis <img data-src=" />