tmtisfree
est avec nous depuis le 19 avril 2006 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
7067 commentaires
Des chercheurs font un pas vers la « production industrielle d’hydrocarbures biosourcés »
Le 13/04/2021Le 14/04/2021 à 06h 47
Oui ? Rien de plus consistant à écrire ?
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Ah ? Mais tu as déjà conclu plus haut que ce n’était que mes opinions, ce que j’ai confirmé. Note que ton affirmation sous la forme d’une vérité énoncée mais non démontrée que « l’économie n’est pas une science » se pose là…
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Mon raisonnement est qu’il faut choisir des partenaires capables pour argumenter : mon « opinion » et ma « prétention à énoncer la vérité » que l’économie possède bien toutes les caractéristiques d’un domaine pouvant être étudié scientifiquement font que tu t’es automatiquement désigné comme incompétent en la matière, et donc immédiatement exclu d’une possible discussion sur le sujet.
Tu trouvera ici du carbier, de la maladie autosomique récessive, de l’idiotphile accompli, bref du lambda bas de gamme à la douzaine, pour causer d’économie magique, d’économie fiction ou sous tout autre angle qu’il te plaira. Mais pas avec moi. Fin de transmission.
Le 14/04/2021 à 06h 28
Et pourquoi cela ? Cette restriction est complètement abusive : la 2nde loi impose (et encore, pas de manière absolue) seulement que le système soit fermé pour qu’elle soit valide, absolument pas que ses sous-systèmes le soient eux aussi quand ils sont considérés dans leur système global. Révise la Physique.
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« ecognomie » ??? Tu as encore oublié tes cachets ?.
Le 13/04/2021 à 15h 03
Oui, je te confirme que tout ce que je dis ou écris est bien mon opinion, mais ça ne fait pas avancer beaucoup les choses une fois reconnu.
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Tu n’as rien prouvé non plus, et donc à part répéter cette phrase creuse, on n’est pas plus avancé (encore une fois).
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Personne ne l’a prétendu. C’est ton problème si tu ne veux pas reconnaître que l’économie est une science, mais en faisant cela tu n’as plus aucune légitimité à en parler. Ce qui clos ici cette « discussion » qui fait du surplace.
Le 13/04/2021 à 14h 52
Je ne vais pas faire ton boulot de recherche à ta place… mais tu peux commencer par The Ultimate Resource II de J. Simon (ou un résumé vidéo en 1 heure) pour t’instruire correctement sur le sujet.
Le 13/04/2021 à 12h 02
C’est ton opinion, pas partagée par grand monde. Je suis cependant d’accord pour la partie « gaver aux mathématiques », mais l’incohérence en la matière est quand même étonnante quand on sait sur quoi se basent les politiques pour fonder leurs discours et décisions – des modèles socio-économiques quantitatifs.
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C’est bien la peine de reprocher juste avant le recours aux mathématiques… Ce n’est pas une « approximation » de ma part mais une volonté délibérée de ne pas généraliser abusivement. Il existe souvent des exceptions et le futur ou le hasard ne sont pas prévisibles. Tu peux d’ailleurs les retirer si cela te chante, ma phrase reste correcte.
Le 13/04/2021 à 11h 50
Tout dépend de la définition de capital : sous sa forme financière, ce n’est qu’un outil, inutile pour qui n’a pas l’autre capital, le cognitif (note que cela est suffisant pour réfuter le socialisme en 3 secondes chrono).
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Je vois maintenant d’où vient le problème.
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Personne ne fera jamais mieux que l’étude et l’analyse de l’Histoire économique. Tu peux commencer par là.
Le 13/04/2021 à 11h 40
Rends grâce à mes nombreux passages pour dérouiller ces rails…
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Mon Dieu, quel scientisme de quel chiantiste extrêmement confus et superficiellement pédant. Si tu veux un aperçu qu’un système quelconque est globalement positif, mesure/évalue l’entropie de ses sous-ensembles (qui diminue) et compare-la avec celle des autres (qui augmente). Dans tous les cas la 2nde loi est globalement respectée mais ça permet de confirmer pourquoi l’un a été sélectionné (le naturel) et pas l’autre (le constructif).
Le 13/04/2021 à 10h 46
D’où l’intérêt de penser et d’écrire précisément pour éviter de se faire mal comprendre…
Le 13/04/2021 à 10h 42
On dirait le discours tordu et dévoyé des escronomistes effarouchés (ou une appellation dans ce goût-là), mais je n’ai pas de temps à consacrer pour faire ta rééducation dans cette matière.
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C’est de la mathématique élémentaire. Seule une fraction de la monnaie est détruite et seulement pour certaines modalités d’investissements (emprunt par ex.) : le reste (dont l’intérêt) est une pure création de valeur et de richesse. Dans une subvention la perte est presque toujours sèche et la création de valeur presque toujours nulle, presque par définition : la valeur de la monnaie maintenant évaporée est effectivement nulle.
Le 13/04/2021 à 10h 28
« L’addition des actifs (humains) et des ressources déjà présentes » forme nécessairement le système (de création de richesse).
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La découverte du pétrole et le pétrole en eux-mêmes n’ont aucune signification. C’est bien le système (humain et capitaliste de marché) qui a permis (et permet toujours) de le transformer en ressources utiles. Les matières premières ne sont rien sans le cerveau humain et le capital/marché pour y parvenir.
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Ce n’est pas contradictoire, tout en étant fort peu spécifique : généralement aucun système n’est parfait (ni la Nature elle-même en dépit de ses milliards d’années d’existence), pas plus celui que j’ai décrit qu’un autre. Simplement, il l’est relativement plus que les autres, et de très loin.
En fait quand on y réfléchit, la caractéristique la plus intéressante de ce système est d’être sous-optimal.
Le 13/04/2021 à 10h 12
70 $, c’était vrai il y a 7 ou 8 ans. Depuis le point mort (ou breakeven price) pour le pétrole non conventionnel US a bien baissé, tout en variant selon les champs exploités.
Il y a 2 ans, il était d’environ 50 $, 2ème moins cher mondial. Fin 2020, ce coût avait encore baissé à 46 \( en moyenne (36 \) pour le plus bas).
Le moins cher mondial en conventionnel, le Quatar, est à 43 $ cette année.
Le 13/04/2021 à 09h 55
Cette chaîne naturelle d’intermédiaires a collectivement produit, malgré les nombreux handicaps d’idéologies obsolètes perverses mortifères, des société prospères dont certains individus ignares, hypocrites et fils prodigues peuvent se permettent de critiquer sans raison ses succès dont ils ont profités sans reconnaissance aucune.
Une multiplication est toujours réductible à des additions.
Le 13/04/2021 à 09h 47
Tu recommences à faire du charabia sans rapport.
Une subvention n’est pas un investissement, c’est précisément son contraire. Un investissement présuppose une espérance de rentabilité alors que les subventions sont utilisées pour régler une opportunité potentielle de marché erronément confondue en échec.
Tu remarqueras qu’aucune analyse de rentabilité n’est jamais réalisée quand on subventionne : toujours et seulement d’autres considérations sont prises en compte pour en décider. Cela ne veut pas dire que parfois, par un heureux hasard, une subvention n’est pas arbitrairement rentable. Mais c’est l’exception qui confirme la règle.
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Ce n’est donc pas une « mythologie » que les milliers de tonnes de béton et de ferraille du socle des éoliennes vont rester sous terre : c’est bien (parfois) d’admettre tes erreurs et ignorances.
Le 13/04/2021 à 09h 10
Si c’était le cas, le prix à la pompe (par ex.) serait nul. En fait ce sont les escrolos et autres socialauds, qu’on ne peut décemment pas catégoriser comme capitalistes, qui n’arrêtent pas de nous seriner que le vent et le soleil sont gratuits et que sans les entreprises et les marchés, la société serait un paradis dégoulinant de lait et de miel… alors que bien évidemment il n’en est rien et que l’Histoire a démontré le contraire.
Le fait que tout ait un prix indique que tout a un coût et que donc rien n’est gratuit (les marchés existent pour cette raison). Mais ce genre de raisonnement trivial n’est pas à la portée de tous…
En un mot : TINSTAFL.
Le 13/04/2021 à 09h 03
Pour les collectivistes, c’est une croyance ferment enracinée, certes, mais pour le marché, c’est juste une distorsion pour favoriser des perdants au prix de l’appauvrissement généralisé (par définition).
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Ignorance de ta part. C’est inscrit noir sur blanc dans la loi et sur les actes de location de mes terrains. La seule obligation de l’exploitant est de remettre en état le sol superficiellement.
Le 13/04/2021 à 08h 36
Les socles de centaines de tonnes de béton et de ferraille des éoliennes ne sont jamais retirés. Cela de dérange apparemment personne que les fuites et contaminations par métaux lourds et autres saloperies des aquifères dans les décennies qui viennent sont un grave problème de santé publique en devenir.
Le 13/04/2021 à 08h 30
Le coût extraction n’est qu’un élément parmi d’autres, seul le prix total fait référence pour comparer. Si le marché de l’énergie fonctionne principalement aux hydrocarbures, ce n’est pas par hasard.
On peut aussi raisonner en EROEI pour déterminer ce qui est sociétalement durable ou pas.
La biomasse n’est clairement pas l’avenir et, avec les EnRI, ne continuent à exister que par les subventions.
Le 13/04/2021 à 07h 58
Ils disaient déjà cela en 1870…
Le 13/04/2021 à 06h 41
Et maintenant ? Probablement rien du tout.
Aussi intéressant que puisse être le fonctionnement moléculaire d’une enzyme, le passage à l’industrialisation du process sera sans doute fatal pour la bonne et simple raison que le pétrole et le charbon resteront longtemps les batteries solaires les plus répandues, les plus denses, les moins coûteuses, etc.
L’impact de la crise sanitaire sur les télécommunications fixes et mobiles
Le 12/04/2021Le 13/04/2021 à 11h 10
Ce que l’article impose en « cas de changement unilatéral » est que la résiliation est la SEULE possibilité si l’autre partie n’accepte pas l’avenant. Nul part il est précisé que les contrats devraient ou pourraient contenir d’autres dispositions plus favorables, comme par ex. le maintien tel quel en cas de désaccord, voire des pénalités en cas de rupture par l’opérateur.
Cette législation (de moindre emmerdement pour les opérateurs) est donc une autorisation implicite de rédiger les contrats de telle manière que la résiliation soit la SEULE porte de sortie possible en cas de non-acceptation du projet de modification.
Ce n’est pas le rôle du législateur d’imposer les dispositions des contrats, surtout quand ici elles sont clairement en défaveur des consommateurs.
J’en resterai là pour ma part.
Le 13/04/2021 à 09h 32
C’est bien le problème. La résiliation devrait être exercée de plein droit (du vrai Droit) par les parties selon les dispositions du contrat, alors qu’ici c’est la législation qui dispose et n’est un subterfuge pour forcer à la résiliation une partie par l’autre.
Il est d’ailleurs symptomatique de constater que les avenants vont toujours dans le sens de « l’enrichissement de l’offre », jamais le contraire.
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Il n’y a rien d’équitable à forcer la résiliation d’un contrat modifié unilatéralement. Imagine que ton conjoint fasse un avenant à ton contrat de mariage en enrichissant les conventions pour te forcer à accepter un 3ème partenaire du sexe de son choix sans que tu ne puisses refuser sans annuler ledit mariage…
Juste débile tellement une partie aurait un pouvoir exorbitant et disproportionné, mais c’est pourtant l’actuelle législation.
Pour ma part je considère que toute disposition visant à donner un avantage à une partie contractante devrait être jugée illégale. La Loi devrait rester neutre et seulement garantir les contrats.
Le 13/04/2021 à 08h 47
Évidemment, la loi n’est pas là pour produire du contrat ou de la convention mais de les garantir, et c’est bien là mon point et mon reproche : il est impossible de refuser purement et simplement l’avenant sans rompre ledit contrat, ce qui est antithétique de l’objet même du contrat et donc moralement inacceptable.
Cette loi est juste un cadeau pour les opérateurs (un ex. de crapitalisme de connivence).
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Tu payes 100 % selon ton contrat, qui ne fournit d’ailleurs pas un « service en électricité » (qui concerne EDF/Enedis) mais un service de transport d’informations EM.
Le 13/04/2021 à 08h 16
Un « contrat sans engagement » est une contradiction dans les termes. S’il n’y a pas d’engagement spécifique et spécifié, il n’y a tout simplement pas de contrat. Il peut exister des contrats sans engagement de durée, certes, mais cela change rien à l’exception légale qui nous concerne ici.
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LOL. Avises-toi de ne pas payer selon les termes signés, et tu découvrira combien de temps ton non-respect te permettra de continuer à recevoir ton « service en électricité ».
Le 13/04/2021 à 06h 23
Tu n’as pas de boule de cristal : on peut imaginer des contrats avec toutes les clauses possible, mais il est impossible de savoir a priori ce que le marché décidera.
Je suis d’accord avec ta dernière phrase. Cela étant, les parties sont libres de décider ces portes de sortie. Ici clairement la porte de sortie a été décidée par le législateur, ce qui est loin d’être idéal pour une des parties.
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C’est faux : je signe des dizaines de contrats tous les ans, et jamais je n’ai vu de disposition qui autorise une partie à en changer les termes pour son unique bénéfice sous la contrainte de résiliation et sans pénalités.
L’incompréhension rencontrée par le public, qui remonte sous forme de nombreuses plaintes, est un excellent indicateur que l’esprit du Contrat (au sens moral et juridique du terme) n’est pas respecté ici.
Il est tout bonnement incroyable que certains défendent encore l’indéfendable contre leurs eigenvalues : ça en dit long sur le degré d’acceptation du moutontribuable français, toujours consentant pour se faire tondre.
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La logique dicte que comme la loi autorise une partie à modifier unilatéralement le contrat avec comme seule porte de sortie la résiliation pour l’autre partie, on en déduit que sans cette loi cette pratique est illégale ceteris paribus. QED
Ton problème est de supposer que sans la loi, les contrats devraient imposer les mêmes dispositions au bénéfice des opérateurs : c’est un raisonnement fallacieux et complètement abusif, mais hélas courant. De plus, pour couronner ton monceau d’absurdité, tu conclues par un argument circulaire : ce n’est prévu au contrat que parce que la loi l’y autorise.
Le 12/04/2021 à 18h 12
Vous l’avez dit vous-même : la pratique de modification unilatérale est légale seulement parce que la loi l’autorise. Sans cette loi, si le contrat ne spécifie pas les dispositions modifiants ses modalités par les parties, aucune ne peut le modifier. Tout avenant peut se refuser sans conséquence sur la continuation dudit contrat. Cette loi autorise en fait la vente forcée.
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Ce sont la majorité des contrats : si j’ai un contrat pour vendre selon telles modalités (telle quantité de telle qualité à tel prix à telle échéance par ex. pour un contrat MAT), je n’ai aucune possibilité d’y surseoir sauf à payer des indemnités pour non respect des clauses. Il est impossible pour moi ou l’autre partie de modifier ce contrat sans encourir ces pénalités.
C’est à ça que sert un contrat : ses termes sont certains (comme inscrits dans le marbre) et seule une négociation de gré à gré peut permettre de le modifier.
Ici il n’y a rien de tout cela : un document dont une partie a la possibilité d’imposer la modification substantielles avec pour seul échappatoire à l’autre partie la résiliation n’est pas un contrat mais autre chose.
Le 12/04/2021 à 12h 21
Tu ne sembles pas comprendre que cette disposition est hors contrat : c’est une faveur législative pour les opérateurs.
Le 12/04/2021 à 10h 55
Dans ce cas-ci, délégiférer me semble bien plus approprié
Le 12/04/2021 à 10h 26
Cette pratique, même si elle est légale, est tout à fait déloyale et défavorable pour le consommateur. Un contrat est un contrat. Permettre de le modifier unilatéralement est un abus quand il n’existe pas de contrepartie équivalente : la simple possibilité de résilier ou de migrer n’est pas à la hauteur.
Les Français seraient-ils devenus technophobes ?
Le 12/04/2021Le 13/04/2021 à 07h 06
Pour ceux qui sont intéressés de savoir pourquoi, je conseille la lecture de La langue des médias - Destruction du langage et fabrication du consentement d’Ingrid Riocreux.
Ce livre fournit une grille d’analyse de la langue employée par le Journaliste, puis critique son discours à l’aide de très nombreux exemples.
Il montre que le règne de la pensée dominante n’est pas un hasard (même si les idiots utiles existent toujours) : le Journaliste énonce de l’information, pas des évènements, en modelant la langue d’une certaine façon qui est analysée à plusieurs niveaux (mots, expressions, phrases, etc.).
Ce livre est en fait un manuel pratique pour acquérir des réflexes d’écoute et repérer chez le « marchand de nouvelles » les pièges qu’il nous tend dans son discours orienté et orientant.
En Chine, Alibaba écope de plus de 2 milliards d’euros d‘amende pour abus de position dominante
Le 12/04/2021Le 12/04/2021 à 10h 11
L’oxymore « gouvernement légitime » m’a bien fait rire !
Le 12/04/2021 à 08h 56
Le PCC qui condamne pour abus de position dominante est une délicieuse ironie.
Nul doute que M. Ma a échappé aux camps de travaux forcés mais pas a un ressourcement obligatoire…
Exposition aux ondes : l’ANFR rénove sa « maison »
Le 12/04/2021Le 12/04/2021 à 09h 13
le bateau ne respecte pas la distance de sécurité
les lampadaires sont allumés en plein jour
TousAntiCovid : 4,8 millions d’euros de dépenses de comm’
Le 08/04/2021Le 10/04/2021 à 06h 39
La note de l’INSERM indique précisément que l’équation est linéaire avec des termes proportionnel et variables indépendantes et les résultats dans les tableaux confirment que l’équation est linéaire.
Tu n’as pas lu le papier ou, plus probablement pas compris.
Tu fais bien de ricaner bêtement.
Tu es une nullité scientifique.
Le 09/04/2021 à 09h 24
Ne tombe pas dans le piège sophiste des Carbier de ce monde : ton niveau d’étude/diplôme a très peu d’importance, seule la pertinence des arguments doit prévaloir.
Le 09/04/2021 à 09h 04
Plus exactement, la transmission par contact indirect sur surface (fomites) semble faible du fait de l’absence de données. On peut raisonnablement supposer que, par exemple, les poignées de porte ou de caddies de supermarché sont des vecteurs efficaces.
La définition de « contact direct » est par le toucher (poignée de main, bisou, etc.). Un éternuement n’a rien de direct puisque la transmission se fait nécessairement par air – on tousse très rarement directement dans la bouche d’une autre personne (enfin chez moi).
Le 09/04/2021 à 08h 51
Quel intérêt/rapport a ce § pseudo sociologique avec l’étude et son analyse à part justifier a posteriori tes débordements coutumiers ?
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Il est précisé dans l’étude page 3 au sujet de l’équation 2 :
Dans le tableau 1, on vérifie cette proportionnalité en faisant les rapports des % entre colonnes ligne par ligne : la progression est bien linéaire avec un coefficient d’environ 0,8.
Plus loin il est dit aussi que :
Mais les auteurs ne connaissent pas la relation entre 𝑅t et 𝑖, et donc supposent constante l’une pour calculer l’autre. Le dernier tableau montre que le rapport entre 𝑅F et 𝑖 est aussi constant.
Conclusion : l’équation est bien linéaire.
PS : l’équation 1 n’a d’intérêt que d’introduire l’équation 2, le but de l’étude étant d’estimer l’impact de l’utilisation de l’application, pas de mesurer quoi que ce soit en fonction du temps.
PS2 : ceci ne préjuge en rien de la validité ou non du papier (dont l’intérêt est aussi limité que son objet d’étude), qui n’est qu’une note au demeurant et non un article revu par les pairs et publié dans la littérature…
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Sans rapport : jeter des mots savants à la figure = poudre aux yeux.
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Les auteurs n’ont fait aucun effort pour pour déterminer si un tel domaine existe : on est donc en droit de prolonger la courbe selon des modalités arbitraires.
Le 08/04/2021 à 10h 00
La CDC indique au 5 avril 2021 que :
Le risque de transmission directe de personne à personne (ton « simple contact ») est donc considérée comme non négligeable. C’est bien pour cela qu’on évite de se serrer la main ou de s’embrasser.
En outre il y a une contradiction apparente entre le risque (considéré comme faible) de contamination par les dépôts en surface (les fomites) et les recommandations de désinfection des mains – supposément instaurées pour éviter et ces dépôts et les contaminations directes.
Les dernières données montrent que ce risque ne devient « mineur» que 3 jours plus tard, ce qui reste relativement long (surtout en mode confinement strict).
Il ne faut pas confondre défaut de documentation et preuve d’absence (de risque).
Pour Eric Piolle, le vote électronique « devrait déjà être envisagé pour assurer la continuité démocratique »
Le 09/04/2021Le 09/04/2021 à 11h 16
Avec des amis comme ça, le numérique n’a pas besoin d’ennemis.
Voilà la traduction ce que cet escrolo a voulu dire :
Confinement et couvre feu climatique, bâillon respiratoire pour tous, carte individuelle de crédit carbone et laisser-passer vert bientôt en vente (et pénurie) dans les magasin d’État d’EURSS.
Continuité pédagogique : le CNED toujours attaqué, Blanquer accuse maintenant les « tuyaux »
Le 09/04/2021Le 09/04/2021 à 10h 21
Que dire de plus, sinon que ce pays possède les incompétents hontectomisés et idiots serviles qu’il mérite.
Toutes les décisions les plus débilissimes et les plus connes pouvant être prises l’ont été. Leur seule « réussite » est d’avoir cramé des myards en pure perte à une vitesse historiquement inégalée.
La fuite en avant dans l’improvisation, le n’importe quoi et le foutage de gueule a été de rigueur et le sera jusqu’au bout.
Et voici l’Agence de l’Innovation pour les Transports (AIT)
Le 09/04/2021Le 09/04/2021 à 09h 50
Un autre comité Théodule dont « l’utilité » n’est que de recentraliser (« coordonner » en novlangue technocratique) d’un coup de baguette étatique le peu de liberté d’action des acteurs sur le terrain que la décentralisation avait réussi à obtenir.
Mais non, dans le plus pur style collectiviste fromager, ce nouveau machin de la technostructure va inonder d’argent des autres pour satisfaire les lubies escrolos du moment et autres concepts creux (mobilité) et viciés (hydrogène) en vogue actuellement.
Attendons-nous donc à des giboulées de myons, ici pour de l’H2, là pour des autolib électriques (oups), histoire de plomber un peu plus des dettes nationales déjà pharaoniques.
Les générations futures hocheront la tête d’incompréhension devant tant d’imbécilité chronique.
L’avis du Conseil d’Etat sur le projet de loi Arcom
Le 08/04/2021Le 09/04/2021 à 07h 25
Ils avaient aussi promis que la Hadopi allait disparaître : ils ont littéralement tenu parole.
La SNCF passe la « première commande de trains à hydrogène en France »
Le 08/04/2021Le 08/04/2021 à 13h 23
Notre électricité est déjà décarbonnée à >90 %. La fermeture future de 15 centrales nucléaires va en fait mécaniquement recarbonner l’électricité : en effet l’ADEME indique que le nucléaire émet 6 gCO2/kWh, alors que l’éolien près de 3 fois plus et le solaire près de 10 fois plus. Et ce sans compter les « petits aménagements » de calcul liés aux problèmes bien réels de l’intermittence…
Bref la planète dit merci aux escrolos pour ce futur verdissement.
Le 08/04/2021 à 10h 25
Double LOL pour le train « vert » à hydrogène provenant de méthane !
Et combien de subventions sur ces 190 myons ?
Parce que quand même France Stratégie affirme que l’hydrogène n’est pas une solution, il ne reste plus que la position du « quoi qu’il en coûte avec l’argent des autres » pour expliquer cette lubie invraisemblable.
Certificat vert numérique Covid-19 : le « oui mais » des deux CEPD
Le 08/04/2021Le 08/04/2021 à 11h 22
On voit mal en quoi la libre circulation va pouvoir être encore plus libre qu’elle l’est déjà avec un laisser-passer digne des années 1940.
En réalité ce certificat « provisoire » a tous les attributs d’un test de restriction de circulation en forme d’étoile jaune inversée : si tu n’as pas suivi la charia technocratico-sanitaire qu’on t’a quasi imposée, tu n’auras pas/plus le droit de circuler.
Twitter publie son Global Impact Report pour montrer ses efforts
Le 08/04/2021Le 08/04/2021 à 10h 56
Le plus intéressant dans ces rapports est tout ce qu’ils ne disent et n’expliquent pas : ici, entre autres, la censure institutionnalisée et le biais politico-idéologique. Ce ne sont au final que des exercices de comm aussi attirants que des pourriels dans sa BAL.
La France Insoumise veut « passer de la société du jetable à celle du durable »
Le 08/04/2021Le 08/04/2021 à 09h 13
La dernière loi sur ce sujet chimérique ayant été un véritable fiasco, pourquoi ne pas en rajouter une couche ?
Déplorable de démagogie et d’escrologie populiste aux relents de malthusianisme obsolète et nuisible visant à reculer l’inexorable naufrage idéologique…
Continuité pédagogique : caramba, encore raté !
Le 07/04/2021Le 07/04/2021 à 16h 04
Zont oublié de déployer le pare feu OpenOffice à l’ÉdNat… devraient prendre conseil auprès du sinistère de la Kultur…
Plus sérieusement, tout ce cirque sanitaire n’aura été qu’un méli-mélo d’improvisations abracadabrantesques ratées et de décisions consternantes de débilité.
Heureusement que les élections arrivent pour… ah ben non.
5G : le gouvernement lance le volet « usages citoyens » de l’appel à projets France Relance
Le 07/04/2021Le 07/04/2021 à 08h 40
Ça ressemble au saupoudrage habituel de l’argent des autres pour surfer sur la vague technophile du moment. Le résultat de ce qu’il en ressortira est couru d’avance : rien.
Enfin, ce n’est que 120 myons d’enfumage, une goutte d’eau dans le tonneau des Danaïdes de la dette étatique.
La France Insoumise veut taxer « les profiteurs de crise »
Le 07/04/2021Le 07/04/2021 à 08h 33
On constate une fois de plus l’ignorance économique crasse des mécanismes (pourtant triviaux) du marché.
Cette incompétence populiste (feinte) permet de titiller l’égalitarisme chevillé au corps du quidam moyen et de s’afficher comme un chevalier blanc défenseur du pouvoir d’achat.
Alors que les taxes proposées seront bien évidemment répercutées 1:1 immédiatement vers le-dit quidam.
Les vrais profiteurs de crise ont des visées électorales…
Netflix s’engage « à atteindre l’objectif Net Zéro carbone d’ici la fin de l’année 2022 »
Le 02/04/2021Le 07/04/2021 à 07h 53
Exactement. Pour un individu normal, analyser les situations pour les comparer est la base pour évoluer.
Mais dans tout ce qui concerne l’environnement, cette pratique raisonnable est mise de côté parce que selon les absolutistes vert, toute activité humaine a un impact délétère sur la planète parce qu’il modifie son état antérieur, ce qui est mal de par leur définition fantaisiste que Nature = musée statique.
D’où la logique d’interdiction/réglementation/imposition drastique généralisée dans à peu prèstous les domaines de la vie. L’escrologie est le nouvel antihumanisme sous l’oripeau hypocrite ultime de « sauver la planète » (qui se porte bien, merci pour elle).
En France, pays où l’électricité est quasiment décarbonnée, on a même des abrutis voulant remplacer le nucléaire par des EnR dont le bilan énergétique et environnemental est désastreux.
Heureusement qu’on peut compter sur l’Inde, la Chine et l’Afrique pour continuer à verdir la planète pendant que l’Occident retourne au Moyen Age.