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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 14/03/2016 à 14h 06







Commentaire_supprime a écrit :



Et c’est quoi ta justification morale supérieure à ton égoïsme ?





La satisfaction de mes besoins ne nécessite pas que les autres soient mes esclaves. La satisfaction des leurs ne nécessite pas que je le devienne.


Le 14/03/2016 à 11h 09







Commentaire_supprime a écrit :



Comme le disait si bien J. K. Galbraith :





Il est en retard, la phase de recherche est passée depuis longtemps d’autant plus que je hais les idées des conservateurs tout autant que celles des progressistes. Je suis plutôt experte en anarcho-capitalisme. <img data-src=" />


Le 14/03/2016 à 10h 12







Citan666 a écrit :



C’est bien ce qu’on dit : tu profites un max du système tout en le sabotant à ton niveau au lieu de le respecter, et en plus tu critiques…



En fait, tu viens te vanter du fait que tu nous piques du fric en exploitant le système d’un point de vue légaliste pour en profiter un max plutôt que de simplement prendre la part qui t’était prévue, et derrière tu viens chouiner que tu “subis” le système.



Bravo.

Sincèrement, bravo.

J’ai pourtant vu passer un paquet de têtes à claques dans ma vie, mais tu rentres aisément dans le top 3.



C’est tout simplement à cause de ce genre de mentalités que le pays part en vrille.

Présente-toi donc en politique, tu es totalement calibrée pour t’intégrer au milieu que tu méprises. <img data-src=" />





Que voilà une bien belle manière de légitimer son égoïsme. <img data-src=" />







Ton interprétation est à l’opposé de mes actions : je ne profite pas du système, j’utilise mon intelligence pour éviter qu’il profite de moi. Je renierais mon propre cadre de pensée/philosophie de vie en faisant de la politique (ce qu’on m’a déjà suggéré plus d’une fois de faire figure-toi, et je n’ai aucune raison de croire que je n’y réussirais pas). Pour finir, j’assume parfaitement mon égoïsme, car en retour je ne demande pas que les autres soient des esclaves soumis à mes besoins. C’est la seule position stable, équitable et à l’équilibre dans une société digne de ce nom.


Le 14/03/2016 à 09h 58







gavroche69 a écrit :



Là où je te parle d’un ressenti personnel vis à vis de ces gens tu me ressors tes théories généralisées sur la propagande et autres trucs dont je n’ai vraiment rien à foutre… <img data-src=" />



Franchement, qu’est-ce que j’en ai à foutre de savoir comment je serais reçu dans ces pays si les situations étaient inversées, le problème n’est pas là.



On dirait que tu vis dans un bunker dans tous les sens du terme, ça en devient affligeant.

Tu dois lire trop de bouquins d’économistes (ces gens très doués pour “prédire” le temps qu’il faisait hier) et pas assez de bouquins sur l’humain au sens noble du terme en supposant qu’il reste encore de la noblesse à cette triste espèce…



Tout ça ne m’empêche certes pas de dormir mais j’ai du mal à comprendre que l’on puisse s’en foutre totalement en adoptant la posture systématique du “à chacun sa merde, c’est pas mon problème”…



On a décidément pas du tout la même vision de ce que devrait être cette humanité qui se croit si supérieure à tout et qui pourtant ne vole pas très haut et ne rate pas une occasion de s’enfoncer un peu plus chaque jour qui passe…



Du coup, plus le temps passe et plus j’aime mon chien… <img data-src=" />









gavroche69 a écrit :



Là où je te parle d’un ressenti personnel vis à vis de ces gens tu me ressors tes théories généralisées sur la propagande et autres trucs dont je n’ai vraiment rien à foutre… <img data-src=" />



Franchement, qu’est-ce que j’en ai à foutre de savoir comment je serais reçu dans ces pays si les situations étaient inversées, le problème n’est pas là.



On dirait que tu vis dans un bunker dans tous les sens du terme, ça en devient affligeant.

Tu dois lire trop de bouquins d’économistes (ces gens très doués pour “prédire” le temps qu’il faisait hier) et pas assez de bouquins sur l’humain au sens noble du terme en supposant qu’il reste encore de la noblesse à cette triste espèce…



Tout ça ne m’empêche certes pas de dormir mais j’ai du mal à comprendre que l’on puisse s’en foutre totalement en adoptant la posture systématique du “à chacun sa merde, c’est pas mon problème”…



On a décidément pas du tout la même vision de ce que devrait être cette humanité qui se croit si supérieure à tout et qui pourtant ne vole pas très haut et ne rate pas une occasion de s’enfoncer un peu plus chaque jour qui passe…



Du coup, plus le temps passe et plus j’aime mon chien… <img data-src=" />





J’ai la même position que toi vis à vis de tes affabulations à mon égard. <img data-src=" />



Pour ma part, je n’ai pas de vision à imposer à l’humanité, elle est bien assez grande pour se débrouiller toute seule quand elle est si peu humble pour s’autoériger en Sapiens.



Pour ton chien, tu as bien raison : lui au moins te le rend bien.


Le 14/03/2016 à 07h 58







saladiste a écrit :



Tu es un peu naïve de le penser, car ces arbitrages sont organisés et il est par ailleurs stupide de ne pas les exercer.





Si c’était si organisé, pourquoi EDF n’est -il maintenant plus capable (article probablement payant) de financer le nouveau réacteur Hinkley Point C en UK et demande le soutien financier de l’État français ? Ses finances sont dans le rouge parce que le prix de l’électricité a plongé (merci pétrole et gaz de schiste) et qu’il est obligé de payer au prix fort de l’énergie moyenâgeuse que l’État français lui a imposés pour soutenir artificiellement en aval un secteur mort d’avance qu’il subventionne lui-même en amont. Mais j’ai fais mes choix, oui, évidemment.


Le 13/03/2016 à 22h 10







Patch a écrit :



blabla crétin





Ça s’appelle une stratégie en affaires. Par ex., j’ai à peu près la même démarche pour l’escrologie officielle que je fustige dès que je peux mais j’ai « investi » dans la location de terrain pour implanter des éoliennes industrielles qui me rapportent (via une holding) sans bouger le petit doigt (sans compter d’autres avantages conséquents par ailleurs) parce que je refuse de payer l’augmentation des taxes et contributions électriques qui financent le renouvelable escrologique en général, et qu’en siphonnant le système moi-même, surtout avec les prix garantis qui sont payés actuellement par EDF aux industriels des moulins à vent (et donc à moi in fine) comparés aux tarifs réels, je fais d’une pierre 3 coups : je compense les taxes, ça me rapporte plus que si j’exploitais les terres, et EDF (et donc l’État français) court à sa ruine en payant le différentiel. Ce coup-là est vraiment bon. J’ai aussi acheté une voiture électrique HDG quasi-neuve mais à moitié prix en import, dont une bonne partie a été payée par le contribuable français (bonus escrologique max.), et que j’ai réussi à faire racheter par une autres de mes holdings au prix catalogue (tout à fait légal), et dont le montant passera évidemment en charges, ce qui abaissera d’autant plus mes futurs impôts qu’elle me les doit. Il faut que je vois encore si je peux récupérer la TVA comme voiture de fonction que je me louerai. Tu vois, ce n’est pas de l’hypocrisie, c’est juste du business. Mais il n’y a pas de place pour les bouffons et les paralysés cérébraux là-dedans.


Le 13/03/2016 à 21h 41







gavroche69 a écrit :



Je ne crois pas qu’il soit nécessaire de connaître les gens pour se douter que ça ne doit pas être facile de vivre dans la misère sans voir une quelconque issue…





Moi je crois que si, parce que sinon ce ne sont que des illusions ou de la propagande propagées pour satisfaire certains égos, les lobbies de la misère, voire certaines consciences pour les plus atteints. Autrement dit pas grand chose de concret.









gavroche69 a écrit :



Par exemple, même si les causes sont différentes, je n’ai pas besoin de connaître un migrant pour me douter que ça doit pas être facile de tout quitter pour fuir les bombes et/ou les extrémistes de tous bords juste pour essayer de survivre…





Crois-tu vraiment que si les choses étaient inversées, ces pays accepteraient des réfugiés européens ? Quand on présente des pots de miel à la face du monde, il ne faut pas s’étonner que tous les miséreux y convergent.









gavroche69 a écrit :



C’est sûr que si tu ne te préoccupes que des gens qui te sont proches en te foutant du reste du monde ça doit bien te simplifier la vie, moi je n’y arrive pas et je n’en éprouve aucune fierté particulière parce que c’est vrai que c’est plutôt chiant… <img data-src=" />





L’État a décidé unilatéralement d’assurer les fonctions de solidarité à la place des individus en les ponctionnant pour justifier son méfait envers la société tout entière. Déduis-toi-même où est le subterfuge sociétal et pourquoi la seule issue est de saboter ce système de parasites pour que la solidarité réelle se développe au niveau des individus eux-mêmes, et pas de manière officielle, dispendieuse et opportune pour faire beau dans les discours de ces charlatans et pillards. La solidarité est devenu un instrument politique, il ne faut pas s’étonner que les gens y soient indifférents puisqu’ils sont aussi indifférents à ce qu’est devenu la politique.


Le 13/03/2016 à 19h 34







Patch a écrit :



Certains ont réussi. Toi, tu ne cherches même pas à essayer à ce que je vois. Sacrée hypocrisie… Profiter d’un système que tu conchies.





Zéro ont réussi pour l’instant, les premiers sont encore au stade tribunaux avant d’attaquer l’Europe et la CDDH, revoie tes infos. Pour ma part j’ai réduit la voilure au max. par optimisation fiscale et d’autres méthodes d’ingénierie sociale (j’ai le temps d’étudier les textes). Le résultat est que ma protection ne me coûte rien et que je sabote le système de l’intérieur sans qu’il s’en aperçoive, ce qui est plus intelligent que de passer son temps dans les tribunaux. Chacun sa méthode, mais seule la ruine du système est visée.









Patch a écrit :



N’inverse pas les rôles, c’est au fou du roi de faire rire les autres, pas l’inverse.





Le fou a une meilleure place que le bouffon.


Le 13/03/2016 à 19h 01







Cartmaninpact a écrit :



Ouais enfin c’est aussi dans notre nature de partager (dans une famille, une tribu…) donc le socialisme est tout aussi naturel <img data-src=" />





Le partage volontaire, ça s’appelle solidarité ou fraternité. Le socialisme, c’est le partage par la violence avec détournement de fonds par les pillards qui s’en réclament : pas de quoi pavoiser.


Le 13/03/2016 à 18h 58







gavroche69 a écrit :



Je ne suis pas du tout dépressif, juste réaliste…

Tu penses trop avec les idées des autres, essaies donc un peu de penser par toi même…



Ce n’est pas parce qu’un gus plus ou moins connu a sorti un jour une phrase bateau que c’est forcément la réalité, d’autant si ça été dit à une époque qui n’a rien à voir avec la nôtre car les temps changent et de plus en plus vite…



Tout ça pour dire que je n’ai rien à faire de ce qu’à pu dire Mr Friedrich Hayek ou n’importe qui d’autre d’ailleurs… Comme déjà dit je préfère dire mes propres “conneries” (ou supposées comme telles) que celles des autres fussent-ils plus ou moins célèbres.

Je n’ai pas de “maître à penser” alors je fais avec ce que j’ai et j’assume.



En plus ne citer que des gens qui partagent tes idées ou dont tu partages les leurs, ça n’a guère de sens, ça fait un peu “étalage de culture” façon Luchini qui a le don de m’énerver chaque fois que je l’entends débiter ses citations à propos de tout et n’importe quoi.

Ce mec tu lui demandes l’heure et il te sort du Nietzsche ou du Céline, c’est d’un ridicule… <img data-src=" />





Les citations ne sont pas pour étaler ma culture mais pour illustrer un point particulier de mes propos parce que le quelqu’un cité l’a exprimé mieux que moi et que je ne vois pas l’intérêt de réinventer la roue. Évidemment, j’ai mes propres idées (libre arbitre) mais j’ai déjà cité Jaurès, Staline, Adolphe, Marx, Mussolini et plein d’autres avec qui je ne suis pas sur la même longueur d’onde, et cela n’en fait pas mes « maîtres à penser » (loin de là).









gavroche69 a écrit :



Je crois te l’avoir déjà dit d’ailleurs mais les mêmes causes ayant les mêmes effets… <img data-src=" />



Dans les systèmes simples, oui, mais dans les systèmes complexes (et complétement déterministes) les effets dépendent des conditions initiales.









gavroche69 a écrit :



Je ne suis pas du tout envieux des multi-milliardaires et des riches en général, le fric n’a jamais été ma préoccupation première dès lors que j’en ai assez pour vivre décemment et c’est le cas.

Il est d’ailleurs possible que ce que je trouve décent pour moi serait bien trop modeste pour d’autres.





Si c’est le cas, en quoi chaque situation spécifique des autres que tu ne connais ni d’Adam ni d’Eve et dont tu ne sais pas si elle leur convient ou pas devrait te préoccuper ? En quoi te concerne-elle sans aucune information à leur sujet ?









gavroche69 a écrit :



“L’espèce ne te doit rien” ? Ça veut dire quoi ça ? <img data-src=" />





Les autres ne te doivent rien. Et vice versa.









gavroche69 a écrit :



“Certains ont choisi de vivre avec rien et sont heureux ainsi”…

Et tout ceux qui n’ont pas choisi et à qui on ne donne pas le choix tu en fais quoi ?





Tu les connais ? Tu leur a posé la question ? Tu es leur porte-parole ?


Le 13/03/2016 à 16h 50







gavroche69 a écrit :



Pour reprendre ta citation de Coluche :



“ — Le capitalisme n’a été inventé par personne, alors que le socialisme, ça a été inventé par des gens. Le capitalisme, ça s’est fait tout seul depuis que le monde existe. Ça, quand même, tu peux pas le négliger. C’est comme la théorie des climats pour le bonheur. Quoi qu’il arrive, même si le régime social est formidable, en Ukraine on se gèlera les couilles, et en Floride y fera beau.

— Donc, tu penses que la supériorité du capitalisme réside dans son caractère naturel ?

— Ben oui.”



Je ne nie pas que le capitalisme soit un système naturel lié à nos gènes, je dis simplement que quand il devient sauvage et totalement débridé comme actuellement il est très nocif.





Je n’irai pas jusque là personnellement (« lié à nos gènes »). Il dit juste que c’est dans notre nature d’échanger. Cependant ce que tu vois du « capitalisme » (médiatisé, politisé) n’a rien du capitalisme tel qu’un libéral par ex. l’entend. Le premier est un ersatz frelaté qui n’a rien à voir avec ce que ce libéral pourrait t’en décrire. La plupart des gens ne savent même pas de quoi ils parlent quand ils éructent le mot comme un vade retro satana. <img data-src=" />









gavroche69 a écrit :



Comme dans toutes communautés, quand une toute petite partie de la population s’accapare l’immense majorité de la richesse disponible au nom de je ne sais quel mérite ça ne peut que finir mal.





Tes mots trahissent ta vision d’un système qui n’existe pas : on ne « s’accapare pas la richesse », on la crée et la quantité qu’on peut potentiellement créer n’a pas de finitude connue ou mesurable ni dans le temps ni dans l’espace.









gavroche69 a écrit :



Donc revenons à des appétits moins féroces et ça ira mieux car absolument personne n’a besoin d’être multi-milliardaire pour vivre bien.





C’est un jugement d’envieux qui n’a rien de factuel. Certains ont choisi de vivre avec rien et sont heureux ainsi. Chacun voit midi à sa porte et son choix ne regarde que lui.









gavroche69 a écrit :



Ou alors ça veut simplement dire que notre espèce est totalement stupide et n’apprend jamais rien de sa propre histoire, si c’est vraiment ça on est en droit de se demander si elle mérite de survivre…



Elle est d’ailleurs peut-être assez conne pour donner elle-même une réponse négative à cette question…

Avec de plus en plus de tarés psychopathes qui dirigent de plus en plus de pays il n’est pas exclu que tout ça se termine par un magnifique feu d’artifice, le fameux bouquet final… <img data-src=" />



Et ça repartira peut-être pour un tour si il y a des survivants. Ils pourront recommencer à s’inventer d’autres dieux plus ou moins sanguinaires et à préparer le prochain cataclysme avec ferveur en étant bien sûr persuadés que ça ne pourra jamais arriver…



“Plus jamais ça” qu’ils diront… <img data-src=" />





L’espèce ne te doit rien et réciproquement. L’espèce est une tentative d’organisation et de description purement artificielle de la Nature (comme la physique et la plupart des sciences « dures », à la différence des sciences humaines dont l’économie fait partie) à des fins de simplification. Elle n’a pas d’existence réelle. Projeter ses peurs irrationnelles sur elle n’a pas plus de sens que de reprocher à un fou d’être devenu fou. Si tu es en dépression, il y a des médicaments pour cela (merci Big Pharma).









“Il y a toutes les différences du monde entre traiter les gens de manière égale et tenter de les rendre égaux. La première est une condition pour une société libre alors que la seconde n’est qu’une nouvelle forme de servitude.”




  • Friedrich Hayek


Le 13/03/2016 à 14h 17







Patch a écrit :



<img data-src=" />

Ca a l’air d’être de la bonne. Tu fais tourner?



PS : notre système de retraite par répartition est autant un Ponzi que je suis la reine d’Angleterre.

M’enfin, vu qu’avec tmtisfree vous avez l’air d’exécrer ce système, j’imagine que vous avez demandé à en sortir pour ne jamais y avoir droit vous-même, et que vous gérez personnellement vos futures retraites?





Si seulement c’était possible de facilement en sortir sans 10 ans de procédures juridiques et administratives, je serais déjà affilié en UK chez Amariz moins cher pour les mêmes prestations. C’est bien pour cela que ce système est pire qu’un Ponzi. C’est un Ponzi coercitif légalisé.









Patch a écrit :



Ca tombe bien, contrairement à toi je ne me considère pas comme un crétin de 2nde zone. Mais que tu aies aussi peu d’estime de toi-même explique BEAUCOUP de choses.





Je vois que tu maîtrises le bac à sable. Patauge encore un peu plus et fais moi rire.


Le 13/03/2016 à 14h 07







sr17 a écrit :



Tu parles d’un modèle de répartition…



Aujourd’hui, le système est devenu complètement kafkaïen.



Il prends énormément d’un côté, mais question répartition, certains se servent allègrement tandis que d’autres crèvent.



Moi je n’appelle pas ça un système de répartition mais “la france des copains”. <img data-src=" />





C’était juste pour me faire l’avocat du diable. <img data-src=" />

Ce n’est pas le style de la maison de soutenir les perversités aussi apparentes.







sr17 a écrit :



Le revenu citoyen est le seul moyen de changer tout cela.



En échange de la sécurité du revenu citoyen, les citoyens accepteront plus facilement de lâcher leurs emplois de fonctionnaires dont beaucoup correspondent à des tâches inutiles, voire nuisibles.



Je n’ai pas d’opinion sur la question, ne l’ayant pas creusée suffisamment pour pouvoir considérer tous les avantages/inconvénients potentiels. En France on va certainement l’ajouter à la pile de l’existant (RMI, RSA, CMU, etc) en se disant qu’on a définitivement solutionné tous les problèmes. Comme avant. <img data-src=" />









sr17 a écrit :



Sans cela, toute réforme sera impossible et la seule issue sera la faillite comme en argentine.





Il est quand même bien agréable d’observer l’idée socialiste en train de s’écrouler une fois de plus en slow motion devant nos yeux humides de satisfaction intellectuelle. Le naturel reprends toujours ses droits.


Le 13/03/2016 à 13h 59







gavroche69 a écrit :



Je précise aussi que je ne cherche pas à te convaincre (ni toi ni personne) de quoi que ce soit, l’avenir nous dira quoi si toutefois on arrive à survivre… <img data-src=" />





Je pense qu’on ne sera plus là pour l’observer à moins qu’on ne trouve rapidement pourquoi nos télomères se raccourcissent.


Le 13/03/2016 à 13h 57







gavroche69 a écrit :



Tu as remarqué que même le FMI qui n’est pas foncièrement adepte du “gaucho-collectivo” commence à s’inquiéter de ce trop grand écart dans la possession des richesses et pense que ça risque de très mal finir ?





Comme à l’OCDE et à tous les autres institutions supra-étatiques non élues, c’est la course à qui aura le plus gros morceau de la gouvernance mondiale. Mais comme leur personnel est encore désigné par l’échelon inférieur pour préserver une démocratie de façade, ils ont tout intérêt à se servir de la rhétorique de cet échelon s’ils veulent conserver leur poste rémunéré à 5 chiffres selon le principe bien connu qu’on ne mord pas la main qui te nourrit. La médiocrité est naturellement exportée vers le haut. C’est l’inverse d’un système méritocratique.









gavroche69 a écrit :



Tu crois vraiment que ce système que tu aimes tant va pouvoir perdurer éternellement ?





Je n’ai pas d’« amour » pour ce système : il est, point à la ligne. Échanger est aussi naturel que de respirer. Comme l’a si bien découvert le regretté Coluche :



“Quand je me suis vraiment intéressé à la politique, quand j’ai voulu savoir comment ça fonctionnait, j’ai lu Le Capital (de Marx). L’avantage du Capital, c’est que pour expliquer le communisme, il commence par expliquer le capitalisme. Ce qui fait que t’as besoin d’acheter aucun autre livre.”




  • Coluche, interview en 1980





    “Du Capital de Karl Marx, j’ai tiré l’essentiel du capitalisme : un homme en trouve toujours un autre pour faire son boulot à sa place. Jusqu’au jour où je me suis aperçu que Karl Marx avait oublié un truc : le socialisme, on peut dire qu’il en était l’inventeur, alors que le capitalisme n’était l’invention de personne, c’était l’aboutissement d’une évolution.”

  • Coluche, interview en 1986





    “ — Le capitalisme n’a été inventé par personne, alors que le socialisme, ça a été inventé par des gens. Le capitalisme, ça s’est fait tout seul depuis que le monde existe. Ça, quand même, tu peux pas le négliger. C’est comme la théorie des climats pour le bonheur. Quoi qu’il arrive, même si le régime social est formidable, en Ukraine on se gèlera les couilles, et en Floride y fera beau.

    — Donc, tu penses que la supériorité du capitalisme réside dans son caractère naturel ?

    — Ben oui.”

  • Coluche, interview en 1980









    gavroche69 a écrit :



    Encore une fois il ne s’agît pas du tout que tout le monde gagne la même chose car ça serait ridicule tant il est vrai que certains méritent plus que d’autres mais juste de faire en sorte que tout le monde puisse vivre décemment de son travail quitte à ce que certains bien trop fortunés et souvent sans aucun rapport avec leur mérite personnel acceptent d’avoir des yachts un peu moins longs…





    C’est un noble idéal qui en pratique est inaccessible sans enfreindre des règles qui sont à la base même de la vie en société. Soit les droits des individus existent, soit ils n’existent pas. On ne peut être qu’enceinte ou pas.









    gavroche69 a écrit :



    Tu donnes vraiment l’impression de quelqu’un qui cherche désespérément à se raccrocher à un système en total perdition qui est appelé à disparaître car il n’a aucune logique.

    Reste à savoir si cette disparition inéluctable se fera en “douceur” ou pas, là est la vraie question…





    Ton opinion n’engage que toi, mais je serais bien intéressée par les infos de ta boule de cristal…









    gavroche69 a écrit :



    Il n’y a guère que des pseudos-socialistes comme le triste michel sapin pour croire que tout va bien…

    Rien que le fait qu’un mec de cette carrure pense que tout va bien ça devrait t’inquiéter il me semble, il n’y a bientôt plus que ces pseudos-socialistes qui seront de ton avis, la boucle est donc en train de se boucler… <img data-src=" />





    On reconnait les clowns même avec une cravate.









    gavroche69 a écrit :



    Je ne soutiens aucun système particulier (j’en ai marre d’être déçu par des traîtres) mais je reste convaincu que celui actuel qui dirige le monde depuis bien trop longtemps doit (et va) disparaître car il est un non-sens absolu et c’est juste une question de temps.





    Si tu parles du parasitisme politique dans l’économie, on est d’accord : quand on sait que la valeur créée par l’économie n’est laissée qu’à hauteur de 2-3% au créateur/producteur lui-même, où donc est passé le reste sinon capté largement par le parasite, et on se dit alors que ce parasitisme a atteint les limites du vivable pour l’hôte.

    Mais l’échange valeur contre valeur ne disparaitra pas : il n’y a pas d’autre moyen pour l’humain actuel de subsister.









    gavroche69 a écrit :



    N’étant pas devin je n’ai pas de date précise à te donner… <img data-src=" />





    Ce qui précède n’est que vœu pieu alors.





    “Je vois pas pourquoi on aurait une vision optimiste ou pessimiste des choses. On ne peut avoir que le reflet de la réalité. Il suffit de pas être aveugle et de regarder. T’as pas à penser, t’as qu’à regarder ! Et les mecs qui pensent que le monde est autrement que ce qu’ils voient, c’est des cons !”

  • Coluche, 1980


Le 13/03/2016 à 13h 16







Patch a écrit :



Tu as raison, surtout n’analyse pas pquoi il y a un déficit, ca pourrait te rendre intelligente <img data-src=" />

Le fait que les BB arrivent à la retraite, qu’ils sont super nombreux, et qu’ils ont une retraite bien plus élevée que les salaires des actifs, ca ne joue absolument pas hein.





Tu veux dire, en dehors du fait que tu ne sais pas de quoi tu parles et que tu ne sais pas ce qu’est une pyramide de Ponzi?





Le déficit est le même que celui d’un Ponzi : pas assez de pigeons pour renflouer la caisse d’un système initialisé avec de l’argent versé inexistant. Comme il ne repose pas sur un socle productif, le système est mathématiquement voué à la ruine. Même un crétin de 2nde zone devrait comprendre un raisonnement si trivial. Mais je t’en prie, continue à exposer tes limites.


Le 13/03/2016 à 13h 10







sr17 a écrit :



La fraude est surtout un bel exemple de diversion politique.



Parvenir a faire croire que les problèmes du pays seraient du à la fraude des riches ou des pauvres permet une fois de plus aux politiques de tirer leur épingle du jeu pendant que le peuple s’écharpe.



Cela permet également à tout un lobby de fonctionnaires de faire croire à l’utilité d’une mise sous tutelle étroite des individus “faut les surveiller de près sinon ils frauderont”.





La fraude n’existe que pour contrer le système illégitime de vol de salaire (brut-net). Elle est le pendant du marché noir quand le marché libre n’existe plus.









sr17 a écrit :



Non.



Il existe effectivement des pays qui sont plus propices que d’autres pour entreprendre. Et nous sommes d’accord que la France n’est clairement pas le pays le plus facile.



Mais tous les pays occidentaux ont aujourd’hui une pauvreté galopante. S’il était si facile de réussir, cela se saurait.



L’humanité moderne multiplie les progrès techniques… et les contre performances sociales. Cherchez l’erreur…





Ta « pauvreté galopante » est une vue de l’esprit, trompé par des statistiques biaisées, non pertinentes ou pire non connues de lui (un peu comme certains découvrent que la pollution aérienne diminue globalement partout depuis belle lurette). Il faudrait d’abord définir opérationnellement la « pauvreté » et la « performance sociale ». Certains (voir plus haut) refusent les critères utilisés habituellement pour établir des comparaisons (historiques, inter-groupes, etc) et préfèrent affirmer sans base. Tant que ce point n’est pas évacué, il n’y a pas lieu de disserter dans le vent.









sr17 a écrit :



La meilleure clé pour réussir, c’est d’être issu d’une famille qui possède du capital et qui est dans les affaires. Elle transmet à ses enfants à la fois l’expérience, le réseau, le capital et les clés d’un milieu qui se refile les bonnes astuces pour gagner beaucoup sans trop se fatiguer.





C’est vrai, comme il est tout aussi vrai qu’il est possible d’arriver à cela en une seule génération. Encore faut-il ne pas être attirés par les pots de miel sociaux et s’y engluer pour ne plus pouvoir s’en échapper. Les prisonniers volontaires du système sont légions.









sr17 a écrit :



Pour les autres, l’entrepreneuriat, c’est une illusion : plus de risque de se planter qu’autre chose. Et les statistiques le montrent.



Ceux qui n’ont pas d’expérience en la matière peuvent commettre tellement d’erreurs fatales qu’on ne peut pas nier le rôle énorme de la chance par rapport à celui du travail. Pour un qui survit, combien y laissent leur chemise…



Ce qui est amusant, c’est que dans la presse capitaliste on parle uniquement des belles réussites, jamais de la majorité qui échoue. Celui qui est devenu SDF après avoir planté sa boite, personne n’en parle.





Voilà un des maux bien français : comme si se « planter » était un péché ou une étoile jaune sur le bras. <img data-src=" /> Cette vision dépassée basée sur le mythe du héros (médiatisé et donc biaisé) n’a aucun fondement empirique. Il faudrait évoluer sur ce point.









sr17 a écrit :



Les agriculteurs produisent de quoi nourrir le pays, pourtant ils sont pauvres.





La question à se poser est pourquoi ils sont pauvres : la réponse est qu’ils le sont maintenus comme ils l’étaient en système bolchevique, avec aucune possibilité de s’agrandir pour diminuer les charges, des réglementations sociales, sanitaires, environnementales, économiques dignes du totalitarisme le plus pur, une captation de la plus-value par un système social inique, et plus généralement la main-mise du pouvoir à tous les échelons verticaux et transversaux par une clique d’administrateurs au service d’elle-même qui a noyauté le décisionnel des syndicats, des banques, des politiques, et de l’économie en général (SAFER, CDOA, FxSEA, CA, MSA, coops, etc). Le statu quo est leur seule concession à l’évolution. Si tu n’est pas agriculteur, tu ne peut pas connaitre ce milieu (j’en suis) et d’où viennent ces problèmes : ce système est en droite ligne du centralisme français dont le pouvoir est capté et utilisé par « l’élite » auto-proclamée pour elle-même (ou pour ses copains). À titre d’ex., le ministère de l’agriculture français est le seul ministère d’Europe qui a vu ses effectifs augmenter depuis 50 ans pendant que la population agricole active était décimée par son action, mais tout en soutenant publiquement le concept moyenâgeux « d’agriculture paysanne » (réellement de subsistance). Il y en a encore pour soutenir ce système clanique de vol et de stagnation organisés.









sr17 a écrit :



Et si tu penses que la production est à la portée de tous, tu ne connait pas le monde du commerce et le verrouillage des canaux de distributions par les grands acteurs.



La réalité, c’est que dans tous les domaines, la concurrence est féroce et le marché déjà bien verrouillé.





« Grands acteurs » dont la position a été (encouragée sinon) voulue par l’État et son administration au nom du dogme typiquement français des « champions nationaux ». L’exemple des taxis est symptomatique. Celui du transport par autocar aussi (dans l’autre sens). On ne peut pas vouloir un État omniprésent sans les monopoles artificiels qu’il entraine dans sa suite (copinage, connivence, normatisme effrenné, etc).









sr17 a écrit :



Si dans le principe, la réussite d’un “petit” n’est pas impossible, c’est le domaine de l’exception.





Les idées n’ont de limite que l’imagination, encore faut-il avoir le courage et la possibilité de les exprimer. L’environnement économique et surtout réglementaire est un facteur décisif pour favoriser l’éclosion. L’autoentreprise était une relativement bonne idée qui a été saccagée par idéologie rétrograde.









sr17 a écrit :



Le gâteau économique n’est en principe pas fini. Il peut s’étendre… mais également rétrécir. Certaines conditions peuvent aboutir de fait à le limiter.





Les conditions sont surtout les contraintes artificiellement érigées pour protéger des rentes de situation. On est les champions mondiaux du crony crapitalism comme je l’appelle. Pas étonnant qu’on régresse.









sr17 a écrit :



C’est par exemple le cas lorsqu’un marché de l’emploi déséquilibré aboutit à une énorme pression sur les salaires qui abouti à leur ajustement en permanence sur le minimum vital.





Le chômage (structurel) de masse est compris depuis environ siècle. Le fait qu’il existe toujours laisse penser que sa persistance est bien commode et opportune. Ou que les politiques sont des crétins. Ou alors que les électeurs sont des ânes. L’un n’excluant pas l’autre.









sr17 a écrit :



Quand la production du minimum vital repose sur une partie infime des travailleurs (agriculture = moins de 2% des français), il est facile de comprendre qu’on crée un cercle vicieux qui va aboutir à un gâteau qui se réduit toujours plus.





Les candidats pour revenir à la houe et à la faux sont peu nombreux à se présenter chez moi, je me demande bien pourquoi. Ton raisonnement est en circuit fermé : les échanges (mondialisation) sont là pour satisfaire et compenser les demandes non exaucées selon le principe bien compris de la division du travail.









sr17 a écrit :



Je prédit la fin évidente sur le plan mathématique de cette situation : un crash mondial et une faillite généralisée.





D’autres crashs viendront, c’est certain, mais seulement des producteur de monnaies (États et BC). Toutes les crises de l’Histoire ne sont qu’une succession sans fin du résultat des interférences étatiques dans le système économique et monétaire. La prochaine sera évidemment la faute de l’économie qui n’a pas supporté ces interférences, et donc la solution sera évidemment plus d’interférences pour corriger le tir. <img data-src=" />

La logique des bonimenteurs étatique est sans fin/faille.









sr17 a écrit :



Ne vous êtes vous jamais demandée pourquoi il y a tant d’économies malades malgré le fait que l’humanité n’a jamais autant produit. Vous avez maintenant la réponse.





L’économie est aussi malade qu’une personne saine dont on ponctionne son sang plus vite que sa production.









sr17 a écrit :



Et bien je vous engage à réfléchir sur le point suivant : disposer de son temps libre signifie t’il pour autant ne produire aucune valeur ajoutée ?





Ce qu’on fait de son temps est personnel et la valeur qu’on y accorde est inter-subjective. Est-ce que le temps passé sur un forum à discuter d’économie est du temps perdu ? Pour moi clairement non, mais impossible de savoir pour les autres. Peut-être quelqu’un a-t-il été convaincu qu’essayer d’entreprendre ses idées pourrait être une bonne chose pour lui/sa famille/etc ? Va savoir.









sr17 a écrit :



Question subsidiaire : La production de valeur ajoutée d’une personne soit disant inactive apparaît t’elle dans le PIB officiel d’un pays tel qu’il est calculé aujourd’hui ?





Disposer de son temps libre ne signifie pas être inactif. Il existe autant de réponses à ta question qu’il existe de manière de passer son temps.


Le 13/03/2016 à 11h 01







gavroche69 a écrit :



Sans doute établis par des gens pour qui un smic représente l’argent de poche de la journée… <img data-src=" />





Des gens non élus qui effectivement vivent sur ton dos avec des salaires à 4, 5 ou 6 zéros et qui sont pour la plupart issus du système que tu soutiens mordicus. Ne blâme que toi-même.



Pour comparer, il faut des points de référence qui sont utilisés par les économistes pour observer les évolutions. Ils ont leur avantage et inconvénients.



Le reste est HS.


Le 13/03/2016 à 10h 56







sr17 a écrit :



Si le système des retraites est en déficit, c’est parce qu’une génération n’a pas cotisé ce qu’elle aurait du.





C’est justement le point crucial de la démonstration : le mieux qu’un tel système puisse faire, c’est d’atteindre le zéro retour ceteris paribus et seulement si les fuites (frais de gestion) sont nulles. Le reste du temps du fait de son initialisation, il reste en territoire négatif. Sauf si le nombre de nouveau pigeons augmente : la définition même d’un Ponzi.


Le 13/03/2016 à 10h 50







sr17 a écrit :



Il n’y a plus de pauvres en occident ? Vraiment ?





Il vaudrait mieux pour les étatistes, sinon cela voudrait dire que leur modèle chéri de répartition par la coercition est foireux…







sr17 a écrit :



Cela dit, c’est vrai que sur le papier, il ne devrait pas y en avoir compte tenue des richesses de notre pays.



C’est pour cela qu’il faut changer le système de répartition.





Je suis d’accord, le gaspillage éhonté de la technostructure étatique à nos dépends n’a que trop duré : tout le monde s’est appauvrit pour nourrir cette mafia et leurs clients-électeurs.


Le 12/03/2016 à 22h 32







Patch a écrit :



Tiens, ca fait longtemps que je n’avais pas entendu parler de Ponzi.

Tu devrais apprendre ce qu’est une pyramide de Ponzi, avant de l’utiliser à tort et à travers uniquement parce que ca fait “hype”.





Les systèmes d’assurances sociales françaises (SS, Unedic, vieillesse, chômage, etc) sont pire que des Ponzi : ce n’est pas pour rien qu’ils sont en déficit chronique et seulement sauvés temporairement par la dette et l’augmentation obligatoire des cotisations de ceux qui ont le malheur de ne pas savoir ou pouvoir les éviter. On peut le démontrer mathématiquement, mais plus simplement un Ponzi n’est pérenne parce que les retours/rendements qu’il promet sont soutenus, non par un quelconque investissement productif sous-jacent, mais uniquement par la capacité du système à recruter un nombre toujours croissant de nouveaux pigeons pour y contribuer. Évidemment quand il n’y a pas assez de pigeons, le système bat de l’aile et seule la coercition pour cotiser plus (et emprunter plus, mais cela revient au même à terme) peut le sauver. Pour un temps. Puis on recommence jusqu’à l’effondrement final (la ruine). L’issue ne fait pas de doute.







Patch a écrit :



Pour le reste… Je confirme ce qu’a dit gavroche : tu restes toujours dans la même lignée.





Et sinon, tu as quelque chose de substantiel à proclamer autre que de reconnaitre mes qualités ?


Le 12/03/2016 à 17h 24







gavroche69 a écrit :



Ouais mais bon, il y a toujours eu des profiteurs et des fraudeurs de tous bords, rien de bien nouveau donc…





Qui est le point de départ de l’article et de mes commentaires, merci d’approuver.







gavroche69 a écrit :



Et dire qu’il n’y a plus de pauvres en occident me semble être une erreur de conjugaison, il serait plus juste de dire “qu’il n’y avait plus de pauvres en occident” parce que là ils sont en train de bien revenir je trouve (et je ne parle pas des migrants).





Les données de PIB/tête (pour ce que ce critère général vaut) et les enquêtes statistiques de l’OCDE et d’opinion disent le contraire. « Je trouve » n’est pas un argument recevable.







gavroche69 a écrit :



Après tout dépend de ce qu’on appelle “pauvreté” bien sûr…





Il y a des critères quantitatifs qui sont définis pour cela.


Le 12/03/2016 à 16h 51







gavroche69 a écrit :



Ce qui me dérange c’est le côté binaire de la chose :



Les très riches méritent d’être très riches car ils se tuent au travail, les très pauvres méritent d’être très pauvres car ce sont des feignasses qui refusent tout effort…



Désolé mais je trouve ça un peu court…





Ton interprétation de mes propos est à côté de la plaque. Personne ne parle de riches et de pauvres (il n’y a plus de pauvres en Occident). On parle de fraudeurs qui profitent des autres travailleurs pour passer du bon temps sur leur dos. Quelques ex. vécus récemment (36 mois) :

1/ un pharmacien s’est fait mettre en arrêt maladie en prétextant des problèmes psychiatriques. Dans la soit-disant impossibilité de quitter son domicile ou même se lever pour chercher son courrier, impossible de licencier mais payé rubis sur l’ongle par la caisse. Demande de contrôle au bout de trois mois et notification d’absence du domicile lors des différents contrôles. Pour échapper aux poursuites, se faire interner en institution « pour profiter du système mais pas être en prison » (dixit son père). À force de côtoyer des fous, il est malheureusement devenu fou lui-même alors qu’il était parfaitement normal. Durée de la procédure administrative pour licenciement en absence : 20 mois.

2/ une préparatrice embauchée à temps complet à finalement avoué au bout de 2 mois qu’elle ne préférait pas travailler mais se mettre enceinte puis en arrêt maladie pour toucher les allocs et être avec son mari. Procédure de rupture conventionnelle.

3/ une employée en alternance est en arrêt maladie 1 mois après la signature du contrat avec l’école. Affaire en cours.

4/ idem avec un employé en alternance mais démission effective en pesant sur l’école.

5/ une ingénieur embauchée pour de la recherche client qui se vante à sa copine embauchée en même temps à un autre poste qu’elle prévoie un arrêt maladie pour une opération chirurgicale 6 mois plus tard. Information parvenue au management, discussion avec l’intéressée, et rupture conventionnelle acceptée.

6/ un employé fou de peinture qui au bout de 16 mois demande une rupture conventionnelle (pas de démission !) afin de pouvoir se consacrer quelque temps à sa passion avec les Indemnités. Demande aussi si on ne pourrait pas l’embaucher pour le même travail mais au noir. Procédure en cours.

7/ Etc. J’ai des dizaines d’exemple de profiteurs.



À côté de tout ces rebuts, il y a des perles qu’on chouchoute comme la prunelle de nos yeux et qui le méritent bien.



Maintenant tu peux comparer ton interprétation HS fumeuse d’idéologue hontectomisé avec le sens de mes propos incrustés dans le réel.


Le 12/03/2016 à 16h 16







sr17 a écrit :



C’est beau les généralisations.



Ca me rappelle un peu ceux qui accusent les riches et les patrons de frauder le fisc.



Le plus amusant, c’est que ce que tu dit serait un excellent argument pour le revenu citoyen qui est de fait beaucoup plus difficile à frauder que tout ce maquis de prestations sociales.

Ce n’est pas une généralisation que d’exprimer un fait connu et reconnu. Personne ne jette la pierre à ceux qui sont perdent réellement leur emploi.





La différence est que ceux qui fraudent les Ponzi sociaux fraudent d’abord leurs camarades travailleurs cotisants. Frauder le fisc est un acte légitime pour ralentir la perte du navire France et de ses passagers : que le capitaine nain ou pédalomane et ses énarques dispendieux et ignares coulent d’abord me fait une belle jambe.







sr17 a écrit :



Sauf que ça fait longtemps que le travail n’apporte plus la réussite. C’est facile de constater que ceux qui font les jobs les plus durs sont ceux qui gagnent le moins.





C’est vrai et naturel comme cela l’a été de tout temps. Mais qui veut réussir le peut toujours si l’environnement est propice (ie plus en Suisse/USA/UK qu’en France/Grèce).







sr17 a écrit :



Si tu veux faire fortune demain, je te conseille plutôt d’acheter des robots et de les regarder travailler les doigts de pied en éventail.





Si tu n’a pas d’idée pourquoi les utiliser, ce ne seront que des tas de ferraille inutile et du capital gaspillé. La production est avant tout un acte d’imagination. Le reste n’est que de la méthode.







sr17 a écrit :



Travailler, c’est bon pour les esclaves. Ceux qui gagnent bien sont les opportunistes avisés.





Là est le truc. Pour s’enrichir, il vaut mieux produire (que consommer). La production est un acte ouvert et à portée de tous (à son échelle).







sr17 a écrit :



Au passage, je te ferais remarquer qu’on produit largement assez de richesses pour que tout le monde ait ce qu’il faut…





Certes (je vois aussi que la pensée du gâteau économique fini a « évolué »), mais certains n’ont pas compris que voler à d’autres leurs richesses n’est ni convenable ni civilisé. Pourquoi ne pas les imiter et commencer à créer ? La quantité de richesse à produire n’a pas de finitude.







sr17 a écrit :



Quand au fait que certains ne travailleraient pas… réalisons que c’est déjà le cas.





C’est mon cas aux 4/5ème et je t’assure que disposer de ton temps comme bon te semble est une liberté absolue.


Le 12/03/2016 à 15h 46







gavroche69 a écrit :



C’est bien je vois que tu reste fidèle à toi-même, c’est déjà ça… <img data-src=" />

Cette constance dans la mauvaise foi est remarquable !! <img data-src=" />







Tu ne dois pas être du bon côté pour apprécier ces choses. Note que les fraudeurs fraudent au détriment des autres travailleurs salariés cotisants aux systèmes de Ponzi sociaux (les coûts pour les employeurs sont marginalement différents car repris en productivité et donc en chômage accru).


Le 12/03/2016 à 13h 44

N’importe quel chef d’entreprise qui a ou a eu du personnel connait toutes les combines pour profiter du système. La fraude aux indemnités, les faux certificats maladie ou de complaisance, les adeptes du travail en pointillé (je travaille 3 mois puis je glande 6 mois avec 3 mois de pause pendant l’été), etc sont largement connues.



Et ce n’est pas une minorité de personnes peu scrupuleuses qui profitent des largesses imposées par la réglementation sociale perverse, il y en a énormément surtout parmi les jeunes, conseillés qu’ils sont par les charognards de Popaul Emploi et autres artifices étatiques. Sous le motif d’éviter la précarisation, on l’incite ouvertement. Ceux qui à terme vont devoir compenser les minuscules futures retraites de tous ces individus qui pensent profiter de leur jeunesse pour ne pas travailler et capitaliser et qui finiront à la rue (ou plus probablement dans la rue pour réclamer une décence qu’ils n’ont pas été fichus de s’octroyer quand ils le devaient) vont l’avoir sévère, eux qui ont travaillé dur.



Je me gausse des gens qui soutiennent les causes dont ils s’offusquent des conséquences.

Le 14/03/2016 à 11h 14

Copains comme cochon quand il s’agit d’abolir nos libertés, ces escrocs. Je ne comprend pas qu’il existe encore des abrutis pour les élire et se féliciter a posteriori de s’être mis la corde au cou pendant que leur champion tire dessus à tout va.

Le 14/03/2016 à 09h 47

L’industrie (et donc ses clients, cád nous) a tout à perdre et rien à gagner, évidemment.

Et je ne dis pas qu’ils ont l’obligation de donner accès à leur système, mais que le FBI le cherche en provoquant un effet levier par cette affaire. Ce n’est pas comme si toutes les agences gouvernementales US ne le réclamaient pas depuis des mois après le tollé provoqué par l’affaire Snowden.

Le 13/03/2016 à 21h 43







saladiste a écrit :



Reagan ? Vraiment ?





Peut-être. L’important est le message.


Le 13/03/2016 à 19h 23







Chocolat-du-mendiant a écrit :



Oui, mais si Apple (ou un autre) ne peut pas casser le chiffrement simplement. A quoi elle servirait cette loi ?

Pour moi, tant que la loi ne demande pas d’affaiblir la protection à sa conception, je ne voie pas le problème que l’entreprise aide à posteriori.

Le problème ici est que la protection est déjà faible, car Apple peut l’affaiblir à distance. Et ça une loi devrait l’interdire.





Le FBI se fiche de ce téléphone en particulier qui est seulement utile par son poids émotionnel pour faire céder l’industrie. L’agence est une agence gouvernementale, et le gouvernement veut via le FBI un moyen simple de forcer n’importe quelle compagnie à lui livrer une porte d’entrée de leur système privé par une jurisprudence qu’il pourra rendre effective ou étoffer plus tard par la loi. Une bonne crise n’est jamais perdue pour ces suceur de pouvoir.



Comme l’a si bien dit un Président US célèbre :

The nine most terrifying words in the English language are, “I’m from the government and I’m here to help.”




  • Ronald Reagan


Le 12/03/2016 à 13h 25







Gemini_Power a écrit :



Petite question…



Qu’est ce qui empêche le FBI de réaliser une empreinte binaire de tout l’espace de stockage de cet iphone,

De faire leur 10 tentatives, puis de restaurer l’empreinte à chaque fois que ça échoue ?



Parce que bon, je ne crois pas que les composant de stockage de l’iphone aient un système made in apple propriétaire, c’est comme partout ailleurs, une suite de 0 et de 1…



Du coup, qu’est ce qui les empêchent de faire cette copie, et de rejouer autant qu’ils veulent.



et j’irai même plus loin. avec tous les moyens qu’ils ont, ils pourraient même reproduire un iphone en système logiciel, pour automatiser tout ça. (on sait bien émuler une PS2).



(et c’est une question, pas un troll).







Personne dans l’industrie ne doute que le FBI a les moyens de « casser » un téléphone quelconque. Le but du FBI dans cette affaire (une parmi d’autres) est d’obtenir un précédent légal (une jurisprudence) que l’administration Obama n’obtiendra jamais du Congrès par la législation.


Le 03/03/2016 à 08h 45

À 4.5/jr par contre, attention. <img data-src=" />



La plupart des indemnités sont de toute manière dues quelque soit la faute.

Le 02/03/2016 à 17h 07



Apple vend des téléphones, pas des libertés civiles, ça c’est à nous de nous en charger





Pas vraiment coco. C’est à toi de justifier pourquoi tu veux retirer ces libertés que tout le monde (Apple compris) a comme devoir de protéger comme la prunelle de ses yeux. Autrement dit, on n’a pas besoin de justifier pourquoi on en a besoin : il te revient à TOI de démontrer pourquoi on devrait s’en passer. Ce que tu n’a pas fait.

Le 01/03/2016 à 11h 33

Les dépités ont effectivement le droit d’acheter leurs votes. Au moins c’est clair maintenant.

Le 25/02/2016 à 10h 19







David_L a écrit :



Aucune des initiatives évoquées dans l’article n’est limitée à un pays en particulier :)





Certes, mais je visais plutôt le 3ème § : les « désavantagés du numérique » auront peut-être leur Free Basics à la sauce Google.


Le 25/02/2016 à 10h 01

Cela doit lui faire tout drôle de financer un pays en voie de tiers-mondisation accélérée.

Le 21/02/2016 à 22h 16

CES 2016 : le monde de la technologie face à ses démons et à ses révolutions



MWC 2016 : le monde de la mobilité au carrefour de ses révolutions





On aura droit sûrement à des nouveautés (sinon dans les titres, du moins en reporting produits).

Le 18/02/2016 à 16h 22

S’ils tirent avant, ce sera trop tard.

Le 18/02/2016 à 12h 40

Il paraît que l’approche intelligente face à un(e) troll est ne pas répondre : la longueur de ta réponse suggère 2 possibilités opposées mais aussi amusantes.



Pour être claire, je n’ai évidemment rien contre cet auteur (ou un autre), que je ne connais pas personnellement mais que j’apprécie assez pour lire assidument, seulement contre une supposition infondée (ou au mieux non démontrée) sur un point précis et que je me fais une joie de pointer aussi assidument.



Sur le fond, le reste de ta réponse l’illustre d’ailleurs parfaitement : ça monte, ça stagne, ça descend et selon la période de temps considérée, on peut tout dire et son contraire et justifier alors statistiquement ses présupposés en matière de relation causale entre tel ou tel évènement.



Tu risques de me lire encore « troller » pendant un moment (j’ai même payé pour cela !).

Le 18/02/2016 à 10h 04







David_L a écrit :



Dans chaque actu on ne peut regarder que ce qui nous arrange pour nous conforter. Libre à chaque lecteur de le faire :)





Tout à fait, mais ce point est aussi valable pour les journalistes en général, et cet auteur en particulier avec sa présupposition hasardeuse sur l’existence de relations simpl(ist)es entre résultats et cours de bourse :



« les marchés récompensent … avec une hausse de 7,2 % du cours de son action … et compense en partie la baisse de 16 % … depuis le début de l’année »



Déjà, si je regarde l’évolution du cours de bourse entre le 31 décembre et le plus bas récent (avant publication je suppose), la perte est plus proche de 23-25% (16% semble inclure le rebond récent).



Traduction : une baisse de plus d’15 du cours en 2.5 mois a été « récompensée » par un blip, qui si on le compare aux blips précédents sur un an par ex. n’a rien de particulier. Le rapport entre 2 évènements n’est pas toujours aussi évident qu’on veut bien le croire.


Le 17/02/2016 à 09h 57







sr17 a écrit :



Il faut quand même être un minimum réaliste, on ne peut pas faire travailler les gens pour un salaire qui ne permet pas de survivre.





Je t’ai déjà expliqué comment les salaires augmentent naturellement et relativement à une économie capitaliste normale (càd en déflation séculaire).









sr17 a écrit :



Et quand les gens sont trop mal payés, ils deviennent inefficaces.





Cela devrait être laissé à la négociation exclusive des parties, comme tout contrat. Actuellement, l’État leur vole 75% de leur salaire, et c’est apparemment pour leur bien (trop bêtes qu’ils sont pour le savoir eux-mêmes). Comme personne n’a bronché quand Mr Bricolage leur en a supprimé ~10% en 2012, on peut en déduire que les salariés sont très bien payés actuellement. (*)









sr17 a écrit :



Comme je te l’ai déjà dit, le vrai problème c’est que la plupart des questions de la vie ne sont pas binaires.



Vouloir poser des questions binaires fait disparaître les nuances. Et sans nuances pas de véritable compréhension.





On n’est pas en train de discuter des problèmes de Mme Michu ou de la couleur du ciel bleu, on est en train (d’essayer) de rationaliser l’évolution d’un phénomène complexe, avec des moyens d’investigation scientifique modernes. Les réponses ne peuvent donc être que soit vraies soit fausses par rapport à nos hypothèses de travail. Toute autre démarche est du charlatanisme assumé ou en devenir.









sr17 a écrit :



Sauf que pour comprendre ce que veulent dire les chiffres, il faut avoir une bonne idée des réalités de terrain.





Il faut surtout les remettre en perspective d’une théorie, d’un modèle ou d’une hypothèse pour les expliciter.

« Dans le cas contraire, c’est très facile de tirer d’en tirer des mauvaises conclusions. »









sr17 a écrit :



Sauf qu’objectivement, ça ne veut absolument rien dire.





Il faudra en informer l’UNO, la FAO, le WHO, etc. Ils attendent tes lumières pour mettre à jour leurs statistiques. <img data-src=" />









sr17 a écrit :



Entre un agriculteur qui gagne zéro dollars et un employé dans une grande usine-camp-de-concentration qui en gagne 10, le second n’est pas forcément celui qui est le plus heureux.





En mélangeant les pommes et les oranges tout ce que tu obtiendra jamais n’est qu’une salade de fruits et certainement pas de réponse à ta comparaison (un peu comme les pseudo-rapports d’Oxfam sur les inégalités).









sr17 a écrit :



De la même façon, si le salaire a augmenté mais que l’inflation a suivi d’autant, il n’y a aucun gain.





Tout à fait, mais il ne faudrait pas en rester aux analyses superficielles : l’inflation est une création artificielles des banques centrales et des politiques (économiques). La cible théorique à 2% est purement imaginaire car jamais atteinte même avec la presse à billet à fond comme actuellement. Dans un système capitaliste pur, l’inflation est faiblement négative (= déflation) et les salaires, s’ils baissent, le font moins vite, et donc augmentent relativement. Regarde dans n’importe quel secteur économique non régulé : les prix baissent continuellement.









sr17 a écrit :



En même temps, le fait que le socialisme soit mauvais prouve t’il pour autant que l’ultra libéralisme est bon ?





Définit d’abord spécifiquement les termes « ultra libéralisme », « mauvais » et « bon ».









sr17 a écrit :



Rappelle toi, ce n’est pas parce que l’eau brûlante est mauvaise que pour autant l’eau glacée serait bonne.



La sagesse est dans l’équilibre des choses et le bon système politique dans l’équilibre des choses.



Le libéralisme est bon quand il est proche du peuple. Et c’est le tort du socialisme de vouloir l’empêcher ou de l’étouffer avec une surabondance de règles.



Mais le grand capital qui crée des empires qui dominent le monde et corrompent la société toute entière sont clairement mauvais pour l’humanité. Il doit y avoir des garde fous.



Pour ma part, je vois le système idéal comme un bon mix de toutes les bonnes idées, peu importe qu’elles soient d’origine libérale ou socialiste.





On croirait lire la prose lénifiante, débilement creuse, spécieuse et avec zéro substance des nouveaux gourous, prophètes et bouffons post-modernes escrologistes (genre Rabhi, Hulot et consorts). Même la grossière langue de bois permanente des politiciens est moins apparente.



Vous êtes l’équivalent anthropique d’un trou noir : toute l’information structurée de la connaissance est absorbée dans le vide cérébral et recrachée sous forme de chaines de mots inintelligibles à entropie infinie.



(*) Attention : sarcasmes inside !


Le 16/02/2016 à 22h 21







levieuxtoby a écrit :



Déception et incompréhension pour ma part (tu t’en tapes probablement, à raison sans doute), c’est un constat d’échec pour cette discussion, qui n’a – en fait – pas eu lieu.

Tu refuses d’admettre ce simple fait que ta position n’est pas neutre (loin s’en faut, mais ça n’est pas un problème). Tu nies le fait même qu’elle puisse être une position (dit autrement : tu ne ferais qu’énoncer une vérité objective, donc indiscutable). Je ne parle même pas du contenu de ce que tu défends, je respecte ton avis sur la question (quand bien même je ne suis pas d’accord).

J’adore les discussions contradictoires sur Internet, surtout quand on me montre que j’ai tort, au moins j’ai progressé. Là, pas d’échange possible puisque tu refuses de faire un pas vers l’autre.





Si je « m’en tapais », je ne serais pas là à répondre. Très simplement, je vise une approche qui me permette d’approfondir mes connaissances, passée l’étape descriptive (en gros les économistes du XVIII-XX siècle).



Ce qu’il est primordial d’accepter si on veut avancer dans la compréhension, c’est que l’évolution de tous les systèmes possédants une multitude de composants interagissants (fussent-il physiques, chimiques, biologiques, ou humains) ne sont plus descriptibles de manière accessible sans théories, parce que la croissance de l’information pour les décrire est exponentielle (théorie des systèmes, théorie de l’information) et que seul un modèle permet de la généraliser et la condenser pour qu’elle nous soit de nouveau (plus facilement) accessible. C’est l’étape actuelle.



(En aparté, j’observe que pour la plupart des collectivistes, l’acceptation des prédictions fantaisistes des modèles climatiques non validés et non vérifiés de l’IPCC se fait sans broncher, alors que le système climatique est aussi un CAS, mais beaucoup plus complexe et bien plus loin d’être cerné que l’économie. Cette dichotomie est suspecte.)



Je peux cependant tout à fait comprendre qu’on veuille en rester à l’étape « qualitative » précédente.



Note, enfin, que je n’ai aucun désir de faire du prosélytisme : je considère que les gens sont assez intelligents pour évoluer eux-mêmes (sinon tant pis pour eux).


Le 16/02/2016 à 16h 15







levieuxtoby a écrit :



Non, avec toute la bonne foi du monde, ça n’est pas un oxymore. C’est ton biais principal (et c’est un hold-up qui est très dur à déminer, tant il est prégnant), et tant que tu ne veux pas admettre qu’une économie, ça se dirige, ça se subit pas, la discussion ne sera pas sur le même plan de part et d’autre.





Il y a tellement de manières de prouver que l’économie émerge de la multitude des interactions humaines et que ce système se suffit à lui-même qu’il est inutile de perdre son temps en palabres sur ce point. La descente aux enfers socialistes du Venezuela actuel est un bon exemple, s’il n’en fallait qu’un seul.







levieuxtoby a écrit :



Ensuite, la lecture régulière de NextINpact (chose que tu fais, j’en suis sûr) et des prises de position de certains dans les commentaires devraient te suffire à voir que non, il y a une différence entre défendre un idéal et faire des chèques en blanc aux oligarques en place. Et que, sauf à procéder d’une mauvaise foi sans bornes, les politiques menées depuis 2012 n’ont pas grand chose à voir avec le socialisme, le collectivisme, ou même les valeurs de gauche. Ne pas être en accord avec ces valeurs n’empêche pas de voir ce simple fait.





Qui défend un idéal ici ? Moi je défend une rectitude dans l’observation et j’en déduis des conséquences logiques.









levieuxtoby a écrit :



Erm. Soit je m’exprime mal, soit tu ne comprends pas ce que je veux dire. Bien au contraire, je refuse tout simplisme. Et c’est d’ailleurs ce que j’essaie de dire. Le seul formalisme emprunté aux sciences expérimental est insuffisant, l’analyse est encore plus complexe et doit emprunter aux autres sciences humaines et sociales pour pouvoir espérer viser une hypothétique justesse. On est assez loin des procès de simplisme que tu prêtes à tes contradicteurs.





Le formalisme vient en complément d’une Histoire riche et cohérente. Pouvoir inscrire l’étude de l’économie dans un cadre plus scientifique est juste la cerise sur le gâteau.









levieuxtoby a écrit :



On est bien d’accord. La différence d’opinion porte sur les outils. Tu persistes à penser que les mathématiques sont un outil suffisant, je pense que tu as tort, et que l’analyse n’est complète qu’en incluant d’autres approches.





Pas simplement suffisant, mais complémentaire, instructif et explicatif (car faisant partie d’une classe de systèmes ubiquitaires dont l’étude dans d’autres domaines peut apporter des lumières ou un autre angle d’approche pour la compréhension plus appronfondie). Je n’ai nulle envie de revenir sempiternellement sur les fondamentaux (ils sont dans mes 3000+ commentaires précédents et accessibles partout ailleurs facilement).


Le 15/02/2016 à 21h 05

Sans les fautes : « Continuez à vous faire traire, vous aimez cela. »

Le 15/02/2016 à 20h 42







levieuxtoby a écrit :



politiques économiques





est un oxymore utilisé par ceux qui consentent à rester la tête dans le sable à subir leur ruine par leurs zélites. Continuer à vous faire traire, vous aimer cela.









levieuxtoby a écrit :



On tourne en rond, tu refuses de voir que ce que tu présentes comme des observations objectives ne le sont en réalité pas, et que l’économie n’est toujours pas une science expérimentale, ni un ensemble neutre, détaché de la société.





Et alors ? Tu pourras bien qualifier l’économie (ou toute autre chose) de toutes les adjectifs (neutre, pas neutre, social, pas social, culturel, pas culture, humain, pas humain, naturel, pas naturel, etc) que tu veux, sa simple existence en fait un objet susceptible d’être étudié avec les méthode scientifiques adaptées.





Cette névrose à refuser l’étude et la mesure sous les motifs les plus spécieux cache mal votre peur de devoir remettre en question tous ces schémas cérébraux branlants sur lesquelles vous fondez vos vies. Un tel gâchis est regrettable.


Le 15/02/2016 à 20h 24







sr17 a écrit :









Je crois que tu as réussi l’exploit à me répondre tout de travers, flou ou par sophisme sans fournir une seule information qui ait du sens ou au moins de la consistance sinon de la cohérence. C’est dommage. Rien que l’exemple du SMIC démontre que tu n’as aucune envie d’avancer :

« Le SMIC est sensé justement correspondre au salaire minimal pour les moins compétents et les moins formés. » est la théorie : la réalité démontre que le SMIC agit comme un seuil en refoulant du marché du travail ceux qui ne sont pas assez compétent pour justifier ce minimum. Tu auras beau escamoter cette réalité, elle n’en subsistera pas moins. Tant que les supporters du SMIC ne reconnaitront pas cette causalité directe, le chômage structurel perdurera. C’est aussi simple que cela. Si j’étais cynique, j’affirmerais même que ils le savent très bien mais préfèrent un socle d’individus pauvres et peu éduqués à leur botte pour se faire réélire et continuer à leur verser leurs allocations en compensation.









sr17 a écrit :



Par exemple, à la question “est-ce blanc ou est-ce noir ?” devant la couleur grise, une réponse binaire donne 100% de chance de se tromper.





Non sequitur. La question était « Est-ce vrai ? » soit « Est-ce noir ? » ou « Est-ce blanc ? ». La réponse est binaire : soit oui soit non.









sr17 a écrit :



Pour ma part, je pense qu’il vaut mieux observer les réalités de terrain que les chiffres.





Trafiquer la réalité est votre spécialité. Moi je préfère les chiffres qui décrivent la réalité : ils sont plus objectifs et plus crédibles.









sr17 a écrit :



Pareillement, on pourrait poser la question “qu’est ce qu’un pauvre” ?





Quelqu’un qui gagne moins d’1 à 2 $ par jour selon les définitions opérationnelles acceptées. Les chiffres montrent une réduction de 80% de leur nombre très récemment : merci la mondialisation et le capitalisme.









sr17 a écrit :



Hélas, le simplisme aboutit toujours à des visions réductrices.





C’était bien le point que je t’adressais, merci de le reconnaitre.









sr17 a écrit :



Le monde est complexe, la vie est complexe, l’homme est complexe.





De bonnes paroles qui, évidemment, justifient pleinement l’entièreté de mes commentaires précédents sur ce même sujet des systèmes adaptatifs complexes. Le serpent se mort la queue. <img data-src=" />


Le 15/02/2016 à 17h 52







levieuxtoby a écrit :









1/ Je te présente les dernières nouvelles du secteur (une formalisation de manière moderne). Si tu veux savoir ce qui s’est passé avant, le cycle du business autrichien (ABC) explique de manière accessible le pourquoi et le comment du fonctionnement du système d’échange, des booms, des crises, de la monnaie, des agents, du prix, du processus de découverte, etc bref de l’économie. Les économistes s’intéressent à l’économie : ils laissent à d’autres les autres sujets.

2/ Si la méthode n’est pas neutre, on la modifie pour qu’elle le soit ou on en change ou on en donne clairement les limites, sinon on est un charlatan. Personne ne discute le fait que les représentations ou descriptions de la réalité que l’on peut faire sont entièrement subjectives (merci captain obvious <img data-src=" />) : cela ne rend pas moins objectifs les phénomènes étudiés et les méthodes d’étude, quelles que soient tes a priori subjectifs et inutiles sur ces sujets.



J’ai déjà répondu à tes « impressions » : j’utilise une démarche rationnelle, logique, phénoménologique, empirique et théorique (ie scientifique). La seul prémisse est aussi simple que possible : le réalité physique se suffit à elle-même, pas besoin de la maquiller, il suffit pour y accéder d’utiliser nos sens de bonne foi (beaucoup oublient les 3 derniers termes).


Le 16/02/2016 à 16h 54

Vu le bidonnage actuel des études pour faire passer les projets, on s’autorise à penser qu’un certain nombre d’espèces vont devoir « être disparues » pour pouvoir avancer. On les redécouvrira plus tard « par hasard » au grand dam des escrologistes (mais à la satisfaction des vrais amoureux de la nature).

Le 15/02/2016 à 15h 37







Charly32 a écrit :









Quand une firme a des résultats en hausse la bourse baisse, alors que quand une autre firme a des résultats en baisse la bourse stagne. Et si plutôt il n’y avait pas de rapports linéaires entre les résultats et la bourse ?


Le 15/02/2016 à 15h 13



Activision Blizzard a dépassé ses objectifs, … le chiffre d’affaires de l’entreprise a grimpé de 5,8 %. … Son résultat net a suivi la même tendance,… les objectifs ont été largement atteints.



Les marchés financiers n’ont pas franchement apprécié les résultats et les prévisions







Du côté de King, l’annonce de résultats en baisse n’a eu aucune influence sur le cours de l’entreprise.





Logique.