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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 06/01/2018 à 11h 39







127.0.0.1 a écrit :



“Camarades travailleurs, notre ennemi n’est pas le patronat mais le chômeur qui touche ses allocs.”



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Diviser pour mieux régner, tel est le modus operandi des zélites parasites de la République Populaire et Démocratique de France. Et ça fonctionne toujours : ils sont passés maître dans l’art de faire croire aux gogos que l’économie est un gâteau (un jeu à somme nulle), et que donc si un profite tous les autres perdent, pendant qu’eux les sangsues s’autoproclament grands marabouts de choses qui les dépassent. <img data-src=" />


Le 05/01/2018 à 19h 57







ajangot a écrit :



C’est ce que nous a dit la gentille dame du centre des impôts, refaire le CERFA comme si on avait une maison neuve, et en passant les différents services, on aura le calcul mais il faut environ 8 mois !!!

Déjà qu’avec une maison construite en 2011, le POS ne fait toujours pas apparaître la construction, c’est long et faut pas être pressé :)





Il n’y a pas vraiment de calcul (à moins de considérer que +25 par rapport à 100 est un tel calcul). Ce qu’il te faut faire, c’est trouver le service concerné à la mairie qui établit la modulation et connaître les modalités qui t’ont fait obtenir le +25. Ensuite tu plaides ton cas en citant ton voisin au besoin. Au mieux s’ils reconnaissent leur erreur tu demandes la remise des 25% qu’ils t’ont fait payer indûment depuis 2011, au pire tu auras les -10% l’année suivante.



Ah, mais c’est parce que tu pars d’une prémisse erronée : l’administration, quel que soit l’échelon en France, n’est pas à ta disposition. Le but d’un fonctionnaire n’est pas de satisfaire tes requêtes, aussi superficielles soit-elles, mais l’intitulé de sa fonction (en théorie). Ce qui fait qu’en pratique, quand tu approches une administration il se passe la même chose que quand tu tombes dans un champs de gravitation intense : le temps se dilate. Plus l’administration est massive, plus le temps s’étire et donc tout est plus lent. C’est de la physique administrative de base. Einstein n’a fait que transposer ce qu’il a observé où il travaillait en 1905.


Le 05/01/2018 à 13h 18







choukky a écrit :



C’est des coups à créer une guerre de voisinage si son voisin passe de 90% à 125% et qu’il apprend la cause de la hausse. <img data-src=" />





Par rapport au strict respect des principes égalitaristes qui guide la réalisation du fameux vivre-ensemble dont notre beau pays suradministré se félicite à longueur de temps, qu’est-ce qu’une guerre de voisinage. Ce n’est pas comme si un manque de cohérence des résultats empiriques à la base de la pyramide sociale allait pouvoir réfuter une théorie politico-sociale erronée prônée à tu-tête par nos vaillantes zélites depuis des millénaires, au moins. Nous sommes en France, Monsieur. <img data-src=" />


Le 05/01/2018 à 12h 59







ajangot a écrit :



“Direction générale des finances publiques ne nous ayant à ce jour fourni aucune explicitation de son algorithme de calcul de la taxe d’habitation”



Personnellement, j’ai demandé les détails qui ont conduit aux calculs de la taxe habitation et foncière de mon logement et cela fait 9 mois que je vais régulièrement au centre des impôts, que je rencontre à chaque fois une nouvelle personne qui me dit: “c’est compliqué vous savez, certain coefficient sont calculés par un autre service ou par la mairie elle-même”

Je vais voir la mairie: “non monsieur c’est le centre des impôts qui décident des coefficients”

bref…. je ne sais toujours pas pourquoi j’ai ma maison en “maison exceptionnelle” avec un coeff de 125% alors que mon voisin lui est à 90%





Je peux te répondre sur ce point précis : c’est la municipalité qui décide si dans telle ou telle zone le coefficient est majoré ou minoré (10% max.). Pour pouvoir en bénéficier, il faut justifier, par ex., de services (publiques) qui ne sont pas disponibles dans ta rue (typiquement pas de déserte de transport, zone peu accessible, sujette aux éboulements, inondations, etc.). Je ne connais pas ta configuration, mais il est étonnant d’avoir une telle différence de traitement dans une seule et même rue. Tu peux envisager un courrier au maire pour demander la révision de ton coefficient, ou tout au moins la justification de ton classement de “faveur”.


Le 20/12/2017 à 14h 04







DUNplus a écrit :



Les sanctions me semble plutôt léger.





L’orthographe et la grammaire aussi…


Le 20/12/2017 à 13h 23



Les citoyens sauront qui est intervenu, à quel niveau, auprès des décideurs publics, pour améliorer, corriger, modifier une réforme, et quels ont été les arguments utilisés.



Le système politique actuel est si mauvais qu’on passe son temps à rapiécer ses défauts de toutes parts et l’ossifier un peu plus à chaque législature : quel aveu, avec cette nouvelle usine à gaz, quand ses promoteurs et principaux bénéficiaires (les politiques) se voient obligés de traquer la société civile qui défend ses intérêts contre ces guignols et avides profiteurs des subsides publiques, et qui les défendant contre toute transparence alors qu’eux-mêmes n’ont somme toute que peu (pas ?) d’obligation de déclarer leurs conflits d’intérêts et aucune sanction au cas où.



Les corrompus et corrupteurs ne sont pas là où l’on pense.

Le 12/12/2017 à 12h 36

Le financement de la climastrologie réchauffiste officielle va morfler : Trump a beau être une nullité obamaesque en économie, cette réorientation de la NASA est stratégique.

Le 12/12/2017 à 12h 30

Encore une mauvaise idée qui partait d’une mauvaise intention pour régler un non problème et dont la fausse solution unique va aboutir à l’inverse du but recherché : well done chaps!



Quand une invention survient, les Américains en font une marchandise, les Chinois la copient, les Européens la régulent et la France l’interdit ou la taxe.

Le 12/12/2017 à 09h 41

La démocratie, c’est l’opium du peuple asservi aux partis politiques. Comme le remarquait très justement S. Weil :

Un parti politique est une machine à fabriquer de la passion collective. … C’est une organisation construite de manière à exercer une pression collective sur la pensée de chacun des êtres humains qui en sont membres. … En dernière analyse, l’unique fin de tout parti politique est sa propre croissance, et cela sans aucune limite.




  • Simone Weil



    Et il y a encore des pantins pour défendre ce système inique d’oppression individuelle !



    Je vote

    Tu votes

    Il vote

    Nous votons

    Vous votez

    Ils profitent.

Le 10/12/2017 à 10h 37







Elwyns a écrit :



anecdote ? c’est comme ça que la politique fonctionne pourtant .. et au niveau entreprise ( le cas montré pour les écoles et les tests) le groupe Peugeot fait de même avec leurs concessionnaires, ils basent des budgets pour les meilleurs concessionnaires suivant des notes de 0-10 sur la satisfaction clientèle . Mais les hotlines qui appellent pour l’enquête harcèle les gens pour faire baisser les notes du concessionnaires , et sans parler du harcèlement téléphonique si tu décroches pas une première fois.  Rien que pour ce cas là, ça montre largement les limites des stats et indicateurs





Tu es exactement tombé dans le travers qu’il dénonce : tu prends un cas et tu généralises abusivement.


Le 07/12/2017 à 09h 57







Jarodd a écrit :



La notion d’expert est déjà subjective…





Qu’est-ce qui ne l’est pas ?


Le 07/12/2017 à 09h 52







Jarodd a écrit :



Donc on accepte les critères purement subjectifs, comme la “sensation de luxe” ? <img data-src=" />





Tout dépend qui « ressent ». Le critère peut être « objectivé » par un jugement d’expert.


Le 06/12/2017 à 08h 17

Pas de panique, la traque de nos données personnelle est pour notre bien : l’objectif n’est -il pas de renforcer le respect de la vie privée dans les communications électroniques ?



On peut dire qu’il ne va pas être difficile de renforcer l’impression, au demeurant très réelle, qu’on peut avoir toute confiance dans nos politiciens hypocrites pour réglementer liberticidement contre les individus qu’ils sont censés protéger.

Le 06/12/2017 à 07h 57







numerid a écrit :



Conneries !

Cette explication ne tient pas la route. Dans bien des cas, le consentement est réputé tacite sauf expression contraire. Là il s’agit d’une, désormais, inutile, dépouille mortelle.





Dévoiement oxymoresque de la définition du mot : le consentement est un acte volontaire positif (« acquiescement, approbation

, assentiment ») donné par un vivant, le fait qu’il meure et ton opinion sur l’utilité de sa dépouille sont sans rapport.



Toutes les pseudo-justifications des vautours à dépecer et s’approprier le corps humain sans le consentement explicite et volontaire du propriétaire sont logiquement, légitimement et moralement infondées.



Il ne faut pas s’étonner de la déliquescence morale de la société et de son refus de donner quand on remplace la générosité individuelle par le mirage de la solidarité forcée. On voit bien la traduction du ras le bol du collectivisme infecte dans les études des pays les plus généreux.


Le 05/12/2017 à 07h 31







numerid a écrit :



Il y a des limites à l’égoïsme ! Je pense qu’après la mort, on n’en a  plus rien à battre, mais si on peut resservir à quelqu’un d’autre, je trouve que c’est une bonne chose. À part la bêtise et de l’égoïsme exacerbé je ne vois rien qui justifie de refuser que l’on réutilise nos dépouilles mortelles qui ne nous servent plus.





J’ai déjà expliqué : un consentement qui n’est pas consenti, c’est du vol pur et simple. Si cette idée a du mal a percoler, infuse.


Le 04/12/2017 à 11h 24







OlivierJ a écrit :



Non pas vraiment, et un autre que moi a rappelé qu’un mort ne possède rien (ses héritiers s’il en a, oui).

Il y a toujours eu un respect des dépouilles (des corps des défunts) donc il faut quelques conditions pour pouvoir prélever des organes.

Tu rechercheras avec profit les informations précises, pour ma part je l’ai déjà vu expliqué clairement par un juriste.





Tu confonds la carte et le territoire. Les juristes peuvent bien ergoter ce qu’ils veulent au sujet de la propriété post mortem, il n’en reste pas moins que ces « conditions » sont justement ce qui est nécessaire et suffisant pour que le corps reste à son propriétaire mort. Pour que tu ne sois plus propriétaire de ton corps après ta mort, il faudrait qu’on te le prenne contre ta volonté, ce qui n’est pas encore le cas si tu as refusé. Ergo, mort tu restes de facto propriétaire de ton corps. Les barbares collectivistes n’ont pas encore osé franchir le Rubicon fasciste.


Le 04/12/2017 à 10h 36







OlivierJ a écrit :





  1. quand tu es mort, tu ne possèdes plus rien (légalement en tous cas)





    Le seul fait qu’on puisse refuser de donner ses organes/tissus après sa mort indique qu’ils appartiendront encore au défunt (sinon logiquement il n’y aurait pas eu besoin de légaliser un pseudo-consentement jamais consenti). <img data-src=" />



    Plutôt que de répondre à côté de la plaque et d’écrire des inepties à longueur de commentaires sur à peu près tout les sujets, essaye de contextualiser (c’est beaucoup demander apparemment). Les « charognards » désignent les imposteurs politiques et faussaires de la solidarité qui édictent des pseudo-consentements sans consentement volontaire, et bien évidemment les suiveuses habituelles qui y souscrivent sans réfléchir juste parce bêler est tout ce qu’ils savent faire.


Le 02/12/2017 à 18h 00







Inodemus a écrit :



Remplace “tout le monde” par “tout le monde qui le souhaite” parce que tout le monde ne souhaite pas ne pas donner d’organes après sa mort. Certains veulent explicitement l’inverse, et d’autres s’en fichent. Sans connaître les proportions de chaque camp, il est difficile de définir la bonne réponse par défaut.





Évidemment « tout le monde qui le souhaite », ça me semblait couler de source puisque ceux qui ne le souhaitent pas ont choisi de ne rien faire.



La seule bonne réponse valable aurait été de laisser les gens (ou leur famille proche) décider plutôt que de leur imposer un consentement qui n’a pas été donné, et en misant hypocritement sur le fait que la plupart ne savent pas qu’ils peuvent refuser et sur la lassitude bien compréhensible du public face aux giboulées pluriannuelles de législhorée.



Il y en a qui auront encore compris et répondu de travers, je n’ai rien contre donner mes organes de plein gré. Une appropriation sans mon consentement, ça s’appelle du vol et je ne cautionne pas le vol. Les charognards et leurs toutous qui pensaient mettre ma bonté en balance de leur solidarité déguisée et forcée peuvent toujours couiner : la cohérence prime.


Le 02/12/2017 à 08h 59







OlivierJ a écrit :



Tu m’as bien fait rigoler avec celle-là.

Si c’est pour un coeur ou des poumons, c’est raté.





Tu ne sembles pas au courant qu’en République Démocratique Populaire de France, le don d’organes/tissus est obligatoire au nom d’un soit disant « consentement présumé ». On n’est évidemment pas à un oxymore et dévoiement sémantique près dans les hautes sphères du poulailler, du moment que les apparences sont sauves et l’idéologie préservée.



J’invite d’ailleurs tout le monde à refuser ce vol post mortem éhonté et sans scrupule de votre propriété par ces charognards, comme je l’ai fait moi-même.


Le 01/12/2017 à 19h 27



les dons d’organes sont toujours insuffisants face à la demande



Le marché a résolu ce problème (l’adéquation entre la demande et l’offre) depuis des millénaires… il suffit de mettre un prix. Ce n’est peut-être pas altruiste, mais c’est efficace.

Le 05/12/2017 à 12h 10







gavroche69 a écrit :



<img data-src=" /> <img data-src=" />



Enfin un peu d’auto-critique, de ta part c’est quasiment miraculeux !! <img data-src=" />





Comme sceptique je fais mon auto-critique tous les jours, sinon comment rester cohérente et évoluer ?


Le 05/12/2017 à 12h 08







tpeg5stan a écrit :



décennies <img data-src=" />





Effectivement, mais « décade » n’est pas complètement faux non plus.


Le 04/12/2017 à 20h 37







AhLeBatord a écrit :



Si la vraie perspective était le recyclage, on ferait pas du stockage profond. Au sens propre comme figuré, on enterre le problème.





Je suis entièrement d’accord. L’option réversibilité a été introduite sur le tard quand on s’est rendu compte (en France) que les déchets pourraient encore servir, et on l’a couplé sans trop savoir techniquement comment on ferait avec l’enterrement (mais cela fait le bonheur du secteur nucléaire local qui est très lié avec l’État français). Personne n’a été capable de dire stop, de changer de fusil d’épaule et de s’adapter la situation. D’autant que l’horizon visé de la réversibilité n’est pas le millénaire mais quelques décades. Et le coût aurait pu être grandement diminué avec une continuation du stockage actuel pour si peu de temps (relativement parlant).


Le 04/12/2017 à 20h 27







Drepanocytose a écrit :



Intéressant.





  1. le mieux étant de ne pas utiliser du tout la ressource quand on ne la maitrise pas, au lieu de l’extraire pour n’en consommer qu’une infime partie et de balancer le reste : ce que nous faisons.

  2. je sais que la décroissance et la parcimonie sont des notions qui te dépassent, mais a-t-on besoin de toute cette débauche d’energie ? Réellement besoin, je veux dire. Je vois déjà ta réponse, mais ma réponse à moi est : clairement non. On pourrait faire pareil avec moins d’energie, voire même plus de choses avec moins d’energie, le tout étant une question d’organisation sociétale. Mais non, par manque de volonté on va à la facilité, qui n’est qu’apparente.





    1/ On ne « balance » pas comme la cigale, on recycle (même le MOX usagé et les actinides) et on stocke comme la fourmi.

    2/ Paradoxe de Jevons. On ne change pas la nature humaine, qui s’organise optimalement toute seule, merci pour elle.


Le 04/12/2017 à 19h 40







AhLeBatord a écrit :



Oui alors il ne faut pas croire que les décision politiques sont toutes rationnelles économiquement ou techniquement, et surtout, il ne faut pas croire qu’ils font tout bien comme ils écrivent dans la loi.



Clairement, ils ont ajouté le mot réversible pour qu’on les laisse entasser les déchets bien profond. Puis si jamais faut les faire ressortir, ça coutera trop cher, et on les laissera sur place.





Je suis la première à ridiculiser les politiques pour leurs idioties quotidiennes, mais cette décision-là a des justifications scientifiques, techniques et stratégiques évidentes, même si certains sont trop aveuglés idéologiquement pour pouvoir s’en rendre compte.



La première, qui est suffisante à mes yeux, est qu’on ne jette pas des ressources à peine entamées juste parce qu’elles ne sont pas encore économiquement rentables : les escrolos qui sévissent ici ou ailleurs aiment à nous seriner du haut de leur morale percée que les ressources sont limitées, tagada-tagada, que le gaspillage est un affront à Gaïa, tsoin-tsoin, et autres balivernes et fadaises du même acabit. On mesure leur degré d’incohérence quand ils sont incapables d’appliquer leurs propres préceptes dans un cas bien concret.


Le 04/12/2017 à 16h 21







DHMO a écrit :



Loi ≠ science

Sinon, on pourrait dire (et certain⋅e⋅s ne s’en privent pas) que l’homéopathie est efficace puisque remboursée.



Pour le nucléaire, tant qu’aucun procédé n’existe réellement, eh bien aucun procédé n’existe réellement. Le reste n’est que foi ou enfumage.





Des réacteurs expérimentaux ont déjà été construits. Les procédés sont connus et d’autres sont développés. Ce n’est simplement pas viable économiquement (pour le moment).


Le 04/12/2017 à 14h 22







Drepanocytose a écrit :



On ne recycle pas.

On extrait le pluto a la Hague, on fait du MOX a Melox et tout le reste, on stocke effectivement. Mais pas pour réutiliser plus tard : on stocke en attendant de pouvoir enterrer encore plus longtemps, pour 10.000 ans ( stockage profond)





Cet extraction s’appelle recyclage. Et le stockage est réversible pour réutilisation ultérieure. C’est dans la loi.


Le 04/12/2017 à 14h 15







Drepanocytose a écrit :



Sinon j’ai bien précisé déchet =ce qu’on ne sait pas ou ne veut pas réutiliser





Même avec ta définition bidon, le terme « déchets » est inapproprié puisque on sait et qu’on veut les réutiliser.


Le 04/12/2017 à 14h 10







Drepanocytose a écrit :



Oui, et un étron n’est pas un déchet, ca contient encore beaucoup de nutriments et d’énergie chimique que malheureusement notre corps ne sait pas encore utiliser.

Idem pour tout ce qu’on appelle un déchet, en fait : c’est par définition tout ce qu’on ne sait pas, ou ne veut plus, utiliser, et dont on se débarrasse. Qu’on sache ou veuille s’en servir demain ou dans 1000 ans n’y change rien





On ne s’en débarrasse pas puisqu’on en recycle une partie (en France à la Hague). Les réacteurs de démonstration pour réutiliser ces fuels existent. Le seul problème est que les États ont préféré la filière nucléaire actuelle pour construire des armes plutôt que de les développer (ils ne sont pas économiques actuellement). Donc on stocke en attendant.


Le 04/12/2017 à 13h 25







Drepanocytose a écrit :



Ou bien quand certains nous disent que le nucléaire est la seule solution énergétique possible, sans aucun doute possible ; et que sans aucun doute possible on saura recycler nos dechets dans un futur accessible (déchets nucléaires ou autres).

L’art du doute, ce n’est pas seulement quand ça va dans le sens de nos convictions….





Tout à fait, il existe le charbon, le pétrole, etc. Tant que c’est économiquement rentable, tout est possible. En aparté, note que les soit disant « déchets » n’en sont pas puisqu’ils contiennent encore +95% de l’énergie de départ, ce sont simplement des substrats énergétiques qu’on ne sait pas encore utiliser à grande échelle (industrielle) pour extraire leur énergie. Comme disait Camus :





“Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde.”




  • Camus


Le 04/12/2017 à 12h 23







secouss a écrit :



Le danger de parler de “théorie universelle” c’est de croire qu’une règle s’appliquera partout alors qu’on à justement prouvé jusqu’à aujourd’hui que c’est toujours faux. Finalement c’est une simplification qui peut entraîner de nombreux biais et erreurs.





On l’appelle « théorie du tout » (pas « universelle ») en ce sens qu’elle rassemble des théories incompatibles. Elle ne sera pas plus ou moins « réelle » que ce sur quoi elle repose ou explique. Les « biais et erreurs » sont toujours dans l’œil de l’interpréteur.







secouss a écrit :



Le fondement de notre science, c’est de douter de nos savoir.





Amen. Il faudrait expliquer ce point aux divers croyants du commentariat quand ils radotent sur d’autres sujets plus alarmistes.


Le 04/12/2017 à 12h 03

Sur le sujet, le principe d’équivalence sera difficile à « casser » tant qu’on n’arrivera pas aux abords du mur de Planck (10^-35).

Le 04/12/2017 à 11h 54







secouss a écrit :



“mais les analyses continuent afin d’aller encore plus loin et, peut-être, ouvrir la voie une théorie universelle.“Faux, il faut voir le sujet philosophiquement, on ne peux jamais donner une théorie au sens de notre univers, une théorie ne s’applique qu’aux cas démontrés empiriquement. Au final on ne sait pas si la théorie et le “savoir” qui découle de l’expérience est juste dans tous les cas. On repousse simplement la limite de son applicabilité.





Pourquoi « faux » ? Il ne discute pas de philosophie mais de physique. Les faits/observations et l’hypothèse ont toujours précédé la théorie, avant toute « démonstration empirique » (qu’elle soit réalisable ou pas encore). De fait des théories du tout (TOE), il en existe divers candidats même si l’une est plus avancée que les autres (théorie M, cf interview récente d’E. Witten).







secouss a écrit :



Finalement on retombe sur la notion de “vérité” en sciences, un concept purement inateignable. Toute “vérité” ne se vérifie que dans un espace donné. Je crois que c’est Kant qui parlais de la notion de “Reellement Réel” pour caractériser le concept





Il n’y a effectivement rien de « réellement réel » puisqu’on sera toujours obligé de mesurer soit avec nos sens soit avec un instrument qui n’en est que le prolongement. Les physiciens ont d’ailleurs évacué le problème depuis longtemps, selon leur propre mots :





“What we observe is not the Nature itself but the Nature exposed to our method of questioning.”




  • Werner Heisenberg


Le 01/12/2017 à 09h 17

L’ardeur planificatrice de nos édiles fait plaisir à voir, surtout à la faveur de Gosplan com aussi finement ciselés, redoutablement modernes (« à l’avant-garde de la modernisation de l’action publique », rien de moins) et avec des résultats à la hauteur des attentes de tout un chacun. Il n’y a pas de doute, la France et sa technostructure que le monde nous envie mais ne copie pas a passé la première et, reconnaissons-le humblement, est en marche forcée vers son fabuleux destin.

Le 30/11/2017 à 14h 05

Qui ça étonne encore ?

Le 30/11/2017 à 13h 52







wanou2 a écrit :



120€ par an économisé pour (en gros) s’acheter des Smartphones plus performants… la valeur s’est quand même évaporé pour la nation française !

Conserver cette valeur en France pour faire du réseau et améliorer la productivité du tissu économique est beaucoup plus important pour l’ensemble que les 10/20€ économisé par mois individuellement.



Mais je suis un indécrottables joueur collectif !





La « nation Française » n’a aucune existence économique : seuls les individus produisent, consomment, etc. et peuvent affecter une valeur, ce qu’ils ont fait en choisissant « des Smartphones plus performants » plutôt que de « faire du réseau et améliorer la productivité du tissu économique ». Ton opinion sur ce point est ce qu’elle est (erronée), mais les décisions individuelles sont souveraines (le terme est approprié) et il ne peut en être autrement.


Le 30/11/2017 à 13h 31







wanou2 a écrit :



30 millions de clients avec un ARPU en baisse de 120€ par an sur 5 ans = 18 milliards de parti en fumée.



A mettre au regard du coût du déploiement de la fibre en France.





En fait, 18 milliards d’économisés par les clients, l’argent qui n’est pas dépensé ne pouvant pas « parti® en fumée ».


Le 30/11/2017 à 08h 31







Faith a écrit :



Il peut se le permettre parce que c’est son journal, ou tout au moins le journal pour lequel il travaille.



 A une époque, c’était notre journal à tous, et nous avions notre mot à dire.

 Aujourd’hui, nous en sommes les clients, et c’est avec le porte-monnaie que nous devons nous exprimer.



D’ailleurs, c’est toi même qui revendique dans le post précédent la faculté de pouvoir “voter sur le marché tout court (privé)”

J’ai exprimé mon vote quand j’ai cessé mon abonnement.





Je comprends mais j’estime que la valeur fournie par « tout le reste » (comme il dit) justifie encore le prix demandé (même si de moins en moins). Simplement, je lui faisais remarquer que son soit disant « équilibre » était une vue de son esprit aussi biaisée que son édito. Mais ce n’est pas d’aujourd’hui. <img data-src=" />


Le 29/11/2017 à 21h 21







Faith a écrit :



Autant je n’aime plus du tout la ligne directrice de NXI depuis quelques temps, autant je trouve absurde de demander un équilibre ou une objectivité à un journal traitant de sujets politiques.





J’ai dû mal m’exprimer. Je ne demandais pas vraiment de parvenir à un équilibre (qui n’est en fait qu’une vue de l’esprit quand on discute de problématique non scientifique, on est bien d’accord), je répondais à l’auteur qui lui semble croire qu’il y en a un, et qu’il peut donc se permettre d’afficher son opinion sans alternative ou position contraire sur un sujet spécifique. Mea culpa si j’ai induit en erreur.


Le 29/11/2017 à 20h 18







David_L a écrit :



Comme tu le dis, c’est un édito. Il développe un point de vue, on ne peut donc pas lui demander de l’objectivité. On a tout le reste de nos articles pour préserver un équilibre, puis on ne peut pas dire que le point de vue développé ici soit vraiment dominant.





Le but d’un édito est effectivement de développer un point de vue et donc l’objectivité y passe par dessus bord. Cependant « pour préserver un équilibre », il faudrait que soit aussi présenté quelques fois un point de vue alternatif voire même, soyons fou/olle, opposé sur tel ou tel sujet sujet, car même à supposer que « tout le reste de nos articles » soit neutres, l’équilibre n’est jamais atteint. J’en vois rarement (lire pas du tout). Les commentateurs ne sont pas là pour le rétablir, même si cela anime le site.



De fait, il faut reconnaître que ces éditos sont toujours biaisés de la même manière, à savoir que sans l’avoir jamais démontré, on présuppose que ce qu’on définit (sournoisement car sans l’écrire) comme défaillances du marché (défaut d’informations, monopoles, abus, etc.) est un inéluctable lieu commun qui ne peut être résolu, voire préemptivement écarté, que par l’intervention quasi divine de « la puissance publique », ex. :





David_L a écrit :



MS a fait face aux mêmes critiques et problématiques en son temps, Intel également. Toute société dans cette situation fini par en abuser, comme Google l’a déjà fait. La puissance publique est aussi là pour nous en préserver et assurer des conditions de marché équitables qui permettent à chacun de se développer dans de saines conditions.



… la preuve, la masse l’a décidé en son âme et conscience à travers la parfaite loi du marché





Je passe sur la dérision de fin de phrase qui ne fait que confirmer le biais, la méconnaissance du sujet économique étant plus importante : un « marché équitable » est un oxymore amusant, parce que c’est justement le manque d’équité qui est une condition nécessaire à l’apparition et au maintien d’un marché. S’il n’existait pas une différence, un défaut, une inégalité, une disproportion, etc. il n’y aurait tout simplement pas de marché puisque tout le monde aurait la même chose (ou rien dans les pires cas). Noter ici que le raisonnement est toujours valide quelque soit l’échelle considérée (des individus à la société toute entière).



Un marché se caractérise en particulier par une asymétrie d’informations de la part de ses acteurs qu’ils leur faut nécessairement accepter s’ils veulent y participer. C’est à vous, journalistes, de fournir de l’information de manière à ce que ceux qui vous lisent en ressortent avec la possibilité de choisir en toute connaissance de cause, ou tout au moins mieux que s’ils ne vous avaient pas lu.



Mais ces éditos n’apportent pas d’informations, seulement une opinion qui se contente de répéter à peu de chose près le mantra de l’orthodoxie économique ambiante, celle qui a si bien réussi, comme si on ne la subissait pas déjà assez quotidiennement par ailleurs. Cela permet peut-être de se soulager un peu et d’évacuer ses crispations idéologiques face à la dure réalité qui refuse de s’y plier, mais l’incohérence fondamentale reste présente : quand on accepte comme prémisse que les individus sont assez intelligents pour voter sur le marché public (politique), on devrait accepter sans plus de difficulté qu’ils soient aussi intelligents pour voter sur le marché tout court (privé).



Tout le reste n’est que broderie superfétatoire.


Le 29/11/2017 à 16h 05







Alain EtCo a écrit :



Tmtisfree, ou l’odeur rance du néolibéralisme tendance libertarianisme forcené…



Que du bonheur à lire,  et pas arrogant(e) ni prétentieux(e) pour un sous !

Que du bonheur….





Anarcho-capitaliste en fait, mais ne le répètes pas trop tu pourrais faire une attaque.


Le 29/11/2017 à 08h 22







carbier a écrit :



Moi je rêve simplement de pouvoir surfer librement sur internet sans me faire espionner par les outils de l’État.

Tu vois j’ai des goûts simples et je suis aussi épris de liberté. La différence entre nous, c’est que je ne mets pas la mienne dans les mains des États avec pour paradigme que par définition ils me veulent du bien.



… alors que tout le monde peut très facilement observer que les États sont incapables de gérer aussi bien que le marché dans tous les domaines de la vie, mais pas dans ceux de la mort.



Rationnellement, le choix est vite fait.


Le 27/11/2017 à 16h 49







v1nce a écrit :



Pas très clair. C’est quoi ces institutions iniques ?

Si des fonctionnaires travaillent pour Apple pluôt que pour la collectivité, c’est bien ou mal ?





Why nations fail?


Le 27/11/2017 à 16h 33







mikeul a écrit :



C’est une théorie qui semble intellectuellement valide mais qui ne résiste pas du tout à la réalité.

Cela suppose :





  • d’une part que la décision est bien dans les mains “des gens” (et donc quid du marketing, des techniques de manipulation publicitaires, etc.) ? Il suffit simplement de regarder autour de soi ce qu’il se passe pour la voir (la théorie) battue en brèche tous les jours

  • D’autre part que tous les acteurs (dont les gens) soient en possession de toutes les informations et puissent faire un choix éclairé. On sait depuis longtemps que c’est un mythe ;)





    1/ Que les gens soient influencés par X, Y ou Z ne changent pas que la décision ultime leur revient. Toujours.

    2/ Personne, pas même ceux qui offrent ces services, ne sont en possession de toutes les informations. Cette condition est inutile. De manière superficiellement paradoxale, une économie de marché présuppose pour fonctionner deux engagements profonds de la part de ses agents en opération (aval et amont), l’acceptation de leur ignorance relative (défaut d’informations sur l’état du marché) et la tolérance à l’incertitude (principe de l’effectuation).


Le 27/11/2017 à 16h 26



taxer les Gafam ne suffira pas à mettre à bas leur domination … faire émerger des alternatives aux Gafam



Aller savoir, peut-être qu’en priant assez fort, ces alternatives vont spontanément émerger…



Le planqué qui a pondu cette ineptie est typique de ceux, nombreux, atteint du syndrome des temps postmodernes du poulailler France/EU : plutôt que de remettre en cause les institutions iniques qui ruinent l’économie, font tout leur possible pour empêcher que se développent des industries et taxent/imposent à tout va pour faire vivre l’armée de parasites qui contribuent à cette mort économique programmée, on en redemande et on casse les pattes de ceux qui réussissent parce qu’ils viennent d’ailleurs.



Cela fleure bon le protectionnisme d’arrière-grand-maman doublé d’un paternalisme grandiloquent que ne renierait pas le Maréchal.



Mais il faut le comprendre : on ne peut pas mordre la main qui nourrit.

Le 27/11/2017 à 16h 06



que faire pour que Google puisse ne plus du tout faire partie de nos vies ?



Laisser faire le marché, càd les gens, puisqu’à la base c’est quand même eux qui décident (encore).





Avec vous ?



Merci, mais je suis assez grande pour décider toute seule ce qui est bon pour moi.

Le 28/11/2017 à 09h 12



une action publique modernisée, simplifiée et plus efficace



Joli le triple oxymore avec salto avant !

Le 28/11/2017 à 09h 10







Sans intérêt a écrit :



Par ailleurs, je ne comprends pas l’intérêt d’une télévision et d’une radio d’État en France. Non pas que j’aie des reproches à leur faire, mais plutôt que le secteur privé semble tout à fait apte à assumer seul les rôles de divertissement, de culture et d’information qu’assument finalement tous les médias, quel que soit leur mode de diffusion. Le rôle de l’État serait peut-être plus pertinent à réguler le marché, s’il devait en avoir besoin, plutôt que d’être juge et partie dans un secteur très concurrentiel…





« L’intérêt d’une télévision et d’une radio d’État » en France ou ailleurs est toujours le même : promouvoir la sainte parole publique.



C’est un peu comme l’argent : quand il est privé l’argent est mauvais, mais dès que Saint Fisc l’a sanctifié par la spoliation légale, le méchant argent privé devient du bon argent public. Certains États particulièrement dévots pratiquent même la multiplication du blé (une variante de l’originale), c’est dire si les croyants peuvent être convaincus de toutes les merveilles qui les assistent au quotidien.


Le 27/11/2017 à 16h 44

Ah !! Cette odeur de régulation venue d’en haut et donc parfaite, sous couvert de sécurité !

Ah !! Toutes ces obligations finement ciselées et calibrées pour mettre au pas !!

Ah !! Cette potentielle rentrée d’argent pour punir les méchants qui résisteraient !!



Qu’on se le dise, le terrorisme ne passera plus.

Le 27/11/2017 à 16h 02







Tsunoo92 a écrit :



Ton commentaire est tout en finesse, mais malheureusement, il faudrait être un peu plus explicite sur tes contre-propositions. Merci de laisser ce type de discours creux aux politiciens.





Mes propositions sont les suivantes :























… le blanc indique que mes propositions (ou non-propositions) sont complètement équivalentes à « ne rien faire » ou « laisser-faire » ou « une pseudo-solution à une absence de problème est une non-solution ».



J’aurais pu mettre comme proposition finale unique « suppression des (partis) politiques » mais manifestement, les veaux sont toujours à vouloir téter la mère. Ce n’est pas comme cela qu’ils échapperont à l’abattoir.