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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 26/11/2019 à 10h 51







yvan a écrit :



Les pays les moins inégalitaires sont ceux qui comme l’europe du nord (ou la France avant 2000) ont une fiscalité extrêmement lourde.





payée par les pauvres.









yvan a écrit :



La plannification (sic) centralisée de l’économie ne marche pas



… tout court.



Le reste de tes scories ne vaux pas que j’y dédicace un seul neurone.


Le 26/11/2019 à 10h 07







yvan a écrit :



Blah blah, aucune économie n’est gérée ainsi mondialement… partout les états interviennent.





D’où les inégalités dans la distribution des richesses qui sont dues aux inégalités dans la répartition du capitalisme (= inversement proportionnelles à l’intervention étatique).









yvan a écrit :



Scoop, ce sont des gens inspirés par le marxisme sur l’analyse de la production de richesses, dont l’état intervient massivement, c’est devenu la première économie du monde en 50 ans…





Ces mêmes analyses marxistes qui l’avaient fait sombrer au plus bas dans les pénuries et les disettes avec 100 millions de morts la période précédente, un sacré retournement de veste vers le capitalisme ha ha !



Il faut dire que la cohérence et l’idéologie rouge (ou verte de nos jours) n’ont jamais fait bon ménage. <img data-src=" />


Le 26/11/2019 à 09h 57







anagrys a écrit :



Une fois n’est pas coutume, je participe à la volée de bois vert <img data-src=" />





J’entends la critique, mais je vais répondre.









anagrys a écrit :



Le problème avec les États-Unis, c’est qu’ils ont prouvé par le passé qu’ils ne sont pas des partenaires commerciaux fiables quand il s’agit de technologie sensible - ils peuvent accepter de pratiquer des lancements, mais à des conditions difficiles à accepter :

(source)



Voir aussi dans le même ordre d’idée la réglementation ITAR, qui permet au gouvernement de bloquer l’exportation de tout produit contenant des éléments d’origine US.



Très clairement, le gouvernement des États-Unis a “le droit” d’agir de cette manière : le contribuable américain finance, donc il a un droit de regard. Mais les autres pays doivent en avoir conscience et agir en conséquence.





Je ne vois rien dans ces ex. qui contredit mon propos sur le fond. Dans les années 70 les USA ont le monopole des lancements, ils sont parfaitement en position et en droit d’imposer leurs exigences : ce sont les règles du jeu commercial. On ne peut pas dire qu’ils ne soient pas “fiables”, ils sont concernés par leurs intérêts. Qui ne l’est pas ?



Les USA ont aussi une réglementation spécifique qui concerne les transports maritimes des marchandises arrivant sur leur territoire : résultat, les américains les payent beaucoup plus chères, ils sont donc perdants.



Il est clair que les USA ont les moyens de perdre beaucoup en imprimant du $ à la tonne parce qu’à la base leur économie est exceptionnellement productive. Mais mon point subsiste : le protectionnisme est économiquement mauvais et financièrement coûteux quelque soit l’angle envisagé.



Et la façon de le lever, ce n’est pas d’imiter ceux qui en paye le prix caché (ce qu’on ne voit pas, cf Bastiat), mais d’élever le niveau : libéraliser l’économie et réduire strictement les États au régalien.


Le 26/11/2019 à 09h 36







yvan a écrit :



L’indépendance logistique est une question militaire, pas économique en effet.



Maintenant le jour où tu es conquis militairement, même si ton économie était mieux gérée, tu n’as plus rien…





On ne “gère” pas une économie, on la laisse prospérer. Cette notion de base qui échappe totalement aux étatistes et collectivistes montre pourquoi ce sont eux qu’il faut craindre et combattre : ce sont des va-t-en guerre incultes, inéduqués et incurables qui sont assoiffés de remettre en cause 200 ans d’évolution et de progrès humains pour asseoir par la force leurs dogmes préhistoriques ossifiés dérivants de leurs instincts animaux les plus bas et bestiaux.


Le 26/11/2019 à 09h 26







Soriatane a écrit :



Avec Trump qui conditionne ses aides au déclenchement d’une enquête et clame partout Amerca First, l’indépendance et la souveraineté sont des concepts arriérés 🙄





Complètement et définitivement arriérés : aussi arriérés en fait que “l’indépendance et la souveraineté” alimentaire qui conditionnent directement notre survie à très court terme, ce qui est indubitablement on ne peut plus “stratégique” pour l’individu, et donc pour toute la société.



Et pourtant on n’a jamais autant produit et échangé de denrées que maintenant, de moins en moins chères et de meilleure qualité, avec un niveau et une espérance de vie en constante augmentation…


Le 26/11/2019 à 09h 14







the_Grim_Reaper a écrit :



J’ai l’impression que tu ne suis pas l’actualité US-Chine et ce que ça pourrait impliqué pour l’Europe dans les mêmes conditions.





Le théâtre ne m’a jamais intéressé et je n’ai pas de boule de cristal.





[quote:6156597:the_Grim_Reaper]L’indépendance sur des questions stratégique…/quote]

Au niveau des incompétents qui pensent nous diriger, tout est “stratégique”. Ce concept ronflant mais vide de sens et protectionniste est digne du tribalisme préhistorique.


Le 25/11/2019 à 11h 29



nous n’aurons probablement pas d’Elon Musk ni de Jeff Bezos



Le problème n’est pas les hommes mais le cadre institutionnel inadapté, rigide, administratif, bureaucratique et anti-économique qui cancérise l’UE.

Le 25/11/2019 à 11h 24



SpaceX en profite évidemment pour baisser au maximum ses prix afin de remporter des contrats



Il faut aller au bout du raisonnement : puisque SpaceX se rattrape sur les commandes institutionnelles US, les américains financent donc en partie les lancements des satellites UE, ce qui coûtent moins chers aux européens.



Il y a zéro intérêt à payer plus cher, et le concept “d’indépendance” (= protectionnisme) est aussi arriéré et anti-économique qu’il en a l’air.

Le 26/11/2019 à 10h 40







yvan a écrit :



La mondialisation émerge directement des politiques coloniales





Gloubiboulga marxiste habituel avec zéro support historique et sans rapport.









yvan a écrit :



De tous temps la mondialisation





La mondialisation est un phénomène récent.









yvan a écrit :



Il n’y a pas de mondialisation sans les états qui sont la brique angulaire du système d’échanges international.





Non tu t’illusionnes. Ce sont les individus et les sociétés d’individus agissant pour leur intérêt qui créent et font vivre la mondialisation. Les États ne sont qu’une force qui s’y opposent par la fiscalité, le protectionnisme, les réglementations/normes absurdes, leur monopole de la violence, etc.





En effet, l’État, ne l’oublions jamais, n’a pas de ressources qui lui soient propres. Il n’a rien, il ne possède rien qu’il ne le prenne aux travailleurs.




  • Frédéric Bastiat, Propriété et loi (1848)


Le 26/11/2019 à 08h 55







yvan a écrit :



Sans états pas de mondialisation





La mondialisation n’a pas besoin d’États pour survenir, elle émerge naturellement des interactions entre (groupes d’)individus.



Par contre les États (la plupart) font ce qu’ils peuvent pour la contrecarrer parce que selon le principe bien connu de Peter, les plus incompétents sont en charge de l’asile, et qu’ils cultivent leur ignorance économique comme d’autres cultivent du bio.


Le 23/11/2019 à 10h 03



l’objectif de maximisation des recettes poursuivi par l’État



… sur le dos des futurs consommateurs évidemment, avec service rendu nul puisque c’est une extorsion pure et simple. Même la mafia propose un service quand elle extorque.

Le 21/11/2019 à 21h 15

Pareil.

Le 21/11/2019 à 21h 15

Il faudrait réviser ton précis de logique.

Le 21/11/2019 à 14h 17



« Nouvelle usine Apple » au Texas : les petits mensonges de Trump



A l’ère Obama on aurait dit une grosse exagération… 2 poids 2 mesures

Le 19/11/2019 à 15h 39

Cette boîte, elle aurait dû s’appeler WeWoke. Le patron est un pur produit de la génération escolo de façade, dopé à l’idéologie verte et avec comme unique directive business la “durabilité environnementale” whatever this shit means.



Mais pendant la préparation de l’introduction en Bourse Neumann surfait aux Maldives, c’est dire la l’épaisseur de la façade et l’hypocrisie de ces bouffons donneurs de leçon.

Le 19/11/2019 à 14h 11



Avec cette capacité, le monde qui nous entoure devient finalement « datas » et la réalité, une donnée pour nourrir ces algorithmes à généreuses pelletées.



C’est ce qu’on appelle un découplage : le monde physique est dématérialisé et remplacé par de l’information. La valeur de cette information peut être alors multipliée à l’infini alors que la valeur du monde physique stagne, diminue voire devient nulle.



Ce phénomène est très clair depuis les années 1970, en particulier dans l’utilisation des ressources naturelles.

Le 18/11/2019 à 12h 23







Idiogène a écrit :



Le reste sera interdit c’est une prédiction…





Quelle puissance de déduction !









Idiogène a écrit :



Quant au poids je maintiens que tu ne vois pas ce qui est important : c’est avant tout une demande des industriels vers leurs chimistes du sacs qui contraints à émettre moins de CO2 doivent réduire la masse de leurs produits. Moins de masse d’un côté donc moins de masse de l’autre, c’est assez logique…





Pur BS. L’Ademe est sous l’influence des lobbies industriels pour émettre ses avis, c’est bien connu. <img data-src=" />



De plus l’avis de l’Ademe n’a rien à voir avec le CO2 : le terme n’apparaît qu’une fois pour indiquer l’absence de bénéfice agronomique des sacs compostables.



Mon point initial, avant d’être perdu dans ta cacophonie, est que les sacs légers, fins et facilement dégradables utilisés actuellement en fruits et légumes vont être remplacés par des sacs plus lourds, plus épais et moins facilement dégradables, soit l’exact contraire de ce que tu prétends, pour des motifs stupides mais parfaitement en ligne avec la doctrine escro-bio-bobos.


Le 18/11/2019 à 07h 59







Idiogène a écrit :



On y parle de réduire le poids et NON l’épaisseur…





Je me demande si tu sais comprendre parfois…



“On y parle de réduire le poids et NON l’épaisseur” : ce qui implique que ce sont les sacs à 50 µm ou plus (puisque les autres sont interdis) qui vont être privilégiés (“recommandés” au début mais comme les agents économiques se foutent des recommandations administratives, le reste sera interdit), soit exactement ce que j’ai écrit. Que le poids soit réduit ou pas n’a aucune importance pour quiconque (à part les idiots de technocrates de l’Ademe).


Le 18/11/2019 à 07h 51

Je t’invite à relire plus lentement pour éviter de dire ces “conneries”.



Quand je verrai une administration faire dans la “nuance”, promis j’en tiendrai compte…

Le 16/11/2019 à 18h 50







Pseudooo a écrit :



Les sacs réutilisables ça existe aussi pour les fruits et légumes…





Pour l’instant, les sacs compostables/biosourcés sont principalement utilisés en fruits et légumes. Mais ils finiront par être interdits (on est en France) pour être remplacés par ces fameux sacs à 50 µm qui ne se dégradent pas ou des sac en tissu qui sont une ruine économique et environnementale… parce que selon l’Ademe le consommateur est un crétin et que seuls les technocrates détiennent la vérité.


Le 15/11/2019 à 12h 51

L’archétype de la mesurette ridicule pour contenter les semi-débiles. Pourquoi interdire mais laisser la possibilité de délivrer ? Le ticket est le seul lien possible entre le produit et le lieu d’achat, en cas de problème comment le prouver ?



Bref proposition inutile sauf à afficher la vertu et les buzzwords escrolos nonsensiques (“économie circulaire” “développement durable”).



Ça rappelle l’interdiction tout aussi débile des sacs plastiques à 10 µm : maintenant on distribue des sacs plastiques à 50 µm qui sont bien plus difficiles à dégrader. <img data-src=" />

Le 14/11/2019 à 16h 40







romainsromain a écrit :



Sur les constats d’accord, sur les solutions, pas du tout…





LOL. Comment tu peux ne pas être d’accord sur les solutions alors je n’en ai proposé aucune…









romainsromain a écrit :



Tu devrais relire Montesquieu, toute personne qui dispose de pouvoir finira par en abuser …  la démocratie n’est pas la salle d’attente du totalitarisme, ca c’est une grille de lecture pour les neuneux.





LOL bis. Je cite ta propre paraphrase :

Ce qui amène a ces proto-dictatures nos anciennes démocraties, c’est tout simplement le manque de partage du pouvoir. Et petit à petit, ils l’ont concentré de plus en plus, et bientôt ca sera a un point de non retour.











romainsromain a écrit :



Il faut morceler le pouvoir, faire qu’une personne seule ne peut faire ce qu’elle veut, que pour prendre une décision ca doit être le fruit de longues maturations d’assemblées.



Il faut que le judiciaire encadre le législatif, et inversement, et c’est valable pour tous les pouvoirs.





C’est la théorie politique qui ne fonctionne pas en pratique : avec assez de temps, le pouvoir se concentre inévitablement si son système veut être efficace ou survivre.



Le problème avec la politique (et les politiques), c’est qu’il n’y a aucune responsabilité vraiment engagée : personne n’est comptable des décisions qui finissent en fiasco alors que dans toutes les autres sphères de l’existence, n’importe quelle mauvaise décision est rapidement payée, soit de ta personne soit de ton porte-monnaie, c’est à dire de ta survie.



Laisser prendre des décisions avec l’argent des autres quand on n’en paye pas le prix est une invitation aux désastres, aux détournements et aux parasitages, ce qui résume assez bien la situation actuelle.


Le 14/11/2019 à 15h 59

Tout cela est fort bien dit (et vrai) mais qui a laissé (et laisse encore) entrer le loup (l’État) dans la bergerie ?



Quand une minorité non représentative légifère selon ses critères, il n’y a pas besoin de sortir d’X pour prévoir qu’elle allait en profiter d’abord pour elle-même et les copains/coquins et donc que l’État théoriquement de droit allait se transformer tranquillement en droits de l’État (ou de tous groupes ayant suffisamment ses entrées dans le mammouth).



La démocratie est la salle d’attente du totalitarisme avec pour méthodologie de camouflage opérationnelle le gradualisme.

Le 14/11/2019 à 11h 42

Collecte de masse, renseignement de masse, désinformation de masse, filtrage de masse, surveillance de masse, etc. le nouveau visage de la démocratie est en marche et il ressemble de plus en plus aux hlpsdnh.

Le 14/11/2019 à 08h 16



Pour renforcer le lien de confiance entre employé et employeur, son texte impose à ce dernier… Édouard Courtial propose de conditionner le recours au télétravail



Comme d’habitude, ceux qui n’ont ~jamais travaillé se mêlent d’imposer à ceux qui produisent leurs idées ignobles sur la confiance ou comment l’entreprise doit s’organiser.



Voilà pourquoi ce pays est foutu.



PS : l’escrologie est une farce pour aveugle

Le 13/11/2019 à 20h 29







carbier a écrit :



Oui. C’est juste du bon sens que même les climatosceptiques devraient comprendre, mais malheureusement, ils ne sont pas sceptiques que sur le climat, ils le sont aussi sur l’écologie en général.



Dans leur cerveau malade, ils croient durs comme fer que l’homme est capable de maitriser la nature et que l’économie prime sur tout le reste.





Tu te trompes gravement :

1/ je suis entièrement d’accord avec ton § plus haut sur la lutte contre la pollution

2/ je n’ai rien contre l’écologie en tant que Science

3/ j’en ai après l’escrologie politique et ses crackpots activistes décérébrés qui pensent pouvoir maîtriser un système complexe avec un bouton inactif

4/ l’économie ne “prime” pas ; elle est juste la seule façon de survivre


Le 13/11/2019 à 20h 22







carbier a écrit :



Sérieusement, tu devrais arrêter. Tu n’as aucun bagage scientifique pour parler de modélisation climatologique et réponse après réponse tu le montres un peu plus.





L’article scientifique et didactique que j’ai cité plus haut montre une fois de plus que tu ne sais pas de quoi tu parles. Il est clairement écrit : A climate model could thus never be considered as formally verified or validated.









carbier a écrit :



Pour ton info, on modélise l’atmosphère à partir des équations de Navier Stokes pour lesquelles il n’existe aucune solution mathématique. Ce qui fait que l’atmosphère est considéré comme un système chaotique.

En un mot comme en 100, on n’arrivera jamais à produire un modèle idéal pour décrire la climatologie. Le but étant de se rapprocher au maximum de la réalité.

Quant au “calibrage” cela n’existe pas car comme tout bon système chaotique, si tu essaies de le forcer sur une zone, la zone adjacente va partir en vrille car le modèle ne va pas converger. Concernant la correction post modélisation (l’adaptation), on peut valider un tel modèle simplement à partir d’une validation croisée. Bref, c’est complexe, c’est fait dans l’état de l’art par les scientifiques, ce n’est pas parfait mais cela se rapproche suffisamment de la réalité pour pouvoir l’utiliser comme outil de diagnostic.





Une seule citation d’un scientifique suffira à réfuter ce verbiage ignare :

“Indeed whether climate scientist like to admit or not, nearly every model has been calibrated precisely to the 20th century climate records - otherwise it would have ended up in the trash. […]

For years, climate scientists had been mum in public about their ‘secret sauce’: what happened in the models stayed in the models. The taboo reflected fears that climate contrarians would use the practice of tuning to seed doubt about models.”




  • Paul Voosen, Climate scientists open up their black boxes to scrutiny (publié dans Science magazine en octobre 2016)









    carbier a écrit :



    Et c’est justement la dessus que les néophytes tels que toi s’engouffrent pour sortir des logorrhées pseudo scientifiques concernant la non validation de ces modèles. En fait tu me fais penser aux charlatans qu’on trouve sur le Net qui tentent désespérément de convaincre leurs lecteurs que la Terre est plate à partir de pseudo expériences scientifiques qui mettent juste un peu plus en lumière leur incompétence en la matière.





    Je n’ai cité que des scientifiques qui invalident tes affirmations erronées qui ne font qu’exposer un peu plus ta totale inculture, mais merci quand même pour ce rappel ironique que les escrocs du consensus climatique sont (et seront) aussi moqués que les idiots du consensus de la Terre plate.









    carbier a écrit :



    C’est d’autant plus hilarant venant de quelqu’un comme toi qui considère l’économie comme une science prédictive.





    Ah encore en train d’inventer, où ai-je écris cela précisément ? C’est bizarre, parce que je considère que les modèles économiques sont aussi nuls que ceux climatiques.


Le 13/11/2019 à 15h 37

Dans les domaines où la Science est non controversée, certainement.



Mais quand elle est utilisée comme cheval de Troie idéologique, la science officielle “existe” : elle est même élevée au rang de consensus, une notion éminemment politique, comme celle du “Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat” ou GIEC (mal traduit de anglais Intergovernmental Panel on Climate Change ou IPCC).



C’est de la science sanctifiée par les gouvernements en conclave (dit COP) : difficile de faire plus officielle !





La malhonnêteté intellectuelle des escrocs/escrolos n’est qu’une observation basique. Une vérité qui dérange comme dirait un des escrocs lui-même.

Le 13/11/2019 à 13h 31



C’est bien raconté et résumé ici.

Le 13/11/2019 à 13h 30







KP2 a écrit :



Et si le RC est une mystification, par qui et pour quoi ?

Moi, je veux bien qu’on joue au complotiste mais généralement, quand on va au bout du raisonnement, c’est souvent du jus de chiasse de cerveau malade… Alors va s’y, je te laisse répondre aux questions.





Intérêts de l’alarmisme climatique, en vrac :

1/ pour les économistes (~tous gauchistes payés par les gouvernements à leur solde) : une magnifique occasion de s’attaquer aux supposées défaillances du marché et proposer les sempiternelles mesures correctives coercitives et contre-productives

2/ pour les représentants de l’ONU : le renforcement de leur poursuite de gouvernance mondiale (= supra étatiste)

3/ pour les dictateurs des PVD : réclamer des aides aux pays riches pour continuer la corruption

4/ pour les mouvements escrolos : tabler sur un enjeu de société pouvant rapporter gros politiquement et financièrement auprès des ONG affiliées

5/ pour les partis politiques : se positionner comme chevaliers blancs avec un discours électoraliste, suivre le mouvement

6/ pour les entreprises : greenwashing, opportunité de toucher des subventions, d’obtenir d’importants marchés (éoliennes, etc.)

7/ pour les experts de tous bords : une vraie manne financière et médiatique (cf les journaux et 20 h)

8/ pour les ONG, militants et activistes escrolos convaincus : une fantastique raison d’exister

9/ pour les scientifiques et directeurs de labos : l’opportunité d’obtenir des bourses et financements, prestige, jetsetting, etc.

10/ pour une multitude de personnes : l’attrait naturel pour le sensationnel et l’impact des limites cognitives et des biais de confirmation

Etc.


Le 13/11/2019 à 13h 23







KP2 a écrit :



Les pluies acides existent, hein… mais là, c’est un film <img data-src=" />





Elles existent mais n’ont pas l’influence qu’on leur a prêté.



L’épisode “pluies acides” est d’ailleurs assez caractéristique de la manière dont les escroqueries environnementales sont inventées, montées en épingle avec de l’alarmisme médiatique, prises en charge par des organismes qui n’ont pas autres intérêts qu’à les perpétuer le plus longtemps possible en “éliminant” les scientifiques qui démontent ces inepties.



C’est bien raconté et résumé [url=]https://reason.com/1992/01/01/acid-test/[/url].


Le 13/11/2019 à 13h 17

Tu cherches a biaiser comme d’habitude, quand on te met sous le nez que si les modèles reproduisent (mal) les températures au sol, c’est seulement parce qu’ils sont calibrés pour…



Sur la vérification/validation des modèles climatiques que disent les modeleurs :

When discussing verification and validation, we must always recognize that both of them can only be partial for a climate model, except maybe in some trivial cases. The accuracy of the numerical solution can only be estimated for small elements of the code or in very special (simplified) conditions. Indeed, if it were possible to obtain a very accurate solution to compare with the numerical model results for all the possible cases, there would be no point in developing a numerical model! The comparison of model results with observation is also limited to some particular conditions and completely validating a climate model in all the potential situations would require an infinite number of tests. A climate model could thus never be considered as formally verified or validated.





QED.



Ce dont je dispose ou pas est HS.

Le 13/11/2019 à 10h 01







carbier a écrit :



Ce papier est très drole car il se focalise sur une comparaison des températures dans la troposphère et montre que la variabilité des modèles surestiment légèrement à ces niveaux d’altitude.

Bref, je ne vais pas argumenter avec toi, mais pour faire simple, cela équivaut à faire un zoom sur une altitude que les modèles maitrisent mal tout en omettant de dire que les modèles sont relativement correct au niveau du sol, la où on vit et surtout là où les échanges thermiques entre la mer et l’atmosphère ont lieu.





La troposphère est là où l’hypothèse réchauffiste fait ses prédictions, et donc là où elle est testée et falsifiée. Que les modèles soient plus ou moins corrects (plutôt moins que plus d’ailleurs) au niveau du sol n’a rien d’étonnant puisqu’ils sont calibrés avec les mesures au niveau du sol. <img data-src=" />





“Indeed, whether climate scientists like to admit it or not, nearly every model has been calibrated precisely to the 20th century climate records — otherwise it would have ended up in the trash. It’s fair to say all models have tuned it.”

Isaac Held, Geophysical Fluid Dynamics Laboratory









carbier a écrit :



Quant à ton affirmation concernant l’absence de validation des modèles, elle est à mourir de rire. Si tel était le cas, comment les auteurs de cet article aurait-il fait pour obtenir les sorties de modèle ?





L’absence de validation et de vérification, ce qui fait partie des bonnes pratiques, n’empêche pas les modèles de mal fonctionner. GIGO pour résumer.



PS : l’économiste apporte son expertise en statistiques avancées, une matière où la plupart des climatologues pêchent.



J’ai laissé de côté tous tes scories rhétoriques habituelles.


Le 13/11/2019 à 08h 59







carbier a écrit :



Le terme de réchauffement climatique est un terme utilisé à tort par les médias pour définir ce qui se passe.





L’expression a été inventée et est encore utilisée par les scientifiques. D’ailleurs les médias ne l’utilise plus depuis le hiatus pendant lequel le RC a été remplacé par le “changement climatique” pour sauver les meubles. Depuis on a eu droit à d’autres inepties dont la dernière en date est “urgence climatique”. Jusqu’à la prochaine…









carbier a écrit :



En moyenne sur les 50 prochaines années, la température va augmenter. Ce qui ne veut pas dire que suivant l’activité du soleil et/ou d’autres paramètres ponctuels on ait des variations de températures pendant cette période.





Ce n’est qu’une prédiction des modèles du GIEC qui ne sont pas capables de prédire les températures.









carbier a écrit :



Ensuite le principal impact d’un réchauffement climatique est que les événements météorologiques vont devenir de plus en plus intenses: si tu prends les cyclones par exemple, ils puisent leur énergie dans la chaleur des océans. Si ceux-ci se réchauffent, la taille et la violence des tempêtes augmenteront.





Non, la théorie dicte que l’augmentation de température diminue les gradients autour des tropiques et qui sont à l’origine de ces évènements. Donc leur nombre doit diminuer (ou rester stable). Et c’est ce que montrent les données.









carbier a écrit :



Edit: même question que précédemment. Quel est ton bagage scientifique ?





Quel intérêt ? On a bien le Pr Mickey Mouse de l’Institut des Aveugle de Namibie qui a signé la dernière pétition de fin du monde dans BioScience !


Le 13/11/2019 à 08h 40







odoc a écrit :



Surtout qu’au final on s’en contrefous de son avis sur la question, la science c’est pas un débat d’opinion





Sauf qu’évidemment, le sophiste de service fait passer pour une “opinion” ce qui n’est que l’exposition sourcée des déficiences de la science officielle. Ça lui évite (maladroitement) de répondre sur le fond. La malhonnêteté intellectuelle est une constante chez les escrocs.


Le 13/11/2019 à 08h 34







TheKillerOfComputer a écrit :



C’est épatant à quel point j’ai l’impression de lire un anti-vaccin.





Comme disait Feynman, tu es toi-même la personne la plus facile à tromper…









TheKillerOfComputer a écrit :



C’est transposable dans notre situation. Il est techniquement infaisable d’avoir une vraie comparaison empirique mais rien à faire.





On ne peut certes démontrer empiriquement la conjecture, mais il y a d’autres manières de comparer empiriquement : on peut tester la conjecture du GIEC/IPCC selon ce qu’en disent ses modèles (qui soit disant reflètent l’état de l’art). Si tu sais lire un graphique, tu feras la conclusion toi-même.


Le 12/11/2019 à 20h 58







KP2 a écrit :



A vrai dire, je ne sais pas vraiment de quoi tu parles… visiblement je le croyais mais c’était pas le cas donc je vais t’ignorer car il n’y a définitivement rien d’interessant dans tes commentaires.





C’est important à tes yeux de me prévenir pour sauver la face alors que tu aurais pu simplement agir comme tu le décris, ce qui m’aurait évité de répondre que ce n’est pas honteux de n’avoir (plus) rien à dire.


Le 12/11/2019 à 20h 28







KP2 a écrit :



Je reprends pas le reste car j’ai pas que ça a foutre mais ça, c’est vraiment marrant :

ça tombe bien, le réchauffement climatique, ça parle du climat et pas de la météo.





Le climat n’est qu’une moyenne de la météo, le rapport est direct…









KP2 a écrit :



Oui, jeter la moitié d’un truc gênant à la poubelle sous prétexte que c’est truqué, c’est bien commode quand on a besoin de le réfuter…





Chez les réchauffistes, on aime le révisionnisme :

Ajustement des températures de janvier 1910 et 2000 par le GISS entre mai 2008 et octobre 2019.

Pareil sous forme de graphiques.

Pareil entre 1984 et 2018.


Le 12/11/2019 à 20h 22







KP2 a écrit :



Bien sur que si le contexte historique, social ou religieux d’une époque ou d’un pays à un impact sur la qualité scientifique.

La methode scientifique a été un vrai bond en avant… Avant ça, les découvertes tenaient à la rigueur du découvreur lui-même, pas au système scientifique dans lequel il évoluait. Les erreurs étaient nombreuses…



Les grandes théories et les grands découvreurs pré-méthode scientifique qui sont parvenus jusqu’à nous sont passés au tamis du biais du survivant. Pour UN grand homme, combien sont tombés dans l’oubli aujourd’hui car leurs travaux étaient justes pourris ?





HS. On parle de Science moderne, pas d’Histoire.









KP2 a écrit :



D’ailleurs le mythe du Galilée seul contre l’Eglise est de la foutaise. Galilée n’a pas été condamné pour la théorie héliocentrique qui était admise depuis longtemps par beaucoup d’hommes de science un peu partout autour du globe ET même au sein du Vatican. Copernic, c’est &gt; 50 ans avant et d’autres encore 100 ou 200 ans encore avant.

Il a été condamné pour des raisons bien plus politiques…





C’est juste du révisionnisme (guère étonnant après une montagne de mauvaise foi)).



L’Église s’est repentie en 1992 seulement, et le Pape a dit lui-même :

La représentation géocentrique du monde était communément admise dans la culture du temps comme pleinement concordante avec l’ensemble de la Bible dont certaines expressions, prises à la lettre, semblaient constituer des affirmations de géocentrisme. Le problème que se posèrent donc les théologiens de l’époque est celui de la compatibilité de l’héliocentrisme et de l’Écriture. Ainsi la science nouvelle, avec ses méthodes et la liberté de recherche qu’elle suppose, obligeait les théologiens à s’interroger sur leurs propres critères d’interprétation de l’Écriture. La plupart n’ont pas su le faire. Paradoxalement, Galilée, croyant sincère, s’est montré plus perspicace sur ce point que ses adversaires théologiens. … La majorité des théologiens ne percevaient pas la distinction formelle entre l’Écriture sainte et son interprétation, ce qui les conduisit à transposer indûment dans le domaine de la doctrine de la foi une question de fait relevant de l’investigation scientifique.


Le 12/11/2019 à 19h 57







TheKillerOfComputer a écrit :



En même temps 1/ comment il pourrait y avoir de l’empirique sur un 2/ réchauffement 3/ anthropique 4/ global alors que la 5/ première usine n’a que 150 ans





1/ Ce n’est pas mon problème mais celui de ceux qui le prétendent

2/ Le réchauffement est minuscule selon les critères météo et la moitié est truqué

3/ Le réchauffement ne peut pas être attribué “anthropique” avant de l’avoir démontré

4/ Le réchauffement “global” est une illusion statistique (moyennage)

5/ On peut regarder dans le passé : quand elles sont corrélées (carottes de glaces), la température précède l’élévation de la [CO2] de ~800 ans


Le 12/11/2019 à 18h 36

Mais non je te laisse braire, comme déjà écrit par ailleurs. Et je ne passe pas tout mon temps à répondre aux cancres ou à tes inepties : il y en a trop.

Le 12/11/2019 à 18h 27







cyril8 a écrit :



Non, mais les sceptiques s’appuient souvent sur Galilée pour montrer qu’un seul individu peut avoir raison contre la masse. Sauf que comme le dit KP2, le contexte n’a strictement rien à voir.





Pas que Galilée :

Ernst Chladni et les météorites

John Snow et le choléra

Dr Semmelweis et l’hygiène médicale

Darwin et l’évolution

Wegener et la dérive des continents

Joseph Goldberger et le pellagre

George Zweig et les quarks

Barry Marshall et les ulcères

Stanley Prusiner et les prions

Barbara McClintlock et les transposons

etc.



Le contexte n’a effectivement rien à voir parce qu’il n’y a pas de contexte à voir : la Science se moque du contexte. La Science ne s’occupe que de ce qui est démontrable. Tout ce qui ne l’est pas n’est pas de la Science.


Le 12/11/2019 à 18h 21







Drozo a écrit :



Le soucis c’est que le réchauffement climatique (et son accélération) sont bel bien théorisé.





Il n’y a même pas de théorie, tout juste une conjecture avec 0 démonstration empirique. La fraude climatique est entièrement basée sur des modèles qui ne sont pas capables de reproduire l’évolution des températures, comme le montre le GIEC/IPCC dans les annexes de ses rapports, ce qui est confirmé par le BAM 2017 :



102 IPCC Climate model simulations CMIP5 300-200 hPa temperature trend 1979-2017

IPCC AR5 Fig. 10 SM 20°S-20°N Tropics 1979-2010 temprature trends for models with (red) and without (blue) GHG and observations (white)

IPCC AR5 Fig. 10 SM 20°S-20°N Tropics 1979-2010 temprature trends for models with (red) and without (blue) GHG and observations (white)

BAMS State of Climate 2017 Fig. S2.10 20°S-20°N Tropics 1979-2016 temprature trends for models (red) and observations (green)



Voir aussi ce papier récent qui montre que la conjecture réchauffiste s’écroule quand les modèles sont testés et comparés aux données, ce que le GIEC/IPCC ne fait jamais.


Le 13/11/2019 à 10h 14







carbier a écrit :



Je te rassure tu n’as aucun argument non plus vu que tu es incapable de voir la complexité d’un voyage spatial dans sa globalité. Tu es aveuglé par ta croyance (proche de celle d’une secte) dans le fait que l’humain est capable de tout maitriser (y compris les impacts sur son corps d’un voyage dans l’espace).





L’humain n’est pas capable de maîtriser le climat bien que certains escrocs le prétendent. Je te l’accorde. Concernant l’impact sur le corps, le seul exemple avancé, celui de la perte osseuse, les études in situ montrent qu’on peut la prévenir :

Through 90-day bed rest research on Earth, we confirmed that this agent [bisphosphonate] has a preventive effect on the loss of bone mass. Based on these results as well as studies conducted by others, Japan Aerospace Exploration Agency (JAXA) and NASA decided to collaborate on a space biomedical experiment to prevent bone loss during spaceflight. Dr. Adrain Leblanc of United Space Research Association and Dr. Toshio Matsumoto of Tokushima University are the two principal investigators of this study.

JAXA and NASA crew members are participating in this study by taking this agent once a week while in space. The study is still ongoing; however, early results suggest that astronauts can significantly reduce the risk of bone loss and renal stones with the combination of resistive exercise and an antiresorptive such as a bisphosphonate.











carbier a écrit :



Tu es incapable de comprendre que dans un tel voyage, le moindre problème peut être fatal et que pour l’instant on n’a ni le savoir, ni les compétences pour effectuer ce genre d’“aventure”.



Pour faire simple: la fragilité d’un système vient de celle de son maillon le plus faible.





Relis ce que j’ai écris. Si la passé est un guide, il est certain qu’il y aura des réussites et des échecs. C’est inévitable mais cela n’implique aucunement qu’il ne faille pas le faire et encore moins que cela ne sera pas fait, puisque dans la réalité c’est en train de se faire. Les explosions des navettes n’ont pas stoppé l’élan.


Le 13/11/2019 à 08h 44

C’est tout ? Tu n’as pas d’informations argumentées à exposer que ton minable ressentiment dont je me fiche comme de mon 1er string ?

Le 12/11/2019 à 18h 30

Je te laisse braire, ce que tu fais très bien.

Le 12/11/2019 à 14h 03







CowKiller a écrit :



Non merci la fin du colonialisme





C’est la même chose au final : le colonialisme n’est que de l’étatisme imposé à l’étranger. Les inégalités dans la distribution des richesses sont dues exactement aux inégalités dans la répartition du capitalisme (l’accès aux marchés).


Le 12/11/2019 à 13h 57

Une base scientifique, c’est le début de la “colonisation”.



Pour le reste personne n’a de boule de cristal et radoter sur le futur en mieux-disant ou moins-disant est effectivement à la portée du premier crétin venu, merci aussi de confirmer.

Le 12/11/2019 à 13h 52







skankhunt42 a écrit :



….





On se demande comment ils font dans l’ISS où la gravité est de 0. Simuler la gravité n’est pas vraiment bien compliqué : il suffit de faire tourner une roue. Le voyage c’est 3 mois pas 9. Le reste des “prédictions” est à l’avenant.









skankhunt42 a écrit :



Et encore une fois du binaire… Généralement un scientifique travaille avec des ingénieur et vice versa et c’est des passionnés surtout dans ce domaine de pointe. Qu’a la fin la seule chose qui va différencier les deux c’est un simple bout de papier, le diplôme.





Et les études d’un côté scientifique et de l’autre d’ingénieur. Merci de confirmer.


Le 12/11/2019 à 12h 35







carbier a écrit :



Un ingénieur n’est pas un scientifique ? <img data-src=" />





Non. C’est pour cela qu’on le différencie en ingénieur.



Sur la réversibilité :



The proximal femoral bone loses 1.5 percent of its mass per month, or roughly 10 percent over a six-month stay in space, with the recovery after returning to Earth taking at least three or four years.