Moi je donne mon avis et mes convictions, toi tu prétends énoncé des vérités
Ah ? Mais tu as déjà conclu plus haut que ce n’était que mes opinions, ce que j’ai confirmé. Note que ton affirmation sous la forme d’une vérité énoncée mais non démontrée que « l’économie n’est pas une science » se pose là… . .
Mon raisonnement est qu’il faut choisir des partenaires capables pour argumenter : mon « opinion » et ma « prétention à énoncer la vérité » que l’économie possède bien toutes les caractéristiques d’un domaine pouvant être étudié scientifiquement font que tu t’es automatiquement désigné comme incompétent en la matière, et donc immédiatement exclu d’une possible discussion sur le sujet.
Tu trouvera ici du carbier, de la maladie autosomique récessive, de l’idiotphile accompli, bref du lambda bas de gamme à la douzaine, pour causer d’économie magique, d’économie fiction ou sous tout autre angle qu’il te plaira. Mais pas avec moi. Fin de transmission.
Le
14/04/2021 à
06h
28
(quote:1867334:Idiogène) Par définition les sous systèmes n’ont pas d’échange d’énergie avec le système global…
Et pourquoi cela ? Cette restriction est complètement abusive : la 2nde loi impose (et encore, pas de manière absolue) seulement que le système soit fermé pour qu’elle soit valide, absolument pas que ses sous-systèmes le soient eux aussi quand ils sont considérés dans leur système global. Révise la Physique. . .
Démonstration que sans pétrole l’ecognomie n’avance pas plus que tes raisonnements téléologiques…
« ecognomie » ??? Tu as encore oublié tes cachets ?.
Le
13/04/2021 à
15h
03
Sigfreid a dit:
“pas partagée par grand monde” : surement pas parmi les economistes !! mais plus sérieusement ce genre de phrase n’est que ton opinion,
Oui, je te confirme que tout ce que je dis ou écris est bien mon opinion, mais ça ne fait pas avancer beaucoup les choses une fois reconnu. . .
Sigfreid a dit:
encore une fois affirmée n’est pas prouver.
Tu n’as rien prouvé non plus, et donc à part répéter cette phrase creuse, on n’est pas plus avancé (encore une fois). . .
Sigfreid a dit:
Dire que la majorité des politiques se base sur l’économie pour pondre leurs décisions ne la transforme pas en science.
Personne ne l’a prétendu. C’est ton problème si tu ne veux pas reconnaître que l’économie est une science, mais en faisant cela tu n’as plus aucune légitimité à en parler. Ce qui clos ici cette « discussion » qui fait du surplace.
Escronomie est un pléonasme, l’économie n’est pas une science même gaver aux mathématiques.
C’est ton opinion, pas partagée par grand monde. Je suis cependant d’accord pour la partie « gaver aux mathématiques », mais l’incohérence en la matière est quand même étonnante quand on sait sur quoi se basent les politiques pour fonder leurs discours et décisions – des modèles socio-économiques quantitatifs. . .
Quand on utilise le terme “presque” tous les trois mots, on est à coup sur dans l’approximation et surement pas dans les mathématiques.
C’est bien la peine de reprocher juste avant le recours aux mathématiques… Ce n’est pas une « approximation » de ma part mais une volonté délibérée de ne pas généraliser abusivement. Il existe souvent des exceptions et le futur ou le hasard ne sont pas prévisibles. Tu peux d’ailleurs les retirer si cela te chante, ma phrase reste correcte.
Le
13/04/2021 à
11h
50
Le capital n’a rien à voir dans la transformation, comme dit jancovici, ce n’est qu’une boucle dans le système. Optimal à quel niveau ? création de richesse, destruction de l’environnement, gestion des stockes de ressources ? Affirmer ce n’est pas prouver.
Le capital n’a rien à voir dans la transformation
Tout dépend de la définition de capital : sous sa forme financière, ce n’est qu’un outil, inutile pour qui n’a pas l’autre capital, le cognitif (note que cela est suffisant pour réfuter le socialisme en 3 secondes chrono). . .
Sigfreid a dit:
comme dit jancovici,
Je vois maintenant d’où vient le problème. . .
Sigfreid a dit:
Optimal à quel niveau ? création de richesse, destruction de l’environnement, gestion des stockes de ressources ? Affirmer ce n’est pas prouver.
Personne ne fera jamais mieux que l’étude et l’analyse de l’Histoire économique. Tu peux commencer par là.
Le
13/04/2021 à
11h
40
(quote:1867221:Idiogène) Le train de tes insultes roule sur les rails de mon indifférence…
Rends grâce à mes nombreux passages pour dérouiller ces rails… . .
Un certain nombre d’orthodoxes défendent que le “système” perd de l’énergie ou de la matière en oubliant qu’ils en consomment eux-mêmes. Aussi réduire le coût de la création monnétaire n’est pas garant de l’augmentation de la richesse… mais il n’est pas vrai non plus de dire que le coût de la perte est nul car elle se résumerait à un calcul.
Il n’existe pas d’optimum propre par la seconde loi de la thermodynamique. La question est donc de savoir quel autre système va enrichir en énergie ou capital ou biomasse le second et comment l’inversement monnétaire va faussement poursuivre la croissance.
Mon Dieu, quel scientisme de quel chiantiste extrêmement confus et superficiellement pédant. Si tu veux un aperçu qu’un système quelconque est globalement positif, mesure/évalue l’entropie de ses sous-ensembles (qui diminue) et compare-la avec celle des autres (qui augmente). Dans tous les cas la 2nde loi est globalement respectée mais ça permet de confirmer pourquoi l’un a été sélectionné (le naturel) et pas l’autre (le constructif).
Le
13/04/2021 à
10h
46
(quote:1867188:Idiogène) Je ne dis nullement que tu fabules. Je te répond que la mythologie contemporaine (y compris celle que tu dénonces) raisonnent comme des capitalistes spaciaux… il est donc normal que tu leur réponde…
D’où l’intérêt de penser et d’écrire précisément pour éviter de se faire mal comprendre…
Le
13/04/2021 à
10h
42
(reply:1867188:Idiogène)
On dirait le discours tordu et dévoyé des escronomistes effarouchés (ou une appellation dans ce goût-là), mais je n’ai pas de temps à consacrer pour faire ta rééducation dans cette matière. . .
(quote:1867197:Idiogène) Ta réduction à l’addition n’est pas magique. Elle revient à détruire de la monnaie d’une manière ou d’une autre, même si cette monnaie est égale à zéro.
C’est de la mathématique élémentaire. Seule une fraction de la monnaie est détruite et seulement pour certaines modalités d’investissements (emprunt par ex.) : le reste (dont l’intérêt) est une pure création de valeur et de richesse. Dans une subvention la perte est presque toujours sèche et la création de valeur presque toujours nulle, presque par définition : la valeur de la monnaie maintenant évaporée est effectivement nulle.
Le
13/04/2021 à
10h
28
Sigfreid a dit:
Ce n’est pas le système qui a crée la richesse, c’est l’addition des actifs (humains) et des ressources déjà présentes. La nature du système n’intervient que sur l’éfficacité. Si on avait pas découvert le pétrole, capitalisme ou pas, on aurait pas eu tout ce progrès.
« L’addition des actifs (humains) et des ressources déjà présentes » forme nécessairement le système (de création de richesse). . .
Sigfreid a dit:
La nature du système n’intervient que sur l’éfficacité. Si on avait pas découvert le pétrole, capitalisme ou pas, on aurait pas eu tout ce progrès.
La découverte du pétrole et le pétrole en eux-mêmes n’ont aucune signification. C’est bien le système (humain et capitaliste de marché) qui a permis (et permet toujours) de le transformer en ressources utiles. Les matières premières ne sont rien sans le cerveau humain et le capital/marché pour y parvenir. . .
Sigfreid a dit:
Ton discours donne l’illusion que seul ce système nous a permis d’arriver là ou on en est. Mais surtout il oublie par la même toutes les conséquences néfastes qu’il a produit, ca compte dans le bilan.
Ce n’est pas contradictoire, tout en étant fort peu spécifique : généralement aucun système n’est parfait (ni la Nature elle-même en dépit de ses milliards d’années d’existence), pas plus celui que j’ai décrit qu’un autre. Simplement, il l’est relativement plus que les autres, et de très loin.
En fait quand on y réfléchit, la caractéristique la plus intéressante de ce système est d’être sous-optimal.
Le
13/04/2021 à
10h
12
70 $, c’était vrai il y a 7 ou 8 ans. Depuis le point mort (ou breakeven price) pour le pétrole non conventionnel US a bien baissé, tout en variant selon les champs exploités.
Le moins cher mondial en conventionnel, le Quatar, est à 43 $ cette année.
Le
13/04/2021 à
09h
55
(reply:1867154:Idiogène)
Cette chaîne naturelle d’intermédiaires a collectivement produit, malgré les nombreux handicaps d’idéologies obsolètes perverses mortifères, des société prospères dont certains individus ignares, hypocrites et fils prodigues peuvent se permettent de critiquer sans raison ses succès dont ils ont profités sans reconnaissance aucune.
Une multiplication est toujours réductible à des additions.
Le
13/04/2021 à
09h
47
(quote:1867151:Idiogène) Aucun investissement n’est proportionné aux autres par la simple invention du droit de proprieté. On a seulement déplacé la distortion au foncier :
Tu recommences à faire du charabia sans rapport.
Une subvention n’est pas un investissement, c’est précisément son contraire. Un investissement présuppose une espérance de rentabilité alors que les subventions sont utilisées pour régler une opportunité potentielle de marché erronément confondue en échec.
Tu remarqueras qu’aucune analyse de rentabilité n’est jamais réalisée quand on subventionne : toujours et seulement d’autres considérations sont prises en compte pour en décider. Cela ne veut pas dire que parfois, par un heureux hasard, une subvention n’est pas arbitrairement rentable. Mais c’est l’exception qui confirme la règle. . .
CQFD
Ce n’est donc pas une « mythologie » que les milliers de tonnes de béton et de ferraille du socle des éoliennes vont rester sous terre : c’est bien (parfois) d’admettre tes erreurs et ignorances.
Le
13/04/2021 à
09h
10
Si c’était le cas, le prix à la pompe (par ex.) serait nul. En fait ce sont les escrolos et autres socialauds, qu’on ne peut décemment pas catégoriser comme capitalistes, qui n’arrêtent pas de nous seriner que le vent et le soleil sont gratuits et que sans les entreprises et les marchés, la société serait un paradis dégoulinant de lait et de miel… alors que bien évidemment il n’en est rien et que l’Histoire a démontré le contraire.
Le fait que tout ait un prix indique que tout a un coût et que donc rien n’est gratuit (les marchés existent pour cette raison). Mais ce genre de raisonnement trivial n’est pas à la portée de tous…
En un mot : TINSTAFL.
Le
13/04/2021 à
09h
03
(quote:1867123:Idiogène) Subvention = investissement. Le coût final des EC est donc aussi fait de subventions.
Pour les collectivistes, c’est une croyance ferment enracinée, certes, mais pour le marché, c’est juste une distorsion pour favoriser des perdants au prix de l’appauvrissement généralisé (par définition). . .
Ignorance de ta part. C’est inscrit noir sur blanc dans la loi et sur les actes de location de mes terrains. La seule obligation de l’exploitant est de remettre en état le sol superficiellement.
Le
13/04/2021 à
08h
36
(reply:1867101:Idiogène)
Les socles de centaines de tonnes de béton et de ferraille des éoliennes ne sont jamais retirés. Cela de dérange apparemment personne que les fuites et contaminations par métaux lourds et autres saloperies des aquifères dans les décennies qui viennent sont un grave problème de santé publique en devenir.
Le
13/04/2021 à
08h
30
(reply:1867098:Idiogène)
Le coût extraction n’est qu’un élément parmi d’autres, seul le prix total fait référence pour comparer. Si le marché de l’énergie fonctionne principalement aux hydrocarbures, ce n’est pas par hasard.
La biomasse n’est clairement pas l’avenir et, avec les EnRI, ne continuent à exister que par les subventions.
Le
13/04/2021 à
07h
58
(reply:1867087:Idiogène)
Ils disaient déjà cela en 1870…
Le
13/04/2021 à
06h
41
Et maintenant ? Probablement rien du tout.
Aussi intéressant que puisse être le fonctionnement moléculaire d’une enzyme, le passage à l’industrialisation du process sera sans doute fatal pour la bonne et simple raison que le pétrole et le charbon resteront longtemps les batteries solaires les plus répandues, les plus denses, les moins coûteuses, etc.
Tout projet de modification des conditions contractuelles de fourniture d’un service de communications électroniques est communiqué par le prestataire au consommateur par écrit ou sur un autre support durable à la disposition de ce dernier au moins un mois avant son entrée en vigueur, assorti de l’information selon laquelle ce dernier peut, tant qu’il n’a pas expressément accepté les nouvelles conditions, résilier le contrat sans pénalité de résiliation et sans droit à dédommagement, jusque dans un délai de quatre mois après l’entrée en vigueur de la modification.
Ce que l’article impose en « cas de changement unilatéral » est que la résiliation est la SEULE possibilité si l’autre partie n’accepte pas l’avenant. Nul part il est précisé que les contrats devraient ou pourraient contenir d’autres dispositions plus favorables, comme par ex. le maintien tel quel en cas de désaccord, voire des pénalités en cas de rupture par l’opérateur.
Cette législation (de moindre emmerdement pour les opérateurs) est donc une autorisation implicite de rédiger les contrats de telle manière que la résiliation soit la SEULE porte de sortie possible en cas de non-acceptation du projet de modification.
Ce n’est pas le rôle du législateur d’imposer les dispositions des contrats, surtout quand ici elles sont clairement en défaveur des consommateurs.
J’en resterai là pour ma part.
Le
13/04/2021 à
09h
32
(quote:1867141:Idiogène) En pratique il est possible de tacitement refuser l’avenant pour le client. Auquel cas la résiliation du contrat n’est pas exercée de plein droit par l’une ou l’autre des parties.
C’est bien le problème. La résiliation devrait être exercée de plein droit (du vrai Droit) par les parties selon les dispositions du contrat, alors qu’ici c’est la législation qui dispose et n’est un subterfuge pour forcer à la résiliation une partie par l’autre.
Il est d’ailleurs symptomatique de constater que les avenants vont toujours dans le sens de « l’enrichissement de l’offre », jamais le contraire. . .
Relis la loi… c’est une contrepartie “équitable” que d’offrir une résiliation explicite de plein droit au client… sauf à considérer que sans la loi il ne pouvait pas devenir partie explicite… ce qui est absurde.
Il n’y a rien d’équitable à forcer la résiliation d’un contrat modifié unilatéralement. Imagine que ton conjoint fasse un avenant à ton contrat de mariage en enrichissant les conventions pour te forcer à accepter un 3ème partenaire du sexe de son choix sans que tu ne puisses refuser sans annuler ledit mariage…
Juste débile tellement une partie aurait un pouvoir exorbitant et disproportionné, mais c’est pourtant l’actuelle législation.
Pour ma part je considère que toute disposition visant à donner un avantage à une partie contractante devrait être jugée illégale. La Loi devrait rester neutre et seulement garantir les contrats.
Le
13/04/2021 à
08h
47
(quote:1867111:Idiogène) Quelque part si. Beaucoup de contrats n’ont pas d’autre consitance. A fortiori lorsque leur rédaction n’est assurée par aucune des parties : la loi n’a donc produit aucun contrat !!! Ce sont les avocats qui se tirent des balles dans le pied et la loi reconnaît ce type de contrat du fait de leur seul suicide professionel.
Évidemment, la loi n’est pas là pour produire du contrat ou de la convention mais de les garantir, et c’est bien là mon point et mon reproche : il est impossible de refuser purement et simplement l’avenant sans rompre ledit contrat, ce qui est antithétique de l’objet même du contrat et donc moralement inacceptable.
Cette loi est juste un cadeau pour les opérateurs (un ex. de crapitalisme de connivence). . .
C’est donc moi qui paye 50% du service en elec… il n’y a pas un problème ? C’est écrit nulle part… ;-)
Tu payes 100 % selon ton contrat, qui ne fournit d’ailleurs pas un « service en électricité » (qui concerne EDF/Enedis) mais un service de transport d’informations EM.
Le
13/04/2021 à
08h
16
(quote:1867092:Idiogène) C’est l’objet des contrats sans engagement : une simple formalité.
Un « contrat sans engagement » est une contradiction dans les termes. S’il n’y a pas d’engagement spécifique et spécifié, il n’y a tout simplement pas de contrat. Il peut exister des contrats sans engagement de durée, certes, mais cela change rien à l’exception légale qui nous concerne ici. . .
Aucune partie ne respecte un contrat de téléphonie
LOL. Avises-toi de ne pas payer selon les termes signés, et tu découvrira combien de temps ton non-respect te permettra de continuer à recevoir ton « service en électricité ».
Le
13/04/2021 à
06h
23
Tu n’as pas de boule de cristal : on peut imaginer des contrats avec toutes les clauses possible, mais il est impossible de savoir a priori ce que le marché décidera.
Je suis d’accord avec ta dernière phrase. Cela étant, les parties sont libres de décider ces portes de sortie. Ici clairement la porte de sortie a été décidée par le législateur, ce qui est loin d’être idéal pour une des parties. . .
(reply:1867010:patos) « c’est le droit des contrats… »
C’est faux : je signe des dizaines de contrats tous les ans, et jamais je n’ai vu de disposition qui autorise une partie à en changer les termes pour son unique bénéfice sous la contrainte de résiliation et sans pénalités.
Il est tout bonnement incroyable que certains défendent encore l’indéfendable contre leurs eigenvalues : ça en dit long sur le degré d’acceptation du moutontribuable français, toujours consentant pour se faire tondre. . .
(reply:1867053:alex.d.) « tout ce qui n’est pas interdit par la loi est autorisé »
La logique dicte que comme la loi autorise une partie à modifier unilatéralement le contrat avec comme seule porte de sortie la résiliation pour l’autre partie, on en déduit que sans cette loi cette pratique est illégale ceteris paribus. QED
Ton problème est de supposer que sans la loi, les contrats devraient imposer les mêmes dispositions au bénéfice des opérateurs : c’est un raisonnement fallacieux et complètement abusif, mais hélas courant. De plus, pour couronner ton monceau d’absurdité, tu conclues par un argument circulaire : ce n’est prévu au contrat que parce que la loi l’y autorise.
Le
12/04/2021 à
18h
12
Absolument pas. Ton contrat est mensuel, et reconduit tacitement, sans limite de durée. L’opérateur a parfaitement le droit de te proposer un avenant à ton contrat: si tu le refuse, c’est la résiliation (car lui refuse de continuer avec l’ancien contrat).
Je suis d’accord qu’en général on n’est pas content quand ça nous arrive, mais vu les tarifs, une fois de plus, je comprends parfois la méthode. Je ne comprends pas, par contre, SFR, qui a le culot de parfois le faire plusieurs fois par an.
Vous l’avez dit vous-même : la pratique de modification unilatérale est légale seulement parce que la loi l’autorise. Sans cette loi, si le contrat ne spécifie pas les dispositions modifiants ses modalités par les parties, aucune ne peut le modifier. Tout avenant peut se refuser sans conséquence sur la continuation dudit contrat. Cette loi autorise en fait la vente forcée. . .
Seul les contrats où cette clause n’existe pas permettent au consommateur d’exiger de maintenir les conditions initiales.
Ce sont la majorité des contrats : si j’ai un contrat pour vendre selon telles modalités (telle quantité de telle qualité à tel prix à telle échéance par ex. pour un contrat MAT), je n’ai aucune possibilité d’y surseoir sauf à payer des indemnités pour non respect des clauses. Il est impossible pour moi ou l’autre partie de modifier ce contrat sans encourir ces pénalités.
C’est à ça que sert un contrat : ses termes sont certains (comme inscrits dans le marbre) et seule une négociation de gré à gré peut permettre de le modifier.
Ici il n’y a rien de tout cela : un document dont une partie a la possibilité d’imposer la modification substantielles avec pour seul échappatoire à l’autre partie la résiliation n’est pas un contrat mais autre chose.
Le
12/04/2021 à
12h
21
C’est le principe même des contrats: si tu l’acceptes, ne vient pas râler ensuite. Les prix sont tellement bas que même si je n’aime pas la méthode, je la comprends.
Tu peux aussi avoir un contrat avec un engagement qui est réciproque: ton contrat sera stable pendant au moins 2 ans
Tu ne sembles pas comprendre que cette disposition est hors contrat : c’est une faveur législative pour les opérateurs.
Le
12/04/2021 à
10h
55
Je ne vois pas en quel honneur on briderait la liberté de ces entrepreneurs bienfaiteurs de l’humanité. S’ils pensent qu’on a besoin de gigas en plus, ils ont sans doute raison dans leur infinie sagesse. Tu voudrais légiférer ?! Tu es malade ?!
Dans ce cas-ci, délégiférer me semble bien plus approprié
Le
12/04/2021 à
10h
26
ils imposent parfois « un enrichissement » sous la forme de Go supplémentaires (même si vous n’en avez aucunement besoin) et d’une augmentation de la facture
Cette pratique, même si elle est légale, est tout à fait déloyale et défavorable pour le consommateur. Un contrat est un contrat. Permettre de le modifier unilatéralement est un abus quand il n’existe pas de contrepartie équivalente : la simple possibilité de résilier ou de migrer n’est pas à la hauteur.
57 % pensent que les journalistes les induisent en erreur
Pour ceux qui sont intéressés de savoir pourquoi, je conseille la lecture de La langue des médias - Destruction du langage et fabrication du consentement d’Ingrid Riocreux.
Ce livre fournit une grille d’analyse de la langue employée par le Journaliste, puis critique son discours à l’aide de très nombreux exemples.
Il montre que le règne de la pensée dominante n’est pas un hasard (même si les idiots utiles existent toujours) : le Journaliste énonce de l’information, pas des évènements, en modelant la langue d’une certaine façon qui est analysée à plusieurs niveaux (mots, expressions, phrases, etc.).
Ce livre est en fait un manuel pratique pour acquérir des réflexes d’écoute et repérer chez le « marchand de nouvelles » les pièges qu’il nous tend dans son discours orienté et orientant.
La Chine n’attend pas ,elle analyse et prend les bonne décisions avant qu’une personne ou un groupe de personnes prenne le pouvoir dans le pays au lieu du gouvernement légitime. Un exemple à suivre.
La note de l’INSERM indique précisément que l’équation est linéaire avec des termes proportionnel et variables indépendantes et les résultats dans les tableaux confirment que l’équation est linéaire.
Tu n’as pas lu le papier ou, plus probablement pas compris.
Tu fais bien de ricaner bêtement.
Tu es une nullité scientifique.
Le
09/04/2021 à
09h
24
(quote:1866158:Sans intérêt) Il va de soi que je ne suis pas infectiologue
Ne tombe pas dans le piège sophiste des Carbier de ce monde : ton niveau d’étude/diplôme a très peu d’importance, seule la pertinence des arguments doit prévaloir.
Le
09/04/2021 à
09h
04
(reply:1866158:Sans intérêt)
Plus exactement, la transmission par contact indirect sur surface (fomites) semble faible du fait de l’absence de données. On peut raisonnablement supposer que, par exemple, les poignées de porte ou de caddies de supermarché sont des vecteurs efficaces.
La définition de « contact direct » est par le toucher (poignée de main, bisou, etc.). Un éternuement n’a rien de direct puisque la transmission se fait nécessairement par air – on tousse très rarement directement dans la bouche d’une autre personne (enfin chez moi).
Le
09/04/2021 à
08h
51
carbier a dit:
OK. Tu veux que je sois plus mesuré dans mes propos. Allons-y
Ce cher “scientifique” est maitre de conférence en informatique. Ce qui est très bien. De plus je ne doute pas de ses capacité dans ses domaines de compétence. Le problème est que pour moi un scientifique est principalement quelqu’un de neutre et d’objectif qui ne part de la conclusion qu’il veut trouver pour effectuer une démonstration.
D’ailleurs il suffit de voir les publications de ce cher “scientifique” pour voir qu’il nous fait une petite fixette sur StopAntiCovid.
Mais passons.
Quel intérêt/rapport a ce § pseudo sociologique avec l’étude et son analyse à part justifier a posteriori tes débordements coutumiers ? . .
La ou cela se corse c’est que dès le début de sa “démonstration” on s’aperçoit qu’il ne maitrise pas grand chose (notamment concernant les simples hypothèses de départ). Concernant cette fameuse équation linéaire: elle ne l’est pas vu que comme précisé dans le document les variables ne sont pas indépendantes entre elles.
Il est précisé dans l’étude page 3 au sujet de l’équation 2 :
On note que Fw [mesure de l’impact de l’application ou fraction de transmission évitée] est proportionnel au taux d’adoption de l’application StopCovid. Ceci permet de donner une prédiction de ce que serait le rôle de l’application à un niveau d’adoption différent.
Dans le tableau 1, on vérifie cette proportionnalité en faisant les rapports des % entre colonnes ligne par ligne : la progression est bien linéaire avec un coefficient d’environ 0,8.
Plus loin il est dit aussi que :
les valeurs des paramètres sont considérées comme indépendantes, alors que 𝑅t et 𝑖 sont liés
Mais les auteurs ne connaissent pas la relation entre 𝑅t et 𝑖, et donc supposent constante l’une pour calculer l’autre. Le dernier tableau montre que le rapport entre 𝑅F et 𝑖 est aussi constant.
Conclusion : l’équation est bien linéaire.
PS : l’équation 1 n’a d’intérêt que d’introduire l’équation 2, le but de l’étude étant d’estimer l’impact de l’utilisation de l’application, pas de mesurer quoi que ce soit en fonction du temps.
PS2 : ceci ne préjuge en rien de la validité ou non du papier (dont l’intérêt est aussi limité que son objet d’étude), qui n’est qu’une note au demeurant et non un article revu par les pairs et publié dans la littérature… . .
La modélisation d’un système chaotique en passe forcément par des paramétrisations.
Sans rapport : jeter des mots savants à la figure = poudre aux yeux. . .
Parfois ces paramétrisations ne sont valables que dans un domaine de validité qui n’est pas le domaine total (comme ici).
Les auteurs n’ont fait aucun effort pour pour déterminer si un tel domaine existe : on est donc en droit de prolonger la courbe selon des modalités arbitraires.
available epidemiological data and QMRA studies indicate that the risk of SARS-CoV-2 transmission from fomites [= surfaces contaminées] is low—compared with risks from direct contact, droplet transmission or airborne transmission
Le risque de transmission directe de personne à personne (ton « simple contact ») est donc considérée comme non négligeable. C’est bien pour cela qu’on évite de se serrer la main ou de s’embrasser.
En outre il y a une contradiction apparente entre le risque (considéré comme faible) de contamination par les dépôts en surface (les fomites) et les recommandations de désinfection des mains – supposément instaurées pour éviter et ces dépôts et les contaminations directes.
Avec des amis comme ça, le numérique n’a pas besoin d’ennemis.
Voilà la traduction ce que cet escrolo a voulu dire :
« Le numérique doit tenir sa promesse : rendre notre monde meilleur à la Nature et résorber l’Humanité. Cela passe par la sobriété le contrôle de l’abstinence et l’usage raisonné rationné des ressources ».
Confinement et couvre feu climatique, bâillon respiratoire pour tous, carte individuelle de crédit carbone et laisser-passer vert bientôt en vente (et pénurie) dans les magasin d’État d’EURSS.
Que dire de plus, sinon que ce pays possède les incompétents hontectomisés et idiots serviles qu’il mérite.
Toutes les décisions les plus débilissimes et les plus connes pouvant être prises l’ont été. Leur seule « réussite » est d’avoir cramé des myards en pure perte à une vitesse historiquement inégalée.
La fuite en avant dans l’improvisation, le n’importe quoi et le foutage de gueule a été de rigueur et le sera jusqu’au bout.
Un autre comité Théodule dont « l’utilité » n’est que de recentraliser (« coordonner » en novlangue technocratique) d’un coup de baguette étatique le peu de liberté d’action des acteurs sur le terrain que la décentralisation avait réussi à obtenir.
Mais non, dans le plus pur style collectiviste fromager, ce nouveau machin de la technostructure va inonder d’argent des autres pour satisfaire les lubies escrolos du moment et autres concepts creux (mobilité) et viciés (hydrogène) en vogue actuellement.
Attendons-nous donc à des giboulées de myons, ici pour de l’H2, là pour des autolib électriques (oups), histoire de plomber un peu plus des dettes nationales déjà pharaoniques.
Les générations futures hocheront la tête d’incompréhension devant tant d’imbécilité chronique.
Du bon greenwashing. Le nucléaire est notre seule solution pour décarboner massivement notre consommation électrique à long terme.
Notre électricité est déjà décarbonnée à >90 %. La fermeture future de 15 centrales nucléaires va en fait mécaniquement recarbonner l’électricité : en effet l’ADEME indique que le nucléaire émet 6 gCO2/kWh, alors que l’éolien près de 3 fois plus et le solaire près de 10 fois plus. Et ce sans compter les « petits aménagements » de calcul liés aux problèmes bien réels de l’intermittence…
Bref la planète dit merci aux escrolos pour ce futur verdissement.
Le
08/04/2021 à
10h
25
Double LOL pour le train « vert » à hydrogène provenant de méthane !
On voit mal en quoi la libre circulation va pouvoir être encore plus libre qu’elle l’est déjà avec un laisser-passer digne des années 1940.
En réalité ce certificat « provisoire » a tous les attributs d’un test de restriction de circulation en forme d’étoile jaune inversée : si tu n’as pas suivi la charia technocratico-sanitaire qu’on t’a quasi imposée, tu n’auras pas/plus le droit de circuler.
Le plus intéressant dans ces rapports est tout ce qu’ils ne disent et n’expliquent pas : ici, entre autres, la censure institutionnalisée et le biais politico-idéologique. Ce ne sont au final que des exercices de comm aussi attirants que des pourriels dans sa BAL.
La dernière loi sur ce sujet chimérique ayant été un véritable fiasco, pourquoi ne pas en rajouter une couche ?
Déplorable de démagogie et d’escrologie populiste aux relents de malthusianisme obsolète et nuisible visant à reculer l’inexorable naufrage idéologique…
Zont oublié de déployer le pare feu OpenOffice à l’ÉdNat… devraient prendre conseil auprès du sinistère de la Kultur…
Plus sérieusement, tout ce cirque sanitaire n’aura été qu’un méli-mélo d’improvisations abracadabrantesques ratées et de décisions consternantes de débilité.
Heureusement que les élections arrivent pour… ah ben non.
Ça ressemble au saupoudrage habituel de l’argent des autres pour surfer sur la vague technophile du moment. Le résultat de ce qu’il en ressortira est couru d’avance : rien.
Enfin, ce n’est que 120 myons d’enfumage, une goutte d’eau dans le tonneau des Danaïdes de la dette étatique.
On constate une fois de plus l’ignorance économique crasse des mécanismes (pourtant triviaux) du marché.
Cette incompétence populiste (feinte) permet de titiller l’égalitarisme chevillé au corps du quidam moyen et de s’afficher comme un chevalier blanc défenseur du pouvoir d’achat.
Alors que les taxes proposées seront bien évidemment répercutées 1:1 immédiatement vers le-dit quidam.
Les vrais profiteurs de crise ont des visées électorales…
On parle toujours de la consommation énergétique ou des émissions de CO2 des plateformes vidéo, mais on ne compare jamais avec les autres méthodes de consommation de contenus.
Exactement. Pour un individu normal, analyser les situations pour les comparer est la base pour évoluer.
Mais dans tout ce qui concerne l’environnement, cette pratique raisonnable est mise de côté parce que selon les absolutistes vert, toute activité humaine a un impact délétère sur la planète parce qu’il modifie son état antérieur, ce qui est mal de par leur définition fantaisiste que Nature = musée statique.
D’où la logique d’interdiction/réglementation/imposition drastique généralisée dans à peu prèstous les domaines de la vie. L’escrologie est le nouvel antihumanisme sous l’oripeau hypocrite ultime de « sauver la planète » (qui se porte bien, merci pour elle).
En France, pays où l’électricité est quasiment décarbonnée, on a même des abrutis voulant remplacer le nucléaire par des EnR dont le bilan énergétique et environnemental est désastreux.
Heureusement qu’on peut compter sur l’Inde, la Chine et l’Afrique pour continuer à verdir la planète pendant que l’Occident retourne au Moyen Age.
7067 commentaires
Des chercheurs font un pas vers la « production industrielle d’hydrocarbures biosourcés »
13/04/2021
Le 14/04/2021 à 06h 47
Oui ? Rien de plus consistant à écrire ?
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Ah ? Mais tu as déjà conclu plus haut que ce n’était que mes opinions, ce que j’ai confirmé. Note que ton affirmation sous la forme d’une vérité énoncée mais non démontrée que « l’économie n’est pas une science » se pose là…
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Mon raisonnement est qu’il faut choisir des partenaires capables pour argumenter : mon « opinion » et ma « prétention à énoncer la vérité » que l’économie possède bien toutes les caractéristiques d’un domaine pouvant être étudié scientifiquement font que tu t’es automatiquement désigné comme incompétent en la matière, et donc immédiatement exclu d’une possible discussion sur le sujet.
Tu trouvera ici du carbier, de la maladie autosomique récessive, de l’idiotphile accompli, bref du lambda bas de gamme à la douzaine, pour causer d’économie magique, d’économie fiction ou sous tout autre angle qu’il te plaira. Mais pas avec moi. Fin de transmission.
Le 14/04/2021 à 06h 28
Et pourquoi cela ? Cette restriction est complètement abusive : la 2nde loi impose (et encore, pas de manière absolue) seulement que le système soit fermé pour qu’elle soit valide, absolument pas que ses sous-systèmes le soient eux aussi quand ils sont considérés dans leur système global. Révise la Physique.
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« ecognomie » ??? Tu as encore oublié tes cachets ?.
Le 13/04/2021 à 15h 03
Oui, je te confirme que tout ce que je dis ou écris est bien mon opinion, mais ça ne fait pas avancer beaucoup les choses une fois reconnu.
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Tu n’as rien prouvé non plus, et donc à part répéter cette phrase creuse, on n’est pas plus avancé (encore une fois).
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Personne ne l’a prétendu. C’est ton problème si tu ne veux pas reconnaître que l’économie est une science, mais en faisant cela tu n’as plus aucune légitimité à en parler. Ce qui clos ici cette « discussion » qui fait du surplace.
Le 13/04/2021 à 14h 52
Je ne vais pas faire ton boulot de recherche à ta place… mais tu peux commencer par The Ultimate Resource II de J. Simon (ou un résumé vidéo en 1 heure) pour t’instruire correctement sur le sujet.
Le 13/04/2021 à 12h 02
C’est ton opinion, pas partagée par grand monde. Je suis cependant d’accord pour la partie « gaver aux mathématiques », mais l’incohérence en la matière est quand même étonnante quand on sait sur quoi se basent les politiques pour fonder leurs discours et décisions – des modèles socio-économiques quantitatifs.
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C’est bien la peine de reprocher juste avant le recours aux mathématiques… Ce n’est pas une « approximation » de ma part mais une volonté délibérée de ne pas généraliser abusivement. Il existe souvent des exceptions et le futur ou le hasard ne sont pas prévisibles. Tu peux d’ailleurs les retirer si cela te chante, ma phrase reste correcte.
Le 13/04/2021 à 11h 50
Tout dépend de la définition de capital : sous sa forme financière, ce n’est qu’un outil, inutile pour qui n’a pas l’autre capital, le cognitif (note que cela est suffisant pour réfuter le socialisme en 3 secondes chrono).
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Je vois maintenant d’où vient le problème.
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Personne ne fera jamais mieux que l’étude et l’analyse de l’Histoire économique. Tu peux commencer par là.
Le 13/04/2021 à 11h 40
Rends grâce à mes nombreux passages pour dérouiller ces rails…
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Mon Dieu, quel scientisme de quel chiantiste extrêmement confus et superficiellement pédant. Si tu veux un aperçu qu’un système quelconque est globalement positif, mesure/évalue l’entropie de ses sous-ensembles (qui diminue) et compare-la avec celle des autres (qui augmente). Dans tous les cas la 2nde loi est globalement respectée mais ça permet de confirmer pourquoi l’un a été sélectionné (le naturel) et pas l’autre (le constructif).
Le 13/04/2021 à 10h 46
D’où l’intérêt de penser et d’écrire précisément pour éviter de se faire mal comprendre…
Le 13/04/2021 à 10h 42
On dirait le discours tordu et dévoyé des escronomistes effarouchés (ou une appellation dans ce goût-là), mais je n’ai pas de temps à consacrer pour faire ta rééducation dans cette matière.
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C’est de la mathématique élémentaire. Seule une fraction de la monnaie est détruite et seulement pour certaines modalités d’investissements (emprunt par ex.) : le reste (dont l’intérêt) est une pure création de valeur et de richesse. Dans une subvention la perte est presque toujours sèche et la création de valeur presque toujours nulle, presque par définition : la valeur de la monnaie maintenant évaporée est effectivement nulle.
Le 13/04/2021 à 10h 28
« L’addition des actifs (humains) et des ressources déjà présentes » forme nécessairement le système (de création de richesse).
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La découverte du pétrole et le pétrole en eux-mêmes n’ont aucune signification. C’est bien le système (humain et capitaliste de marché) qui a permis (et permet toujours) de le transformer en ressources utiles. Les matières premières ne sont rien sans le cerveau humain et le capital/marché pour y parvenir.
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Ce n’est pas contradictoire, tout en étant fort peu spécifique : généralement aucun système n’est parfait (ni la Nature elle-même en dépit de ses milliards d’années d’existence), pas plus celui que j’ai décrit qu’un autre. Simplement, il l’est relativement plus que les autres, et de très loin.
En fait quand on y réfléchit, la caractéristique la plus intéressante de ce système est d’être sous-optimal.
Le 13/04/2021 à 10h 12
70 $, c’était vrai il y a 7 ou 8 ans. Depuis le point mort (ou breakeven price) pour le pétrole non conventionnel US a bien baissé, tout en variant selon les champs exploités.
Il y a 2 ans, il était d’environ 50 $, 2ème moins cher mondial. Fin 2020, ce coût avait encore baissé à 46 \( en moyenne (36 \) pour le plus bas).
Le moins cher mondial en conventionnel, le Quatar, est à 43 $ cette année.
Le 13/04/2021 à 09h 55
Cette chaîne naturelle d’intermédiaires a collectivement produit, malgré les nombreux handicaps d’idéologies obsolètes perverses mortifères, des société prospères dont certains individus ignares, hypocrites et fils prodigues peuvent se permettent de critiquer sans raison ses succès dont ils ont profités sans reconnaissance aucune.
Une multiplication est toujours réductible à des additions.
Le 13/04/2021 à 09h 47
Tu recommences à faire du charabia sans rapport.
Une subvention n’est pas un investissement, c’est précisément son contraire. Un investissement présuppose une espérance de rentabilité alors que les subventions sont utilisées pour régler une opportunité potentielle de marché erronément confondue en échec.
Tu remarqueras qu’aucune analyse de rentabilité n’est jamais réalisée quand on subventionne : toujours et seulement d’autres considérations sont prises en compte pour en décider. Cela ne veut pas dire que parfois, par un heureux hasard, une subvention n’est pas arbitrairement rentable. Mais c’est l’exception qui confirme la règle.
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Ce n’est donc pas une « mythologie » que les milliers de tonnes de béton et de ferraille du socle des éoliennes vont rester sous terre : c’est bien (parfois) d’admettre tes erreurs et ignorances.
Le 13/04/2021 à 09h 10
Si c’était le cas, le prix à la pompe (par ex.) serait nul. En fait ce sont les escrolos et autres socialauds, qu’on ne peut décemment pas catégoriser comme capitalistes, qui n’arrêtent pas de nous seriner que le vent et le soleil sont gratuits et que sans les entreprises et les marchés, la société serait un paradis dégoulinant de lait et de miel… alors que bien évidemment il n’en est rien et que l’Histoire a démontré le contraire.
Le fait que tout ait un prix indique que tout a un coût et que donc rien n’est gratuit (les marchés existent pour cette raison). Mais ce genre de raisonnement trivial n’est pas à la portée de tous…
En un mot : TINSTAFL.
Le 13/04/2021 à 09h 03
Pour les collectivistes, c’est une croyance ferment enracinée, certes, mais pour le marché, c’est juste une distorsion pour favoriser des perdants au prix de l’appauvrissement généralisé (par définition).
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Ignorance de ta part. C’est inscrit noir sur blanc dans la loi et sur les actes de location de mes terrains. La seule obligation de l’exploitant est de remettre en état le sol superficiellement.
Le 13/04/2021 à 08h 36
Les socles de centaines de tonnes de béton et de ferraille des éoliennes ne sont jamais retirés. Cela de dérange apparemment personne que les fuites et contaminations par métaux lourds et autres saloperies des aquifères dans les décennies qui viennent sont un grave problème de santé publique en devenir.
Le 13/04/2021 à 08h 30
Le coût extraction n’est qu’un élément parmi d’autres, seul le prix total fait référence pour comparer. Si le marché de l’énergie fonctionne principalement aux hydrocarbures, ce n’est pas par hasard.
On peut aussi raisonner en EROEI pour déterminer ce qui est sociétalement durable ou pas.
La biomasse n’est clairement pas l’avenir et, avec les EnRI, ne continuent à exister que par les subventions.
Le 13/04/2021 à 07h 58
Ils disaient déjà cela en 1870…
Le 13/04/2021 à 06h 41
Et maintenant ? Probablement rien du tout.
Aussi intéressant que puisse être le fonctionnement moléculaire d’une enzyme, le passage à l’industrialisation du process sera sans doute fatal pour la bonne et simple raison que le pétrole et le charbon resteront longtemps les batteries solaires les plus répandues, les plus denses, les moins coûteuses, etc.
L’impact de la crise sanitaire sur les télécommunications fixes et mobiles
12/04/2021
Le 13/04/2021 à 11h 10
Ce que l’article impose en « cas de changement unilatéral » est que la résiliation est la SEULE possibilité si l’autre partie n’accepte pas l’avenant. Nul part il est précisé que les contrats devraient ou pourraient contenir d’autres dispositions plus favorables, comme par ex. le maintien tel quel en cas de désaccord, voire des pénalités en cas de rupture par l’opérateur.
Cette législation (de moindre emmerdement pour les opérateurs) est donc une autorisation implicite de rédiger les contrats de telle manière que la résiliation soit la SEULE porte de sortie possible en cas de non-acceptation du projet de modification.
Ce n’est pas le rôle du législateur d’imposer les dispositions des contrats, surtout quand ici elles sont clairement en défaveur des consommateurs.
J’en resterai là pour ma part.
Le 13/04/2021 à 09h 32
C’est bien le problème. La résiliation devrait être exercée de plein droit (du vrai Droit) par les parties selon les dispositions du contrat, alors qu’ici c’est la législation qui dispose et n’est un subterfuge pour forcer à la résiliation une partie par l’autre.
Il est d’ailleurs symptomatique de constater que les avenants vont toujours dans le sens de « l’enrichissement de l’offre », jamais le contraire.
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Il n’y a rien d’équitable à forcer la résiliation d’un contrat modifié unilatéralement. Imagine que ton conjoint fasse un avenant à ton contrat de mariage en enrichissant les conventions pour te forcer à accepter un 3ème partenaire du sexe de son choix sans que tu ne puisses refuser sans annuler ledit mariage…
Juste débile tellement une partie aurait un pouvoir exorbitant et disproportionné, mais c’est pourtant l’actuelle législation.
Pour ma part je considère que toute disposition visant à donner un avantage à une partie contractante devrait être jugée illégale. La Loi devrait rester neutre et seulement garantir les contrats.
Le 13/04/2021 à 08h 47
Évidemment, la loi n’est pas là pour produire du contrat ou de la convention mais de les garantir, et c’est bien là mon point et mon reproche : il est impossible de refuser purement et simplement l’avenant sans rompre ledit contrat, ce qui est antithétique de l’objet même du contrat et donc moralement inacceptable.
Cette loi est juste un cadeau pour les opérateurs (un ex. de crapitalisme de connivence).
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Tu payes 100 % selon ton contrat, qui ne fournit d’ailleurs pas un « service en électricité » (qui concerne EDF/Enedis) mais un service de transport d’informations EM.
Le 13/04/2021 à 08h 16
Un « contrat sans engagement » est une contradiction dans les termes. S’il n’y a pas d’engagement spécifique et spécifié, il n’y a tout simplement pas de contrat. Il peut exister des contrats sans engagement de durée, certes, mais cela change rien à l’exception légale qui nous concerne ici.
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LOL. Avises-toi de ne pas payer selon les termes signés, et tu découvrira combien de temps ton non-respect te permettra de continuer à recevoir ton « service en électricité ».
Le 13/04/2021 à 06h 23
Tu n’as pas de boule de cristal : on peut imaginer des contrats avec toutes les clauses possible, mais il est impossible de savoir a priori ce que le marché décidera.
Je suis d’accord avec ta dernière phrase. Cela étant, les parties sont libres de décider ces portes de sortie. Ici clairement la porte de sortie a été décidée par le législateur, ce qui est loin d’être idéal pour une des parties.
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C’est faux : je signe des dizaines de contrats tous les ans, et jamais je n’ai vu de disposition qui autorise une partie à en changer les termes pour son unique bénéfice sous la contrainte de résiliation et sans pénalités.
L’incompréhension rencontrée par le public, qui remonte sous forme de nombreuses plaintes, est un excellent indicateur que l’esprit du Contrat (au sens moral et juridique du terme) n’est pas respecté ici.
Il est tout bonnement incroyable que certains défendent encore l’indéfendable contre leurs eigenvalues : ça en dit long sur le degré d’acceptation du moutontribuable français, toujours consentant pour se faire tondre.
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La logique dicte que comme la loi autorise une partie à modifier unilatéralement le contrat avec comme seule porte de sortie la résiliation pour l’autre partie, on en déduit que sans cette loi cette pratique est illégale ceteris paribus. QED
Ton problème est de supposer que sans la loi, les contrats devraient imposer les mêmes dispositions au bénéfice des opérateurs : c’est un raisonnement fallacieux et complètement abusif, mais hélas courant. De plus, pour couronner ton monceau d’absurdité, tu conclues par un argument circulaire : ce n’est prévu au contrat que parce que la loi l’y autorise.
Le 12/04/2021 à 18h 12
Vous l’avez dit vous-même : la pratique de modification unilatérale est légale seulement parce que la loi l’autorise. Sans cette loi, si le contrat ne spécifie pas les dispositions modifiants ses modalités par les parties, aucune ne peut le modifier. Tout avenant peut se refuser sans conséquence sur la continuation dudit contrat. Cette loi autorise en fait la vente forcée.
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Ce sont la majorité des contrats : si j’ai un contrat pour vendre selon telles modalités (telle quantité de telle qualité à tel prix à telle échéance par ex. pour un contrat MAT), je n’ai aucune possibilité d’y surseoir sauf à payer des indemnités pour non respect des clauses. Il est impossible pour moi ou l’autre partie de modifier ce contrat sans encourir ces pénalités.
C’est à ça que sert un contrat : ses termes sont certains (comme inscrits dans le marbre) et seule une négociation de gré à gré peut permettre de le modifier.
Ici il n’y a rien de tout cela : un document dont une partie a la possibilité d’imposer la modification substantielles avec pour seul échappatoire à l’autre partie la résiliation n’est pas un contrat mais autre chose.
Le 12/04/2021 à 12h 21
Tu ne sembles pas comprendre que cette disposition est hors contrat : c’est une faveur législative pour les opérateurs.
Le 12/04/2021 à 10h 55
Dans ce cas-ci, délégiférer me semble bien plus approprié
Le 12/04/2021 à 10h 26
Cette pratique, même si elle est légale, est tout à fait déloyale et défavorable pour le consommateur. Un contrat est un contrat. Permettre de le modifier unilatéralement est un abus quand il n’existe pas de contrepartie équivalente : la simple possibilité de résilier ou de migrer n’est pas à la hauteur.
Les Français seraient-ils devenus technophobes ?
12/04/2021
Le 13/04/2021 à 07h 06
Pour ceux qui sont intéressés de savoir pourquoi, je conseille la lecture de La langue des médias - Destruction du langage et fabrication du consentement d’Ingrid Riocreux.
Ce livre fournit une grille d’analyse de la langue employée par le Journaliste, puis critique son discours à l’aide de très nombreux exemples.
Il montre que le règne de la pensée dominante n’est pas un hasard (même si les idiots utiles existent toujours) : le Journaliste énonce de l’information, pas des évènements, en modelant la langue d’une certaine façon qui est analysée à plusieurs niveaux (mots, expressions, phrases, etc.).
Ce livre est en fait un manuel pratique pour acquérir des réflexes d’écoute et repérer chez le « marchand de nouvelles » les pièges qu’il nous tend dans son discours orienté et orientant.
En Chine, Alibaba écope de plus de 2 milliards d’euros d‘amende pour abus de position dominante
12/04/2021
Le 12/04/2021 à 10h 11
L’oxymore « gouvernement légitime » m’a bien fait rire !
Le 12/04/2021 à 08h 56
Le PCC qui condamne pour abus de position dominante est une délicieuse ironie.
Nul doute que M. Ma a échappé aux camps de travaux forcés mais pas a un ressourcement obligatoire…
Exposition aux ondes : l’ANFR rénove sa « maison »
12/04/2021
Le 12/04/2021 à 09h 13
le bateau ne respecte pas la distance de sécurité
les lampadaires sont allumés en plein jour
TousAntiCovid : 4,8 millions d’euros de dépenses de comm’
08/04/2021
Le 10/04/2021 à 06h 39
La note de l’INSERM indique précisément que l’équation est linéaire avec des termes proportionnel et variables indépendantes et les résultats dans les tableaux confirment que l’équation est linéaire.
Tu n’as pas lu le papier ou, plus probablement pas compris.
Tu fais bien de ricaner bêtement.
Tu es une nullité scientifique.
Le 09/04/2021 à 09h 24
Ne tombe pas dans le piège sophiste des Carbier de ce monde : ton niveau d’étude/diplôme a très peu d’importance, seule la pertinence des arguments doit prévaloir.
Le 09/04/2021 à 09h 04
Plus exactement, la transmission par contact indirect sur surface (fomites) semble faible du fait de l’absence de données. On peut raisonnablement supposer que, par exemple, les poignées de porte ou de caddies de supermarché sont des vecteurs efficaces.
La définition de « contact direct » est par le toucher (poignée de main, bisou, etc.). Un éternuement n’a rien de direct puisque la transmission se fait nécessairement par air – on tousse très rarement directement dans la bouche d’une autre personne (enfin chez moi).
Le 09/04/2021 à 08h 51
Quel intérêt/rapport a ce § pseudo sociologique avec l’étude et son analyse à part justifier a posteriori tes débordements coutumiers ?
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Il est précisé dans l’étude page 3 au sujet de l’équation 2 :
Dans le tableau 1, on vérifie cette proportionnalité en faisant les rapports des % entre colonnes ligne par ligne : la progression est bien linéaire avec un coefficient d’environ 0,8.
Plus loin il est dit aussi que :
Mais les auteurs ne connaissent pas la relation entre 𝑅t et 𝑖, et donc supposent constante l’une pour calculer l’autre. Le dernier tableau montre que le rapport entre 𝑅F et 𝑖 est aussi constant.
Conclusion : l’équation est bien linéaire.
PS : l’équation 1 n’a d’intérêt que d’introduire l’équation 2, le but de l’étude étant d’estimer l’impact de l’utilisation de l’application, pas de mesurer quoi que ce soit en fonction du temps.
PS2 : ceci ne préjuge en rien de la validité ou non du papier (dont l’intérêt est aussi limité que son objet d’étude), qui n’est qu’une note au demeurant et non un article revu par les pairs et publié dans la littérature…
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Sans rapport : jeter des mots savants à la figure = poudre aux yeux.
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Les auteurs n’ont fait aucun effort pour pour déterminer si un tel domaine existe : on est donc en droit de prolonger la courbe selon des modalités arbitraires.
Le 08/04/2021 à 10h 00
La CDC indique au 5 avril 2021 que :
Le risque de transmission directe de personne à personne (ton « simple contact ») est donc considérée comme non négligeable. C’est bien pour cela qu’on évite de se serrer la main ou de s’embrasser.
En outre il y a une contradiction apparente entre le risque (considéré comme faible) de contamination par les dépôts en surface (les fomites) et les recommandations de désinfection des mains – supposément instaurées pour éviter et ces dépôts et les contaminations directes.
Les dernières données montrent que ce risque ne devient « mineur» que 3 jours plus tard, ce qui reste relativement long (surtout en mode confinement strict).
Il ne faut pas confondre défaut de documentation et preuve d’absence (de risque).
Pour Eric Piolle, le vote électronique « devrait déjà être envisagé pour assurer la continuité démocratique »
09/04/2021
Le 09/04/2021 à 11h 16
Avec des amis comme ça, le numérique n’a pas besoin d’ennemis.
Voilà la traduction ce que cet escrolo a voulu dire :
Confinement et couvre feu climatique, bâillon respiratoire pour tous, carte individuelle de crédit carbone et laisser-passer vert bientôt en vente (et pénurie) dans les magasin d’État d’EURSS.
Continuité pédagogique : le CNED toujours attaqué, Blanquer accuse maintenant les « tuyaux »
09/04/2021
Le 09/04/2021 à 10h 21
Que dire de plus, sinon que ce pays possède les incompétents hontectomisés et idiots serviles qu’il mérite.
Toutes les décisions les plus débilissimes et les plus connes pouvant être prises l’ont été. Leur seule « réussite » est d’avoir cramé des myards en pure perte à une vitesse historiquement inégalée.
La fuite en avant dans l’improvisation, le n’importe quoi et le foutage de gueule a été de rigueur et le sera jusqu’au bout.
Et voici l’Agence de l’Innovation pour les Transports (AIT)
09/04/2021
Le 09/04/2021 à 09h 50
Un autre comité Théodule dont « l’utilité » n’est que de recentraliser (« coordonner » en novlangue technocratique) d’un coup de baguette étatique le peu de liberté d’action des acteurs sur le terrain que la décentralisation avait réussi à obtenir.
Mais non, dans le plus pur style collectiviste fromager, ce nouveau machin de la technostructure va inonder d’argent des autres pour satisfaire les lubies escrolos du moment et autres concepts creux (mobilité) et viciés (hydrogène) en vogue actuellement.
Attendons-nous donc à des giboulées de myons, ici pour de l’H2, là pour des autolib électriques (oups), histoire de plomber un peu plus des dettes nationales déjà pharaoniques.
Les générations futures hocheront la tête d’incompréhension devant tant d’imbécilité chronique.
L’avis du Conseil d’Etat sur le projet de loi Arcom
08/04/2021
Le 09/04/2021 à 07h 25
Ils avaient aussi promis que la Hadopi allait disparaître : ils ont littéralement tenu parole.
La SNCF passe la « première commande de trains à hydrogène en France »
08/04/2021
Le 08/04/2021 à 13h 23
Notre électricité est déjà décarbonnée à >90 %. La fermeture future de 15 centrales nucléaires va en fait mécaniquement recarbonner l’électricité : en effet l’ADEME indique que le nucléaire émet 6 gCO2/kWh, alors que l’éolien près de 3 fois plus et le solaire près de 10 fois plus. Et ce sans compter les « petits aménagements » de calcul liés aux problèmes bien réels de l’intermittence…
Bref la planète dit merci aux escrolos pour ce futur verdissement.
Le 08/04/2021 à 10h 25
Double LOL pour le train « vert » à hydrogène provenant de méthane !
Et combien de subventions sur ces 190 myons ?
Parce que quand même France Stratégie affirme que l’hydrogène n’est pas une solution, il ne reste plus que la position du « quoi qu’il en coûte avec l’argent des autres » pour expliquer cette lubie invraisemblable.
Certificat vert numérique Covid-19 : le « oui mais » des deux CEPD
08/04/2021
Le 08/04/2021 à 11h 22
On voit mal en quoi la libre circulation va pouvoir être encore plus libre qu’elle l’est déjà avec un laisser-passer digne des années 1940.
En réalité ce certificat « provisoire » a tous les attributs d’un test de restriction de circulation en forme d’étoile jaune inversée : si tu n’as pas suivi la charia technocratico-sanitaire qu’on t’a quasi imposée, tu n’auras pas/plus le droit de circuler.
Twitter publie son Global Impact Report pour montrer ses efforts
08/04/2021
Le 08/04/2021 à 10h 56
Le plus intéressant dans ces rapports est tout ce qu’ils ne disent et n’expliquent pas : ici, entre autres, la censure institutionnalisée et le biais politico-idéologique. Ce ne sont au final que des exercices de comm aussi attirants que des pourriels dans sa BAL.
La France Insoumise veut « passer de la société du jetable à celle du durable »
08/04/2021
Le 08/04/2021 à 09h 13
La dernière loi sur ce sujet chimérique ayant été un véritable fiasco, pourquoi ne pas en rajouter une couche ?
Déplorable de démagogie et d’escrologie populiste aux relents de malthusianisme obsolète et nuisible visant à reculer l’inexorable naufrage idéologique…
Continuité pédagogique : caramba, encore raté !
07/04/2021
Le 07/04/2021 à 16h 04
Zont oublié de déployer le pare feu OpenOffice à l’ÉdNat… devraient prendre conseil auprès du sinistère de la Kultur…
Plus sérieusement, tout ce cirque sanitaire n’aura été qu’un méli-mélo d’improvisations abracadabrantesques ratées et de décisions consternantes de débilité.
Heureusement que les élections arrivent pour… ah ben non.
5G : le gouvernement lance le volet « usages citoyens » de l’appel à projets France Relance
07/04/2021
Le 07/04/2021 à 08h 40
Ça ressemble au saupoudrage habituel de l’argent des autres pour surfer sur la vague technophile du moment. Le résultat de ce qu’il en ressortira est couru d’avance : rien.
Enfin, ce n’est que 120 myons d’enfumage, une goutte d’eau dans le tonneau des Danaïdes de la dette étatique.
La France Insoumise veut taxer « les profiteurs de crise »
07/04/2021
Le 07/04/2021 à 08h 33
On constate une fois de plus l’ignorance économique crasse des mécanismes (pourtant triviaux) du marché.
Cette incompétence populiste (feinte) permet de titiller l’égalitarisme chevillé au corps du quidam moyen et de s’afficher comme un chevalier blanc défenseur du pouvoir d’achat.
Alors que les taxes proposées seront bien évidemment répercutées 1:1 immédiatement vers le-dit quidam.
Les vrais profiteurs de crise ont des visées électorales…
Netflix s’engage « à atteindre l’objectif Net Zéro carbone d’ici la fin de l’année 2022 »
02/04/2021
Le 07/04/2021 à 07h 53
Exactement. Pour un individu normal, analyser les situations pour les comparer est la base pour évoluer.
Mais dans tout ce qui concerne l’environnement, cette pratique raisonnable est mise de côté parce que selon les absolutistes vert, toute activité humaine a un impact délétère sur la planète parce qu’il modifie son état antérieur, ce qui est mal de par leur définition fantaisiste que Nature = musée statique.
D’où la logique d’interdiction/réglementation/imposition drastique généralisée dans à peu prèstous les domaines de la vie. L’escrologie est le nouvel antihumanisme sous l’oripeau hypocrite ultime de « sauver la planète » (qui se porte bien, merci pour elle).
En France, pays où l’électricité est quasiment décarbonnée, on a même des abrutis voulant remplacer le nucléaire par des EnR dont le bilan énergétique et environnemental est désastreux.
Heureusement qu’on peut compter sur l’Inde, la Chine et l’Afrique pour continuer à verdir la planète pendant que l’Occident retourne au Moyen Age.