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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 18/09/2020 à 09h 29

C’est quand même fou d’être autant dans le négationisme et d’utiliser un enchevêtrement de mots (abscons ou sortis de leur contexte), qui donnent un air savant, comme argument d’autorité :mad2:




(reply:1824964:Idiogène)
Merci pour tes interventions qui remettent @tmtisfree à sa place. De pures bouffées d’air frais :chinois:


Difficile de répondre vu que tu n’es pas très spécifique. Si un point particulier t’a interpellé, n’hésite pas. Quant à « l’argument d’autorité », il est plutôt étrange dans le contexte. Souffrirais-tu d’un complexe d’infériorité sous-jacent non-diagnostiqué ?

Le 18/09/2020 à 09h 23

L’évaluation de l’action ne peut être déterminée que par l’analyse de ses conséquences. Comme il a été affirmé qu’elles sont nulles, le qualificatif de l’effet ne peut logiquement pas être choisi comme « positif ».



Mentir et exagérer est une seconde nature chez les politiques.

Le 18/09/2020 à 09h 13


(reply:1824964:Idiogène)


Je suis sûre que tu vas te faire un plaisir.

Le 18/09/2020 à 09h 13


(reply:1824962:Idiogène)


Ce ne sont pas des « modélisations » mais des images satellite comme dit dans l’article et mentionné dans les images d’ailleurs…

Le 17/09/2020 à 20h 43


« la crise sanitaire liée au virus SARS-Cov-2 qui “a mis en lumière la fragilité de notre planète, que nous constatons chaque jour avec la fonte des glaciers, les incendies de forêts et, aujourd’hui, une pandémie mondiale” »


On commence par une juxtaposition de faits sans rapport les uns aux autres pour justifier de dépenser l’argent des autres par des endimanchés non-élus. Un classique de l’entourloupe politique.
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« a révélé une chute significative de la pollution au dioxyde d’azote, qui coïncide »


C’est exactement cela, une coïncidence : en Allemagne, entre autres, le confinement a augmenté les niveaux :
avant - après



Comme l’a dit le secrétaire d’état auprès du ministère des transports en Allemagne :
“In my view, the issue of diesel driving bans is now finally off the table. Why the nitrogen oxide values ​​do not decrease despite the rapid decline in traffic raises questions that the responsible environmental authorities have to clarify.”
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« Ces particules sont émises directement par le trafic routier »


qui en est le plus petit contributeur, donc pourquoi le mentionner en premier ? À part comme traditionnelle vache à lait, je veux dire.
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« le confinement a eu un effet positif avec une baisse de 30 % des émissions de CO₂ »


Assertion trompeuse (et fausse, cf point suivant) : « le confinement a eu comme possible effet une baisse estimée par modélisation de 30 % des émissions de CO₂ ». Oui, parce qu’étrangement la [CO₂]atm n’est pas mesurée localement mais estimée selon des modélisations complexes, avec des paramétrages laissés au choix des modeleurs. Il faut avoir confiance quand on connaît ces mêmes pratiques tordues en modélisation climatique.
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« pas suffisamment pour avoir une incidence globale sur le réchauffement climatique »


Donc l’effet supposé du confinement sur les [CO2] estimées par calcul a été nul et non « positif » au final.
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« faire de l’Europe le premier continent climatiquement neutre d’ici à 2050 »


Quand on essaie de régler un non problème avec des pseudo solutions, le résultat est un flop économique et social (mais jamais politique, surtout pour des parasites non-élus) magistral. Le but ici est de faire des eurosoviets le premier continent économiquement pauvre d’ici à 2050.
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« le monde pourra maintenir le réchauffement climatique en dessous de 1,5 degré Celsius »


Pure propagande.




« compenser leur empreinte carbone depuis la création de la société. C’est notamment le cas d’Apple, de Facebook, de Google et de Microsoft. »


Greenwashing.
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Bien sûr, le financement de toutes ces folles dépenses n’est jamais présenté car au final, il va de soi et tout le monde le sait bien, c’est VOUS les cochons de travailleurs qui allez payer avec en retour…, et bien rien du tout : vous serez juste (un peu/beaucoup/plus) pauvres ou plus certainement morts affamés dans des camps de réfugiés économiques. Le futur vert a des relents de brun à vomir.

Le 18/09/2020 à 09h 09


(reply:1824949:Idiogène)


Merci pour cet amusant charabia.

Le 18/09/2020 à 09h 08

Parce que le sujet m’intéresse.



Je sors de 3 mois de vacances.

Le 17/09/2020 à 19h 47


(reply:1824939:Idiogène)


« Tu n’as pas lu la phrase en notant “données” » : impossible. Si je n’avais pas lu la phrase, je n’aurais pas pu noter le mot. 0/20 pour ta absence de logique élémentaire.



« un cours de Feynman qui n’a aucun rapport avec l’épistémologie » : si décrire et discuter la méthode scientifique comme méthode d’acquisition de la connaissance n’est pas de l’épistémologie, alors tu ne sait pas ce que ce mot signifie. 0/20 pour ta négligence/ignorance exposée en public.



Le reste HS justifierait une note négative mais l’infini n’est pas assez vaste de ce côté-là.

Le 17/09/2020 à 18h 47


(reply:1824928:Idiogène)



Ces données pourraient ainsi aider à prendre des décisions sur la base de faits scientifiques.


L’oxymore fait clairement référence (« sur la base ») au sujet. On apprend à reconnaître ce motif dans les petites classes… 0/20 pour ton intervention ridicule (mais habituelle).

Le 17/09/2020 à 16h 45

Ah ! Encore une pseudo news de propagande politico-escrologique n’ayant rien à voir avec l’objectif rédactionnel du site. L’intelligence du lectorat est mise à rude épreuve…



« faits scientifiques » : cet oxymore issu de la sociologie postmoderne n’existe pas, n’a jamais existé et n’existera jamais.



Ce qui existe et qu’on utilise, ce sont des faits empiriques (comme des observations ou des expériences) qui corroborent, ou pas, une hypothèse, théorie, loi, etc. qu’on qualifiera de scientifique ou non-scientifique, respectivement. Le tout forme la méthode scientifique :
youtube.com YouTube



Le rédacteur, probablement un amateur/stagiaire ferait bien de prendre quelques leçons accélérées d’épistémologie avant d’écrire publiquement de telle ineptie.

Le 18/09/2020 à 09h 01


Rozgann a dit:


Absolument pas. Je maintiens que je n’ai pas les compétences suffisantes pour comprendre dans le détail le fonctionnement des modèles climatiques, et que je ne peux pas juger par moi-même si le raisonnement qui a permis de mener aux conclusions du GIEC est scientifiquement fondé ou non. Ca n’empêche pas que je peux croire que ces conclusions sont justes, j’ai suffisamment confiance dans ceux qui ont fait ces travaux de recherche.


Comme tu admets être incompétent pour juger leur travail, la seule position honnête devrait être d’être aussi incompétent pour déterminer si leur conclusion tient la route. Toute autre position relève de la foi aveugle (et irresponsable).
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Les nouvelles informations en question, c’est les suivantes :


Ce ne sont pas des informations mais des opinions reprises à ton compte. Je note cependant le 4ème sophisme dont l’utilisation intensive commence à fort ressembler à de la malhonnêteté intellectuelle (argumentum ad hominem/ad personam) : que les auteurs fassent partie de ceci ou cela n’a aucune conséquence/rapport sur/avec la validité de leurs arguments.



Comme par fainéantise volontaire tu ne peux pas évaluer leur pertinence, tu en es réduit à s’attaquer à leur personne en reprenant les opinions d’autres. Comportement déplorable.
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En face, j’ai les informations suivantes :


Si j’étais toi, je te répondrais que ces personnes sont payées et choisies par les (administrations des) gouvernements pour appliquer leur consigne/politique dans un organisme lui aussi gouvernemental, et possiblement pas en fonction de leur compétence (mais on ne le saura pas puisque ces décisions sont arbitraires et non-justifiées puisque non-divulguées) : ils sont donc en conflits d’intérêts… cela ne dérange personne.



De plus, toute la procédure de rédaction/discussion des rapports intermédiaires est sous NDA, ce qui laisse toute marge de manœuvre aux lead auteurs pour imposer leur vision. Le travail est enfin « édité » par le secrétariat non-scientifique du GIEC sans que les auteurs puissent en redire.



Sans oublier que le contenu du résumé pour les décideurs politiques (RDP, celui que tout le monde lit) est négocié par des représentants (non-scientifiques) des gouvernements réunis en conclave, et le texte du rapport définitif est finalement encore édité a posteriori pour le faire correspondre au RDP juste approuvé.



Mais je ne suis pas toi et j’ai pris le temps d’étudier et de lire leurs travaux (le rapport du WG1 en particulier, celui qui parle de physique) et je pratique une veille sur le sujet depuis 2006, après avoir vu et été convaincu par le documentaire d’Al Gore que le sujet était suffisamment complexe pour m’intéresser soit dit en passant.
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  • 97% des climatologues sont d’accord avec le GIEC (il y a donc 3% qui ne sont pas d’accord, parmi lesquels sont probablement les auteurs que tu cites).

  • Les dirigeants de 196 pays ont signés un accord international qui se base sur les conclusions du GIEC

  • De très nombreuses académies des sciences de par le monde sont d’accord avec le GIEC. Aucune ne s’est déclarée opposée aux conclusions du GIEC.


En anglais il existe un terme consacré pour décrire ce genre de pratiques politiques anti-démocratiques scandaleuses dont la l’Europe se sert aussi abondamment avec les ONG de lobbyistes escrolos pour faire passer ses décisions iniques : sock-puppet (qu’on peut traduire par marionnette).



En quelques mots, cela consiste à appointer (et payer par millions dans ce cas) des ONG pro-EU s’étant publiquement déclarées positivement sur un quelconque sujet. La commission se sert ensuite de leurs rapports orientés comme justification à ses décisions préconçues sous le couvert de science citoyenne, consultation démocratique, ou autres escroqueries sémantiques.



Le GIEC, c’est la même chose mais à grande échelle et avec un vernis sociologique de respectabilité (la « Science » a parlé, le « consensus » est irréfutable, etc.).



Tout cela pour dire que rien dans tes informations ne permet de décider sur des bases logiques et rationnelles quelle position adopter sur ce sujet. Tu en es réduit à adopter le vernis.



Une position plus cohérente est :
1/ de ne pas avoir d’opinion sur un sujet sur lequel on se déclare soi-même incompétent et
2/ de résister à la tentation d’en discuter sans argument à présenter.
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Ces nouvelles informations justifient-elles que je passe la majeure partie de mon temps libre pour les prochains mois à me former pour acquérir les compétences nécessaires pour analyser et me faire un avis par moi-même ? Non ! Et je pense que mon raisonnement est tout à fait sensé !


L’auto-persuasion est une technique qui fonctionne toujours pour justifier ses limites/errements.
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Je te l’ai dit, ce n’est pas moi que tu dois convaincre, ce sont les gens compétents pour discuter avec toi.


Bien qu’incompétent tu n’as pas résisté à la tentation d’embrayer sur un sujet par définition technique. Encore une contradiction.



Pour ma part j’estime que les individus doivent prendre leur responsabilité en faisant l’effort de rechercher par et pour eux-mêmes : donc contrairement à ce que tu croies, je n’ai personne à convaincre (à part moi-même).
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Si le futur rapport AR6 du GIEC est plus nuancé,


Il leur est impossible de reculer maintenant, pour diverses raisons (stratégie, polarisation, effet groupe, prestige, etc.). Leur seul échappatoire pour rester en place après 40 ans de stagnation (la sensibilité climatique du dernier rapport du GIEC est la même que celle du rapport Charney de 1979) est la stratégie du pire.



Donc les nouvelles versions de modèles (CMIP6) sont encore plus incohérentes avec la réalité :
https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1029/2020EA001281
https://iopscience.iop.org/article/10.10881748-9326/ab9af7/pdf
https://www.nature.com/articles/s41558-020-0764-6
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si de futures méta-analyses montrent que le consensus scientifique est moins clair, alors peut-être que j’investirai le temps nécessaire. Mais dans l’état actuel des choses, je ne vois strictement aucune raison qui puisse remettre en cause la confiance que j’ai dans les conclusions du GIEC.


Blabla sociologique insipide et futile pour justifier ses propres limites.

Le 17/09/2020 à 21h 14


Rozgann a dit:


Un bon moyen d’en juger serait de savoir si d’autres personnes compétentes reconnaissent ta compétence,


Il faudrait aussi trouver d’autres individus assez compétents pour juger si ces personnes le sont suffisamment elles-mêmes pour juger, et ainsi de suite récursivement ad infinitum. Le plus simple est de discuter d’arguments… mais tu n’es pas compétent.
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Je n’exige rien de ta part, et je ne te demande pas de démontrer quoi que ce soit. Tu fais des affirmations dans les commentaires de cette news, je mets en perspective le fait que ces affirmations ne sont pas considérées correctes par une écrasante majorité des gens qui ont une expertise suffisante pour pouvoir en juger (97% des experts de la climatologie confirment l’analyse du GIEC sur la responsabilité très majoritairement humaine du changement climatique actuel). A chacun de se faire son opinion sur cette base.


La Science se moque des considérations, majorité fumeuse, consensus de façade ou autre artifice politico-sociologique. Elle ne s’intéresse qu’à une question : est-ce vrai ? Le reste a zéro importance.
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La vie est une question de priorités, et elles sont subjectives. Personnellement, j’ai suffisamment d’éléments pour me permettre d’avoir une confiance assez élevée dans le fait que les conclusions


Affirmation qui est contredite par ton jugement antérieur comme quoi tu n’as pas les compétences pour en juger. Mais tu n’es pas à une contradiction près.
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Par contre, je trouve que le ton que tu emploies ici est plein de dédain et de sentiment de supériorité, et c’est assez désagréable…


C’est ton interprétation du décorum. Moi je trouve que tu fais trop de pâtés indigestes qui sont assez désagréables à lire… Quant à ton ton, je ne sais.
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Personnellement, conformément à la pensée bayesienne, j’ai des opinions sur tous les sujets,


Pour ma part je ne me restreint pas à une pensée en particulier : je l’adapte à la situation.
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et je suis prêt à les faire évoluer en fonction de toute nouvelle information qui me parvient.


Tu vas donc faire bon usage des informations présentées dans mon commentaire plus haut et dont tu n’étais pas au courant pour cause de « consensusite » (<- attention néologisme) aiguë. Quand tu auras acquis des compétences bien sûr, mais il faut bien commencer quelque part.
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Certaines de ces opinions sont suffisamment solides pour que je les défende, mais je préfère garder la très grande majorité de ces opinions pour moi. Et je conçois également qu’une autre personne, confrontée aux exactes mêmes informations que moi, puisse avoir une opinion différente, parce qu’elle a une subjectivité différente. Nous avons des conceptions très différentes de ce qu’est la connaissance on dirait.


Amen.

Le 17/09/2020 à 18h 39

Acquérir une expertise suffisante sur un sujet aussi complexe que la modélisation du système climatique mondial, être en mesure de juger de la pertinence de critiques contre ces modèles et en faire soi-même, ça demande bien plus de temps que je ne suis en capacité d’y consacrer. Et je ne parle pas de quelques heures de lecture sur des sites internet, je parle de plusieurs années de formation et de travail à temps plein. Comme je te l’ai dit dès le départ, je ne débattrais donc pas avec toi de sujets techniques, puisque je pense que ni toi ni moi n’avons les compétences pour en débattre.



Mais si je me trompe à ton sujet, et que tu t’estimes compétent, ce n’est pas moi qu’il faut convaincre, mais tes pairs (les spécialistes de la climatologie) ! Pour cela, je t’invite à soumettre des articles dans des journaux scientifiques de référence. Une étude qui démontre clairement que les modèles du GIEC sont incorrects est susceptible d’avoir tellement d’implications que ce serait un événement majeur. Tous les journaux les plus prestigieux se battraient pour pouvoir publier ça ! Tu aurais droit à ton moment de gloire dans Nature, à n’en pas douter.



En attendant que ça arrive, et faute d’expertise sur le sujet, je fais confiance aux personnes que j’estime être les plus compétentes sur le sujet. Et c’est la méthode que j’applique pour tous les sujets pour lesquels je considère ne pas pouvoir acquérir des compétences suffisantes pour en avoir une compréhension poussée : je fais confiance à quelqu’un qui a ces compétences. Si je suis malade, je vais voir un médecin, et je lui fais confiance sur le fait que le traitement qu’il va me prescrire sera adapté à mon problème. Parce que je n’ai pas les compétences pour en juger moi-même. Et dans le cas où il y a plusieurs avis divergents, il n’y a pas de manière rationnelle de trancher : j’adopte l’opinion de celui qui me semble le plus compétent (mais c’est une décision subjective vu que je ne peux pas juger de la compétence de quelqu’un sur un sujet que je ne maîtrise pas). Et je suis certain que tu fais la même chose pour la majorité de tes opinions, parce que c’est mécaniquement impossible de se faire un avis éclairé sur tous les sujets : tu es un croyant tout comme moi, et comme nous tous !

Tu commences par un 3ème sophisme (fausse dichotomie) : il existe tout une gamme de possibilités entre l’ignorance totale et l’expertise pure. Ceci dit, j’accepte ta reddition sur ce sujet technique sur lequel, n’en déplaise, je suis compétente. Mais comme tu admets que tu ne l’es pas, tu ne peux pas en juger.



Si tu as choisi de rester ignorant, c’est ton choix. Mais n’exige pas des autres de faire ton travail de recherche. (Note : je n’ai nul besoin de démontrer que les modèles du GIEC sont déficients, d’autres l’ont déjà fait, voir les liens de mon commentaire précédent par ex..)



Ce n’est pas un problème de compétence en fait, mais de complaisance. La compétence, elle s’acquiert mais cela demande des efforts. Si on te diagnostiquait un cancer, tu ferais ces efforts, tu demanderais plusieurs avis pour bien t’en assurer, tu prendrais le temps de t’informer à diverses sources, etc.. Tu referais même les tests parce que les faux positifs, c’est banal. Bref, tu ferais tout ton possible pour savoir si en définitive, on ne s’est pas trompé. Sur tous les sujets, et en particulier polémiques ou controversés, c’est la même chose : on ne se fie pas à un seul avis et on fait un effort de recherche pour voir si, peut-être, les avis qui divergent (il y en a toujours) ont une bonne raison d’exister. Mais on peut aussi rester la tête dans le sable, comme beaucoup : pas d’effort à fournir, pas de dissonance cognitive dans les schémas internes, pas de divergence avec le groupe, bref on reste dans sa zone de confort idéationnel et psychologique habituel. C’est la solution de facilité. La solution du pauvre, celle du moins-sachant. Celui qui paye à la fin. (En passant, merci de contribuer à mes rentes éoliennes…)



Concernant ta dernière phrase : je n’ai pas d’opinion sur ce que je ne connais pas. Quand un sujet m’intéresse (excessivement rare), j’épluche la littérature, j’y passe le temps nécessaire et si au bout d’un certain temps (généralement quelques années) j’estime que j’en sais assez ou que j’en ai fais le tour, je m’exprime. Bref je me bâtis ma propre expertise et compétence. Une démarche qui est l’exact opposé de la définition du mot « croyant ».

Le 17/09/2020 à 12h 55


Rozgann a dit:


C’est une compréhension très simpliste de la théorie néoclassique, qui est elle-même une simplification de la réalité :




  • La théorie


Tu ergotes sur de la théorie HS alors que je parle de pratique : un entrepreneur doit vendre ses biens/services s’il veut que son entreprise survive, et la seule manière d’y parvenir dans un marché concurrentiel est de maîtriser les coûts. C’est le b-a-ba en gestion.
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C’est toi qui accuse le GIEC (avec lequel sont d’accord 97% des scientifiques dont le domaine de recherche est la climatologie, je le rappelle) de faire leurs conclusions sur la base de leurs idées politiques


J’ai seulement écrit que le GIEC était un organisme politique comme l’indique son nom d’ailleurs. Appel au consensus = argument d’autorité fallacieux utilisé pour éviter le débat. Que ces scientifiques soient tous d’accord ne prouvent en rien que leur théorie soit valide : la Science est un système méritocratique, pas démocratique.
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Une théorie est supposée vraie jusqu’à ce qu’elle soit démontrée fausse, c’est comme ça que fonctionne la science.


La supposition qu’elle soit vraie n’est d’aucune aide pour savoir si elle l’est vraiment. D’autant plus que dans notre cas, les modèles du GIEC, qui ne représentent pas l’atmosphère sinon un seul suffirait, ne sont d’aucune utilité pour la crédibiliser puisque ce ne sont que de simples réplicas de cette même théorie.



La seul manière d’opérer est de tester les prédictions de la théorie et des modèles de la théorie :





Du fait de leur large incertitude intrinsèque, les modèles n’ont aucune valeur prédictive (le papier).



Pour terminer, les modèles implémentent un globe avec une surface plate (!), conduisant à une erreur similaire au forçage qu’ils répliquent.
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Aucune étude reproductible qui ne contient pas d’erreur n’a permis de remettre en cause les conclusions du GIEC à ce jour.


Un peu comme le dogme de l’infaillibilité papale :mdr: Une seule suffit à réfuter ton affirmation grotesque :
https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1029/2018EA000401
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Les conclusions du rapport que tu cites sont basés sur des analyses erronées et partielles des données qu’ils utilisent : https://debunkingdenialism.com/2013/10/31/nipcc-and-climate-change-denialism/


Tu as lu ton lien ? Le premier point soit-disant réfuté (“Carbon dioxide is not saturated”) n’est même pas abordé dans le rapport du NIPCC. C’est donc un homme de paille, un 2nd argument sophistique…
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Et depuis 2012, on a 7 ans d’observations supplémentaires, qui confirment la validité des modèles du GIEC.


LOL ! seulement si on omet le « léger » désaccord d’un facteur 3-4 entre la sensibilité climatique observée et celle calculée par les modèles du GIEC : Sensibilité empirique et sensibilité calculée selon GIEC, 2019
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Bizarrement, le think tank à l’origine du rapport que tu cites n’a pas mis à jour ses figures…


Pas plus que le GIEC depuis 2015. Les nouvelles données ne justifient pas de modifier les conclusions.



Pour conclure, maintenant tu as le choix : soit tu fais ton travail de recherche, soit tu continues à faire le croyant.

Le 15/09/2020 à 10h 31

Surtout que l’EPA US a réalisé des tests de respiration de fumées de diesel (entre autres) en réel :
https://junkscience.com/wp-content/uploads/2018/01/EPA-diesel-truck.jpg
https://epahumantesting.com/



La réanalyse des données obtenues (mais cachées pendant des années par l’EPA) ne montre aucune association entre PM2.5 et mortalité :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5407529/pdf/10.1177_1559325817693345.pdf
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5813861/pdf/10.1177_1559325817749414.pdf



Il ne faut donc pas s’étonner que les pratiques trompeuses de l’EPA US ont fait l’objet d’une sévère rectification par l’administration Trump :
https://www.insidesources.com/epas-science-blowout/

Le 15/09/2020 à 10h 06


(reply:1824271:Idiogène)


Merci d’étaler ton ignorance crasse par ce « commentaire » débile idiot et sans rapport mais cohérent avec ton pseudo.



(On expire du CO2 à ~4 % alors que la [CO2]atm n’est que de ~0,04 % soit un facteur 100 de différence.)

Le 14/09/2020 à 22h 22


Rozgann a dit:


Ton raisonnement est réducteur. Les raisons aux délocalisations peuvent être multiples : coûts sociaux, infrastructures dont dispose un pays, etc… La réglementation environnementale n’est qu’un critère parmi d’autres. Je suis curieux de savoir l’importance relative de ces différents facteurs.


Certes, mais je réduis parce que tous ces facteurs, dont ironiquement aussi ceux que tu cites, se réduisent d’eux-mêmes aux coûts de production qui est la seule métrique pertinente opérationnelle de l’entrepreneur pour décider de produire (oui ou non, ici ou là, etc.).
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Ce que tu présentes comme des “lois économiques” ne sont qu’une théorie parmi bien d’autres. Elles reposent sur des hypothèses qui sont loin de faire l’unanimité, et en tout cas le consensus scientifique sur ces théories est bien plus faible que celui sur le changement climatique (qui, au passage, va bien au-delà du simple GIEC : https://en.wikipedia.org/wiki/Scientific_consensus_on_climate_change ).


Par définition, car les mots ont leur importance (n’en déplaise), une Loi n’est pas une théorie : elle a passé avec succès ce cap et s’inscrit dans la durée. Que toi ou une unanimité ne soit pas convaincu par cette Loi ne signifie en rien qu’elle soit fausse : sa validité ne dépend pas des personnes mais de sa conformité à l’expérience, à la Nature, etc.



Merci aussi de se restreindre à politiser et donc dévoyer encore plus la Science : « consensus » est un concept utilisé (en politique) quand les arguments font défaut. Ainsi plus besoin d’argumenter quand on pose a priori que tout le monde est d’accord. Le « consensus » fut pendant longtemps que la Terre était plate… parmi des dizaines d’autres « consensus » erronés. Non, tout le monde est loin d’être d’accord et cela fait quarante ans que cela dure.





En science, l’autorité d’un millier ne vaut pas l’humble raisonnement d’un seul.
— Galilée


Rozgann a dit:


On ne manque pas d’exemples de pays qui ont mis en place des réglementations environnementales depuis au moins les années 1970. On a même des pays qui ont assoupli les leurs (comme les Etats-Unis avec Trump). Si ton raisonnement est juste, tu n’auras donc aucun mal à trouver des études statistiques qui montrent au moins des corrélations, entre une variation de l’activité industrielle d’un pays et les modifications de réglementation environnementales. On devrait même pouvoir montrer que les pays avec la réglementation environnementale la plus souple sont ceux qui sont les plus attractifs aux investissements industriels étrangers.


Le raisonnement est que des coûts de production plus élevés incitent à délocaliser et j’ai donné l’exemple de la Chine (normes et donc coûts environnementaux ~inexistants). Je ne vois pas l’intérêt d’épiloguer plus sur cette banale réalité.
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Je n’ai que faire de raisonnements basés sur du vent ! J’attends des preuves solides ! ;)


Alors cherche ailleurs que chez le GIEC et ses modèles :
https://www.heartland.org/_template-assets/documents/publications/10-17-2013_ccr-ii_entire_book.pdf

Le 14/09/2020 à 19h 48


v1nce a dit:


Ca ne sert strictement à rien si dans le même temps on continue à autoriser l’import de produits super carbonés. Il faut prendre les choses dans l’ordre : on taxe D’ABORD les produits qui arrivent en Europe avant de reverdir notre industrie. Et même, soyons fous, on la reverdit avec la taxe. Soit les pays tiers s’alignent sur nous pour éviter de payer la taxe et là on a un effet positif sur le CO2 à l’étranger. Soit ils ne s’alignent pas et l’industrie locale redevient compétitive (parce que moins taxée) et donc on réduit le CO2 chez nous (tout en conservant les emplois).


Sauf que cette solution simpliste (taxation) est la recette ancestrale qui a toujours conduit à l’appauvrissement ou à l’absence prospérité : si les négociations commerciales réduisent les barrières douanières, ce n’est pas par un hasard. Cela dérive aussi bien de la théorie économique que de l’observation historique (et banale) que le marché et la libre circulation des biens sont un prérequis pour l’obtenir. Et qui dit prospérité dit temps et argent pour s’occuper de l’environnement.
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Mais on peut aussi faire un enième plan de relance qui handicape notre industrie et notre agriculture tout en laissant libre accès à notre marché. Ca on sait faire.


On se demande d’ailleurs pourquoi on « relance » avec l’argent gratuit des autres alors qu’on n’arrête pas de se plaindre de leur supposée surconsommation… Avec quoi vont-il payer les nouvelles productions subventionnées par leur propre argent ?



Mystère. La cohérence n’a jamais été le point fort des décideurs politiques quand le cochon consommateur surtaxé est aussi un futur électeur.

Le 14/09/2020 à 19h 34


Rozgann a dit:


Tu as une source sur ça ? Primaire ou secondaire citant ses sources, je suis pas difficile ! Le rapport que j’ai cité mentionne justement que :


Ce n’est qu’une triviale conséquence de Lois économiques : renchérit le coût de production (ou interdit-la à la manière escrolo) et la production ira ailleurs une fois dépassé un certain seuil impossible à déterminer a priori (trop de variables et d’inconnues). La Chine est un bon ex. de pays qui su tirer profit de nos politiques vertes suicidaires avec évidemment des conséquences négatives sur leur environnement bien plus graves que si la production était restée locale.
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Une augmentation du prix du carbone à des niveaux ne dépassant pas 100€/tCO2 n’aurait pas d’effet moyen très sensible sur la compétitivité industrielle. Toutefois, elle induirait des réallocations significatives de l’emploi à l’intérieur des entreprises et des secteurs industriels.


La solution politique à tout problème réel ou supposé est une taxe pigouvienne. :roll: Jamais entendu parler du théorème de Coase (un des concepts majeurs de la science économique actuelle) ?



À peu près toutes les études qui cherchent à déterminer le coût social du carbone oublient d’analyser ses énormes bénéfices soci(ét)aux pour établir la balance : qui cherche-t-on à tromper ? Pourquoi 100 € et pas 99 ? Les modèles sur lesquels sont basées ces estimations partent de suppositions si extravagantes et de paramétrages si éloignés de la réalité que leur intérêt en tant qu’outils prescriptif est nul, c’est dire leur utilité.



Et pourquoi une taxe sur des produits déjà fortement taxés ? L’État n’a qu’à montrer l’exemple et renommer toutes les taxes existantes en une seule taxe carbone et en réallouant les produits aux acteurs sur le terrain qui s’occupent réellement de l’environnement. On peut toujours rêver…
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Je ne vois pas l’intérêt de discuter de propositions concrètes pour préserver l’industrie tout en mettant en place une politique de réduction des émissions de GES, si on est pas déjà d’accord sur la réalité du problème de base (la responsabilité très majoritairement humaine du changement climatique et le fait qu’il est tout à fait possible de l’atténuer si on diminue nos émissions de GES) et sur son importance (les conséquences du changement climatique sur les sociétés humaines et la biodiversité si on continue d’exploiter les énergies fossiles au même rythme qu’aujourd’hui). Et je n’ai clairement pas envie d’avoir ces débats là avec toi, il y a bien assez de contenus pédagogiques et sourcés si tu te donnais la peine de les lire.


Une simple attribution de responsabilité n’est pas une preuve tant qu’on n’a pas démontré que la variabilité naturelle n’était pas capable d’induire elle-même ces changements, une explication qui n’est (fort opportunément) pas dans les objectifs officiels du GIEC (le I de GIEC est pour intergouvernemental, c’est à dire politique…) de démontrer :
youtube.com YouTube



Je n’ai que faire de « contenus » à la fiabilité douteuse/inconnue.

Le 14/09/2020 à 17h 27

Mon commentaire vise simplement à souligner qu’il fait un raccourci qui n’a pas de sens. Si l’influence d’une politique d’atténuation des émissions de GES ambitieuse sur l’industrie d’intéresse, tu peux lire ce rapport qui discute plusieurs solutions possibles (la synthèse de 5 pages est facile à lire) : https://www.la-fabrique.fr/fr/publication/quand-le-carbone-coutera-cher/



Je t’accorde que “nuire au climat” est un raccourci de langage. Pour le reste, je te conseille la lecture du livre “Le climat en 100 questions”, de Sylvestre Huet et Gilles Ramstein, qui répondra de manière sourcée à tes interrogations bien mieux que je ne pourrais le faire. Un excellent livre pour les toilettes, une question par jour ! Si tu préfères les vidéos, je peux te conseiller la chaîne du Réveilleur sur Youtube, qui traite aussi ces questions avec des sources très détaillées aussi : youtube.com YouTube

Au contraire, son commentaire est très clairvoyant : il ne fait que rappeler le passé. La « politique » verte actuelle a, et continuera d’avoir, pour seule conséquence le transfert des industries et services ailleurs, comme dans les décennies précédentes, avec toutes les pertes associées et leur financement qui suivra (lire taxation, qui est l’objectif ultime pour mitiger les dettes, ne nous voilons pas la face).



La politique basée sur du vent ne m’intéresse pas.



Mes informations proviennent de diverses sources primaires (lire scientifiques), aussi je ne vois pas l’intérêt de s’intoxiquer avec des infos de 2nde zone ou 3ème main.

Le 14/09/2020 à 12h 59


Rozgann a dit:


Ce sont 2 sujets très différents : on peut très bien mettre en place des mécanismes pour préserver l’industrie tout en atteignant les objectifs climatiques qu’on s’est fixés. Ca se fera certainement pas sans douleur, mais c’est un choix politique de savoir qui assumera la charge de ces changements.


Tu n’es pas très spécifique. Qui est ce « on » ? Explicite ces « mécanismes ». Qui les décide, qui les finance et comment ? Celui qui assumera la charge finale est par contre bien connu : c’est le cochon de consommateur qui a le malheur d’exister (enfin selon la doxa escrolo).
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Une chose est sûre : si on continue avec le système économique dépendant des énergies fossiles et qui nuit au climat


Il n’existe aucune preuve empirique que les énergies fossiles « nui(sen)t au climat », une formulation non-sensique alarmiste et exagérée (mais je me répète). Tout juste peut-on soutenir que leurs rejets pourraient avoir un (ou des) effet probablement non mesurable(s) à la concentration actuelle sur certain(s) paramètre(s) physique(s) de l’atmosphère (qui n’est pas le climat, loin s’en faut), alors que leurs bénéfices sont facilement observables et mesurables aussi bien pour l’Homme que sur son environnement (verdissement planétaire par ex.), on l’oublie trop souvent (cf courbes environnementales de Kuznets).
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notre prospérité à long terme qui est en jeu


« Notre prospérité à long terme » ne dépend globalement que d’un seul facteur : une énergie dense, fiable et peu onéreuse (le contraire des solutions proposées/implémentées).
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Tout le monde est d’accord sur le fait que c’est ne rien faire qui aura les pires conséquences.


Tous les enfants croient aussi au Père Noël jusqu’à ce qu’ils découvrent que ce n’est qu’une fiction…

Le 15/09/2020 à 15h 36


(quote:1824414:Jonathan Livingston)
Et à cette altitude, la pression est d’environ 1 atmosphère : http://venus.aeronomie.be/fr/venus/pressionatmospherique.htm


À l’altitude où la pression est de 1 atm. ( 50,5 km selon ton lien), la température est à plus de 60 °C (selon le mien). Ça commence à faire chaud ! La fourchette d’altitude vivable n’est pas très grande.

Le 15/09/2020 à 12h 51

À environ 55 km d’altitude :
http://www.astro.wisc.edu/~townsend/resource/teaching/diploma/venus-t.gif

Le 14/09/2020 à 14h 20


(quote:1824159:Idiogène)
Un système utopique comme l’économie de marché numérisée blablabla


Écrit-il sur un terminal numérique en utilisant des services numériques transitant sur des autoroutes numériques :roll: :roll: :roll: (rare triple LOL de ma part pour cette monumentale ânerie).



Bref je vais en rester là plutôt que de perdre plus de temps avec tes inepties.

Le 14/09/2020 à 12h 27


(reply:1824130:Idiogène)


Grosso modo, ton discours ressemble à s’y méprendre au technobabillage des sociologues : compréhensible d’eux seuls (je suis charitable) sur la route de l’indétermination.

Le 14/09/2020 à 12h 23


(quote:1824125:Idiogène)
Le découplage a une entropie comme le reste… cela ne suffit donc pas à démontrer la vacuité de ce pseudo concept ?


Revient avec (la méthode et) le calcul de ton « entropie » et on en rediscutera. En attendant cette observation qui dérive d’une mesure (c’est donc un fait) est utile pour déterminer que ta condition précédente (que l’économie risque d’excéder la matière) est aussi irréaliste théoriquement qu’irréalisable pratiquement.
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Je ne fais que rendre à césar ce qui appartient à césar. :mdr: Le marxisme est écologique dans la mesure où l’interaction homo-technique est dépendante des pouvoirs économiques qui tantôt la valorisent, ou tantôt la répriment. Tu le montres même après :


C’est une bien piètre défense/justification. Cacher son idéologie rouge derrière un écran de fumée vert ne trompe personne une fois que tu grattes le vernis.
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Ce n’est pas matériellement possible. Tout au plus le masque technologique en donne l’illusion. Même principe que les pots catalytiques ou autre invention à base de synthèse moléculaire. Jusqu’à me démontrer l’absence d’entropie, la finitude est toujours déductible (par raisonnement) dans les process que tu imagines.


Ces produits existent déjà et depuis longtemps : on peut fabriquer beaucoup de choses à partir de réactions chimiques ou procédés simples. On créée bien de la viande avec des imprimantes… De fait, tout ce que la Nature a inventé est reproductible mécaniquement/chimiquement/etc. à partir des mêmes briques. C’est même l’objet d’étude de toute un pan de la Science…



L’Homme n’a pour l’instant fait qu’imiter grossièrement la Nature et à l’améliorer à la marge. Les seuls problèmes à résoudre sont de nature techn(olog)ique donc atteignables. À cet égard la position des escrolos sur la technologie est d’une totale incohérence.



L’économie se moque de la finitude et de l’entropie : tout ce qu’elle produit est nécessairement à entropie négative.
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L’antériorité des licences MIT nécessaires à l’écriture de ton commentaire suffisent à démontrer que c’est partiellement vrai, pour ne pas dire faux depuis quelques années déjà. Après, les domaines de la recherche appliquée avec conditionnements de budget c’est une autre affaire bien que le fond d’omnipotents reste…. :transpi:


Mon commentaire n’est pas sous licence et il n’est pas démontré qu’elles soient nécessaires par ailleurs pour l’écrire, donc ton argument tombe à plat. Rien ne justifie la politisation de la Science.

Le 14/09/2020 à 09h 53


(quote:1824075:Idiogène)
C’est un jugement de valeur comme tout ce qui se rapporte à l’économie de manière générale. La neutralité apparente de l’économie se détermine par l’adhésion des acteurs économiques à un consensus valant neutralité axiologique. Tout au plus l’économie est une science sociale dépendante des sociétés et non l’inverse. Quant à la valeur de la nature… elle est neutre dans la mesure où ce découplage n’est qu’un artifice pédagogique.


C’est une observation. La seule question à se poser est : est-ce vrai ? Tout le reste n’est que baratin.
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La révolution industrielle provient des mêmes tenants et aboutissants que ceux de la renaissance durant laquelle le fait du prince était soutenu par un milieu d’intellectuels et d’ingénieurs. Elle a cependant été déterminée par son rapport étroit au contexte environnemental après, ce qui a conduit à politiser la question par l’apparition du communisme en réaction légitime d’un pouvoir qui en plus d’être symbolique, devenait écologique.


Je constate des effets notables de distorsion historique (pour ne pas dire révisionniste) dans ce §…
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Oui, mais cela n’empêche pas qu’il faut une destinée collective d’intermédiaires de la filière du blé pour qu’un consommateur se sente (à raison !) affranchi du contexte de production (possession de terres…)


J’ai peut-être mal expliqué : tu n’as plus besoin de la « destinée collective d’intermédiaires de la filière du blé » si ta machine synthétise du pain à la demande à partir d’ingrédients triviaux qu’elle aura elle-même récupéré/fabriqué. Le truc à comprendre, c’est que toutes les sociétés et institutions se sont établies sur la base de la nécessité économique de la survie : supprime cette épée de Damoclès et toutes les constructions soci(ét)ales tombent d’elles-mêmes puisqu’elles n’ont plus de raison d’être : le grand rêve marxiste sans une goutte de sang versé.



Qui dit mieux pour renverser les institutions et remettre l’individu au centre ?
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La science est déjà politisée, elle l’a toujours été pour une raison de survie évidente du scientifique. Il en reste des traces tangibles comme l’astrologie (la parade pour flatter le prince…).


C’est une évidence quand le financement est public. Cela dit je ne vise pas les scientifiques mais ceux qui se servent d’eux en dévoyant leur travail pour leurs objectifs politico-idéologiques ou qui les embauchent comme activistes : ceux-là méritent notre mépris.

Le 14/09/2020 à 09h 15


OB a dit:


De ce que j’ai vu , les institutions sont d’abord & avant tout constitués des petites mains dans les bureaux qui font une tâche, et une seule, comme on leur a montré il y a 20 ans.



Si tu coupe la tête, celle qui repoussera aura la forme et les idées de celle à peine retirée.



Alors oui, il faudrait repenser à 100% le fonctionnement de la société - ce qui à 70M de personnes dans un pays intriqué me parait impossible sans un immense choc systémique dont les gilets jaunes et les “manif” ne sont que les ride de surface.



Trop de gens, actuellement, se reposent sur ces institutions pour qu’elles ne puissent disparaître par la seule volonté de certains.


Je suis d’accord avec le constat, mais pas avec la dernière phrase : les institutions peuvent être ébranlées puis défaites par un petit nombre d’individus déterminés. Pour prendre un ex. pas hors sujet, on observe que la mode escrolo actuelle dérive des agissements d’un petit nombre d’individus motivés pour faire avancer leur idéologie par tous les moyens.



Cela fonctionne parce que leur alarmisme et leurs inepties médiatiquement appétentes représentent un coût prohibitif en temps et efforts intellectuels à fournir pour les réfuter systématiquement (loi de Brandolini).



Et pourtant leur idéologie, qui ne représente pas grand monde/chose dans la population, a fini par contaminer toute la classe politique jusqu’au point de saboter la Constitution et de vouloir recommencer. Le pompon a été de réussir à imposer au monde des taxes à large spectre qui les financent indirectement !



Cette poignée d’individus n’est pas inintelligente, loin de là, et elle représente un danger pour les institutions parce que leur stratégie d’épuisement n’est pas de s’attaquer frontalement au système (ils ne feront pas 2 fois la même erreur), mais de le miner/pervertir de l’intérieur en utilisant ses moyens puis de le cueillir comme un fruit mûr en se posant comme sauveurs/rédempteurs incontournables évidemment. Les idiots utiles seront les premiers dont on posera la tête sur le billard…

Le 14/09/2020 à 08h 42


(quote:1824038:Idiogène)
Le découplage ne sert à rien… la création de valeur (le bon concept…) a toujours été indexée sur des matières issues de l’environnement, ou des ressources dont les principes en sont issus, corps humain y compris….


Le découplage est un constat neutre découvert a posteriori qui indique que la valeur de la Nature tend à s’annuler : elle (nous) devient inutile. Globalement la valeur soci(ét)ale des « matières issues de l’environnement » est en fait très faible : par ex. le blé ne représente que quelques % du prix (sa valeur en première approximation) du pain, mais on peut généraliser sans peine. Malthus s’est trompé.
Ce que représente la valeur est essentiellement subjectif, ce qui est difficile (mais pas impossible) à déterminer économiquement.
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Lorsque je dis qu’on a produit une technologie, en europe, procédant de l’environnement, c’est une volonté politique qui a montré un certain succès et qu’on résume comme “humanisme”.


Si tu fais allusion à la révolution industrielle, elle ne provient pas évidemment pas d’une « volonté politique », une idée qui s’apparente à du révisionnisme. En fait dans l’économique, ~la volonté politique est fatalement destructrice quasi par définition. Et je ne vois pas le rapport avec « l’humanisme ».
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Dans ton scénario de double rôle des consommateurs-producteurs libérés du capitalisme par un surplus de machines efficientes, moi j’appelle cela un bordel à raison de l’imprécision historique due à la comparaison des époques forcément incertaine… en gros rien ne pose que la féodalité n’ait aucune utilité environnementale, sinon on en s’en serait passés.


Tu m’as mal lu : il ne sont pas « libérés du capitalisme », au contraire ils l’embrassent à titre individuel plutôt que comme idée collective (marxiste). Il n’est pas question de « surplus » : des « machines » intelligentes, autonomes, avec des possibilités d’autoréplication sont un changement de paradigme majeur pour les individus qui ne dépendent alors (presque) plus économiquement (et donc politiquement) de la société. C’est l’équivalent d’un nouvel affranchissement, mais qui n’est en fait que la banale continuation de la trajectoire historique humaine.
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C’est comme pour l’écologie politique, il y a des choses vraies, d’autres strictement restreintes au champ politiques par mesure de conservation du débat public quant on (l’espèce, le simple individu du groupe) ne peut faire autrement (par étude des moyens) que d’opposer une proto-thèse à une autre.


C’est une affirmation pas assez spécifique pour convaincre (« choses vraies »). Pour ma part, je ne vois aucune justification raisonnable à vouloir politiser la science et dévoyer un tel outil pour de bas motifs d’opportunisme personnel et/ou d’idéologies rétrogrades : cela n’aboutira à rien de bon. La mouvance verte actuelle ressemble plus à un culte qu’à autre chose.

Le 14/09/2020 à 00h 21


OB a dit:


Quand on dit que la France est impossible à réformer, ce que j’entends, moi, c’est que ce sont les institutions qui sont impossibles à réformer. Notamment, et j’ai pu le constater de visu, parce que les gens qui y travaillent ont un comportement presque sectaire (ou on peux appeler ça respect de la hierarchie, comme on veux): Le but est de se couler dans le moule, faire comme celui d’avant et montrer à celui d’après comment on fait chacun sa toute petite partie du job, surtout sans faire preuve d’initiative ou d’innovation, encore moins de suggestion. C’est même pas une critique: Pour ces gens, ce comportement est vertueux : Il faut perpétrer les habitudes, sans cela c’est Chaos et Anarchie. Et dans la fonction publique, tu n’évolue vers les postes à responsabilité QUE si tu as montré ta servilité et ton respect des normes & habitudes - simplement car PERSONNE n’ira soutenir un trublion qui veux renverser la table. J’en suis arrivé au point que je pense que le politique ne peux rien y faire : il peux toujours prendre des décisions, donner des ordres, mais in fine ceux qui agissent, ceux qui signent les papiers & qui débloquent l’argent, ben ils sont pas élus, eux.



Donc oui, je pense que si les institutions ne sont pas éternelles, je ne pense pas qu’on puisse changer la société en profondeur en gardant les mêmes institutions. Il faut refondre et repenser tout. Et ça, je pense que c’est impossible aujourdhui, dans une société intriquée et inter-dépendante comme la notre , pas sans épisode destructif très important.


Tu as parfaitement décrit le principe de Peter !
D’où mon interrogation plus haut : à quand la prochaine (révolution) ?
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J’adhère bcp à cette idée. Néanmoins je persiste sur ce que j’ai dit plus haut: Aujourd’hui, les institutions (pas les politique) - dans lesquelles je place aussi les très grandes entreprises (qu’on appelerrais 2big2fail , et autres OVI en france) ainsi que les banques et quelques autre - interdisent totalement une évolution vers cette vision des choses.


Les institutions ne sont rien sans ceux qui les utilisent, de même que les entreprises n’existent que parce que des Hommes les font vivre. Le système actuel n’est qu’une évolution de la féodalité et le droit de vote une invention (les marxistes diraient une construction) fumeuse survendue et trompeuse, une insulte à l’intelligence en fait.
En définitive c’est toujours la même clique assoiffée de pouvoir, de prestige, de pognon etc. qui mène la danse pour son propre intérêt. La seule solution est de supprimer cette clique : les institutions tomberont toutes seules ensuite.
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Aujourd’hui, rien que le fait de vouloir vivre dans une yourte avec son jardin et son âne à l’écart de tout le monde reste , du moins en France, impossible et interdit - ne serait-ce que par le droit de propriété et le droit municipal - donc les institutions & leurs tenanciers.


Rien n’interdit de le faire sur ton terrain. Le droit de propriété (de ce qui est tangible), parce qu’il a une utilité sociale évidente, est destiné à rester.
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J’assume ce point de vue. Effectivement, je suis assez d’accord avec l’idée que l’humanité en tant que telle n’a que peu d’importance, et que la vie survivra et évoluera sur terre même si l’homme disparaît (elle a déjà survécu à bien pire qu’un mini-réchauffement de rien du tout).



Ben je suis assez d’accord avec tout ça. La question reste de savoir ce qu’on veux. Si on s’en fout que dans 450.000 ans les crabes aient pris la place de l’humanité aujourd’hui , bah nickel - on peux claquer toute les ressources, polluer tout,… Le problème c’est la vitesse : En quelques génération il deviendra difficile de vivre “agréablement” sur la planète (déjà que pour 90% de l’humanité, cette définition serait très ironique) sans une assistance à base de clim & de chauffage. Bien sur avec le temps l’espèce s’adaptera, ou s’éliminera. C’est juste qu’en tant qu’humain on a du mal à accepter que nos enfants aient une vie plus pourrie que la notre (alors que ça arrive tout le temps dans le règne animal en général) , c’est une question de “morale” .


Pour ma part j’évite de faire des prédictions/spéculations à long terme sans données.
Ce qu’on observe par contre, c’est qu’il existe un large fossé entre la réalité et ce que croie le public du fait de biais, mythes et autres préconceptions quand ce n’est pas de la désinformation pure et simple (escrolos par ex.) largement répandues sur ~tous les sujets qui touchent aux interactions entre l’Homme et son environnement.
Les métriques appropriées indiquent que l’état de l’environnement et le statut de l’Homme sont bien meilleurs que dans le passé : de fait, plus l’Homme voit son statut s’améliorer, plus il a les moyens de faire attention à son environnement. Une observation qui trompe tous les décroissantistes et autres collapsologues.
https://www.gapminder.org/ignorance/
https://www.amazon.fr/Improving-State-World-Healthier-Comfortable/dp/1930865988
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Parler d’aller coloniser l’univers - à ce jour à bord de vaisseaux, à moins qu’on déborde sur le transhumanisme - alors qu’on est pas foutu de maintenir un écosystème fortement favorable et stable, ça me parait de la science fiction. Et surtout, les recherches dans ce domaine implique que la société dans son ensemble génère un très gros surplus de ressources pour soutenir les chercheurs et leurs matériels - Et ça, ben moi j’y crois plus désormais.


Les écosystèmes ne sont pas des choses fragiles et statiques, ils sont dynamiques et adaptables. Je ne m’en fait pas pour la Nature qui a elle-même déjà exterminé 99,9 % des espèces, mais pour l’Homme plutôt, contrairement à toi. Toute l’humanité rassemblée sur un seul point dans l’espace est à mon sens un grave danger pour l’espèce. Mais la première vague de colonisation, pour l’acquisition des matières premières, sera entièrement automatisée. Du moins c’est ce que les acteurs/théoriciens du secteur envisagent.
web.archive.org Archive.org

Le 13/09/2020 à 15h 51


A partir du moment où il y a concurrence sur l’exploitation des ressources et leur diversité, le problème se règle de lui-même par l’économie.


Un truisme qu’il est bon de rappeler.
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Mais à condition que l’économie n’excède pas la matière…


C’est pourtant le miracle que l’économie de marché réalise tous les jours : la « matière » limitée inutilisable est transformée par l’ingéniosité humaine en ressources utilisables illimitées. De plus, les économies occidentales ont commencé à se découpler de la Nature au début des années 1970, ce que les technologies numériques ont largement intensifié depuis même si cet état de fait n’est pas mesuré par les indicateurs économiques. En fait on peut dire que la trajectoire de l’économie contribue à rendre la Nature inutile !
Quand le prix de la « matière » n’est plus économique, elle est remplacée par autre chose de moins onéreux (et souvent meilleur), et/ou les process sont adaptés pour en consommer moins voire plus du tout, etc.
Seuls des escrolos peuvent affirmer sans broncher que des pénuries totales (dont il n’existe aucun exemple historique) guettent dans un Univers de 15 milliards d’année-lumière de diamètre !
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car après on rentre dans la politique : cela fait 200 ans que l’Europe crée des machines et une technique clairement environnementale pour se protéger des dépendances lointaines (chine mais pas que), si ces dernières font la même chose que nous, on sait d’expérience qu’une généralisation de cette spécificité va mettre un sacré bordel sur terre et sans moyen de stopper quoi que ce soit.
§ incompréhensible.


Le 13/09/2020 à 15h 16


OB a dit:


Si tu travailles sur l’histoire, tu verra que la période post-révolution n’a pas été toute rose, et les soit-disant “libérateurs” ont très vite retrouvé les habitudes de ceux qu’ils avaient raccourci quelques semaines avant.


Certes, mais il est aussi manifeste que les générations suivantes ont bénéficié de libertés que leurs aînés n’avaient jamais eu. On peut donc affirmer que la Révolution a eu un effet bénéfique.
Néanmoins depuis quelques décennies tout est fait pour les détricoter une par une (gradualisme) pour des motifs aussi ignobles que mensongers par une caste d’idéologues et/ou d’arrivistes aussi incompétents qu’arrogants.
Pourquoi faut-il des diplômes ou justifier de compétence dans un domaine pour l’exercer, mais que n’importe quel beau parleur ou endimanché peut devenir politicien (et ruiner un pays) ?
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L’un des problèmes selon moi c’est que même si le système politique actuel est fortement défectueux, ça reste, à l’échelle d’un pays, le moins mauvais que l’humanité ait connu dans l’histoire


Cette prose m’a toujours dérangée : elle justifie toujours la croyance que les instituions seraient éternelles et que le politique serait le chevalier blanc gardien du statu quo temple. Rien n’est plus faux.
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(Les petites communautés arrivent à mieux, mais en échange ne peuvent pas, matériellement, réaliser des projets importants nécessitant de gros surplus en ressources de base , tel que tout ce qui est industriel entre autre).


Jusqu’à maintenant : quand la technologie sera possible (c’est-à-dire quand les moyens de productions fabriqueront des moyens de production qui fabriqueront etc.) et que les connaissances seront partagées et libres (plus de droits de PI par ex.), les individus des sociétés post-capitalistes pourront fabriquer ce qu’ils veulent à la demande, d’où il dérive qu’il n’y aura plus de nécessité de vivre les uns sur les autres. Ils pourront alors s’agréger en de multiples communautés dont l’importance n’aura plus… d’importance justement.
Note : j’entends par « sociétés post-capitalistes » un type de société où le savoir et les moyens de production/reproduction sont accessibles à tous (ce qui ne nécessitera plus d’argent au sens où on l’entend actuellement).
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A titre perso je pense que ça va se résoudre tout seul , même si ce sera en allant vers des âges sombres : Le manque de ressources naturelle va amener des conflits à très grande échelle - les migrations actuelle n’étant que les prémices d’un mouvement de fond - et nos structures sociétale & politiques actuelles, comme celles qui l’ont précédé, sont trop rigides et trop interdépendantes pour pouvoir s’ajuster aux changement rapide de paramètres naturels ou économiques.


Vision défaitiste et à courte vue, purement planéto- et anthropocentrique. Il y a un Univers entier inexploité au-dessus de ta tête, sans compter que seule une infime partie de la planète a été explorée. De plus stricto sensu il n’existe aucune « ressource naturelle », seulement des substrats naturels (ou des matières premières si tu préfères) : les seules ressources sont par définition économiques parce que crées par l’Homme (et par corollaire elles sont infinies).
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Il y a toujours eu des migrations parce que l’Homme a 2 jambes pour se déplacer quand sa situation ne lui convient plus (les frontières sont une complète aberration, et c’est bien le seul point positif de l’Europe que de les avoir ~effacées). Les migrations actuelles sont plus dues aux errements politico-idéologiques (qui ont des conséquences socio-économiques) qu’à autre chose (et sûrement pas à la faribole climastique, si c’est à cela que tu penses).
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Les politiciens continueront à bien parler tout en plaçant leurs potes à des postes clés et en tirant le max de ressources à eux , comme toujours. C’est pas en triant nos déchets et en achetant du bio sous plastique qu’on va s’adapter.


Amen.

Le 10/09/2020 à 17h 01

Tant qu’il y aura des idiots utiles pour les élire, ils ne vont certes pas se priver de parasiter et de continuer à modeler le système à leur avantage (ou celui des copains). Le contraste temps court politique versus temps long historique est aussi une de mes réflexions favorites sur la myopie générale.



Ce pays semble n’avancer qu’à coup de révolution coupeuse de têtes. À quand la prochaine ?

Le 13/09/2020 à 16h 19

Le greenwashing avec un peu d’autoflagellation est à la mode pour s’acheter une petite vertu — qui ne coûte rien avec l’argent gratuit des autres.

Le 03/09/2020 à 11h 40


patos a dit:


Le HC550 est rempli à l’hélium: 30% d’échauffement en moins à activité identique. Je ne parle pas des autres options du HC qui sont top (comme le double firmware signé par exemple). Les Golds sont des HC “cheap” (mais attention, très bien quand même hein ! )


Ce n’est pas mis en avant mais le Gold est aussi rempli à l’hélium (technologie HelioSeal). Il est probable que les différences soient dans le micrologiciel, mais comme le Gold est aussi un modèle “Enterprise”, je doute qu’elles soient si conséquentes dans un NAS.

Le 02/09/2020 à 18h 39

Le DC HC550 18 To n’est pas (encore) disponible mais le Gold 18 To (en 512e) l’est avec exactement les mêmes caractéristiques que le modèle correspondant dans la gamme DC (et probablement nettement moins cher ; 578 € chez Amazon en ce moment).



https://documents.westerndigital.com/content/dam/doc-library/en_us/assets/public/western-digital/product/data-center-drives/ultrastar-dc-hc500-series/data-sheet-ultrastar-dc-hc550.pdf



https://documents.westerndigital.com/content/dam/doc-library/fr_fr/assets/public/western-digital/product/internal-drives/wd-gold/product-brief-wd-gold-2579-810192.pdf

Le 21/08/2020 à 11h 11


js2082 a dit:


Et surtout, il ne faut pas oublier la possibilité de contournement du système.


Par le système lui-même : les agents du fisc en retraite font de merveilleux conseillers fiscalistes et juridiques…

Le 20/08/2020 à 20h 01

Pas grave si la technologie de l’État utilisée comme béquille d’un système social(iste) à la dérive ne fonctionne pas : les banques vont être bientôt dans l’obligation de déclarer les locataires de coffres-forts. Le fisc n’aura plus qu’à se servir directement chez les particuliers (une fois de plus)…

Le 13/08/2020 à 18h 13


gileri a dit:


Quand la CEO se fait payer $2.5M, ça fait un peu râler de donner :‘(


La même chose en graphique : https://pbs.twimg.com/media/EOV4wXWUcAIsj0W?format=png&name=small



Mozilla : l’incompétence érigée en modèle de travail.

Le 10/08/2020 à 18h 36

Et toujours pas de bouton pour citer, rendez-vous à la v18… peut-être.

Le 04/07/2020 à 20h 50







espritordu a écrit :



Il y a quelques années j’ai eu la déplaisante occasion de porter plainte dans une gendarmerie pour un proche fragile qui s’était fait soutirer plusieurs milliers d’euros par un gros sac à merde de brouteur ivoirien.



J’avais rempli la pré-plainte en ligne, obtenu un rendez-vous en gendarmerie pour la déposer…première réaction de la gendarmette derrière son bureau : “c’est quoi ces conneries ?!” Littéralement.



C’est sur Internet ? C’était forcément pas sérieux dans la petite tête étriquée de cette greluche. Il a fallu lui pousser au cul pour qu’elle daigne remplir les putain de formulaires de son logiciel et me fasse signer cette putain de plainte. Plainte qui n’a bien entendu jamais abouti à rien.





Un nombre très élevé de plaintes ne sont jamais transmises au procureur (pour améliorer les statistiques, m’a-t-on dit…).



Il existe néanmoins la possibilité, au bout de trois mois sans nouvelles, de saisir le doyen des juges d’instruction avec constitution de partie civile.


Le 18/06/2020 à 18h 59







Ph11 a écrit :



La loi Avia s’est prise une pelle : la pelle du 18 Juin.







Un retour en fanfare ! <img data-src=" />


Le 30/05/2020 à 15h 06







Z-os a écrit :



Vous comparez le coronavirus à la grippe. Je n’ai toujours pas vu d’explication claire expliquant pourquoi les malades du coronavirus sont concentrés dans certains endroits alors que la grippe frappe de manière beaucoup plus uniformément le territoire.





L’explication est souvent multifactorielle : climat, période de l’année, concentration humaine, charge virale du milieu, taux de préimmunisation, variabilité génétique (races), etc.









Z-os a écrit :



Est-ce que l’on ne devrait pas distinguer deux “r0” l’un par voie aérienne, l’autre par contact par exemple ?





Je n’aime pas trop cette métrique : elle est trop théorique, peu intuitive, difficile à déterminer et donc plutôt variable. En plus elle n’est utile qu’en début d’épidémie. Le Wiki le donne entre 2 et ~6.









Z-os a écrit :



Tant que l’on n’a pas éclairci ce point, on ne peut pas comparer.





Disons qu’il faut être conscient des limites quand on compare.


Le 30/05/2020 à 14h 48







XXC a écrit :



Aurais-tu des sources appuyant cette tendance qui voudrait que depuis le début de l’Histoire (avec un grand H, c’est à dire depuis l’invention de l’écriture), tout tend vers moins d’État ?.

Et aussi précise-nous ta définition de “Histoire” et “État”, que l’on soit bien sûr de ce que tu parles.



Merci





Pour commencer, il faudrait lire ce que j’ai écrit : “toute l’Histoire tend vers moins d’État” signifie l’Histoire à partir du moment où on peut les reconnaître et je parle globalement (il y a des exceptions dans le temps et l’espace).

On peut par exemple citer l’économie : ses grands principes n’accordent à l’État aucun rôle, à part le régalien (et encore c’est discutable, mais ne pinaillons pas) (Hayek par ex.), donc il en a de moins en moins.



Dans les faits cela s’est traduit par une explosion du commerce (marché) et des espaces de libertés et en corollaire d’une significative diminution de la violence dont il était et il est encore le 1er responsable/coupable (cf Pinker par ex.).



On n’apprend pas cela à l’école ?


Le 30/05/2020 à 14h 25







ragoutoutou a écrit :



ça dépend de la granularité du modèle… Si on veut juste mettre un gros autocollant dessus, ça va être difficile mais si on le décompose, sa seule originalité est à quel point il arrive à condenser dans une seule personne différentes dérives.





Homme hors système = politique différente…









ragoutoutou a écrit :



Mais bon, dans l’ensemble je pense qu’il faut être une parfaite ordure pour encore se réjouir des succès de ce type quand on voit le coût humain et ses appels au meurtre et à la guerre civile.





Exagération, hypocrisie et manque de contexte.









ragoutoutou a écrit :



Je ne suis pas un fan d’Hillary Clinton ou du parti démocrate, mais il faut bien constater que le bilan humain serait moindre si elle avait gagné.





Pure spéculation.


Le 30/05/2020 à 14h 16







brice.wernet a écrit :



Oui, mais sans confinement, c’est difficile à comparer.



Mais je continue à trouver que tes comparaisons grippe/covid ne permettent pas de conclure que le covid est une gripette.





Oui, d’un côté on a un confinement sans vaccin et de l’autre un vaccin sans confinement.









brice.wernet a écrit :



Le nombre d’hospitalisations en état grave montrerait plutôt une grippette sans vaccin, situation relativement rare et grave.





Bien résumé.


Le 29/05/2020 à 19h 14







ragoutoutou a écrit :



Euh… si tu n’as rien vu de ce que Trump à cassé





Tu te fourvoies : un gauchiste de base appellerait cela (selon sa définition novlangesque) du changement, càd la continuation de la même chose qu’avant en pire.



Ce qui dérange ici est que Trump est inclassable : il est une classe à lui tout seul. Cet état de réalité ne va pas dans le sens attendu pour un gauchiste pour qui le dogme fasciste de plus d’État doit être respecté en tout lieu et tout temps jusqu’à la survenue du grand soir.



Alors que toute l’Histoire tend vers moins d’État.



On comprend que vous soyez déprimés, que le ressentiment vous accable. Ce n’est qu’un futur à passer : Trump sera encore là pour 4 années supplémentaires. 4 années de gazouillis pour regarder s’exciter les imbéciles <img data-src=" />



J’adore ce monde !









ragoutoutou a écrit :



C’est une opportuniste prête à tout casser pour s’en mettre plein les poches et en pas aller en prison après, quitte à mettre en place une dictature pour éviter de finir en prison.





Marrant, c’est l’exacte description de la Clinton pour laquelle les Américains ont dit MAGA! !


Le 29/05/2020 à 18h 51







carbier a écrit :



Ambiance de fin du monde ? … Car je suppose que l’apocalypse que les soignants ont décrit c’est aussi une fake news ?





Ils ont fait dignement leur travail dans des conditions lamentables dues à l’incurie de l’État obèse et de son administration pléthorique ossifiée.



J’ai vu aussi l’hypermédiatisation de transports de malades alors que les cliniques et hôpitaux privés “dans la rue en face” étaient vides avec leur personnel au chômage partiel. J’ai même vu une tente de l’armée qui n’a dû servir que pour les caméras… etc. je pourrais écrire des pages sur cette mascarade (lol) hystérique.



Tout cela était un beau spectacle. Le théâtre de Guignol mais en vrai !









carbier a écrit :



Dixit celui qui a passé les 2 derniers mois à se foutre des autres dans son canapé <img data-src=" />





Je n’ai pas commenté entre le 24 février et le 18 mai. Tu es sûr d’avoir toute ta tête ? <img data-src=" />









carbier a écrit :



As-tu seulement lu la source que tu as mise <img data-src=" />





Bien entendu que non, quel intérêt ? <img data-src=" />









carbier a écrit :



(…) le chiffre de 18.300 morts supplémentaires





Si à ton âge tu as encore besoin d’un guide de lecture, c’est quand même inquiétant.



Je t’explique. Relis d’abord lentement ce que j’ai écrit :

Ce chiffre de 18 k varie du simple au double selon les sources [1].



Remarque que nulle part je n’ai pas écrit que le chiffre de 18 k correspondait au chiffre de la grippe : en fait c’est la personne à qui je répondais qui l’a affirmé, pas moi.



D’où on en conclut que dans ton empressement à vouloir trouver une erreur dans mon commentaire, une partie de ton cerveau (ou du reliquat qui s’en rapproche le plus) a rajouté un mot manquant à ma phrase pour obtenir ce qu’une autre partie émotive recherchait, à savoir la satisfaction bestiale de détecter une erreur chez le contradicteur (j’admets que c’est rare).



J’espère que tu n’as pas trop mouillé ta culotte parce qu’il va falloir nettoyer maintenant…









carbier a écrit :



toi qui aime les comparaisons





Non non. J’aime les comparaisons qui font sens et sont a priori raisonnables. C’est pour cela que je ne compare pas des surmortalités parce que comme déjà écrit plus haut, ce qui t’a fort opportunément échappé, la grippe a un vaccin, pas le virus chinois, et donc cette mortalité serait bien plus élevée sans vaccin.



À mélanger des pommes avec des oranges on obtient qu’une salade.



Tu peux retourner jouer maintenant.


Le 29/05/2020 à 16h 16

Décidément…









tmtisfree a écrit :



Mais il y a quand même une erreur : il faut prendre le chiffre des nouveaux cas hebdomadaire au lieu de celui quotidien pour pouvoir le comparer au seuil épidémique de la grippe qui est hebdomadaire.

En recalculant le taux s’établit à un peu plus de 3 nouvelles infections du virus chinois pour 100 k. On est toujours loin des ~180 cas pour 100 k du seuil épidémique de la grippe.





Le 29/05/2020 à 16h 52

République bananière : pendant que les dépités festoient à 5 k€ par mois, le quidam trinque.



On attend avec impatience un commentaire relativiste, constructiviste, gradualiste, progressiste mais fumeux d’OlivierJ pour nous seriner que la transparence avance, que les choses vont mieux, et gnagnagni et gnagnagna.