Sur le papier c’est intéressant mais j’ai peur d’être déçu.
Merci d’avance.
Elle avait tout pour me. Son problème c’est la chauffe et la consommation de batterie du CPU ainsi que le temps de recharge. Si c’est pour se retrouver avec un fil à la patte toutes les 5 heures, alors non.
En quoi cela est-il gênant, qu’un NAS, comme le DS213j, par exemple ne fasse que du EXT4 ?
En rien, c’est un système de fichiers éprouvés (de référence). Les autres sont soit dépassés, soit ayant trop peu de recul.
Le
09/01/2014 à
19h
19
Sur Pixmania, il y a(vait, j’ai pris les 5 en stock je crois) le disque dur Hitachi 4To HUS724040ALE640 pour 294.01 €, un prix jamais vu pour un modèle enterprise (avec un code de réduction et livraison gratuite).
Merci pour le lien (qui n’est pas correct : le bon est là).
Cela rejoint le début de solution qu’exprimait Simone Weil dans les années 40 :
L’usage même des mots de démocratie et de république oblige à examiner avec une attention extrême les deux problèmes que voici :
Comment donner en fait aux hommes qui composent le peuple de France la possibilité d’exprimer parfois un jugement sur les grands problèmes de la vie publique ?
Comment empêcher, au moment où le peuple est interrogé, qu’il circule à travers lui aucune espèce de passion collective ?
Si on ne pense pas à ces deux points, il est inutile de parler de légitimité républicaine.
Des solutions ne sont pas faciles à concevoir. Mais il est évident, après examen attentif, que toute solution impliquerait d’abord la suppression des partis politiques.
Simone Weil. Note sur la suppression générale des partis politiques
J’ai mis début de réponse, parce que sa “possibilité d’exprimer parfois un jugement sur les grands problèmes de la vie publique” indique qu’elle ne croie pas que ces “problèmes” aient en permanence quelque chose à voir avec les individus ou groupe d’individus librement associés eux-mêmes.
Je dirais même que depuis le temps que l’on a des politiciens, ces soit-disant “grands problèmes de la vie publique” auraient raisonnablement déjà dû être résolu, et qu’ils ne persistent donc que pour justifier l’existence ad vitam æternam de cette clique de parasites.
Ce début de réponse mène tout droit à la quatrième, seule restante et possible, forme d’organisation politique des individus qu’aborde, mais ne développe pas, l’auteur interviewé dans la vidéo.
Le
03/01/2014 à
13h
54
geekounet85 a écrit :
c’est beau l’optimisme! va juste un jour à Boulogne sur mer, tu comprendras que les citoyens sont définitivement trop cons pour décider par eux même ce qui est bon pour l’état!
et c’est qu’un échantillon, on peut aussi parler des hipsters parisiens pseudo-écolo qui prônent le gaz ( " /> ), ou des bobos communistes qui veulent un état endetté à 200%, sans parler des frontistes qui ont du mal avec les couleurs et qui voudraient revenir aux anciens francs, etc…
sans compte qu’au final, le nombre de gens réellement intéressés par l’état et qui voudront en faire quelque chose sera à peu près égal au nombre actuel de représentants dans les chambres… " />
" />
Poke Dunaédine s’il passe par là! " />
C’était bien l’objet de mon post, si tu relis attentivement : zéro État (note que je mets une majuscule non par respect, pour pour différencier du nom commun bien plus intéressant à mes yeux), zéro problème.
Le
03/01/2014 à
12h
57
Hawaga a écrit :
Et une interdiction pure des lobbyistes à l’assemblée nationale ce ne serait pas plus serait pas plus s(ain)ple??
Cela reviendrait au même que de traiter les symptômes (plutôt que la cause) : au vu du rapport coût/bénéfice ultra-négatif du bidule (bizarrement appelé ‘assemblée nationale’, comme si les individus n’étaient pas assez responsables pour se représenter eux-mêmes), autant supprimer le quarteron lacunaire d’hurluberlus surpayés à nous ruiner qui y siestent.
Ces ronds de cuir mal tannés s’imaginent sans doute que leur esbroufe politique va nous convaincre que l’état lamentable des Droits des individus, bafoués qu’ils sont par leur folie régulatrice à tendance soviétique, nécessite une autre couche d’insanités législatives histoire de crépir un peu plus de leur fange nauséabonde nos libertés d’Hommes libres.
Tu trouves comment ton 76% au fait ? (les pays n’étant pas tous les mêmes a priori)
((3000000⁄13) - (4200000⁄32)) / (4200000⁄32) × 100 = 75.82 ~= 76% (ce chiffre n’a évidemment aucun intérêt, à part montrer les limites de qualifier de “courte tête” le chiffre de Sony alors que manifestement MS est plus efficient " />).
Edition : la news a été corrigée, plus de “courte tête” ! Compliments à l’auteur.
Le
08/01/2014 à
10h
01
David_L a écrit :
La mise en perspective cela n’existe pas pour rien. Et il ne faut pas confondre le fait de prendre en compte de nouvelles informations avec le fait de faire la girouette.
Il n’y a pas de justification à une “mise en perspective” quand il s’agit de comparer 2 chiffres (ce que tout le monde peut faire, j’espère). La qualification des 2 chiffres n’engage que son auteur et n’apporte rien de plus à la news (à part exciter les sots).
Le
08/01/2014 à
09h
54
darkbeast a écrit :
nan la solution c’est que les fanboys d’un coté ou de l’autre s’écrasent.
Vu le niveau des forums, les fermer serait aussi une solution.
Le
08/01/2014 à
09h
27
Ellierys a écrit :
Tu relativises les chiffres de la Xbox One, t’es un fanboy Sony, tu relativises les chiffres de la PS4 ton article est orienté MS.
Tu dis fin décembre que la “PlayStation 4 a gagné le premier round” tu te fais allumer, tu dis un peu plus tard “devant d’une courte tête” pour pas te faire fumer de la même manière qu’avant, parce que t’essayes un peu d’écouter tes lecteurs et tu te refais fumer.
Demain je vous expliquerai donc comment Nintendo va gouverner le monde.
Faire la girouette pour tenter de satisfaire tout le monde n’a aucun intérêt. La solution, c’est de présenter les chiffres sans ajouter de qualificatif (et de laisser le lecteur en tirer la conclusion qui l’arrange).
Le
08/01/2014 à
08h
58
airgobs a écrit :
4,.2 millions dans 32 pays pour PS et 3 millions dans 13 pays pour Xbox, oui c’est une courte tête.
Quand on ne sait pas compter peut-être.
Le nombre de pays n’a aucune importance quand un produit se destine au marché mondial. S’il en avait, l’auteur aurait alors dû rapporter le nombre d’unités livrées au nombre de pays concernés. Il aurait pu alors écrire que la XB One a été écoulée 76% plus que la PS4, ce qui est, là aussi, tout sauf une courte tête.
Le
08/01/2014 à
08h
31
Avec 4,2 millions d’exemplaires livrés aux consommateurs dans 32 pays à la date du 28 décembre, le constructeur nippon devance d’une courte tête Microsoft et sa Xbox One qui a franchi la barre des trois millions
40% de plus, c’est largement plus qu’une courte tête.
tmtisfree a écrit : à ce prix, finir martyrisé dans un “établissement” ou une “maison” glauque par un personnel raréfié, sous-payé … et surtout que le bénef soit conséquent … même s’il y a éventuellement (ré ?) investissement … comme pour les autoroutes …
quel avenir réjouissant !
Comme beaucoup de chose en France, quand l’État met son groin dégoulinant de bienpensance sociale dans les affaires économiques qui ne le concerne pas, seuls les plus malins en profitent au détriment du plus grand nombre.
Le
08/01/2014 à
10h
13
GoGator a écrit :
Pour avoir bossé dans quelques maisons de retraite c’est pas le prix qu’il faut chercher à comparer…
C’est honteux de voir les gens payer ces prix et d’un autre côté être parfois seul pour s’occuper de plus de 30 personnes dépendantes !
C’est vrai, c’est cher et il y a peu de personnel. Pourquoi ?
Les coûts d’entrée financiers et administratifs sont exorbitants, le temps pour ouvrir très long (5 ans en moyenne, si tout va bien), les contraintes réglementaires très élevées, si bien que le nombre de place est très faible et les temps d’attente très long.
C’est en fait le résultat d’un marché fermé ultra-régulé ou seules quelques chaînes peuvent survivre.
Il ne faut pas s’étonner que le service soit faible et les prix indécents : le système est fait pour.
Le
08/01/2014 à
09h
52
maestro321 a écrit :
C’est difficilement comparable, des pays comme les USA peuvent-être considéré comme des paradis fiscaux par rapport à la France, mais ça n’empêche pas le pays d’être lui aussi victime de l’évasion fiscale…..
Les niveaux de fiscalité sont comparables, et il se trouve qu’on est dans le peloton de tête.
Ah ! l’évitement fiscal. Les romains avaient aussi leurs jeux du cirque pour détourner les naïfs des questions qui fâchent. 2000 ans plus tard, des gogos tombent encore dans le panneau.
A part une poignée d’autres pays à l’imposition encore plus lourde mais à l’économie qui respire encore, tous les autres pays du monde sont des paradis fiscaux qui accueillent l’individu voulant échapper à l’enfer fiscal français avec enthousiasme.
Mes prévisions pour 2014 : l’année ne sera pas différente de la précédente (tout ce qui n’aura pas marché disparaitra, et tout ce qui est nouveau sera testé).
en partie réemployées pour investir dans de nouvelles démarches de modernisation du système d’information, d’innovation et de simplification
Une manière de dissimuler que les économies attendues seront en fait un noir financier de plus par les incompétents de service.
On ne sait peut-être pas calculer chez la clique politocardienne, mais on sait camoufler ses canards spéculatifs dans le brouillard des comptes opaques étatiques.
Dans l’attente du prochain rapport de la Cour de Comptes.
l’émergence d’un nouveau modèle économique associant artistes et internautes (…) et fondé sur une contribution créative associée à des budgets publics massifs de soutien à la création
Il n’y a qu’une gourde irresponsable pour penser que distribuer l’argent des autres puisse constituer un “nouveau modèle économique” :
1/ redistribuer l’argent extorqué sous la contrainte n’a rien d’économique : c’est simplement un modèle d’arrangement anti-sociétal imposé par la clique au pouvoir dans la lignée du précédent (ie féodal) pour rester en place car
2/ l’argent volé est déjà largement distribué, même quand les comptes étatiques sont abyssalement négatifs : il faut bien entretenir l’illusion de grandeur par les bouffons du jour et la courtisanerie habituelle du pouvoir.
Tout ça n’invalide pas la nécessité des règlements protecteurs des individus lambda, il “suffit“ de mettre en place un système dans lequel les puissants n’ont pas la possibilité d’imposer leurs lois/règlements (je n’ai pas dit qu’ils devraient être exclus de l’élaboration du bidule, hein).
Ce qui me semble être un objectif bien plus réaliste que l’idéal libéral, utopique et donc dangereux.
Sinon j’aime beaucoup ton anecdote sur les ingés romains " />
D’autres ont montré que ton idéal réglementaire est fatalement pervertit par les irresponsables qui le prescrivent, et qu’il conduit par la violence, lentement mais surement, à l’opposé du but recherché. Les exemples abondent de lois, règlements ou régulations, qui, imposés sous couvert de régler un problème particulier, ont graduellement généré non seulement plus de ce problème, mais ont eu des conséquences inattendues et néfastes ailleurs.
Ton idéal “protecteur” ne fait que conduire à la déresponsabilisation et à l’assistanat chronique du plus grand nombre et il permet aujourd’hui à une caste politique de régner sans partage sur les vies des autres qui ne leur ont rien demandé et refusent leur joug servile.
Le
13/10/2013 à
10h
30
lateo a écrit :
ouaip enfin bon, tu omets juste ce qui va de pair avec tes “délimitations spaciales arbitraires“ : les lois.
…
Ceci dit, nous n’aurons aucun mal à nous entendre sur l’effet néfaste de l’abondance de réglementations en tout genre.
Par contre il en faut des réglementations, sans quoi les citoyens ne sont plus qu’une autre ressource à exploiter par les puissants.
Certes, le mythe de la primauté de la Loi est amené parallèlement à celui de l’existence des barrières géographiques artificielles, et le tout est inculqué comme un ensemble cohérent par formatage répétitif des esprits par les principaux bénéficiaires de cet enfumage.
Cela n’en fait pas moins un château illusoire de cartes truquées pour faire perdurer les immenses avantages (la règle des 3 P : pouvoir, prestige, pognon) de la clique qui est à l’origine de ces mythes.
Rien n’est plus faux, et indique simplement une vision passéiste linéaire incorrecte et obsolète des choses. On peut dire en la matière (et sans perte de généralité) que :
(a) les règles qui permettent l’existence de l’économie émergent spontanément et naturellement de l’interaction des agents formant le système (plus spécifiquement, les contrats commerciaux privés, l’organisation des marchés, le droit privé commercial, etc), elles en sont caractéristiques. Ce qui veut dire que ces règles doivent nécessairement être établies par l’ensemble des entités pour garantir le fonctionnement opérationnel du système dans le temps.
(b) le fonctionnement d’un SAC est volontairement et idiosyncratiquement imparfait. Cette imperfection est une propriété intrinsèque de tous les SAC qui leur permettent de résister à l’incertitude (risques), aux fluctuations internes, aux perturbations de l’environnement et aux contraintes naturelles. Elle confère en définitive non seulement sa résilience, mais surtout son anti-fragilité au système (ie sa capacité à ‘encaisser’ les contraintes le renforce, cf Taleb).
En résumé, les “puissants” se servent des lois pour imposer au système (économique, social) leur volonté (et souvent à leur propre profit). Sous couvert de ‘défaillances du marché’ (une imperfection qui n’est donc pas un bug mais une feature), ils substituent des régulations perverses toujours plus déstabilisatrices aux règles naturelles, simples et souples qui permettent au système économique de survivre et prospérer face à l’incertitude. Ces “puissants” sont des irresponsables : comme les Romains forçaient leurs ingénieurs à dormir sous les ponts qu’ils avaient construits, ils devraient être punis et rendre les avantages dont ils ont bénéficié en cas de manquement.
Le
12/10/2013 à
12h
15
seboss666 a écrit :
Orange est présent dans plusieurs pays, c’est français ou pas ?
L’économie (de marché) n’est pas concernée par des délimitations spatiales arbitrairement imposées (frontières). Seule la myriade des besoins satisfaits des agents économiques définit le phénomène émergent qu’est l’économie.
C’est prévariquer, restreindre sa liberté individuelle et faire perdurer l’obsolescence mercantiliste que de coller une étiquette géographique artificielle et absurde sur un autre agent économique.
Et parfois on me demande pourquoi je crois pas en la politique.
Quand je vois la France capable de générer pareils monstres, faut pas s’étonner.
" />
Vilain petit canard libertaire non patriote. Ce ne sont pas des “monstres”, ce sont des institutions pensées par de vénérables défricheurs octogénaires du futur au service désintéressé de l’intérêt général qu’ils supportent harassés de fatigue émotionnelle en usant leurs séants de flanelle sur les bancs de bois durcis et vernis par leurs vénérables prédécesseurs sous les lambris austères des assemblées constituées, éclairées par nos humbles costumes 3 pièces du front politique qui agissent sans compter pour le bien commun dans leur lutte éternelle et méritoire contre la tyrannie de la productivité et les errements d’une liberté inégalitaire et trans-générationnellement injuste, et enfin généreuses qui fournissent l’activité circulaire et (dé-)caféinée dont ont cruellement besoin tous nos valeureux ex-chômeurs les bras croisés dans l’enchainement de leur passion à l’accomplissement héroïque de leur mission quotidienne de sévice public.
Tututut, c’est la France toute seule qui milite pour une procédure de codécision qui permettra d’associer toutes les autorités de contrôle nationales concernées, qui feront valider leur motivation par une entité consultative qui devra produire un rapport pour information, qui sera soumis à une possibilité de révision par un collège démocratiquement élu qui se réunira une fois par semestre et quoi pourra choisir d’émettre ou non un avis de renvoi en révision du dit rapport, sauf s’il est rendu en retard auquel cas, l’avis ne pourra avoir qu’une valeur informative et devra motiver le maintient ou le renvoi en triple lecture dans une décision qui sera rendu publique au journal de mickey ; une fois la décision arrêtée chaque pays conservera le choix souverain de faire usage de son véto afin de suspendre l’application de la décision jusqu’à ce qu’une assemblée extraordinaire ai été constituée et décide de laisser tomber ou bien de recommencer à zéro, en priant pour que cette fois-ci l’autre gros con se sera endormi au moment du vote.
Priceless!
Tout cela existe en fait (en Europe seulement) et porte même un nom : comitologie.
Le
09/10/2013 à
14h
46
Le concept est simple
On peut donc s’attendre à une usine à gaz technocratique comme seule l’Europe sait en pondre. Il faut bien être premier quelque part.
intégrant dans une procédure de codécision qui permettra d’associer toutes les autorités de contrôle nationales concernées
C’est parceque sur le 2eme § je suis presque d’accord avec toi… (sauf pour la fin bien évidemment) " />
Tu veux dire que, malgré avoir saisi (!) le sarcasme, tu n’est pas d’accord avec la conclusion que je n’ai pas faite ?
Le
09/10/2013 à
12h
42
carbier a écrit :
" />
Tu n’a pas lu le 2nd §. J’y distille aussi des vérités cachées.
Le
09/10/2013 à
12h
33
Chrisrc01 a écrit :
Faut arrêter avec ce genre de lois à la con … Si nos députés ne servent plus qu’à ça autant arrêter le délire ..
Plus la finance , les consortiums de grandes entreprises et d’autres entités très influentes prennent le dessus sur les gouvernement , moins ceci on de pouvoir et plus leur pouvoir de nuisance est exercé sur les citoyens juste pour faire croire qu’ils servent encore à quelque chose..
C’est vrai, toutes ces entreprises profiteuses qui te forcent à acheter leurs mauvais produits ou services au prix le plus bas, alors que, si tu étais doué ou payé à ne rien faire, tu fabriquerai tout toi-même.
Alors que ces politiciens pas dépensiers pour un sou, soucieux de leurs budgets comme toi de la prunelle de tes yeux, qui font l’aumône publique pour améliorer leur quotidien au service de leur propre intérêt, c’est vraiment scandaleux qu’ils doivent tenter, années après années, vaille que vaille, de survivre aux élections carnassières des péquins du § précédent.
Ce qui est un indicateur du nombre de femmes inoccupées faisant partie de cercles de femmes occupées à organiser la kermesse trimestrielle au cours de laquelle elles récolteront dix dollars d’aujourd’hui par tête. La charité n’est ici que le prétexte. Pourquoi les libéraux ne montrent-ils jamais les flux financiers plutôt, ce qui serait plus pertinent ?
Américains = adultes mâles (je sais bien que les collectivistes sont des adeptes des théories fumeuses du genre, mais quand même).
HarmattanBlow a écrit :
Comme je l’ai dit la précarité favorise la solidarité, ce qui n’est pas un argument en faveur de la précarité. Nous sommes bons derniers ? Tant mieux, c’est que nos systèmes sociaux sont efficaces.
Des systèmes sociaux efficaces pour creuser les déficits, fabriquer des chômeurs et de la pauvreté à la pelle : sans aucun doute, c’est la réalité.
HarmattanBlow a écrit :
Les rapport humains des mutuelles, n’importe quoi. Toute grande organisation est anonyme, CoC-Coa, les Mutuelles du Mans ou la Sécu autant l’une que l’autre.
Tu es le champion des comparaisons foireuses pour évacuer grossièrement les points qui minent ta position. No cookie for you.
HarmattanBlow a écrit :
J’ai rappelé que c’était misérabiliste et que les sommes en jeu étaient dérisoires.
Sans aucun chiffre bien sûr. Remarque, il vaut mieux que cela reste confidentiel : vu les sommes gaspillées depuis pour maintenir la SS à flot, la comparaison entre un coût marginalement nul pour la collectivité et un système bancal et ruineux rend le choix très facile. Tu m’étonnes que l’État en soit réduit à utiliser la force pour tenter de remplir les seaux percés des Ponzi sociaux.
HarmattanBlow a écrit :
Plus exactement les économistes savent que ce procédé conduit théoriquement à un optimum de Paretto. Si je possède tout et les autres rien, c’est un optimum de Paretto.
Comme tu dit “théoriquement”. Dans la réalité, le modèle imaginaire n’existe pas.
HarmattanBlow a écrit :
Seule la folie religieuse peut conduire à vouloir laisser faire le marché décider de l’attribution des biens essentiels.
C’est pourtant ce qu’il se passe tous les jours dans le monde entier : les biens essentiels (alimentation en particulier) sont produits et échangés librement. Il n’y a que là où l’État met son groin que les déficits et les pénuries apparaissent (cf Venezuela pour l’actualité).
HarmattanBlow a écrit :
Cela dit la santé n’est pas une ressource finie.
Ce n’est même pas une ressource tout court, c’est un état. La ressource, ce sont les professionnels de santé qui la fournisse, et celle-là est finie. Ce qui justifie que l’allocation de cette ressource soit faite selon les besoins, pas selon une planification centralisée inefficiente, ininformée, gaspilleuse et irresponsable (pas de motivation, zéro productivité, etc). C’est le constat d’échec des Ponzi sociaux.
HarmattanBlow a écrit :
Tmtisfree, roi des faux-culs ! C’est un peu comme ces types d’extrême-gauche qui t’expliquent que si le retraite fonctionnait à la libération, elle doit pouvoir fonctionner aujourd’hui en taxant aussi peu et en partant en retraite à 60ans
Qui plus est tu dois encore prouver que ça fonctionnait, ce qui s’oppose aux témoignages misérables de l’époque.
C’est gonflé pour quelqu’un qui manie le sophisme comme le nourrisson son hochet. Le simple fait que :
1/ ces sociétés civiles très diversifiées car adaptées aux besoins des populations de l’époque soient apparues spontanément en très grand nombre et dans beaucoup de pays,
2/ qu’elles remplissaient (et remplissent toujours) un rôle social et humain de premier plan (comme le prouve leur histoire) sans rien coûter à la collectivité,
3/ qu’elles aient été interdites par la coercition sans motif autre que la main-mise sur le marché de la pauvreté et de la maladie par l’État pour se donner un semblant de façade morale,
4/ que le système substitué est naturellement soumis à la tragédie des biens communs (c’est tous les jours dans les journaux),
suffit à démontrer leur avantage moral, humain et financier sur tout autre système constructiviste centralisé en banqueroute permanente.
Si on suit ta logique, les témoignages et l’existence des “misérables” de nos jours démontrent que le modèle social collectiviste actuel a non seulement failli dans sa finalité (et financièrement), mais qu’il est moins capable que tout autre de se réclamer de moral quand son existence est consubstantiel à la violence étatique.
HarmattanBlow a écrit :
La bonne blague : tu me cites les noms de vos apôtres pour ensuite m’accuser d’être un ignorant si je n’ai pas lu l’intégralité de leur oeuvre.
Maintenant celle de Lepage où l’on nous explique que la sécurité sociale est au service d’obscurs intérêts privés (contrairement aux assurances privées philanthropiques bien sûr), est gratinée et m’a bien fait rire, merci.
Je ne t’ai pas reproché de ne pas avoir lu de livres, je t’ai reproché de te focaliser sur les auteurs (ce qui n’a aucun strictement intérêt = argumentum ad hominem) et de laisser de côté les idées véhiculées par leurs citations.
Tu portes bien ton pseudo, blowing hot air.
Le
08/10/2013 à
22h
39
HarmattanBlow a écrit :
Quelle magnifique citation ne reposant sur rien et vantant ce temps où quelques rombières distribuaient le sou aux pauvres.
La citation repose sur un livre d’Historique qui observe qu’environ 1⁄3 des Americains faisaient partie de ces sociétés (dite fraternelles), ce qui en fait un peu plus que “quelques rombières” (pour ceux qui savent compter tout du moins).
HarmattanBlow a écrit :
Mais, oui, la solidarité est plus grande face à la pauvreté. Cela en fait-il un argument en faveur de la pauvreté ?
La pseudo-solidarité centralisée et coercitive n’a certainement rien fait pour l’arranger : nous sommes classé bon dernier en Europe dans le dernier World Giving Index, qui montre aussi une forte corrélation (positive) entre les pays ‘libres’ et la générosité de leur population.
HarmattanBlow a écrit :
Tu parlais de charité et soudain tu parles de mutuelles. Vas-tu ensuite nous jouer le couplet des pauvres assurances privées empêchées par l’état et son monopole de servir le peuple ?
Ne change pas de sujet : ce sont les plus pauvres qui sont le moins aptes à se soigner, et le système centralisé a remplacé les rapports humains des mutuelles et des diverses sociétés caritatives et philanthropiques par de la pseudo-solidarité d’une bureaucratie rampante basée sur la violence : on ne peut pas se prétendre humaniste et débiter des inepties sur la grandeur d’un système basé sur la violence et présentement en faillite sociale et financière : c’est de la malhonnêteté intellectuelle.
HarmattanBlow a écrit :
Je me suis borné à démontrer que vanter la charité du passé était fallacieux de deux façons différentes. Mais si tu tiens à affirmer que l’enrichissement réalisé depuis se traduirait par une augmentation à proportions nécessaires de la générosité des rombières, prouve-le. Il faut 50% du PIB pour financer éducation, retraite et santé (et quelques autres), prouve-nous que la générosité privé égalerait cela. Et pas de recours fallacieux et trop facile au traditionnel “mais ce serait tellement moins cher avec le privé” ou autres “mais on serait tous tellement plus productifs que les médecins soigneraient en dix fois moins de temps”.
Tu n’a rien démontré du tout : tu as seulement balayé du revers de la main le fait que dans le passé les gens s’occupaient de leurs affaires humaines sans nécessité d’un Command and Control inhumain et qui est actuellement à la dérive parce que basé de facto sur des prémisses erronées : il n’y a pas besoin de démontrer que ce système ne fonctionne pas quand c’est exposé tous les jours sur la place publique.
A l’inverse, n’importe quel économiste de nos jours sait que la manière la plus optimale de maximiser l’utilisation de ressources rares n’est pas de les collectiviser, mais de laisser les individus les échanger selon leurs besoins. Ce qui est valable pour les substrats physiques l’est encore plus pour les affaires humaines. A moins que tous les économistes soient des sophistes, bien sûr. (Pour finir, me demander d’essayer de prouver qu’un système qui fonctionnait mais qui a été accaparé de force pour obtenir le Ponzi actuel dénote un cruel mais trivial manque de discernement et de logique.)
HarmattanBlow a écrit :
Tu aimes décidément asséner des citations d’affirmations gratuites d’illustres inconnus.
Inconnus pour toi : je ne vois pas trop le but d’exposer ton ignorance et d’accuser les autres de souligner leur propos par un expert dans le domaine. Pour faire bonne mesure, je t’en offre quelques autres d’actualité :
Que sera devenue la moralité de l’institution quand sa caisse sera alimentée par l’impôt ? Les abus iront croissants et on en recalculera le redressement d’année en année, comme c’est l’usage jusqu’à ce que vienne le jour de l’explosion.
Frédéric Bastiat
Le système (de sécurité sociale) poursuit en réalité d’autres finalités que celles de soigner et de guérir les malades. Le Sécurité sociale est en effet devenue un gigantesque mécanisme de redistribution de rentes au profits d’intérêts puissamment structurés et implantés au cœur de la vie politique française.
Henri Lepage
La sécurité sociale ne peut pas imposer aux employeurs l’obligation d’acheter plus cher le travail. Elle impose aux salariés une restriction sur le libre emploi de ce qu’ils gagnent au total. Elle ampute la liberté du travailleur d’arranger son budget familial à sa guise.
Ludwig von Mises, L’Action Humaine.
Chaque gouvernement a eu son projet de réforme de la Sécurité sociale ; ils ont tous échoués. Ce n’est pas un hasard, car c’est le principe qui est mauvais. Il faut distinguer radicalement l’assurance de la solidarité. On y verrait beaucoup plus clair. Ce qui signifie que l’on mette un terme au monopole de la sécurité sociale.
Philippe Simonnot
Si les Français sont ‘attachés’ à la sécurité sociale, c’est qu’ils n’ont pas d’autres choix. Si vous aviez le choix, rempliriez-vous d’un liquide précieux un récipient percé de mille trous ?
Jean-Louis Caccomo
Le
08/10/2013 à
20h
10
OlivierJ a écrit :
Mouais. Je ne crois pas que sous le gouvernement précédent c’était mieux sur la liberté au sens large.
Il a simplement omis de précisé “gouvernement socialiste de gauche”. Le précédent “gouvernement socialiste de droite” était pareil, par définition.
OlivierJ a écrit :
C’est agaçant ces commentaires à l’emporte-pièce qui ne riment à rien. Va regarder la définition d’un libéral.
Tu ne voudrais pas qu’il risque une apoplexie (ou pire un changement d’opinion) : le pauvret se rendrait compte que toutes les valeurs qu’il croit défendre dans sa tour dogmatique ensablée sont précisément celles “d’un libéral”, la liberté et la responsabilité en plus.
Le
08/10/2013 à
19h
57
HarmattanBlow a écrit :
Tout ce qui n’est pas pour la suppression des systèmes de santé et d’éducation est un méchant communiste-socialiste-collectiviste couteau entre les dents.
Qui est contre la suppression des systèmes de santé et d’éducation ? Pas moi. Je suis simplement pour rendre à César ce qui lui appartient : la responsabilisation et le choix.
The shift from mutual aid and self-help to the welfare state has involved more than a simple bookkeeping transfer of service provision from one set of institutions to another. As many of the leaders of fraternal societies had feared, much was lost in an exchange that transcended monetary calculations. The old relationships of voluntary reciprocity and autonomy have slowly given way to paternalistic dependency. Instead of mutual aid, the dominant social welfare arrangements of Americans have increasingly become characterized by impersonal bureaucracies controlled by outsiders.
David Beito, 2000. From Mutual Aid to the Welfare State: Fraternal Societies and Social Services, 1890-1967, page 234.
HarmattanBlow a écrit :
Ah oui, tous ces pauvres qui s’agenouillaient en loques à la sortie de l’église et à qui ces grandes dames faisaient donner avec mansuétude un sou. C’était le bon temps !
A l’époque la charité fonctionnait si bien quand les plus de 60 ans représentaient moins de 2% de la population, alors comment douter qu’elle ne puisse fonctionner quand ils sont plus d’un tiers d’entre nous aujourd’hui.
Enculés de pauvres, qu’ils crèvent tous !
En France, pour ta gouverne, les premières mutuelles sont apparues au début du XIXème siècle autour des usines et elles étaient le fruit d’initiatives privées et volontaires. Voyant la réussite, l’État a voulu récupérer le marché de la santé et de la solidarité (valeur individuelle s’il en est), au travers de la loi Le Chapelier en 1791 qui, en particulier, restreignait (déjà !) les droits des sociétaires (par délit de coalition). Puis plus tard en 1930 en lui donnant un caractère obligatoire, et enfin sous le régime de Vichy en la généralisant pour tous les salariés.
Aucune justification autre qu’une main-mise forcée pour établir un culte de la pseudo-solidarité, en remplacement de celle, tout aussi hypocrite, de l’Église : la sphère d’influence change, mais pas la méthode.
De plus ta vue est particulièrement myope et statique : comme si les gens ne s’était pas enrichi depuis 150 ans. " />
L’affection apparente de la population pour la médecine socialisée repose, non pas sur le noble idéal de la compassion, mais sur le soucis calculateur du grand nombre d’accéder à l’assurance santé illimitée aus frais des autres, et aussi sur l’ambition de l’appareil politico-bureaucratique de contrôler une part toujours plus grande de l’économie.
Jean-Luc Migué, 2001. Le monopole de la santé au banc des accusés.
Tu as apparemment pratiqué la réduction de tête sur toi-même : toutes mes condoléances pour cet échec.
Le
08/10/2013 à
17h
16
HarmattanBlow a écrit :
Ce que j’aime chez les libéraux, c’est leur humanisme : ils ne veulent gazer personne, ils ne veulent assassiner qui que ce soit, ils veulent seulement qu’on laisser crever les gens par millions sur le trottoir. Tout juste réclameront-ils qu’on dégage les crevards afin de ne pas avoir à supporter ce spectacle.
Ce qui est étrange chez le collectiviste sans argument, c’est sa propension mythomaniaque récurrente au déni face à la réalité historique (cliché n°35 page 221), comme si son neurone était programmé à décharger bêtement dans le vide même en absence de stimuli.
Ignorant qu’avant les systèmes sociaux imposés et non légaux actuels prêts à s’effondrer sous leur propre poids (comme tout Ponzi d’offres soviétisées), les nécessiteux, malades et autres malchanceux étaient pris en charge (ici ou ailleurs) par la société civile sous forme de centaines de milliers d’associations caritatives, sociétés de charités et d’entraide mutuel, missions et églises (dont un certain nombre existe encore), ils ragotent sur leur ignorance en boucle qui rappelle le rongeur électro-cérébré sur sa pédale de stimulation.
HarmattanBlow : le niveau 0 de l’argument. Parce qu’il le vaut bien.
Le
08/10/2013 à
12h
33
Si les pouvoirs publics freinent des quatre fers pour ouvrir l’accès aux données, c’est bien qu’ils craignent qu’on lève le voile sur l’incompétence dont ils font preuve depuis des années dans la gestion du système de soins.
Les 2 derniers mots sont complétement superflus, mais compréhensibles ici, vu le contexte.
La gabegie et l’inefficience du système de santé (entre autres) sont constatées tous les jours par les professionnels : une auge commune dont le ticket d’accès est gratuit ne dure généralement pas bien longtemps.
Rhôôô les vilains trolls " />, plus sérieusement, je pense que certains fonctionnaires haut placés doivent devenir dingues quand ils voient le niveau de leurs ministres
C’est pour cela que ces fonctionnaires sont rarement remplacés, et que les problèmes persistent : les mêmes politiques conduisent systématiquement aux mêmes impasses.
Mais que le bon peuple se rassure : panem et circenses sont à volonté depuis 40 ans.
La polémique, elle existe surtout parce ceux qui sont censés décortiquer et informer sur l’utilisation au quotidien de ces appareils préfèrent s’en remettre à des modèles de fonctionnement au moins-disant (benchmarks) qui ne la représentent pas.
Quand les journalistes feront leur boulot convenablement au lieu de s’amuser à comparer sur des critères artificiels, la polémique laissera sa place à la discussion.
à crétin, crétin et demi, le spéculateur en à rien à braire de gagner 70€ de + puisque son médicament miracle il s’arrangera pour faire voter une loi qui lui permettra de le refourguer aux pauvres en continuant de s’en mettre plein les poches. C’est toi qui paiera pour ça de ta poche tout en continuant à idolâtrer des gorets.
C’est la définition du rentier (celui qui utilise le politicien pour s’enrichir) que tu donnes, l’exact opposé du spéculateur (celui qui utilise le marché pour s’enrichir).
Bouffon ignare.
Le
04/10/2013 à
22h
59
zart a écrit :
C’est bien mais tu nous avais présenté les spéculateurs comme des héros.
Un spéculateur qui a 10 boites de medoc dans la poche, qui a 10 clients potentiel qui vont mourir sans le medoc vendra 3 boites aux 3 qui peuvent payer 10000€ parce qu’il se fera plus de blé qu’en vendant les 10 boites à 10€, ce qui aurait permis de sauver 7personnes de plus. Bref un spéculateur c’est une ordure sans scrupule qui parfois est suffisamment cultivé pour faire croire que sa présence est un bienfait pour la société…
Ton montage simpliste présume que le spéculateur ne sait pas compter (une projection personnelle sans doute). Si les 10 clients potentiels ont 10€ chacun, quel est l’intérêt du spéculateur à attendre qu’ils décèdent tous et ne rien gagner alors qu’il pourrait obtenir 100€ maintenant et potentiellement beaucoup plus plus tard avec 10 vivants heureux d’avoir été sauvés ? Pour quel motif ce spéculateur devrait refuser aux autres leurs 10€ même si 3 sont près à payer 10k€ chacun ? Si ce spéculateur veut optimiser son profit, alors il a tout intérêt à vendre pour 30070€.
Donc non seulement, ce spéculateur aura gagné au minimum 100€ et au maximum 30070€, mais il aura également sauvé 10 personnes qui lui seront éternellement reconnaissant d’avoir investit dans ces 10 médicaments en prévision de les revendre plus tard (et plus cher).
Assurément, c’est un héros.
En fait tu apparaît pour ce que tu es : un crétin tellement aveuglé par ses préjugés stupides qu’il en est incapable de raisonner avec un minimum de logique.
Le
04/10/2013 à
16h
21
linkin623 a écrit :
" />C’est là que tu te fourvoies. Comme toute théorie, il s’agit d’un cadre de réflexion. Et celui-ci à l’avantage d’être facile à comprendre et à appliquer. Mais il est très loin de décrire le système dans sa complexité.
C’est utile comme point de départ d’un réflexion, pas comme conclusion. Renversement sémantique important.
Une théorie n’est pas “un cadre de réflexion”, c’est un ensemble de conditions minimales qui doivent satisfaire à la réalité. En économie, la formalisation mathématique (qui est de rigueur dans les sciences dites dures) est impossible du fait de cette complexité (une multitude d’agents évoluant selon leurs désidératas et une direction de la causalité incertaine), ce qu’ont bien compris les économistes ‘autrichiens’ en rejetant la tentative explicative simpliste et avortée des ‘keynésiens’ (d’où la mouise actuelle).
Si ces conditions satisfont à la réalité (et tout prouve qu’elles le sont), elles ne sont pas “utopiques”.
Un exemple de plus, s’il en fallait encore, qui démonte l’ineptie de la fabrication de faux droits comme régime de faveur pour la courtisanerie habituelle.
Heureusement que ces artifices juridiques et illégitimes ne seront jamais totalement étanches à la liberté d’entreprendre et de monnayer son savoir-faire.
" /> Tes arguments sont basés sur les dires de personnes qui pensent et écrivent comme toi. Tu argumentes de la même manière que Jean-Luc Mélenchon, en assenant des “vérités”. Je n’ai pas lu une seule fois d’argument factuel dans tes écrits, et ne me retourne pas le compliment, car je n’ai que des opinions à échanger, certainement pas la vérité.
Il se trouve que j’ai découvert ces personnes sur le tard, après y avoir réfléchi par moi-même. J’ai voulu savoir si mes idées avaient une quelconque valeur, et pour ce faire, j’ai commencé à lire autre chose que de la SF. A mon grand étonnement (et frustration), mes idées n’étaient non seulement pas nouvelles, mais encore moins ‘profondes’.
J’ai donc lu encore plus. Il se trouve qu’il a existé et qu’il existe des personnes qui expriment mes idées de manières claires et concises et que je n’ai aucun scrupule à les utiliser à ma façon. Ce ne sont pas plus mes “vérités” (ton terme) que tes opinions sont les tiennes non plus.
Mes arguments remplissent une bonne partie de mon historique. Si tu n’en vois pas (ici ou ailleurs), c’est que la discussion n’a pas encore atteint un stade où il est nécessaire d’en avancer.
Concernant Mélenchon, il est peut-être un bon tribun, mais des idées simplistes et populistes n’ont jamais fait un grand penseur.
Le
04/10/2013 à
16h
02
FunnyD a écrit :
Malheureusement non, dans les années 70, il y avait souvent de la bien meilleure musique… Sinon, ma prémonition s’appuie sur des sources aussi fiables que les tiennes, càd aucune. Je trouve dommage d’être aussi fermée, car ton point de vue pourrait être intéressant si tu voulais bien discuter, plutôt qu’assener tes vérités, mais bon de nous deux, je me demande qui est le plus lobotomisé…
Je n’ai rien contre les passéistes (les modes, le fromage, c’est selon le goût de chacun). Ce qui est plus curieux, c’est les dons divinatoires basés sur … rien. A décharge de ceux vivants dans les années 70s, ils avaient au moins une raison sinon valable, du moins des circonstances atténuantes.
Ce qui t’irrites dans ma soit-disant “fermeture”, c’est en fait l’avantage d’avoir des idées logiques et les arguments pour les soutenir dans un cadre de pensée cohérent et auto-suffisant. Tout le monde ne peut pas en dire autant.
Le
04/10/2013 à
15h
25
FunnyD a écrit :
C’est pas mal, moi j’ai préféré transcender mon cosmos jusqu’à l’infini.
Rien de telle qu’une petite lobotomie collectiviste totale pour retrouver le goût du dégoût.
FunnyD a écrit :
" /> C’est bien tu as une vision à long terme. Moi je pense plutôt qu’un guerrer mondiale nucléaire se profile et que toute trace de vie va disparaitre de la surface de la Terre. Alors tes idées à la con, à coté, c’est du pipi de chat " />
On est resté dans les années 70 ? Tout le monde a évolué depuis (à part les éco-Morlocks pur beurre bien sûr).
Le
04/10/2013 à
15h
19
HarmattanBlow a écrit :
Anarchiste ? Minarchiste ? Tu prévois de flinguer toi-même tous ceux qui pourraient voler tes biens ou tu tiens à conserver un état pour ce faire ?
Je tiens à me conserver en état pour ce faire. Pour le reste, il y a mon historique.
HarmattanBlow a écrit :
“Quand” ? Donc tu prévois de partir ? Si tu as besoin d’aide pour précipiter ton départ, n’hésite pas à me demander !
PS : Je note que tu as esquivé la question, les conclusions à en tirer te déplaisaient ?
Il y avait 2 questions en fait, auxquelles j’ai répondu. Ton imagination serait-elle limitée ?
Le
04/10/2013 à
14h
44
HarmattanBlow a écrit :
Tmtisfree a lu l’intégralité de la panoplie du parfait petit libéral.
J’ai transcendé cette notion (‘libéral’) depuis longtemps (je ne répond même plus quand on m’adjective de la sorte) en poussant la logique jusqu’à sa nécessaire conclusion.
HarmattanBlow a écrit :
Au fait tous les deux, vous vous placez plutôt côté “atlas portant le monde” ou côté “parasite ayant le devoir moral de donner ses organes aux atlas, de leur vouer un culte et de porter leurs enfants” ? Le monde serait-il différent si demain vous disparaissiez ?
Quand on ne sera plus là pour vous supportez (dans tous les sens du terme), vous pourrez toujours, dans vos sociétés collectivistes effondrées, épiloguez ad nauseam sur qui est un loup pour qui en vous battant pour les restes des pauvres hères qui avaient eu la naïveté de vous écouter. J’en ris déjà.
Le
04/10/2013 à
09h
24
HarmattanBlow a écrit :
Mais il n’est pas nécessaire de réguler ça enfin ! L’Assemblée a autre chnose à faire, bon sang, qu’ils arrêtent de pondre des lois inutiles au kilomètre ! C’est une publicité mensongère ou non, point, cela suffit.
Pisser contre le vent ne fait que salir tes chaussures. Tu ne vas pas faire ton John Galt quand même : l’assemblée élue par tous ces ploucs n’a visiblement était élue que pour “pondre des lois inutiles au kilomètre”. On a les (poli)tocards que l’on mérite.
Quels dommage qu’en France peu de responsables politique se sont ému de cet espionnage.
L’adjectif “responsables” est superflu ici.
Pour répondre à ton interrogation légitime, sache que cela est pour ton bien. La nation de ploucs a élu ces tocards pour s’occuper d’elle d’eux, et pour se faire il est nécessaire de savoir qui a besoin de quoi et quand en permanence (le problème du calcul en économie constructiviste).
Comme certains individus (aur)ont l’ineffable prétention de savoir eux-même ce qui est bon pour eux, l’élite élue ne peut évidemment pas les laisser sans surveillance s’accaparer une part trop grosse du gâteau (qui diminue rapidement à mesure que l’État ventripotent augmente), la dictature de la majorité appliquée stipulant que l’égalité forcée (surtout tendant vers zéro) est l’objectif à atteindre, la fin justifiant les moyens.
7067 commentaires
Le récap’ des bons plans du moment, édition spéciale soldes d’hiver
12/01/2014
Le 11/01/2014 à 11h 25
Le 11/01/2014 à 11h 20
Le 09/01/2014 à 19h 19
Sur Pixmania, il y a(vait, j’ai pris les 5 en stock je crois) le disque dur Hitachi 4To HUS724040ALE640 pour 294.01 €, un prix jamais vu pour un modèle enterprise (avec un code de réduction et livraison gratuite).
[MàJ] L’Assemblée nationale met en ligne un registre de lobbyistes
10/01/2014
Le 11/01/2014 à 09h 47
Le 03/01/2014 à 13h 54
Le 03/01/2014 à 12h 57
Mais où en est exactement la version 64 bits de Firefox pour Windows ?
09/01/2014
Le 09/01/2014 à 16h 42
La version 64bit de Firefox s’appelle PaleMoon.
Les députés socialistes tentés par une initiative sur les libertés numériques
08/01/2014
Le 08/01/2014 à 14h 20
Ces ronds de cuir mal tannés s’imaginent sans doute que leur esbroufe politique va nous convaincre que l’état lamentable des Droits des individus, bafoués qu’ils sont par leur folie régulatrice à tendance soviétique, nécessite une autre couche d’insanités législatives histoire de crépir un peu plus de leur fange nauséabonde nos libertés d’Hommes libres.
Doux rêveurs.
PlayStation Now : peu de concret pour l’offre de « Cloud gaming » de Sony
08/01/2014
Le 08/01/2014 à 11h 04
Le 08/01/2014 à 10h 01
Le 08/01/2014 à 09h 54
Le 08/01/2014 à 09h 27
Le 08/01/2014 à 08h 58
Le 08/01/2014 à 08h 31
Avec 4,2 millions d’exemplaires livrés aux consommateurs dans 32 pays à la date du 28 décembre, le constructeur nippon devance d’une courte tête Microsoft et sa Xbox One qui a franchi la barre des trois millions
40% de plus, c’est largement plus qu’une courte tête.
Le gouvernement prépare un comparateur de prix des maisons de retraite
08/01/2014
Le 08/01/2014 à 10h 58
Le 08/01/2014 à 10h 13
Le 08/01/2014 à 09h 52
Le 08/01/2014 à 09h 37
2014 : à quoi devons-nous nous préparer
04/01/2014
Le 04/01/2014 à 09h 27
Mes prévisions pour 2014 : l’année ne sera pas différente de la précédente (tout ce qui n’aura pas marché disparaitra, et tout ce qui est nouveau sera testé).
L’État veut gagner 800 millions d’€ en modernisant ses systèmes d’information
23/12/2013
Le 23/12/2013 à 09h 44
en partie réemployées pour investir dans de nouvelles démarches de modernisation du système d’information, d’innovation et de simplification
Une manière de dissimuler que les économies attendues seront en fait un noir financier de plus par les incompétents de service.
On ne sait peut-être pas calculer chez la clique politocardienne, mais on sait camoufler ses canards spéculatifs dans le brouillard des comptes opaques étatiques.
Dans l’attente du prochain rapport de la Cour de Comptes.
Le ministère de la Culture planche sur les échanges non marchands
17/10/2013
Le 17/10/2013 à 07h 38
l’émergence d’un nouveau modèle économique associant artistes et internautes (…) et fondé sur une contribution créative associée à des budgets publics massifs de soutien à la création
Il n’y a qu’une gourde irresponsable pour penser que distribuer l’argent des autres puisse constituer un “nouveau modèle économique” :
1/ redistribuer l’argent extorqué sous la contrainte n’a rien d’économique : c’est simplement un modèle d’arrangement anti-sociétal imposé par la clique au pouvoir dans la lignée du précédent (ie féodal) pour rester en place car
2/ l’argent volé est déjà largement distribué, même quand les comptes étatiques sont abyssalement négatifs : il faut bien entretenir l’illusion de grandeur par les bouffons du jour et la courtisanerie habituelle du pouvoir.
Un forfait abordable, illimité, et mondial, un rêve bientôt réalité ?
12/10/2013
Le 13/10/2013 à 17h 06
Le 13/10/2013 à 10h 30
Le 12/10/2013 à 12h 15
Piratage : le massif attaque
12/10/2013
Le 12/10/2013 à 12h 26
Combien l’État rembourse aux opérateurs au titre des interceptions judiciaires
10/10/2013
Le 10/10/2013 à 08h 55
Protection des données personnelles : vers un guichet unique en Europe
09/10/2013
Le 09/10/2013 à 16h 13
Le 09/10/2013 à 14h 46
Le concept est simple
On peut donc s’attendre à une usine à gaz technocratique comme seule l’Europe sait en pondre. Il faut bien être premier quelque part.
intégrant dans une procédure de codécision qui permettra d’associer toutes les autorités de contrôle nationales concernées
CQFD
Et si l’on sanctionnait l’incitation aux profanations de cimetières sur Internet ?
09/10/2013
Le 09/10/2013 à 12h 53
Le 09/10/2013 à 12h 42
Le 09/10/2013 à 12h 33
Ouverture des données de santé : nouveau coup de semonce contre l’exécutif
08/10/2013
Le 09/10/2013 à 12h 10
Le 08/10/2013 à 22h 39
Le 08/10/2013 à 20h 10
Le 08/10/2013 à 19h 57
Le 08/10/2013 à 17h 16
Le 08/10/2013 à 12h 33
Si les pouvoirs publics freinent des quatre fers pour ouvrir l’accès aux données, c’est bien qu’ils craignent qu’on lève le voile sur l’incompétence dont ils font preuve depuis des années dans la gestion du système de soins.
Les 2 derniers mots sont complétement superflus, mais compréhensibles ici, vu le contexte.
La gabegie et l’inefficience du système de santé (entre autres) sont constatées tous les jours par les professionnels : une auge commune dont le ticket d’accès est gratuit ne dure généralement pas bien longtemps.
Comment Bercy veut encadrer les publicités sur l’internet haut débit
08/10/2013
Le 08/10/2013 à 08h 30
Le récap’ des tests : tablettes et smartphones à l’honneur
07/10/2013
Le 07/10/2013 à 22h 12
La polémique, elle existe surtout parce ceux qui sont censés décortiquer et informer sur l’utilisation au quotidien de ces appareils préfèrent s’en remettre à des modèles de fonctionnement au moins-disant (benchmarks) qui ne la représentent pas.
Quand les journalistes feront leur boulot convenablement au lieu de s’amuser à comparer sur des critères artificiels, la polémique laissera sa place à la discussion.
Fin du cumul des 5 % de réduction et des frais de port gratuits pour les livres
03/10/2013
Le 07/10/2013 à 22h 02
Le 04/10/2013 à 22h 59
Le 04/10/2013 à 16h 21
Quel modèle économique pour les concerts live diffusés sur le Net ?
05/10/2013
Le 06/10/2013 à 08h 51
Un exemple de plus, s’il en fallait encore, qui démonte l’ineptie de la fabrication de faux droits comme régime de faveur pour la courtisanerie habituelle.
Heureusement que ces artifices juridiques et illégitimes ne seront jamais totalement étanches à la liberté d’entreprendre et de monnayer son savoir-faire.
Les publicités pour l’internet haut débit bientôt mieux encadrées ?
04/10/2013
Le 04/10/2013 à 16h 38
Le 04/10/2013 à 16h 02
Le 04/10/2013 à 15h 25
Le 04/10/2013 à 15h 19
Le 04/10/2013 à 14h 44
Le 04/10/2013 à 09h 24
Surveillance : le Royaume-Uni traîné en justice devant la CEDH
04/10/2013
Le 04/10/2013 à 15h 49