Ils ont un tel PIB par habitant car justement ils ont peu d’habitants et accueillent un nombre de sièges sociaux disproportionné par rapport à leur taille :
Par définition même ça ne peut marcher que pour un nombre limité de pays :
Si tous les pays du monde voulaient augmenter leur PIB / hab de la même façon, au final il n’y aurait plus d’avantage concurenciel et il y aurrait un lissage (Certains verraient leur niveau augmenter un peu… et d’autres baisser pas mal)
1/ Je n’ai pas dit autre chose, mais les autres pays qui suivent le Luxembourg dans le palmarès ont bien plus d’habitants et un PIB/habitant largement supérieur au nôtre. Mon point était que la fiscalité d’un pays a une influence directe sur sa richesse. C’est trivial, mais certains en doutent encore.
2/ Il faut se méfier des généralisations hâtives : l’économie n’est pas une science linéaire et les agents économiques ne répondent pas forcément tous de la même manière à une situation donnée. Il est plus que vraisemblable que même avec une fiscalité mondiale nulle sur les entreprises, il subsisterait des différences notables entre pays (en valeur absolue). Mais d’une manière générale, le niveau de richesse/habitant augmenterait pour tout le monde, ce qui serait louable et sortirait de leur misère les derniers pauvres (ceux avec <1.25$/jour, pas les faux pauvres de chez nous).
Le
06/11/2014 à
10h
05
cayan a écrit :
Si c’est une question de lutte des classes, alors je suis pas de taille.
J’aurais jamais dû m’attaquer à toi.
j’ai commis une grossière erreure.
Pourquoi ? Je lutte tous les jours pour ma classe. " />
Le
06/11/2014 à
10h
02
gwal a écrit :
par contre ta phrase “Ce qui est plus amusant est de pratiquer le vol enfoncer des portes ouvertes.” ne veut rien dire :)
Relis l’article et sa documentation.
Le
06/11/2014 à
10h
01
Zyami a écrit :
Il n’y a rien d’illégal avec les Qatari à la différence du Lux où il s’agit de concuirrence illégal entre état membre.
Depuis quand la concurrence est-elle illégale ? Personne, pas même les journalistes, ont affirmé que les pratiques du Luxembourg étaient illégales, au contraire. Ton affirmation n’a aucun fondement.
Le
06/11/2014 à
09h
50
Rien de nouveau ici, tous les pays pratiquent des avantages fiscaux (pour les Quataris en France par ex.).
Ce qui est plus amusant est de pratiquer le vol enfoncer des portes ouvertes.
Enfin, si le Luxembourg est le pays le plus riche au monde (par habitant), peut-être sa moindre voracité fiscale y-est-elle pour quelque chose.
J’espère que l’on va pouvoir enfin obtenir les données brutes thermométriques historiques de Météo-France afin de vérifier si elles ont été trafiquées a posteriori, comme c’est le cas aux USA, en NZ et en Australie, entre autres.
Il est grand temps que les contribuables qui financent tous ces organismes publics ou parapublics opaques puissent avoir accès aux données et informations produites sur leur dos pour vérifier si l’usage qui en est fait est justifié ou non.
Le jugement me semble satisfaisant, bien que la justification passe partout “d’intérêt général” soit risible.
Ce qui est en jeu est plutôt la mémoire de l’information de corruption active à l’encontre de l’individu condamné, surtout quand on est juge de ses pairs. Payer sa peine ne signifie pas effacer la mémoire des faits.
le député … rappelle notamment les avantages des crypto-monnaies tout en indiquant un besoin d’encadrement
Les “avantages”, on les connait, mais “le besoin d’encadrement” est un pur réflexe pavlovien de polytocard inepte tentant de justifier son inutilité sociétale. Étonnant qu’aucun de ces guignols n’ait encore brandi le crucifix habituel de précaution contre cette menace monétaire diabolique amorale.
Je présage une règlementation de soumission à déclaration administrative pour toute utilisation de bitcoin lors de transaction inférieure à 1 BTC et à autorisation dans tous les autres cas. La taxation ne sera que de 33%. En 3 exemplaires par LRAR avant J+3, évidemment.
Vous avez oublié de noter dans l’article la mesure phare de ‘simplification’ de la fiche de paie : sous couvert d’économiser de l’encre et du papier, les différentes lignes de cotisations disparaissent au profit d’un seule, mais on doit toujours calculer toutes les lignes de cotisations, et faire des additions supplémentaires. En cas d’erreur retrouver la ligne erronée sera très difficile.
De plus, une ligne supplémentaire de cotisation obligatoire au profit des syndicats sera instaurée en janvier 2015, sans évidemment demander l’avis des salariés. Comme elle sera incluse dans le total, ni vu ni connu.
Au final, le salarié ne saura plus combien lui coute les différents postes de sa protection sociale puisque maquillés sous un seul chiffre, et par dessus le marché, on lui extorque le financement des mafias syndicales que cela lui plaise ou non. Mais comme on ne les a pas entendu broncher quand les déductions fiscales des heures supplémentaires ont disparues, cela devrait passer sans problème.
Je suis toujours assez prolixe dans mes actus, après quand on passe 50% des commentaires à se bidouiller la nouille sur quelque chose qui n’est pas le sujet de l’article, j’essaie de recentrer oui.
Quand on allume une mèche, il ne faut pas s’étonner de voir la maison partir en fumée. De plus, le sujet de l’article n’a pas été spécifié clairement par son auteur : on est donc libre de choisir nos thèmes de discussion.
David_L a écrit :
Surtout que ce genre de débat où chacun campe bêtement sur sa position en espérant que ça lui donnera la victoire n’a à peu près aucun intérêt.
C’est justement parce qu’on n’a pas cet état d’esprit simpliste qu’on commente ici.
David_L a écrit :
Et de toutes façons, ce n’est pas franchement le lieu pour ça.
Si ce n’est pas le lieu ici, alors autant faire gagner du temps à tout le monde et fermer définitivement tous les commentaires.
Le
31/10/2014 à
10h
31
Autant le titre (Anarchy participative) était intéressant, autant le déroulé est d’une médiocrité sans nom.
Quel est le rapport entre anarchie et “chaos politique” : aucun.
Quel est le rapport entre une banque qui fait faillite et la sortie de l’Euro : aucun.
L’économie et la société n’ont pas besoin qu’on les (ré)inventent : elles se créent naturellement par l’action humaine.
Les concepteurs ont dû se faire une petite violence cérébrale pour trouver un titre assez anxiogène pour accrocher le péquin moyen, puis confier le business plan (le cas échéant) à des stagiaires.
Tu détournes mes propos. Je dis qu’il y a une fonction pour répondre, une fonction pour citer. Citer n’a pas vocation à ouvrir une branche de conversation, juste à intégrer le contenu d’un commentaire dans une actu pour y faire référence.
Donc effectivement, mélanger les deux n’aurait pas vraiment de sens. Et si des lecteurs citent pour répondre, cela revient à faire n’importe quoi, et donc à créer un foutoir pour l’affichage en conversations.
La multi-citation est un cas spécifique, et comme dit dans l’actu, cela a plutôt vocation à générer une nouvelle conversation plutôt qu’à compléter différentes branches. Dans tous les cas, ce n’est pas à nous de décider qu’une citation doit devenir une réponse ou non. L’utilisateur a le choix, à lui de faire le bon selon les cas.
Je ne vois pas l’intérêt du bouton ‘Répondre’ et j’utilise donc toujours la (multi-)citation à chaque fois que je veux répondre. Une conversation se fait toujours par rapport à un contexte, et il est toujours plus facile de répondre quand le contexte est affiché en clair (en citation, donc).
Actuellement les 2 sont mélangés et le fil de discussion est effectivement illisible (pour moi) puisque le contexte des réponses est systématiquement absent. Je saute donc toutes ces réponses (je n’ai pas le temps pour aller rechercher tous les contextes pour en retrouver le sens).
Vous avez néanmoins tenté de pallier à ce défaut en ajoutant les contextes en hover, ce qui est un plus, mais est quand même moins rapide que d’avoir une citation en bonne et due forme. C’est finalement presque redondant avec la citation (mais avec une moindre place cependant).
PS : un Ponzi s’écroule quand la base de bénéficiaires est devenue plus large que la base de cotisants. Or avec la mort des baby-boomers ce serait plutôt l’inverse. Mais bon, peu importe, je t’ai déjà démontré une fois par a+b que la qualificatif de Ponzi était absurde et tu t’entêtes. Oui tu m’avais donné ton lien tout naze qui prétend que l’incohérence se fait aujourd’hui quand elle remonte en fait à l’origine et est négligeable.
Tu n’avais rien démontré du tout (tout le monde sait qu’il y a eu un déséquilibre au départ puisqu’il a bien fallu commencer à verser sans cotisation) et encore moins mathématiquement, à la différence du lien que je t’ai donné qui calcule les résultats itérativement au cours du temps. Le point est que le système est intenable non seulement théoriquement au cours du temps qui passe s’il n’y a pas toujours plus de nouvelles cotisations pour compenser les versements (comme l’article le démontrait si tu l’avais lu) mais on observe cette descente aux enfers madoffiens en temps réel depuis des années.
Ton attitude ressemble à celle du goret qui voit ses frères partir au cadran et qui pense : jusqu’ici, tout va bien.
Le
24/10/2014 à
18h
57
jeanlucesi a écrit :
Tu n’es pas obligé de prendre une sécurité sociale en France.
Justement avec l’Europe tu peux t’assurer ou tu veux notamment en Angleterre.
La lois Française t’oblige à avoir une sécu mais obligatoirement en France.
Tes 2 phrases sont contradictoires.
Le
22/10/2014 à
08h
20
jeanlucesi a écrit :
Avec l’europe nous avons même le droit de choisir notre sécurité sociale mais UFC que choisir n’en parle pas.
En théorie, oui, mais en pratique, c’est le parcours du combattant voire impossible. Pour mon cas par ex., le changement de SS nécessite d’opter pour une des sociétés d’assurances agréées par l’administration et publiées au Journal officiel.
Sur les 12 officiellement agréées et toutes contactées par mes soins, aucune propose en pratique de remplacer la SS comme régime principal (certaines ne sont même pas au courant qu’elles figurent au Journal Officiel).
Le chemin sera long pour reconquérir la liberté de s’assurer ailleurs qu’au Ponzi national.
Le
22/10/2014 à
08h
09
sygmos a écrit :
Parce que des décisions prises au niveau national seraient plus justes, moins cavalières, moins “lobbyisées” ?
\o/
On peut apprécier tous les jours que non. Les seules décisions qui importent en définitive sont celles des individus : les autres ne sont que des tentatives pour les écraser.
Le
22/10/2014 à
08h
07
sygmos a écrit :
Moui enfin en Allemagne où les autoroutes sans limitation font rêver le franchouillard adepte de vitesse, il y a 4000 morts sur les routes par an. S’pas non plus un modèle super glorieux.
C’est un peu comme leur système économique: ça va tant qu’on fait croire que ça va et qu’on montre pas trop les gens qui en souffrent.
Je visais plus généralement les expériences appliquées de Monderman. Si tu lis l’article (du New York Times, un journal que l’on peut difficilement qualifier de conservateur ; ou de droite par chez nous), tu noteras que les remarques de la journaliste font furieusement penser à un économiste bien connu du XVIIIème siècle, et qui a réglé l’aspect moral et économique des affaires humaines depuis son époque.
Le
22/10/2014 à
07h
40
philanthropos a écrit :
Tout à fait juste. Le problème étant que la vitesse moyenne, étant plus élèvée chez eux, le taux d’accident mortel est (beaucoup) plus élevé (un choc à plus de 130 km/h, même en berline ultra-sécurisée, est presque à 100% mortel pour tous les passagers).
Il reste donc beaucoup de travail et de débats à ce niveau.
A contrario, l’ultra-sécuritarisme (le périph’ Parisien par exemple) devient franchement lourd. On a l’impression de se faire prendre par la main. A entendre nos politique, vivement la voiture sans conducteur pour que tout le monde roule sagement.
Bref, quand au débat sur l’Europe qui se trame dans les commentaires, y’a deux possibilités :
Soit on a affaire à des incultes/idéalistes/réactionnaires qui profitent des bonus de l’Europe (avec un grand E j’entends) et qui crachent sur le reste (parce c’est plus drôle) ;
Soit c’est des trolls simples.
Alors évidement on a les droit de ne pas être d’accord avec l’Europe, et il y a encore beaucoup à pauffiner ; mais avis aux réac’s : l’Europe ne s’écroulera pas, personne ne reviendra dessus et rien ne viendra anéantir ce qui a déjà été construit.
Alors travaillez à l’améliorer au lieu de vouloir sa mort :)
Cependant, pisser dessus (littéralement) comme beaucoup le font c’est indigne.
C’est un processus qui est “relativement récent” dans l’histoire, pour rappel.
Et au vu de la complexité de la tâche qui revient aux dirigeants de cette Union pour réussir à Unir 480 Millions de personnes dans des pays différents, avec des cultures différentes, moi je dis chapeau, et bon courages Messieurs.
Mis à part les extrémistes, ceux qui se plaignent de l’Europe se plaignent surtout de la mainmise d’une clique de bureaucrates surpayés et non redevables (dans le sens ‘not accountable’ en anglais) sur le système, pas de l’idée d’Europe. Autant on peut adhérer à l’idée d’une aire géographique ouverte et libre avec des règles simples, communes et compréhensibles par tous afin de favoriser les relations inter-peuples (et donc l’intégration naturelle), autant l’idée de leur imposer d’en haut à la soviétique comment cela doit se faire ou comment ils doivent vivre est proprement insupportable. L’introduction de l’Euro et de ses conséquences est une parfaite illustration des déficiences pathologiques de la méthode Command & Control à marche forcée.
Le
21/10/2014 à
20h
08
brichmarsa a écrit :
Dire quelque chose comme ça, c’est comme dire qu’on pourrait supprimer les limites de vitesses sur les routes en se disant que les conducteurs se limiteraient eux mêmes après quelques accidents dont ils seraient victimes.
Cela a déjà été expérimenté avec succès dans plusieurs pays : les automobilistes s’auto-régulent eux-mêmes en présence de dangers potentiels, ce qui fait qu’ils ont peu ou très peu d’accidents : ils utilisent leur cerveau plutôt que de le remplacer par des signaux artificiels abscons, incompréhensibles, et souvent mal placés qui donnent un faux sentiment de sécurité.
Le
21/10/2014 à
16h
08
Une bonne chose que cette disparition potentielle. Les gens apprendront enfin à consommer parce qu’ils seront alors seuls responsables de leurs erreurs. Les cas de fraudes pourront être sanctionnés en action de groupe aussi maintenant.
Non, cela n’est pas du au hasard en effet. C’est du justement à la promotion de l’individualisme en tant que modèle de société, sciemment organisée par les classes du haut de la pyramide pour casser l’esprit de classe des moins favorisés. La populace étant ainsi plus facile à contrôler.
Il me semble quand même qu’au cours du temps les individus les plus pauvres (les paysans) sont sortis de leur misère multi-millénaire et ont acquis largement plus de confort que les anciens riches eux-mêmes. Pareil pour les salariés. L’évolution est donc positive pour tous, ce que tout le monde peut constater de visu, et ce qui suffit à expliquer la disparition du concept de classes plutôt qu’une conspiration un peu tirée par les cheveux et plus très convaincante.
ActionFighter a écrit :
Je n’aurai pas du parler de ressources naturelles limitées, c’est vrai.
Néanmoins, ma théorie reste valide, car le niveau de ressources réelles dépend de la productivité, or, celle-ci n’est pas infinie. La quantité de ressources disponible est donc limitée, voir rare pour les méthodes d’extraction les moins productive, et la propriété associée à l’accumulation de capital entraîne de facto un avantage aux classes sociales aisées, avantage qu’elles seront toujours tentées de conserver.
Cela peut paraître quelque peu paradoxal, voir primaire comme vision, j’en conviens tout à fait. Néanmoins, si l’on délaisse les utopies, il apparaît que c’est la meilleure
1/ La productivité n’a pas besoin d’être infinie : elle suit les besoins qui sont eux bornés par le nombre d’individus. Elle varie donc, de même que les ressources, et en amont , la disponibilité en substrats naturels. Rien de bien compliqué, c’est de l’économie de base.
2/ Si le problème est l’accumulation de capital, je n’ai jamais compris pourquoi les moins aisés, plutôt que de céder à la facilité de la société de consommation ou de rester prostrés sur un mode défensif passéiste, ne mettaient pas leur théorie en pratique en accumulant eux aussi du capital et des outils de production : c’est très facile, il suffit d’acheter des actions.
3/ Quant à la propriété, ce n’est qu’un mode de gestion de la rareté. Personne ne conteste que le fruit de son travail lui appartient (suivant les contrats signés entre parties) mais en dernière analyse, et comme décris précédemment, le montant financier total des substrats naturels tangibles utiles à la production (minerais, terres principalement) est dérisoire en comparaison des actifs totaux d’un pays développé qui sont représentés essentiellement par les outils de production (capital) et par le travail (physique et intellectuel). Ce qui veut dire en clair que chaque fois que :
a) tu produis, tu diminues la rareté et rend moins utile la propriété qui te dérange tant ;
b) tu achètes/consommes, tu crées et transferts de la propriété à d’autres (producteurs et travailleurs).
Je ne vois rien de nuisible là-dedans, au contraire.
4/ Il est aussi évident que l’investissement et la possession des outils de production (capital) est un risque à la charge unique du producteur et que la différentiation de traitement entre lui-même et le travailleur ne fait que couvrir ce risque. Mais là aussi, aucun travailleur n’a interdiction de créer ou acquérir des outils de production ou du capital : il y a même des aides pour cela et des moyens modernes d’organisation pour y parvenir.
ActionFighter a écrit :
C’est un abus de langage. “Modèle de société basé sur un mode de production capitaliste” te sied-elle mieux comme définition ?
“mode de production capitaliste” est redondant : il ne peut y avoir de production sans capital pour les outils de production. De même, il ne peut exister de société (moderne) sans production. Donc ta définition est un truisme.
Ce que je visais comme contexte actuel, c’est le mode d’organisation politique actuel (que j’appelle “crapitalisme”) où effectivement chacun se bat comme un chiffonnier pour obtenir des faveur et des privilèges d’une caste de sociopathes professionnels (gouvernement) élus en promettant de voler à l’un pour donner à l’autre (ce qui leur fait déjà au moins 50% d’électeurs dans la poche) plutôt que d’encourager tout le monde à accumuler du capital et à produire. On voudrait prolonger ton système de classes qu’on ne s’y prendrai pas autrement. La solution est de se débarrasser de ce système pourri et pervers plutôt que d’essayer de le réformer : une disparition programmée décrite dans un excellent bouquin nommé The machinery of freedom par David Freidman (le fils du père économiste) et dont le seconde édition est disponible gratuitement ici.
Le
22/10/2014 à
12h
36
ActionFighter a écrit :
Et pourtant, même si le niveau d’éducation s’est considérablement amélioré, on peut constater que ce qui a remplacé les élites d’autrefois sont d’autres élites.
Tout à fait vrai, preuve que tous ces systèmes d’organisation pyramidale possèdent les même tares. Cependant, on constate que l’évolution sociétale est vers plus d’autodétermination individuelle que le contraire. J’aime à penser que cela n’est pas dû qu’au hasard.
ActionFighter a écrit :
Je ne suis pas contre l’affirmation d’une certaine individualité, car elle permet de se soustraire de ses marqueurs sociaux, et de mieux appréhender sa condition pour la faire évoluer, et je dirai même que ce n’est pas l’éducation qui mène à l’individualité mais que les deux sont intimement liés dans le sens où une bonne éducation nécessite une affirmation forte de l’individualité sous peine dans le cas contraire de conférer à la propagande.
Oui.
ActionFighter a écrit :
Mais l’individualisme en tant que doctrine n’est, à mon avis, pas une solution miracle. On ne peut construire une société évoluée et stable en balayant le concept de collectivité. Si cela peut fonctionner à moindre échelle lorsque les ressources naturelles sont abondantes, les liens entre les individus doivent être de plus en plus renforcés dès lors que celles-ci se raréfient afin d’éviter une prise de pouvoir du fait de la captation d’une part de ressources trop importantes.
Je pourrais comprendre cette inquiétude si les substrats physiques étaient effectivement limités et l’économie un paradigme figé. Aucun ne l’est (même si on se limite à la Terre, les quantités ne sont pas connues), et leur importance relative est très marginale dans l’économie en général : j’avais lu il y a longtemps une estimation de la contribution financière des substrats physiques ainsi que la terre (arable ou non), c’est à dire tout ce qui est tangible, au GDP US, et ils ne comptent que pour une poignée de % avec une évolution en chute libre au cours du temps.
Ce qui revient à dire que l’énorme majorité des gains de production n’est le fait que de l’évolution de la technologie (l’application de l’intelligence humaine) à la satisfaction des besoins, et très peu de la quantité de substrats physiques disponibles. Cela exprime l’idée que les ressources réelles (càd qui ont une utilité économique) ne préexistent pas, elles sont créées par un système dynamique et adaptable (l’économie).
ActionFighter a écrit :
Je pense donc que le concept de collectivité est essentiel, sans que la collectivité ne devienne pour autant un dogme comme on pu le faire les théories marxistes/anarcho-socialistes, car du fait de la capacité limité en ressources naturelles de notre environnement, elle est nécessaire pour maintenir un ordre social stable.
La cohésion des individualités selon leur position dans la société étant inévitable pour soit maintenir leur position, soit la faire évoluer, la lutte entre les différentes classes devient dès lors un mécanisme social nécessaire pour que l’écart entre celle-ci soit le plus réduit possible afin d’assurer le maximum de stabilité.
La lutte des classes est donc un principe de bon fonctionnement intrinsèque dans un monde capitaliste, et elle en est même un facteur d’évolution car celle-ci permet à des individus de pouvoir exercer leur individualité en aidant à se détacher de considérations matérielles liées leur condition initiale.
Je ne désespère pas, qu’un jour très lointain, l’éducation, la culture, et surtout l’abondance, permette à ces individualités de fonctionner d’elles-mêmes sans ces mécanismes de régulation, et qu’une société anarchiste non-capitaliste puisse voir le jour, mais d’ici là, je reste convaincu que l’analyse marxiste du fonctionnement du capitalisme est bonne, et que la lutte des classes permet de réguler au mieux celui-ci.
1/ Cf au-dessus pour la différences substrats/ressources.
2/ Cette manière de décrire les rapports humains avec une mentalité de combattant et une description guerrière m’a toujours semblé paradoxale quand dans le même temps ce que décrit l’économie de marché est une coopération pacifique entre des individus pour leurs bénéfices respectifs : càd que leur position relative dans un groupe n’est fonction que de leur capacité à résoudre leurs problèmes plutôt que d’en créer.
Cela dit, je te rejoins sur le fait qu’il soit possible que le concept de lutte des classes soit adapté au contexte actuel : c’est simplement dû au fait qu’on ne peut pas honnêtement qualifier ce dernier de ‘capitaliste’ (ce dont que tu peux facilement convenir si tu lis mes commentaires habituels).
ActionFighter a écrit :
Je te rassure, j’en ai d’autres, mais je ne m’en refuse aucun, fût-ce-t-il infime " />
Me voilà prévenue.
Le
22/10/2014 à
10h
10
ActionFighter a écrit :
Il ne faut pas faire de procès d’intention. Mais je conçois que toute régulation t’effraie.
Loin de moi cette position, mais les expériences passées aidant et le système et ses suppôts étant strictement identiques, il n’est pas déraisonnable de se montrer plus que sceptique sur le sujet.
ActionFighter a écrit :
Non, ce que je voulais dire, c’est que l’expérience passée a montrée que toute société est vouée à disparaître, y compris les individualistes.
Sinon, les sociétés individualistes n’ont de bottom up que la façade. La conscience de classe est toujours présente, spécialement dans les classes les plus aisées, et l’organisation de ces sociétés est souvent le fruit de réflexions collectives pour servir leurs intérêts.
Évolution défavorable plutôt que disparition, je dirais plus généralement. L’évolution n’est d’ailleurs pas forcément positive d’un point de vue social pour l’individu, mais la reconquête de l’autonomie et de l’individualité reste toujours possible, quoi qu’en pensent les zélites.
Le vers corrompu de la réflexion collective est dans la pomme, je n’en doute pas, aidé par la mentalité de meute que tu décris. Ce dernier point peut +/- facilement être réglé par l’éducation, la culture, mais plus vraisemblablement aussi par l’expérience (au long cours, certes). Je ne dis pas que cela sera rapide ou facile. Il existe aussi des facteurs d’instabilité comme l’échelle ou les modes de gestions du nombre qui sont encore à réfléchir et à dompter. Mais je pense que la graine est semée et que l’évolution, si elle sera fatalement avec des hauts et des bas, aura une tendance positive vers l’expression de l’individualité au profit de la collectivité, plutôt que l’expression de la collectivité au détriment de l’individu (qui est le paradoxe irrésolvable actuel).
ActionFighter a écrit :
J’avais bien compris le second degré, c’était juste une occasion pour te taxer de scientiste " />
On a les petits plaisirs que l’on peut. " />
Le
22/10/2014 à
08h
46
ActionFighter a écrit :
Mais l’expérimentation n’est pas interdite en France, elle l’est juste dans l’espace civil à l’heure actuelle. Et la news dit très bien que cette législation sera amenée à évoluer en fonction des besoins.
On est quand même loin de l’obscurantisme.
Ce n’est pas explicitement clair, mais nous verrons bien. Cela dit, l’histoire ne plaide pas en leur faveur.
ActionFighter a écrit :
On pourrait dire la même chose des sociétés individualistes.
Au contraire, ces sociétés ont historiquement une approche (souvent involontairement, càd spontanément) bottom-up qui les met à l’opposé de tout constructivisme. Il n’est donc pas question de scientisme dans leurs cas, mais d’empirisme.
ActionFighter a écrit :
La fonction n’est pas tellement la question, c’est surtout ton côté scientiste qui tend à organiser la sexualité avec des fonctions mathématiques qui me laisse perplexe " />
Je vois maintenant ce que tu veux dire, et je reconnais que la prise en compte de ma formulation initiale au premier degré peut prêter à confusion.
Le trolling n’est pas toléré dans les commentaires et le mien n’a pas été jugé comme tel : ton interprétation initiale simpliste et superficielle est donc toujours aussi fantaisiste et erronée. L’appel au consensus n’y change rien puisque les autres ont eu au moins l’intelligence de ne pas s’enferrer un peu plus.
Le
22/10/2014 à
07h
44
KP2 a écrit :
Alors, pour la derniere fois, si c’est pas du troll, c’est quoi ?
On est plus proche du troll que de l’ironie . Pour moi, le sarcasme est justement de la moquerie assez bete et tres mechante… comme les trolls quoi… Quoiqu’il en soit, t’as toujours pas dit clairement ce que tu voulais sous-entendre finalement et pour l’instant, ca me donne plus l’impression que tu cherchais plus à troller qu’autre chose. Donc si tu t’es faite mouchée par 4 personnes dont moi, c’est pas etonnant faute d’informations complementaires…
Mon Petit Robert édition 2000 donne comme définitions :
en 1/ Ironie, raillerie insultante.
en 2/ Trait d’ironie mordante.
Comme je ne visais personne en particulier, la définition n° 2 s’applique et rejoint ma réponse à ton commentaire initial, ce qui fait que ton interprétation était erronée, mais je dois dire que ce réflexe pavlovien à crier au troll à la moindre occasion sans savoir et ce besoin de rallier la meute pour se donner plus de poids une fois informé est plutôt amusant.
Le
21/10/2014 à
15h
32
KP2 a écrit :
Ca n’a rien de clair, au contraire meme…
Si ton [/sarc], veut dire “sarcasme” alors ca appuie encore plus le troll car le sarcasme est justement l’arme n°1 des trolls de bas etage.
Si ton objectif final etait de faire de l’humour et denoncer le discours debile de l’obsolescence programmée a tout bout de champs, il aurait mieux valu mettre “ironie” qui sous-entend un 2e degré de lecture.
Ce sont les nuances de la langue francaise…
Un sarcasme est est de la moquerie à un degré plus élevé que l’ironie, une forme de dérision ou de raillerie d’une position intenable. Voir du troll partout me fait douter de ta capacité à bien discerner les “nuances de la langue française”.
Le
21/10/2014 à
14h
51
MickeyFreeStyler a écrit :
Pourquoi toujours parler d’obsolescence programmée? A un moment donné, pour gagner en performance, il n’y a pas trop le choix.
GierrePattaz a écrit :
Tu es aussi pertinente sur la techno que sur l’économie dis moi " />
patos a écrit :
L’obsolescence programmée reviendrait à dire que demain ton téléphone ne pourrait plus faire les mêmes choses qu’aujourd’hui.
Demain, ton téléphone pourra bien te fournir le même usage qu’aujourd’hui. Il ne pourrait éventuellement peut être pas en faire plus qu’aujourd’hui, mais il n’en fera pas moins qu’hier.
KP2 a écrit :
Faut arreter de raconter n’importe quoi, c’est simplement de l’evolution technologique…
Ok, je n’ai pas été assez précise et comme je m’en voudrais de vous laisser dans votre incompréhension, je vais la refaire gratuitement.
L’évasion et le contournement de la transparence sur les conséquences de leurs activités est malheureusement une constante chez les irresponsables politiques, en dépit de l’affichage en public du contraire.
A l’aire numérique, ils feront tout pour ne pas être démasqués : leur incompétence et leur servilité aux lobbies doivent être protégées, il ne faudrait pas que les individus se rendent compte de la destination du matraquage fiscal et taxatoire dont ils font l’objet.
Bravo et merci pour votre opiniâtreté en la matière, vous faites honneur à votre profession (pas comme d’autres).
Si tu avais réellement pris le temps de me lire, tu comprendrait que les “activistes” n’y sont absolument pour rien dans mon opinion.
Et dans la vie, on ne trouve pas des études pour “prémacher” la pensée sur tous les sujets. C’est comme ça.
D’ailleurs, personne ne t’a jamais demandé de croire quoi que ce soit. Ton opinion te regarde. Des gens t’ont donné leur avis, de quoi comprendre l’origine de leur avis et des pistes pour te forger ta propre opinion par toi même.
Il ne tient qu’a toi d’apprendre à démonter et réparer les objets par toi même. Et la, tu comprendra tout sans l’aide de personne.
Quand à nier l’existence d’un phénomène sous prétexte qu’il n’existe pas encore de vraies études, c’est aussi faire des supposition hasardeuse et donc de la pseudo-science.
Toute vérité scientifique reconnue a d’abord été un postulat non vérifié. Et nombre de médicaments indispensables et prescrits par des médecins ont aussi été en leur temps des recettes de grand mère.
Tu me reproches de ne pas avoir de chiffres et de données structurées à te donner. Réalises que ce n’est pas parce que je dispose de la matière pour me faire une opinion pour moi que j’ai pour autant le temps, l’argent et l’envie de passer des mois à réaliser une étude scientifique sur mes propres deniers. Le tout pour ne pas gagner un rond dessus. Et puis quoi encore ?
Quand à tes suppositions gratuites sur des exemples concrets, comme je l’ai écrit, je peux justement t’en donner des dizaines qui vont de l’automobile à l’ordinateur en passant par le mixer et le chauffage d’appoint.
Discuter de ça est d’ailleurs beaucoup plus intéressant, concret et instructif que de polémiquer sur l’existence d’études scientifiques.
Les avis, opinions et autres potins individuels ne pourront jamais résoudre la supputation avancée parce que le problème est un problème technique et que seule une approche technique (et donc scientifique, càd statistique ici) pourrait permettre de le quantifier avec une (in)certitude connue. Il se trouve que l’on a justement inventé la méthode scientifique et l’analyse statistique pour palier aux déficiences et autres biais de l’observation individuelle : le fait de vouloir s’en passer est déjà plus que suspect déontologiquement.
D’un point de vue économique et logique, cela ne tient pas plus la route tant en théorie qu’appliqué comme mentionné précédemment, je ne vais pas y revenir.
Enfin, d’un point de vue purement pratique, sans doute que depuis le moment où il a été postulé (les années 20), d’autres avec les moyens adéquats (pas toi donc) auraient déjà dû facilement prouver que ce problème était si répandu. Or tout ce que l’on nous propose, ce sont des anecdotes invérifiables sensées expliquer un complot mondial contre le porte monnaie du consommateur transformé pour l’occasion en demeuré (incapable de prendre une décision raisonnable, mais plus quand il s’agit de voter) et sans mémoire (rachetant la même marque qui l’a ‘trompé’ 1 an avant).
Il ne faut pas s’étonner dans ces conditions du scepticisme compréhensif face à un ‘problème’ qui a tous les attraits du mythe, ou de la légende urbaine pour être charitable.
Le
21/10/2014 à
07h
31
2show7 a écrit :
Je comprends pourquoi on fabrique une multitude de produits différents pour une même utilité, cela permet de jeter les statistiques à la poubelle, car ils n’ont plus le temps d’être critiqué puisque ces produits ne sont plus d’actualité (dire qu’une simple petite lettre correspond à un produit différent). je comprends alors pourquoi il est facile de tout avaler (et comme on ne s’attaque qu’un produit à la fois, ça devient inutile, mais les parcs à containers et magasin seconde main, eux, fonctionnent très bien) triste monde, mais certains y trouvent leurs comptes (mais est-ce que cela va encore durer pour le seconde main avec ces brevets et objets connectés ?)
Je ne pense pas répondre (ça tourne en rond)
1/ Pas de complot là non plus : différents produits pour répondre aux besoins différents de différentes personnes ou groupes de personnes.
2/ Quelles statistiques, celles non réalisées ou celles non significatives ? Les autres, on les attend toujours.
3/ Aucun individu n’est forcé d’acheter ce qui est proposé sur le marché (à la différence des ‘produits’ et ‘services’ imposés par la violence du monopole étatique). Ta vision figée de l’échange librement consenti et aux bénéfices des parties (= le marché) est complètement obsolète : un marché est une entité mouvante, dynamique et adaptable, càd vivante, tant dans l’espace que dans le temps, tant des parties que des produits/services échangés. C’est le grand échec du socialisme (celui d’origine, pas le succédané actuel) que ne l’avoir pas compris (entre autres choses).
4/ Le marché de l’occasion existe pour la même raison que le marché du neuf : il répond à un besoin. Il ne disparaitra que si le besoin disparait. Une simple logique opérationnelle et effective qui est complémentent imperméable aux adorateurs du Command & Control.
5/ Les brevets (et IP, copyright, etc) sont un cas intéressant de la création et du maintien par la violence et la force de faux droits (les droits de propriété n’existent que pour gérer la rareté, alors que les faux droits n’existent que pour créer cette rareté) au profit d’une caste de profiteurs en cheville avec le pouvoir étatique (ce que je nomme du néologisme anglicisé ‘crapitalisme’). Tu ne sembles pas connecter le fait que ta demande implicite de contrôle a priori de la production pour des motifs impossibles à prouver (l’obsolescence programmée) est justement celle qui a conduit à la création des brevets et autres faux droits que tu réprouves.
6/ Ton choix.
Le
19/10/2014 à
21h
23
Ton charabia vaguement généraliste fonctionne peut-être avec les gogos, naïfs, autres incultes du chiffre prêts à avaler toutes les théories complotistes et fadaises à la mode chez les escrologistes du moment, cela n’en reste pas moins du verbiage non sensique dans le cadre de la fumisterie qui nous occupe, même pas bon à évader ton problème principal : tu es incapable de prouver ce que tu avances, pas le moindre petit exemple effectif, pas la moindre petite donnée qui pourrait permettre d’au moins cerner l’étendue du problème, rien, rien d’autres que des stratégies transparentes d’évitement de ton problème de preuve. On demande des données mesurées objectivement et indépendamment, pas des a priori biaisés de militants activistes dopés à la pseudoscience et économiquement ignares.
Le
19/10/2014 à
07h
07
sr17 a écrit :
Et cela prouve t’il quelque chose ?
…
Bref, on en revient toujours au problème de la connaissance du sujet.
Je n’ai rien à prouver parce que je n’ai rien affirmé qui ne soit pas démontrable. Des méthodes d’analyse ont été établies pour s’affranchir des limites, biais cognitifs et autres défauts de perception humains (qu’exemplifient tes pontifications lénifiantes et grandiloquentes ci-dessus).
Le refus de faire l’effort intellectuel de les utiliser pour mesurer, càd objectiver, le problème traduit une position qui n’est pas différente de celle des charlatans (une constante chez les escrologistes). Ton affirmation initiale n’est qu’une pure spéculation aisément contredite tant que tu n’auras pas démontré son existence de manière objective.
Tout le reste n’est que poudre aux yeux et écran de fumée rhétorique.
Le
18/10/2014 à
09h
46
Drepanocytose a écrit :
Je n’affirme plus rien depuis un moment là, a part que je suis ignorant et que je ne sais pas.
Donc, pour la 6eme fois, au lieu de justiger mes méthodes d’analyse que j’admets moi même une 4eme fois être inefficaces et inadaptées au regard de la science pure, je te demande de nous donner des faits qui pourraient m’inciter à penser que ta position est plus proche de la vérité que la mienne.
Je ne demande qu’à apprendre !
Ou bien juste comme moi, tu ne sais pas ce qu’il en est, et tu préfères ne rien faire plutôt que chercher et douter, ce que fait un scientifique quand il n’a pas un modèle solide.
Soit. Si tu relis mes commentaires avant ton apparition sur le fil, j’ai donné plusieurs explications économiques et les incohérences de la position. Je ne vais certainement pas perdre mon temps à les réécrire pour compenser ta paresse à les chercher. Si tu veux aller plus loin, une visite ici s’impose.
J’en resterai là.
Le
18/10/2014 à
09h
29
Drepanocytose a écrit :
Pas besoin de prouver mon incapacité à justifier, je l’ai admise plus haut deux fois de suite : cesse donc de t’attarder là dessus et enseigne nous la vraie vérité démontrée correctement, STP.
Envoie la démonstration STP, pour la 5ème fois. Envoie les chiffres, les sources, etc.
Ou bien admets que toi aussi, tu ne sais pas (on en revient à l’art du doute), et cesse ce ton hautain sans fondement.
Si tu me prouves que l’obsolescence programmée n’existe pas, je m’incline humblement.
C’est exactement ce que je ne fais pas : je te dis “ok je n’ai pas prouvé que c’est vrai”. Donc ca peut être soit vrai, soit faux : rien n’est prouvé, et moi je n’arriverai pas à prouver quoi que ce soit.
Je te demande donc de me dire si c’est vrai ou faux, avec des preuves.
Tout simplement parce que le boulot inverse, tu ne peux pas le faire non plus.
Parce que si c’était si facile, quelqu’un de bien plus malin que toi et moi réunis l’aurait déjà fait, soit pour prouver que c’est vrai, soit que c’est faux.
1/ Ce n’est pas moi qui le soutient.
2/ Tu ne peut pas affirmer qu’une proposition est vrai (ou fausse) simplement parce qu’on n’a pas prouvé le contraire. C’est un appel à l’ignorance souvent utilisé pour inverser la charge de la preuve (cf 1/), et tu es tombé dans le panneau comme un débutant.
Le
18/10/2014 à
09h
09
Drepanocytose a écrit :
Pour ton point 2, peut être qu’un portefeuille pas infiniment plein m’empêche aussi d’acheter tous les produits de la terre, non ?
Et l’echantillon de produits que je suspecte, je l’ai déjà : ceux que j’achète au boulot, et dont je t’ai parlé plus haut. Et que tu as encore une fois botté en touche, pour ensuite ironiquement me reprocher de ne pas l’avoir..
Amusant.
1/ Pas mon problème : lance un appel au don, travaille plus, monte une association, demande des subventions au ministère de l’inculture, etc.
2/ Tu as quelques échantillons âgés qui, si on accepte qu’ils suivent une distribution normale (ce qui n’est probablement pas le cas, mais on n’est plus à cela près maintenant), sont loin de l’absolu minimum pour pouvoir conclure correctement, un minimum qui est donné par la formule t²p(1-p)/e² où e est la marge d’erreur, t l’intervalle de confiance et p le % attendu (vérifies mes calculs plus haut).
Tu peux tourner en rond longtemps, mais tant que tu n’auras pas commencé par le commencement tu ne prouveras de fait que ton incapacité à justifier convenablement ta position. Je te laisse cela à méditer.
Le
18/10/2014 à
08h
57
Drepanocytose a écrit :
Alors j’en reviens au début : ok j’admets donc que ma méthode d’analyse est pleine de sophismes et totalement biaisée, et que donc mon résultat est sujet à caution. Sous entendu, ce que j’annonce vrai n’est pas prouvé vrai. Ne pas être prouvé vrai n’implique pas que c’est faux : il manque encore la preuve que soit c’est vrai, soit c’est faux.
Prouve moi donc maintenant avec une méthodologie scientifique basée sur un echantillon suffisant, que tout ce qui est dit au dessus est faux. Vu que moi je ne peux pas prouver que c’est vrai, je te demande de me prouver que c’est faux.
Tu n’as pas de méthodes d’analyse pour le moment, ce qui t’empêche de conclure, et je n’ai rien à voir avec tes difficultés à justifier tes dires autrement que de noter leurs limites, comme déjà mentionné, et de te montrer les pistes pour y parvenir. Je ne ferai pas ton boulot à ta place.
Le
18/10/2014 à
08h
45
Drepanocytose a écrit :
Ne fais pas semblant de ne pas comprendre, je repète : quand on n’a pas accès à l’echantillon suffisant pour faire de la statistique, on se doit de tout de même explorer les choses avec la mesure à notre portée.
Un chercheur qui n’a pas les moyens de faire ses recherches, continue quand même de chercher en mode dégradé, bordel !
1/ Les chercheurs sont vivants, tu y as donc accès pour faire un sondage : reconnais que seule ta paresse (intellectuelle) prévaut et que sa justification n’a d’égale que la préservation de ton égo et tes idées tordues
2/ Rien ne t’interdit d’acheter un échantillon de produits vendus que tu suspectes : là aussi seule une mauvaise foi en béton armé ne peut que te motiver à l’évitement d’avoir à remettre en question tes croyances infondées.
Le
18/10/2014 à
08h
37
Juste pour rire, je liste rapidement les sophismes de ton ‘commentaire’ :
Drepanocytose a écrit :
Un peu de maieutique : applique ton raisonnement au cas Edward Snwoden et à la tromperie généralisée qui est de dire “le cloud c’est safe”.
Homme de paille, biais de sélection, hors sujet et preuve par anecdote.
Drepanocytose a écrit :
Nous étions nombreux à nous douter que c’est evidemment faux, mais des gens comme toi nous sortaient “faites péter les preuves”. Ca n’avait pas de sens, rien que le risque que ca existât imposait une vigilance spéciale.
Et après que Snowden ait filé les preuves (un grand merci à lui), curieusement les opposants on les entend moins.
Culpabilité par association, argumentum ad populum, biais d’autorité, biais d’auto-complaisance.
Drepanocytose a écrit :
Idem avec le cas de la nocivité du tabac. Idem avec le cas de la nocivité de l’amiante. Idem avec le cas de la resistance aux antibios (les pharmaciens industriels ont longtemps affirmé que non, tu le sais ca pour être ton métier)… Idem le cas de la synergie positive de l’effets des microcontaminants chimiques. Idem le cas de la pollution infinitesimale en quantité ais maximale en effet des micropolluants hormonomimétiques, etc.
Hors sujet, non-sequitur, faux dilemme et confusion entre corrélation et causalité.
Drepanocytose a écrit :
Voilà des cas où on comprend que l’art du doute est utile en soi.
Appel à l’ignorance.
Le
18/10/2014 à
08h
17
Drepanocytose a écrit :
Je vais te donner un exemple de plus qui en plus est cohérent avec le fait qu’on soit sur NXI.
Partout, mais alors partout où je suis passé, j’a souvent été le plus calé, et de très très loin, en informatique de base, soit côté utiisation du soft / programmation, soit du côté du hard.
Ca a toujours étonné tous mes collegues que je sache aussi bien me servir d’un PC (et par extension d’un automate).
Pour moi c’est symptomatique, ca : on a là l’exemple d’un outil que les scientifiques utilisent tous les jours, mais qui est une boite noire pour eux. Dès que ca foire, on apelle l’IT ou “le geek” (c’est mon surnom au taf).
Idem pour les connaissances en electricité : ca fait peur aux gens, les gens mêmes scientifiques ne s’y interessent pas et donc n’y mettent pas les mains.
Dans le cas de mes collègues, ne rien bitter à l’electricité c’est un peu dommage, surtout quand on construit des équipements avec des armoires electriques et du courant faible / instrumentatin dans tous les sens….
Tu confirmes généreusement que les méthodes d’analyse statistique sont complètement opaques pour toi, en dépit de tes compétences supposées. Je ne vois pas l’intérêt de perdre plus mon temps.
Le
18/10/2014 à
08h
14
Drepanocytose a écrit :
Dans le cas présent, ni mesure objective, ni même l’approximation que tu fais plus haut ne sont valables…
Tu ne peux pas plus prouver quoi que ce soit là dessus que nous, et comme aucune mesure rationelle ne vaut, tout le monde se contente de la mesure subjective, parce qu’il n’y a que celle là de disponible et que de toute facon, elle n’est pas moins noble que la soit disant mesure objectiver, qui elle aussi peut êter biaisée de 10.000 facons différentes.
Ta mauvaise foi est tellement transparente. Suite à ta demande, je t’ai calculé quel devait être ton échantillon minimal pour commencer à avoir un début de réponse à l’aide d’une méthode d’analyse correcte (celle des petits nombres), et tout ce que tu trouves à avancer est qu’on ne peut pas ? Mais même si ta position était défendable, ce qu’elle n’est pas, elle sous-entend que l’existence du concept fumeux restera en l’état puisqu’à jamais indémontrable. La conclusion n’a donc pas varié d’un iota : il n’existe pas ailleurs que dans les délires conspirationnistes escrologiques et autres charlataneries intellectuelles postmodernes.
7067 commentaires
LuxLeaks : comment le Luxembourg dégonfle l’impôt des géants du net
06/11/2014
Le 06/11/2014 à 13h 02
Le 06/11/2014 à 10h 05
Le 06/11/2014 à 10h 02
Le 06/11/2014 à 10h 01
Le 06/11/2014 à 09h 50
Rien de nouveau ici, tous les pays pratiquent des avantages fiscaux (pour les Quataris en France par ex.).
Ce qui est plus amusant est de pratiquer le vol enfoncer des portes ouvertes.
Enfin, si le Luxembourg est le pays le plus riche au monde (par habitant), peut-être sa moindre voracité fiscale y-est-elle pour quelque chose.
Réutilisation de données : le silence de l’administration vaut acceptation
04/11/2014
Le 04/11/2014 à 17h 37
J’espère que l’on va pouvoir enfin obtenir les données brutes thermométriques historiques de Météo-France afin de vérifier si elles ont été trafiquées a posteriori, comme c’est le cas aux USA, en NZ et en Australie, entre autres.
Il est grand temps que les contribuables qui financent tous ces organismes publics ou parapublics opaques puissent avoir accès aux données et informations produites sur leur dos pour vérifier si l’usage qui en est fait est justifié ou non.
En justice, la liberté d’expression supplante parfois le droit à l’oubli
04/11/2014
Le 04/11/2014 à 10h 34
Le jugement me semble satisfaisant, bien que la justification passe partout “d’intérêt général” soit risible.
Ce qui est en jeu est plutôt la mémoire de l’information de corruption active à l’encontre de l’individu condamné, surtout quand on est juge de ses pairs. Payer sa peine ne signifie pas effacer la mémoire des faits.
Un député demande au gouvernement de prendre position sur les crypto-monnaies
03/11/2014
Le 03/11/2014 à 17h 27
le député … rappelle notamment les avantages des crypto-monnaies tout en indiquant un besoin d’encadrement
Les “avantages”, on les connait, mais “le besoin d’encadrement” est un pur réflexe pavlovien de polytocard inepte tentant de justifier son inutilité sociétale. Étonnant qu’aucun de ces guignols n’ait encore brandi le crucifix habituel de précaution contre cette menace monétaire diabolique amorale.
Je présage une règlementation de soumission à déclaration administrative pour toute utilisation de bitcoin lors de transaction inférieure à 1 BTC et à autorisation dans tous les autres cas. La taxation ne sera que de 33%. En 3 exemplaires par LRAR avant J+3, évidemment.
Carte d’identité des entreprises, nouveaux téléservices… Le détail des mesures de simplification
03/11/2014
Le 03/11/2014 à 11h 15
Le 03/11/2014 à 10h 53
Vous avez oublié de noter dans l’article la mesure phare de ‘simplification’ de la fiche de paie : sous couvert d’économiser de l’encre et du papier, les différentes lignes de cotisations disparaissent au profit d’un seule, mais on doit toujours calculer toutes les lignes de cotisations, et faire des additions supplémentaires. En cas d’erreur retrouver la ligne erronée sera très difficile.
De plus, une ligne supplémentaire de cotisation obligatoire au profit des syndicats sera instaurée en janvier 2015, sans évidemment demander l’avis des salariés. Comme elle sera incluse dans le total, ni vu ni connu.
Au final, le salarié ne saura plus combien lui coute les différents postes de sa protection sociale puisque maquillés sous un seul chiffre, et par dessus le marché, on lui extorque le financement des mafias syndicales que cela lui plaise ou non. Mais comme on ne les a pas entendu broncher quand les déductions fiscales des heures supplémentaires ont disparues, cela devrait passer sans problème.
Ce soir, France 4 fera dans l’Anarchy participative
30/10/2014
Le 31/10/2014 à 10h 39
Le 31/10/2014 à 10h 31
Autant le titre (Anarchy participative) était intéressant, autant le déroulé est d’une médiocrité sans nom.
Quel est le rapport entre anarchie et “chaos politique” : aucun.
Quel est le rapport entre une banque qui fait faillite et la sortie de l’Euro : aucun.
L’économie et la société n’ont pas besoin qu’on les (ré)inventent : elles se créent naturellement par l’action humaine.
Les concepteurs ont dû se faire une petite violence cérébrale pour trouver un titre assez anxiogène pour accrocher le péquin moyen, puis confier le business plan (le cas échéant) à des stagiaires.
Bref, de la TV française.
Les commentaires s’améliorent et peuvent s’afficher sous forme de fils de discussion
29/10/2014
Le 29/10/2014 à 20h 06
[Interview] UFC-Que Choisir : Internet, bientôt le règne du camelot ?
21/10/2014
Le 24/10/2014 à 19h 12
Le 24/10/2014 à 18h 57
Le 22/10/2014 à 08h 20
Le 22/10/2014 à 08h 09
Le 22/10/2014 à 08h 07
Le 22/10/2014 à 07h 40
Le 21/10/2014 à 20h 08
Le 21/10/2014 à 16h 08
Une bonne chose que cette disparition potentielle. Les gens apprendront enfin à consommer parce qu’ils seront alors seuls responsables de leurs erreurs. Les cas de fraudes pourront être sanctionnés en action de groupe aussi maintenant.
La France ne veut pas des drones de livraison d’Amazon ou de Google
16/10/2014
Le 22/10/2014 à 22h 26
Le 22/10/2014 à 12h 36
Le 22/10/2014 à 10h 10
Le 22/10/2014 à 08h 46
App Store : les nouvelles applications devront être en 64 bits dès février 2015
21/10/2014
Le 22/10/2014 à 10h 22
Le trolling n’est pas toléré dans les commentaires et le mien n’a pas été jugé comme tel : ton interprétation initiale simpliste et superficielle est donc toujours aussi fantaisiste et erronée. L’appel au consensus n’y change rien puisque les autres ont eu au moins l’intelligence de ne pas s’enferrer un peu plus.
Le 22/10/2014 à 07h 44
Le 21/10/2014 à 20h 27
Le 21/10/2014 à 15h 32
Le 21/10/2014 à 14h 51
Le 21/10/2014 à 10h 52
Obsolescence programmée [/sarc].
Next INpact v6 : les commentaires sont de retour, les nouvelles options sont en place
21/10/2014
Le 21/10/2014 à 15h 24
More tests
A/B = 8πhv³/c³
B₁₂ = πe²|D₁₂|²/3∈₀ħ²
Le 21/10/2014 à 15h 01
Cool.
Le 21/10/2014 à 15h 00
test α, β
Le 20/10/2014 à 17h 15
Les commentaires intègreront ainsi un système de pagination sur le haut de la section
Ah merci bien !
Justice : l’édifice de la redevance copie privée tremblera le 24 octobre
21/10/2014
Le 21/10/2014 à 09h 57
Les échanges en Commission copie privée sont consultables… sur place
21/10/2014
Le 21/10/2014 à 08h 39
L’évasion et le contournement de la transparence sur les conséquences de leurs activités est malheureusement une constante chez les irresponsables politiques, en dépit de l’affichage en public du contraire.
A l’aire numérique, ils feront tout pour ne pas être démasqués : leur incompétence et leur servilité aux lobbies doivent être protégées, il ne faudrait pas que les individus se rendent compte de la destination du matraquage fiscal et taxatoire dont ils font l’objet.
Bravo et merci pour votre opiniâtreté en la matière, vous faites honneur à votre profession (pas comme d’autres).
L’Assemblée vote de nouvelles dispositions contre l’obsolescence programmée
15/10/2014
Le 21/10/2014 à 08h 22
Le 21/10/2014 à 07h 31
Le 19/10/2014 à 21h 23
Ton charabia vaguement généraliste fonctionne peut-être avec les gogos, naïfs, autres incultes du chiffre prêts à avaler toutes les théories complotistes et fadaises à la mode chez les escrologistes du moment, cela n’en reste pas moins du verbiage non sensique dans le cadre de la fumisterie qui nous occupe, même pas bon à évader ton problème principal : tu es incapable de prouver ce que tu avances, pas le moindre petit exemple effectif, pas la moindre petite donnée qui pourrait permettre d’au moins cerner l’étendue du problème, rien, rien d’autres que des stratégies transparentes d’évitement de ton problème de preuve. On demande des données mesurées objectivement et indépendamment, pas des a priori biaisés de militants activistes dopés à la pseudoscience et économiquement ignares.
Le 19/10/2014 à 07h 07
Le 18/10/2014 à 09h 46
Le 18/10/2014 à 09h 29
Le 18/10/2014 à 09h 20
Le 18/10/2014 à 09h 09
Le 18/10/2014 à 08h 57
Le 18/10/2014 à 08h 45
Le 18/10/2014 à 08h 37
Juste pour rire, je liste rapidement les sophismes de ton ‘commentaire’ :
Le 18/10/2014 à 08h 17
Le 18/10/2014 à 08h 14