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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 13/01/2015 à 09h 26







FunnyD a écrit :



Ils sont bizarres tes amis facebook <img data-src=" />

Pas faux <img data-src=" /> Surtout que j’ai vraiment l’impression qu’ils sont condamnés sous le coup de l’émotion.







Si ce n’était que l’émotion.



#jesuistmtisfree


Le 02/01/2015 à 17h 12

Rooh, Marc, le sous-titre !

Le 31/12/2014 à 10h 57







balou007 a écrit :



Vous en êtes réduit à verser dans la pathos ?

Faut-il rappeler “que sur les 410 000 € de recettes générées par les lotos, seule la trace de 27 000 € versés à des associations caritatives a été retrouvée” ?

Le jour où je prends du sursis pour plus de 400 infractions à la législation,  je ne sombre pas dans la dépression,  j’en sors :)

Reste la question essentielle : les héritiers ont-il renoncé ou accepté la succession ?







Ah, mais c’est faire la supposition infondée, erronée et inique que ladite “législation” est légitime. Personne ne devrait mourir parce qu’il a gagné sa croute honnêtement, càd sans contraindre quiconque à participer à ses affaires. Ce qu’on voit ici, ce sont des sociopathes élus par des intéressés et protégeant leur monopole pour continuer à (s’)arroser “légalement”.



Il y a un mode entre ce qui moralement acceptable (légitime) et ce qui ne l’est pas (même légal).


Le 30/12/2014 à 15h 42

Il faut bien nourrir la bête, ses anges de la mort et tous les parasites qui tournent autour du gâteau : ils ne seront pas toujours là pour en profiter, ces cochons.



Avec leur politique tracée au scalpel quand il s’agit de recettes, les saboteurs de Bercy peuvent de fait s’atteler à traquer les profits dégagés par l’économie avancée maintenant qu’ils ont ruiné la traditionnelle, mais pendant que les droits de l’administration avancent, les nôtres reculent.

Le 03/12/2014 à 10h 28







skan a écrit :



Purée on retrouve les lois ancestrales pour “protéger” le net!

Ils étaient trop hype nos vieux!





Toute la différence entre une Loi (avec une grand L) et la législorrhée actuelle : la première bottom-up ancrée sur des décennies de pratique juridique, de coutumes et/ou de traditions avec une flèche de temps passé▶présent, les dernières top-down imposées sur des circonstances, des modes et/ou des a priori avec une flèche de temps présent◄futur.



On détermine immédiatement lesquelles seront retoquées ou bricolées dans le futur pour satisfaire le prochain guignol au pouvoir.


Le 28/11/2014 à 11h 35







hurd a écrit :



Tu devrais faire des cours de logique mathématique et voir comment fonctionne la méthode scientifique.

Ta position n’est en rien scientifique ou logique.

Un vrai scientifique ne peut juste pas conclure que “ça ne marche pas”, il dira simplement que l’expérience n’est pas concluante , si un jour ça marche, il acceptera ce fait.

Après un scientifique ne s’arrêtera pas à la surface des choses, d’une il fera les expérience dans des contextes les plus “neutre” possible, pour qu’aucun facteur extérieur à ce qu’il veut tester n’entre ne compte et ce qui ne peut être le cas dans le cas d’un essai de système politique à l’échelle d’un état.

Il existe tellement de paramètres pour la réussite ou non d’un système politique, que c’est juste absurde de dire “ ça marche pas, ça marche”, de fait tu ne peut pas faire beaucoup plus que des hypothèses et des modèles très incomplets sur le sujet.

 Du coup je doute très sérieusement de la possibilité humaine de pouvoir déterminer qu’un système politique marche ou pas.



Et dernièrement, un scientifique déterminerait les choses autrement qu’un vague”ça marche/ça marche pas”, l’URSS à durer un bon paquet d’année et à été loin d’être le fiasco que tu dit, elle fut considéré comme une superpuissance et son niveau de développement était honorable à l’échelle du monde.

Le capitalisme, lui à subit de grandes crises qui ont notamment conduit à certaines guerre très meurtrière.

Bref les choses sont très loin d’être aussi binaire que tu le dit.





1/ Plutôt que d’essayer de donner des leçons d’une trivialité malvenue, relis objectivement ce que j’ai écris au lieu d’interpréter erronément pour essayer remonter la barcasse collectiviste du gouffre sans fond où elle repose naufragée : je n’ai jamais employé le futur.



Personne ne nie plus que les expériences collectivistes ont toutes échouées de la même manière et pour les mêmes causes, parce c’est ce que révèle l’analyse post mortem systématique. On peut donc en déduire que les mêmes causes produisant les mêmes effets (à moins de soutenir que le système collectiviste, constructiviste à la racine, est finalement et antinomiquement un système chaotique dont l’initialisation correcte est impossible en regard du nombre de variables impliquées, dont je te laisse examiner les conséquences fatales), les fondements du système ne lui permettent pas de durer économiquement dans le respect des droits des individus. Il n’y a aucune raison logique à accepter que la reproduction de cet état de fait en modifierait les conséquences. QED.

2/ Tes doutes sont mal placés : il suffit pour essayer que les individus le choisissent, ce qu’ils ont fait et rejeté.

3/ Toutes les considérations personnelles et subjectives du monde ne changeront rien à la réalité factuelle historique : le collectivisme en général, et l’URSS en particulier, a échoué, les causes des échecs sont connues, et les refondations successives pour tenter d’en sauver des morceaux moisis du fond les poubelles de l’Histoire peuvent bien continuer à occuper les derniers post-marxistes anosognosiques désabusés, leur déni ne relève pas de la raison et n’est donc pas discutable.


Le 27/11/2014 à 14h 52







ActionFighter a écrit :



Je tâte le terrain, mais au vu de la dernière phrase, c’est mort, elle ne fait que dans la black monster cock <img data-src=" />





Certainement, j’apprécie (aussi) les grosses contributions. Mais j’offre toute une palette de services qui vont de la série au sur-mesure, à tous les prix et donc à même de satisfaire toutes les bourses. Le client est roi.


Le 27/11/2014 à 14h 20







ActionFighter a écrit :



Faire jouer la concurrence est très sain et si tu donnes autant de plaisir que tu en reçois, je ne peux qu’approuver.



Mais si tes invités donnent beaucoup plus qu’ils ne reçoivent, que toutes les femmes font pareil, avec comme argument qu’ils peuvent toujours se taper une chèvre s’ils ne sont pas contents, ça va finir par donner un paquet d’enculés très énervés contre la gent féminine.





La distribution de dividendes est bien sûr fonction de l’investissement de chacun et de la rentabilité des opérations en cours.


Le 27/11/2014 à 13h 45







Citan666 a écrit :



Sauf que c’est une escroquerie intellectuelle scabreuse de dire que la “pauvreté diminue” en partant de ça, car considérer le seuil de pauvreté à 1,25$ par jour est un non-sens absolu dans la grande majorité des pays occidentaux, pour lesquels le strict minimum pour juste manger (je parle même pas du soin, du logement ou de l’hygiène) sera entre 5 et 10 dollars. Là où effectivement au Bangladesh je veux bien croire que c’est suffisant.





Ce seuil n’est pas destiné à fournir des informations pour les pays qui ne sont pas pauvres. Pour ceux-là, on a résolu subtilement l’absence de pauvreté absolue en inventant (tout du moins en France) un seuil de pauvreté relative sous forme d’un % du revenus médian, dans l’attente de la société utopique idéale où tout le monde gagnerait la même chose que tout le monde (et où donc nous serions tous pauvres, mais tous égaux).


Le 27/11/2014 à 13h 37







ActionFighter a écrit :



Je ne vente pas, voyons, ce serait inconvenant.



Attention pour tes parties à ce qu’elles ne soient pas trop privées, car à n’échanger des liquidités qu’entre les mêmes personnes, vous allez droit vers une descendance consanguine.





1/ Les autres sens, les autres sens.

2/ Autant des ouvertures cadencées et des introductions simultanées sont toujours possibles, autant je ne tiens pas non plus à trop diluer la rentabilité de mes holdings/sociétés filles : les invité(e)s sont trié(e)s sur le volet et le jeu se déroule pratiquement sur du long terme, si on veut espérer pénétrer le marché. Du bout des lèvres je t’informe quand même que les dépenses se font de mano a mano pour mitiger les risques.


Le 27/11/2014 à 13h 09







ActionFighter a écrit :



Je travaille mon efficacité énergétique, mais je te conseillerai plutôt de mettre en commun les moyens de production pour capitaliser le plaisir de manière collective.





Ce n’est pas ton vent habituel j’ose espérer ?, mais quant à moi rassure-toi, mes parties de plaisirs collectives se déroulent en sociétés (privées il va sans dire) où les échanges (d’action ?) se font plus longs à mesure que le liquide coule à flot…


Le 27/11/2014 à 13h 01







NextlNpact a écrit :



Si je lis le document que tu cites, je vois déjà 350 millions de personnes avec moins de 1\( / jour, et 2.5 milliards avec moins de 5\)/jour. Tu peux considérer que ce ne sont pas des “pauvres” avec 5\(/jour, mais j'habite dans un pays en voie de développement où la vie n'est pas chère et les revenus très bas et je peux te dire que 5\)/jour les gens sont pauvres même aux normes locales…  1$ c’est l’extrême pauvreté, pas la pauvreté.



En plus c’est un document de travail non validé par des pairs (indiqué en entête) et c’est basé sur des estimations faites avec une méthode différente des méthodes habituelles, qui donnent selon leurs propres indications des résultats beaucoup plus faibles en nombre que toutes les autres études. C’est la seule étude qui donne des chiffres ci bas.

Quand tu lis la méthode expliquée dans le début du document, ils font quand même de l’extrapolation de stats basée sur des stats partielles à des dates différentes, et à partir de ça refont une extrapolation pour avoir leurs chiffres. Et ils avouent eux-même que les données de revenus sont très partielles, et que c’est un problème pour évaluer des niveaux, mais qu’ils ne “pensent pas” que ça le soit pour évaluer les évolutions.



Donc de leur avis même, les nombres “x pauvres” sont faux, au mieux c’est l’évolution qu’il faut regarder.





1/ Comme dit plus haut, ce seuil fixé au niveau mondial est arbitraire. Il est utilisé pour pouvoir établir quantitativement l’évolution de la pauvreté, avec des limites convenues.

2/ Ce n’est pas un argument. Ils utilisent plusieurs méthodes et valident ces méthodes par des tests de sensibilité. D’autres sources pointent aussi une réduction récente et unique dans l’Histoire de la pauvreté dans le monde (voir plus haut). Personne ne le nie.

3/ Un problème récurrent quand les données sont limitées comme elles le sont de manière compréhensible dans les pays pauvres. Les autres organismes mondiaux travaillent à partir des mêmes données partielles.


Le 27/11/2014 à 11h 43







ActionFighter a écrit :



Ne m’excites pas trop, je pourrais avoir envie de remettre le couvert <img data-src=" />





Tes batteries sont limitées et du modèle qui s’épuisent avec le temps. Une actualisation avec les dernières technologies pérennes et auto-entretenues s’impose pour satisfaire tous mes besoins…


Le 27/11/2014 à 11h 40







ar7awn a écrit :



tu peut développer stp?





Il faudrait que j’y passe dix pages pour qu’au final je sois obligée d’en justifier scientifiquement chaque §, ce qui est matériellement impossible ici.


Le 27/11/2014 à 11h 36







yvan a écrit :



Le nombre de Dunbar considère des relations affectives uniquement, gérer la société va bien au delà de l’affectif.

En pratique c’est bien plus que ça bien entendu mais effectivement atteindre l’échelle de nations de millions d’individus comme aujourd’hui et que ça fonctionne politiquement est impossible.

Les traces de communisme libertaire qu’on a impliquent des unités de populations fédérées qui pouvaient compter en dizaines de milliers de personnes et qu’on peut considérer comme un meilleur système qu’actuellement mais impliquaient de détruire les états et nations.



Avec cette limite que leur résilience par rapport aux questions militaires n’est pas bon. Si on retient les critères de Jared Diamond pour l’effondrement des sociétés en fait une société “meilleure” est difficilement possible aujourd’hui car toutes les sociétés fonctionnant verticalement, sur des bases de cupidité, de racisme/nationalisme lui tomberaient invariablement dessus pour la détruire.



Nous en sommes capables, de sociétés libres et égales, mais pas à l’échelle de milliards d’humains dont une immense majorité stupide, religieuse, cupide, raciste et sexiste…





1/ Les sciences ne font que de débuter sur ces problème, ne t’attends pas à des miracles.

2/ Plus qu’à un bilan, je m’attache à comprendre les dynamiques et d’en déduire les fondements qui conduisent à des structures qui perdurent : il apparait qu’en respectant un petit nombre de règles, c’est possible. La description du cycle de la Culture par I. M. Banks est incontournable à ce sujet.

3/ L’instruction n’a pas fait son travail, accaparée qu’elle est à reproduire les schémas préexistants.


Le 27/11/2014 à 11h 27







yvan a écrit :



On ne parle pas de capitalisme alors mais uniquement de loi du plus fort.

Avec ce raisonnement circulaire digne d’une religion que la loi du plus fort est la meilleure, la preuve ce sont les plus forts qui survivent…

C’est nécessairement plus complexe que ça, un humain n’est pas qu’un fonctionnement biologique.



Le capitalisme d’aujourd’hui d’ailleurs avec sa monnaie fiducière et des frontières mondiales copieusement poreuses n’a plus rien à voir avec le capitalisme que critiquaient marx, engel, proudhon, fourrier etc. on ne devrait plus parler de capitalisme tout court, plein de gens sont riches et s’enrichissent sans posséder aucun moyen de production, et avec une richesse tellement liée à la valeur des monnaies fiduciaires qu’elle est bien plus précaire dans le temps et par rapport à la politique que celle des grands patrons du 19e.





1/ “On” l’appelle comme “on” veut suivant ses préjugés : je n’y vois que l’émergence naturelle et triviale d’un phénomène complexe au cours du temps comme dans tant d’autres domaines distincts.

2/ Tout à fait, le seul ‘capital’ (en tant que valeur) qui perdurera est immatériel, c’est celui de l’imagination et de l’ingéniosité humaine.


Le 27/11/2014 à 11h 07







yvan a écrit :



A part qu’il y a des peuples qui ont vécu des millénaires sans notion de propriété privée sinon ton raisonnement est parfaitement juste concernant l’URSS.

Mais qui ne marchait pas mieux avant ni maintenant…





Certes, mais le contexte sous-entendait pour une société ou proto-société à l’échelle actuelle avec des principes de droit définis. Le système collectiviste peut survivre plus ou moins effectivement jusqu’à un nombre appelé le nombre de Dunbar (jusqu’à ~150 individus) sans autre besoin de définitions légales.


Le 27/11/2014 à 10h 39







ActionFighter a écrit :



<img data-src=" />



Écoute, on ne va pas débattre 150 ans, ton modèle de société et le mien sont totalement divergeants. Donc chacun se fera sa propre idée.





Comme tu l’as écris, chacun pourra se faire une idée dans ton historique.





J’aime quand tu te retires en douceur <img data-src=" />


Le 27/11/2014 à 10h 12







ActionFighter a écrit :



Ce n’est pas de la petitesse, mais juste la continuité de ma pensée sur la lutte des classes dont tu as toi-même admit lors d’une de nos dernières discussions qu’elle était inhérente au système actuel.





1/ Tu ne fais qu’étaler ta jalousie latente maladive sous des prétextes plus fallacieux, obsolètes et historiquement erronés que jamais pour mieux les justifier illusoirement : on soigne ses varices en se traitant, pas en enviant les jambes des autres, et encore moins en le leur prélevant des morceaux.

2/ Tu déformes mes propos. En plus d’être illogique et mis à part quelque irréductible supporter passéiste, j’ai écris plutôt qu’elle ne pouvait qu’être qu’une solution inutile comme dose quotidienne de renforcement mental au vu du stade de leur pathologie antérograde récurrente. Le système actuel, qui n’est la résultante que du choix volontaire de ses agents, a déjà fournis la solution la plus optimale à ton non problème qui de ce fait n’existe que dans ta tête (je sais bien que l’addiction étant ce qu’elle est, je perd mon temps à te répondre).


Le 27/11/2014 à 09h 53







Citan666 a écrit :



J’adore l’humour un peu fin comme ça dès le matin… :)



Oh, le joli PDF, dans lequel non seulement les économistes jouent avec masses d’extrapolations et d’approximations (puisqu’ils précisent eux-même n’avoir aucune donnée pour bon nombre de pays, et qu’un jeu de données très limité pour d’autres)…



Et où ils déterminent eux-même différents seuils de pauvreté, considérant que de toute façon la définition d’un tel seuil est arbitraire (p26)…





Pour pouvoir ainsi en conclure que “Global poverty rates decline between 1970 and 2006. This is true for poverty lines ranging from \(1/day to \)10/day.” Génial !! Je les rejoins sur le fait qu’il est difficile de définir un seuil de pauvreté qui soit non arbitraire, mais de là à ne carrément pas essayer…



10 dollars par jour, même en 2006, qui peut imaginer survivre avec ça dans les pays développés ? Je ne parle même pas de vivre dans des conditions décentes hein…

C’est sûr, au Bangladesh, il y a moyen de vivre correctement avec ça…



Bref, on met tout le monde dans le même panier en partant du principe que le seuil ARBITRAIRE qu’on a défini (sans même d’ailleurs chercher à le justifier) a du sens globalement au niveau mondial, pour déboucher le champagne en se félicitant que la pauvreté a “globalement diminué”. Sans même se demander si, peut-être, la définition de la pauvreté était trop différente d’un pays à l’autre pour pouvoir l’étudier autrement que pays par pays… <img data-src=" />

 

C’est marrant, n’importe quel môme au collège osant une escroquerie intellectuelle du même acabit se prendrait une tôle avec potentiellement heures de colle derrière. Et ils sont payés pour ça ?





1/ Cela date d’hier.

2/ Ils reconnaissent que leurs chiffres sont plus faibles que d’autres et estiment la pauvreté par rapport à divers seuils en plus du seuil ‘officiel’ pour justement savoir si la baisse est robuste (statistiquement) : on ne peut pas venir ensuite le leur reprocher. Les figures de 1 à 19 donnent les évolutions pays par pays.

3/ La Banque Mondiale rapporte la même évolution globalement ou région par région.



A un moment, il va bien falloir retirer les verres teintés en rose et accepter la réalité.


Le 27/11/2014 à 09h 37







caesar a écrit :



Rassure-moi c’est le couple Mac/OS que tu as pris <img data-src=" />





Non.


Le 27/11/2014 à 09h 19







mtaapc a écrit :



Je suis très étonné de cette prise de position venant de ta part, car dans le cas de Microsoft, c’est dur de parler de “client”pour Windows, la liberté de choisir la concurrence lors de l’achat d’un PC a été longtemps impossible et actuellement très difficile. On est loin de la liberté de choix du client parmi la concurrence.





Personne ne t’a forcé et ne te force à acheter. Ce que tu veux dire, c’est qu’il n’y avait aucun autre choix pragmatique sur le marché pour les utilisateurs lambda dont ce n’est pas le métier de monter des ordinateurs pièce par pièce et d’installer des OS non ergonomiques, non aboutis et en ligne de commande. On a toujours eu et on a toujours la possibilité d’acheter du matériel Mac/OS, Amiga/OS, ou d’autres couple de matériel/OS, ce que j’ai fais moi-même.


Le 27/11/2014 à 09h 13







FunnyD a écrit :



Si tu attends que l’on te proposes mieux, admets que le capitalisme n’est qu’un pis-aller.





J’observe que le système a été sélectionné au cours du temps sur la base de sa capacité à répondre aux besoins de ses utilisateurs. Il n’est pas parfait, ce qui fait justement sa résilience, mais il optimise l’utilisation des ressources économiques (et donc des substrats naturels), ce qu’aucun autre système ne permet.



Une personne bien connue a affirmé un jour qu’elle n’avait lu qu’un seul livre dans sa vie, Le Capital de Marx, et elle a dit :

La supériorité du capitalisme sur le communisme, c’est qu’il n’a pas été nécessaire de l’inventer

.


Le 26/11/2014 à 23h 17







FunnyD a écrit :



Non, car elle est intéressante à lire, quand tu discutes sérieusement avec elle, le problème est qu’elle est bloquée sur un dogme capitaliste tout puissant sauveur de l’humanité





Non, j’attends qu’on me propose mieux mais rien ne vient que des vieilles chaussettes trouées qu’on voudrait me vendre pour des neuves alors qu’un pauvre n’en voudrait pas pour son chien.


Le 26/11/2014 à 23h 04







hurd a écrit :



Sauf que au niveau logique ça tient pas.

Ce n’est pas parce que tu as testé 1000 fois sans résultat que tu peut prétendre que la 1001éme fois ne fonctionnera pas.

Un exemple n’est pas une preuve.

 

 Après, il est clair qu’une expérience qui foire doit permettre de s’interroger, sur comment , le pourquoi ,etc…

mais tu ne peut pas prendre l’argument du “ça n’a pas marché” pour prouver que “ ça ne marchera pas”.





1/ Ta formulation est trompeuse : on a testé plusieurs fois le collectivisme et les résultats ont toujours été identiques : il ne fonctionne pas.

2/ C’est la base même de la méthode scientifique. Libre à toi de maintenir des positions irrationnelles : elles ne sont évidemment plus discutables si tu refuses aussi les méthodes de la raison.


Le 26/11/2014 à 22h 58







FunnyD a écrit :



1/ Au temps pour moi, en lisant cet articlehttp://www.banquemondiale.org/fr/news/press-release/2013/04/17/remarkable-declin… je remarque un point, tu me diras si j’ai raison ou non, je ne suis pas un as en anglais. Mais ton papier parle des gens ayant un revenu inférieur à 1\(/jour alors que celui de l'onu parle de gens vivant avec moins de 1.25\)/mois, ce qui nous donnerait grosso modo 1 milliard de personne vivant avec de 1 à 1.25 $/jour. Après quel est le seuil de pauvreté correct (dur é définir parce que différent entre chaque pays? J’ai l’impression que ton étude parle plus de l’extrême pauvreté qui serait en régression alors que mon papier parlerait de la pauvreté qui elle serait en augmentation.

2/Je te lis souvent, et je n’ai jamais vu de réponses. Par exemple quand il n’y aura plus de sable de mer, comment fera t-on pour le secteur de la construction?





1/ Il me semble que le seuil a été révisé pour tenir compte de l’inflation, mais je ne sais plus quand. Probablement après 2006.

2/ Plus de sable de mer ? Tu plaisantes bien sûr.


Le 26/11/2014 à 22h 45







hurd a écrit :



Le problème c’est que tu peut mettre mille expérience similaire, ça n’en fait pas une preuve.





Il n’existe pas de preuve plus ultime que l’expérience. Comme on dit :

The definition of insanity is doing the same thing over and over and expecting different results.


Le 26/11/2014 à 22h 32







FunnyD a écrit :



1/ Si tu crois que je vais croire les élucubrations d’un organisme à la solde d’un état qui est prêt à tout pour convaincre que sa politique est la bonne pour le futur de l’humanité.

2/ Explique moi comment va survivre le capitalisme qui est un dogme reposant sur une croissance infinie lorsque les ressources naturelles, bases de toute croissance, auront disparu.





1/ Le MIT et UC sont des universités indépendantes et l’État US finance l’ONU et ses programmes associés. Quand on parcourt le site de l’ONU, on tombe sur ce genre de données où tous les pays capitalistes sont en haut à droite et tous les pays collectivistes ou corrompus sont en bas à gauche (normal donc). Pas besoin de sortir de l’ENA pour saisir les implications.

2/ Lis mon historique (c’est gratuit), toutes les réponses à tes questions y sont.


Le 26/11/2014 à 22h 18







hurd a écrit :



Sauf que ça, cela suppose que la récompense n’augmente pas ou peu avec l’effort. C’était peu être le cas en URSS mais ce n’est pas du tout une évidence.





D’autres ont testé cette possibilité bien avant, et cela ne fonctionne pas. Jamais. Nulle part..


Le 26/11/2014 à 22h 04







FunnyD a écrit :



J’vais pas être le seul à te répondre mais voici un article qui infirme ton chiffre de 140 millions de pauvreslemonde.fr Le Monde

quand au capitalisme, n’oublies pas que c’est un système condamné à moyen terme





1/ Si tu penses qu’un torchon subventionné surfant sur les chiffres biaisés d’un programme bureaucratique avec un gros conflit d’intérêt existentiel est à même de fournir des chiffres crédibles, tu te berces d’illusions. Ma source est un peu plus indépendante et sérieuse (PDF là).

2/ Si je devais miser entre tes prédictions et l’Histoire, je choisirais l’Histoire.


Le 26/11/2014 à 21h 55







FunnyD a écrit :



lol, tu glisses une petite attaque mine de rien, alors que je remettrai pas en cause la supériorité intellectuelle de Gates sur moi, d’ailleurs j’en ai un peu rien à foutre, car là n’est pas le débat <img data-src=" /> Tu crois vraiment que l’on puisse mériter d’avoir autant d’argent? Tu en es convaincue en ton for intérieur?





1/ Si tu m’avais posée la question, je t’aurais répondu sans hésiter : moi.

2/ Quelle question ! Non seulement convaincue, mais bien heureuse que ce soit lui (même si je ne suis pas du tout de son bord politique) et pas un autre.


Le 26/11/2014 à 21h 49







ar7awn a écrit :



il y a vraiment des abrutis qui justifient une fortune de plusieurs milliards par la responsabilité hiérarchique et la réussite?



La juste mesure ils connaissent pas? c’est comme si je posais des bombes parce que l’on ma marché sur le pied: a ce niveau là c’est juste absurde.





et les 3 milliards de pauvres ils sont dans la merde parce qu’ils n’ont pas assez travaillé a l’école ou que se sont des feignants c’est ça?





1/ Glorifier l’incompétence n’a jamais conduit qu’à la pauvreté et la désillusion.

2/ Réjouis-toi, on ne punit pas (encore) le délit de terrorisme orthographique.

3/ On t’a déterré récemment sans te mettre au courant ? La pauvreté a reculé de plus de 80% ces 40 dernières années, il ne restait déjà plus que ~140 millions de pauvres en 2006 (sur un total de 6.6 milliards d’individus, soit ~2%). Tu vas bientôt pouvoir retourner d’où tu viens : l’objet de ton tourment est une espèce en voie de disparition (merci la globalisation et le capitalisme, merci B. Gates).


Le 27/11/2014 à 17h 29







tazvld a écrit :



Égalité des couches OSI !





Lutte des classes !

Bibliothèques ouvertes !

Débit IT (à lire vite pour comprendre) !

Etc


Le 27/11/2014 à 11h 10







tmtisfree a écrit :



En limitant drastiquement la définition du gout, oui, mais qui se rapproche alors plus d’une analyse chimique que d’une perception ou d’un sens.





Le 27/11/2014 à 11h 09







maestro321 a écrit :



Bha dans ce cas là ne parle pas de quantité, mais de qualité.

Si la qualité d’un goût dépend dépend de chacun, la quantité de gout peut être mesurée sans problèmes.





En limitant drastiquement la définition du gout, oui, mais qui se rapproche alors plus d’une analyse chimique que d’autre chose.


Le 27/11/2014 à 10h 56







maestro321 a écrit :



Je comprend pas pourquoi tu parles d’inquantifiable?!

fr.wikipedia.org WikipediaLe gout ne se limite pas qu’à déterminer la concentration en tel ou tel composé, mais aussi à l’intégrer au niveau cérébral avec bien d’autres facteurs (chez moi en tout cas) et à d’autres fonctions (IIRC mes cours de fac).


Le 27/11/2014 à 10h 50







IhazHedont a écrit :



La pomme bio est pas moins blindée de pesticide que la pomme lambda ?





1/ Le bio n’utilise théoriquement pas de phytosanitaires (tout du moins pas ceux de l’agriculture conventionelle).

2/ On ne le sait pas vu que les résidus ne sont pas recherchés sur les produits bio :



Nos résultats confirment les conclusions du rapport Afssa 2003, en précisant que, dans l’état actuel de nos connaissances, la consommation d’aliments issus de l’AB ne montre pas d’effet bénéfique sur la santé. En toute logique, les résidus de pesticides de synthèse sont moins présents dans les produits issus de l’AB, mais il faut cependant noter que 96 % des produits issus de l’AC ont des résidus inférieurs à la limite maximum de résidus (LMR) autorisée par la réglementation, cette LMR étant elle-même définie de telle sorte que l’exposition maximale du consommateur soit au moins 100 fois plus faible que la dose sans effet (DSE) du produit considéré. En revanche, les résidus des produits de traitement autorisés en AB, dont l’innocuité n’est pas garantie, ne sont eux en général pas recherchés dans les enquêtes. L’aspect le plus important pour la santé reste la diversité et l’équilibre du régime alimentaire, l’impact d’un ou de quelques repas « bio » par semaine demeurant insignifiant.




  • Bernard Le Buanec, membre de l’Académie d’agriculture, suite au rapport 2010 sur l’agriculture biologique.


Le 27/11/2014 à 10h 37







eliumnick a écrit :



Pourquoi devoir le quantifier ? En fait j’ai jamais compris les lobby bio n’ont jamais utilisé cet argument.





Peut-être pour cette raison (inquantifiable).


Le 27/11/2014 à 10h 18







eliumnick a écrit :



Le bio apporte au moins une chose : les aliments ont du gouts!





Ce critère étant une affaire personnelle, il n’est pas quantifiable.


Le 27/11/2014 à 09h 36







Informel a écrit :



Du coup il y aura probablement des FAI qui feront payer payer plus cher l’option “neutralité”…





Certains payent bien plus cher pour du bio qui n’apporte rien, pour de l’électricité moyenâgeuse voire même pour des politiciens qui leur reprendront au centuple : la moindre des choses est qu’on leur propose le même deal pour satisfaire leurs idéaux irrationnels. Je ne m’en plaindrai certes pas.


Le 27/11/2014 à 09h 29



Un tel texte devrait clarifier que la gestion du trafic est autorisée à condition d’être transparente, non discriminatoire, proportionnée et non anticoncurrentielle



Alléluia, une position sensée et raisonnable sur ce non problème monté en épingle par les adeptes du Command & Control.



PS : quand aura-t-on un bouton pour les citations libres ?

Le 27/11/2014 à 14h 43







von-block a écrit :



Tu ne t’y connais définitivement pas en statistique. 

 Premièrement, ils ont un n de 21 600, ce qui est très représentatif.



Quand tu parles de niveau de significativité, j’imagine que tu aimerais savoir si la différence entre 2011 et aujourd’hui est statistiquement significative. Avec un échantillon de cette taille, c’est une évidence que oui. Et une analyse descriptive des données est très suffisante ici. L’objectif premier étant de présenté des proportions d’un phénomène. 



Pourquoi un groupe contrôle ? Il n’y a pas d’expérimentation, c’est totalement inutile.



Enfin, il n’est pas utile d’évaluer les facteurs confondants puisqu’il s’agit de rapporter la fréquence d’un phénomène.  S’il avait voulu faire des inférences du genre, le harcèlement est en lien avec ceci, il aurait en effet été intéressant de les connaitre.





1/ Je n’ai pas affirmé que le nombre n’était pas représentatif puisqu’initialement je n’avais pas vu le lien où il se trouvait. Le chiffre est de 21600 x 0.77 d’ailleurs.

2/ Cela empêche de mettre les ± ?

3/ Comme la plupart des pseudo-résultats de la branche.

4/ C’est bien ce que je lui reproche (mais mal formulé) : mettre tout le monde dans le même sac sans savoir si certains facteurs plus que d’autres (QI, niveau socioéconomique, classe d’âge, etc) peuvent influencer le dit phénomène est trop limité.


Le 27/11/2014 à 14h 11







Spirit_twin a écrit :



Tu devrais cliquer sur le lien à la fin de l’article, ça pourrait grandement aider à ta compréhension de l’article et de l’extrait présent ci-dessus





Je n’avais pas vu le lien, merci.


Le 27/11/2014 à 14h 00

J’adore ces études sociologiques bidon où le nombre d’individus interrogés n’est pas donné, où la dispersion des résultats est inconnue rendant impossible le calcul de la significativité des évolution, où il n’y a évidemment pas de groupe contrôle, et où, fin du fin, on n’a procédé à aucune tentative de décorrélation des facteurs confondants potentiels. Consternant.

Le 27/11/2014 à 11h 51







PurSang a écrit :



1/ le problème c’est qu’à un moment de ta vie en cas de lourd pépin survenue de façon impromptue, si tu n’as pas souscrit au bon niveau de protection, cela risque d’être difficile non ?

ET pour le chômeur sourd nourri à l’allocation adulte handicapé qui est encore plus faible que le smic, comment ferait-il pour financer sa protection lui donnant droit à un remboursement complet de ses aides auditives ?



2/ oui absolument, c’est pourquoi il est conseillé que l’enfant sourd soit appareillé le plus tôt possible dès 1 an. (ce qui fut mon cas) De l’autre côté, j’ai des amis qui ont été appareillés vers 6-7 ans et qui ont accusé un important retard de développement au niveau ouie/parole alors qu’ils souffraient sensiblement du même niveau de handicap que moi. Alors pour la personne sourde non appareillé qui a baigné dans un environnement éducationnel basé sur la LSF uniquement, il est lourdement difficile de s’en extraire et très souvent cette personne s’arcboutera à défendre sa spécificité et refuser tout évolution favorable visant à éradiquer la surdité (défense de la culture sourde).



3/ C’est intéressant. Il y a quelques années, j’avais été voir une généticienne qui a détecté le gène responsable de ma surdité (je voulais en savoir plus car je suis issu d’une famille 100% entendante).

Mais je doute que j’en voie les résultats avant de très nombreuses années le temps que cela passe de l’animal à l’humain.





1/ Les réponses appropriées nécessiteraient des développements économiques et politiques bien trop longs et répétitifs ici (quoique si tu as le temps et le courage de parcourir mon historique page par page, ils s’y trouvent).


Le 27/11/2014 à 10h 35







PurSang a écrit :



Tu serais surpris de constater que les appareils auditives ne sont plus très bien remboursés par la sécurité sociale après 20 ans passés (129 euros). Pour un sourd profond, la facture d’un contour de prothèse surpuissante se chiffre à 2000 euros l’unité soit 4000 euros la paire. Et il faut renouveler tous les 5 ans dans son cas car l’appareil s’use très très vite.  Ce n’est pas une simple prothèse intra-auriculaire invisible qu’on donne aux personnes faiblement sourdes et qui sont largement représentées dans les brochures publicitaires. Ces solutions dont je rêve me sont inacessibles en l’état actuel de la technologie malgré les progrès de la miniaturisation.



Entre ça :http://www.phonak.com/fr/b2c/fr/products/hearing_instruments/tao-q/hearing-aid.h…

et ça (le truc le plus puissant que j’aurai dans un an):http://www.phonak.com/fr/b2c/fr/products/hearing_instruments/naida-q/hearing-aid…

les prix ne sont pas les mêmes et ces deux objets ne s’adressent pas au même public.



Le seul moyen d’aide possible est de faire une demande financière à la MDPH (maison départementale des personnes handicapées) au titre de la PCH (prestation de compensation du handicap), cette demande prend 1 an en général à être traité (joie bureaucratique). Et très souvent, l’aide financière ne couvre pas la totalité du devis. La personne sourde doit mettre la main à la poche pour un handicap réel qui devrait être couvert entièrement par la sécurité sociale.

Je suis en pleine phase de renouvellement de mes appareils auditifs car ils ne peuvent durer que 5 ans dans mon cas, au delà ils deviennent moins efficaces et peuvent tomber en rade.



Aussi sais-tu que la majorité des sourds profonds n’ont pas d’appareillage car justement ils ne supportent pas les sons, préférant vivre dans le monde du silence ?

Et très souvent les avantages sont loin d’être considérables par rapport aux personnes malentendantes.

Car il ne suffit pas d’être appareillé pour tout entendre à 100 % d’un simple coup de baguette magique, ça c’est l’erreur de base.

Il y a une différence entre entendre et comprendre, tu entends le bruit de la parole mais tu es incapable de le déchiffrer, le comprendre sans une lecture labiale approfondie en face à face. TU caches ta bouche ou tu parles dans mon dos, ma compréhension chute lourdement même si je suis appareillé.  Pour la personne malentendante faiblement sourde, l’histoire est différente. Ce n’est qu’une béquille technologique complémentaire à un usage assidu de la lecture labiale et qui permet au final de différencier des mots qui sont prononcés de façon semblable. Exemple “six” et “dix”, c’est pareil au niveau de la lecture labiale mais grâce à l’appareil, on différencie.

 

Autrement dit au téléphone, la compréhension est nulle pour une personne sourde profonde même appareillée

 

Dans un futur plus ou moins lointain, comme tu fais allusion à la thérapie génique, il est possible qu’on répare les fonctions déficitaires du corps humain (cécité, surdité et etc)

Mais en l’instant présent, c’est une douce chimère et il est plus intéressant de se concentrer sur des solutions plus concrètes apportant un réel et immédiat confort de vie comme ces relais téléphoniques qui sont une solution à moindre coût.





1/ Les déremboursements de la SS ne me surprennent pas (pour qui me connait ici). Je milite pour que les gens prennent en charge eux-mêmes leur protection sociale : les coûts et les délais seraient bien moindres pour les individus qui pourraient alors choisir leur niveau de protection en fonction de leurs besoins plutôt que de dépendre du bon vouloir d’une administration lourde et ruinée/ruineuse.

2/ Je comprend bien les effets délétères à terme d’une non stimulation neuronale précoce. La plasticité cérébrale diminue fortement avec le temps, et le réapprentissage doit être long et difficilement accepté/ acceptable socialement parlant.

3/ Des tests sur animaux sont en cours.


Le 27/11/2014 à 09h 24







HarmattanBlow a écrit :



AU passage je doute que les technologies de restitution de l’ouïe soient si parfaites et dans tous les cas, et je doute qu’elles le soient avant longtemps.





Je t’invite à lire ce témoignage. Les thérapies géniques sont aussi en bonne voie et très prometteuses (tests en cours).


Le 27/11/2014 à 08h 50







PurSang a écrit :



Faisant partie en tant que personne sourde profonde des 500 personnes qui participent à ce programme de relais téléphonique, je ne peux qu’être enchanté de cela car cela m’apporte l’indépendance de pouvoir passer des coups de fils quand je le désire. Encore aujourd’hui à l’ère d’internet, un coup de fil est souvent plus efficace qu’un mail où il faut attendre que la personne veuille bien répondre. En coup de fil, l’interlocuteur ne peut pas se défiler. Et un coup de fil est parfois le seul moyen de communication (toubib par exemple).

 

Au passage, la LSF n’est pas l’unique moyen de communication. La transcription texte en est une et est celle que je préfère. Pratique quand tu as une sale dégaine et que tu ne veux pas passer sur la webcam.

Après il est vrai que beaucoup de sourds ont d’énormes difficultés en français écrit car la LSF est une langue à part avec sa propre grammaire. Les phrases sont exprimées différemment qu’en français oral/écrit.

exemple simple on dit “je vais au cinéma”, en LSF, c’est “moi cinéma aller (verbe à la fin)”

 

Ces difficultés concernent plus essentiellement les sourds-profonds qui sont toutefois minoritaires parmi la population sourde et malentendante (200 000 je dirais sur 5 millions mais on en entend souvent parler car ils ne peuvent très souvent que s’exprimer en LSF).  Il y a 4 niveaux de surdité : surdité légère, surdité moyenne, surdité sévère et surdité profonde ; les trois premiers peuvent être considérés comme malentendants et constituent la majorités des personnes ayant un problème auditif et qui auraient besoin de solution essentiellement écrites tout en n’ayant pas besoin de la LSF.  (sous-titres, retranscription texte)

Alors certes il est indispensable de recruter des interprètes en LSF mais il est aussi indispensable de recruter davantage de personnes formés uniquement pour la retranscription texte.



Le relais téléphonique est une réalité courante aux USA depuis des années. La France ne s’y intéresse que maintenant et l’année dernière comme le souligne l’article sur les difficultés rencontrées depuis 2010, il y avait déjà eu la même expérimentation (à laquelle je n’ai pas été sélectionné) qui s’est terminée par une nouvelle expérimentation, celle encore en cours cette année http://origo.elision-services.com

On continue toujours de broder alors que de mesures simples et définitives sont attendues depuis belle lurette. 5 millions de personnes malentendantes et sourdes existent en France tout de même.

Ce devrait même être un service public à financer via une taxe que paieront les opérateurs téléphoniques qui se sucrent assez et qui y survivront sans problème. Et ce service public, lui, serait UTILE !

 

De même que les sous-titres, il a fallu attendre une loi sur le handicap de 2005 pour que les chaines Tv soient obligées de sous-titrer leurs programmes à 100%. Il est amusant de constater que sur le replay, ces chaines tv oublient cette obligation …. (à part france tv pluzz qui d’ailleurs ne le propose pas dans ses émission en direct, juste après en replay)

La bataille législative est toujours à refaire surtout avec l’éclosion des nouveaux formats audiovisuel internet.  (youtube, VAD, streaming notamment sur les films français)







Merci pour ton témoignage instructif. Mais je pense que les solutions proposées ne sont que des pis-allers. Le retentissement social individuel est tel que seules des solutions plus ou moins définitives sont envisageables si on veut limiter le coût global de cette pathologie pour la société.



Le nombre d’individus en souffrant est important, ce qui fait que le marché est tout indiqué pour répondre à la demande avec des coûts acceptables et qui diminuent au cours du temps.



Au vue de la gabegie qui caractérise la protection sociale en France, et sur une base de 4000 €, si on permettait au salarié smicard sourd ou malentendant de bénéficier de son salaire complet, alors il pourrait obtenir un appareillage personnalisé de restauration de l’ouïe en moins de 2 ans.



Ce n’est pas compliqué, mais on préfère monter des usines à gaz bureaucratiques taxophiles qui favorisent encore plus la dépendance du malade.


Le 27/11/2014 à 08h 25







HarmattanBlow a écrit :



Je sais bien que la reconnaissance vocale et la synthèse vocale ne sont pas encore parfaitement au point mais vu la vitesse à laquelle ça progresse et en prenant en compte l’horizon du projet, ce ne serait pas moins con de, par exemple, contribuer à la recherche publique sur le sujet en finançant une très grosse banque d’échantillons en français ? Après ça les chercheurs publieront leurs biblios et n’importe quel lycéen un peu doué pourra faire une appli clavier ↔ voix.



Et puis dans la foulée on pourrait faire la même chose dans les autres domaines de l’IA, tiens (banques textuelles, banque d’images avec intitulés en français, etc). Ou alors on peut laisser tout le marché aux seules boîtes ricaines ayant les moyens de créer des banques privées d’échantillons.





Il se trouve que le centre de recherche appliquée en correction de la surdité (même profonde) le plus avancé au monde est US (Starkey), ils ont aussi une fondation qui officie dans une centaine de pays. Pourquoi réinventer la roue alors que la pathologie est déjà traitable ?


Le 27/11/2014 à 08h 03

Avec des statistiques aussi précises que fumeuses, on va pouvoir s’épancher en haut lieu sur tous ces attentats évités et petits chatons encore en vie avec le ton paternaliste qui convient pour faire reluire son rond de cuir et cajoler le fond de commerce électoral habituel : elle est belle la démocratie délatrice participative.